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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 12:30
Israel Advances IMI Privatization Plan

Israel Military Industries produces about 40 percent of Israel's Merkava Mk4 main battle tank.

 

Sep. 16, 2013 - By BARBARA OPALL-ROME – Defense news

 

If Approved, Asking Price Assessed at US$600 Million

 

TEL AVIV — After decades of discussion, the Israeli government is advancing a plan that, if approved, could result in the privatization of Israel Military Industries (IMI), the nation’s oldest defense firm.

 

Under the plan approved Monday by IMI’s board of directors, the firm will retire some 950 employees, which is about a third of its workforce; leave prime real estate in the center of the country; and consolidate all but government-designated critical technologies into a new, streamlined firm tentatively called “New IMI” in southern Israel.

 

The prospective sale of IMI’s vast real-estate holdings is expected to net the government some 20 billion shekels (US $5.7 billion), a portion of which will be used to cover ongoing pension obligations that have mired the company in decades of debt.

 

If approved and implemented according to an agreement hammered out in painstaking negotiations with the IMI workers committee and the national labor union, New IMI should be smaller, more competitive and available to government-approved investors for approximately $600 million, company executives here say.

 

IMI announced on Monday that the privatization plan will be presented to Prime Minister Benjamin Netanyahu, Finance Minister Yair Lapid and Defense Minister Moshe Ya’alon in a meeting scheduled for Oct. 15.

 

“The expected government decision is an important milestone for the company’s recovery and will pave the path to implementation of a number of organizational and business moves” aimed at preparing the company for privatization, IMI Chairman Udi Adam said.

 

 

According to IMI, the company reached an agreement in principle with Israel’s Defense Ministry that identifies critical technologies and strategic infrastructure that will remain in government hands.

 

IMI declined to detail specific business units or technologies that will not be available to outside investors, but sources here said MoD is unlikely to relinquish heavy propulsion capabilities developed by the firm’s Givon Rocket Systems Division.

 

Imri Tov, a former Defense Ministry budget director who specializes in Israeli industrial base issues, said the agreement between IMI management and the labor unions marks a significant step in a decades-long push for privatization. Nevertheless, he recommended waiting for the outcome of next month’s ministerial meeting to realistically assess the prospects for privatization.

 

“Various schemes have made it up to the prime minister’s level in the past; and at one point in the early 1990s, [then-Prime Minister Yitzhak] Rabin actually approved a plan,” Tov said.

 

In a Monday interview, Tov said it could cost the government several billion shekels to absolve the company of previous debt, cover costs of the 950 employees slated for retirement, and create a safety net for another 1,050 employees who may be asked to leave by prospective new owners.

 

Similarly, he said the MoD would have to bear “not insignificant costs” for the firm’s transfer to southern Israel and for maintaining and operating former IMI units designated as critical technologies.

 

“We’re talking here about a mega project that will cost billions of shekels and could take years to implement,” Tov said. “At this point, it remains unclear exactly what will be put up for sale, what will remain in government hands, and what specific obligations will be passed on to prospective investors.”

 

According to IMI’s statement, the company has a backlog of some 5 billion shekels, and posted year-end 2012 sales of 1.9 billion shekels. Some 70 percent of IMI turnover is export sales.

 

The firm produces about 40 percent of Israel’s Merkava Mk4 main battle tank; has an extensive portfolio of precision rockets, mortars and artillery systems; and provides system engineering and upgrades for a broad spectrum of land warfare systems. Additionally, the firm specializes in a full range of armored solutions, including the new Iron Fist active protection system for ground vehicles.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 12:30
Le Secrétaire d'État américain John Kerry et son homologue russe, Sergeï Lavrov, accompagnés de leurs principaux collaborateurs, à Genève, le 14 septembre (Department of State)

Le Secrétaire d'État américain John Kerry et son homologue russe, Sergeï Lavrov, accompagnés de leurs principaux collaborateurs, à Genève, le 14 septembre (Department of State)

MOSCOU, 17 septembre - RIA Novosti

 

Paris, Londres et Washington coordonnent leurs positions sur la Syrie. Premier résultat : l’élaboration d’un projet de résolution commun pour le Conseil de sécurité des Nations unies, écrit mardi 17 septembre le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

 

Les mesures austères suggérées par la France pourraient entraîner une nouvelle impasse au Conseil de sécurité et remettre en cause le règlement pacifique du conflit syrien. Les Etats-Unis ont laissé entendre que le plan de désarmement d'Assad pourrait être appliqué pour forcer d'autres régimes à détruire leurs armes de destruction massive.

 

Le désarmement chimique de Damas, conformément au plan convenu à Genève la semaine dernière par les ministres des Affaires étrangères russe et américain, Sergueï Lavrov et John Kerry, était le thème central de la réunion d'hier entre les ministres des Affaires étrangères français, américain et britannique. Le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu était également invité par Kerry à cette réunion à Paris.

 

Ankara a salué le plan Lavrov-Kerry, tout en soulignant qu'Assad pourrait en profiter pour gagner du temps.

 

Malgré tout Paris, Washington et Londres ont préparé hier un projet de résolution qui fixerait la procédure de destruction des arsenaux chimiques syriens. La France et le Royaume-Uni ont reconnu l'aspect positif de l'accord Lavrov-Kerry mais aspirent à la destitution du président Bachar al-Assad et veulent continuer à faire pression sur le régime syrien.

 

"Il faut prévoir des sanctions en cas de non respect de l’accord par le régime syrien, a déclaré le président français François Hollande." Selon lui le projet de résolution pourrait être soumis au vote au Conseil de sécurité cette semaine et il estime qu'il pourrait être adopté.

 

Il est évident que les menaces évoquées dans le projet de résolution soulèveront des questions au Conseil de sécurité de l'Onu, notamment de la part de la Russie. "Les déclarations sur la nécessité d'une résolution sévère sont une déformation de la réalité. Une décision doit d'abord être prise par l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques", a rappelé hier Sergueï Lavrov.

 

Il semblerait que le jeu politique autour du projet de résolution risque de pousser le débat au Conseil de sécurité de l'Onu dans une nouvelle impasse, bien qu'il reste du temps pour travailler sur la rédaction du document. La France compte insister sur la version sévère de la résolution et les Américains vont tenter de l'assouplir.

 

"Au cours de la préparation de la réunion du Conseil de sécurité la Russie et la Chine donneront leur point de vue et tenteront de trouver un terrain d'entente sur les formulations, a déclaré l'académicien Alexeï Arbatov, chef du Centre de sécurité internationale à l'Institut de l'économie mondiale et des relations internationales (IMEMO). Les USA veulent éviter de tomber dans une nouvelle impasse : l'utilisation de la force militaire serait alors à nouveau évoquée, chose que les Etats-Unis cherchent à éviter. Personne ne souhaite une guerre en Syrie, à l'exception de l'opposition armée."

 

Le secrétaire d'Etat John Kerry cherche à s'assurer le soutien des Européens dans la mise en œuvre du plan convenu avec Lavrov. Il a également besoin de la Turquie et de l'Arabie saoudite, qui sponsorisent la partie radicale de l'opposition syrienne.

 

Enfin, il a besoin de l'approbation d'Israël. Il a expliqué dimanche dernier au premier ministre israélien Benjamin Netanyahou les différents points du plan de désarmement chimique et a déclaré que si le désarmement d'Assad était un succès, cette méthode pourrait être appliquée aux régimes nord-coréen et iranien.

 

Le président américain Barack Obama a confirmé la pertinence d'une telle approche en déclarant sur ABC News que les armes chimiques syriennes n'étaient pas pour lui un problème aussi important que le dossier nucléaire iranien. Il a précisé que le plan de désarmement de la Syrie ne signifiait pas qu'il n'entreprendrait pas de mesures militaires à l'égard du régime iranien.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 12:30
Syrie/attaque chimique: des munitions soviétiques utilisées pour faire diversion (expert)

MOSCOU, 17 septembre - RIA Novosti

 

L'opposition syrienne aurait pu utiliser des éléments de munitions soviétiques pour organiser l'attaque chimique du 21 août près de Damas afin de lancer l'enquête sur une fausse piste, estime le directeur du Centre d'analyse du commerce mondial d'armes, Igor Korotchenko.

 

Lundi 16 septembre, les enquêteurs des Nations unies ont dévoilé leur rapport concernant les cas d'emploi d'armes chimiques en Syrie. Selon le document présenté à l'Onu, le moteur d'un missile utilisé dans l'une de ces attaques portait des inscriptions en cyrillique (alphabet russe).

 

"Si l'on se base sur la version selon laquelle cette provocation a été planifiée pour justifier une éventuelle frappe américaine sur la Syrie (…), l'utilisation de munitions de fabrication soviétique ou russe fait le jeu de l'Occident. L'objectif est évident: désorienter l'enquête en accusant les forces gouvernementales d'avoir utilisé des armes chimiques et lier la Russie à cette attaque", a indiqué M. Korotchenko dans une interview à RIA Novosti.

 

Selon l'expert, les armes fabriquées en Union soviétique sont extrêmement répandues dans le monde entier, et "il est difficile" de dire aujourd'hui à qui et quand ont été livrées de telles munitions, et qui les a chargées de substances toxiques.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 12:30
Syria Rebels source globservateur.blogs.ouest-france.fr

Syria Rebels source globservateur.blogs.ouest-france.fr

16 septembre 2013 Par Anne Bernas - RFI

 

Une opposition loin d'être unifiée.

 

L’Armée syrienne libre (ASL) est créée dès le début de la révolution, en juillet 2011. Rapidement, elle fusionne avec le Mouvement des officiers libres. Elle engloberait entre 40 000 et 80 000 hommes. Son chef est le commandant Selim Idriss. L’ASL reçoit des financements et de l’armement de l’extérieur, dont l’Arabie Saoudite, le Qatar, la Turquie et certains pays occidentaux dont la France.

    L’ASL est extrêmement divisée, moins pour des raisons idéologiques que pour la nature de sa structuration. Elle n’a pas été créée par l’opposition politique, par le sommet, mais à partir de bases locales (brigades de quartiers, de villages etc).

    Elle a une composante islamiste : le Front de Libération Islamique de la Syrie (FLIS) composé lui-même de brigades dont la base est salafiste et non jihadiste (Liwâ’ al-Islâm, Liwâ’ at-Tawhîd ou les Faucons du Sham) mais dont les cadres sont en revanche plus proches des Frères Musulmans, d’où le soutien saoudien.

    Les unités les plus radicales de l’ASL sont souvent accusées par la population syrienne de pillages.

 

Les groupes jihadistes : Jabhat al-nosra, et l’Etat islamique d’Irak du Levant (EIIL) (total des 2 groupes, 10 à 15 % des hommes sur le terrain).

 

    Ces deux structures sont plus ou moins alliées face à l’ASL mais demeurent autonomes dans leur fonctionnement. Elles rejettent les principes de la démocratie ainsi que toute relation avec Ryad comme avec l’Occident. Jabhat al-nosra (entre 5 000 et 8 000 hommes) est crée fin 2011. Il dispose d’une base humanitaire pour venir en aide à leurs blessés. Le front est inscrit sur la liste des organisations terroristes liées à al-Qaïda. Ces deux groupes sont donc des ennemis de l’Arabie Saoudite, en lutte depuis une décennie avec le courant jihadiste. Certains combattants de ces deux mouvements ont mené des luttes au nom de l’islam en Bosnie, en Tchétchénie, en Irak, en Libye ou en Afghanistan et ont une expérience poussée des guérillas et sont les mieux équipés grâce à l’armement fourni par les pays du Golfe.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 12:30
Syrie/attaque chimique: l'usage de gaz sarin attesté par les experts de l'Onu

NEW YORK (Nations unies), 16 septembre - RIA Novosti

 

Les experts des Nations unies qui ont enquêté en Syrie ont trouvé des "preuves flagrantes et convaincantes" de l'utilisation de gaz sarin le 21 août dernier près de Damas, est-il indiqué dans leur rapport dont le texte a été distribué lundi au siège de l'Onu.

 

"Sur la base des preuves recueillies lors de notre enquête de l'incident dans le quartier de Gouta, la conclusion est que le 21 août, des armes chimiques y ont été utilisées à relativement grande échelle au cours du conflit syrien contre des civils, dont des enfants", lit-on dans le document.

 

Le texte précise que l'attaque du 21 août, qui a fait plus de 1400 morts selon Washington, a été perpétrée à l'aide de "roquettes sol-sol contenant du gaz sarin".

 

Quoi qu'il en soit, le rapport ne désigne pas directement les responsables de cette utilisation, le mandat des enquêteurs ne prévoyant pas qu'ils puissent se prononcer sur ce point.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 12:30
L'arsenal chimique détenu par Damas 15309.2013 Service Infographie du Figaro

L'arsenal chimique détenu par Damas 15309.2013 Service Infographie du Figaro

WASHINGTON, 17 septembre - RIA Novosti

 

Le rapport des enquêteurs de l'Onu confirme que l'attaque à l'arme chimique perpétrée le 21 août dans la banlieue de Damas a été menée par les forces gouvernementales syriennes, a estimé lundi soir Susan Rice, conseillère à la sécurité nationale du président américain Barack Obama dans un communiqué.

 

"Bien que la mission consistant à établir les responsables ne fût pas du ressort des enquêteurs, les preuves techniques fournies, dont la haute qualité du sarin et un certain type de missiles, confirment nos estimations selon lesquelles l'attaque a été perpétrée par le régime syrien, car seules les autorités syriennes disposent de tels moyens", a affirmé Mme Rice.

 

Selon elle, les négociations entre la Russie et les Etats-Unis de la semaine dernière ont permis de créer une base afin de détruire les armes chimiques syriennes.

 

"Nous allons continuer  à travailler avec la Russie, la Grande-Bretagne, la France, l'Onu, l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques et d'autres. Et si les démarches diplomatiques n'aboutissent pas, les Etats-Unis restent prêts à agir", a ajouté la conseillère.

 

Le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon a déclaré quand à l'issue d'une réunion du Conseil de sécurité sur la Syrie que le rapport des enquêteurs ne permettait pas de déterminer les responsables de l'attaque à l'arme chimique et qu'une nouvelle enquête était nécessaire pour établir les coupables.

 

Selon les inspecteurs chargés d'enquêter sur le recours à l'arme chimique, les ogives retrouvées près de Damas pourraient avoir été fabriquées tant de façon industrielle qu'artisanale.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 12:25
Eurocopter Technology Transfer Sees Brazilian-made Countermeasure System Integrated on Military Aircraft

Sep 17, 2013 ASDNews Source : EADS

 

Helibras has successfully completed flight testing of a chaff and flare countermeasures dispensing system for EC725 helicopters, completing a first-of-its-kind system integration project in Brazil and marking another key phase in Eurocopter’s contract to supply 50 of these Super Puma/Cougar family rotorcraft to the Brazilian armed forces.

 

Six flights were performed with the self-protection system – which is used to detect and identify threats to the aircraft and confuse heat-seeking and radar-guided missiles – validating its operation and integration with the helicopter’s other functions. The system was developed by Helibras’ Engineering Center under the supervision of Chief Engineer Walter Filho.

 

Performed by a Brazilian Helibras crew of flight test pilot Patrik Correa and flight test engineer Dreyfus Silva, the airborne evaluations checked the dispensing of flares and chaff throughout the EC725’s entire flight envelope – using one of the helicopters produced for the Brazilian armed forces.

 

These flights occurred at Santa Cruz Air Base near Rio de Janeiro and were made possible through the cooperation of Helibras with the Brazilian Air Force, and coordinated through Brazil’s national Aerospace Technology and Science Department. The Brazilian Navy provided one of its Eurocopter Super Puma AS332 L1 helicopters to accompany the EC725 in flight, ensuring the tests were carried out safely.

 

The self-protection system’s in-country development is part of Eurocopter’s ambitious technology transfer program, enabling Brazilian defense organizations and companies to enhance their technical capabilities while opening significant growth opportunities for the nation’s industry. The program currently comprises several industrial cooperation projects and offset activities.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 12:20
US Carrier Contract Award Delayed

A composite photo illustration representing the Ford-class aircraft carrier, USS John F. Kennedy (CVN 79). (Navy)

 

Sep. 13, 2013 - By CHRISTOPHER P. CAVAS – Defense News

 

WASHINGTON — Negotiations continue between the US Navy and shipbuilders Huntington Ingalls Industries (HII) over the primary construction contract for the next aircraft carrier, even as the goal of a September contract award will pass with no action.

 

Sources said neither side sees a serious impediment to eventual agreement, and each agreed a Navy decision to continue support for preparation work will give negotiators more time to reach an accord.

 

“This decision was not impacted or driven by sequestration,” said Cmdr. Thurraya Kent, a Navy spokeswoman at the Pentagon. The delay “is to avoid any production break, continue negotiations, and keep the ship’s delivery date unchanged.”

 

The ship is the future John F. Kennedy (CVN 79), second ship in the new Gerald R. Ford-class of carriers. Like all previous nuclear carriers, the ship will be built at HII’s Newport News Shipbuilding yard in Virginia. Kennedy is scheduled to be delivered in September 2022.

 

The Navy estimates the carrier will cost $11.3 billion to build.

 

While the detailed design and construction contract had been scheduled to be awarded this month, the shipbuilder has received at least a dozen significant contracts or contract modifications for the ship since January 2009. The most recent contract announcement was made on May 6, when the company received a $60.8 million modification to buy long-lead items and continue preparation work. That work is expected to be completed by October 2015.

 

Delays in awarding significant ship construction contracts are not unknown. The final contract award for the DDG 1001 destroyer, for example, was delayed in 2011 while the Navy and General Dynamics continued negotiations, but also worked together to ensure progress continued on the ship, being built at Bath Iron Works in Bath, Maine.

 

Several sources felt it would not be unusual for CVN 79 contract negotiations to continue into the spring.

 

The carrier program came under intense criticism this month from the Government Accountability Office (GAO), which issued a highly critical report on Sept. 5.

 

Ironically, the government rejected a GAO recommendation to delay award of the detail, design and construction contract.

 

“Remaining technical and design risks with the lead ship could interfere with the Navy’s ability to achieve its desired cost savings for CVN 79,” the GAO said in the report. “These uncertainties also affect the soundness of the Navy’s current CVN 79 cost estimate, which is optimistic. These factors, when coupled with the existing sole source environment for aircraft carrier construction, may compromise the government’s negotiating position for CVN 79.”

 

Michele Mackin, who led the GAO carrier study effort, noted the delay is “interesting for us because we just recommended that they delay the award and they disagreed. And now, two weeks later, they delay it.”

 

A delay in the contract, Mackin said, would help in the understanding of the impact of several key systems still under development.

 

“There are still pretty significant unknowns with the electromagnetic aircraft launch system and the advanced arresting gear and other developmental technologies,” she said. “We think the government would be in a better negotiating position, with better insight and more knowledge about the test results of the developmental systems.

 

“This is a sole-source contract, and the government is not necessarily in the best position,” she added, “so the more they know about the costs of the lead ship the more information they’ll have to negotiate the second ship.

 

“The current contract they have expires in October 2015, so there’s time.”

 

Here is the Navy’s full statement on the contract delay:

 

“The Navy continues to negotiate with Huntington Ingalls Industries - Newport News Shipbuilding (HII-NNS) for award of the Detail Design and Construction (DD&C) contract of JOHN F. KENNEDY CVN 79. Until these negotiations conclude, the Navy intends to extend the current Construction Preparation Contract to authorize planning, material procurement, and discrete work that are aligned with the ship’s optimal build plan. Extension of the Construction Preparation contract avoids a costly production break.

 

“Negotiations on the DD&C contract will allow HII and the Navy to account for construction process improvements and other cost reduction opportunities which were outlined in the Navy’s May 2013 Report to Congress on CVN 79. Extension of the Construction Preparation contract will not impact the ship’s funding profile, ship’s delivery date, or the cost cap. ENTERPRISE (CVN 80) [the third unit in the CVN 78 class] is not affected by this decision.

 

“JOHN F. KENNEDY began Advanced Construction in December 2010 and was named by [Navy] Secretary [Ray] Mabus in May 2011. The ship will be the second aircraft carrier of the GERALD R. FORD class and is scheduled to deliver in Fiscal Year 2022. CVN 79 is the numerical replacement for USS NIMITZ (CVN 68) in the Navy’s force structure.”

 

Huntington Ingalls issued this statement:

 

“This action demonstrates the importance of continuing early unit construction and procurement of material for CVN 79 to the current plan of record while we jointly work to get a Detailed Design and Construction (DD&C) contract in place.

 

“This extension will help ensure that the fragile supplier base and our shipbuilders remain working, minimizing delay to ship delivery and associated cost increases.

 

“This extension also provides time for the Navy and industry team to implement lessons learned from CVN 78 construction, implement further construction process improvements, identify any government requirement reductions, and increase the maturity of government technologies in order to stay within a challenging budget.”

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 12:20
10,5 millards $ à risque sans le contrat des F-35

13/09/2013 Par Ross Marowits La Presse Canadienne

 

MONTRÉAL – Un directeur senior du géant de la défense Lockheed Martin soutient que l’industrie aéronautique canadienne pourrait perdre environ 10,5 milliards $ en contrats étalés sur plusieurs décennies si le gouvernement fédéral choisit de ne pas aller de l’avant avec sa commande controversée de 65 avions de chasse F-35.

 

Le vice-président exécutif de Lockheed Martin, Orlando Carvalho, affirme que la compagnie respectera des contrats d’une valeur totale de 500 millions $ déjà accordés à des partenaires canadiens, mais que d’autres contrats seront à risque sans la commande du gouvernement canadien.

 

«Si le gouvernement canadien décidait de ne pas choisir les F-35, nous respecterions certainement les engagements que nous avons pris avec l’industrie canadienne, mais notre approche, à l’avenir, serait d’essayer de faire des affaires avec les industries des pays qui nous achètent des avions», a-t-il affirmé lors d’un entretien suivant l’ouverture officielle des nouvelles installations d’inspection des moteurs à Montréal.

 

La compagnie Lockheed Martin estime que l’industrie canadienne pourrait potentiellement recevoir 11 milliards $ de contrats sur 25 à 40 ans, période pendant laquelle elle pourrait construire 3000 avions pour les armées de partout dans le monde.

 

Près de 72 entreprises canadiennes ont obtenu du travail à travers le projet des F-35. Industrie Canada a calculé que la valeur potentielle pourrait être de 9,8 milliards $ US, incluant les montants des contrats déjà accordés.

 

Ottawa évalue les solutions de rechange potentielles à son plan initial, qui était d’acheter 65 appareils F-35. L’an dernier, un rapport de la firme de services-conseil KPMG avertissait que la facture totale, incluant service et entretien, pourrait s’élever à 45,8 milliards $ sur 42 ans.

 

M. Carvalho affirme que Lockheed continue de réduire le coût de ses F-35. Les avions coûteraient au Canada autour de 75 millions $, au coût d’aujourd’hui, ou environ 85 millions $ avec inflation lors de leur éventuelle livraison en 2018.

 

«À mesure que les lignes de production et les connaissances gagnent en efficacité, que nous construisons de plus en plus d’avion et que la production augmente, le coût des avions ne peut que baisser», a affirmé M. Carvalho.

 

Il a ajouté que les particularités de l’avion, dont la technologie furtive et les capacités de surveillance, en font le choix idéal pour le Canada.

 

De son côté, le directeur de Boeing, le concurrent de Lockheed Martin, s’est dit la semaine dernière confiant que ses appareils F-18 Super Hornet puissent combler les besoins militaires canadiens à moindre coût.

 

Selon James McNerney, ce n’est qu’une question de temps avant que le gouvernement canadien retourne en appel d’offres.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 12:20
Surface Warfare Mission Package Concept. Government Accountability Office Graphic

Surface Warfare Mission Package Concept. Government Accountability Office Graphic

BETHPAGE, N.Y. – Sept. 16, 2013 – Northrop Grumman Corporation

 

Northrop Grumman Corporation (NYSE:NOC) has received a $25.2 million contract from the U.S. Navy for additional Littoral Combat Ship (LCS) Mission Modules. The company will deliver three mission module packages - two for surface warfare missions and one for mine countermeasures.

 

"Northrop Grumman continues to demonstrate that, as the mission package integrator, we are delivering high quality, fully integrated mission modules," said Doug Shaffer, director of information operations and electronic attack, Northrop Grumman Aerospace Systems. "With this procurement, we will work with our customer to capture synergies across the mission module production base, enhance production and supplier base stability, and reduce cost to the Navy."

 

The littoral combat ship has three primary missions – mine warfare, antisubmarine warfare and surface warfare. Each of the mission packages involves the integration of manned and unmanned systems operating across the air, surface and subsurface domains.

 

"I continue to be impressed with the Northrop Grumman-led teams' performance as they deliver high quality mission modules on cost and schedule," said Capt. John Ailes, Navy littoral combat ship mission module program manager.

 

Each mission package comprises a specific set of subsystems such as data processing equipment, vehicles and sensors, and others. The capabilities contained in each mission package focus on mine countermeasures, littoral antisubmarine warfare or littoral surface warfare operations. The mission modules being delivered under this contract facilitate efficient modular mission package embarkation, mission package operations and debarkation that is central to the LCS modular Mission Package concept.

 

To date, Northrop Grumman has delivered two surface warfare mission modules and one mine countermeasures mission module for LCS. The second and third Northrop Grumman-produced mine countermeasures mission module and the third surface warfare mission modules are currently in production. Northrop Grumman performs the final integration work at the Mission Package Support Facility located at Naval Base Ventura County, Port Hueneme, Calif.

 

Northrop Grumman is a leading global security company providing innovative systems, products and solutions in unmanned systems, cyber, C4ISR, and logistics and modernization to government and commercial customers worldwide. Please visit www.northropgrumman.com for more information.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 12:20
Textron unveils light attack Scorpion

Company officials unveiled the design for the Scorpion, in works since January 2012, during the annual Air Force Association Air & Space Conference in National Harbor, Md. (Textron AirLand)

 

Sep. 16, 2013 - By AARON MEHTA – Defense News

 

NATIONAL HARBOR, MD. — Textron and AirLand today unveiled the Scorpion, a clean-sheet light attack platform that the companies are confident can make inroads in both the international and domestic markets.

 

The plane is in the “final stages” of integration tests, with a flight expected before the end of the year, Scott Donnelly, chairman and CEO of Textron, told reporters today. He said the aircraft has already run successful tests of the ejector seat and engines.

 

Company officials unveiled the design, in works since January 2012 at a Wichita, Kan., facility, during the annual Air Force Association Air & Space Conference in National Harbor, Md.

 

The Scorpion comes with twin turbofan engines and a tandem cockpit, although the jet is designed to be flown by a single pilot. There are six hard points on the plane that could hold a variety of equipment, from extra fuel to Hellfire missiles.

 

Potential competitors to the Scorpion, such as the Embraer Super Tucano and Beechcraft AT-6, are turboprop designs notable for their low-cost design. Donnelly, however, expressed confidence that his design would be priced similarly to a turboprop, while providing greater capabilities.

 

Donnelly expects a per-hour operating cost of around $3,000, significantly less than highly capable aircraft such as the F-16 or F-35.

 

The backing officials see the ISR capabilities as what really sets the plane apart. The Scorpion can carry 3,000 pounds of ISR equipment, with a modular design to allow customers to select what equipment should be on the plane. It boasts five hours of long-loiter time as well.

 

While the company has had conversations with potential customers, it was not willing to identify any specific areas of growth. However, both the Middle East and the Pacific have proven fertile grounds for light attack craft in the past.

 

Given budget cuts around the world, it seems potentially dangerous for a company to create a new plane without a requirement. But Donnelly insists that gives his group an entrance into the worldwide market.

 

“Our view has always been that we know the US and partner nations are all going to have budgetary challenges, but that doesn’t mean there isn’t a mission requirement,” he said. “We’re offering a solution to people who have budgetary challenge and still have mission requirements. This is not a competitor to an F-35. The vast majority of missions don’t need that.”

 

Domestically, the Scorpion team is also keeping an eye on the Air Force’s T-X trainer replacement program. Donnelly indicated that by swapping the two engines with a single engine and changing the wings on the plane, the fighter would match up ideally with the expected requirements for the T-X program, potentially worth billions of dollars.

 

That kind of design flexibility will be key for making market headway, said former Air Force Secretary Whit Peters, who consulted for AirLand on the design of the plane.

 

“For the international market, its’ critical,” Peters said of the flexibility of the plane. Because its can be hard to know what technologies will and will not be exportable, it is important to be able to make a baseline airplane that can be exportable and then modified for customers, Peters said.

 

He indicated that worldwide fleets of A-37s, as well as the US Air Force’s fleets of A-10s and F-15Cs, could be platforms replaced by the Scorpion. Both those Air Force platforms are potentially on the cutting block due to sequestration.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 12:20
Rolls-Royce Boosts Power for V-22 Engines

Rolls-Royce says it has increased the power of the engine it supplies for US V-22 Osprey tilt-rotor aircraft by 17 percent. (photo USMC)

 

Sep. 16, 2013 - By AARON MEHTA – Defense News

 

WASHINGTON — Engine manufacturer Rolls-Royce has increased the power output of its V-22 Osprey engine by 17 percent, a significant jump that should boost the reliability of the tilt-rotor aircraft in high-altitude, high-heat conditions, according to a company official.

 

“We’ve been upgrading the [AE family] of engines to provide more thrust as more challenging requirements came up in the commercial market, so we knew there was more power available” said Tom Hartmann, the company’s senior vice president of defense. “Now that we’re through the hurdles of wrestling and working the time-on-wing improvements, we recognize there is additional capability we haven’t taken advantage of that could provide high power to the Pentagon for their particular missions.”

 

The engine improvements came from three relatively small changes. First, the company added a new turbine to the engine, known as the Block 3 turbine. That design is based on a commercial product Rolls-Royce has used.

 

Some of those turbines are already in the field; the company has been installing them into all new-production models since July 2012, and began upgrading older turbines during regular maintenance two months later.

 

The other modifications included an increase in the flow capacity of the fuel valve and a software update, which allow the engines to deliver the higher power when needed.

 

Each V-22 Osprey is powered by a pair of Rolls-Royce AE 1107C engines. The US Air Force’s fleet of CV-22s are used for special operations missions. The US Marine Corps’ MV-22 has two variants, the B and C models, which are used in the transportation of troops and equipment.

 

Most of the time, the V-22 won’t need the extra power. It’s really designed for use at higher altitudes — the 6,000-8,000-foot range — where the V-22 has struggled.

 

“Without flight tests, it’s hard to say the real-world impact” of the improvements, Hartmann said. But Rolls aims to give US military operators full engine capability at 6,000 feet with an air temperature of 95 degrees, a challenge that he said Air Force officials asked the company to look at.

 

“Right now, they are limited on what load they can carry at 6,000 feet and 95 degrees.” Hartmann said. “The plan is to provide that full capability in the near term, and then, in a future upgrade, give enhanced capability at 8,000 feet and 95 degrees.”

 

The company will begin tests of its upgraded engine in the fall, beginning the Federal Aviation Administration review process. Hartmann expects kits for the improved engines to arrive late 2014.

 

Rolls also is keeping an eye on a more comprehensive Block 4 upgrade, which should increase power by 26 percent over the current baseline, allowing the engines to hit close to 10,000 horsepower. It also could improve fuel consumption, which the company expects to be key as the Pentagon focuses more on the Asia-Pacific region.

 

“You have the ‘tyranny of distance’ in the Pacific, so better fuel consumption is obviously a benefit in that region,” Hartmann said.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 12:20
USAF Weighs Scrapping KC-10, A-10 Fleets

Sources say the US Air Force is considering eliminating its entire fleet of KC-10 tankers in order to save money. (US Air Force)

 

Sep. 15, 2013 - By MARCUS WEISGERBER and AARON MEHTA  - Defense News

 

WASHINGTON — Faced with steep budget cuts and the desire to keep existing procurement initiatives on track, the US Air Force is considering scrapping its entire fleet of KC-10 tankers and A-10 attack jets, according to multiple military and defense sources.

 

Also on the chopping block are F-15C fighter jets and a planned $6.8 billion purchase of new combat search-and-rescue helicopters, these sources say.

 

While these proposals are far from final, the options show the magnitude of the decisions facing Air Force leadership as the service wrestles with the prospect of cutting billions of dollars in planned spending over the next decade.

 

“You only gain major savings if you cut an entire fleet,” Gen. Mark Welsh, Air Force chief of staff, told sister publication Air Force Times last week. “You can cut aircraft from a fleet, but you save a lot more money if you cut all the infrastructure that supports the fleet.”

 

When directly asked about phasing out the A-10 fleet, Welsh declined to comment on specific aircraft.

 

“We are looking at every platform we have, every one of those five core missions and trying to decide where must we recapitalize versus where can we modernize,” Welsh said.

 

The Air Force’s 2015 spending plan is due to the Office of the Secretary of Defense (OSD) by Sept. 23.

 

Each US military service is developing two budgets for 2015 — one that includes sequestration spending cuts and another that builds on the Pentagon’s 2014 budget proposal, which is $52 billion above the sequestration cap.

 

OSD must approve the services’ budget proposals during a series of back-and-forth deliberations in the coming months before a final spending plan is sent to lawmakers in February.

 

In an emailed statement, Air Force spokeswoman Ann Stefanek said no decisions have been finalized.

 

“As the Air Force plans for a future with sequestration, we are looking at all options to accomplish our mission within available resources,” Stefanek said. “At this time, all options being considered are pre-decisional.”

 

Deep Cuts

 

The four-month-long Strategic Choices and Management Review — a DoD effort that looked at ways the Pentagon might have to modify its military strategy due to budget cuts — found the Air Force could cut up to five tactical aircraft squadrons, DoD announced in July.

 

The proposed aircraft cuts, particularly the 340-aircraft A-10 fleet, are sure to face scrutiny in Congress. About half of the A-10 fleet resides in the Air National Guard. An Air Force proposal to cut five A-10 squadrons last year faced stiff opposition in Congress and from state governors.

 

The Air Force Reserve also operates A-10s, which were heavily used to provide support to ground troops in Afghanistan and Iraq. A-10s also are based in South Korea.

 

Sources say the Army is interested in obtaining A-10s should the Air Force decide to retire the twin-engine jets, which have been flying since the 1970s.

 

The Air Force operates 59 KC-10s, according to a service fact sheet. The tri-jet, which is based on the commercial McDonnell Douglas DC-10 jetliner, is the workhorse of the Air Force aerial refueling fleet.

 

The tankers — equipped with both boom and hose-and-drogue refueling systems — can refuel Air Force, Navy and international military aircraft on a single sortie.

 

Also on the table is an unspecified number of cuts to the Boeing F-15C Eagle fleet. The Air Force has about 250 of the fighter jets, which, along with the F-22 Raptor, make up the service’s air-to-air fighter arsenal.

 

Pentagon leaders for several years have said they would like to get rid of single-mission platforms.

 

An Air Force plan to cut the A-10 doesn’t come as a surprise, said Richard Aboulafia, an analyst with the Virginia-based Teal Group. He said the active service has been trying to kill off the platform for years. But while congressional pressure has saved the planes in the past, budget realities may make cuts realistic for the first time.

 

“These are strange and dangerous times budgetarily, which means the Air Force might finally get their way,” Aboulafia said. He pointed out that the A-10 is not particularly useful for either counterinsurgency actions or for the so-called pivot to Asia, leaving the platform strategically on the outside looking in.

 

“If there were any plans to fight a land war, this would not be good news. But everything about the budget implies they have stepped away from land wars,” he said. “It’s a good way for the Air Force to save cash and declare victory in a turf war.”

 

Conversely, Aboulafia calls the potential KC-10 cuts “a baffler,” citing the relatively young age of the aircraft and its importance for movement across the Pacific. He speculated that including the KC-10 may be the Air Force attempting to drive home the impact of sequestration and budget cuts, as the program still provides a number of jobs that members of Congress would want to protect.

 

Retiring the F-15C would save maintenance and upgrade costs, Rebecca Grant, president of IRIS Research and a former USAF official, said. The service could then use those funds to speed procurement of the F-35 Joint Strike Fighter.

 

“It’s a gutsy move assuming a lot of risk, but there’s risk to all these scenarios,” Grant said. “It may be there is less risk retiring the F-15C right now than there is in getting the fleet we need some years down the road.”

 

Air Force leaders are still locked in a passionate debate over whether to move aircraft and personnel into the Guard and reserve. Advocates for this move say the savings achieved could allow the Air Force to keep aircraft in the inventory.

 

New Rescue Helos Still in Limbo

 

While the Air Force sequestration budget proposal cancels the Combat Rescue Helicopter (CRH) program, a separate 2015 budget proposal — the one that builds on the Pentagon’s 2014 budget plan — funds the effort, sources said.

 

Sikorsky is the only company to publicly announce a bid in the CRH program. A contract award was expected this month, but has been pushed to the first quarter of fiscal 2014, which begins Oct. 1.

 

If CRH is canceled, the service could coast with its inventory of HH-60 Pave Hawks, perhaps with limited procurement to replace losses. Grant, however, cautions that could be a mistake.

 

“The Air Force needs [CRH], but it wouldn’t surprise me to see it flip,” Grant said. “We’ve taken risk in the helicopter fleet for close to a decade now, and it’s time to take the risk somewhere else. They need to get that one done.”

 

While many factors can change over the next five months of budget deliberations, the decision to abandon the service’s one-time No. 2 acquisition program shows the desire of Air Force leaders to protect procurement programs already in production or of higher priority, sources said.

 

The Air Force brass wants to continue funding Boeing KC-46A refueling tankers, Lockheed Martin F-35 joint strike fighters and development of a new long-range bomber.

 

Pentagon officials do not want to break the fixed-price tanker contract that requires Boeing to pay for development or production hiccups. The bomber is a key component in the Pentagon’s long-term, Pacific-focused strategy, and the F-35 is the only fifth-generation US combat fighter aircraft in production.

 

In the end, Congress will have the final say. Lawmakers were less than thrilled with the Air Force’s 2014 budget proposal, reversing several big-ticket items.

 

Jeff Schogol contributed to this report.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 12:20
Northrop Unveils F-35 Missile Protection System

ThNDR and Lightning: Northrop's ThNDR system is designed to protect the F-35 Joint Strike Fighter from enemy missiles. (Northrop)

 

Sep. 16, 2013 - By AARON MEHTA – Defense News

 

WASHINGTON — Northrop Grumman on Thursday unveiled a new anti-missile laser protection system designed for the F-35 Joint Strike Fighter in Washington.

 

The Threat Nullification Defensive Resource — ThNDR for short, to compliment the F-35’s “Lightning” designation — is a progression from Northrop’s directional infrared countermeasures (DIRCM) family of systems.

 

DIRCM works by sensing by intercepting an incoming missile with a laser that confuses the seeker head on the weapon, causing it to lose track of the aircraft. The system has been highly successful, with installation on over 50 different platforms, but had yet to be mounted on a fighter jet in large part due to the challenge of getting a system to work with the tight turns and high speeds that pilots would be required to make in a combat situation.

 

Although not yet part of the F-35 program, Northrop is confident the Pentagon wants to incorporate some form of missile-protection into its fifth-generation fighter.

 

“We know that requirement does exist and it is on its way,” said Jeffrey Palombo, Northrop’s sector vice president and general manager for the Land and Self-Protection Systems Division. In an attempt to get ahead of potential competition, the company self-funded the research and design of ThNDR.

 

ThNDR was designed to meet specific size limitations for the F-35. It will be nestled next to the distributed aperture system (DAS), also designed by Northrop, and tap into the cooling system already in the fighter. Each jet will get a pair of systems, one on the top of the plane and one on the bottom, to create 360-degree coverage against threats.

 

A major feature of the F-35 is its low-observable design, vital to its stealth capabilities. Anything sticking off the plane could threaten those stealth characteristics, so ThNDR will be installed inside the jet, with a window cut out to allow the lasers to operate.

 

The company expects the requirement for a missile defense system to be included in the Block 5 upgrade, in the 2017 time frame, and be available for all domestic and international customers. “There’s no reason at all that it can’t be retrofitted” into an already-produced F-35, Palombo said, although he declined to go into details on what that might look like.

 

The system still has a way to go before completion, with testing planned in Northrop’s laboratories before the end of the year. While no requirement has been issued, Carl Smith, vice president of Infrared Countermeasures, said the company is keeping in touch with the F-35 Joint Program Office.

 

“We go talk with them periodically,” Smith said. “We share what our progress is. There’s obviously dialogue with Lockheed Martin. We keep everybody abreast of where we are and what’s happening. “

 

While designed for the F-35, Palombo said the company expects other fighters, such as the F-15, to eventually include a requirement for a DIRCM system.

 

“It’s really a fast jet capability,” Palombo said. “Look at the fact there aren’t going to be many new starts for airplanes. We’re going to be flying F-22s, F-16s, F-15s for a very long time, and they’re going to have to be protected, as well.”

 

The system could be mounted into the bottom of the airplane, or reconfigured to fit into a self-contained pod that can be attached to the bottom of a jet. It would also have the option to be liquid or air-cooled.

 

“We believe [the F-35 is] probably the first actual requirement proposal that will be coming down the pike,” Palombo reiterated. “It is very likely there will be others, either in parallel with that or immediately following that.”

 

Northrop executives describe ThNDR as a “sixth-generation” system, and the company is keeping an eye on what a seventh-gen system might look like. Smith, at least, believes that would likely involve higher-powered lasers in the “tens of kilowatts of energy.”

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 12:20
Speed Agile : un concept futuriste pour le successeur du C-130

13/09/2013 Par François Julian – Air & Cosmos

 

Lockheed Martin a récemment publié, sur le site internet de son magazine Code One  une vue d'artiste du Speed Agile.

 

Ce démonstrateur technologique, qui pour le moment fait l'objet d'essais en soufflerie, doit permettre de défricher un concept de futur avion de transport militaire, qui pourrait succéder au C-130 Hercules.

 

Le Speed Agile est le fruit de recherches réunissant Boeing, Lockheed Martin, la NASA et l'US Air Force. Il s'agit d'étudier un futur avion cargo, pouvant évoluer depuis des pistes sommaires, ce qui impose une bonne tenue aux basses vitesse, tout en étant capable de voler en croisière à Mach 0,8.

 

L'accent serait d'ailleurs mis sur l'utilisation de dispositifs hypersustentateurs performants et de conception simple, qui permettraient à l'appareil de décoller et d'atterrir sur une distance de moins de 700 m.

 

Pour le moment, Speed Agile n'est encore qu'un avion de papier. Mais qui sait, il pourrait peut être intéresser un jour les décideurs du Pentagone, soucieux d'offrir au C-130 Hercules une retraite bien méritée.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 11:55
RhibFpsPatino - crédit  Eunavfor Marine Espagnole

RhibFpsPatino - crédit Eunavfor Marine Espagnole

17/09/2013 Michel Cabirol  - LaTribune.fr

 

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian est favorable à la reconnaissance de sociétés militaires privées dans le domaine du transport maritime. Un projet de loi sera bientôt déposé.

 

Et revoilà les héritiers de Bob Denard, ou plutôt des corsaires du Roi… Un pas semble avoir été franchi dans la reconnaissance des sociétés militaires privées (SMP) en France. « Je suis favorable à la reconnaissance des sociétés militaires privées dans le domaine du transport maritime, car la marine nationale ne peut pas tout faire », a récemment expliqué au Sénat le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, pourtant au départ frileux sur un dossier sensible auprès de l'opinion publique mais qui a fait l'objet de pressions de la marine nationale.

 

Le Drian défavorable pour l'armée de terre

« Les marins ne voulaient pas devenir dans le cadre des équipes de protection embarquées le prestataire des armateurs français », décryptent un bon connaisseur du dossier. En outre, Jean-Yves Le Drian a également estimé que des hommes armés sur un navire n'ont qu'un rôle défensif sans aucune stratégie offensive. Ce qui ne serait pas le cas pour l'armée de terre. Et d'ailleurs le ministre a tenu à être très clair : « j'y suis défavorable pour l'armée de terre, car cela s'apparenterait à du mercenariat, ce qui est contraire à notre tradition républicaine et à nos convictions ».

« Nous sommes proches d'aboutir » et dans ce cadre, « un projet de loi sera bientôt déposé par Frédéric Cuvillier », a-t-il précisé. C'était une demande très forte des armateurs français qui réclamaient une protection des navires battant pavillon français. Les armateurs menaçaient de se tourner vers l'offre britannique, faute d'un cadre juridique permettant aux Français de concourir. « Cela pourrait même accentuer le phénomène de dépavillonnement », avait expliqué les anciens députés, Christian Ménard (UMP) et Jean-Claude Viollet (PS) dans un rapport parlementaire sur les SMP présenté en février 2012. Pour autant, selon nos informations, au ministère des Transports, qui se met dans les pas de Matignon, ce dossier ne semble pas prioritaire. D'autant qu'il y a un calendrier parlementaire très, très encombré.

 

1.000 navires battent pavillon français

Armateurs de France recense 250 navires battant pavillon français et 750 autres opérés par des Français mais sous des pavillons tiers. Soit une flotte de quelque 1.000 navires. Leur activité conduit une part importante d'entre eux à transiter dans des zones où sévissent des pirates : détroit de Malacca, côtes africaines, notamment Golfe de Guinée et au large de la Somalie. D'après les informations recueillies par Christian Ménard dans les travaux relatifs à la piraterie maritime, on comptait en 2009 environ 600 personnes retenues en otage par des pirates somaliens.

C'est le cas d'une entreprise comme CMA-CGM qui est présente dans près de 400 ports à travers le monde. Alors que des menaces pèsent sur son activité, elles accroissent le coût des primes d'assurance. « Les surprimes liées à une traversée de l'océan Indien sont généralement de 0,5 % de la valeur du navire, soit souvent proches de 20.000 à 30.000 dollars supplémentaires par jour de traversée », rappelaient les deux députés. La plupart du temps, les armateurs assument ce surcoût. Car éviter les zones dangereuses, par exemple en transitant par le cap de Bonne-Espérance, induit un allongement des transits et une surconsommation de fioul.

 

Prise de conscience avec l'affaire du Ponant

L'affaire du Ponant a médiatisé la menace en France. Le 4 avril 2008, ce voilier battant pavillon français a été pris en otage par des pirates somaliens. Des Français ont été libérés une semaine plus tard contre le versement d'une rançon. Mais une opération héliportée a permis d'arrêter une partie des preneurs d'otage ainsi que de la rançon. La France a riposté en mettant en place des équipes de protection embarquées (EPE) de la Marine nationale généralement composées de fusiliers marins, sur les navires les plus vulnérables. « Une réponse efficace mais aux capacités limitées », ont estimé Christian Ménard et Jean-Claude Viollet.

Ces équipes protègent notamment les thoniers senneurs, qui pêchent au large des Seychelles, ainsi que des navires transportant des cargaisons stratégiques. D'après les données fournies par l'état-major de la marine, 104 navires français ou d'intérêt français sont inscrits au contrôle naval volontaire et circulent dans l'océan Indien. On compte parmi eux : 61 navires non vulnérables, 20 vulnérables et 23 très vulnérables, dont les thoniers.

 

La Marine nationale bon marché

C'est le Premier ministre qui décide de l'affectation des EPE. Les critères d'attribution d'une protection sont les suivants : pavillon français, présence de citoyens français à bord, nationalité française du propriétaire, transport d'une cargaison ou activité d'intérêt stratégique pour la France. Le coût des EPE (2.000 euros par jour en moyenne) est inférieur au coût moyen d'une équipe privée (3.000 euros par jour). « La prestation de la marine française est donc bon marché », ont constaté les deux députés. À titre de comparaison, une EPE de la marine royale néerlandaise coûte en moyenne 80.000 euros par traversée. Ce prix s'explique par sa composition : 18 agents par navire, dont un infirmier urgentiste.

D'après le ministère de la Défense, 30 % des navires de commerces embarquent des équipes armées de SMP/ESSD. Le même ministère met en avant leur « efficacité avérée », aucune capture n'ayant eu lieu en leur présence. Celles-ci ont permis de déjouer 30 % des attaques. Certains pavillons, tels que Singapour, imposent la présence d'hommes armés en cas de vulnérabilité.

En outre, la multiplication des actes de piraterie au large des côtes somaliennes a conduit le gouvernement à préconiser une solution militaire européenne permettant d'escorter certains navires à travers des convois sécurisés, l'opération Atalante. Celle-ci se concrétise par des échanges d'informations et surtout la mise en place de convois sécurisés.

Les mauvais souvenirs laissés par Bob Denard

Les polémiques ayant entouré l'activité de mercenaires français en Afrique, et notamment de Bob Denard, ont conduit le législateur à adopter un projet de loi visant à réprimer sévèrement le mercenariat. Faute d'un cadre pénal, Bob Denard n'avait pas été inculpé pour mercenariat. L'adoption de la loi de 2003 réprimant le mercenariat a donné un signal fort à la communauté internationale.

Passés les souvenirs de l'action de Bob Denard, les années 2000 ont vu des événements polluer à nouveau le débat sur les entreprises de services de sécurité et de défense (ESSD). Il s'agit en premier lieu de l'intervention américaine en Irak, qui a suscité une réprobation de la part de l'opinion française. Un rejet d'autant plus marqué que certaines des dérives observées sur ce théâtre étaient le fait de SMP américaines, parfois directement impliquées dans des opérations militaires, par exemple lors de la tentative de prise de contrôle de la ville de Falludjah.

 

Un marché estimé entre 200 et 400 milliards de dollars

Les auteurs du rapport estiment aujourd'hui que près de 1.500 SMP sont actives à travers le monde. Ayant très tôt bénéficié des crédits publics dégagés par des externalisations, et s'appuyant sur des marchés importants, les sociétés anglo-saxonnes concentrent l'essentiel des effectifs et des moyens. Le chiffre d'affaires global du secteur est difficile à évaluer mais les spécialistes le situent entre 100 et 200 milliards de dollars par an. Pour l'ensemble ESSD (SMP et SSP), le ministère des affaires étrangères et européennes (MAEE) évoque même le chiffre de 400 milliards de dollars de chiffre d'affaires et des effectifs pouvant atteindre un million de personnes à travers le monde.

« La demande de protection privée existe et l'offre française doit s'organiser, faute de quoi le rang de la France comme puissance maritime mondiale pourrait être menacé, estimaient Christian Ménard et Jean-Claude Viollet. Les évolutions doivent intervenir rapidement (…). Il s'agit à la fois de plaider pour l'adoption d'exigences minimales vis-à-vis du secteur, tout en veillant à ce que les États gardent la main sur la gestion et le contrôle de leur pavillon »

 

Sarkozy intéressé par le sujet

Ce sujet a fait l'objet au plus haut niveau de l'Etat d'une prise de conscience qui a donné lieu à un certain nombre de réflexions. Le chef d'état-major particulier du président de la République a mandaté le secrétaire général de la défense et la sécurité nationale (SGDSN) à l'été 2010 pour étudier les conditions dans lesquelles un tel secteur d'activités pourrait se développer en France. Cette étude a donné lieu à un premier rapport, soumis à la présidence de la République le 1er févier 2011. Un mandat complémentaire sur le volet maritime a été confié au secrétaire général de la mer, sous l'égide du SGDSN. Les conclusions de ces travaux sont restées confidentielles.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 11:50
drone-europeen source enjeux_info

drone-europeen source enjeux_info

16.09.2013  affaires-strategiques.info

 

Depuis deux décennies, l’émergence et le développement des drones ont considérablement modifié la manière de mener la guerre. Néanmoins, l’Union européenne semble accuser un retard en matière de développement et d’acquisition de drone. Dans un document publié le 11 septembre par l’European Union Institute for Security Studies (EUISS), Andrea Gili, chercheure associée, analyse ainsi les perspectives qui s’ouvrent à l’Union sur cet enjeu primordial de la défense.

 

En effet, les drones offrent de nouvelles possibilités, notamment en matière de surveillance et améliorent les capacités de planification, contribuant parfois à simplifier les processus décisionnels des autorités responsables, notamment dans la lutte contre le terrorisme (assassinats ciblés par exemple). Les drones de combat ont donc, semble-t-il, entrainé une révolution dans la sphère militaire et plus particulièrement dans le domaine de la guerre aérienne. Permettant une réduction des forces armées présentes au sol et une efficacité à moindre coût, il paraît toutefois surprenant que les Etats membres de l’Union n’aient pas encore développé leur propres drones.
 

A ce titre, et si dans la dernière décennie, nombre de pays européens ont lancé des programmes R&D en matière de drone, seuls ou en coopération, il n’en demeure pas moins que le manque de fonds a bien souvent conduit à un échec de ces projets, les Etats se tournant alors vers l’acquisition de drones américains ou israéliens. Il semble d’ailleurs opportun de souligner que dans le passé, la coopération européenne en matière d’armement a été source de nombreux problèmes, les pays de l’UE cherchant souvent à protéger leur industrie nationale au détriment d’une mutualisation des compétences qui rendrait plus performante l’industrie de défense européenne. Mais désormais, la crise financière ainsi que les coupes drastiques qui sont intervenues dans les budgets de défense, ne laissent plus d’alternative possible si ce n’est celle de la coopération des industries de défense en Europe, selon le chercheur.
 

La problématique de la production de drone dans l’Union européenne soulève donc en réalité des questions sur les capacités de l’industrie européenne de l’armement à se structurer de telle sorte à rendre possible la production de drone et la compétitivité des industries européennes en la matière. Il s’agit là d’ailleurs d’une priorité car, comme le souligne Andrea Gili, l’élaboration de programmes R&D relatifs aux drones contribuerait à préserver la sécurité de l’Union ainsi que son autonomie stratégique à long terme. La valeur stratégique de disposer de telles capacités militaires apparaît donc non négligeable.


L’Union européenne se trouve donc à un tournant en matière de technologie militaire et nombreux sont ceux qui appellent à une décision claire des autorités européennes, notamment lors du prochain Conseil des Ministres européens de la défense qui aura lieu en décembre prochain.
 

Sources : EUISS, EUROPEAN VOICE

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 11:50
Les Pays-Bas vont acheter 37 chasseurs américains F-35

17/09/2013 Capital.fr

 

Les Pays-Bas vont acheter 37 chasseurs F-35 de Lockheed Martin pour équiper leur armée de l'air, ont indiqué mardi à Reuters deux sources proches du dossier.

 

La ministre néerlandaise de la Défense, Jeanine Hennis-Plasschaert, doit annoncer cette décision dans la journée de mardi dans un document définissant sa vision à long terme pour l'armée néerlandaise, ont-elles ajouté.

 

Le F-35 Joint Strike Fighter a été conçu pour devenir le chasseur de nouvelle génération de l'US Air Force et des alliés des Etats-Unis, mais son développement a pris plusieurs années de retard en raison de problèmes techniques et d'une hausse des coûts, 70% plus élevés que prévu.

 

Anthony Deutsch; Tangi Salaün pour le service français

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 07:55
Sherpa APC XL photo Guillaume Belan

Sherpa APC XL photo Guillaume Belan

13.09.2013 par Guillaume Belan (FOB)

 

Deux nouveautés étaient présentées sur le stand de Renault Trucks Défense au salon britannique DSEI. Ou plutôt des évolutions de véhicules existants.

 

Le blindé 4X4 Sherpa APC se dote d’un grand frère, Le Sherpa APC XL, dont le volume intérieur gagne 1m3 et offre en option des portes latérales. Il s’agit en fait d’une version adaptée aux compétitions en cours pour les forces de sécurité intérieures brésiliennes.

 

Bastion APC HM photo Guillaume Belan

Bastion APC HM photo Guillaume Belan

L’autre évolution concerne le Bastion APC, développée en version haute mobilité (« HM »). Doté de suspensions indépendantes au lieu et place de ponts rigides, il gagne également en puissance avec un moteur de 340 chevaux (le même qui propulse le VAB Mark 3). Cette version aurait été vendue à des forces spéciales européennes.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 07:55
Nexter shows off new 6 x 6 armoured vehicle, TITUS

09/16/2013  Defence IQ Press

 

There’s a new 6 x 6 wheeled Armoured Personnel Carrier (APC) on the market after Nexter, the French vehicle manufacturer, took the covers off its Tactical Infantry Transport and Utility System (TITUS) at DSEI last week.

 

In terms of armaments TITUS can be equipped with any kind of Remote Control Weapon Station from 7.62mm to 20mm, and 40mm Grenade Launchers as well, depending on the level of threats and type of missions.

 

photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

The company’s VBCI has been one of the most sought after vehicles for the last few years and Nexter will have similar high hopes for this latest variant.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 07:55
Opérations préparations - L'infanterie

06/07/2012 Armée de Terre

 

L'armée de Terre, c'est avant tout l'infanterie. Tous les régiments qui la composent partagent les mêmes valeurs : enthousiasme, rigueur professionnelle, rusticité, modernité et camaraderie. Retrouvez dans cet album les parachutistes, les alpins, les mécanisés, les marsouins, les légionnaires et tous les autres.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 07:55
Concerts de l'Orchestre de la Garde républicaine et du Chœur de l'Armée Française

13/09/2013 Sources : SGA/DMPA

 

Retrouvez la programmation du mois de septembre.

 

Placé sous la direction du colonel François Boulanger et du lieutenant-colonel Sébastien Billard, chef-adjoint, l'Orchestre de la Garde républicaine est composé de l'Orchestre de l'harmonie et de l'Orchestre à cordes.

 

 

Concerts de l'Orchestre de la Garde républicaine et du Chœur de l'Armée Française

Dirigé par le commandant Aurore Tillac et le capitaine Emilie Fleury, chef-adjoint, le Chœur de l'Armée Française compte 48 choristes.

________

Pour en savoir plus :

Garde républicaine : www.gendarmerie.interieur.gouv.fr

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 07:55
Défense : les responsabilités du ministre renforcées en matière d'emploi des forces

13/09/2013 L’Express.fr

 

PARIS, 13 sept 2013 - Le gouvernement a modifié par décret les attributions respectives du ministre de la Défense et du chef d'état-major des armées pour redonner "toute sa place au ministre" en matière d'emploi des forces armées.

 

Le décret paru jeudi au Journal officiel modifie plusieurs articles du code de la défense et porte notamment sur le rôle des chefs militaires au sein du ministère.

 

Adopté mercredi en Conseil des ministres, il "redonne toute sa place" au ministre "dans la chaîne des responsabilités politiques en matière d'emploi des forces armées et de renseignement extérieur et d'intérêt militaire", selon le compte-rendu du conseil.

 

Sans toucher aux prérogatives du chef de l'Etat, chef des armées, et du Premier ministre, le décret redéfinit les compétences du ministre et du chef d'état-major. "Le ministre est responsable de la préparation et, sous réserve des dispositions particulières relatives à la dissuasion, de l'emploi des forces", selon le texte paru au JO.

 

La responsabilité de l'emploi des forces relevait depuis juillet 2009 du chef d'état-major des armées (CEMA). Ce dernier "assiste" désormais le ministre "dans ses attributions relatives à l'emploi des forces".

 

Ce rééquilibrage s'ajoute à la réforme annoncée de l'organisation et de la gouvernance du ministère, qui limite notamment les attributions de l'état-major en matière financière et de ressources humaines.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 07:50
Belgique : Accord du gouvernement à des achats pour la Défense

13 septembre 2013 lalibre.be

 

Actualité Montant total: 489,5 millions d'euros. Quatre nouveaux programmes vont être lancé.

 

Le Conseil des ministres a autorisé vendredi le ministre de la Défense, Pieter De Crem, à attribuer deux marchés publics et à lancer quatre procédures de marchés publics dans le cadre de son plan d'investissements pour la Défense et la Sécurité (PIDS) sur trois ans d'un montant total de 489,5 millions d'euros approuvé l'an dernier par le gouvernement.

 

Il s'agit de l'attribution d'un marché public relatif au remplacement des installations radios sol-air (en jargon "Local Air C²") au profit de la composante Air, y compris un contrat d'entretien de durée indéterminée et l'achat "ponctuel" de carabines multifonctionnelles de diverses versions avec leurs accessoires, couplé à un contrat pluriannuel à durée indéterminée à bordereaux de prix relatif à l'acquisition de pièces de rechange, à l'entretien et à diverses prestations de service, a précisé la Défense dans un communiqué.

 

Aucun montant n'a été cité, mais un montant de 21,6 millions d'euros a été prévu au PIDS pour l'acquisition de 4.500 "carabines modulaires" pour remplacer l'arme de base du soldat, le FNC vieillissant de la Fabrique Nationale (FN).

 

M. De Crem (CD&V) a d'autre part été autorisé à lancer quatre autres marchés publics pour:

- la poursuite de la modernisation des chasseurs F-16 - qui, âgés de plus de trente ans devront rester en service jusqu'à leur remplacement, prévu entre 2023 et 2028 - en vertu du programme "Communality & Interoperability Program" (CICP) pour lequel l'état-major de la Défense propose de consacrer 25 millions d'euros;

- le remplacement de l'équipement informatique (PC, laptops et écrans) de la Défense via un leasing opérationnel d'une durée de cinq ans;

- l'acquisition et l'installation de deux "suites" de liaison de données tactiques (dite "Link 16");

- l'achat de trente grands bus "Low Entry de catégorie M3" pour le transport de minimum 75 passagers en une tranche fixe et deux tranches conditionnelles et un contrat omnium d'entretien et de réparation.  

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 07:50
Market Opportunities for Gripen E

Sep 16, 2013 ASDNews Source : Saab AB

 

During recent months the security and defence company Saab has met an increased interest in Gripen E, the next generation of its multirole fighter.

 

This is concurrent to the fact that Saab in February 2013 received an order from the Swedish Defence Material Administration (FMV) for the development of Gripen E and has started the assembly of the system.

 

Approximately 6000 fighter jets will need to be replaced on the world market during the coming 15-20 years (Source: IHS Jane´s 360). Due to Swedish export restrictions and other prerequisites, Saab has access to approximately half of this market. Previously Saab estimated that Gripen potentially could capture about 10 per cent of this market over the coming 15-20 years.

 

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