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21 septembre 2016 3 21 /09 /septembre /2016 10:55
Henri IV à la bataille d'Arques, 21 septembre 1589

Henri IV à la bataille d'Arques, 21 septembre 1589


21.09.2016 source SHD
 

21 septembre 1589 : bataille d'Arques (Normandie). Henri IV, roi de France, repousse les assauts des ligueurs catholiques. Il ne doit cependant sa victoire qu’au débarquement de renforts anglais et écossais dépêchés par Elisabeth I pour prêter main forte au nouveau roi de France (23/09).

 

21 septembre 1711 : Duguay Trouin prend Rio de Janeiro (Brésil). A la tête d’une escadre sept vaisseaux (financée par un groupe d'armateurs malouins et par le comte de Toulouse), le corsaire Duguay-Trouin force la rade de Rio de Janeiro, fermée par un goulet plus étroit que celui de Brest et protégée par sept vaisseaux portugais. A l’issue d’un débarquement appuyé par ses navires, ses 3 200 hommes de troupe s’emparent des sept forts défendant la rade, pourtant tenus par 12 000 soldats. La ville de Rio est prise le 21 septembre puis rançonnée ; 5 navires de guerre et 60 marchands sont pris ou détruits. Cet exploit parmi les plus extraordinaires de la marine à voiles marque la fin de la vie embarquée d’un des plus incroyables marins français. Il servira encore la marine avec le grade de Lieutenant général de la Marine, commandant successivement la Marine à Saint-Malo, la Marine à Brest, puis l'escadre pour le Levant et enfin le port de Toulon.

 

21 septembre 1792 : abolition de la monarchie française par la Convention

 

21 septembre 1793 : bataille de Montaigu (guerre de Vendée). Les révoltés vendéens infligent une sévère défaite aux Républicains.

 

21 septembre 1860 : bataille de Palikao (Chine). La France et la Grande Bretagne voulant s'ouvrir le marché chinois, ont envoyé un corps expéditionnaire de 5000 hommes commandés par les généraux Grant et Cousin-Montauban qui marche vers Pékin. Le fort de Ta Kou à l’embouchure du Pei Ho est tombé le 21/08 dernier.  A Palikao, les Chinois lancent plus de 40 000 soldats contre les franco-britanniques qui ne rompent pas les lignes et obligent même l'assaillant à se replier. La combattivité et le nombre des Chinois ne peuvent pas grand-chose contre la discipline et l'armement moderne des Européens. C’est le 2ème bataillon de chasseurs à pied qui prend le pont de Palikao. Ces derniers ne déplorent que 5 tués alors que les Chinois perdent 1200 hommes. Le général Cousin-Montauban est fait comte de Palikao par Napoléon III. L'Empereur Xiangfan s'enfuit lorsque les européens entrent dans Pékin, le 12 octobre. Le palais d’été est malheureusement mis à sac, sur ordre de Lord Elgin. La destruction du palais d'Eté reste, dans l'optique chinoise, la preuve de la barbarie occidentale; il faut comprendre que sa destruction et son pillage ne pourraient se comparer qu'avec celles du Louvre et de Versailles combinées.

 

21 septembre 1918 : prise de Naplouse (actuelle Palestine). Durant la bataille de Megiddo (16 – 21 septembre), le détachement français de Palestine et Syrie (DFPS) commandé par le colonel de Pieppape et constitué principalement d’unités des 4ème Chasseurs, 1er Spahis, d’éléments de la Légion d’Orient et de tirailleurs algériens fait une brèche de 25 km de large dans le front et sur 8 km de profondeur prenant Naplouse et 2400 prisonniers ottomans. Cette victoire s’inscrit dans la vaste opération que le général britannique Allenby a entrepris contre le général allemand Liman von Sanders (commandant 3 armées turques) pour repousser les Ottomans vers le Nord-Est et finalement prendre Damas (1er octobre). A noter aussi la belle coordination des actions de sabotage du colonel T.E Lawrence sur les lignes ferroviaires (qui auraient pu permettre un repli général) et les bombardements des flottes britannique et française (CA Varney) sur les troupes ottomanes du littoral (et débouchant sur la conquête de Beyrouth).

 

21 septembre 1931 : les Japonais occupent la Mandchourie.

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25 janvier 2016 1 25 /01 /janvier /2016 12:35
photo USMC

photo USMC

 

22.01.2016 french.china.org.cn
 

Les Etats-Unis et le Japon ont renouvelé vendredi les dispositions financières liées à l'accueil des forces américaines sur le sol nippon. Tokyo devrait ainsi verser 8 milliards de dollars à Washington au cours des cinq prochaines années.

Lors d'une cérémonie de signature, le gouvernement japonais a réitéré sa position selon laquelle sa coopération militaire avec les Etats-Unis demeurait essentielle.

"La présence des forces américaines au Japon est indispensable à la sécurité du Japon, ainsi qu'à la paix et à la sécurité dans la région", a souligné le chef de la diplomatie nippone Fumio Kishida, qui a notamment cité un regain de tension dans la région depuis que Pyongyang a récemment mené un essai nucléaire.

L'ambassadrice des Etats-Unis, Caroline Kennedy, a souligné à cette occasion que l'alliance nippo-américaine demeurait solide. L'accord entre les deux pays "va permettre d'assurer que les forces américaines conserveront une disponibilité opérationelle très élevée", a-t-elle dit en estimant que l'alliance bilatérale "n'a jamais été aussi forte à tous points de vue".

Le dernier accord quinquennal prévoyait que le Japon doive verser 933,2 milliards de yens, soit un peu moins que les 946,5 milliards prévus pour les cinq prochaines années. Si Tokyo a cherché un temps à faire baisser le coût des bases américaines, Washington a souhaité à l'inverse une revalorisation dans le cadre de sa politique de "pivot vers l'Asie".

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25 janvier 2016 1 25 /01 /janvier /2016 12:35
Séoul, Washington et Tokyo établiront un nouveau canal pour partager leurs informations sur le Nord

 

SEOUL, 22 jan. (Yonhap)

 

La Corée du Sud projette d'établir un nouveau réseau militaire afin de partager avec les Etats-Unis et le Japon cette année des informations, dont des textes et images, concernant le programme nucléaire et les missiles balistiques de la Corée du Nord, a déclaré ce vendredi le ministère de la Défense.

L'armée projette d'installer une liaison de données, Link16, reliant son système de contrôle d’interface avec celui des Forces américaines en Corée du Sud (USFK), à Osan, au sud de Séoul, selon le plan sur les politiques 2016 du ministère soumis à la présidente Park Geun-hye plus tôt ce vendredi.

Le réseau d'échanges de données militaires tactiques permettra aux alliés de partager des renseignements sur les activités nucléaires et de missiles de la Corée du Nord en temps réel.

Avec ce lien, la Corée du Sud pourra accéder aux informations américaines collectées du satellite de reconnaissance DSP (Defense Support Program) sur la péninsule coréenne.

«Malgré le lien Etats-Unis-Japon, le partage d'informations n'aura pas lieu sans l’accord de chaque côté et, même s'il y a, il sera limité aux armes nucléaires et missiles de la Corée du Nord», a indiqué un officiel du ministère de la Défense.

Cette année, le ministère débutera également un projet pour introduire un total de cinq satellites militaires de reconnaissance d'ici au début des années 2020, a montré le rapport. Le plan fait partie d'un grand projet pour installer les systèmes de défense antimissile, Kill Chain et KAMD (Korea Air and Missile Defense), à l’horizon de 2023 contre les menaces nucléaires et de missiles balistiques.

Afin de mieux combattre les cybermenaces continues de la Corée du Nord, le ministère envisage aussi d'établir un centre de recherche public sur la cyberdéfense cette année, qui sera chargé de développer des cyberarmes contre les attaques nord-coréennes, selon le rapport.

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25 janvier 2016 1 25 /01 /janvier /2016 08:35
TKMS propose à l'Australie une version agrandie de son type 214. Ici, un sous-marin de type 214 en service dans la marine coréenne. (Photo DR)

TKMS propose à l'Australie une version agrandie de son type 214. Ici, un sous-marin de type 214 en service dans la marine coréenne. (Photo DR)

 

22/01/2016 LeMarin.fr

 

Se dirige-t-on vers un match franco-japonais dans la compétition ouverte pour le remplacement des sous-marins australiens de la classe Collins ? Selon l’agence Reuters, l’offre présentée par le groupe allemand Thyssenkrupp Marine Systems (TKMS) serait aujourd’hui pratiquement écartée pour des raisons qualifiées de techniques. Reuters affirme s’appuyer sur « plusieurs sources » pour affirmer que le groupe français DCNS et son concurrent japonais ont désormais une longueur d'avance sur Thyssenkrupp Marine Systems. TKMS propose une version agrandie de son Type 214, d’un déplacement de 2 000 tonnes, l’Australie souhaitant un bâtiment d’environ 4 000 tonnes. Or, doubler les dimensions d'un bâtiment pose de sérieux problèmes techniques, selon les experts. « La proposition allemande est une version agrandie d'un sous-marin existant, ce qui est techniquement risqué », a déclaré l'un d'eux à Reuters, sous couvert de l'anonymat.

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6 décembre 2015 7 06 /12 /décembre /2015 12:35
Japan Preparing to Test-Fly MHI-Built Stealth Jet

Like China, South Korea and Turkey, Japan is looking at stealth fighters, and should fly the Mitsubishi-built ATD-X demonstrator during the first quarter of 2016. (Japan MoD photo)


Dec 3, 2015 defense-aerospace.com
(Source: The Japan Times; published Dec 3, 2015)

 

Japan is closing in on becoming the fourth nation to test fly its own stealth jet, a move that could further antagonize neighboring Asian countries that oppose Prime Minister Shinzo Abe’s bid to strengthen the role of the Self-Defense Forces.

The aircraft is scheduled to make its maiden flight within the first three months of next year, Hirofumi Doi, a program manager at the Defense Ministry, said in an interview in Tokyo. The plane, called Advanced Technology Demonstrator X, will then be handed over to the SDF, which will start conducting its own tests, he said.

The Mitsubishi Heavy Industries Ltd.-made plane builds on Abe’s military ambitions after he succeeded in pushing through U.S.-endorsed legislation to allow Japanese forces to fight in overseas conflicts, despite concerns voiced abroad and at home. Japanese militarism is a particularly sensitive topic for China and South Korea because of the aggression they endured before and during World War II.

“The security environment around Japan is becoming increasingly complex and Japan needs to maintain air capabilities commensurate to those of other air forces in the region,” said Rukmani Gupta, an analyst in New Delhi at IHS Jane’s. “Should the ATD-X test be deemed successful, it is very likely that Japan will pursue production of a next-generation fighter.”

The 14-meter-long jet, equipped with engines from IHI Corp., will cost ¥40 billion ($325 million) to develop, Doi said. The ATD-X could become the basis for a new fighter jet to replace the nation’s F-2, said Takahiro Yoshida, a director in the ministry.

Should Japan decide to make a fighter jet version, its engines would be about three times the strength of the stealth jet’s, and the plane would have enough internal space for missiles, Doi said.

It’s not certain that Japan will go ahead with the project.

“These experimental fighters are an exercise in the realm of the possible,” said Lance Gatling, head of aerospace consultancy Nexial Research. “In terms of international relations, it’s a bargaining chip. They can say: ‘We did a credible job on this, we may just build our own if you don’t give us a better deal or you don’t give us a portion of the production in Japan.'”

IHI is fully supporting flight tests of the latest jet, said Yuki Takahashi, a Tokyo-based spokeswoman. Hideo Ikuno, a spokesman for Mitsubishi Heavy in Tokyo, declined comment on the jet’s development.

The U.S., Russia and China have all built and flown stealth planes, known as fifth-generation jets, which are harder to detect by radar. Other countries such as India and Turkey are also developing stealth jets, according to Gupta at IHS Jane’s. South Korea and Indonesia are also investing in the joint development of a next-generation fighter aircraft, he said.

Back in Japan, the government will make a decision on a replacement for its F-2 fighter jets by the end of March 2019, Doi said.

“We’re building this in preparation for the development of a new fighter jet,” Doi said. “Neighboring countries are developing stealth jets and so this research is to allow us to understand what technology is needed for such a project.”

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19 novembre 2015 4 19 /11 /novembre /2015 08:20
Royal Saudi Air Force F-15 Eagle fighter aircraft - photo USAF

Royal Saudi Air Force F-15 Eagle fighter aircraft - photo USAF

 

November 18, 2015: Strategy Page

 

In 2015 American defense firms are having the second highest annual export sales in history; $46.6 billion. In practical terms 2015 was the highest year for sales because the current top year (2012) was $65 billion but 69 percent of that ($45 billion) was two very large sales. One was a large ($35 billion) order from Saudi Arabia for F-15s and the other was a $10 billion order from Japan for F-35s. Normally those orders are made in smaller quantities but the Saudis are concerned about Iran and Japan about China. Both countries are among the few countries that can place such large orders. Without those two orders 2012 sales would have been what was expected; $25 billion in smaller orders from many customers. That’s what all the 2015 orders were.  This was a 31 percent increase from the $34.2 billion in 2014 which was a 23 per increase over 2012.

 

While U.S. defense exports are growing so are those of China, which has become the third largest arms exporter in the world surpassed only by the United States and Russia. Now the top five consists of America, Russia, China, Germany and France. Britain was displaced from the top five in 2012. From 2005-9 China represented three percent of the world arms exports. From 2010-14 China moved up to five percent.

 

Meanwhile sales of the 100 largest weapons and military services firms fell for the third year in a row in 2013 and the situation has not improved since then. While the Russian and Chinese firms are doing very well and the American ones are holding on many European firms are losing ground. Then there’s all the new competition from firms in South Korea, Israel and China. Even the Japanese are changing their laws to allow their arms firms to export.

 

Russian arms sales rose sharply after 2001 because the economies of their two biggest customers (India and China) were increasing rapidly. That and the escalating price of oil (driven largely by increased demand from China and India) have sent international arms sales from $29 billion in 2003 to over $70 billion today. Oil rich countries, particularly those in the Persian Gulf, are eager to buy more weapons with which to defend their assets from an increasingly aggressive Iran.

 

The stall in Russian sales after 2007 arose from a special problem with China, long one of its biggest customers. Since the late 1990s about 40 percent of Russian arms exports went to China. That began to shrink as Russian manufacturers feuded with the Chinese over stolen technology. The Chinese have been quite brazen of late as they copy Russian military equipment and then produce their own versions, without paying for the technology. Worse, the Chinese are now offering to export these copies. The Russians tried to work out licensing deals without much success.

 

Another factor in the sharp growth in arms exports was largely because, after 2001 global defense spending increased nearly 50 percent to over $1.4 trillion. That's about 2.5 percent of global GDP. After the Cold War ended in 1991, defense spending declined for a few years to under a trillion dollars a year. But by the end of the 1990s it was on the rise again. The region with the greatest growth has been the Middle East, where spending has increased 62 percent in the last decade. The region with the lowest growth (six percent) was Western Europe. The 2008 recession led to global defense spending stalled at, or maybe even a little below, $1.4 trillion. But the spending growth has resumed, slowly, now that the recession is over in many parts of the world. China is making the most of that, especially since they will sell to anyone who can pay and are not deterred by demands for bribes and other off-book services.

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13 novembre 2015 5 13 /11 /novembre /2015 08:35
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

12/11/2015 Sources : Ministère de la Défense

 

Le 23 octobre 2015, la frégate de surveillance Vendémiaire et la frégate japonaise Abukuma ont participé à un PASSEX, entraînement commun en mer de Chine orientale, qui fait suite à la revue navale organisée le 18 octobre 2015 par le Japon. Le déploiement de la frégate française dans le Pacifique s’inscrit dans le cadre de la mission de présence des Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC) dans la zone Asie-Pacifique.

 

Cette rencontre a permis de développer des capacités de travail conjointes et de resserrer les liens entre les Marines françaises et japonaises. En effet, elle a contribué à entretenir notre connaissance de la zone et à animer la coopération régionale avec le Japon.

 

Le PASSEX a débuté par des évolutions des deux bâtiments au cours desquelles les marins français ont découvert les qualités manœuvrières du navire japonais. L’Alouette du Vendémiaire a ensuite décollé pour réaliser une mission de surveillance autour des deux frégates. L’exercice s’est poursuivi par des présentations au ravitaillement à la mer. Enfin, avant de repartir vers leurs destinations respectives, les deux frégates ont procédé à un salut au poste de bande : tout l’équipage est réparti sur les extérieurs des bâtiments.

 

Cet exercice, préparé conjointement quelques jours plus tôt lors de l’escale à Yokosuka au Japon, a clôturé l’épisode nippon de la mission en Asie de la frégate Vendémiaire.

 

Les FANC constituent le point d’appui central du théâtre Pacifique avec un dispositif interarmées centré sur un Groupement tactique interarmes (GTIA) et les moyens de projection associés. Avec les Forces armées en Polynésie Française (FAPF), dispositif interarmées à dominante maritime, les FANC ont pour principales missions d’assurer la souveraineté de la France dans leur zone de responsabilité, d’animer la coopération régionale et d’entretenir des relations privilégiées avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique. Enfin, les FANC engagent régulièrement leurs moyens pour des opérations d’aide aux populations, en appui des autres services de l’État.

photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

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2 novembre 2015 1 02 /11 /novembre /2015 12:35
Royal Air Force A400M Atlas aircraft visits Japan

 

26 October 2015 British Embassy Tokyo

 

First-ever landing of RAF aircraft at JASDF base marks burgeoning UK-Japan defence relations.

 

The Royal Air Force (RAF) A400M Atlas transport aircraft visited Japan during 23-25 October 2015. The aircraft landed at Miho Base (Tottori prefecture) of the Japanese Air Self Defence Force (JASDF). Crew from 70 Squadron and 24 Squadron based in RAF Brize Norton met with counterparts in the JASDF 403 Squadron of the 3rd Tactical Airlift Wing. This was the first time for an RAF aircraft to land in a JASDF base. During the stay at Miho Airbase, JASDF and RAF crew exchanged opinions about their aircrafts.

Squadron Leader Stu Patton, Captain of the flight, commented:

I feel privileged to visit Japan. From start to finish, it has been a phenomenal experience. The crew had an excellent opportunity to learn about capabilities of JASDF aircraft and have been honoured by the hospitality offered by our hosts at Miho Airbase. We are in different parts of the world, but we share a similar culture as air transport officers. I look forward to working even closer with Japanese colleagues as their new C-2 transport aircraft comes into service in the near future.

This is also the first time for the A400M Atlas to fly to the Far East. Before coming to Japan, the aircraft and crew visited locations including Subang (Malaysia) and Seoul for the Aerospace and Defence Exhibition.

 

Further information

More information about the A400M Atlas

More information about RAF Brize Norton

More photos can be found at the British Embassy Flickr

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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 12:35
Marines: Japan Has Second Thoughts About Marines

 

October 27, 2015: Strategy Page

 

Japan is having second thoughts about forming a modern a proper Marine Corps. This was shown by recent suggestions to cancel or delay necessary aircraft and amphibious vehicles needed to turn infantry into marines. Without these aircraft and vehicles the new Japanese forces will be no more mobile or capable than the 600 soldiers who are currently responsible for defending thousands of islands (many quite tiny) extending to Taiwan and out into the Pacific. The Japanese navy leadership now believes that new submarines, anti-submarine forces and mine clearance capabilities has a higher priority.

 

It was different back in 2013 when Japan decided, for the first time ever, to establish a force of marines similar to the U.S. Marine Corps. Officially called the Amphibious Rapid Deployment Brigade (ARDB), this forces was seen as essential to prevent China from seizing small, often uninhabited Japanese islands. American marines will help train the new Japanese force, currently planned as a brigade of some 3,000 troops. American marines have been teaching Japanese infantry how to undertake amphibious operations for some time but these army troops were not considered marines. The new plan is to establish an elite force of Japanese marines to deal with Chinese threats. Japan was going to buy six V-22 tilt-wing aircraft, heavy transport helicopters and helicopter gunships.

 

Japan is aware that neighboring South Korea created a Marine Corps in the 1950s, mainly because American marines were involved in protecting South Korea during the Korean War (1950-53) and the Koreans were impressed by the American marines. The South Korean marines turned out to be very good and the Japanese will have to hustle to be competitive.

 

At this point some of you history buffs are wondering about the World War II Japanese marines. Well, there were no Japanese marines in World War II. What was sometimes mistaken for marines was what the Japanese called the SNLF (Special Naval Landing Forces).  As with most maritime powers pre-1945 Japan often found it needed to send troops ashore quickly when all they had available were warships sitting off the coast. The Japanese, like most navies, would simply arm sailors and have them land. If the warships involved were not going to move around or get into heavy combat themselves, a third or more of the crew could be sent ashore as infantry. For a week or so, anyway. As recently as World War I (1914), America did the same thing, most obviously in Mexico where sailors landed at Vera Cruz as infantry and seized the city.  In continuation of this tradition, some sailors still regularly train as riflemen and in 2012 the U.S. Navy established a permanent force of naval infantry for security and coastal operations.

 

Since the 18th century the U.S. Navy usually had a few Marines on most major ships. These marines were in the habit of going with sailors sent ashore with rifles and contributed some expert advice on infantry operations. Marines (trained soldiers serving on board ships) were an ancient practice as until the introduction of cannon naval battles largely consisted of ships colliding and infantry fighting it out as if on land. When cannon came along there was much less emphasis on infantry combat afloat. Some infantry troops (usually professional marines) remained on ships and these evolved during the past few centuries into soldiers who served as guards on ships, helped man the big guns and, when needed, went ashore to take care of infantry business.  Since Japan got a late start in the Navy business (in fact, it never owned a sailing warship) it didn't develop marines in the traditional sense.

 

Yet Japan soon ran up against the need to land troops from warships along the China coast, especially in the 1920s and 30s. Using sailors for this worked pretty well because Japanese sailors were given infantry training as well as instruction in seamanship. But by the early 1930s the admirals were getting tired of seeing their crews constantly stripped of sailors to take care of some emergency ashore and decided to do something about it. Thus was born the SNLF. These were sailors trained and equipped to fight ashore. Their weapons were identical to those used by the Army and their uniforms were very similar. One of the differences was the use of an anchor symbol on the steel helmet instead of a star.

 

The SNLF were organized into large battalions (of 1,000 to 2,000 troops), containing a wide variety of weapons. Each of the four major Japanese naval bases (Kure, Maizuru, Saesbo and Yokosuka) was ordered to organize one or more of these units (called Rikusentai in Japanese).  A dozen SNLF "battalions" were organized before and during the war, including a handful of parachute units.  There were also several other types of specialized Navy ground combat units. To put this in perspective, the U.S. Marines during World War II organized some one hundred battalion sized combat units while only about three dozen (of all types) were created by the Japanese Navy ground forces. Or, put another way, there were about five times as many American Marines as there were Japanese SNLF troops.

 

After Pearl Harbor, the SNLF spearheaded the Japanese offensive into the south and central Pacific. If was SNLF units that seized American islands such as Wake and the British Gilberts. In cooperation with Army troops, SNLF, including paratroopers, also participated in the attacks on the Dutch East Indies (Indonesia) and Rabaul (the major naval base just north of the Solomons and Australia.) A big difference here was that the SNLF was not trained or equipped to make landings on heavily defended beaches. That was a U.S. Marine Corps specialty.

 

When America began its drive across the Central Pacific in late 1943, the first Japanese garrisons they attacked consisted largely of SNLF and other Japanese Navy ground forces. The closer the U.S. Marines got to Japan, the more Japanese Army troops they encountered. Thus the SNLF were largely found as garrisons on small islands in the Pacific. Like the U.S. Marines (USMC), the SNLF's main purpose was seizing forward bases for the navy, and then holding on to them. Beyond that, there were many significant differences between the SNLF and the American Marines. The USMC had a long tradition of highly trained and disciplined assault troops who were always distinct from the sailors they served with. The SNLF were sailors trained and equipped to serve mainly as infantry not ship crews. The SNLF officers were simply naval officers assigned to land combat duty. USMC officers were strictly marine officers. Thus the USMC leadership were far more expert at commanding infantry operations than their SNLF counterparts.

 

Most importantly the USMC units were specially equipped for amphibious warfare. While their gear included much that was identical to what the army used, where necessary unique weapons or equipment was developed. The SNLF had very little special equipment. In particular, the SNLF never had anything like the array of specialized amphibious equipment available to the USMC. The USMC was primarily an amphibious assault force while the SNLF spent most of its time guarding bases. The USMC also had "base defense units," but these were a handful of battalions compared to nearly a hundred assault units. Because of this specialization the USMC was, by tradition and training, an elite force that was expected to, and usually did, successfully undertake very difficult assignments. The SNLF, on the other hand, were not even considered as capable as their army counterparts. In short, there never were any Japanese Marines. The SNLF were sailors serving ashore as infantry and that's as far as it went. The new Japanese marines will be more like the American marines the SNLF faced during World War II.

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23 octobre 2015 5 23 /10 /octobre /2015 16:35
photo Boeing

photo Boeing

 

23 October, 2015 By James Drew – FG

 

Washington DC  - Just months after being rejected by South Korea and weeks after first flight, Boeing’s KC-46A has been selected by Japan to supplement the nation’s KC-767 tanker fleet.

 

The announcement came from Japanese defence minister Gen Nakatani on Friday, and constitutes a significant win for Boeing after a troubled start to the next-generation tanker development programme with the US Air Force. The Pegasus tanker can almost see the end of its development phase, after achieving first flight 25 September from Paine Field in Washington, following a roughly nine-month delay. According to Boeing, KC-46 is particularly attractive to Japan as it will be capable of refuelling the Japan Air Self-Defense Force’s planned fleet of Bell-Boeing MV-22 Osprey helicopters. Japan intends to procure three tankers for fielding in the 2020 time frame, at a cost of more ¥20.8 billion – about $173 million per tanker.

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16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 06:35
photo US Navy

photo US Navy

 

CHENNAI, India, Oct. 14 (UPI)

 

Navies from the U.S., India, and Japan will participate in naval military exercise Malabar 2015 beginning on Wednesday. Malabar is a complex military exercise that has traditionally been held by the U.S. and India with Japanese forces sitting in as observers. Japan will now be a permanent participant as the country embraces more activist military policies, according to Defense News. The exercises test high-end warfighting and promote maritime cooperation between the participants. Participants will practice both land and at-sea skills, including carrier strike group operations, maritime patrol, reconnaissance operations, medical operations, and a number of others. The sea portion of the exercise will take place off the coast of India.

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15 octobre 2015 4 15 /10 /octobre /2015 11:35
FANC : Participation à l’exercice Equateur 2015

 

14/10/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 28 septembre au 7 octobre 2015, l’état-major interarmées des Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC) a organisé à Nouméa l’exercice Equateur 2015. Il s’agit d’un exercice d’état-major (Command Post Exercice) réalisé tous les 2 ans et alliant plusieurs pays partenaires de la région. L’objectif est d’optimiser l’interopérabilité des chaînes de commandement des pays participants dans la perspective de l’exercice Croix du Sud dont la prochaine édition aura lieu en 2016 et qui s’accompagnera d’un important déploiement de forces interalliées. 80 personnes  issues de 13 Nations différentes y ont participé.

 

Cette édition était fondée sur un scénario de catastrophe naturelle majeure dans un pays du Pacifique Sud nécessitant l’intervention d’une force interalliée mandatée par l’ONU. L’objectif, pour les FANC, était de déployer le PC opératif de la force chargé de planifier et de conduire les deux volets de l’opération consistant à sécuriser l’envoi d’une aide humanitaire et procéder à une évacuation de ressortissants. Un scénario bien réel, puisque les FANC sont intervenues après le passage en mars dernier du cyclone Pam au Vanuatu, où vivent 2000 ressortissants français. Il s’agissait pour l’ensemble des participants à l’exercice, de valider l’interopérabilité des moyens et du commandement selon des procédures communes, en vue de leur application sur le terrain lors du prochain exercice majeur Croix du Sud en novembre 2016.

Suite de l’article

 

FANC : Participation à l’exercice Equateur 2015
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8 octobre 2015 4 08 /10 /octobre /2015 07:35
photo Northrop Grumman

photo Northrop Grumman

 

06 October, 2015 by James Drew – FG

 

Washington DC  - Northrop Grumman has built the first F-35 centre fuselage destined for Japan’s domestic joint strike fighter assembly plant, operated by Mitsubishi Heavy Industries (MHI).

 

The company says the centre fuselage is the core of AX-5, Japan’s fifth example, and will become the first to enter Japan's Nagoya final assembly and checkout plant instead of prime contractor Lockheed Martin’s facility in Fort Worth, Texas. “It is the 207th centre fuselage that the company has produced at its Palmdale site, and the 30th such unit delivered this year,” the company said in a 4 October statement. “[MHI] will perform final assembly and checkout of the Japanese F-35As. The process includes mating the centre fuselage to the forward fuselage/cockpit and wings produced by Lockheed Martin, and the aft fuselage produced by BAE Systems.”

 

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8 octobre 2015 4 08 /10 /octobre /2015 06:35
USS Benfold (DDG 60) - (Archives/photo US Navy)

USS Benfold (DDG 60) - (Archives/photo US Navy)

 

Oct 6, 2015 by Ryan Maass(UPI)

 

San Diego - The Alreigh Burke-class guided-missile destroyer USS Benfold left for Yokosuka, Japan from San Diego to join the U.S. 7th Fleet, the U.S. Navy announced on Tuesday. Benfold's mission is to enhance the presence in the 7th Fleet as part of the U.S. military's plan to reinforce the Indo-Asia-Pacific region. As a guided-missile destroyer, Benfold adds ballistic missile defense capabilities to the fleet. The U.S. Navy is aiming to station their most capable ships to the 7th Fleet, allowing for rapid response times if and when the need arises. Additionally, the ship will participate in maritime security operations and training exercises with allies. Cmdr. Michele Day, Benfold's commanding officer, says his team is proud to join the Forward Deployed Forces family in Japan.

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6 octobre 2015 2 06 /10 /octobre /2015 16:35
Sous-marins : le Japon se lance aussi dans la compétition du siècle

L'appel d'offres porte sur le remplacement des sous-marins australiens de la classe Collins et pourrait concerner jusqu'à 12 sous-marins de plus de 4.000 tonnes. (photo RAN)

 

06/10/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr (avec agence)

 

D'abord réticents, les Japonais se disent capable de fabriquer entièrement les sous-marins Soryu en Australie. Ils se posent comme des concurrents sérieux face à DCNS et à l'allemand ThyssenKrupp Marine Systems.

 

Le consortium japonais en lice pour un contrat de défense de 35 milliards de dollars (31 milliards d'euros) en vue de la livraison de sous-marins à l'Australie s'est dit certain mardi de pouvoir construire entièrement des submersibles sur place si le gouvernement australien en fait la demande. Ce qui est pourtant le cas, Canberra demandant entre autre des propositions avec une industrialisation sur place. Le consortium, composé de l'État, de Mitsubishi Heavy Industries et de Kawasaki Heavy Industries propose à la marine australienne le sous-marins de type Soryu, long de 84 mètres et déplaçant 4.200 tonnes en plongée.

Alors que la question des emplois industriels est un sujet politique sensible en Australie, le consortium japonais s'était jusqu'à présent montré réticent à prendre un tel engagement, contrairement à ses concurrents européens, DCNS et l'allemand ThyssenKrupp Marine Systems (TKMS). L'appel d'offres porte sur le remplacement des sous-marins australiens de la classe Collins et pourrait concerner jusqu'à 12 sous-marins de plus de 4.000 tonnes. La décision de Canberra est attendue à l'horizon de la fin du premier trimestre 2016.

"Je pense que nous sommes très confiants dans notre capacité à construire des bateaux en Australie dès le départ", a déclaré un porte-parole du ministère japonais de la Défense, Masaki Ishikawa, en marge d'un déplacement dans une exposition navale à Sydney.

 

Le mea culpa des Japonais

Masaki Ishikawa s'est dit persuadé que la solution hybride prônée par son gouvernement, consistant à construire une partie des sous-marins au Japon et l'autre en Australie, serait la moins chère pour le contribuable australien. Le Japon a paru dans un premier temps disposer d'une longueur d'avance sur ses concurrents européens pour ce contrat, l'un des plus importants en valeur actuellement dans le monde en matière de défense, en raison de la relation personnelle privilégiée nouée entre le Premier ministre japonais Shinzo Abe et celui qui était alors son homologue australien, Tony Abbott.

L'éviction de ce dernier par Malcom Turnbull pourrait toutefois avoir changé la donne, d'autant que le consortium japonais semble avoir multiplié les maladresses ces derniers temps. Masaki Ishikawa a reconnu mardi que le consortium japonais avait certainement été déficient en matière de relations publiques. "Nous comprenons la nécessité de nous adresser davantage aux responsables politiques, aux médias et à l'opinion publique", a-t-il assuré.

 

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 11:35
photo EMA / Marine Nationale

photo EMA / Marine Nationale

 

30/09/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 21 septembre 2015, la frégate de surveillance Vendémiaire a appareillé de Nouméa pour une mission en Asie du Sud-Est.

 

Cette campagne qui a lieu chaque semestre, s’inscrit dans le cadre de la mission de présence des Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC) sur le théâtre Pacifique. Elle vise principalement à entretenir notre connaissance de la zone Asie-Pacifique et à animer la coopération régionale avec les pays riverains, tout en réaffirmant l’attachement de la France à la libre circulation en mer. Le Vendémiaire représentera par ailleurs la France à la célébration du 150ème anniversaire de la création du port de Yokosuka, conçu par un ingénieur français. Il y participera à la grande revue navale au Japon, organisée pour cette occasion.

En marge de son départ en mi / ion, le Vendémiaire a accueilli à son bord monsieur Vincent Bouvier, Haut-Commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie. Sa présence à bord s’inscrivait dans le cadre de la présentation des moyens des FANC qui avait débuté il y a un an. Cette visite lui a permis de découvrir les missions du Vendémiaire et d’avoir un aperçu de la vie embarquée.

 

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photo EMA / Marine Nationalephoto EMA / Marine Nationale

photo EMA / Marine Nationale

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 07:35
Les atouts de DCNS pour remporter le méga-contrat des sous-marins australiens

 

29 septembre 2015 Par Hassan Meddah - UsineNouvelle

 

Opposé à l’allemand TKMS et à un consortium japonais, le fabricant de navires militaires s’est positionné sur le contrat de renouvellement de la flotte de sous-marins de la Royal Australian Navy. Un contrat qui pourrait atteindre 30 milliards d’euros. DCNS proposera une version conventionnelle du sous-marin nucléaire Barracuda déjà en production pour la marine française.

 

Pour les fabricants de sous-marins, c’est le contrat du siècle. L’Australie a lancé une compétition pour le renouvellement de sa flotte,  de Collins vieillissants de conception suédoise qui devraient quitter le service d’ici 2025. La pays serait prêt à acheter entre 6 à 12 sous-marins pour un montant qui pourrait atteindre 30 milliards d’euros.

Après leur pré-sélection au printemps dernier, seuls trois groupes ont eu l’opportunité de déposer une offre initiale le 18 septembre dernier. Le français DCNS sera ainsi opposé à son rival de toujours, l'allemand ThyssenKrupp Marine Systems (TKMS) et à un consortium japonais regroupant Kawasaki et Mitsubishi.

Les candidats seront départagés selon six critères: le design des sous-marins, leur coût, l’organisation industrielle associée pour les produire, leur maintenance sur trente ans et la capacité d’intégrer un système de combat américain. Enfin le prix sera bien sûr un élément déterminant de l’offre.

La Royal Australian Navy exige un sous-marin de la gamme des 4000 tonnes et plus capable d’opérer de longues missions océaniques. Sur le plan industriel, Canberra n’écarte aucune option : une production "on-shore" (c'est-à-dire locale), "off-shore" (entièrement à l’étranger) ou un mix des deux, où le premier exemplaire pourrait être par exemple produit chez le fournisseur et le reste dans un chantier naval australien. Elle a demandé à chacun des candidats de plancher sur les trois scénarios. Ils doivent remettre leur copie définitive fin novembre. L’Australie sélectionnera ensuite un fournisseur exclusif d’ici le premier semestre 2016 pour des premières livraisons estimées d’ici 2026.

 

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17 septembre 2015 4 17 /09 /septembre /2015 16:35
Japon: les lois de défense adoptées en commission après des échauffourées entre sénateurs

 

17 septembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Tokyo - Des sénateurs en sont venus aux mains jeudi au Parlement japonais avant l'adoption en commission de nouvelles lois de défense autorisant l'envoi de militaires à l'étranger pour aider un allié en difficulté, une première depuis la guerre.

 

La voie est désormais ouverte pour un vote en session plénière au Sénat, procédure qui entérinerait les textes et qui doit intervenir dans les heures ou jours à venir, malgré une opposition farouche.

 

Jeudi à deux reprises, devant le Premier ministre Shinzo Abe impassible, des membres de l'opposition et de la coalition au pouvoir ont encerclé le président d'une commission spéciale et se sont bousculés et empoignés vigoureusement.

 

Le parlementaire d'opposition Tetsuro Fukuyama a ensuite prononcé un discours enflammé expliquant pourquoi son parti avait déposé une motion pour tenter d'empêcher l'adoption de cette réinterprétation de la Constitution pacifiste du Japon.

 

Le parti au pouvoir écoute-t-il les voix du public ? Vous pouvez faire tout ce que vous voulez parce que vous avez la majorité. Est-ce bien cela que vous pensez ?, a-t-il lancé au bord des larmes.

 

La tension est montée d'heure en heure et l'adoption des textes en commission a été reportée à plusieurs reprises, les parlementaires bloquant les portes et encombrant les couloirs en signe de protestation.

 

Selon les médias japonais, 13 personnes ont été arrêtées mercredi soir pour entrave à agent de police pendant une manifestation qui a rassemblé quelque 13.000 personnes devant le Parlement.

 

Ces dernières semaines, des milliers de Japonais ont défilé dans les rues presque quotidiennement, dans un pays où les manifestations sont rares.

 

Bien que la Constitution actuelle, qui empêche les soldats japonais de prendre part à des combats en dehors de l'auto-défense, ait été imposée par l'occupant américain, nombre de Japonais y sont attachés et estiment que tout changement remettrait en cause le caractère pacifiste de leur pays. Ils craignent que le Japon ne soit entraîné dans un conflit lointain aux côtés des Américains.

 

Mais selon le Premier ministre Abe, une évolution des lois est nécessaire pour faire face à des menaces grandissantes venant de Chine et de Corée du Nord.

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16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 12:35
Défense : Airbus compte-t-il pour du beurre au Japon ?

Airbus Helicopters a refusé de participer au Japon à un appel d'offres avec le NH90 dans sa version navale - photo Airbus HC

 

16/09/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Les groupes américains sont il avantagés par rapport au géant européen au Japon? Après l'invraisemblable échec en juillet dans un appel d'offres portant sur des hélicopères, Airbus Group a successivement dû jeter l'éponge au Japon en ne participant pas à deux appels d'offres lancés par le ministère de la Défense japonais.


 

Le groupe Airbus vient de prendre trois grosses claques au Japon en très peu de temps dans la défense, et plus particulièrement dans des domaines où le géant européen a pourtant du succès : Airbus Helicopters deux fois et Airbus Defence and Space (avions ravitailleurs). Des déboires d'autant plus surprenants qu'ils interviennent au moment où l'Europe et le Japon vont prochainement conclure d'ici à la fin de l'année un ambitieux accord de libre-échange. Tokyo joue-t-il vraiment le jeu?

La filiale hélicoptères du groupe européen a d'abord perdu en juillet un contrat imperdable à sa très grande surprise. D'où le communiqué dépité fin août du constructeur de Marignane qui "confirme son extrême surprise à la suite de l'annonce faite par le ministère japonais de la Défense le 17 juillet".  Et pourtant Airbus Helicopters proposait à Tokyo de codévelopper et de cofabriquer le programme X9, un hélicoptère de 4 à 5 tonnes. Mais le ministère de la Défense japonais s'est tourné vers "une plate-forme existante et ancienne", le Bell 412. Les Etats-Unis ont-ils forcé la main aux Japonais pour ne pas perdre ce contrat au moment où les tensions en mer de Chine sont extrêmes?

 

Airbus Helicopters jette l'éponge

Puis mardi, Airbus Helicopters a annoncé avoir jeté l'éponge au Japon dans le cadre d'un appel d'offre de Tokyo qui souhaite s'équiper d'un hélicoptère naval destiné à la Force maritime d'auto-défense. Le constructeur franco-allemand, qui voulait vraisemblablement proposer le NH90 dans sa version navale (NFH), a estimé que la demande du ministère de la Défense japonais, qui privilégie "l'importance du contenu local par rapport à la performance opérationnelle réelle", ne lui permettait pas d'avoir des chances de succès.

"Il est presque impossible pour Airbus Helicopters de prendre part à cette compétition bien que nous estimons avoir la plate-forme la plus appropriée pour répondre aux besoins opérationnels" de la marine japonaise, a-t-il expliqué. D'où la "décision de ne pas participer à cet appel d'offres".

 

Airbus Defence and Space aussi

Enfin, Airbus Defence and Space a estimé en septembre que les chances de gagner de l'A330 MRTT au Japon étaient trop faibles compte tenu des conditions qui tendaient trop à orienter le choix vers les appareils du concurrent américain Boeing. Officiellement, le ministère japonais de la Défense pensait effectuer un choix entre le modèle KC-46A et les A330 MRTT. Mais Airbus ne souhaite pas jouer le lièvre dans cet appel d'offres. La date limite pour le dépôt des offres était le mercredi 9 septembre.

Dans un communiqué, Airbus DS a expliqué avoir été contraint de "conclure qu'il n'y avait pas de perspective réaliste de remporter cette compétition". L'avionneur a estimé que le fait de permettre à l'offre concurrente de passer par le système américain de ventes militaires à l'étranger "sans mécanisme permettant d'établir une comparaison équitable du prix rend extrêmement difficile pour toute autre compagnie de participer à la compétition". En outre, "l'efficacité de combat accrue de l'A330 MRTT doit être prise en compte dans toute comparaison avec un avion plus petit et moins efficace", a-t-il ajouté.

 

L'A330 MRTT, un best-seller à l'export

L'A330 MRTT a déjà gagné six contrats à l'export, tous presque face à son concurrent américain. Dernier en date en Corée du Sud, qui est le sixième pays à l'exportation à opter pour l'A330 MRTT, après Singapour, l'Australie, l'Arabie Saoudite, les Émirats Arabes Unis et le Royaume-Uni, qui ont commandé 34 exemplaires au total. L'A330 MRTT a également été sélectionné par l'Inde (six appareils), le Qatar (deux) ainsi qu'une commande de l'Agence européenne de défense (AED) pour le compte des Pays-Bas, de la Pologne et de la Norvège (4 appareils). A chaque appareil vendu à l'export, la part française s'élève à un tiers du contrat sur ce type d'appareils. A ce jour, 24 A330 MRTT sont en service au sein de quatre pays.

L'A330 MRTT a rendu les armes seulement deux fois dans les compétitions auquel il a participé. Aux États-Unis en 2011 après un combat de titan face à Boeing pour le contrat du siècle qui représentait 179 avions ravitailleurs pour une valeur totale de 35 milliards de dollars. Plus récemment au Brésil, Airbus a dû affronter un concurrent israélien, qui proposait la modernisation de KC-767 de Boeing à des prix extrêmement bas. Mais la compétition a été finalement annulée par Brasília

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16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 11:35
Mer de Chine méridionale: le Japon promet d’autres navires au Vietnam

 

15 septembre 2015 45eNord.cz (AFP)

 

Le Japon s’est engagé mardi à livrer des navires supplémentaires au Vietnam pour renforcer ses forces en mer de Chine méridionale où, ont averti les deux pays dans une allusion voilée à Pékin, la construction d’îles artificielles menace la stabilité.

 

Le Premier ministre japonais Shinzo Abe a également annoncé des prêts d’infrastructures de quelque 100 milliards de yen (740 millions d’euros) après s’être entretenu avec le secrétaire général du parti communiste au pouvoir au Vietnam, Nguyen Phu Trong, qui se rendait pour la première fois dans l’archipel.

 

Le Vietnam et le Japon renforcent leur coopération dans les eaux de l’Est asiatique où ils sont aux prises avec des disputes territoriales avec la Chine.

 

Dans un communiqué commun diffusé après leur réunion, les deux hommes politiques ont exprimé leur vive inquiétude face aux récents événements qui se poursuivent en mer de Chine méridionale.

 

Ces avancées de grande ampleur sur la mer et la construction d’avant-postes ont érodé la confiance et menacé la paix et la stabilité dans la région et dans le monde, ont-ils poursuivi.

 

Le Japon a décidé de donner au Vietnam des navires d’occasion supplémentaires, à sa demande, a déclaré le Premier ministre japonais au cours d’une conférence de presse, sans en préciser le nombre. Cette décision bénéficiera au Vietnam pour améliorer ses capacités de défense du droit maritime, a-t-il ajouté.

 

Le ministère japonais des Affaires étrangères avait indiqué l’an dernier que le Japon donnerait au Vietnam six bateaux usagés pour patrouiller la mer de Chine méridionale.

 

Les tensions et revendications concurrentes entre la Chine et ses voisins d’Asie du sud-est en mer de Chine méridionale avaient dominé les dernières réunions de l’Asean et des grandes puissances début août à Kuala Lumpur, où le secrétaire d’Etat américain John Kerry avait dénoncé la militarisation entreprise par Pékin. Les ministres des pays d’Asie du sud-est s’étaient alarmés des menaces sur la paix dans cette région.

 

D’après un rapport du Pentagone, ce sont près de 1.200 hectares de terrains artificiels qui ont été gagnés sur les eaux par la Chine grâce à de gigantesques travaux de remblaiement et de construction d’îles artificielles depuis une vingtaine de mois.

 

En juillet, le Japon avait promis à cinq pays riverains du Mékong – le Cambodge, le Laos, la Birmanie, la Thaïlande et le Vietnam – une aide de 6,1 milliards de dollars pour cette région où Tokyo cherche à étendre son influence face à la montée en puissance de la Chine.

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16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 11:35
Haijing 2901 - China's heavily armed patrol boat may provoke escalation


15.09.2015 Pacific Sentinel
 

China is deploying its largest maritime patrol vessel, the Haijing 2901 to the eastern island of Zhoushan for a potential war of attrition with Japan over the disputed East China Sea, according to the Tokyo-based Sankei Shimbun on Sept. 13.

 

It has been Japan's policy to deploy its coast guard vessels instead of warships to prevent its territorial conflict with China over the Diaoyutai islands (Diaoyu to China, Senkaku to Japan, which controls them), from escalating into a full-scale war. The deployment of the Haijing 2901, which is also the world's largest maritime patrol vessel with a greater displacement than the Arleigh Burke-class destroyers of the United States, will eventually challenge this policy since Japan's coast guard has no vessel that can counter it.

 

Read the full story at Want China Times

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16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 07:35
Editorial: Chinese Admiral - South China Sea ‘Belongs to China’

 

16 September 2015 By Franz-Stefan Gady – Pacific Sentinel

 

At a recent naval conference a Chinese Vice Admiral did not mince words.

 

Speaking at this year’s First Sea Lord/RUSI International Sea Power Conference in London, Chinese Vice Admiral Yuan Yubai, commander of the People’s Liberation Army Navy’s (PLAN) North Sea Fleet, did not shy away from controversy. He emphatically stated that the South China Sea belongs to China.

 

“The South China Sea, as the name indicates, is a sea area that belongs to China. And the sea from the Han dynasty a long time ago where the Chinese people have been working and producing from the sea,” he said through an interpreter, according to Defense News.

 

Yubai was sitting on a panel with the U.S. Assistant Deputy Chief of Naval Operations Rear Adm. Jeff Harley and the President of the Japanese Maritime Self-Defense Force’s Command and Staff College, Vice Admiral Umio Otsuka, discussing the role of naval power in the Indian and Pacific Oceans.

 

Yubai’s statement came in response to Otsuka criticizing the land reclamation activities of “certain state actors” in the region. “Land reclamation conducted by some countries has been a problem in the South China Sea (and) we have to admit that the rule of law is at risk in this region. The JMSDF will secure the credibility of a deterrence capability and seek a multilateral framework in the Indo-Pacific region,” he said.

 

Read the full story at The Diplomat

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8 septembre 2015 2 08 /09 /septembre /2015 16:35
Chengdu JF-17 Xiaolong (Thunder) combat aircraft

Chengdu JF-17 Xiaolong (Thunder) combat aircraft

 

September 5, 2015: Strategy Page

 

In April, May and June of 2015 Japanese fighters had to take off and intercept intruders 173 times. Chinese aircraft were the cause 66 percent of the time otherwise they were usually Russian. During the same three months in 2014 there were 340 Japanese fighter sorties to deal with intruders and 70 percent of the time the intruders were Chinese. In 2013 Japanese aircraft went up over 300 times to confront Chinese aircraft (often recon aircraft) coming too close to Japanese air space. Thus 2013 was the first year Chinese intrusions exceeded Russian ones. This has been coming for several years. In 2011 nearly 43 percent of the sorties were for Chinese aircraft. That's almost three times as many Chinese intrusions as in 2010. Russian aerial activity has been declining for years and this is believed due to the difficulty and expense of keeping elderly Russian aircraft operational. Russia cannot afford to replace its Cold War era aircraft.

 

Although Russian warplanes continue to be a nuisance off the coast Japan considers Russian activity much less threatening. The Russian aircraft are flying more training missions in the Pacific and the Japanese have come to understand how it is nearly impossible for Russian pilots getting out to sea without showing up on a Japanese radar or coming close to Japanese air space. That’s because there is a lot of Japanese airspace off the east coast of Eurasia, so Russian warplanes out there cannot avoid passing close to Japanese air defense radars. China does not have this problem.

 

In 2011, the 355 Japanese anti-intrusion sorties were up 17 percent over the previous year, while in 2010, sorties were up 29 percent. They have continued to climb. All this should be measured against Cold War activity, which peaked in 1984 with 944 interception sorties. After the Cold War ended in 1991 (when there were 488 sorties), the number of intrusions fell through the 1990s, but since 2000 have increased.

 

These intrusions have been increasing sharply since 2008. Initially the Japanese launched many aircraft for each intrusion. For example, in 2008 a Russian Tu-95 entered Japanese airspace near an uninhabited island about 600 kilometers south of Tokyo. Although the Russian aircraft was in Japanese airspace for only about three minutes the Japanese launched 22 aircraft to intercept. This force included two AWACs aircraft and twenty fighters. No Russian aircraft entered Japanese airspace without permission again until 2013 and the Russians apologized for that one. But as the intrusions increased, the number of interceptors sent out for each incident decreased.

 

The Japanese believe that one cause for this increased activity is more electronic and maritime patrol aircraft are available to the Chinese who have a desire to gather as much information as possible about their strongest potential foe in the area. But the main reason is the dispute with China over the Senkaku Islands near Okinawa. China and Japan both claim these uninhabited islets, which are 320 kilometers southeast of the Chinese mainland, 167 kilometers northeast of Taiwan, and 426 kilometers southwest of Japan (Okinawa, which China also has claims on). The Senkaku Islands and have a total area of 6.3 square kilometers. Taiwan also claims the Senkakus, which were discovered by Chinese fishermen in the 16th century and taken over by Japan in 1879. They are valuable now because of the 380 kilometer economic zone nations can claim in their coastal waters. This includes fishing and possible underwater oil and gas fields.

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 17:35
Mer de Chine : le Japon poursuit son réarmement

Face à la menace de la Chine, notamment sur les iles Senkaku, le Japon poursuit son réarmement

 

01/09/2015 par Michel Cabirol – laTribune.fr (avec agences)

 

Le Japon veut augmenter son budget de la défense pour la quatrième année consécutive. Le ministère de la Défense veut une enveloppe de près de 38 milliards d'euros.

 

Le ministère de la Défense japonais a déposé lundi pour la quatrième année de suite une demande de budget record pour l'exercice d'avril 2016 à mars 2017, dans le but d'élargir encore ses moyens dans une région où la Chine est considérée comme une menace. Le ministère souhaite une enveloppe initiale de 5.090 milliards de yens (près de 38 milliards d'euros), soit une hausse de 2,2% sur un an justifiée par la nécessité de davantage protéger les îles nippones éloignées du territoire principal de l'archipel, notamment celles du sud-ouest, à proximité de Taïwan.

Pékin et Tokyo se disputent la souveraineté de territoires inhabités en mer de Chine orientale, les îles Senkaku, contrôlées par le Japon mais revendiquées par la Chine sous l'appellation Diaoyu.

 

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 16:35
Pourquoi le choix de Tokyo désespère tant Airbus Helicopters

Le ministère de la Défense japonais a sélectionné un appareil de plus de 50 ans d'âge (Crédits : Bell Helicopters)

 

26/08/2015 Par Michel Cabirol - LaTribune.fr

 

Alors que Airbus Helicopters proposait à Tokyo de codévelopper et de cofabriquer le programme X9, un hélicoptère de 4 à 5 tonnes, le ministère de la Défense japonais s'est tourné vers "une plate-forme existante et ancienne", le Bell 412. Cet appareil aura plus de 60 ans au moment de l'entrée en service du programme UH-X.

 

La déception d'Airbus Helicopters est immense après la sélection par le Japon du consortium formé par l'industriel japonais Fuji Heavy Industries et l'américain Bell... Elle se lit d'ailleurs entre les lignes du communiqué publié ce mardi. Associé à son partenaire japonais habituel Kawasaki Heavy Industries (KHI), maître d'oeuvre de ce programme, le constructeur de Marignane "confirme son extrême surprise à la suite de l'annonce faite par le ministère japonais de la Défense le 17 juillet", a-t-il expliqué dans une déclaration envoyée par email à La Tribune. C'est également le premier échec commercial d'Airbus Helicopters depuis le début de l'année.

 

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