Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 17:45
Sangaris : un C130 polonais en appui des opérations logistiques

 

 

03/02/2014 Sources : EMA

 

Le 30 janvier 2014, les autorités polonaises ont mis un avion de transport tactique C130 à disposition de la force Sangaris pour appuyer les manœuvres logistiques entre la France et la RCA.

 

C’est le Président Bronisław Komorowski qui a signé le 29 janvier dernier la décision d’envoyer un contingent militaire polonais en soutien des troupes françaises en RCA. Une cinquantaine de militaires et civils polonais sont désormais déployés en soutien de la force Sangaris. D’une durée de trois mois, ce soutien est réalisé depuis la base aérienne 123 d’Orléans Bricy.

 

Le contingent polonais compte deux équipages, un avion C-130 Hercules et du personnel de service au sol. Un deuxième appareil est en disponibilité opérationnelle sur la base aérienne de Powidz en cas de défaillance du premier.

 

Le 30 janvier 2014,  le général de corps d’armée Lech Majewski, Commandant général des composantes des Forces armées polonaise s’est rendu sur la base aérienne de Powidz dans le cadre de la cérémonie précédant le départ du détachement polonais vers la BA 123. A cette occasion, il a indiqué que la participation polonaise s’inscrivait dans le cadre du renforcement de la coopération franco-polonaise .

 

La coopération de défense entre la France et la Pologne s’inscrit dans le cadre du partenariat stratégique signé en 2008. Cette coopération opérationnelle s’exerce principalement dans le domaine de la formation, des entraînements et des exercices. Elle a dernièrement été mise en évidence dans le cadre de l’exercice de certification de la force de réaction rapide de l’OTAN, Steadfast Jazz. Organisé en Pologne du 2 au 9 novembre 2013, cet exercice avait notamment permis de renforcer notre interopérabilité au sein de l’Alliance.

Sangaris : un C130 polonais en appui des opérations logistiques
Sangaris : un C130 polonais en appui des opérations logistiques
Partager cet article
Repost0
2 février 2014 7 02 /02 /février /2014 20:20
Après les avions et les bateaux, au tour des «drones» sur roues et sur route

Le «Système autonome mobile» (AMAS) développé par Lockheed Martin et les Forces armées américaines permettent aux convois de se passer de conducteur, évitant ainsi des pertes de vie humaine (Lockheed Martin)

 

1 février 2014 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

Pour éviter les pertes de vie à l'avenir, des camions sans conducteurs en zones de combat

 

La meilleure façon d’éviter des pertes de vie chez les conducteurs de convois militaires en zones hostiles est simplement de ne plus en avoir, de conducteur. la solution, c’est le «drone» de la route.

 

L’armée américaine a longtemps cherché des options pour protéger les convois militaires américains de kamikazes, des engins explosifs artisanaux ( IED) et d’autres attaques depuis les guerres en Irak et en Afghanistan.

 

Les convois de l’armée américaine seront maintenant bientôt en mesure de rouler dans les pires zones de combat sans qu’il y ait à se soucier d’éventuelles pertes de vie grâce une la nouvelle technologie qui rendra les véhicules du convoi entièrement autonomes.

 

Après les avions et les bateaux sans pilotes, les camions sans conducteurs!

 

Ce mois-ci à Fort Hood, au Texas, la société américaine Lockheed Martin et le Centre de développement et d’ingénierie des camions et blindés de l’Armée américaine (TARDEC) ont fait la démonstration des capacités la capacité du «Autonomous Mobility Appliqué System», le «Système autonome mobile» (AMAS)

 

Le AMAS donne une pleine autonomie aux convois qui peuvent même naviguer dans les milieux urbains.

 

Lors des tests, les véhicules tactiques sans conducteur ont pu naviguer à travers dangers et obstacles, y compris les piétons, la circulation venant en sens inverse, les carrefours, les ronds-points, les véhicules immobilisés sur la voie et les autres véhicules qui circulent sur la route.

 

En vertu d’un contrat initial de 11 millions $ en2012, Lockheed Martin a développé en partenariat avec l’Armée et la Marine américaines un ensemble («kit») multiplateforme qui intègre des capteurs à faible coût et des systèmes de contrôle avec des véhicules tactiques afin de permettre un fonctionnement autonome en convois .

 

Selon Lockheed, AMAS donne également aux conducteurs, quand conducteurs il y a, le choix entre «pilotage automatique» ou «manuel».

 

«Les logiciels du système AMASAMAS ont fonctionné exactement comme prévu , et traité avec succès tous les obstacles du ‘réel’ qu’un convoi serait appelé à rencontrer dans le ‘monde réel’ » a déclaré David Simon , responsable du programme AMAS pour Lockheed Martin.

 

Non seulement les convois sans conducteur ajoutent un degré de sécurité dans des conditions dangereuses, mais ils sont un pas de plus vers le «rêve» Pentagone dMune guerre sans pertes humaines.

 

«[ AMAS ] ajoute un poids considérable à la détermination de l’armée d’obtenir des systèmes robotisés pour les combattants», a déclaré pour sa part le directeur technique TARDEC Bernard Theisen .

Partager cet article
Repost0
2 février 2014 7 02 /02 /février /2014 17:45
Côte d’Ivoire : la force Licorne expertise les pistes d’aviation du théâtre

 

01/02/2014 Sources : EMA

 

Du 8 au 30 janvier 2014, la force Licorne et un détachement du 25e régiment du génie de l’air (25e RGA) ont conduit une mission d’expertise des principales pistes d’aviation du théâtre.

 

Cette mission avait pour objectifs, grâce aux savoir-faire des spécialistes du rétablissement et du maintien en condition d’infrastructures aéroportuaires du 25eRGA, de vérifier la praticabilité de ces terrains et renouveler leurs homologations, appuyer l’ONUCI dans l’utilisation de ses capacités aériennes et conseiller les autorités locales dans la gestion de leurs infrastructures aéroportuaires.

 

L’équipe a reconnu une douzaine de pistes de poser en trois semaines en coordination avec l’ONUCI, sur une mission cumulant près de 20 heures de vol, et des déplacements routiers avec la force Licorne sur plus de 1500 km. Les conclusions de ces études permettront en outre de connaître les capacités d’utilisation et les limites des aérodromes du pays. Elles seront exploitées par les autorités ivoiriennes, l’ONUCI et les forces françaises.

 

Forte de 450 hommes, la force Licorne accompagne la réforme de l’armée ivoirienne en soutien de l’ONUCI. Elle est également en mesure d’assurer la protection des ressortissants français si besoin était. Les données recueillies lors de cette mission lui serviront dans le cadre d’évacuation de ressortissants ou d’intervention sur tout le territoire.

Côte d’Ivoire : la force Licorne expertise les pistes d’aviation du théâtre
Côte d’Ivoire : la force Licorne expertise les pistes d’aviation du théâtre
Partager cet article
Repost0
2 février 2014 7 02 /02 /février /2014 17:30
En direct du pétrolier-ravitailleur Meuse, l'opération Bois-Belleau

02.02.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense


L'opération Bois-Belleau est dans sa phase finale. D'une durée de trois mois, elle se prolongera jusqu’à la mi-février 2014. Ce déploiement concerne 2600 militaires français.

 

Y participent:
- le porte-avions Charles de Gaulle avec un état-major du groupe aéronaval et le groupe aérien embarqué (10 Rafale Marine au standard F3 de la flottille 12F, 9 Super étendard modernisé de la flottille 17F, 2 avions Hawkeye de la flottille 4F, 2 hélicoptères EC 725 de l’escadron 01-067 qui assurent la mission de recherche et de sauvetage au combat, 2 hélicoptères Dauphin et 1 hélicoptère Alouette III de la flottille 35F)
- la frégate de défense anti-aérienne Forbin et un hélicoptère Panther de la flottille 36F
- la frégate anti-sous-marine Jean de Vienne et un hélicoptère Lynx de la flottille 34F
- le pétrolier ravitailleur Meuse
- un sous-marin nucléaire d’attaque
- un avion de patrouille maritime Atlantique 2 de la flottille 23F.

 

Pour lire un témoignage sur la vie à bord du PR Meuse, cliquer ici.

 

Pour en savoir plus sur Bois-Belleau, aller sur page que la Marine lui consacre sur son site web en cliquant ici.

Partager cet article
Repost0
31 janvier 2014 5 31 /01 /janvier /2014 17:20
USMC receives three prototype P-19 replacement ARFF vehicles

 

 

31 January 2014 naval-technology.com

 

The US Marine Corps (USMC) has received three Oshkosh P-19 replacement aircraft rescue and firefighting (ARFF) vehicle prototypes from Oshkosh Defense.

 

The delivery is part of a $192m firm-fixed-price, indefinite-delivery indefinite-quantity contract awarded to Oshkosh Defense in May 2013 to deliver new fleet of P-19 replacement ARFF vehicles to serve as the USMC's off-road firefighting vehicle of the future.

 

Under the contract, Oshkosh will provide the ARFF vehicles, as well as support and sustainment services to replace the USMC's current ageing fleet of A/S32 P-19A aircraft rescue/structural firefighting vehicle.

 

The three prototype vehicles will begin the USMC's testing.

 

Oshkosh Defense Defense Programs senior vice-president John Bryant said: "The Oshkosh P-19R will replace the fleet of Oshkosh P-19A ARFF vehicles, which were first fielded with the Marine Corps in 1984 and are reaching the end of their service lives.

 

"With this vehicle, we've rolled into one platform our decades of experience producing military and ARFF vehicles to give Marines more advanced firefighting capabilities."

 

Based on the Oshkosh logistics vehicle system replacement (LVSR) platform and Striker firefighting systems from Oshkosh Airport Products, the new vehicle is fitted with the new tactical wheeled vehicle technologies to support fire emergency missions at military bases and expeditionary airfields.

 

Featuring TAK-4 independent suspension system to provide exceptional mobility for off-runway response situations, the next-generation Oshkosh P-19R is also equipped with Oshkosh Command Zone integrated diagnostics and automation system to allow crew to conduct firefighting missions with increased situational awareness.

 

The new vehicle also meets the modern requirements of the NFPA 414 standard, which sets the ARFF vehicles' design, performance and acceptance criteria.

Partager cet article
Repost0
28 janvier 2014 2 28 /01 /janvier /2014 22:45
Le 503e RT au Mali : à fond, sur tous les fronts !

 

28/01/2014 CNE E. ROSSI - Armée de Terre

 

Projeté au Mali depuis plus de deux mois pour grossir les rangs du bataillon logistique de Gao, le 503e régiment du train de Nîmes poursuit son école du désert. Sur ce théâtre d’opération, les conditions opérationnelles sont exigeantes et les élongations à nulles autres pareilles. Zoom sur la mission du 503.

 

« Toujours réalisée dans un contexte d’insécurité, la mission est exaltante car chaque passage dans une mer de sable ou chaque franchissement de dune est un piège à éviter. Le désert est un professeur sévère », affirme le commandant d’unité du sous-groupement logistique de Gao.

 

Au bout de deux mois de présence sur la base de Gao, le sous-groupement logistique n°1 a pris un rythme d’engagement soutenu, effectuant de nombreuses missions avec toujours le même enthousiasme. Il a en charge le ravitaillement du train de combat n°2 des opérations en cours. En décembre dernier, en plus de ses missions de ravitaillement sur Ménaka, Kidal et Tessalit, il a participé à l’opération CONGRE avec le groupement tactique interarmes Korrigan et le groupement aéromobile Hombori, au nord de Tombouctou.

 

Quant au peloton de commandement et logistique et à la cellule du système d’information logistique central-manutention, ils œuvrent sans répit à la montée en puissance des convois et au soutien des unités de la base de Gao, comme notamment la construction du hangar modulable (Bachmann) du groupement aéromobile.

 

Nul doute que face à un milieu naturellement hostile, le professionnalisme et la rigueur du métier des armes sont indispensables au succès de la mission.

Partager cet article
Repost0
28 janvier 2014 2 28 /01 /janvier /2014 08:45
Piraterie : un pétrolier américain ravitaille 4 bâtiments de la force Atalante

 

27/01/2014 Sources : EMA

 

Le 21 janvier 2013, quatre bâtiments de la force navale européenne Atalante, dont le bâtiment amiral, le transport de chalands de débarquement Siroco, ont été ravitaillés au large de la corne de l’Afrique par le pétrolier-ravitailleur américain USNS Joshua Humphreys

 

Avant de procéder au ravitaillement en gasoil du TCD Siroco, le pétrolier-ravitailleur américain Joshua Humphreys avait effectué le double ravitaillement du patrouilleur de haute mer espagnol Tornadoet de la frégate allemande Hessen, tous deux engagés aux côtés du Sirocoau sein de la force navale européenne.

 

La veille, la frégate italienne Libecioavait été ravitaillée par ce même pétrolier-ravitailleur. Au bilan, plus de 1100 mètres cubes de gasoil et une soixantaine de mètres cubes de carburant aviation ont été délivrés en 4 heures trente de manœuvres. Le contre-amiral Hervé Bléjean, commandant de la force navale européenne, a salué l’importance d’un tel soutien : la coopération  internationale dans cette zone ouest de l’océan Indien est une réalité, c’est même l’une des clés de la réussite de notre mission contre la piraterie. De même, voir aujourd’hui trois navires de la force rassemblés en un même lieu est un moment unique. La bonne répartition des moyens navals d’Atalante, en coordination avec les autres forces internationales opérant dans le Golfe d’Aden et le bassin somalien, offre peu d’occasion au navire amiral Siroco de croiser plusieurs autres navires Atalante simultanément. »

 

Dans le cadre d’accords militaires entre les pays de l’OTAN, et sans être engagés dans la même opération, les bâtiments de l’Alliance ont la possibilité de ravitailler ou d’être ravitaillés en mer entre eux. Cette manœuvre a démontré une nouvelle fois l’interopérabilité des bâtiments de l’OTAN.

 

Le  Siroco a rejoint l’opération Atalante de lutte contre la piraterie, au large de la corne de l’Afrique depuis le 6 décembre 2013 avec à son bord l’Etat-major de la Force placé sous lecommandement du contre-amiral Hervé Bléjean. Il s’agit du troisième commandement français de la force navale Atalante depuis sa création en décembre 2008.

 

L’opération Atalante a pour mission d’escorter les navires du Programme alimentaire mondial (PAM), de participer à la sécurité du trafic maritime et de contribuer à la dissuasion, à la prévention et à la répression des actes de piraterie au large des côtes somaliennes.

 

La France est un acteur majeur et historique participant à l’opération Atalante depuis ses débuts avec le déploiement régulier de bâtiments de la marine nationale. Le dispositif peut

Partager cet article
Repost0
27 janvier 2014 1 27 /01 /janvier /2014 12:45
Tchad : Transfert d’autorité sur la base de soutien de la force Epervier

 

23/01/2014 Sources : EMA

 

Le 11 janvier 2014, le lieutenant-colonel Alain Fuchs a pris le commandement de la base de soutien à vocation interarmées (BSVIA) de l’opération Epervier au Tchad. Il succède au lieutenant-colonel Jean-Pierre Turel.

 

La BSVIA de la force Epervier est composée de plus de 300 militaires de l’armée de l’air et de l’armée de Terre. Elle a pour mission de soutenir le fonctionnement de la force Epervier pour l’accomplissement de sa mission dans de nombreux domaines : la gestion et mise en œuvre de la plate-forme aéronautique, la protection des emprises, le secours incendie, l’information de la circulation aérienne, la lutte contre le péril aviaire, le service des essences, la maintenance des véhicules terrestres, les approvisionnements techniques, la rénovation et l’entretien de la piste et des parkings aéronautiques, l’escale aérienne militaire, la prévention, la sécurité des emprises.

 

La force Epervier assure deux missions permanentes, conformément à l’accord de coopération technique signé entre la France et le Tchad : d’une part, apporter un soutien aux forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes et, d’autre part, garantir la sécurité des ressortissants français au Tchad. Par ailleurs, tout en assurant ces deux missions, les éléments stationnés à N’Djamena participent directement aux opérations Serval au Mali et Sangaris en Centrafrique.

Tchad : Transfert d’autorité sur la base de soutien de la force EpervierTchad : Transfert d’autorité sur la base de soutien de la force Epervier
Tchad : Transfert d’autorité sur la base de soutien de la force Epervier
Partager cet article
Repost0
21 janvier 2014 2 21 /01 /janvier /2014 08:20
Pentagon Still Scaremongering on Budget Cuts

 

January 20, 2014 defense-aerospace.com

(Source: U.S Department of Defense; issued January 17, 2014)

 

Kendall: Military Technological Superiority Not Assured

 

WASHINGTON --- The decline in research and development brought on by budget cuts is contributing to the erosion of the U.S. military’s technological superiority at an alarming rate, the undersecretary of defense for acquisition, technology and logistics said.

 

“Technological superiority is not assured,” Frank Kendall told a conference yesterday sponsored by the Center for a New American Society. “The United States came out of the Cold War, and demonstrated in the first Persian Gulf War, a very significant superiority in military technology and the application of those technologies. And we’ve sort of had an assumption [during] the last 20-plus years that that {American] technological superiority would be a fact of life in the world.”

 

The Defense Department has “a big part of sustaining the levels of [research and development] investment that I think we need,” Kendall added.

 

Despite the relief provided by a trillion dollar plus spending bill approved by Congress for 2014, Kendall said the department still faces heavy budget cuts.

 

“We’re still taking substantial cuts, and [2015] is much worse than ’14 is,” he said. “And then we don’t know what will happen to us after that.

 

“So with budgets heading in that direction,” he continued, “and all the uncertainty we’re dealing with, the Department of Defense has a very difficult planning problem.”

 

Part of that planning problem, according to Kendall, is the uncertainty of how much force structure DOD will be able to retain.

 

“There’s always a tendency to hang onto force structure in order to do to the things we need to do in the world,” he said. “But if we do hang onto that force structure, the consequence of that is R&D has to be cut,” in order to pay salaries and readiness.

 

 

“And that’s what you’re seeing even with the appropriations bill the Senate just passed,” Kendall said. “And it gets much worse as we go further out.”

 

Eventually, “if we know where the [budget] is going, we can get our force structure down to where we can get in balance between those different accounts that I mentioned,” he said.

 

The undersecretary laid out three points supporting his concern for the erosion of U.S. technological superiority.

 

“[Research and development] is not a variable cost. There’s a tendency in the Defense Department, when we cut budgets, to kind of cut everything.

 

“But what drives R&D is the rate of modernization that we desire,” Kendall continued. “[It] is really not dependent on the size of the force structure.”

 

Kendall’s second point is time is not a recoverable asset. R&D really buys that time in something of a race for technological superiority, he said.

 

“I can buy back readiness, I can increase force structure, but I don’t have any way to buy back the time it takes me to get a new product,” Kendall said.

 

That timeline in the acquisitions business is relatively long, Kendall said, noting how often he gets remarks about the length of an acquisitions process which hasn’t changed much over the years.

 

Essentially, Kendall said, it takes about two years before the department can get a budget to spend serious money on an idea.

 

“Then we have two or three years to four years of risk reduction where we develop the technology to where we’re confident we can put it into a product,” he said. “Then we have five or six years of development of making the product ready for production.”

 

Combine that with the “few years of buying enough numbers to make a difference militarily,” Kendall said, and the timeline easily becomes 10 or 15 years.

 

“So for that reason as well, I’m concerned,” he said. “I’m trying to do a lot of things now to hedge against these [challenges] and make people aware of these things and do more about them.”

 

Kendall reiterated how important he believes research and development is to maintaining DOD’s edge in technological superiority.

 

“It’s critical to the department, it’s critical to our future,” he said. “It is not ‘the wolf closest to the sled’ right now, necessarily. But I think it is absolutely paramount that we keep our R&D budgets funded.”

Partager cet article
Repost0
20 janvier 2014 1 20 /01 /janvier /2014 19:30
For Dubai Firm, Logistics Doesn't End With Afghanistan Withdrawal

Moving On: Move One sees opportunities in East Africa and Central Asia as the US withdraws from Afghanistan.

 

Jan. 20, 2014 - By AWAD MUSTAFA  - Defense news

 

DUBAI — Over the past year, NATO forces have begun withdrawing from Afghanistan and Iraq while both countries are still battling al-Qaida and the Taliban.

 

The withdrawal efforts have created a steady business for logistics firms. But it would be a mistake to assume that business is drying up.

 

United Arab Emirates-based Move One Logistics said opportunities exist beyond the Afghanistan withdrawal.

 

“We are looking potentially in mining and natural resources where there is a lot of new cargo and mining equipment being imported by foreign companies,” said Gregory Forgrave, produce manager for government services at Move One. “We have been there [in Afghanistan] since 2001, and we are not looking at leaving any time soon. Also in Central Asia, it is somewhere we have been established even longer than Afghanistan, and we will be helping out in the US demobilization out of Uzbekistan and Kyrgyzstan.”

 

CEO Curt Clements said Move One sees its business now going from one or two markets to 40.

 

“The French now are getting involved and they could uplift their troops into Mali, for example, and would need a US uplift,” he said. “So to support that, the US may need intelligence bases, logistics bases. I don’t think the US military ever significantly gets smaller, they just shift around.”

 

Move One, which describes itself as the “final mile guys,” recently became the first international logistics company to register in East Africa.

 

“We see a lot of potential there, and we have a local partner in Ethiopia who will help us provide the service to our customers,” Clements said.

 

The company operates in hostile areasby partnering with the locals.

 

“We focus on what we do best and let the local guys handle their business because it’s their market,” Clements said. “We are going to rent your warehouse, we are going to hire your security, because we don’t get into their business and this makes it easier for us and them to operate more efficiently.”

 

However, the job comes with risks.

 

“We have had upset local authorities who in the same country beat our truck drivers because they thought they were smuggling uniforms while they were personal effects,” Clements said.

 

Forgrave said another troubling situation involved an urgent shipment of meals, ready-to-eat (MREs) from the US to Afghanistan to be distributed to US forces heading to southern Afghanistan to cut the poppy plants.

 

“The shipment arrived at Bagram air base and the MREs were distributed and the customer was very happy. But three days later, we received a notification that the supplier had made a mistake and not added cookies ... and we had to arrange a whole new charter of a planeload of cookies to be flown in and redistributed with the meals,” he said. “Stranger things have happened.”

 

Clements started supporting the US military and NATO when he delivered minesweepers to Sarajevo airport following the peace accord in Bosnia-Herzegovina.

 

The company initially started operations in Russia as the customs broker and the heavyweight agent for logistics firm DHL, he said.

 

“In 1995, we set up in Hungary with the US military, and we supported their operations all over the Balkans.”

 

After 9/11, operations moved to Central Asia ahead of the Afghan invasion.

 

“We became the first international logistics company to operate in liberated Afghanistan and had the first trucks across the newly opened Peace Bridge between Afghanistan and Uzbekistan,” he said.

 

The company, now 22 years old, moved its headquarters from Hungary to Dubai in 2008. “Dubai is at the crossroads of our markets, and it gives us an opportunity to be able to regularly meet our clients,” he said.

 

Because of its operations and locations, the firm has been dubbed by the local press as the “kings of chaos.”

 

“Just before the new millennium when the Y2K scare was going around, we used to get 100-page faxes from our customers asking what our Y2K preparedness is. And one of our managers finally just told them, ‘every day is Y2K for Move One,’ ” Clements said.

 

“Every day we don’t have fuel, we don’t have electricity, our communications don’t work, and the banking doesn’t work in the areas that we’re operating in; there is no predictability.”

Partager cet article
Repost0
20 janvier 2014 1 20 /01 /janvier /2014 17:45
Brand Italy – military, diplomatic and humanitarian – on its way to South Africa

 

20 January 2014 defenceWeb

 

The Italian Navy’s 30th Naval Group is well into its six-month training, humanitarian and promotional sales tour and is due to port in South Africa on February 5.

 

The group departed Italy in November. It is led by the aircraft carrier Cavour and comprises the multi-mission frigate Bergamini, logistic support ship Etna and the Comandanti Class patrol ship Borsini.

 

The voyage combines training, diplomacy and humanitarian assistance with a privately funded marketing trip for Italian industry billed as a “moving country”.

 

The group has already ported in Bahrain and Doha in Qatar and has now moved into the Indian Ocean off the coast of Africa. Stops at a number of ports will see the issues of maritime security and merchant shipping protection addressed as well as support to navies of African costal countries through active co-operation.

 

The voyage is also flying the flag for the Mediterranean country’s foreign policy as well as marketing the “Made in Italy” brand. In this respect it was called a “floating Le Bourget” by Italian Defence Minister Mario Mauro when he saw the group off in November. This was in reference to the major defence industry exhibition held in Le Bourget, France.

 

The rationale behind the travelling sales mission, which will call at 19 ports before returning to Italy in April, is that companies on board will foot the bill, effectively underwriting crew training as regular funding for exercises dries up, DefenseNews reported.

 

Industry will pay more than €10 million for fuel costs and €3 million for other expenses, including port fees, while the Navy will pick up the €7 million wages bill, Navy Chief Admiral Giuseppe De Giorgi said at a press conference prior to the group’s departure.

 

He added the voyage would also see Italian Navy crews training in a challenging climate, far from home.

 

The Navy has been pushing to find creative ways to fund crew training while maintenance and operations budgets are eroding as planners divert large amounts for personnel spending, DefenseNews reported.

 

In the three-year budget published this year, maintenance and operations funding slips from €1.33 billion this year to €1.32 billion in 2014 and to €1.3 billion in 2015.

 

The Italian contingent is due to sign a co-operation agreement with Mozambique when the group ports in Maputo.

 

The marketing of Italian naval vessels also would be on the agenda in the Arabian Gulf, Morocco, South Africa and Mozambique, while in Angola, talks would continue regarding Italian industry helping to develop a new type vessel for the local navy, he said.

 

For companies in the Finmeccanica group, the voyage allows a focus on the gulf ports in Saudi Arabia, the United Arab Emirates, Oman, Qatar and Kuwait.

 

AgustaWestland will be parking an NH90 and AW101 helicopter on board the Cavour, while Oto Melara will promote its new guided munitions and Selex ES the combat management system it installed on Cavour. Torpedo unit WASS will promote its Black Shark torpedo, while visitors also will see the Storm Shadow, Meteor and Brimstone missiles built by MBDA, in which Finmeccanica holds a stake.

 

Small-vessel builder Intermarine is joining the trip, as is small arms maker Beretta.

 

“We are interested in the visits to the UAE, Qatar and Kuwait,” said Lorenzo Benigni, vice president for communications at electronics firm Elettronica, which has supplied self-protection systems on Cavour.

 

The defence stands will share space with displays promoting Italy’s hosting of Expo 2015, as well as stands taken by small aircraft maker Blackshape, tire-maker Pirelli and business aircraft company Piaggio Aero. Railway technology group Mermec and microsatellite builder Sitael also will be represented, as well as an Italian trade association grouping 2 800 furniture and wooden goods manufacturers.

 

The voyage, according to De Giorgi, is “a business card for Italy” while the Defence Minister described it as “a piece of Italy”.

 

Following stops in the gulf, the ships will also port in Kenya, Madagascar, Mozambique, South Africa, Algeria, Congo, Nigeria, Ghana, Senegal, Morocco and Algeria.

Partager cet article
Repost0
20 janvier 2014 1 20 /01 /janvier /2014 17:45
Les spécialistes de l’appui au déploiement sur le pont pour Sangaris

 

 

20/01/2014 Armée de l'air

 

Dès le coup d’envoi de l’opération Sangaris donné par le président de la République en décembre 2013, l’armée de l’air et ses spécialistes de l’appui au déploiement se sont rendus en Centrafrique. Leurs missions : maintenir la capacité de la plateforme aéronautique de Bangui et permettre les manœuvres aériennes vers et depuis le pays.

 

Le 25ème régiment du génie de l’air (RGA) et le groupement aérien d’appui aux opérations (GAAO) participent ainsi à la protection et à l’installation du camp français à Bangui, en fournissant leur expertise en matière d’infrastructures aéronautiques. Reconnaissance des terrains sommaires, réparation des pistes, nettoyage des aires aéroportuaires… Autant de défis relevés par la vingtaine de spécialistes sur le terrain.

 

« En plus des travaux, le détachement assure la garde de points sensibles et la protection de la zone en réalisant des systèmes d’obstacles sur l’aéroport », explique le lieutenant-colonel François Bouron, chef du bureau appui au déploiement au sein de la brigade aérienne d'appui à la manœuvre aérienne du commandement du soutien des forces aériennes. Et d’ajouter : « nous étions les premiers sur les lieux pour réaliser des plateformes et évaluer les capacités aéronautiques de la partie militaire ».

 

Les militaires du 25ème RGA et du GAAO appuient les opérations de la force Sangaris en assurant la praticabilité de la piste de l’aéroport international de Bangui et en réaménageant le camp militaire de M’Poko (création de plateformes logistiques, aménagement de zones de commandement et de zones vie, etc.).

Les spécialistes de l’appui au déploiement sur le pont pour Sangaris
Partager cet article
Repost0
19 janvier 2014 7 19 /01 /janvier /2014 12:45
Atalante : livraison au Kenya de véhicules pour EUCAP Nestor

 

16/01/2014 Sources : EMA

 

Le 11 janvier 2013, le transport de chalands de débarquement(TCD) Siroco, navire amiral de la force navale européenne Atalante a débarqué dans le port kenyan de Mombassa, deux véhicules appartenant à la mission de l’Union européenne chargé du renforcement des capacités maritimes régionales dans la corne de l’Afrique et l’océan indien occidental (EUCAP Nestor).

 

 Cette manœuvre, menée avec le concours de l’ambassade de France et des forces de sécurité kenyane, illustre l’étroite collaboration liant les missions de l’Union Européenne dans la corne de l’Afrique et l’ouest de l’océan indien.

 

Ces deux véhicules avaient été embarqués à bord du Siroco à l’occasion de son passage au large de Djibouti le 14 décembre dernier. Le lendemain, une action conjointe EUCAP Nestor et Atalante au large de la ville de Berbera avait permis la rencontre à bord du TCD d’une délégation de hautes autorités du Somaliland. [Lien vers la brève]

 

Pour le commandant de la Task Force 465, le contre-amiral Hervé Bléjean, « cette livraison de véhicules au profit de EUCAP Nestor est le parfait exemple  de la dynamique  de coopération se renforçant chaque jour entre les différentes missions de l’Union Européene sur l’ensemble de la côte Est africaine. La Force ATALANTA tient ainsi son rôle de soutien à l’approche globale  de l’Union Européenne dans cette région du monde.”

 

Lancée par l’Union européenne en 2012, la mission civile EUCAP Nestor a pour but d’assister et de conseiller l’ensemble des pays de la région sur les problématiques juridiques, stratégiques et opérationnelles en matière de piraterie.

 

Depuis le 6 décembre 2013, la France a reçu le commandement de la Task Force (TF) 465, force maritime européenne engagée dans l'opération de lutte contre la piraterie Atalante.La France participe à l’opération Atalante avec le déploiement quasi-permanent d’au moins une frégate de la marine nationale. Le dispositif peut être renforcé ponctuellement par un avion de patrouille maritime Atlantique 2 (ATL 2), de surveillance maritime Falcon 50, ou par un avion de commandement et de détection E3F.

Atalante : livraison au Kenya de véhicules pour EUCAP Nestor
Atalante : livraison au Kenya de véhicules pour EUCAP Nestor
Partager cet article
Repost0
19 janvier 2014 7 19 /01 /janvier /2014 12:45
Mali : Réarticulation du dispositif SERVAL

 

 

17/01/2014 Sources : EMA

 

Depuis le 2 janvier, la force Serval a repris son processus d’allègement débuté en septembre 2013 et différé pour la période des élections législatives maliennes.

 

Le 4 janvier, 2 hélicoptères Gazelle et 1 hélicoptère Tigre du groupement aéro-mobile (GAM) ont été désengagés. Le 22 décembre, 3 hélicoptères d’attaque de types Gazelle (2) et Tigre (1) ainsi qu’un hélicoptère de manœuvre Puma avaient déjà quitté le Mali. Désormais composé de 6 Puma, de 2 Gazelle et d’1 Tigre, le SGAM est directement subordonné au GTIA Korrigan.

 

Par ailleurs, la compagnie VBCI du 92eRégiment d’Infanterie (RI), qui armait la compagnie motorisée du GTIA Korrigan, a elle aussi été désengagée. Le 14 janvier, au camp Damien Boiteux de Bamako, les VBCI ont été chargés sur des transporteurs civils par les éléments du bataillon logistique (BATLOG) et du Groupement de Transport Opérationnel (GTO) de Bamako. Les blindés seront acheminés par voie routière vers le port d’Abidjan où ils seront embarqués vers la France .

 

Environ 2500 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

Mali : Réarticulation du dispositif SERVAL
Mali : Réarticulation du dispositif SERVAL
Mali : Réarticulation du dispositif SERVAL
Partager cet article
Repost0
16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 18:50
Syrie: les armes chimiques transbordées dans un port italien (ministre)

 

 

ROME, 16 janvier - RIA Novosti

 

Les armes chimiques syriennes seront acheminées vers le port italien de Gioia Tauro, en Calabre, pour être transbordées sur le navire américain Cape Ray en vue de leur destruction, a déclaré jeudi le ministre italien des Transports Maurizio Lupi lors d'un discours devant un groupe de députés et de sénateurs.

 

Le transbordement sera effectué dans le strict respect des mesures de sécurité et prendra 48 heures tout au plus.  Selon le ministre, les conteneurs renfermant les substances chimiques "ne toucheront pas le sol italien". L'opération est prévue fin janvier ou début février lorsque le Cap Ray entrera en Méditerranée.

 

Le directeur général de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), Ahmet Uzumcu, a déclaré jeudi lors d'une conférence de presse à Rome que les arsenaux chimiques syriens ne seraient pas détruits avant juin en raison de problèmes sécuritaires et logistiques.

Partager cet article
Repost0
16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 13:20
Programme d'achat de camions de l'armée: des délais coûteux

 

 

15 janvier 2014 Murray Brewster La Presse Canadienne

 

En juillet 2012, le programme était considéré comme une «priorité urgente», alors que la flotte de camions de l'armée, datant des années 1980, pouvait comporter des risques d'utilisation.

 

Ottawa - Plus il faudra de temps au gouvernement fédéral pour se décider sur l'achat de 1500 camions pour l'armée, plus le prix d'achat sera élevé, avertissait le ministère de la Défense nationale dès 2012.

 

Ce rappel est contenu dans un mémo, obtenu par La Presse Canadienne grâce à la Loi d'accès à l'information, concernant le programme «système de véhicule de soutien moyen».

 

Il était adressé au sous-ministre de la défense de l'époque, Robert Fonberg, alors que le ministère venait de mettre sur la glace le programme pour une seconde fois depuis 2006 en raison de coupes budgétaires à la Défense nationale.

 

M. Fonberg, qui a depuis changé de poste au sein du gouvernement, s'était fait indiquer par des fonctionnaires que les 800 millions $ mis de côté par le gouvernement conservateur pour le programme se faisait gruger chaque année à hauteur de 2 pour cent en raison de l'inflation.

 

Chaque année de retard dans l'application du programme se concrétise par une diminution du pouvoir d'achat, peut-on apprendre dans une note datée du 27 novembre 2012.

 

La même note révèle qu'il en coûtait 10,5 millions $ par année pour conservait le bureau responsable du programme.

 

Le programme «système de véhicule de soutien moyen» a été réanimé l'an dernier. Les enchères pour l'achat de nouveaux camions ont d'ailleurs été clôturées la semaine dernière.

 

Aucun contrat ne sera cependant accordé avant l'été 2015, tout juste quelques semaines avant la prochaine élection fédérale.

 

Ce délai pourrait ainsi amputer le programme d'un pouvoir d'achat de 48 millions $.

 

Le porte-parole néo-démocrate en matière de défense, Jack Harris, a dénoncé qu'un achat relativement simple de camions a été détourné à des fins politiques.

 

En juillet 2012, le programme était considéré comme une «priorité urgente», alors que la flotte de camions de l'armée, datant des années 1980, pouvait comporter des risques d'utilisation.

 

Le porte-parole du NPD a affirmé que la réelle priorité du gouvernement aura été de balancer le budget, plutôt que de se préoccuper des questions de sécurité relatives à l'utilisation des anciens véhicules de l'armée.

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 12:30
La Russie active dans le processus d'élimination des produits chimiques de Syrie

 

 

2014-01-14 xinhua

 

Les navires de guerre russes participent activement à l'élimination des armes chimiques de Syrie, a rapporté mardi le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou.

 

"Actuellement, la Russie, en collaboration avec la communauté internationale, mène une phase d'embarquement et de transport naval sécuritaires des armes chimiques syriennes", a indiqué M. Choïgou lors d'une téléconférence au Centre de situation du ministère de la Défense.

 

Les navires de la marine russe déployés en mer Méditerranée, incluant le croiseur porte-missiles Pierre le Grand, assurent la sécurité des navires norvégiens et danois transportant des composantes d'armes vers leur site de destruction, à partir du port syrien de Latakia.

 

Le premier lot de matériel a été expédié le 7 décembre, entamant une phase cruciale d'un programme de désarmement soutenu par la communauté internationale.

 

Plus tôt en décembre, la Russie a offert à Damas 75 véhicules et autre équipement pour aider au transport et à l'élimination des armes chimiques.

 

Selon un échéancier approuvé par l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques, les substances chimiques les plus toxiques doivent être sorties du pays avant le 30 juin.

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2014 5 10 /01 /janvier /2014 08:56
L'A400M "Ville de Toulouse" a été déployé au Mali fin décembre.

L'A400M "Ville de Toulouse" a été déployé au Mali fin décembre.

 

09/01/2014 Par Guillaume Steuer

 

L'armée de l'Air l'a annoncé ce matin : le deuxième A400M livré à la France, qui porte le numéro constructeur MSN8, sera officiellement baptisé "Ville de Toulouse" à l'occasion d'une cérémonie qui se tiendra le 22 janvier dans la capitale du Midi-Pyrénées. L'occasion d'honorer à la fois le travail des équipes d'Airbus présentes sur ce site industriel majeur, mais aussi la mémoire du transport aérien militaire français dont l'histoire est étroitement associée à celle de la base aérienne 101 de Toulouse-Francazal, dissoute en 2009.

 

L'an dernier, au cours du salon du Bourget, le chef d'état-major de l'armée de l'Air Denis Mercier avait ainsi fait connaître sa volonté de baptiser chaque A400M du nom d'une ville ayant eu (ou conservant) des liens forts avec l'armée de l'Air. Ainsi le premier Atlas français (MSN7) avait-il reçu l'appellation "Ville d'Orléans", du nom du port d'attache de tous les futurs A400M à la cocarde bleu-blanc-rouge.

 

Avec une douzaine de bases aériennes fermées au cours des six dernières années, l'armée de l'Air ne manquera pas d'idées pour baptiser les 13 A400M supplémentaires qu'elle s'attend à recevoir d'ici à 2019, alors qu'il en était encore prévu 31 avant les arbitrages de la loi de programmation militaire.

 

Cette tradition d'ancrer des aéronefs militaires aux territoires trouve écho (entre autres) aux Etats-Unis. Dans l'US Air Force, par exemple, les bombardiers furtifs B-2 Spirit portent chacun le nom d'un Etat américian, tandis que certains C-17 ont été baptisés du nom de villes ou de sites marquants des Etats-Unis.

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2014 5 10 /01 /janvier /2014 08:55
Coopération opérationnelle franco-américaine, ravitaillement en vol pendant l’opération Bois Belleau

 

09/01/2014 Marine nationale

 

Déployé dans le golfe d’Oman, le groupe aéronaval constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle effectue une période de coopération opérationnelle avec un groupe aéronaval américain. Le 30 décembre 2013, un F18 américain catapulté depuis le porte-avions Harry S. Truman a ravitaillé en vol un Rafale Marine et un Super Étendard Modernisé du groupe aérien français.

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2014 5 10 /01 /janvier /2014 08:20
Oshkosh Defense Canada Delivers MSVS SMP Bid with Next-Generation Capabilities for Canadian Armed Forces

 

09.01.2014 Oshkosh - .army-guide.com

 

OTTAWA, Ontario -- The Canadian Government is taking important steps in modernizing its logistics vehicle fleet by advancing the Standard Military Pattern (SMP) component of the Medium Support Vehicle System (MSVS) project. Oshkosh Defense Canada, Inc., a subsidiary of Oshkosh Corporation, responded to the Government of Canada’s MSVS SMP Request for Proposal (RFP), offering a high performance, low risk solution to meet the Canadian Department of National Defence’s (DND) mission requirements and protect Canadian Soldiers for decades to come.

 

“Working closely with our Canadian industry partners and a growing network of Canadian suppliers, our Oshkosh MSVS SMP offering provides superior vehicle performance, sustainment across six continents, and ultimately, the best overall value for Canada,” said John Urias, Oshkosh Corporation executive vice president and president of Oshkosh Defense. “The Oshkosh MSVS SMP family of vehicles is the next generation of the world’s most trusted, battle-proven military platform in the field today. We are proud to present the Government of Canada with our MSVS SMP bid that meets or exceeds all project requirements, and most importantly, provides Canadian Soldiers with the modern logistics vehicles they need to perform their missions.”

 

The Best Value for Canada

 

Oshkosh, in collaboration with its Canadian team members and suppliers, will return 100 percent or more of the MSVS SMP contract value to the Canadian economy. Oshkosh’s strategic team members for the project include DEW Engineering and Development, General Dynamics Land Systems – Canada, and Link Suspensions of Canada – Raydan Division.

 

“Our MSVS SMP team aligns core Oshkosh design, production and sustainment strengths with Canada’s finest technology, manufacturing and services capabilities,” said John Lazar, senior director of Global Strategic Initiatives for Oshkosh Defense. “We are committed to supporting MSVS SMP and future Canadian vehicle modernization programs by working with companies across Canada and creating new economic value in the process.”

 

Exceptional Performance, Without the Risk

 

Oshkosh designed, extensively tested and built its MSVS SMP solution to bring the latest ground vehicle technologies to the Canadian Armed Forces. The Oshkosh MSVS SMP vehicles and trailers are built to serve a full range of logistics missions from disaster recovery at home to major conflicts abroad. Key vehicle subsystems, including a high-performance drive train, advanced suspension and braking systems, and a state-of-the-art armour protection system, allow the Oshkosh MSVS SMP to achieve a 70 percent off-road mission profile and a 98 percent mission reliability rate – both of which will enable Canada’s ground forces to more safely operate in a vast array of threat levels, climates and terrains.

 

The Oshkosh MSVS SMP builds upon decades of in-theatre experience around the globe and more than one billion real-world operational kilometres accumulated on the Oshkosh Heavy Expanded Mobility Tactical Truck (HEMTT) platform. The acclaimed HEMTT platform is a purpose-built military vehicle that has been chosen by the United States Department of Defense and more than 20 allies worldwide – consistently outperforming commercial vehicle derivatives in competitive scenarios.

 

Canada’s MSVS SMP RFP also includes five years of In-Service Support (ISS). With Canadian troops more frequently mobilized around the world for defence and humanitarian missions, complete life cycle sustainment is increasingly important to ensure mission readiness.

 

The Oshkosh team’s ISS offering leverages decades of performance based contracting and major repair/overhaul programs experience to minimize MSVS SMP life cycle costs while maximizing reliability and readiness rates. “Our ISS plan is based on a robust global supply chain and a mature logistics system that spans six continents,” added Lazar. “By applying our logistics supportability analysis methodology to manage fleet health, Oshkosh has helped reduced military vehicle fleet life cycle costs as much as 70 percent.”

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 08:20
Le Pentagone invente le véhicule blindé jetable.

Le MRAP est conçu pour protéger ses occupants des explosions de mines, ce qui en fait un véhicule très lourd...

 

6 janvier, 2014 Frédéric Lert (FOB)

 

En 2004, le Pentagone lançait le développement et la fabrication d’une large famille de camions blindés résistant aux mines : les MRAP. En moins de dix ans, 27.000 ont été fabriqués, pour la modeste somme de cinquante MILLIARDS de dollars… Ces véhicules ont depuis été crédités de plusieurs dizaines de milliers de vies sauvées en Afghanistan et en Irak.

 

Maintenant que le retrait d’Irak est consommé et celui d’Afghanistan bien engagé, que faire de cette montagne d’acier (plus de 400.000 tonnes de ferraille si l’on compte une moyenne de 16 tonnes par MRAP…) ?

 

Le Pentagone a tranché : sans réelle utilité en dehors du champ de bataille pour lequel ils ont été conçus, la moitié des MRAP fabriqués, environ 13000 véhicules, sera tout bonnement ferraillée, après seulement cinq ou six ans de service. Les véhicules coûteraient trop chers à ramener aux Etats-Unis puis à réparer et à entretenir. C’est une exercice de comptabilité assez simple : le coût du démantèlement d’un MRAP en Afghanistan est estimé à 12.000 $. Il en faudrait vingt fois plus pour rapatrier ce même camion et le remettre à neuf pour lui faire commencer une deuxième vie.

 

Déjà plus de 2000 véhicules sévèrement endommagés ou usés ont connu la torche des ferrailleurs afghans.

 

Le plus délicieux dans cette affaire est que les MRAP encore en bon état ne peuvent pas être donnés aux Afghans car ils sont jugés trop complexes à entretenir, avec trop d’électronique à bord. Les Afghans s’en moquent un peu d’ailleurs, puisqu’ils vont mettre la main sur des montagnes de climatiseurs, de Hummer, de pick-up et autres scoubidous kakis… La vente ou la cession de MRAP à des pays amis un peu plus évolués n’a pas non plus attiré les foules, avec moins de 400 véhicules cédés à ce jour. Car le problème reste bien de faire sortir les camions d’Afghanistan, avec les aléas de la route pakistanaise ou le coût prohibitif du transport par air.

Partager cet article
Repost0
7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 17:31
Serval : le PPLOG sillonne le Mali

 

07/01/2014 Sources : EMA

 

Doté pour la première fois en opération extérieure des porteurs polyvalents logistiques (PPLOG), les escadrons de circulation et de transport (ECT), du bataillon logistique (BATLOG) « Normandie-Provence »de la force Serval, parcourent plus de 1000 kilomètres de routes désertiques dans des conditions météorologiques et  opérationnelles exigeantes lors de chaque mouvement entre Bamako et Gao.

 

Le PPLOG permet d’assurer les missions suivantes : ravitaillements logistiques sur les théâtres d'opération, transport ou évacuation de personnel en condition opérationnelle, maintenance et évacuation de véhicules immobilisés, transport de matériaux pour l’appui à la mobilité, à la contre-mobilité et à l’aide au déploiement d’urgence. « Le PPLOG constitue un atout pour le bataillon logistique, il rend plus mobile le convoi, offrant également, la protection de l’équipage avec sa cabine blindée et son système contre l’onde de choc IED » précise le colonel de Roquefeuil chef de corps du BATLOG Normandie-Provence.

 

Ces camions blindés sont dotés d’un système autonome de chargement. Ils permettent l’emport jusqu’à 16 tonnes en capacité maximale . Ils sont équipés d'un dispositif de protection comprenant une cabine blindée contre les mines et les tirs d'armes de calibre 7,62 mm, il peut également recevoir un poste radio de 4e génération et le système informatisé SITTEL, ainsi qu'un GPS. Sa puissance de 450 CV, ses 8 roues motrices et son double essieu avant directionnel le rendent plus maniable que son prédécesseur, le VTL.

 

Pour marquer ce premier engagement opérationnel au Mali, un des 6 PPLOG, déployés sur le théâtre sera prochainement baptisé « Normandie-Provence » pour souligner cette première évaluation technico-opérationnelle dans des conditions hors normes.

 

Environs 2500 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

Serval : le PPLOG sillonne le Mali
Serval : le PPLOG sillonne le MaliServal : le PPLOG sillonne le Mali
Serval : le PPLOG sillonne le Mali
Partager cet article
Repost0
6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 18:45
Soute entrouverte d'un A 400M devant un Transall

Soute entrouverte d'un A 400M devant un Transall

 

31/12/2013 Cne Karim Djemaï - SIRPA AIR

 

Dimanche 29 décembre 2013, l’armée de l’air a réalisé entre la base aérienne 123 d'Orléans-Bricy et l’aéroport de Bamako au Mali la première mission opérationnelle de l’avion de transport tactique A400M Atlas.

 

Après avoir décollé à 10H30 de sa base de stationnement, l’A400M a effectué un vol de 6h40, acheminant du fret au profit des militaires français engagés dans l’opération Serval. A son bord, l’appareil emportait 22 tonnes de matériel.

 

Pour mener à bien cette première, une planification stricte et rigoureuse a été réalisée. « Nous avons minutieusement préparé ce vol, afin de pouvoir pallier à toutes les éventualités, ajoute le lieutenant-colonel Creuset, responsable de la mission. Nous avons notamment pu nous entrainer sur le simulateur « Full Flight Simulator », mis en service depuis quelques semaines au centre de formation A400M d’Orléans. »

 

Depuis le 02 août 2013, date de la réception du premier Atlas par l’armée de l’air, les équipages de la Multinational entry into service team (MEST) d’Orléans ont réalisé des vols d’expérimentation et d’entraînement. Cette première mission opérationnelle survient donc cinq mois seulement après l’arrivée de l’A400M dans les forces, et c’est l’exemplaire numéroté MSN8, reçu il y a moins de deux mois, qui l’a réalisée. Cela démontre toute la confiance placée par l’armée de l’air dans cet appareil, ainsi que dans toutes les équipes responsables de sa mise en oeuvre.

 

« S’il s’agit d’une première pour l’A400M, ce n’est pas pour autant une inconnue pour les hommes qui la réalisent, précise le lieutenant-colonel Creuset. Le personnel de la MEST bénéficie d’une expérience riche et variée. Chacun dispose d’un vécu opérationnel permettant d’appréhender ce genre de mission avec professionnalisme et en toute confiance. »

 

Actuellement, deux A400M Atlas sont mis en œuvre par la MEST depuis la base aérienne 123 d’Orléans. Cette première mission opérationnelle illustre dès à présent les capacités de l’appareil et constitue une étape vers sa mise en service opérationnel complète, attendue à la fin de l’année 2014.

 

L’A400M Atlas est l’aéronef indispensable au renouvellement et à la modernisation de la flotte d’avions de transport tactique de l’armée de l’air. Sa montée en puissance accompagne le retrait progressif des C160 Transall et complète la flotte des C130 Hercules. Avion de transport tactique à allonge stratégique, l’A400M Atlas répond aux besoins actuels des forces pour la gestion des crises et des conflits modernes. Il permet aussi à la France de tenir son rôle auprès de ses partenaires étrangers et des différentes organisations internationales.

 

Lien vers le dossier A400M sur le site de l’armée de l’air

Survol du territoire malien par l'Atlas

Survol du territoire malien par l'Atlas

Soute de l'A 400M et son chargement

Soute de l'A 400M et son chargement

Partager cet article
Repost0
6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 08:45
Base navale sur l’Oubangui

Le 12 décembre 2013, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude, a accosté à Douala, au Cameroun, pour débarquer du matériel au profit de l’opération Sangaris en République Centrafricaine.

 

30/12/2013 LV Thierry MAGUET

 

Une douzaine de marins sont déployés en Centrafrique depuis le 5 décembre 2013 dans le cadre de l’opération Sangaris.

 

L’opération Sangaris commandée par le général de brigade Francisco Soriano, a été lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République. Elle fait suite à l’adoption de la résolution n°2127 par le conseil de sécurité de l’ONU donnant mandat aux forces africaines de la MISCA (Mission Internationale de Soutien à la Centrafrique) pour contribuer à la protection des populations et au rétablissement d’un ordre nécessaire à la délivrance de l’aide humanitaire en République Centrafricaine. Par la même résolution, la France a été autorisée à appuyer les forces de la MISCA dans l’accomplissement de son mandat.

 

 

photo Sirpa Terre

photo Sirpa Terre

Ainsi, une douzaine de marins sont déployés parmi les 1600 militaires engagés dans l’opération. Du capitaine de vaisseau chef d’état-major au second-maître photographe en passant par une premier-maître en charge des relations avec les ONG ou encore le lieutenant de vaisseau spécialiste de l’interprétation des images satellites,  ces marins participent activement avec leurs camarades de l’Armée de Terre à l’opération Sangaris.

 

Bien intégrés parmi leurs camarades « terriens » aux coutumes et traditions desquels ils se sont adaptés, ils apportent leur savoir-faire dans des domaines spécifiques en complément des soldats de l’armée de terre.

 

Rencontrer des marins si loin de la mer surprend parfois certains de leurs interlocuteurs. Pourtant, ils renouent ainsi avec leurs anciens qui à la fin du XIXe siècle exploraient au nom de la France le territoire de l’Oubangui Chari, (ancienne appellation du Centrafrique). Ceci à une époque où les voies  fluviales permettaient la plus grande partie des communications dans cette partie du continent africain. Aujourd’hui, c’est dans le but généreux souhaité par le Président de la République de contribuer à ramener la paix en Centrafrique que des marins sont revenus à Bangui.

Partager cet article
Repost0
23 décembre 2013 1 23 /12 /décembre /2013 08:40
Le Monténégro refuse d'accueillir une base navale russe

 

SARAJEVO/MOSCOU, 20 décembre - RIA Novosti

 

Podgorica a décliné la demande de Moscou d'accueillir un centre d'entretien et d'approvisionnement de la Marine russe sur le territoire du Monténégro, a annoncé le quotidien local Vijesti, citant des sources au sein du gouvernement monténégrin.

 

Selon le journal, la Russie voulait mettre en place une base navale dans la ville de Bar, sur le littoral adriatique, pour entretenir son escadre méditerranéenne. Il y a trois semaines, le gouvernement monténégrin a répondu par la négative.

 

"Quelques mois après avoir reçu la proposition russe, les plus hautes autorités du pays ont décidé de refuser cette demande de Moscou qui cherchait à s'implanter à Bar", rapporte le quotidien. Selon lui, le désir de la Marine russe d'installer un centre logistique dans cette ville monténégrine "s'explique par le fait que Moscou n'est pas sûr de pouvoir conserver sa base navale de Tartous, en Syrie".

 

D'après le journal, la conclusion d'un accord prévoyant l'implantation d'un tel centre à Bar aurait fermé au Monténégro les portes de l'Otan. Ce n'est pas sans raison que la ministre de la Défense Milica Pejanovic-Djurisic a été la première à s'opposer à la présence russe.

 

La Russie a entamé la formation de son escadre méditerranéenne en mars 2013. Cette dernière réunit actuellement des bâtiments de guerre des flottes russes du Pacifique, du Nord, de la Baltique et de la mer Noire.

 

Les navires faisant partie de l'escadre sont entretenus et approvisionnés dans la base russe installée à Tartous.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories