7 déc. 2015 NZ Defence Forces
A glimpse of the new state of the art rifles to be introduced into service in 2016.
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7 déc. 2015 NZ Defence Forces
A glimpse of the new state of the art rifles to be introduced into service in 2016.
02/12/2015 Sources : Ministère de la Défense
Du 23 octobre au 23 novembre 2015, les Forces armées en Nouvelle Calédonie (FANC) et les Forces armées en Polynésie française (FAPF) ont participé à la seconde édition de l’exercice néozélandais Southern Katipo. Les FANC ont projeté dans la région de Marlborough, au Nord de l’île du Sud, un officier et une section du Régiment d’infanterie de Marine de Polynésie Nouvelle-Calédonie (RIMaP-NC). Les FAPF ont déployé la frégate de surveillance Prairial.
Southern Katipo est un exercice multinational organisé tous les deux ans par la Nouvelle-Zélande (en alternance avec l’exercice Croix du Sud organisé par les FANC). Pour cette édition, l’exercice a mobilisé environ 2 500 hommes issues de huit nations* du Pacifique. Le scénario retenu était basé sur l’intervention d’une coalition dans un pays dont la situation sécuritaire s’était dégradée suite à des problèmes communautaires. Cet exercice est l’occasion de développer l’interopérabilité avec les différentes nations présentes.
Après une semaine d'instruction sur les équipements et matériels qui allaient être utilisés, la section du RIMaP-NC a été intégrée à une compagnie du 2nd/1st Royal New Zealand Infantry Regiment pour effectuer des missions de contrôle de zone. Elle a ensuite été rattachée à une compagnie composée de sections de différentes nationalités (Fidjiens, Tongiens et Papous) sous commandement néo-zélandais, pour réaliser l’assaut final contre un camp d’entraînement de miliciens.
17/11/2015 Sources : État-major des armées
Le 15 octobre 2015 au matin, la frégate de surveillance Prairial et son équipage ont quitté leur port base de Papeete et mis le cap sur la Nouvelle-Zélande pour une mission de deux mois au cours de laquelle ils participeront à l’exercice Southern Katipo 2015 (du 23 octobre au 23 novembre 2015).
Southern Katipo est un exercice multinational organisé par la Nouvelle-Zélande tous les 2 ans (en alternance avec l’exercice Croix du Sud organisé par les FANC lui aussi tous les 2 ans). Pour cette édition, l’exercice a mobilisé environ 2 500 participants issus de 8 nations* du Pacifique Sud. Le scénario retenu est basé sur l’intervention d’une coalition dans un pays dont la situation sécuritaire s’est dégradée suite à des conflits communautaires. Cet exercice, pour lequel la France a déployé la frégate de surveillance Prairial (FAPF) ainsi qu’une section du RIMaP-NC (FANC), est l’occasion de développer l’interopérabilité avec les différentes nations présentes.
Les dix jours de transit vers Auckland, ont été mis à profit pour parfaire l’entraînement de l’équipage, et pour réaliser des patrouilles de surveillance maritime visant notamment à détecter les actes de pêche illégale. Appuyé par son hélicoptère embarqué (AL III de la 22S), le Prairial détecte, et si besoin, visite les navires en action de pêche afin de vérifier la bonne application des règles de la Western Central Pacific Fisheries Commission ** (WCPFP).
Le Prairial a placé ses deux premières escales en Nouvelle-Zélande sous le signe de la coopération, du rayonnement et de la mémoire. Ainsi, le 27 octobre, à Auckland, Madame Jeanblanc-Risler, ambassadrice de France en Nouvelle-Zélande a remis sur le pont du Prairial la Légion d’honneur à deux vétérans néozélandais venus se battre sur le théâtre européen pendant la seconde guerre mondiale. Une cérémonie émouvante pour les vétérans comme pour leurs familles. Le cocktail organisé à l’issue a été l’occasion pour l’équipage du Prairialde rencontrer la communauté française de Nouvelle-Zélande, ainsi que des autorités néozélandaises. Puis, en escale à Wellington du 30 octobre au 2 novembre 2015, le Prairial s’est ouvert aux visiteurs : plus de 1 500 personnes ont profité de cette occasion unique pour découvrir la frégate. Le capitaine de frégate Alexis, commandant la frégate, a également profité de cette escale pour rencontrer l’amiral commandant l’état-major de la Marine néozélandaise, ainsi que le deputy-mayor de Wellington.
Le Prairial a repris la mer le 3 novembre 2015 au matin, de concert avec le chasseur de mines HMSNZ Manawanui, en vue de débuter sa mission de Force Protection au profit du HMNZS Canterbury au sein de la force amphibie néerlandaise, l’Amphibious Task Force (ATF), en mission dans les eaux pacifiques.
* Australie, Canada, Etats-Unis, Fidji, France, Nouvelle-Zélande, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Tonga
** La WCPFP est une organisation régionale des pêches qui lie 27 pays, dont la France, le Japon et les Etats-Unis. Elle a pour but la conservation et la gestion des stocks de poissons grands migrateurs, ainsi que la protection d’espèces menacées ou protégées. Reconnue par les Nations-Unis, elle édite des règles qui s’appliquent à tous les navires de pêche.
10 nov. 2015 New Zealand Defence Force
Here is a video of soldiers from Fiji, Papua New Guinea and Tonga in Exercise Southern Katipo 2015. Sharing a common cultural affinity, the soldiers from the pacific nations are keen to exercise with the NZDF and it's coalition partners.
Exercise Southern Katipo (SK15) is the New Zealand Defence Force’s (NZDF) major military exercise and occurs every two years. Personnel from New Zealand and eight other countries - Australia, Canada, Fiji, France, Papua New Guinea, Tonga, the United Kingdom, and the United States will participate in the month-long international exercise in the Buller, Tasman and Marlborough regions of the South Island.
The exercise aims to test and evaluate the NZDF’s ability to plan and conduct joint operations involving a range of naval, land and air assets from various nations.
The training scenario is set in a fictional South Pacific country called Becara, which is fighting for its political survival after being beset for years by rising poverty, massive unemployment and low foreign investor confidence. Two hostile groups are exploiting the government’s vulnerabilities and are jockeying for power. Following a request for assistance from the Becaran government, New Zealand has deployed a military contingent to lead a multinational Combined Joint Task Force that will help restore law and order in the South Pacific country. The multinational task force will be conducting stability, support and humanitarian operations, including the evacuation of internal displaced persons, as they strive to set the conditions for Becara’s economic and social recovery.
03.11.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
Depuis deux mois, un officier supérieur britannique, l'Air Vice Marshal Sean Corbett, officie au sein de la DIA (Defense Intelligence Agency) en tant que "deputy director for Commonwealth Integration".
A lui de seconder le lieutenant general Vincent Stewart sur les questions de renseignements concernant les "Five Eyes" (USA, GB, Canada, Australie et Nouvelle-Zélande). Mais selon certaines sources US, ce poste est celui d'un "senior liaison officer")
Quoi qu'il en soit, c'est la première fois qu'un poste de ce niveau est confié à un ressortissant étranger.
Je rappelle le Danemark, la France, les Pays-Bas et la Norvège font eux partie des "Nine Eyes".
28.10.2015 Ronald Mayhill (left) and Basil Williams receive their medals yesterday from French Ambassador Florence Jeanblanc-Risler. Photo Jason Oxenham.jpg
Oct 28, 2015 nzherald.co.nz
France has honoured the heroic efforts of two New Zealand war veterans - one who joined a successful bombing mission after being blinded in one eye, the other who survived a German prisoner of war camp.
On a French naval frigate docked in Auckland, Ronald Mayhill and Basil Williams were awarded medals as knights of the French Legion of Honour yesterday. French Ambassador Florence Jeanblanc-Risler presented the Aucklanders with the medals on Prairial, which was docked in Auckland from Saturday until today. The World War II veterans, who trained in Canada and Britain, were recognised in the presence of friends, family and officials, including several Defence Force representatives.
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October 26, 2015 By Lockheed Martin - defencetalk.com
Lockheed Martin Canada marked an important milestone toward modernizing the Royal New Zealand Navy’s two ANZAC Class ships. The company announced that the ANZAC frigate systems upgrade project has successfully completed the combat system critical design review on schedule and to New Zealand’s satisfaction. The government-mandated review proves a contractor’s progress and planning for all elements of a program. It covered in detail all of Lockheed Martin Canada’s plans for shipboard systems and designs. With the successful review, Lockheed Martin Canada can begin implementing detailed designs and plans for the system’s key components, which will in turn lead to ship installation. The milestone is the latest achievement for Lockheed Martin Canada’s ANZAC team in the 16 months since contract award.
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14/10/2015 Sources : État-major des armées
Du 28 septembre au 7 octobre 2015, l’état-major interarmées des Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC) a organisé à Nouméa l’exercice Equateur 2015. Il s’agit d’un exercice d’état-major (Command Post Exercice) réalisé tous les 2 ans et alliant plusieurs pays partenaires de la région. L’objectif est d’optimiser l’interopérabilité des chaînes de commandement des pays participants dans la perspective de l’exercice Croix du Sud dont la prochaine édition aura lieu en 2016 et qui s’accompagnera d’un important déploiement de forces interalliées. 80 personnes issues de 13 Nations différentes y ont participé.
Cette édition était fondée sur un scénario de catastrophe naturelle majeure dans un pays du Pacifique Sud nécessitant l’intervention d’une force interalliée mandatée par l’ONU. L’objectif, pour les FANC, était de déployer le PC opératif de la force chargé de planifier et de conduire les deux volets de l’opération consistant à sécuriser l’envoi d’une aide humanitaire et procéder à une évacuation de ressortissants. Un scénario bien réel, puisque les FANC sont intervenues après le passage en mars dernier du cyclone Pam au Vanuatu, où vivent 2000 ressortissants français. Il s’agissait pour l’ensemble des participants à l’exercice, de valider l’interopérabilité des moyens et du commandement selon des procédures communes, en vue de leur application sur le terrain lors du prochain exercice majeur Croix du Sud en novembre 2016.
Suite de l’article
13.10.2015 by FANC
Du 5 au 24 août 2015, dans le cadre des activités de coopération militaire bilatérale entre l’Australian Defence Force et les Forces Armées de la Nouvelle-Calédonie (FANC), un détachement du RIMaP-NC a été accueilli au sein de l’Australian Army dans le cadre des échanges annuels de section dénommé Villers-Bretonneux.
Reportage photos
6 oct. 2015 by New Zealand Defence Force
More than 100 New Zealand Defence Force personnel were deployed in late April alongside the Australian Defence Force to train Iraqi Security Forces so they can better counter the threat posed by ISIL (Dash) and deter its further advances. Task Group Taji, which is composed of New Zealand and Australian personnel, has trained 2100 Iraqi soldiers to date. The training covers weapons handling, combat first aid, live fire training and drills in complex warfighting environments (urban assault, counter-improvised explosive device, etc.)
02/10/2015 armée de Terre
Le XV du Pacifique a eu l’occasion d’affronter l’équipe militaire néo-zélandaise, le 29 septembre dernier, sur la pelouse du stade Jean-Bouin, à Paris.
Une rencontre historique puisque le dernier match entre deux équipes militaires française et néo-zélandaise sur le territoire national remontait au 8 avril 1917. A l’époque, les « Defence Blacks » l’avaient remporté 40 à 0.
Malgré une nouvelle défaite des français 50 – 0, ces retrouvailles de 80 minutes ont été l’occasion de célébrer l’amitié entre deux nations amoureuses du rugby devant un public de passionnés. Une rencontre également marquée par le souvenir des sacrifices de la Première Guerre mondiale, l’ensemble des bénéfices ayant été reversés à des associations d’anciens combattants des deux pays.
Note RP Defense : voir Le rugby militaire commémore 100 ans de fraternité
Le XV du Pacifique a fait la démonstration de son haka aux pieds de l’Arc de triomphe. - photo C.Lebertre DICoD.jpg
30/09/2015 Carine Bobbera - Ministère de la Défense
Lundi 28 septembre 2015, la sélection nationale militaire de rugby « XV du Pacifique » et la sélection nationale militaire de rugby de Nouvelle-Zélande ont procédé au ravivage de la flamme du soldat inconnu sous l’Arc de triomphe, à Paris. Ils ont prolongé ce moment de fraternité par un match de gala, le lendemain, au stade Jean-Bouin.
Les chants du Pacifique ont résonné sous les arcades de l’Arc de triomphe, ce lundi 28 septembre 2015. La sélection nationale militaire de rugby « XV du Pacifique » et la sélection nationale militaire de rugby de Nouvelle-Zélande ont procédé au ravivage de la flamme du soldat inconnu sous l’Arc de triomphe, à Paris.
Présidée par le gouverneur militaire de Paris, le général de corps d’armée Bruno Le Ray, et par l’ambassadeur de Nouvelle-Zélande, Son Excellence monsieur James Loundon Kember, cette cérémonie s’inscrit dans le cadre des commémorations de la Grande Guerre et rend hommage aux forces armées françaises et néo-zélandaises, tout particulièrement aux rugbymen militaires qui sont tombés au champ d’honneur pendant la Première Guerre mondiale.
A la fin de la cérémonie, le XV du Pacifique a réalisé son traditionnel haka devant les regards médusés d’enfants et ceux plus amusés de leurs homologues militaires des « Defence Blacks ».
Les deux équipes se sont retrouvées le lendemain, le mardi 29 septembre, au stade Jean-Bouin (Paris 16e) pour un match de gala. Les Néo-Zélandais se sont imposés 50-0 face aux Français, qui ont néanmoins exprimé leur fierté d’avoir affronté ces sportifs de haut niveau. Le dernier match d’une sélection nationale militaire de rugby néo-zélandaise contre leurs homologues français remonte au 8 avril 1917 ! Déjà, à cette époque, les All Blacks Defence l’avaient emporté. Mais est restée dans les mémoires la démonstration impressionnante du haka néo-zélandais et l’échange fraternel des maillots, entre les deux équipes alliées, à la fin du match.
Note RP Defense : voir reportage photos sur la page Facebook NZDF Rugby - Defence Blacks
XV du Pacifique – Defence Blacks
Haka of XV du Pacifique
28/09/2015 armée de Terre
Au moment du déclenchement de la Première Guerre mondiale, le rugby, souvent présenté comme une métaphore du combat et de la solidarité, est très populaire en France. La Grande Guerre, en favorisant le contact avec les alliés anglo-saxons et néo-zélandais, influence alors durablement la pratique française de ce sport.
Avant la guerre, ce que l’on appelle encore le football-rugby se diffuse en France par le biais de l’équipe nationale, intégrée au tournoi des Cinq Nations en 1910, et des premiers clubs qui se développent. Fondé à l’initiative des marins anglais en 1872, Le Havre Athlétique Club est le premier club français. Le rugby s’implante ensuite dans le Sud-Ouest, via le port de Bordeaux, où vit une importante communauté britannique. En région parisienne, le stade de Colombes devient en 1907 un haut lieu de rencontres de football-rugby.
En 1914, beaucoup de joueurs français sont mobilisés à l’instar de l’ensemble de la population masculine. Selon Michel Merckel, porteur dans le cadre des commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale d’un projet d’édification d’un monument aux morts sportifs, sur 421 sportifs de haut niveau, 121 sont des joueurs de rugby. Aimé Giral, un des joueurs phares de l’Union sportive Arlequins perpignanaise (USAP), meurt ainsi à 20 ans le 22 juillet 1915 dans la Marne.
Engagés dans la Grande Guerre, de nombreux rugbymen australiens et néo-zélandais viennent également se battre sur le sol français. C’est le cas de David Gallaher, capitaine de l’équipe de Nouvelle-Zélande, tué en 1917 au cours de la bataille de Passchendaele (Belgique). Un trophée portant son nom, créé en 2000, est ainsi remis, chaque année, à l’équipe vainqueur du premier test-match entre la France et la Nouvelle-Zélande.
La pratique du rugby se développe avec la stabilisation du front et la nécessité d’occuper les soldats positionnés à l’arrière. Un moyen pour eux de s’évader, le temps d’un match, de leur terrible quotidien. Des rencontres sont ainsi organisées entre les unités sous l’impulsion de l’armée britannique. Un match emblématique se déroule également au Parc des Princes en avril 1917 entre l’équipe de France militaire et l’équipe britannique.
Dans la mêlée des tranchées et la violence de la guerre, le rugby français a donc connu un élan décisif. Un héritage qui vit toujours aujourd’hui.
29 sept. 2015 par Armée de Terre
A l’instar des troupes de l’Empire britannique, les soldats néo-zélandais sont engagés dans la Première Guerre mondiale. Regroupés au sein de l’Australian and New-Zealand Army Corps (ANZAC), sous les ordres du général Godley, ils assurent d’abord la défense du canal de Suez puis combattent en juillet 1915 dans les Dardanelles où ils subissent de lourdes pertes malgré une conduite héroïque.
Après réorganisation, l’ANZAC combat en France à partir de septembre 1916 où il s’illustre dans lors de la bataille de la Somme, au cours l’offensive des Flandres en juin 1917 avant de participer à la seconde bataille de la Marne en 1918.
Issus d’un pays où le rugby est le sport de prédilection, les soldats néo-zélandais participent à l’accélération de la diffusion de ce sport sur le sol français. Ils amènent aussi avec eux le fameux haka, danse chantée effectuée par l’équipe du rugby à XV néo-zélandaise depuis 1905. Un haka est d’ailleurs exécuté sur le champ de bataille de Gallipoli avant d’être effectué au Parc des Princes en avril 1917, lors d’un match entre l’équipe militaire de Nouvelle-Zélande et l’équipe militaire française.
Danse traditionnelle maorie, le haka est interprété à l’occasion de cérémonie, de fêtes de bienvenue, ou avant de partir à la guerre. Plus que tout autre aspect de la culture maorie, cette danse chantée est l’expression de la passion, de la vigueur et de l’identité de ce peuple. Des valeurs propres au rugby, un sport souvent présenté comme une métaphore du combat et de la cohésion.
4 juil. 2015 by NZDF
The action ramps up in Australia as the New Zealand forces spread across the bush in Central Queensland as part of Exercise Talisman Sabre 2015. The National Support Element, with the help of Royal New Zealand Air Force's NH90 helicopters, has been working behind the scenes to ensure supplies are delivered to Kiwi troops out in the bush.
Talisman Sabre marks the first time the NH90s have been deployed offshore and is a great opportunity to show their capability and effectiveness in a challenging coalition environment.
Talisman Sabre is the Australian Defence Force's largest warfighting exercise. It involves almost 30,000 troops from the ADF, the US military, the NZDF and Japan's Self-Defense Force. The NZDF has deployed two ships, four aircraft including two NH90 helicopters, 22 Light Armoured Vehicles, 23 other military vehicles and around 620 personnel for the exercise.
30 juin 2015 New Zealand Defence Force
The New ZealandNew Zealand Defence Force lands safely in Australia after being transported across the sea by the HMNZS Canterbury. Our ship carried over two of our newest NH90 helicopters and around 45 military vehicles.
The exercise involves 30 000 troops from the ADF, the US military and NZDF and Japan's Self Defence Force.
Footage courtesy of Australian Defence Force
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10 juin 2015 by NZDF
The run-up to Exercise Talisman Sabre begins at Wellington, where the Navy's HMNZS Canterbury will be taking two of our newest NH90 helicopters and around 45 military vehicles to Australia.
The exercise involves 30 000 troops from the ADF, the US military and NZDF and Japan's Self Defence Force.
03/06/2015 Sources : État-major des armées
Du 20 au 30 mai 2015, les forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC) ont participé à l’opération de police des pêches Tui Moana, organisée par la Forum Fishery Agency (FFA).
Les FANC et les forces armées en Polynésie française (FAPF) ont été engagées pendant 10 jours aux côtés des Samoa, des îles Cook, des Tonga, des Fidji, de Tuvalu et du Tokelau, soutenus par les Etats-Unis, l’Australie et de la Nouvelle-Zélande dans cette opération de surveillance maritime régionale.
L’objectif de Tui Moana était de surveiller les zones de concentration de pêcheurs et de montrer la capacité des nations partenaires à partager et à exploiter des informations afin, si nécessaire, d’inspecter les pêcheurs suspects et de contrôler la légalité des prises.
Pour cette opération, les moyens des FANC étaient déployés dans les zones économiques exclusives (ZEE) et les eaux internationales entre la Nouvelle-Calédonie et Wallis-et-Futuna. Tout d’abord, un Falcon 200Gardian du détachement de la flottille 25F a été prépositionné à Wallis afin de conduire des missions de surveillance maritime en collaboration avec la frégate de surveillance Vendémiaire dans la ZEE de ce territoire français.
Dans le cadre de sa mission de représentation, le Vendémiaire a patrouillé dans la ZEE de Wallis pendant une semaine, et a effectué des contrôles dans une poche de haute mer située entre le Vanuatu et Fidji. Un officier tongien et un officier fidjien ont embarqué sur la frégate française lors d’une escale à Sydney, renforçant ainsi la coopération entretenue avec ces nations dans le cadre de la police des pêches. Un patrouilleur fidjien est également entré en interaction avec le Vendémiaire.
Coordonnée par la FFA, instance internationale regroupant 17 États du Pacifique Sud et ayant pour vocation la gestion et la préservation de la ressource halieutique, l’opération Tui Moana a permis de réaliser plusieurs dizaines de contrôles (VHF et radio) et plusieurs visites de navire de pêche. Pour sa part le Vendémiaire,en coopération avec le Gardian, a effectué une inspection sur trois navires : deux chinois et un fidjien. Aucune infraction n’a été identifiée lors de ces visites.
En plus de Tui Moana, les opérations Kuru-Kuru, Rai Balang, Big Eye (FFA), Nasse (nouvelle opération organisée par les FANC, l’Australie et la Nouvelle-Zélande) et Tautaï (organisée par les FAPF) sont des opérations d’envergure de police des pêches auxquelles participe la France dans cette région du monde.
Les FANC constituent le point d’appui central du « théâtre » Pacifique avec un dispositif interarmées centré sur un groupement tactique interarmes (GTIA) et les moyens de projection associés. Avec les forces armées en Polynésie française (FAPF), dispositif interarmées à dominante maritime, les FANC ont pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France dans leur zone de responsabilité, d’animer la coopération régionale et d’entretenir des relations privilégiées avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique. Enfin, les FANC engagent régulièrement leurs moyens pour des opérations d’aide aux populations, en appui des autres services de l’Etat.
24 mai 2015 by New Zealand Defence Forces
The new officers from New Zealand Commissioning Course 2015 marches out from their graduating ceremony. These new officers represent the next wave of leadership for New Zealand Army. Included in this graduating ceremony are members of our Pacific neighbours' Armies who came to New Zealand to train as officers.
11/05/2015 Sources : État-major des armées
Le 28 avril 2015, au terme d’une escale de six jours à Wellington, la frégate de surveillance Vendémiaire et son équipage ont quitté la Nouvelle-Zélande. Cette escale, qui se situait à mi-parcours de la mission 2015-1, commencée le 8 avril et prévue pour se terminer le 29 mai 2015, avait été précédée d’une escale à Sydney.
L’escale dans la capitale néozélandaise s’inscrivait dans le cadre de la cérémonie du centième anniversaire de l’ANZAC DAY, qui commémorait la participation de l’Australian and New Zealand Army Corps (ANZAC) à la bataille de Galipoli le 25 avril 1915. Ainsi, une délégation du Vendémiaire était sur les rangs lors de la première cérémonie, le Dawn Service, en présence de vingt mille spectateurs et participants. Puis, le commandant du Vendémiaire, le capitaine de frégate Hervé Siret, a, conjointement avec madame Florence Jeanblanc-Risler, ambassadeur de France en Nouvelle-Zélande, le commandant supérieur des forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC) et l’attaché de défense, représenté la France aux autres commémorations qui se sont succédées.
Précédemment, à Sydney, au cours d’une cérémonie organisée sur la frégate, monsieur Christophe Lecourtier, ambassadeur de France en Australie, avait remis la légion d’honneur à cinq vétérans, dont l’un avait débarqué sur les côtes de France le 6 juin 1944.
En parallèle de ces activités officielles, le Vendémiaire a également profité de ces deux escales pour interagir avec les marines australienne et néo-zélandaise. Que ce soit à terre ou en mer, ces escales ont été propices à différents échanges riches en enseignements. Un « PASSEX » a notamment été réalisé avec le patrouilleur néo-zélandais HMNZS Wellington incluant des transferts de personnel par hélicoptère, des exercices d’évolution tactique (EVOLEX), des exercices de signaux Scott et de tirs d’artillerie. Seule la météo défavorable a empêché la réalisation des présentations pour ravitaillement à la mer (PRERAM) et les remorquages prévus.
Le Vendémiaire retourne désormais vers des eaux plus chaudes et continue sa mission dans le Pacifique. Le retour à Nouméa est prévu fin mai 2015.
La campagne de la frégate de surveillance Vendémiaires inscrit dans le cadre du déploiement quasi régulier de nos armées sur le « théâtre Pacifique ». Cette mission de présence est réalisée conformément aux objectifs stratégiques du Livre blanc de 2013, qui fait de la zone Pacifique une priorité. Elle permet de mettre en œuvre deux volets essentiels des missions confiées à nos forces de souveraineté : affirmer la présence opérationnelle française dans une zone d’intérêt stratégique, entretenir et approfondir nos coopérations régionales.
11/05/2015 Sources : Etat-major des armées
Le 1er mai 2015, le général de Revel, commandant supérieur des forces armées en Nouvelle-Calédonie (COMSUP FANC), a participé à la réunion des ministres de la Défense du Pacifique Sud (South Pacific Defence Ministers’ Meeting, SPDMM), en marge de laquelle les chefs d’État-major des Armées (CEMA) de la région ou leurs représentants se sont rencontrés.
Le COMSUP FANC a représenté le CEMA au sein d’une délégation française menée par monsieur Philippe Errera, directeur général des relations internationales et de la stratégie (DGRIS) représentant du ministre de la Défense, et composée de monsieur Pascal Maubert (ambassadeur de France en Papouasie Nouvelle Guinée), de monsieur Nicolas Regaud, conseiller du DGRIS, ainsi que de trois personnels de l’État-major interarmées (EMIA) des FANC.
Le SPDMM vise notamment à coordonner les efforts militaires dans des domaines susceptibles de bénéficier à l’ensemble des pays insulaires, comme la sécurité maritime, l’assistance humanitaire et le secours aux populations (HADR), l’entraînement aux opérations et le développement des capacités.
Cette deuxième édition du South Pacific Defence Ministers’ Meeting s’est déroulée à Port Moresby, en Papouasie-Nouvelle Guinée, en présence des plus hautes autorités de défense australiennes, néo-zélandaises, tongiennes, françaises et chiliennes. L’objectif de cette rencontre était de faire le point sur la coopération régionale et d’étudier des pistes pour l’approfondir. A l’issue de cette rencontre, le dispositif Povai Endeavour, proposé en 2013 lors du premier SPDMM afin d’optimiser la coordination des entraînements communs a été formellement adopté compte tenu de l’excellent retour d’expérience dont il a fait l’objet.
Dans Povai Endeavour, l’exercice Croix du Sud, organisé tous les deux ans par les FANC, est retenu comme l’activité majeure de préparation aux interventions HADR. Les autres principaux rendez-vous opérationnels dans la région sont l’exercice biennal néo-zélandais Southern Katipo pour les opérations de stabilisation, et l’opération annuelle de police des pêches Kurukuru pour la sécurité maritime, auxquels les FANC participent également.
26 mars 2015 New Zealand Defence Forces
The C-130 Hercules of Royal New Zealand Airforce celebrates her 50th birthday this week. Here's a highlight reel of her work delivering troops and cargo all around the world in support of NZDF's operations, missions and exercises.
15 mars 2015 NZDefenceForce
The A109 Simulator at RNZAF Base Ohakea provides top quality training to the airforce pilots in a safe and effective manner. This state of the art machine is the only one of few in the southern hemisphere of its kind, and can simulate all kind of challenging situation for the pilots to test themselves at.
Running at just 10 percent of the cost of running an actual aircraft, the machine can run all day for 250 days of the year. Any free flying time can be loaned out to other agencies, such as the Royal Malaysian Airforce who put their pilots through their paces against the simulator.
Check out the multinational forces at work in the NZDF's A109 Simulator!
13 March 2015 Pacific Sentinel
Files that US National Security Agency (NSA) whistleblower Edward Snowden gave to the Auckland-based New Zealand Herald revealed that New Zealand's intelligence organs have been instructed to spy on around 20 countries around the globe, including Asian countries such as China, Japan, North Korea and Iran, and to share this intelligence with its Five Eyes allies, the US, the UK, Australia and Canada, according to the website of China's Communist Party mmouthpiece, the People's Daily.
Around 20 countries and regions, including many of the country's major trade partners, were being spied on by New Zealand's Government Communications Security Bureau (GCSB), who installed listening posts hidden in embassies and other strategic locations and infected computer systems and phone networks of target countries with malware, according to the paper.
The documents, dating from April 2013 and released March 11 by the New Zealand newspaper in collaboration with US online news organization The Intercept, have emerged at the same time that the Wikipedia Foundation, along with a group of human rights advocacy organizations, including Amnesty International, are suing the NSA for its Dragnet online surveillance program, stating that the program is in violation of the US constitution, particularly in regard to the stifling of freedom of speech and privacy violations. Wikipedia said that it hopes the suit will bring an end to what it sees as illegal behavior.
Read the full story at Want China Times
6 mars 2015 par Henri Weill – Ainsi va le monde !
Le gouvernement néo-zélandais se serait livré à de activités " massives " d’espionnage, via la surveillance des réseaux de téléphonie mobile dans plusieurs pays du Pacifique Sud, notamment en Polynésie. Ces révélations sont extraites de documents publiés, ces dernières heures, par Wikileaks concernant l’activité des services néo-zélandais et en particulier leur Bureau de sécurité des télécommunications (GCSB) situé à Waihopai (île du sud).
Autres pays écoutés : Fidji, Kiribati, Nauru, Samoa, Salomon, Tonga, Tuvalu, Vanuatu. Ces renseignements seraient ensuite mis à la disposition de la National Security Agency américaine (NSA), et de « l’Alliance des cinq yeux » (Five Eyes alliance), qui lie, outre les États-Unis et la Nouvelle-Zélande, l’Australie, le Royaume-Uni et le Canada. Après la divulgation de ces informations, on attend maintenant la réaction de Paris (avec Flash d'Océanie).