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2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 15:45
photo Armée de Terre

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02/07/2015 Sources : État-major des armées

 

La force Sangaris poursuit son désengagement progressif, débuté début juin 2015. Le déploiement, qui compte aujourd’hui environ 1 000 militaires français, sera porté à 900 au 14 juillet 2015.

 

Le dispositif s’articule autour d’un sous-groupement aéromobile (3 Puma, 2 Gazelle et 2 Tigre) et d’un centre de commandement et de soutien. Suite au départ du GTIA (groupement tactique interarmes) Turco et du GTIA Vercors, il s’appuie désormais sur un GTIA unique (comprenant 16 VBCI, 61 VAB et 46 VBL), en force de réaction rapide au profit de la MINUSMA, à présent pleinement opérationnelle.

 

Cette semaine, la situation sécuritaire est restée globalement calme. Robuste et réversible, la force Sangaris conduit simultanément la poursuite des opérations de relèves et d’appui à la MINUSMA. En parallèle, les manœuvres de désengagements continuent. Le détachement Fennec a ainsi quitté le théâtre et les appareils ont été rapatriés le 25 juin 2015.

 

Au 1er juillet 2015, environ 900 militaires seront déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 10 800 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise dorénavant à appuyer la MINUSCA, chargée de maintenir le niveau de sécurité atteint dans le pays.

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27 juin 2015 6 27 /06 /juin /2015 11:45
Focus sur le le détachement Fennec de l'opération Sangaris

 

26 juin 2015 Crédit : État-major des armées / armée de Terre

 

Focus sur le le détachement Fennec de l'opération Sangaris, en République centrafricaine.

Les hélicoptères réalisent des missions d'appui, de reconnaissance et de renseignement au profit des militaires déployés au sol.

 

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26 juin 2015 5 26 /06 /juin /2015 13:45
photo EMA / Armée de Terre

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26/06/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 13 juin 2015, sur le camp de M’Poko, une délégation de l’ambassade de France et de l’Union européenne en Centrafrique a assisté à une démonstration capacitaire des moyens terrestres et aériens de la force française, déployés dans le cadre de l’opération Sangaris.

 

En présence de monsieur Malinas, ambassadeur de France, et du général Gillet, commandant de la force Sangaris, les soldats ont exposé leurs savoir-faire. Au programme, trois ateliers organisés autour des composantes majeures déployées en Centrafrique : l’infanterie avec le véhicule blindé de combat d’infanterie (VBCI) et un groupe de combattants équipés du système FELIN ; la cavalerie avec les engins roues canon (ERC90) Sagaie et le véhicule blindé léger (VBL) ; ainsi que la composante aéromobile avec l’hélicoptère de combat Tigre. « J’ai vu arriver ces engins sur Bangui en 2013, au début de la crise. Je suis très impressionné de les voir de prêt aujourd’hui. Grâce à l’expertise des soldats de Sangaris et ces engins, qui allient technicité et puissance, on a retrouvé une sérénité, ici en Centrafrique. Je me sens en sécurité dans les rues de Bangui », témoigne un personnel de l’ambassade de France.

 

Tout en réduisant le format de la force, Sangaris conserve une puissance et un potentiel technique, matériel et humain important, constituant une force de réaction mobile en mesure d’appuyer la MINUSCA. « Sangaris constitue une force de réaction rapide et puissante, à l’image des matériels présentés ici sur le camp de M’Poko. La réduction de notre format n’impacte en rien nos missions de sécurisation et d’appui aux forces onusiennes »,explique le colonel Cluzel, chef d’état-major interarmées de la Force.

 

Au 1erjuillet 2015, environ 900 militaires seront déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 10 800 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise dorénavant à appuyer la MINUSCA, chargée de maintenir le niveau de sécurité atteint dans le pays.

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26 juin 2015 5 26 /06 /juin /2015 07:45
photo EMA / Armée de Terre

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25/06/2015 Sources : Etat-major des armées

 

La force Sangaris poursuit actuellement son désengagement progressif, entamé début juin. Cette décroissance s’est pour le moment traduite par le désengagement de sept hélicoptères (2 Gazelle, 3 Puma et 2 Fennec) et le départ d’un GTIA complet. Sangaris aura atteint le format de 900 militaires au 1er juillet 2015. Elle assurera alors une posture de « force de réaction » mobile au profit de la MINUSMA.

 

Au 1er juillet 2015, environ 900 militaires seront déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 10 800 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise dorénavant à appuyer la MINUSCA, chargée de maintenir le niveau de sécurité atteint dans le pays.

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22 juin 2015 1 22 /06 /juin /2015 11:45
Le PPLD en action en Centrafrique

 

Crédits : Etat-major des armées / armée de Terre

 

4 juin 2015, à la sortie de la ville de Bambari, les militaires de la force Sangaris viennent en aide à un conducteur routier centrafricain dont le camion a basculé sur le flanc après une sortie de route. A cette occasion, un équipage du 8e régiment du matériel (8e RMAT) a mis en œuvre le porteur polyvalent lourd de dépannage (PPLD) afin de lever le poids-lourd sur la chaussée.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

 

Reportage photos

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22 juin 2015 1 22 /06 /juin /2015 10:45
photo EMA

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20/06/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 13 juin 2015, la compagnie VBCI du GTIA (groupement tactique interarmes) Centurion a effectué ses premières patrouilles dans Bangui. Quelques jours après leur arrivée en Centrafrique, les légionnaires ont remplacé les tirailleurs du GTIA Turco. À bord de leurs VBCI, ils patrouillent plusieurs fois par jour, dans Bangui et ses alentours, afin d’appuyer la MINUSCA dans sa mission de sécurisation de la capitale.

 

La section VBCI du 2e REI (régiment étranger d’infanterie) a quitté en fin de matinée le camp de M’Poko pour rejoindre l’Est de Bangui. Au cours de leur progression, les légionnaires ont été immédiatement au contact de la population en traversant le marché en pleine effervescence qui borde l’avenue reliant l’aéroport au centre-ville. La section s’est ensuite engagée sur des pistes étroites en latérite bordées par des rizières et des hautes herbes, où le VBCI a une fois de plus démontré sa capacité à évoluer sur des terrains difficiles.

 

Après une demi-heure de trajet, les légionnaires ont débarqué des VBCI pour poursuivre leur patrouille à pied afin de gagner la maison du chef de quartier. En chemin, des villageois ont abordé la section pour signaler la présence de coupeurs de route à quelques kilomètres de là. Le chef de section a donné l’ordre à la section de réembarquer à bord des véhicules blindés afin de rejoindre rapidement la zone indiquée par la population. Après avoir sécurisé les lieux, les légionnaires ont constaté que les brigands avaient déjà fui, dissimulés par une végétation très dense.

 

Au cours de leur patrouille, les légionnaires ont croisé à plusieurs reprises des détachements de la MINUSCA qui patrouillaient dans le centre-ville de Bangui. Ils sont en effet plus de 2 300 casques bleus à sécuriser la capitale.

 

Chaque jour, la force Sangaris conduit des patrouilles dans Bangui et en province, de jour comme de nuit, par tous les temps, afin d’appuyer la MINUSCA dans la sécurisation et le retour de l’autorité de l’État en Centrafrique.

 

Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

Sangaris : première patrouille pour le GTIA CenturionSangaris : première patrouille pour le GTIA Centurion
Sangaris : première patrouille pour le GTIA CenturionSangaris : première patrouille pour le GTIA CenturionSangaris : première patrouille pour le GTIA Centurion
Sangaris : première patrouille pour le GTIA CenturionSangaris : première patrouille pour le GTIA Centurion
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18 juin 2015 4 18 /06 /juin /2015 09:45
photo EMA / Armée de Terre

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18/06/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Dimanche 7 juin 2015, le GTIA Turco, commandé par le colonel Espitalier depuis début février 2015, a été relevé par le GTIA Centurion, commandé par le colonel Bouzerau.

 

Le détachement des hélicoptères Fennec a poursuivi ces derniers jours des missions d’appui, de reconnaissance et de renseignement au profit des troupes au sol. A cette occasion, il a passé le cap des 600 heures de vol cumulées depuis la mise en place des appareils sur le théâtre centrafricain, le 7 décembre 2013.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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17 juin 2015 3 17 /06 /juin /2015 11:45
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16/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 2 juin 2015, le groupement tactique interarmes (GTIA) Vercors a organisé un cross de solidarité sur le camp M’Poko à Bangui. Cette activité de cohésion avait pour but de récolter des dons parmi les militaires de l’opération Sangaris, au profit des associations Terre Fraternité et l’Entraide Montagne.

 

Le général Gillet, commandant de la Force, a donné le départ de la course à laquelle ont participé des femmes et des hommes de toutes les unités présentes et non retenues par les activités opérationnelles.

 

Au terme de cette démonstration de solidarité, les fonds récoltés ont permis de faire un don de 1 220 euros à Terre Fraternité et de 660 euros à l’Entraide Montagne. Par ce geste simple mais symbolique, les militaires de Sangaris ont exprimé leur soutien à leurs camarades blessés sur tous les théâtres d’opération où la France est – ou a été – engagée. « De la sueur et un don pour nos blessés », tel était l’esprit de cette course, afin de soutenir ceux qui ont beaucoup donné dans l’accomplissement de leur mission.

 

Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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16 juin 2015 2 16 /06 /juin /2015 11:45
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12/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 6 juin 2015, le commandant de la force Sangaris est allé, avec plusieurs autorités centrafricaines et françaises, à la rencontre des habitants de Boda, pour constater les progrès accomplis dans le processus de paix et de reconstruction.

 

Accompagné du ministre résident de la ville de Boda, de l'ambassadeur de France et du ministre conseiller à la présidence centrafricaine, le général Gillet a été accueilli par les autorités et les principaux acteurs locaux. Après avoir visité un camp de réfugiés, la délégation s'est entretenue avec le comité des sages, les représentants religieux, les chefs de villages, les délégués du commerce local, les artisans miniers et les ONG, sur les thèmes de la sécurité, de la réconciliation et du développement. L'objectif était d'évaluer les progrès réalisés et d'identifier les problèmes résiduels qui pourraient entraver l'accomplissement du processus de paix. « C'est la quatrième fois que je viens à Boda. Je constate à chaque fois l'évolution que connaît cette ville grâce à la détermination de la population à vouloir reprendre une vie normale. Il y a beaucoup à faire encore pour que le calme revienne. Nous allons engager tous les moyens possibles pour reconstruire la ville et aider la population. Il faut que "Boda la belle" redevienne "Boda la belle" » a déclaré monsieur Malinas, ambassadeur de France en Centrafrique, lors de ces entretiens.

 

Depuis que les éléments français de Sangaris ont quitté cette ville, il y a près de huit mois, une compagnie congolaise de la MINUSCA a pris le relais afin de sécuriser la région et aider les habitants à continuer à œuvrer pour la cohésion sociale, le développement et le retour de la paix.

 

Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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15 juin 2015 1 15 /06 /juin /2015 12:45
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12/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 25 mai au 8 juin 2015, dans le cadre de l’opération Sangaris, le détachement des hélicoptères Fennec (DETFENNEC) a réalisé des missions d'appui, de reconnaissance et de renseignement au profit des troupes au sol. À cette occasion, il a passé le cap des 600 heures de vol cumulées depuis la mise en place des appareils sur le théâtre centrafricain.

 

Rattachés au sous groupement de renseignement multicapteurs (SGRM), ces hélicoptères de combat de l'armée de l'Air sont engagés sur l’ensemble du théâtre pour effectuer des missions d’appui-renseignement et d’appui-feu au profit des troupes au sol, mais également des missions de reconnaissance et d'évacuation sanitaire. Pour la première fois, ces appareils multifonctionnels ont été déployés en autonomie sur le terrain avec les capteurs au sol. "Habituellement nous dépendons d'une base avancée pour effectuer nos missions. Cette fois nous avons testé le concept de la nomadisation, c'est-à-dire de bivouaquer avec la troupe au sol. Cela présente le double avantage de pouvoir rayonner sur une distance de 200 km autour de notre installation et de traiter directement les informations prises en vol", explique le commandant Cédric, chef du DETFENNEC.

 

photo EMA / Armée de Terre

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Présent en RCA depuis le 7 décembre 2013 et stationné sur le camp de M’Poko, ce détachement est constitué d’une vingtaine de personnels incluant les pilotes, les mécaniciens et les spécialistes chargés d'exploiter le renseignement. Il a atteint dernièrement le nombre de 600 heures de vol et plus de 1 000 comptes rendus d'informations prises sur le terrain. Grâce à sa rapidité, sa mobilité et la précision des informations qu’il récolte, le Fennec apporte une plus-value à l’action de la force Sangaris.

 

Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 16:45
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04/06/2015 Source : État-major des armées

 

La force Sangaris poursuit son désengagement progressif, qui devrait l’amener à un format de 900 militaires d’ici fin juin 2015.

 

Le dispositif français se resserre ainsi progressivement autour de la capitale, tout en conservant une posture de « force de réaction » mobile au profit des forces de l’ONU. Les emprises militaires française à Bria et N’Délé ont ainsi été transférée à la MINUSCA les 22 et 28 mai 2015. Pour ce qui est du dispositif français, trois hélicoptères Puma ont été désengagés du théâtre fin mai.

Les 800 militaires qui seront désengagés du théâtre dans les semaines à venir passeront par un sas de décompression en Crète. Cette nouvelle structure remplace celle de Dakar, qui avait accueilli les précédents mandats de retour de République centrafricaine.

En parallèle, la force Sangaris reste active en appui de la MINUSCA. Elle a ainsi appuyé le bataillon pakistanais de l’ONU dans le couloir central du pays, au Nord-Est de Dékoa, dans une zone de tensions liées à la transhumance. Dans le même temps, les militaires français ont appuyé un bataillon burundais de la MINUSCA dans des opérations de contrôle d’axe routier au Nord de Bangui, entre Damara et Sibut.

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

photo EMA / Armée de Terre

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 12:45
photo Armée de Terre

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04 juin 2015 Romandie.com (AFP)

 

Paris - La force française Sangaris, engagée en Centrafrique depuis décembre 2013, va passer de 1.700 à 900 hommes d'ici la fin du mois de juin, a annoncé jeudi l'armée française.

 

Le volume des forces dans le mois à venir passera de 1.700 à 900 militaires, a déclaré le porte-parole de l'armée, le colonel Gilles Jaron, soulignant que ce retrait s'inscrivait dans un processus de désengagement amorcé il y a plusieurs mois.

 

De plus en plus notre dispositif va se recentrer sur la capitale Bangui. A partir de Bangui nous serons capables de nous déployer extrêmement rapidement en appui des forces de l'Onu mobilisées dans le pays, a ajouté l'officier, précisant qu'un certain nombre de sites où étaient présents les soldats français allaient passer sous l'autorité de l'Onu.

 

L'opération Sangaris a été déclenchée en 2013, sous mandat de l'Onu, pour stabiliser la situation en Centrafrique alors en proie au chaos total, et tenter d'enrayer les tueries entre communautés chrétienne et musulmane.

 

Au plus fort de sa présence elle a compté 2.000 hommmes.

 

Une force onusienne de maintien de la paix de quelque 10.000 hommes est déployée dans le pays, censé organiser des élections avant la fin 2015.

 

La Centrafrique a plongé dans la tourmente après le renversement du président François Bozize par une rébellion à dominante musulmane, la Seleka, en mars 2013.

 

Cette rébellion a été évincée du pouvoir en janvier 2014 après l'intervention de l'armée française, consécutive à un cycle sanglant de violences et de représailles entre combattants de la Séléka et milices anti-balaka à dominante chrétienne.

 

Paris, qui au départ misait sur une intervention de six mois, n'a jamais fait mystère de sa volonté de se désengager, notamment pour renforcer son dispositif anti-terroriste Barkhane déployé dans cinq pays du Sahel.

 

L'opération Sangaris a été entachée par des accusations de viols sur des enfants qu'auraient commis des militaires français.

 

Une enquête est ouverte en France sur cette affaire où 14 soldats ont été mis en cause, dont trois identifiés, par les témoignages de six enfants dénonçant des faits commis entre fin 2013 et début juin 2014.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 07:55
Viols en Centrafrique : l’enquête déclassifiée

 

03/06/2015 par valeursactuelles.com

 

Centrafrique. Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a donné cet après-midi son feu vert pour déclassifier l’enquête interne sur les accusations de viols en Centrafrique sur des enfants, par des militaires français.

 

L’enquête déclassifiée

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a donné son feu vert à la déclassification de l’enquête interne de l’armée sur les accusations de viols d’enfants par des militaires français en Centrafrique. « Le ministre a répondu favorablement à la demande de la justice » après « un avis favorable » de la Commission consultative du secret de la défense nationale, a précisé l’entourage du ministre à l’AFP.

Une information judiciaire avait été ouverte par le parquet de Paris le 7 mai dernier, après des révélations publiées dans le quotidien britannique The Guardian. La gendarmerie prévôtale et la section de recherches de la gendarmerie de Paris se sont déplacés à Bangui en août 2014 pour mener une enquête. « Ils ont procédé à un certain nombre de vérifications » a indiqué le parquet.

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 10:45
photo EMA / Armée de Terre

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Crédit: Etat-major des armées / armée de Terre

 

18 mai 2015, dans le cadre de l'opération Sangaris, le détachement d'hélicoptères Gazelle, du sous-groupement aéromobile (SGAM) Barracuda, a effectué plusieurs reconnaissances d'axes au profit des GTIA Vercors et Turco qui menaient des missions de contrôle de zone avec la MINUSCA.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

 

Reportage photos

 

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29 mai 2015 5 29 /05 /mai /2015 11:45
photo EMA / Armée de Terre

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28/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Dans le cadre du Forum de Bangui, qui a eu lieu du 4 au 11 mai 2015, le sous-groupement tactique interarmes (SGTIA) réserve de théâtre, armé par le GTIA Vercors, s’est déployé au sud-est de la ville afin de maintenir une présence continue mais discrète dans cette zone.

 

En appui de la MINUSCA et des forces de sécurité centrafricaines, le SGTIA a patrouillé, de jour comme de nuit, dans les 6e et 7e arrondissements de Bangui. Pour cette opération de sécurisation, un poste de commandement provisoire (PCP) a été déployé à 15 km de la capitale, dans la commune de M'Boko. La compagnie véhicule blindé de combat d’infanterie (VBCI) du 1errégiment de tirailleurs, avait pour mission d'occuper le secteur sud-ouest, du quartier de la Fatima jusqu'à PK 9. Parallèlement, les éléments du 7e bataillon de chasseurs alpins occupaient le secteur sud-est, entre les rives du L'Oubangui et M'Boko.

 

Ces patrouilles avaient pour objectif de prendre contact avec la population et de veiller au bon déroulement du Forum de Bangui en dissuadant d’éventuels fauteurs de troubles. Le SGTIA s’est désengagé le 12 mai 2015 pour revenir au camp de M’Poko.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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29 mai 2015 5 29 /05 /mai /2015 11:45
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28/05/2015 Source: État-major des armées

 

La force Sangaris resserre progressivement ses troupes et matériels autour de Bangui pour densifier la « force de réaction » mobile au profit des forces de l’ONU. Les emprises militaires française à Bria et N’Délé ont ainsi été transférées à la MINUSCA les 22 et 28 mai. Cette semaine, trois hélicoptères Puma ont été désengagés du théâtre.

 

Lors des prochaines relèves, les militaires de Sangaris qui quitteront la RCA passeront par un sas de décompression en Crète. Cette nouvelle structure remplace celle de Dakar qui avait accueilli les précédents mandats de retour de République centrafricaine.

 

Parallèlement, la force Sangaris reste active en appui de la MINUSCA. Elle a ainsi appuyé le bataillon pakistanais de l’ONU dans le couloir central du pays, au Nord-Est de Dékoa, dans une zone de tensions liées à la transhumance. Dans le même temps, les militaires français ont appuyé un bataillon burundais de la MINUSCA dans des opérations de contrôle d’axe routier au Nord de Bangui, entre Damara et Sibut.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 16:45
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27/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 12 au 20 mai 2015, la MINUSCA et la force Sangaris ont mené une opération conjointe de contrôle de zone de grande amplitude entre Kaga Bandoro et Mbrès. Baptisée Dragon 2, elle visait à exercer une pression dissuasive sur les groupes armés qui peuvent encore sévir dans la région.

 

Pendant plusieurs jours, dans des conditions climatiques défavorables, les éléments de la MINUSCA et du groupement tactique interarmes (GTIA) Turco ont effectué plusieurs reconnaissances d’axes. L’escadron du 1er régiment de spahis du GTIA agissait en appui du détachement d’un bataillon pakistanais. Les patrouilles mixtes, à pied et en véhicules sur les pistes et dans les villages, ont contribué à rassurer la population.

 

Durant cette opération, le général Gillet, commandant la Force Sangaris, et le général Chaudry, commandant le secteur centre de la MINUSCA, se sont rendus sur la position de déploiement du poste de commandement tactique de Turco et ont assisté à une action conjointe.

 

L’opération Dragon 2 a permis au contingent pakistanais de la MINUSCA, stationné à Kaga Bandoro et Mbrès, d’affirmer son implication dans la sécurisation de sa zone de responsabilité.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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26 mai 2015 2 26 /05 /mai /2015 05:45
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22/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 19 mai 2015, dans le cadre de l’opération Sangaris, a eu lieu le transfert de la BOA (base opérationnelle avancée) de Bria par les militaires français au profit de la MINUSCA.

 

Une cérémonie en présence des autorités civiles et militaires a officialisé le désengagement de la force Sangaris de la BOA de Bria, dans le cadre de la poursuite du déploiement de la MINUSCA en province. Celui-ci a été rendu possible du fait de l’amélioration de la situation sécuritaire. En effet, le dispositif de la force Sangaris s’articule désormais autour du principe d’une force de réaction au profit de la MINUSCA, avec un GTIA (groupement tactique interarmes blindé) déployé dans Bangui, le couloir central et l’est du pays, et un second déployé selon les besoins, en appui des forces internationales.

 

Après quelques échanges de cadeaux pour marquer la parfaite collaboration entre les deux forces, le colonel-major Elfahmi, commandant le contingent marocain, a signé le procès-verbal de transfert.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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21 mai 2015 4 21 /05 /mai /2015 12:45
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21/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

La situation est restée calme dans l’ensemble du pays. La semaine a été principalement marquée par la clôture du forum de Bangui, le 11 mai 2015. La capitale a par ailleurs connu quelques agitations de faible ampleur les 11 et 12 mai 2015, entièrement résorbées par la MINUSCA qui a engagé sa force de police de réaction rapide (QRF). La force Sangaris n’a pas eu besoin d’intervenir en appui. Dans le même temps, quelques patrouilles conjointes avec la MINUSCA ont été conduites dans les régions de Kaga Bandoro, Damara et Sibut.

 

Le mardi 19 mai, la base opérationnelle de Bria été transférée à la MINUSCA.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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13 mai 2015 3 13 /05 /mai /2015 19:45
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13/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

La semaine a été marquée par la tenue du Forum de Bangui, du 4 au 11 mai 2015, qui constituait une étape essentielle dans le processus de réconciliation nationale. Les forces de sécurité internationales ont veillé à son bon déroulement, aux côtés de leurs homologues centrafricains. La force Sangaris constituait quant à elle une force de réaction mobile capable d’intervenir en appui, si nécessaire.

 

 

Après une semaine d’échanges sur les thèmes de gouvernance, de paix, de justice, et de « désarmement et démobilisation », le Forum de Bangui, rassemblant l’ensemble des acteurs de la reconstruction du pays, s’est déroulé sans incident sécuritaire. Une telle rencontre, qui aurait été inenvisageable en décembre 2014 au regard de la situation sécuritaire dans la capitale et dans le pays, constitue une démonstration complémentaire des avancées sécuritaires permises par l’action de la force Sangaris depuis décembre 2014.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 16:45
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10.05.2015 Crédit : État-major des armées / Armée de Terre

 

Cet événement mémoriel est l’occasion de faire le point sur l’engagement des armées françaises depuis le 8 mai 2014.

Les armées ont été fortement sollicitées depuis mai 2014. Environ 19 000 hommes sont déployés hors métropole dont plus de 7 000 engagés en OPEX. En opérations et à l’étranger, les militaires français participent à la résolution des crises, à la protection des populations civiles et de nos ressortissants, à la protection de nos intérêts.

 

Reportage photos

 

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 12:45
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06/05/2015 Sources EMA

 

Le 29 avril 2015, la force Sangaris à mené une opération de reconnaissance conjointe avec les forces pakistanaises de la MINUSCA sur l’axe Kaga Bandoro - Mbres, dans le « couloir central » de la Centrafrique.

 

Le but de l’opération, à laquelle un détachement du groupement tactique interarmes (GTIA) Turco participait en appui des troupes de la MINUSCA, consistait à montrer à la population que les forces de la MINUSCA présentes à Kaga Bandoro sont pleinement opérationnelles et impliquées dans leur mission de sécurisation de la région.

 

Au cours de cette mission de reconnaissance, les Pakistanais ont organisé deux réunions avec la population. La première a eu lieu à N’Denga, en présence du général Amin, commandant le secteur Centre de la MINUSCA, et du général Gillet commandant la force Sangaris. Cette rencontre avec les autorités du village a permis de recueillir leurs préoccupations et de les rassurer sur l’action des forces internationales. La deuxième réunion, qui a eu lieu dans le village de Doukouma, a répondu aux mêmes objectifs.

 

Le 28 avril 2015, la pleine capacité opérationnelle de la MINUSCA a été officiellement déclarée. Le dispositif de la force Sangaris s’articule désormais autour du principe d’une force de réaction au profit de la MINUSCA, avec un GTIA déployé dans Bangui, le « couloir central » et l’est du pays, et un second déployé selon les besoins, en appui des forces internationales.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 12:45
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06/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Les 27 et 28 avril 2015, dans le cadre de l’opération Sangaris, le Groupement Tactique Interarmes (GTIA) Vercors a mené des patrouilles et des missions de contrôle de zone sur la Main Supply Road n°1 (MSR1), l’axe entre Bangui et Bogola, en direction de Boali.

 

Sur une distance de 60 km depuis Bangui, la compagnie du 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA), appuyée par la compagnie de véhicules blindés de combat d’infanterie (VBCI) du 1er régiment de Tirailleurs, a conduit une opération de présence sur la MSR1 afin de contrôler toute cette zone en vue de déceler les réseaux de brigandage qui pourraient nuire à la sécurité de la population. Afin d’appliquer les lois centrafricaines lors de ces contrôles, un agent des forces de la sécurité intérieure (FSI) était intégré aux patrouilles.

 

Sur cet axe, les éléments du GTIA Vercors ont mené des patrouilles motorisées et à pieds, dans les différents villages traversés par cette route. Afin d’évaluer la situation sécuritaire, les soldats de la force Sangaris sont allés à la rencontre des chefs des villages, puis des directeurs d’écoles et des directeurs des centres de santé. « Grâce à votre présence et aux patrouilles menées sur la MSR, j’arrive à garder mon stock de médicaments en sécurité. Cela fait six mois que je n’ai pas été victime de vol », leur a indiqué Monsieur Lazar, chef du centre de santé du village de Bouboui.

 

Les forces de la MINUSCA assurent les mêmes opérations sur la partie supérieure de cet axe à partir de la ville de Boali. La MSR1 est un axe logistique principal reliant Bangui au Cameroun. La présence des forces de la communauté internationale permet de sécuriser les déplacements des convois logistiques et de favoriser la reprise des échanges commerciaux entre la Centrafrique et les pays voisins.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 11:45
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source EMA

29 avril 2015, à Bangui, en République Centrafricaine.


Chargement de PVP et de fret à bord d'un C17 de l'US AIR FORCE. Au total 23 tonnes ont été embarquées.

 

suite du reportage photos et ICI

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 11:45
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07/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Point de situation sur les opérations de la force Sangaris du 7 mai 2015

 

La République Centrafricaine est actuellement plongée dans le forum de Bangui, qui a débuté le 4 mai 2015. La sécurité de ce grand rendez-vous de politique intérieure est assurée par les forces de sécurité du pays, appuyées par la MINUSCA, pleinement opérationnelle depuis la semaine dernière.

De façon générale, Sangaris constitue désormais une force de réaction mobile et souple, en mesure d’appuyer la MINUSCA si nécessaire, et dont le dispositif s’allègera progressivement dans les semaines à venir, comme cela est planifié depuis plusieurs mois.

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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