Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 16:55
ASAP : une innovation, en première européenne au salon du Bourget

Asap, alternative aux systèmes d'actionnement pyrotechniques

 

18/06/2013 Actualité DGA

 

ASAP est une alternative aux systèmes d’actionnement pyrotechniques utilisés dans la défense, l’aéronautique et le spatial. C’est une avancée significative pour l’allègement et la sécurité des plateformes et des personnels qui les mettent en oeuvre et les entretiennent.

 

Système électromécanique, ASAP a été développé par deux PME françaises Soterem et Conseil&Technique avec le soutien de la Direction générale de l’armement (DGA) dans le cadre du dispositif d’aide à l’innovation duale RAPID. Le Régime d’appui pour l’innovation duale (RAPID), doté d’une enveloppe annuelle de 40 M€ qui sera portée progressivement à 50 M€ d’ici 2015 conformément à la décision du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, concerne les projets de recherche industrielle ou de développement expérimental à fort potentiel technologique des PME et ETI (entreprises de taille intermédiaire), présentant des applications militaires et ayant aussi des retombées pour les marchés civils

 

Il s’agit d’un mécanisme innovant de séparation, d’éjection et de déclenchement sans pyrotechnie, ce qui facilite le stockage et la manipulation des équipements sur lesquels il est installé

 

D’un coût et d’un poids inférieurs aux dispositifs pyrotechniques, ASAP permet d’effectuer des séparations de très fortes charges avec un très faible niveau de choc, ce qui supprime les risques d’endommagement ou de perturbation générés par la charge explosive de séparation. Compatible des interfaces électriques et mécaniques existantes, le système peut être aisément réarmé, une caractéristique intéressante pour réduire les coûts des essais lors de répétition de tir par exemple.

 

Les perspectives d’applications pour ASAP sont nombreuses, tant dans le domaine militaire que civil. Pour les missiles et les lanceurs, il peut être utilisé pour le largage d’un missile, la séparation d’étages, l’ouverture de coiffe, la libération de charges, de propulseurs, de réservoirs, etc. Sur les systèmes d’armes pour l’ouverture de trappes, les éjections de sièges ou de verrières, les actionneurs de mise à feu et les dispositifs de déconnexion de harnais. Sur les satellites pour le déploiement d’antennes, de panneaux solaires, réflecteurs ou plateformes.

 

ASAP est présenté pour la première fois sur le stand Défense ST S19 pendant le salon de l’aéronautique et de l’espace 2013.

Partager cet article
Repost0
20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 12:55
Le module d'engagement de la section SAMP exposé au Bourget

Le module d'engagement de la section SAMP exposé au Bourget

19/06/2013 Armée de l'air

 

Une fois n’est pas coutume! D’habitude, les spécialistes de la défense sol-air œuvrent dans l’ombre, à la protection des forces. Durant le 50esalon du Bourget, ils sont placés en pleine lumière, répondant aux sollicitations des visiteurs et de la presse.

 

Jusqu’au dimanche 23 juin, un module d’engagement d’une section de défense sol-air moyenne portée (SAMP) est exposé sur le stand Défense du salon du Bourget. «Le module d’engagement est le cerveau du SAMP Mamba, détaille l’ingénieur en chef de l’armement Truffin, directeur de programme à la direction générale de l’armement (DGA). Nous y présentons une capacité particulière du Mamba qui consiste à traiter simultanément des missiles balistiques et des cibles «classiques» (missiles de croisière ou aéronef). Le SAMP a l’avantage de se reconfigurer instantanément face à l’évolution de la menace.»

 

En règle générale, sept véhicules composent une section de tir, auxquels s’ajoutent des véhicules dédiés au soutien. Jusqu’à quatre modules de lancements terrestres, équipés chacun de huit missiles Aster 30, peuvent être implémentés. Une section dispose aussi d’un radar associé à un module de génération électrique.

 

«Nous sommes à la fin du processus de qualification opérationnelle, détaille le directeur de programme. D’ici la fin de l’année, la qualification finale du système doit être prononcée, notamment dans sa mission anti-missile balistique de théâtre (ATBM).»

 

Quatre escadrons de défense sol-air sont actuellement équipés de SAMP: Luxeuil, Mont-de-Marsan, Avord, Saint-Dizier. L’escadron «Servance» de la base aérienne 116 de Luxeuil fut le premier à recevoir la capacité opérationnelle initiale en octobre 2011. Présents au Bourget, quatre opérateurs de cette unité partagent avec le public certaines de leurs connaissances du système. Utilisateurs depuis deux ans, ces spécialistes maîtrisent parfaitement le SAMP. «Nous avons pris part à toutes les phases de qualification opérationnelle, notamment d’accompagnement d’une force terrestre lors de l’exercice Nawas en 2012 ou d’interception de missile anti-balistique en mars 2013», explique un opérateur.

 

Le passage en pleine lumière ne sera que bref. Dès la fin du salon, les aviateurs doivent se mettre en place pour une autre échéance: le dispositif particulier de sûreté aérienne (DPSA) du 14 juillet 2013.

Partager cet article
Repost0
20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 11:50
Salon du Bourget : L’Allemagne prête à recevoir son système MEADS

20.06.2013 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

A la suite d’une conférence donnée ce 19 juin concernant le système MEADS (Medium Extended Air Defence System), Walter Stammler, président du conseil d’administration de MEADS, a déclaré que l’Allemagne était tout à fait prête à recevoir son système de défense anti-aérienne de nouvelle génération : « L’Allemagne est prête à réceptionner le système MEADS, à l’adapter et à l’intégrer à l’ensemble de son système de défense aérienne ».

 

Pour Walter Stammler, le but est également d’intégrer MEADS au sein des systèmes de défense aérienne qui existent déjà – Mantis et Patriot entre autres – afin de créer un système global et plus efficace.

 

Concernant les délais, le président du conseil d’administration s’est montré plus réservé, évoquant deux obstacles majeurs : Les élections parlementaires qui doivent se tenir en septembre prochain et le scandale EuroHawk qui secoue actuellement la sphère politique et médiatique. « Le sujet principal en ce moment c’est l’EuroHawk, MEADS est pour l’instant passé en arrière-plan, je ne suis pas en mesure de donner de date précise pour le transport du système vers l’Allemagne », a précisé Walter Stammler, qui est tout de même convaincu que « ça ne durera pas des années ».

 

Il ajoute que le gouvernement allemand a tout intérêt à mettre en œuvre ce système, en raison des sommes engagées (autour d’un milliard d’euros), mais également parce qu’il « n’existe pas de pareil système au monde ».

 

Le système MEADS est composé de radars à 360°, de lanceurs transportables et de missiles. Il est destiné à contrer toute attaque de missiles balistiques, de missiles de croisière, de drones et d’avions. Walter Stammler précise que le système est aisément transportable par A400M, des manœuvres de « roll on » et de « roll off » ayant déjà été effectuées.

 

« Le système est prévu pour la défense intérieure mais également pour les théâtres d’opérations, c’est pour cela qu’il a été conçu pour être rapidement transporté et mis en œuvre. On pourrait tout à fait reproduire le schéma des Patriot en Turquie avec ce système, mais avec encore plus d’efficacité », conclut Walter Stammler.

Partager cet article
Repost0
20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 07:35
TAURUS KEPD 350

TAURUS KEPD 350

19 juin 2013 levif.be (Belga)

 

La Corée du Sud va acquérir des missiles de croisière Taurus, produits par l'Allemagne et la Suède, après le refus des Etats-Unis de lui vendre un armement correspondant, a annoncé mercredi l'agence sud-coréenne des achats militaires.

 

Au cours d'une réunion avec le ministre de la Défense Kim Kwan-Jin, l'Administration des programmes d'acquisition de la défense (DAPA) a approuvé un projet d'achat de missiles air-sol d'une portée de 500 kilomètres. L'amplitude de la commande et le budget nécessaires n'ont pas été confirmés mais selon l'agence de presse Yonhap, Séoul souhaiterait se porter acquéreur de 170 missiles d'une valeur totale de 300 millions de dollars (223 millions d'euros). Actuellement, l'Armée de l'air sud-coréenne ne possède que des SLAM-ER américains d'une portée de 278 kilomètres. La DAPA hésitait entre le Taurus et le Joint Air-to-Surface Standoff Missiles (JASSM) de l'américain Lockheed Martin. Mais le Pentagone n'a pas approuvé la vente de ces missiles d'une portée de 370 km, considérés comme une arme stratégique. "Dans un contexte de menaces croissantes de la Corée du Nord, nous devons acquérir (les missiles) au plus tôt. Mais l'acquisition du JASSM est devenue impossible compte tenu de la position du gouvernement américain", a justifié la DAPA. La Corée du Sud a lancé officiellement mardi l'appel d'offre pour un contrat de 7,3 milliards de dollars US portant sur la fourniture de 60 avions de combat, dernière étape d'un processus qui voit s'affronter trois géants de l'aéronautique de défense, deux américains et un européen. Boeing et Lockheed Martin, ainsi que l'européen EADS ont chacun présenté leur offre, assortie de conditions favorables destinées à remporter ce marché, le plus important jamais passé par la Corée du Sud.

Partager cet article
Repost0
17 juin 2013 1 17 /06 /juin /2013 20:55
Maquette du leurre actif LEA développé par MBDA pour équiper le Rafale.- photo  air-cosmos.com

Maquette du leurre actif LEA développé par MBDA pour équiper le Rafale.- photo air-cosmos.com

17/06/2013 Par Guillaume Steuer - air-cosmos.com

 

L'impératif de soutien export a triomphé du culte de la confidentialité qui entoure habituellement les évolutions programmées pour le Rafale. Au salon du Bourget, la Direction générale de l'armement présentait ainsi sur son stand deux programmes d'études amont (PEA) actuellement financés pour améliorer les performances de l'avion de combat de français en matière de détection et de guerre électronique.

 

Inédit, le projet LEA (leurre électromagnétique actif) était ainsi présenté pour la première fois à l'occasion du Bourget. Celui-ci porte sur le développement d'un leurre actif largable, qui permettrait de brouiller l'autodirecteur de certaines missiles air-air dans leur phase de guidage terminale. Au moins quatre leurres pourraient ainsi être emportés par un Rafale, au même endroit que les actuels lance-paillettes situés à l'arrière du fuselage. Contrairement à celui qui équipe par exemple l'Eurofighter, ce leurre ne serait pas tracté par l'avion, mais bien largué ; il ne disposerait pas non plus de propulseur.

 

"Un tel système permettrait de compléter efficacement le système Spectra déjà intégré à l'avion pour déjouer certaines menaces très particulières, par exemple des autodirecteurs de missiles air-air fonctionnant en bande Ka", explique un ingénieur de l'armement présent au salon. Le "véhicule" servant de base au LEA est en cours d'étude chez MBDA, et des essais au tunnel de tir ont eu lieu il y a un mois pour vérifier le système de séparation. Des essais en soufflerie du leurre largable devraient avoir lieu à la fin de l'année. Ce programme est mené dans le cadre du PEA Incas (Intégration de Nouvelles Capacités à Spectra), dont nous avons déjà parlé à plusieurs reprises dans nos colonnes.

 

La DGA présentait également pour la première fois un PEA baptisé Tragedac. Notifié en 2010, celui-ci vise à doter le Rafale d'une capacité de localisation passive de cibles grâce à une mise en réseau des appareils d'une même patrouille. Concrètement, deux Rafale détectant une cible grâce à leur optronique secteur frontal (OSF) ou leur Spectra pourrait améliorer la précision de localisation de leur objectif en échangeant leurs données via liaison 16. Une modification purement logicielle mais qui, selon la DGA, serait surtout complexe à mettre en oeuvre du point de la vue de la synchronisation des données entre les appareils. De premiers vols d'essais devraient commencer en fin d'année afin de collecter des données.

 

Plus de détails sur ces programmes dans la prochaine édition d'Air&Cosmos, à paraître vendredi prochain en kiosques.

Partager cet article
Repost0
15 juin 2013 6 15 /06 /juin /2013 17:30
Missiles sol-air Patriot

Missiles sol-air Patriot

MOSCOU, 15 juin - RIA Novosti

 

Un déploiement éventuel de systèmes antiaériens en Jordanie constituerait une violation flagrante du droit international, a déclaré samedi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

Il s'agit de déployer des chasseurs F-16 et des missiles Patriot en vue de mettre en place une zone d'exclusion aérienne en Syrie. Selon les médias américains, cette idée est actuellement à l'étude.

"Nul besoin d'être expert pour comprendre que cette démarche constituerait une violation flagrante du droit international. Nous espérons que nos partenaires américains concevront toutes leurs actions compte tenu de l'initiative conjointe américano-russe prévoyant la convocation d'une conférence internationale sur le règlement du conflit en Syrie", a déclaré M. Lavrov à l'issue de négociations avec la chef de la diplomatie italienne Emma Bonino.

Début juin, la porte-parole du département d'Etat Jennifer Psaki a annoncé la décision de Washington d'envoyer des chasseurs F-16 et des missiles sol-air Patriot en Jordanie dans le cadre d'un exercice conjoint américano-jordanien. La diplomate a également fait savoir que ce matériel pourrait rester dans ce pays après l'exercice.

Partager cet article
Repost0
15 juin 2013 6 15 /06 /juin /2013 11:30
US F-16s, missiles to stay in Jordan after drill: official

Jun 13, 2013 ASDNews (AFP)

 

The United States will keep F-16 fighter jets and Patriot anti-missile weapons in Jordan after a joint military exercise ends this month, a US defense official said Thursday.

 

The US administration, which is weighing a decision to arm rebels fighting in neighboring Syria's civil war, also planned to keep a unit of US Marines on amphibious ships off the coast after consultations with Jordanian leaders, the official told AFP on condition of anonymity.

 

The warplanes, anti-missile systems and warships had been sent to Jordan for a major exercise, dubbed Eager Lion, but officials decided to keep the troops and weapons in place on the request of Jordan, which is anxious about a spillover of violence and a growing influx of refugees from the conflict.

 

"It was decided the assets would remain in place," said the official.

 

The 26th Marine Expeditionary Unit taking part in the drill consists of about 2,400 troops, which arrived in a group of three amphibious ships, including the USS Kearsarge.

 

Officials declined to say how many F-16 jets had been deployed.

 

The move came as President Barack Obama's deputies reviewed possible options to supply weapons to Syria's rebel forces, with top officials attending a White House meeting on the issue Wednesday.

 

Secretary of State John Kerry called off plans for a trip to the Middle East to take part in the discussions.

 

The US official said one option under serious consideration would have the United States contribute funds that other governments -- including European allies -- could use to purchase weapons for the rebels, who have suffered serious setbacks in recent fighting.

 

"There would be pooled funds. That would enable other countries to draw from the pool to provide weapons," the official said, adding that no final decision had been made.

 

The option to provide funds was first reported by The Wall Street Journal, which cited a plea from a top rebel commander, General Salim Idris.

 

The general warned Aleppo could fall to Syrian regime troops without the delivery of arms and ammunition, including anti-tank and anti-aircraft weapons, the Journal said.

Partager cet article
Repost0
14 juin 2013 5 14 /06 /juin /2013 11:55
Partager cet article
Repost0
14 juin 2013 5 14 /06 /juin /2013 07:30
Syrie: Washington va laisser des F-16 et des Patriot en Jordanie

13 juin 2013 Romandie.com (AFP)

 

WASHINGTON - Les Etats-Unis vont laisser des chasseurs de combat F-16 et des missiles Patriot en Jordanie, pays frontalier de la Syrie, après des manoeuvres communes qui doivent s'achever à la fin du mois, a annoncé jeudi un responsable américain de la Défense.

 

L'administration américaine, qui étudie la possibilité d'armer l'opposition syrienne mais n'a encore pris aucune décision à ce sujet, devrait également laisser une unité de Marines sur des navires amphibies au large des côtes du pays, a-t-il été décidé après des consultations avec les responsables jordaniens, a précisé ce responsable sous couvert d'anonymat.

 

Les chasseurs, les missiles antimissiles et les navires avaient été envoyés en Jordanie pour un exercice militaire baptisé Eager Lion, mais les responsables américains ont décidé de les laisser sur place à la demande de la Jordanie, qui craint de voir les violences en Syrie déborder sur son territoire.

 

Il a été décidé qu'ils resteraient sur place, a déclare ce responsable américain.

 

Quelque 2.400 Marines prennent part aux manoeuvres militaires en Jordanie, où ils sont arrivés à bord de trois navires amphibies. Les responsables américains n'ont en revanche pas précisé combien de F-16 avaient été déployés.

 

L'annonce du maintien de ces armements en Jordanie est survenue au moment où l'administration étudie la possibilité d'armer les rebelles syriens. Des réunions sur la crise syrienne étaient prévues mercredi à la Maison Blanche, en présence notamment du secrétaire d'Etat John Kerry.

 

Une des possibilités étudiées, toujours selon le même responsable américain, serait de voir les Etats-Unis contribuer à un fonds que d'autres gouvernements --dont les alliés européens de Washington-- utiliseraient pour acheter des armes destinées aux rebelles syriens, une possibilité évoquée en premier lieu par le Wall Street Journal.

 

Aucune décision n'a été prise, a toutefois rappelé ce responsable.

Partager cet article
Repost0
13 juin 2013 4 13 /06 /juin /2013 11:35
4k44B Redut-M a mobile coastal defence system with P-35 missiles  (NATO : SS-N-3 Shaddock) with rocket launchers ZIL-135 and placed on BAZ-135MB 8x8 truck vehicle. (all photos : TienPhong, ttvnol)

4k44B Redut-M a mobile coastal defence system with P-35 missiles (NATO : SS-N-3 Shaddock) with rocket launchers ZIL-135 and placed on BAZ-135MB 8x8 truck vehicle. (all photos : TienPhong, ttvnol)

13.06.2013 Defense Studies

TPO-owned weapons, powerful ammunition, 679 battalion is considered 'shield' of Vietnam Navy in defenses, protect maritime sovereignty, national continental shelf.

To strengthen defense capabilities, protect maritime sovereignty, islands, national continental shelf, 6/1979, the Ministry of Defense decision 679 Battalion established under Navy (now Union missiles 679 coast of Navy Region 1). Currently, 679 teams have 8 of attached units, detachments and 26 equivalent.


 


679 teams currently manage, use missile defense system cell bank, used to destroy enemy targets, such as the type of surface combat ships, cargo ships, amphibious ships, maritime works both on the ground and ...

 


679 teams are often tasked with training, mobility ready to battle along the coast and on the islands, united with the forces of the Navy and other forces fighting to enemy at sea .

Also stationed at a location large city in the north, the unit also has some coastal battlefield and other battlefields from Quang Ninh to Quang Binh

 


Functions and duties of the missile unit of 679 teams :

Fire division: Armed assault launchers, rocket loaded car TZM. There are rocket mission from the battlefield with or without fortifications fortifications, destroy enemy targets at sea or shore.
Control Station: Equipped with remote control system, including station control centers, radar stations equipped with the uniform.

 


There mission control missile aimed by radio command signals and attack targets when locked.

Station Specifications: Equipped assembly, inspection station test missiles as KIPS-35B missiles, air compressor, air CT-70, hydraulic station ...

 


It serves as storage, periodic inspection, assembly, preparation for the handover rocket fire teams for training and fighting.

Information Station - Radar: Equipped with radar MWT-E and the media.

There observer mission, target designation range to 60 nautical miles and communications security commanders, coalition warfare.

 


Features Specifications of basic missile systems REDUT-M :
Shoot the farthest distance: 300km
Last shot distance: 12 (25) km
Cruise altitude: 400 meters, 4,000 meters, 7,000 m
Last altitude orbit: 24 (100) m
The system can also control missiles to shoot 4 targets.

(TienPhong)

Partager cet article
Repost0
13 juin 2013 4 13 /06 /juin /2013 07:55
Jean-Yves Le Drian et Antoine Bouvier, PDG de MBDA à Bourges (Crédits G Belan FOB)

Jean-Yves Le Drian et Antoine Bouvier, PDG de MBDA à Bourges (Crédits G Belan FOB)

Jun. 10, 2013 - By Andrew Chuter in Paris. – Defense News

 

Europe’s top missile maker emerged from the recent publication of the French government’s austerity-driven defense white paper with three big development programs intact — and an endorsement from the administration of President François Hollande that the company’s strategy to restructure its French and UK capabilities in France toward specialization and mutual dependency could be a model for the defense sector.

 

The white paper’s support for Europe, and particularly the 2010 Anglo-French defense treaty, would have been music to the ears of MBDA Chief Executive Antoine Bouvier, whose company has assets and shareholders in Britain, France, Italy, Spain and Germany.

 

Challenges remain, though. MBDA has to nail down contracts for the three programs confirmed by the white paper: a longer-range Aster air defense system, a new medium-range anti-tank missile and the anti-ship missile that France is launching with Britain. It also must resolve the future of the Medium Extended Air Defense System (MEADS) missile program in the wake of the US decision to pull the plug on funding.

 

Outside of Europe, a big deal to develop a short-range surface-to-air missile with India awaits approval from New Delhi, and Bouvier admits efforts to make a significant breakthrough into the US market are taking longer than expected.

 

Q. What was the strategic message you took from the French government’s decision to approve three key missile programs in its recent defense white paper?

 

A. As a company with shareholders and assets across Europe, it was very important for MBDA that when the white paper was published, it was Euro-minded, and it was. Clearly, the French government has a focus and vision about Europe at the industrial and strategic level. That was clear in the missile decision taken in its support of the defense treaty with the UK. The missile sector that MBDA leads in France and in the UK is specifically referred to in the document as the model for integrating the defense industry in Europe. What is also key for us was the white paper’s recognition that the defense industry is an essential component of France’s wider strategic policy.

 

Interview: Antoine Bouvier, Chief Executive, MBDA

Q. How crucial to your integration aims was the French decision to go ahead with the launch of the anti-ship missile program with the British?

 

A. It’s provided confirmation of the decision made in the 2010 Anglo-French defense treaty to use the missile sector, and ANL/FASGW [anti-navire léger/future air-to-surface guided weapon] in particular, as the test case to prove the feasibility of a specialization and a policy of mutually agreed dependency. Our model is now confirmed as a possible template for further integration in Europe, and this was taken into account in the French decision to move ahead with the program in spite of difficult economic conditions and very difficult timing. France also confirmed through this program its commitment to Anglo-French cooperation.

 

Q. What happens now to test the mutual dependency and specialization model between France and the UK?

 

A. The ANL/FASGW launch will trigger implementation of our centers-of-excellence strategy. We have identified 12 centers in the Anglo-French context. The most optimized capability in the two countries will be used, depending on the requirement. This is something new in Europe. Previously, we have had cooperation through programs. Now, we will remove duplication with the integration of capabilities across two of our countries.

 

Four of the centers will offer specialized capabilities supplying French and British collaborative and national programs. France will be responsible for test benches and onboard computers; in the UK, it’s actuators and data links. It means each time we have a new program or a significant evolution of an existing program, we allocate activities in line with this.

 

Q. With Anglo-French operations working to one policy, and your German and Italian partners adhering to another set of rules, isn’t this an imperfect model on which to base European restructuring?

 

A. I would say it is a model in the making rather than an imperfect model, but it is taking time. The history of MBDA has been step-by-step consolidation into a European group. We make progress where we can, but we have to be pragmatic. We have an opportunity with the Anglo-French sector through the defense treaty and the initiative on the centers of excellence to move forward, and we are having discussions to extend what has been agreed to the other MBDA operations in Europe.

Interview: Antoine Bouvier, Chief Executive, MBDA

Q. When do you expect to get the new missile programs under contract?

 

A. The objective is to sign the ANL/FASGW anti-ship missile contract in the next few months, certainly by the end of this year. The higher-performance, new-technology version of the Aster 30 Block 1 [B1NT] will be 2014 at the earliest. B1NT is not just the development of a new missile, it is part of the global Aster evolutionary map, which now explicitly includes naval capability improvements. The missile moyenne portee [MMP] battlefield weapon has been confirmed as a priority, and we are setting out to get the program under contract by the end of the year.

 

Interview: Antoine Bouvier, Chief Executive, MBDA

Q. Is the MMP a French national program, or are you looking for partners?

 

A. For the moment, it’s a French program. But we also see that for other versions of the weapon, like a long-range model, we could open the program to cooperation from Europe and elsewhere.

 

MEADS launcher in the integration hall. (Photo MBDA)

MEADS launcher in the integration hall. (Photo MBDA)

Q. Will you be able to rescue anything from the MEADS program now that the US government has decided to end funding?

 

A. Cooperation between Italy and Germany on MEADS has allowed us to build high-level capabilities in this sector of extended air defense, and our plan is to build on these assets and propose to the two governments a follow-on to MEADS. US funding will continue up to 2014, and beyond that, we have to agree [on] the way forward with the German and Italian defense ministries. We are currently discussing several options, including finding new partners [identified as Poland by Italian government officials], and Lockheed Martin retaining participation in the next phase of the program.

 

Interview: Antoine Bouvier, Chief Executive, MBDA

Q. The Joint Strike Fighter program continues to mature, but so far, you have only the advanced, short-range, air-to-air missile (ASRAAM) signed up for integration. What progress are you making with other weapons for the F-35?

 

A. The feasibility of getting the Meteor air-to-air missile integrated on the platform has been confirmed by a UK Ministry of Defence study, and we are making good progress on having our weapon included as part of the upcoming Block 4 improvements on the F-35. We are having discussions with several F-35 partners to take the Meteor on the platform. Very positive discussions are ongoing with Lockheed Martin on integrating weapons like Brimstone, Storm Shadow and Spear.

 

SPEAR high precision surface attack weapon for combat aircraft

SPEAR high precision surface attack weapon for combat aircraft

Q. Does becoming a significant player in the US market remain a priority?

 

A. We may adjust our plans, but the US remains an important part of our strategy. It is taking more time than expected and is even more challenging in this time of budget restrictions. The constraints could bring with them opportunities if the customer is seeking more competition, combat-proven equipment and mature technologies.

 

Q. You have had a deal on the table with India since 2011 to develop short-range air defense missiles. What’s the position on that?

 

A. It’s our objective to get a decision this year on the short-range surface-to-air missile (SRSAM) program agreed with the Indian Defence Research and Development Organisation [DRDO]. You have to keep in mind this cooperation is just part of a much larger scheme involving radars [and] command-and-control [systems] which are 100 percent Indian, so the decision is not just on the missile, but the whole system. We have offered a significant amount of tech transfer for long-term cooperation on short-range air defense with DRDO.

 

ASRAAM photo MBDA

ASRAAM photo MBDA

We have other opportunities in India, including the Air Force’s down-selection of ASRAAM for their Jaguar strike aircraft. Those negotiations are continuing. Overall, MBDA, supported by our governments, is prepared to enter into large-scale, very ambitious, long-term technical cooperation with Indian partners. Foreign ownership limitations are certainly restricting the type of technology transfer that we could implement for this type of joint venture, but we think in the medium term, this will evolve into a more open scheme.

 

Q. What sort of company will MBDA look like in five years?

 

A. I want MBDA to be an even more global player with an extended product range and greater market coverage. We are looking for a strong position in India, as well as more partners and cooperations elsewhere outside Europe. It is also about strengthening our position inside Europe, starting with Spain. Poland also is very important.

 

In terms of integration of the company, we want to move further along the lines we are implementing on the Anglo-French defense treaty.

 

Q. What do you want your legacy to be when you leave MBDA?

 

A. Leaving MBDA is not on my agenda today, but when I do, it would be to depart having reinforced the company’s position as a global player and an industrial leader in Europe. ■

Partager cet article
Repost0
13 juin 2013 4 13 /06 /juin /2013 07:35
Séoul: un système anti-missiles national d'ici 2020

MOSCOU, 11 juin - RIA Novosti

 

La Corée du Sud se propose de déployer d'ici 2020 son propre système de défense anti-missiles qui permette des opérations offensives en neutralisant l'effet dissuasif des missiles nord-coréens, rapporte mardi l'agence Yonhap, se référant au ministère sud-coréen de la Défense.

 

Ce bouclier sud-coréen sera destiné à dépister les menaces d'une frappe balistique et nucléaire et à porter des coups préventifs pour les neutraliser. Le système comprendra des satellites de reconnaissance et des drones pour déceler des menaces balistiques, ainsi que des menaces de la part d'avions de combat et de bâtiments de guerre.

 

La décision de Séoul de déployer son système national de défense antiaérienne et antimissile s'explique par une montée des tensions dans la péninsule coréenne ces derniers temps.

Partager cet article
Repost0
12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 22:19
BEM Le Monge, sous le soleil du Havre - photo YLM

BEM Le Monge, sous le soleil du Havre - photo YLM

ROUEN, 12 juin 2013 marine-oceans.com (AFP)

 

Fleuron méconnu de la Marine nationale, le Monge, un navire-radar géant intégré au programme français de dissuasion nucléaire, et qui à ce titre avait jusqu'à présent cultivé la discrétion, ouvre pour la première fois ses portes au grand public à l'occasion de l'Armada de Rouen.

 

Amarré tout au bout des quais de Seine qui accueillent jusqu'à dimanche une quarantaine de bateaux de prestige, ce gigantesque "bâtiment d'essais et de mesures" tout blanc ne passe pas inaperçu avec ses trois grands radars et ses 230 mètres de long, qui en font le deuxième plus long bâtiment de la flotte militaire française après le porte-avions Charles-de-Gaulle.

 

"Le Monge est un bateau un peu mystérieux. C'était le moment de le faire découvrir, d'autant plus que c'est une vitrine technologique", confie le commandant du bâtiment, Jacques Rivière, qui reçoit les visiteurs dans son luxueux carré à la poupe du navire.

 

Mis en service en 1992 et construit spécialement par les chantiers navals de Saint-Nazaire, le Monge répond à une mission très spécifique : enregistrer des données sur la trajectoire des missiles nucléaires stratégiques et tactiques français lors des essais, en collaboration avec des industriels comme Thalès ou Astrium.

 

"Notre rôle est d'être à l'arrivée du missile pour analyser la trajectoire finale", à plusieurs milliers de kilomètres du point de lancement, précise l'officier. Le Monge n'a ainsi pas recueilli de données lors de l'essai raté d'un missile balistique M51 début mai, celui-ci ayant explosé peu après son lancement, au large du Finistère.

 

Doté de "trois des quatre radars les plus puissants d'Europe" ainsi que d'une tourelle optronique, "le Monge est capable de détecter une pièce de 2 euros à 800 kilomètres", assure Jacques Rivière. "A ma connaissance, c'est le seul bateau au monde doté de telles capacités, seuls les Américains et les Chinois disposant de bâtiments approchants".

 

L'extrême précision des mesures requises explique la taille impressionnante du bateau, gage de stabilité, et sa couleur. "Le blanc permet de limiter les risques de dilatation du bâtiment à la chaleur, qui pourrait fausser les mesures", indique l'officier.

 

Clé à molette en orbite

 

Les essais de missiles stratégiques n'intervenant que tous les deux ans en moyenne, le Monge, qui compte un équipage de 200 personnes dont 80 dédiées aux mesures, a parallèlement diversifié ses missions. "Il serait dommage de se priver de ses capacités", souligne Jacques Rivière.

 

Le bâtiment sert ainsi, pour le compte du Centre national d'études spatiales ou de l'Agence spatiale européenne, à la surveillance des débris orbitaux susceptibles de tomber sur terre ou d'endommager des satellites, voire la station spatiale internationale ISS.

 

"A une époque, on nous a régulièrement demandé de repérer une clé à molette perdue en orbite par un astronaute américain", explique le maître-principal Daniel O., l'un des spécialistes chargés des mesures. "C'était très sérieux : elle pouvait mettre en danger certains satellites".

 

Basé à Brest, le Monge passe en moyenne quatre mois par an en mer et dispose d'une autonomie de 60 jours et de 15.000 milles nautiques. Il est ponctuellement mobilisé pour des tirs de fusée Ariane. En septembre 2011, il avait activement participé à la traque du satellite UARS, qui s'était écrasé dans le Pacifique.

 

En début d'année, plusieurs voix, dont celles des anciens ministres de la Défense Paul Quilès (PS) et Hervé Morin (UDI) ainsi que du général Henri Bentégeat, ancien chef d'état-major des armées, avaient préconisé une réflexion sur la force de dissuasion nucléaire française à l'heure des réductions budgétaires. Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a toutefois jugé fin mai celle-ci "plus que jamais indispensable".

 

Le Monge, dont les installations les plus sensibles restent fermées au public - et à la presse - est visible à Rouen jusqu'à dimanche, lorsqu'il fermera la "grande parade" des voiliers géants descendant la Seine jusqu'à la mer.

Partager cet article
Repost0
12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 16:55
Jean-Yves Le Drian et Antoine Bouvier, PDG de MBDA à Bourges (Crédits G Belan)

Jean-Yves Le Drian et Antoine Bouvier, PDG de MBDA à Bourges (Crédits G Belan)

12.06.2013 Par: Guillaume Belan (FOB)

 

Le ministre continue son « service après-vente » du Livre blanc sur la défense présenté début mai. Jean-Yves Le Drian, était à Bourges lundi pour une présentation aux industriels de défense. Au centre de la France, Bourges est historiquement un des grands bassins d’emplois défense, vivier de hautes technologies de l’armement. Jean-Yves Le Drian s’est rendu sur le site de MBDA avant de visiter l’activité munitionnaire de Nexter à la Chapelle-Saint Ursin (sur laquelle FOB reviendra). Avec près de 6000 emplois, l’activité défense dans la région centre est très importante et de nombreux élus locaux étaient là pour le faire savoir au ministère de la défense, premier investisseur public de l’Etat.

 

« Les contraintes financières sont fortes et les décisions difficiles » a prévenu le ministre de la défense, « mais l’industrie de défense est un atout économique, pour l’emploi, pour la technologie, pour la balance commerciale. Les dépenses publiques de défense sont un investissement pour l’avenir. »

 

« Le maintien d’une industrie de défense en pointe est l’une des ambitions fortes du Livre blanc que le Président de la République vient d’approuver et de la Loi de programmation militaire que nous sommes en train de préparer et qui doit être votée à l’automne. L’industrie française de défense doit demeurer l’une des deux premières en Europe, car c’est l’une des clés de notre autonomie stratégique, » a précisé Jean-Yves Le Drian

 

Le MMP et One MBDA confirmé

 

« One MBDA » bientôt une réalité

Reconnaissant que MBDA a « un rôle particulier » dans cette industrie de souveraineté, et participe à « l’autonomie française dans l’armement, outil essentiel de défense », le ministre a confirmé le lancement de plusieurs programmes de missiles dans la future LPM (Loi de programmation militaire) en préparation. Le premier, le MMP (missile moyenne portée) dont la phase de levée de risque pour donner un successeur au missile antichar Milan a déjà été financé. C’est donc le lancement du programme du prochain missile antichar de l’armée de terre qui est attendu « et peut se faire rapidement, dès 2014 » a précisé le ministre, saluant au passage les études auto-financées du missilier européen (Milan ER notamment). C’est donc une bonne nouvelle pour l’armée de terre et MBDA, qui attendaient depuis un certain temps la confirmation de ce programme.

Vue d'artiste d'un Scalp Naval tiré d'une FREMM crédits MBDA

Vue d'artiste d'un Scalp Naval tiré d'une FREMM crédits MBDA

« Obligatoire » aussi le MDCN, le programme français de missile de croisière naval, qui sera mis en œuvre depuis les navires de surface mais aussi sous-marins.

« One MBDA » bientôt une réalité

Dernier programme confirmé, l’ANL, missile antinavire léger, mis en œuvre depuis hélicoptères. « Même si son choix ne s’impose pas, il y a nécessité d’anticiper d’autres développements pour MBDA, notamment dans le cadre du partenariat franco-britannique ». Traduction : si l’ANL ne répond pas à un besoin impérieux en France, son lancement est important pour la relation avec Londres, dont la Marine en a un besoin criant, et participera à conforter MBDA comme la seule filière missile en Europe, l’objectif étant d’éviter la concurrence intra-européenne; MBDA devenant le seul grand maître d’œuvre sur le domaine, poussé par Paris et Londres. « Décision complexe, L’ANL va être lancé pour que « One Complex Weapon » devienne une réalité » a confirmé le ministre, assurant de la pérennité de la R&T missile franco-britannique.

Partager cet article
Repost0
12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 16:35
Why China May Limit “Carrier-Killer’s” Range

June 12, 2013 By Harry Kazianis - Flashpoints

 

Recently, the U.S. Department of Defense released its annual report on China's military entitled Military and Security Developments Involving the People’s Republic of China 2013. While last year's report was panned by some as being short on details and substance compared to prior years, the new 2013 version is much more comprehensive and offers a balanced analysis concerning China's rising military might.

In reading over the report, there was a line that struck me, but at the time was more a passing thought than a true revelation. A recent report detailing China's highly touted DF-21D anti-ship ballistic missile (ASBM) or "carrier-killer" deserves credit for highlighting the significance of the passage (hat tip to Andrew Erickson).

From the DOD report:

"Current trends in China’s weapons production will enable the PLA to conduct a range of military operations in Asia well beyond Taiwan, in the South China Sea, western Pacific, and Indian Ocean. Key systems that have been either deployed or are in development include ballistic missiles (including anti-ship variants), anti-ship and land attack cruise missiles, nuclear submarines, modern surface ships, and an aircraft carrier."

While the wording is far from definitive, there is the possibility that China could in the future develop its ASBM into a weapon with a much greater range. While most estimates (including the DOD's own report) place the range of the ASBM at "1,500+ km," as China is able to develop the weapons system and solve the challenge of hitting a moving ocean going vessel (not easy), Beijing's missile forces may begin to experiment with the idea of increasing the system’s range.

As Erickson recently noted in his report for China Brief:

"Now that the initial challenge of deploying an operational ASBM is completed, China has the option of developing other variants with different, likely complementary, characteristics. As China slowly builds the intelligence infrastructure to guide ASBMs toward their targets, future variants can be integrated more quickly into the force at higher levels of readiness. The advanced nature of ASBM development may become less the exception than the rule for future Chinese weapons programs."

China's possible mastery of ASBM technology with the added possibility of later fielding new variants with increased range would have wide-ranging regional consequences not only in the Asia-Pacific, but in the wider Indo-Pacific theatre. As many scholars have noted, China's anti-access/area-denial (A2/AD) missile-centric forces are at their strongest off the coast of China extending out to about the range of the DF-21D, approximately 1,500 km. While growing stronger in recent years, Beijing does not possess a navy or air force that can project power into the mid-Pacific. True, Chinese naval forces have deployed into the Indian Ocean, but the PLA Navy can hardly be considered a force to be reckoned with alongside India in that theatre.

Having an ASBM that could again, in theory, reach such important regions would allow Beijing to project power to areas of the globe that would have taken it years via more conventional methods. If China were able to field an ASBM that could put in play the navies of India, Indonesia, and possibly Australia, the regional security environment could shift dramatically.

There would also be dramatic consequences for the United States. Currently, U.S. naval forces are largely secure in the mid-Pacific with no peer competitor challenging its mastery. An ASBM with a longer range could take away a potential safe zone for U.S. forces and possibly push combat forces out even further away from areas of tension like the South and East China Seas, and further endanger commitments made to Taiwan. Taking an even longer view, picture this: a U.S. Navy no longer safe when docked at Pearl Harbor? Scary thought.

Considering all this, China may want to give pause in creating such an ASBM variant. Nothing unites nations with competing interests like a shared threat.  While India-U.S. ties have warmed, New Delhi has not fully embraced America's pivot to the degree Washington would like. Would India reconsider and push for stronger military ties, perhaps even purchasing advanced American missile defense systems? Would New Delhi strengthen ties even further with Japan or others who share security concerns regarding China? Such ideas are not out of the question.

Would other nations in the region make similar calculations and consider stronger relations with Washington, express greater interest in American made missile defenses, or consider responding by developing their own missile forces or building up their own conventional forces? Would Japan and South Korea put to rest recent tensions and forge stronger military ties out of shared concern that Washington may not be able to come to their aid as easily in a crisis?

Truth be told, such considerations could be a long ways off. China may not see the need for expanding the range of its "carrier-killer," and instead remain content with increasing its military power across multiple domains along its coast. There is also the argument that Beijing may not have yet even mastered the technology of its existing ASBM. Yet, it is clear missile technology, cruise or ballistic, will create more problems for the surface fleets of the future, "carrier-killer" or not.

Partager cet article
Repost0
11 juin 2013 2 11 /06 /juin /2013 19:55
La base opérationnelle de l’Ile Longue, à quoi ça sert ? Comment ça marche ?

29/12/2010 Marine nationale

 

L’Ile Longue est, depuis 1970, c'est-à-dire depuis le début de leur existence, le port base des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) français. C’est là qu’ils subissent, au retour de chaque patrouille, une indisponibilité pour entretien (IE) de quelques semaines. Mais la mission essentielle de l’Ile Longue est de fournir à chaque SNLE, lorsqu’il vient d’être construit à Cherbourg où lorsqu’il revient d’une période de grand carénage de deux ans, à Brest, ses seize missiles intercontinentaux pouvant emporter chacun six armes nucléaires. C’est donc à l’Ile Longue que sont réalisés les assemblages finaux des armes nucléaires et des fusées qui les transportent à plusieurs milliers de kilomètres de leur point de lancement. Depuis quarante ans la base a dû, tout en assurant le soutien des SNLE, s’adapter à la permanente évolution des sous-marins, des armes nucléaires et des missiles.

La base opérationnelle de l’Ile Longue, à quoi ça sert ? Comment ça marche ?

Pour d’évidentes raisons de sécurité les armes nucléaires arrivent à l’Ile Longue en éléments séparés qui sont assemblés sur place par une équipe permanente d’ingénieurs et de techniciens de la direction des applications militaires de commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA/DAM). Les « têtes » ainsi achevées sont alors livrées à une équipe de DCNS, entreprise de droit privé, émanation de l’ex-direction des constructions navales, qui constitue les parties hautes des missiles, c'est-à-dire des assemblages pouvant contenir jusqu’à six têtes nucléaires.

 

Les étages de propulsion des missiles sont fabriqués par le groupe EADS Astrium dans la région bordelaise puis transportés vers la pyrotechnie annexe de Guenvénez, à quelques kilomètres de l’Ile Longue où ils sont achevés : collage des protections thermiques, mise en place des vérins électriques d’orientation des tuyères, installation des boîtiers électroniques de pilotage et des dispositifs pyrotechniques de séparation d’étages. Achevé, l’étage est placé sur un banc de contrôle simulant toutes les parties manquantes du missile. Lorsque les trois étages constitutifs du missile sont achevés, ils sont assemblés, à Guenvénez, pour constituer un « vecteur ». Le vecteur est alors acheminé par voie routière à l’Ile Longue. Aucune activité nucléaire n’a lieu sur le site de Guenvénez où travaillent environ 250 personnes de la société EADS Astrium.

 

Une fois arrivé à l’Ile Longue le vecteur reçoit sa « partie haute », c'est-à-dire ses armes nucléaires et devient missile. Il est alors acheminé vers celle des deux cales sèches de l’Ile Longue où est échoué le sous-marin auquel il est destiné. Inversement, sitôt le missile est débarqué d’un sous-marin – les missiles sont examinés en atelier à intervalles réguliers pour des contrôles périodiques – sitôt la partie haute est séparée de la partie pyrotechnique.

L'arrivée du Triomphant à L'île longue le 1er juillet 1995

L'arrivée du Triomphant à L'île longue le 1er juillet 1995

C’est également à l’Ile Longue que chaque sous-marin subit, lorsqu’il rentre de patrouille, une période d’entretien d’une quarantaine de jours. Pour cela il est systématiquement échoué dans l’une des deux cales sèches. Tous les sept ans environ chaque SNLE subit un grand carénage qui dure deux ans : ses missiles et son combustible nucléaire sont déchargés à l’Ile Longue puis il est remorqué vers le bassin numéro huit de la base navale de Brest, spécialement équipé pour ces opérations. Au moment où cet article est publié le « Vigilant » se trouve justement dans cette phase de déchargement. Il partira début 2011 vers Brest où ses tubes lance-missiles seront modifiés pour pouvoir recevoir le missile M 51, d’un diamètre et d’une longueur supérieurs à ceux du M 45. Il reviendra à l’Ile Longue en 2012. Les opérations de maintenance sont menées sous la maîtrise d’ouvrage du service de soutien de la flotte et réalisées principalement par la société DCNS qui compte environ 650 personnes sur le site.

La base opérationnelle de l’Ile Longue, à quoi ça sert ? Comment ça marche ?

Toutes ces opérations doivent impérativement être menées dans les meilleures conditions de sécurité du travail, de sécurité nucléaire, de sécurité pyrotechnique, de protection de l’environnement et de protection du secret de la défense nationale. L’Ile Longue est donc un lieu où s’appliquent de multiples réglementations relatives à chacun des aspects de la sécurité cités précédemment. L’application de ces réglementations est contrôlée en permanence par la direction de la qualité et de la sûreté du commandant de la base (COMILO), par les inspecteurs de la marine et par des autorités de contrôle extérieures à la marine et parfois même au ministère de la défense. Pour assurer tous ces aspects de la sécurité, une bonne coordination des activités est primordiale. D’autant plus que les travaux exécutés sur le site peuvent avoir été contractualisés par cinq maîtrise d’ouvrage différentes. Cette coordination incombe également à COMILO, chef d’organisme d’accueil au sens du Code du travail. Il dispose pour cela d’un plateau technique de coordination armé par une quinzaine de personnes et dont l’ossature permanente est constituée par une équipe d’ingénieurs et techniciens de la société Assystem. Ce plateau planifie les travaux avec plusieurs échéances temporelles : quinquennales, triennales et trimestrielles. D’autres cellules de coordination réalisent un travail similaires mais avec un maillage temporel beaucoup plus serré : la journée ou même l’heure. Enfin le poste de commandement de l’Ile Longue, véritable tour de contrôle de ce système complexe, suit l’activité en temps réel. C’est lui qui, finalement, autorise une opération sensible au sens de la sécurité, après avoir contrôlé que toutes les conditions initiales, notamment l’achèvement des autres opérations sensibles incompatibles avec celle qui doit débuter.

 

Il va de soi que, malgré l’ampleur des travaux d’adaptation des infrastructures de l’Ile Longue au nouveau missile M 51 et de rénovation des installations, les sous-marins, raison d’être de la base, bénéficient de l’absolue priorité. Toute planification découle de leur programme d’emploi. Au bilan toutes ces activités sont réalisées par les quelque  2 400 personnes, civiles ou militaires, fonctionnaires ou salariées d’une entreprise privée, qui franchissent quotidiennement l’unique entrée du site. Depuis maintenant quarante ans, c’est grâce à leur professionnalisme, à leur enthousiasme et à leur engagement que tout a été possible.

Note RP Défense : merci à Jean-Dominique Merchet pour le lien.

Partager cet article
Repost0
11 juin 2013 2 11 /06 /juin /2013 18:55
La base opérationnelle de l’Ile Longue, à quoi ça sert ? Comment ça marche ?

29/12/2010 Marine nationale

 

L’Ile Longue est, depuis 1970, c'est-à-dire depuis le début de leur existence, le port base des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) français. C’est là qu’ils subissent, au retour de chaque patrouille, une indisponibilité pour entretien (IE) de quelques semaines. Mais la mission essentielle de l’Ile Longue est de fournir à chaque SNLE, lorsqu’il vient d’être construit à Cherbourg où lorsqu’il revient d’une période de grand carénage de deux ans, à Brest, ses seize missiles intercontinentaux pouvant emporter chacun six armes nucléaires. C’est donc à l’Ile Longue que sont réalisés les assemblages finaux des armes nucléaires et des fusées qui les transportent à plusieurs milliers de kilomètres de leur point de lancement. Depuis quarante ans la base a dû, tout en assurant le soutien des SNLE, s’adapter à la permanente évolution des sous-marins, des armes nucléaires et des missiles.

La base opérationnelle de l’Ile Longue, à quoi ça sert ? Comment ça marche ?

Pour d’évidentes raisons de sécurité les armes nucléaires arrivent à l’Ile Longue en éléments séparés qui sont assemblés sur place par une équipe permanente d’ingénieurs et de techniciens de la direction des applications militaires de commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA/DAM). Les « têtes » ainsi achevées sont alors livrées à une équipe de DCNS, entreprise de droit privé, émanation de l’ex-direction des constructions navales, qui constitue les parties hautes des missiles, c'est-à-dire des assemblages pouvant contenir jusqu’à six têtes nucléaires.

 

Les étages de propulsion des missiles sont fabriqués par le groupe EADS Astrium dans la région bordelaise puis transportés vers la pyrotechnie annexe de Guenvénez, à quelques kilomètres de l’Ile Longue où ils sont achevés : collage des protections thermiques, mise en place des vérins électriques d’orientation des tuyères, installation des boîtiers électroniques de pilotage et des dispositifs pyrotechniques de séparation d’étages. Achevé, l’étage est placé sur un banc de contrôle simulant toutes les parties manquantes du missile. Lorsque les trois étages constitutifs du missile sont achevés, ils sont assemblés, à Guenvénez, pour constituer un « vecteur ». Le vecteur est alors acheminé par voie routière à l’Ile Longue. Aucune activité nucléaire n’a lieu sur le site de Guenvénez où travaillent environ 250 personnes de la société EADS Astrium.

 

Une fois arrivé à l’Ile Longue le vecteur reçoit sa « partie haute », c'est-à-dire ses armes nucléaires et devient missile. Il est alors acheminé vers celle des deux cales sèches de l’Ile Longue où est échoué le sous-marin auquel il est destiné. Inversement, sitôt le missile est débarqué d’un sous-marin – les missiles sont examinés en atelier à intervalles réguliers pour des contrôles périodiques – sitôt la partie haute est séparée de la partie pyrotechnique.

L'arrivée du Triomphant à L'île longue le 1er juillet 1995

L'arrivée du Triomphant à L'île longue le 1er juillet 1995

C’est également à l’Ile Longue que chaque sous-marin subit, lorsqu’il rentre de patrouille, une période d’entretien d’une quarantaine de jours. Pour cela il est systématiquement échoué dans l’une des deux cales sèches. Tous les sept ans environ chaque SNLE subit un grand carénage qui dure deux ans : ses missiles et son combustible nucléaire sont déchargés à l’Ile Longue puis il est remorqué vers le bassin numéro huit de la base navale de Brest, spécialement équipé pour ces opérations. Au moment où cet article est publié le « Vigilant » se trouve justement dans cette phase de déchargement. Il partira début 2011 vers Brest où ses tubes lance-missiles seront modifiés pour pouvoir recevoir le missile M 51, d’un diamètre et d’une longueur supérieurs à ceux du M 45. Il reviendra à l’Ile Longue en 2012. Les opérations de maintenance sont menées sous la maîtrise d’ouvrage du service de soutien de la flotte et réalisées principalement par la société DCNS qui compte environ 650 personnes sur le site.

La base opérationnelle de l’Ile Longue, à quoi ça sert ? Comment ça marche ?

Toutes ces opérations doivent impérativement être menées dans les meilleures conditions de sécurité du travail, de sécurité nucléaire, de sécurité pyrotechnique, de protection de l’environnement et de protection du secret de la défense nationale. L’Ile Longue est donc un lieu où s’appliquent de multiples réglementations relatives à chacun des aspects de la sécurité cités précédemment. L’application de ces réglementations est contrôlée en permanence par la direction de la qualité et de la sûreté du commandant de la base (COMILO), par les inspecteurs de la marine et par des autorités de contrôle extérieures à la marine et parfois même au ministère de la défense. Pour assurer tous ces aspects de la sécurité, une bonne coordination des activités est primordiale. D’autant plus que les travaux exécutés sur le site peuvent avoir été contractualisés par cinq maîtrise d’ouvrage différentes. Cette coordination incombe également à COMILO, chef d’organisme d’accueil au sens du Code du travail. Il dispose pour cela d’un plateau technique de coordination armé par une quinzaine de personnes et dont l’ossature permanente est constituée par une équipe d’ingénieurs et techniciens de la société Assystem. Ce plateau planifie les travaux avec plusieurs échéances temporelles : quinquennales, triennales et trimestrielles. D’autres cellules de coordination réalisent un travail similaires mais avec un maillage temporel beaucoup plus serré : la journée ou même l’heure. Enfin le poste de commandement de l’Ile Longue, véritable tour de contrôle de ce système complexe, suit l’activité en temps réel. C’est lui qui, finalement, autorise une opération sensible au sens de la sécurité, après avoir contrôlé que toutes les conditions initiales, notamment l’achèvement des autres opérations sensibles incompatibles avec celle qui doit débuter.

 

Il va de soi que, malgré l’ampleur des travaux d’adaptation des infrastructures de l’Ile Longue au nouveau missile M 51 et de rénovation des installations, les sous-marins, raison d’être de la base, bénéficient de l’absolue priorité. Toute planification découle de leur programme d’emploi. Au bilan toutes ces activités sont réalisées par les quelque  2 400 personnes, civiles ou militaires, fonctionnaires ou salariées d’une entreprise privée, qui franchissent quotidiennement l’unique entrée du site. Depuis maintenant quarante ans, c’est grâce à leur professionnalisme, à leur enthousiasme et à leur engagement que tout a été possible.

Note RP Défense : merci à Jean-Dominique Merchet pour le lien.

Partager cet article
Repost0
11 juin 2013 2 11 /06 /juin /2013 12:20
F-35A AIM-120 missile

F-35A AIM-120 missile

Jun 7, 2013 ASDNews Source : US Air Force

 

An F-35A conventional takeoff and landing aircraft completed the first in-flight missile launch of an AIM-120 over the Point Mugu Sea Test Range, June 5.

 

It was the first launch where the F-35 and AIM-120 demonstrated a successful launch-to-eject communications sequence and fired the rocket motor after launch -- paving the way for targeted launches in support of the Block 2B fleet release capability later this year.

 

The Air Force F-35A variant has seen significant development in training and operations recently including the beginning of pilot training at Eglin Air Force Base, Fla., the delivery of the first operational test aircraft to Edwards and Nellis Air Force Base, Nev., the first operational aerial refueling and the completion of high angle of attack testing.

 

"It's a testament to the entire military-industry test team," said Lt. Col. George "Boxer" Schwartz, F-35 Integrated Test Force director, who also piloted the flight. "They've worked thousands and thousands of hours to get to the point where we are today. It's fantastic to see that it's all paid off. We're rolling into a lot of additional weapons work in the coming months to put that expanded capability on the aircraft."

 

The F-35A 5th Generation fighter is designed to carry a payload of up to 18,000 pounds using 10 weapon stations. The F-35A features four internal weapon stations located in two weapon bays to maximize stealth capability. The CTOL aircraft can also utilize an additional three external weapon stations per wing if required.

 

The U.S. Air Force has established an F-35A initial operating capability target date of December 2016. By this date, the Air Force will have fielded an operational squadron with at least 12 aircraft along with Airmen trained and equipped to conduct basic close air support, interdiction and limited suppression, and destruction of enemy air defense operations in a contested environment.

 

Moving into the active phase of weapons test is another large step toward delivering Block 2B software capability that will enable initial combat deployment.

 

"We've spent years working on the design of the aircraft, and many months ensuring that weapons could be contained within the aircraft and dropped as designed," said Charlie Wagner, F-35 weapons director. "This event is the result of tremendous effort and collaboration in the F-35 Enterprise, and marks a turning point in F-35 capabilities; the AIM-120 launch is one small but critical increment toward proving combat capability,"

 

The 5th generation F-35 Lightning II combines advanced stealth with fighter speed and agility, fully fused sensor information, network-enabled operations and advanced sustainment. Three distinct variants of the F-35 will replace the A-10 and F-16 for the U.S. Air Force, the F/A-18 for the U.S. Navy, the F/A-18 and AV-8B Harrier for the U.S. Marine Corps, and a variety of fighters for other countries.

Partager cet article
Repost0
11 juin 2013 2 11 /06 /juin /2013 11:55
Jean-Yves Le Drian confirme le missile ANL

11.06.2013 Helen Chachaty à Bourges - .journal-aviation.com

 

Lors de son déplacement à Bourges sur le site de MBDA le 10 juin, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a confirmé le programme de missile anti-navire léger (ANL), qui doit à terme équiper les hélicoptères maritimes français et britanniques tels que les AW159 Wildcat, les NH90 ou les Panther.

Jean-Yves Le Drian confirme le missile ANL

Le programme était plus ou moins en suspens, attendant l’aval du gouvernent français. C’est à présent chose faite, l’ANL sera bien intégré à la LPM et lancé « prochainement », sans toutefois de calendrier plus précis. MBDA table sur une mise en service qui pourrait intervenir à partir de 2015.

 

En janvier dernier, le CEO de MBDA Antoine Bouvier avait qualifié le programme d’urgent et l’avait jugé absolument nécessaire, en particulier pour la Grande-Bretagne, forcée de prolonger la durée de vie de ses actuels Sea Skua.

 

L’ANL (FASGW – Future Anti-Surface Guided Weapon) est un missile de 100 kg, dont la portée doit atteindre 20 kilomètres.

Partager cet article
Repost0
10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 16:20
Patriot proves successful integration of PAC-3 MSE missile

 

Jun 7, 2013 ASDNews Source : Raytheon Corporation

 

    New missile will join Patriot's family of combat-proven GEM-T and PAC-3 interceptors to counter advanced evolving threats

 

Raytheon Company's (NYSE: RTN) combat-proven Patriot Air and Missile Defense System successfully test fired the PAC-3 MSE (Missile Segment Enhancement) missile at White Sands Missile Range, N.M.

 

"Patriot continues to successfully demonstrate its advanced capabilities of integrating new technologies," said Sanjay Kapoor, vice president of Integrated Air and Missile Defense at Raytheon's Integrated Defense Systems business. "This is the seventh time Patriot has test fired Lockheed Martin's PAC-3 MSE missile, which will allow Patriot to take on the more sophisticated threats from rogue nations that threaten the safety and security of our warfighters and allies."

 

About Patriot

 

Patriot is the world's most capable air and missile defense system, providing protection against a full range of advanced threats, including aircraft, tactical ballistic missiles, cruise missiles and unmanned aerial vehicles. It is the system of choice for 12 nations around the globe.

 

Raytheon is the prime contractor for both domestic and international Patriot Air and Missile Defense Systems and system integrator for Patriot Advanced Capability-3 missiles.

Partager cet article
Repost0
10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 15:30
Missiles russes: l'Iran refuse de recevoir les Tor au lieu des S-300

MOSCOU, 10 juin - RIA Novosti

 

Les missiles sol-air Tor que la Russie a proposé de livrer à l'Iran à la place des S-300 ne conviennent pas au système de défense iranien, a déclaré lundi à Moscou l'ambassadeur iranien Mahmoud Reza Sadjadi.

 

"Le système Tor qu'on nous a proposé ne peut pas remplir les fonctions des S-300 dans le cadre du système spécial de défense que nous avons créé", a indiqué M.Sadjadi lors d'une conférence de presse.

 

La Russie a signé un contrat d'environ 800 millions de dollars avec l'Iran sur la livraison de cinq unités complètes de missiles sol-air S-300 en 2007. En 2010, Moscou a rompu le contrat en application de la résolution 1929 du Conseil de sécurité de l'ONU interdisant la livraison d'armes conventionnelles à Téhéran. Le ministère iranien de la Défense a porté plainte auprès de la Cour internationale d'arbitrage de Genève contre l'exportateur d'armes russe Rosoboronexport. La République islamique cherche à obtenir 4 milliards USD de réparations. Selon les médias, Téhéran est prêt à retirer sa plainte si Moscou honore le contrat.

 

Le directeur du holding russe de hautes technologies Rostec Sergueï Tchemezov a déclaré fin mai que la Russie avait peu de chances de gagner le procès et que Moscou cherchait à régler l'affaire à l'amiable, mais "en vain".

 

Les missiles sol-air S-300 peuvent abattre les avions et les missiles balistiques. Le système S-300 est capable d'attaquer six cibles à la fois et a une portée de 200 kilomètres.

 

Les missiles sol-air Tor ont quant à eux une portée de 12 kilomètres.

Missiles russes: l'Iran refuse de recevoir les Tor au lieu des S-300
Partager cet article
Repost0
10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 10:55
Boulava, M51, Trident II : un petit club très fermé…

10/06/2013 Jean-Dominique Merchet

 

L'échec du tir d'un missile stratégique français, le 5 mai dernier, depuis un sous-marin nucléaire lanceurs d’engins (SNLE) Le Vigilant en plongée au large du Finistère, confirme, si besoin était, que cette technologie reste bien l’une des plus complexes du monde.

 

Les Russes en savent quelque chose, avec le missile RSM-56 Boulava qu’ils ont eu beaucoup de mal à mettre au point, après avoir essuyé de nombreux échecs : 7 sur  20 tirs depuis 2004.

 

Avec la Russie et la France, seuls les Etats-Unis avec le Trident II - et le Royaume-Uni, qui utilise toutefois le savoir-faire américain-  sont aujourd’hui capables de lancer des missiles depuis un sous-marin en plongée. Les Chinois possèdent, eux aussi, des SNLE, mais beaucoup d’experts doutent du fait qu’ils maîtrisent complètement cette technologie. Les Russes, eux-mêmes, semblent changer d’univers avec le missile Boulava, à carburant solide, et le sous-marin Dmitri Donskoï de nouvelle génération, qui permet réellement de tirer en plongée et non après fait surface…

 

L’échec du tir français est "embêtant", reconnait-on dans les hautes sphères de la Défense. "Embêtant", mais pas plus, car on assure qu'il ne s'agit pas d'un problème systémique, qui remettrait en cause la technologie même du missile ou de son lanceur.

 

Une commission a été chargée d'analyser les causes de cet échec. Elle épluche toutes les données enregistrées alors que la Marine nationale tente de recueillir les restes du missile M51 au large de la Bretagne. La commission devrait rendre ses conclusions, fin juin ou début juillet, mais l’essentiel du rapport d’enquête devrait rester secret-défense.  Ce que l’on sait aujourd’hui, c’est que des éléments jugés plutôt rassurants ont déjà été communiqué aux autorités françaises. "On ne sait pas ce qu'il s'est passé, mais on sait déjà ce qu'il ne s'est pas passé" explique-t-on dans ces milieux.

 

Que s’est-il passé ? Le tir s'est déroulé de manière nominale. Le SNLE Le Vigilant est venu à son immersion de lancement, proche de la surface, et a réduit sa vitesse au minimum pour éviter l'effet de cisaillement à la sortie du tube. Le missile M51 de 56 tonnes a été éjecté par un système de chasse  - de l'eau vaporisée sous l'engin - et il a allumé son moteur-fusée juste avant d'atteindre la surface.

 

Dès son lancement, le missile est entièrement autonome et le sous-marin n'a plus aucun contrôle sur lui.

 

"Moins de cinquante secondes" après le tir, le missile s'est "autodétruit", selon le mot employé par le ministère de la Défense. Dans la dissuasion nucléaire, chaque mot compte : "autodétruit" ne signifie pas qu'il a  explosé en vol pour une cause inconnue, mais que le missile a activé son propre système d'autodestruction. "On sait que ça, au moins, ça a marché..." reconnait une source bien informée.

 

Pourquoi le missile a-t-il pris cette décision de s'autodétruire ? C'est la question que la commission d'enquête doit résoudre. Il existe, globalement, deux possibilités. Soit la décision est irrationnelle, c'est-à-dire qu'il s'agit d'un bug informatique. Soit elle est rationnelle, parce que le missile déviait de sa trajectoire programmée, pour une raison inconnue, par exemple une panne d'un système de navigation très sophistiqué.  Lors des tirs d'essais, le missile est équipé de plusieurs équipements spécifiques dont il ne dispose pas dans sa version opérationnelle, notamment un système d'autodestruction et des différents capteurs pour récolter des données au cours du vol.

 

En France, ces tirs de missile stratégiques sont relativement rares. Ils sont évidemment réalisés sans les têtes nucléaires, qui peuvent être jusqu’à six. Début mai, il s'agissait du sixième tir d'un M51 depuis 2006, les cinq premiers s'étant déroulés avec succès et quatre d'entre eux étaient consacrés à la validation de ce nouvel engin d’une portée d’environ 10.000 km, qui permet d’atteindre des cibles plus lointaines que son prédécesseur M45.

 

Chaque SNLE tire un missile à la sortie de son grand carénage (période d’entretien) - ce qui globalement, pour les 4 SNLE, signifie environ un tir tous les deux ans. Les lancements se font toujours depuis le sud Finistère au large de Penmarc'h.

 

La législation internationale oblige la France à annoncer un créneau de date pour ses tirs d'essais, afin de ne pas perturber la circulation aérienne au dessus de l'Atlantique, via les Notam (Notice to Airmen). Les tirs se font en direction de la Guyane française et du Brésil. Quelques lancements, effectués depuis le sol au centre d'essais des Landes, ont eu lieu plus au nord, en direction du Canada, afin d'éviter le survol du nord-ouest de l'Espagne, mais cela avait alors provoqué des protestations de la part d’élus canadiens.

 

Les vols durent une vingtaine de minutes, le temps de parcourir plusieurs milliers de kilomètres.   Les Russes, eux, tirent depuis la Mer Blanche en direction du Kamtchatka, sur le polygone de Kura.

 

L’opinion de l’auteur ne coïncide pas forcément avec la position de la rédaction.

 

* Jean-Dominique Merchet, journaliste spécialisé dans les affaires de Défense. Auteur du blog français le plus lu sur ces questions, créé en 2007. Ancien de l’Institut des hautes études de défense nationale. Auteur de nombreux ouvrages dont : « Mourir pour l’Afghanistan » (2008), « Défense européenne : la grande illusion » (2009), « Une histoire des forces spéciales » (2010), « La mort de Ben Laden » (2012).

Partager cet article
Repost0
10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 10:55
Exercice militaire à Canjuers. Les chars Leclerc sont en première ligne. (SIPA)

Exercice militaire à Canjuers. Les chars Leclerc sont en première ligne. (SIPA)

10-06-2013 Hubert Levet pour Challenges.fr

 

EXCLUSIF Le ministère de la Défense s'apprête à annoncer d’importantes commandes de munitions auprès de MBDA et Nexter.

 

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, en déplacement dans la région Centre ce lundi 10 juin, devrait dévoiler un important programme d’acquisitions de munitions pour les armées françaises. Sont concernés les groupes industriels Nexter et le missilier MBDA, filiale d’EADS, qui tous les deux possèdent des sites dans la région Centre.

 

MBDA va être retenu pour fournir aux frégates FREMM de la Marine Nationale, mais aussi aux futurs sous-marins nucléaires d’attaque Barracuda, des missiles Scalp Naval. Toujours pour les frégates, des missiles anti-missiles Aster vont aussi être commandés à MBDA. La filiale munitions de Nexter va de son côté se voir confier une seconde commande pluriannuelle d’obus de gros calibre (155mm, 120mm et 105mm) pour les systèmes d’armes de l’armée de terre. Cette commande, qui va apporter deux exercices d’activité à Nexter Munitions, va générer vingt embauches dans la filiale.

Partager cet article
Repost0
8 juin 2013 6 08 /06 /juin /2013 11:40
prototype ballistic missile from the Plesetsk Cosmodrome

prototype ballistic missile from the Plesetsk Cosmodrome

MOSCOU, 7 juin - RIA Novosti

 

La Russie a testé jeudi un nouveau missile balistique intercontinental que le vice-premier ministre russe Dmitri Rogozine a qualifié vendredi de "tueur de bouclier antimissile".

 

"Les Troupes balistiques stratégiques russes (RVSN) ont effectué le 6 juin, à 21h45 heure de Moscou, le lancement d'essai d'un prototype du nouveau missile balistique intercontinental depuis une rampe de tir mobile installée sur le polygone central de Kapoustine Iar, dans la région d'Astrakhan", a indiqué le service de presse des RVSN dans un communiqué.

 

Le tir a été un succès, l'ogive du missile a atteint le polygone "Balkhach" au Kazakhstan à l'heure prévue, selon le service de presse.

 

"Nous avons suivi avec attention le tir de jeudi soir. Tout s'est bien passé, nous avons testé un missile balistique intercontinental que je qualifie de "tueur de la défense antimissile". Aucun moyen du bouclier antimissile américain ne pourra empêcher ce missile à détruire sa cible", a indiqué le vice-premier ministre Rogozine lors d'une conférence à Moscou.

 

Selon lui, la Fédération de Russie cherchera à se doter d'armes et de matériel permettant d'éviter les guerres de 6e génération (utilisant des armes de haute précision) dans le cadre de son programme public de rééquipement de l'armée. Moscou créera des armes et des techniques de défense aérospatiale susceptibles de surmonter tous les systèmes de la défense antimissile et de préserver l'équilibre dans le monde.

Partager cet article
Repost0
8 juin 2013 6 08 /06 /juin /2013 11:40
Roubej: le nouveau missile intercontinental russe en service en 2013

MOSCOU, 7 juin - RIA Novosti

 

La Russie mettra en service opérationnel en 2013 le nouveau missile intercontinental Roubej qui a été testé jeudi soir, a annoncé vendredi à Moscou le chef du département opérationnel de l'Etat-major général des Forces armées russes Vladimir Zaroudnitski.

 

"Nous avons testé jeudi soir le système Roubej doté d'un missile balistique intercontinental à haute précision (…). Le tir a été un succès, tous les blocs ont atteint la cible. Un autre tir est nécessaire pour achever les essais. Ensuite, le système Roubej sera livré à l'armée. Le premier régiment doté de ces missiles sera déployé à partir de 2014", a indiqué le général Zaroudnitski lors d'une rencontre du président russe Vladimir Poutine avec des officiers promus à des grades supérieurs.

 

Le vice-premier ministre russe Dmitri Rogozine a qualifié vendredi le nouveau missile Roubej de "tueur de bouclier antimissile".

 

L'armée russe crée actuellement l'infrastructure appropriée, prépare les effectifs et forme des équipes de service du nouveau missile Roubej, selon le général Zaroudnitski.

 

"Le missile Roubej aura de meilleures caractéristiques que les missiles russes déjà en service. Cela élargira le potentiel des forces russes de dissuasion nucléaire", a conclu le responsable.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories