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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 08:40
Moscou renonce à créer des armes stratégiques avec Kiev

Missile de conception russo-ukrainienne RS-20 photo RIA Novosti. Vladimir Fedorenko

 

MOSCOU, 16 décembre - RIA Novosti

 

La Russie a renoncé à coopérer avec l'Ukraine dans la conception d'armes stratégiques, a annoncé mardi à Moscou le commandant des Troupes balistiques stratégiques russes (RVSN) Sergueï Karakaïev.

 

"Nous n'avons pas besoin du potentiel de l'industrie de défense ukrainienne", a indiqué le général Karakaïev à la veille du 55e anniversaire des Troupes RVSN.

 

Selon lui, le bureau d'études Ioujnoïe de Dniepropetrovsk et d'autres sociétés ukrainiennes ne font plus partie de la chaîne industrielle russe chargée d'assurer le fonctionnement des missiles RS-20 Voevoda (SS-18 Satan, selon le code de l'Otan).

 

La conception des missiles destinés aux Troupes RVSN est confiée exclusivement aux entreprises russes depuis 1993. Le Centre des missiles Makeïev de Miass (région de Tcheliabinsk) est l'un des principaux producteurs de missiles russes à ergols liquides.

 

Ces derniers temps, la Russie crée un nouveau missile balistique intercontinental lourd destiné à remplacer le missile de conception russo-ukrainienne RS-20 Voevoda. L'armée russe devrait se doter de ces missiles d'ici 2020.

 

Le missile nucléaire intercontinental de 3e génération RS-20 a été conçu à l'époque de l'URSS par un groupe de bureaux d'études dirigé par le bureau Ioujnoïe de Dniepropetrovsk (Ukraine). Il est en service opérationnel depuis les années 1980.

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16 décembre 2014 2 16 /12 /décembre /2014 12:40
RS-24 Iars photo Service de presse du Ministère russe de la Défense

RS-24 Iars photo Service de presse du Ministère russe de la Défense

MOSCOU, 16 décembre -RIA Novosti

24 missiles stratégiques intercontinentaux Iars seront mis en service en 2015, a annoncé aux journalistes le général Sergueï Karakaïev, commandant des Troupes balistiques stratégiques russes (RVSN).

"24 missiles stratégiques Iars basés au sol et dans des silos devront équiper les troupes en 2015", a déclaré le militaire à la veille du 55e anniversaire des troupes fêté le 17 décembre 2014.

Le RS-24 Iars (code OTAN SS-X-29), missile à propergol solide et à trois étages, est une version modernisée du missile monobloc RS-12M2 Topol-M. Il est doté d'ogives multiples de 150 à 300 kt à guidage individuel et a une portée de 11.000 km. Selon ses concepteurs, aucun système de défense antimissile n'est actuellement capable de parer une attaque de missiles Iars.

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15 décembre 2014 1 15 /12 /décembre /2014 13:50
HMS Richmond Seawolf missile firing

 

12 déc. 2014 Royal Navy

 

With a flash of fire and smoke Royal Navy warship HMS Richmond has bared her teeth as she blasted targets into oblivion using two Seawolf missiles.

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12 décembre 2014 5 12 /12 /décembre /2014 17:50
Brimstone on Typhoon - photo BAE Systems

Brimstone on Typhoon - photo BAE Systems

 

12 December 2014 BAE Systems

 

We have completed the first full trial installation of MBDA’s Brimstone missile onto a Typhoon aircraft.

 

The trial fit is an important milestone in demonstrating the integration of the missile with the aircraft and follows the successful completion of an initial £5M study contract awarded to us by the UK’s Ministry of Defence earlier this year.  The trials are helping to pave the way for Brimstone 2 integration for the UK’s Royal Air Force (RAF) by 2018. 

 

Six Brimstone missiles were fitted to the aircraft, each wing carrying a launcher with three missiles. Training missiles were used for the purposes of the trial and demonstrated that the weapon can be fitted to the aircraft.  The aircraft was also fitted with two Paveway IV precision guided bombs, showing the baseline Phase 3 Enhancements Air-to-Surface configuration which will provide RAF Typhoon operators with a multi-role platform capable of addressing a wide range of target sets and delivering a variety of proportional precision weapon effects.

 

Andy Blythe, Test Pilot said “Brimstone is an extremely flexible combat low collateral damage missile which was proven on the Tornado GR4.  Brimstone 2 is the next iteration of the weapon and building on its previous successes, will undoubtedly provide the RAF with a potent capability. When the system is paired with Typhoon and Paveway IV, the aircraft will be able to engage a huge cross section of potential targets.”

 

The current Dual Mode Seeker Brimstone which Brimstone 2 replaces is effective against the most challenging, high speed and manoeuvring targets over land and sea. As a low collateral, close air support weapon it is already combat proven by the RAF in Afghanistan, Libya and most recently in Iraq on the Tornado GR4.

 

Fitting of the Brimstone missile comes in a year that has seen progress across a range of programmes for Typhoon.  The UK RAF are now operating the most advanced Typhoon to date with the latest Phase 1 Enhancement package now in operation.  This upgrade delivers true simultaneous swing-role capability to Typhoon.

 

Progress is also being made across a number of weapons programmes including the award of a full integration contract for the Storm Shadow weapon and further trials to fully integrate the Meteor Beyond Visual Range Air-To-Air missile.  In addition an EUR1bn contract to develop and fit the Captor E-Scan radar was signed on 19 November which will give Typhoon one of the most advanced radar systems in the world, providing a wider field of regard than any other combat aircraft.  

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12 décembre 2014 5 12 /12 /décembre /2014 12:35
La Chine teste un missile hypersonique

 

TOKYO, 12 décembre - RIA Novosti

 

Le ministère chinois de la Défense a confirmé avoir testé avec succès un missile hypersonique WU14, annonce vendredi le journal japonais Yomiuri.

 

"La tenue d'essais scientifiques et techniques sur le territoire chinois est un phénomène courant, ces essais ne visant aucun pays et aucun site concret", indique le ministère chinois.

 

Selon le journal japonais, ce missile serait capable de déjouer les systèmes de défense américains. Il s'agit du troisième test de ce missile, le premier s'étant déroulé en janvier et le deuxième en août 2014.

 

Le WU14 est un missile hypersonique capable d'atteindre Mach 10, soit 12.000 kilomètres/heure.

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11 décembre 2014 4 11 /12 /décembre /2014 12:40
Russie: les chars Armata seront dotés d'un nouveau missile

 

MOSCOU, 10 décembre - RIA Novosti

 

La Russie créera un nouveau missile pour son char lourd de nouvelle génération Armata, a annoncé mardi à Moscou à vice-président du collège de la Commission russe pour l'industrie de défense Oleg Botchkarev.

 

"Le nouveau char sera doté d'un nouveau missile guidé dont les performances seront bien inattendues pour notre ennemi", a indiqué M.Botchkarev lors de l'émission Défense nationale à la radio moscovite Stolitsa FM.

 

Le ministère russe de la Défense a annoncé au début de 2014 que le parc de blindés et matériels de guerre des troupes terrestres serait renouvelé à 70% d'ici 2020. L'armée de terre sera notamment dotée de chars Armata, de blindés de transport de troupes Boomerang, de véhicules de combat d'infanterie Kourganets-25 et de véhicules Taïfoun.

 

Selon le directeur général adjoint de l'Agence russe d'exportation d'armements (Rosoboronexport) Igor Sevastianov, le char Armata aura une tourelle inhabitée et un système de commande automatisé et l'équipage du char sera protégé par une capsule blindée.

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11 décembre 2014 4 11 /12 /décembre /2014 12:35
La Russie et l'Inde passent à la coproduction d'armes (Poutine)

 

MOSCOU, 10 décembre - RIA Novosti

 

La Russie et l'Inde passent des relations "fournisseur-client" à la coproduction d'armes modernes, a déclaré mardi le président russe Vladimir Poutine à la veille de sa visite à New Delhi programmée pour le 11 décembre.

 

"L'Inde est notre partenaire fiable de longue date. Le niveau élevé de la coopération bilatérale et de confiance réciproque nous permet de passer progressivement du schéma traditionnel +fournisseur-client+ à la conception conjointe et à la coproduction d'armes modernes", a indiqué M.Poutine dans une interview à l'agence indienne PTI.

 

La Russie et l'Inde coopèrent sur la production de missiles embarqués BrahMos et la création d'un chasseur multirôle de 5e génération. Selon l'ambassadeur russe en Inde, Alexandre Kadakine, 70% d'armes et matériels de l'armée indienne sont de conception soviétique et russe. La Russie a livré des armes et matériels à l'Inde pour 4,78 milliards de dollars en 2013, d'après le Service fédéral russe pour la coopération militaire et technique (FSVTS).

 

La visite de M.Poutine en Inde doit notamment déboucher sur la signature d'un accord entre les ministères de la Défense des deux pays sur la sécurité des vols.

 

L'assistant du président russe, Iouri Ouchakov, a antérieurement annoncé que les entretiens russo-indiens de New Delhi seraient consacrés à la création du chasseur de 5e génération, de missiles BrahMos, ainsi qu'à la production d'avions de ligne Sukhoi Superjet 100 et le développement de la navigation par satellite.

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11 décembre 2014 4 11 /12 /décembre /2014 08:20
Raytheon awarded $26 million US Navy contract for Tomahawk launching system

 

TUCSON, Ariz., Dec. 10, 2014 Raytheon

 

Raytheon Company (NYSE: RTN) received a $25.9 million U.S. Navy contract for Tomahawk missile Composite Capsule Launching Systems (C/CLS). Production and delivery of the systems will support submarine-launched Tomahawk Cruise missiles.

"Submarine and surface-launched Tomahawk missiles have been employed in more than 2,000 combat missions worldwide," said Roy Donelson, Raytheon Tomahawk senior program director. "Raytheon and the U.S. Navy are working together to give this proven missile even greater capability."

The new launching systems will be integrated into nuclear powered fast attack submarines and nuclear powered guided missile subs. The C/CLS provides for all mechanical and environmental interfaces between the missile and the submarine missile tube. Deliveries will begin in September 2015.

 

About Tomahawk Block IV
With a range of more than 1,000 miles the Tomahawk Block IV missile is a surface and submarine-launched precision strike stand-off weapon. Tomahawk is designed for long-range precision strike missions against high-value and heavily defended targets. Raytheon and the U.S. Navy are working to provide Tomahawk with even greater capability.

 

About Raytheon
Raytheon Company, with 2012 sales of $24 billion and 68,000 employees worldwide, is a technology and innovation leader specializing in defense, security and civil markets throughout the world. With a history of innovation spanning 91 years, Raytheon provides state-of-the-art electronics, mission systems integration and other capabilities in the areas of sensing; effects; and command, control, communications and intelligence systems; as well as a broad range of mission support services. Raytheon is headquartered in Waltham, Mass. For more about Raytheon, visit us at www.raytheon.com and follow us on Twitter @raytheon.

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10 décembre 2014 3 10 /12 /décembre /2014 17:50
Further Meteor firing trials begin for Typhoon

 

04 December 2014 BAE Systems
 

A Typhoon aircraft has successfully completed the first in a series of live firings of the MBDA Meteor Beyond Visual Range Air-to-Air Missile. This continues the series of trials we lead to demonstrate integration of the Meteor missile with Typhoon's weapon system.

 

Following contract signature in 2013 for the full integration of Meteor onto Typhoon, the trials continue to demonstrate that the weapon operates effectively with the aircraft.

Led by ourselves with support from MBDA, Selex, Qinetiq and MOD, the trials were conducted  in November 2014  at the MOD’s Hebrides firing range in the UK and further developed and tested the integration of the missile with the weapon system as well as expanding the jettison envelope by conducting firings at different altitudes and speeds. The trials also tested the interface of the missile with the weapon system for both pre-launch priming and post launch datalink functions between the missile and radar.

Test pilot Nat Makepeace flew the sortie and  said: “The aircraft and the weapon performed exactly as expected.  It’s very easy and intuitive to operate, and the trials demonstrated that we can operate in an expanded envelope safely and accurately.  This is a significant step forward for the full integration of the Meteor missile onto the Typhoon aircraft.”

Produced by MBDA, Meteor is an active radar guided missile designed to provide a multi-shot capability against long-range manoeuvring targets, such as fast jets, small unmanned aerial vehicles and cruise missiles in a heavy electronic countermeasures environment.

Capable of engaging air targets during day and night, and in all-weather conditions, the Meteor will complement Typhoon’s existing missile systems, providing pilots with a greater choice of weapons during combat.

Further firing trials are scheduled to be carried out as part of the Meteor Integration contract to fully expand the launch envelope and weapon system integration which will culminate in the integration being complete in 2017.

These trials take place in a year that has seen progress across a range of programmes for Typhoon. The UK RAF are now operating the most advanced Typhoon to date with the latest Phase 1 Enhancement package now in operation. This upgrade delivers true simultaneous swing-role capability to Typhoon. Progress is also being made across a number of weapons programmes including the award of a full integration contract for the Storm Shadow weapon and the first multiple release of a Paveway IV bomb.

A £800m contract to develop and fit the Captor E-Scan radar was signed in November which will give Typhoon one of the most advanced radar systems in the world, providing a wider field of regard than any other combat aircraft. Typhoon is already regarded as one of the world’s leading swing-role combat aircraft and continues to be upgraded to provide decades of effective, relevant effect. 

 
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10 décembre 2014 3 10 /12 /décembre /2014 16:55
Aéronautique : l’évaluation du Rafale F3R par le CEPA

 

8 Décembre 2014 Source : Marine nationale

 

Du 1e au 4 décembre 2014, les pilotes du centre d’expérimentations pratiques de l’aéronautique navale (CEPA) ont participé à la première revue d’aptitude à l’utilisation du standard F3R du Rafale. Cette campagne leur a notamment permis d’évaluer en vol la conduite de tir du missile air-air Meteor dans un contexte opérationnel et de proposer des améliorations du système. Grace à l’allonge du missile Meteor et à la portée de détection du radar à antenne active AESA, le Rafale F3R disposera d’une capacité d’interception sans équivalent.

 

Outre ces nouvelles capacités de défense aérienne par rapport au F3 actuellement en service,  le F3R emportera également le nouveau pod de désignation laser dans ses actions air-sol et une nouvelle nacelle de ravitaillement, indispensable lors des opérations autour du GAN (groupe aéro-naval).

 

Sa mise en service dans la Marine est prévue à l’horizon 2020.

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8 décembre 2014 1 08 /12 /décembre /2014 08:30
La Syrie accuse Israël d’avoir mené deux raids près de Damas

 

08.12.2014 par 45eNord.ca (AFP)
 

La Syrie a accusé dimanche Israël d’avoir mené deux raids contre des secteurs tenus par le régime près de Damas, l’accusant d’apporter un «soutien direct» aux rebelles et djihadistes.

 

Ailleurs dans le pays déchiré par plus de trois ans de guerre civile, les forces pro-gouvernementales ont repoussé un assaut des djihadistes du groupe État islamique (EI) dans la province orientale de Deir Ezzor, et resserraient l’étau sur des positions rebelles dans le secteur d’Alep (nord).

Dimanche après-midi, «l’ennemi israélien a attaqué deux régions sécurisées (gouvernementales) de la province de Damas : le secteur de Dimas (nord-ouest) et celui de l’aéroport international de Damas», a accusé l’armée syrienne dans un communiqué diffusé à la télévision, précisant que les raids n’avaient causé que des dégâts matériels.

Le ministère syrien des Affaires étrangères a indiqué dimanche soir qu’il demandait au Secrétaire général Ban Ki-moon et au Conseil de sécurité de l’ONU d’imposer des sanctions contre Israël. Le ministère a qualifié ces raids de « crime atroce contre la souveraineté de la Syrie», selon l’agence de presse officielle SANA.

Selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), Dimas est un site militaire et l’aéroport de Damas est en partie civil et en partie militaire.

«Cette agression directe par Israël a été menée pour aider les terroristes en Syrie après que nos forces eurent remporté d’importantes victoires à Deir Ezzor, Alep et ailleurs», a ajouté l’armée. «Cela apporte la preuve du soutien direct d’Israël au terrorisme en Syrie».

Dans la terminologie du régime, le mot «terroriste» englobe tous les rebelles, qu’il s’agisse des modérés ou des djihadistes.

Les autorités israéliennes n’avaient pas réagi dans l’immédiat.

 

Un assaut de l’EI repoussé

L’armée et l’aviation israéliennes ont mené plusieurs attaques contre des positions militaires depuis le début de la révolte contre le régime syrien en mars 2011.

L’aviation israélienne a aussi visé en Syrie des infrastructures appartenant au puissant mouvement libanais chiite Hezbollah ou des armes lui étant destinées. Le Hezbollah – qui soutient militairement le président syrien Bachar al-Assad – et Israël s’étaient livrés une guerre dévastatrice et meurtrière en 2006.

L’annonce de ces raids survient alors que les forces pro-gouvernementales syriennes ont connu plusieurs succès ces dernières 24 heures.

Elles ont réussi dimanche à repousser une attaque de l’EI contre un important aéroport militaire situé à Deir Ezzor, selon l’OSDH, qui a précisé que plus de 100 djihadistes et 59 combattants pro-régime avaient été tués.

D’après l’OSDH, plusieurs jihadistes ont souffert de «suffocation» en raison de l’utilisation par l’armée de chlorite.

L’aéroport militaire de Deir Ezzor est considéré comme la seule voie de ravitaillement alimentaire des forces gouvernementales dans l’Est syrien. C’est de là que les avions et hélicoptères de l’armée décollent pour des raids contre les djihadistes et rebelles dans plusieurs régions de Syrie.

 

Rencontres diplomatiques

Par ailleurs, l’armée avançait dimanche dans la province d’Alep, selon l’OSDH, qui a précisé qu’au moins 24 rebelles et jihadistes avaient été tués au nord-est de la ville éponyme. «L’armée (…) a pris le secteur de Breij», a déclaré à l’AFP le directeur de l’OSDH Rami Abdel Rahmane.

Cela signifie que l’armée resserre l’étau sur les rebelles à l’est d’Alep: «il y a une menace très réelle que la route d’approvisionnement de l’opposition soit coupée», a-t-il précisé.

Alep, deuxième ville de Syrie, est divisée depuis juillet 2012 entre secteurs loyalistes à l’ouest et secteurs rebelles à l’est. Ces derniers sont menacés depuis début octobre d’être totalement assiégés par l’armée.

Toujours à Alep, des rebelles ont fait exploser un tunnel près d’une ancienne mosquée, affirmant viser des positions de l’armée, selon l’OSDH.

La télévision officielle a indiqué que les rebelles avaient fait exploser la mosquée de Sultaniyeh. Selon l’OSDH, la mosquée n’a pas été endommagée mais 12 soldats ont été tués dans l’explosion.

Le conflit en Syrie a commencé en mars 2011 par un mouvement de contestation pacifique qui s’est ensuite transformé en rébellion armée. Celle-ci a été largement éclipsée ces derniers mois par la montée en puissance de groupes jihadistes, notamment l’EI.

Alors que les combats ont fait plus de 200.000 morts, le ballet diplomatique a repris pour tenter de mettre un terme aux violences.

L’émissaire de l’ONU en Syrie, Staffan de Mistura, discutera dans les prochains jours à Gaziantep, en Turquie, avec les chefs rebelles d’Alep d’un «gel» des combats dans cette ville.

La Russie, qui entend relancer le processus de paix, recevra de son côté mercredi une délégation d’opposants syriens tolérés par le président Assad, après des personnalités du régime fin novembre.

Le ministre syrien des Affaires étrangères, Walid Mouallem, se rend lui lundi à Téhéran pour une conférence sur l’extrémisme et la violence à laquelle doit également participer Ibrahim al-Jaafari, son homologue d’Irak où l’EI sévit également.

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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 17:30
Iraqi Army M1A1 Abrams tanks

Iraqi Army M1A1 Abrams tanks

 

December 5, 2014 by James Dunnigan – Strategy Page

 

The American M1 Abrams tank suffered its first heavy losses in Iraq during 2014. Nearly a third of the 140 M1s Iraq had received between 2010 and 2012 have been destroyed or heavily damaged. Most of the M1 damage was done to M1s captured by ISIL (Islamic State of Iraq and the Levant) and then attacked by American aircraft. But over a third of the M1s were destroyed or damaged by ISIL fighters. The Iraqi troops using the M1s did not, as they were taught by the Americans, use their M1s in conjunction with infantry. This allowed ISIL fighters to get close enough to M1s during combat to place explosives and disable or destroy some of these M1s. A few were destroyed by Russian Kornet ATGM (Anti-Tank Guided Missiles). The Kornet E is a Russian laser guided missile with a range of 5,000 meters. The launcher has a thermal sight for use at night or in fog. The missile's warhead can penetrate enough modern tank armor to render the side armor of the Israeli Merkava or U.S. M1 tanks vulnerable. The missile weighs 8.2 kg (18 pounds) and the launcher 19 kg (42 pounds). The system was introduced in 1994 and has been sold to Syria (who apparently passed them on to Hezbollah and Hamas). ISIL captured some Kornets in Syria.

 

Iraq had some in 2003 and four M1s were disabled, but not destroyed, by Kornets. In 2006 several Israeli Merkavas were destroyed by Kornet. By 2014 Israel had adopted anti-ATGM systems for their Merkavas which defeated over a dozen Kornet attacks.

 

Before 2014 no M1s had been destroyed by enemy action, but that was in large part because they were used by well-trained crews and commanders. Moreover nearly all the American M1s that had been in combat had better armor. This impressed Iraq. Back in 2008 Iraq ordered 140 M1A1-SA Abrams tanks, along with over a hundred support vehicles (for maintenance and transportation, like 35 tank transporters). The request includes training and technical support, for a total contract cost of over $2 billion. The tanks began arriving in 2010 and all were delivered by 2012.

 

Iraq received newly built tanks, largely equipped to the "SA" (Situational Awareness") standard the U.S. Army developed in 2006. The M1A1-SA includes the latest thermal (FLIR, or heat sensing) sights, a special engine air filter system developed to deal with the abundant sand and dust in Iraq, the telephone on the rear fender, which allows accompanying infantry to communicate with the crew, and numerous small improvements.

 

There are several items that American M1s have the Iraqi SA tanks did not get. The Iraqi M1A1s had no depleted uranium armor, no ERA (Explosive Reactive Armor), and no additional protection against anti-tank missiles. Also missing was Blue Force Tracker (a U.S. satellite tracking system that shows the location of all American vehicles and aircraft in the vicinity).

 

Despite the removal of some features, the Iraqis are glad to have their M1s. Since 2003 Iraqis have been very impressed by the U.S. military. Although the U.S. initially advised the Iraqis to expand upon their use of Russian equipment (which they had been using for over three decades and is cheaper than Western stuff), the Iraqis insisted on adopting U.S. gear and tactics. Thus Iraqi troops wear similar (to American) uniforms and use many identical weapons and items of equipment. Iraqi soldiers, especially the younger ones, imitate American moves to the point that, in the field, U.S. troops sometimes had to look closely to determine if the G.I. down the street is American or Iraqi. What Iraq did not emulate was careful selection and training of officers. Too many Iraqi officers were corrupt or poorly trained and inexperienced political appointees. This greatly reduced the effectiveness of American weapons and equipment Iraqis so admired.

 

American advisors pointed all this out to other Arab users of the M1 and it had some impact. Egypt, Kuwait, and Saudi Arabia already operate over 1,600 of M1 tanks, and Egypt has built hundreds of them (mainly using components imported from the U.S. but with some locally made parts as well). All the other Arab users have at least some of the latest model (M1A2 SEP).

 

The Arab users of the M1 have been very happy with their American tanks. This satisfaction increased when they saw how the M1 performed in Iraq after 2003. While most Arabs deplored U.S. operations there, Arab tank officers and M1 crewmen were quietly pleased that their tanks appeared invulnerable and able to assist the infantry in any kind of fight. Iraqi army officers have spoken to fellow Arab officers who have used the M1 and were told this was the way to go. But what many Arab officers ignored were American admonitions that crew quality and leadership were the key to success. For a number of cultural reasons the Arab nations do not emphasize lots of training for troops or officers. Having seen what that did in Iraq, even with lots of those splendid American weapons, has led many Arabs to question the traditional way of doing things.

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2 décembre 2014 2 02 /12 /décembre /2014 08:25
Brazil Picks MBDA’s Sea Ceptor for New Corvettes

 

December 2nd, 2014 defencetalk.com

 

The Brazilian Navy has selected MBDA’s Sea Ceptor to provide the local area air defence for its next generation Tamandaré class corvettes. After the UK’s Royal Navy (RN) and the Royal New Zealand Navy (RNZN), Brazil’s is now the third navy to have chosen Sea Ceptor. With discussions also well advanced with other leading navies around the world, Sea Ceptor is rapidly establishing a significant user community.

 

A production contract was awarded by the UK MoD in September 2013 for Sea Ceptor to provide the next generation Air Defence capability and so replace the Seawolf system on the Royal Navy’s Type 23 frigates from 2016 onwards. Sea Ceptor will subsequently be transferred to the Royal Navy’s new ships as they start entering service, when the Type 23s are replaced by the future Type 26s. This long term commitment to Sea Ceptor by the Royal Navy is a solid assurance to each new member of the weapon’s user community of the longevity of this new system over the years to come.

 

Sea Ceptor provides all-weather, night and day, 360° local area air defence coverage against multiple simultaneous targets including sea-skimming anti-ship missiles, helicopters and fast combat jets. In facing saturating attacks posed by a range of diverse threats, Sea Ceptor has a clear advantage thanks to its advanced technology, active radar seeker. The weapon is also capable of engaging surface targets.

 

A major feature lies in Sea Ceptor’s soft launch technology which does away with the need for a launcher efflux management system, thereby reducing overall mass and onboard footprint characteristics. This allows greater flexibility for the customer in choosing the weapon’s installation position, a particularly important feature for smaller vessels. It also allows for easy installation as a retrofit on older ships.

 

With a significant presence in five European countries and within the USA, in 2013 MBDA achieved a turnover of 2.8 billion euros with an order book of 10.8 billion euros. With more than 90 armed forces customers in the world, MBDA is a world leader in missiles and missile systems.

 

MBDA is jointly held by Airbus Group (37.5%), BAE Systems (37.5%), and Finmeccanica (25%).

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1 décembre 2014 1 01 /12 /décembre /2014 07:35
First Photo From Akash SAM's Slam-dunk Week

 

November 22, 2014 Livefist

 

Smashing week for India's Akash SAM. Not that it needed any more of a push. But what a week.

 

This image from noon on Friday is the first one out from this week's training user trials of the Akash SAM conducted by the Indian Air Force at the Integrated Test Range (Nov 17-21). This particular test on Friday at 12.10pm involved a quick succession salvo test in which the two SAMs in the picture were fired at Meggitt Defence Systems Banshee Jet 80 aerial targeting drones.

 

The New Indian Express quotes a source as saying, "While the first missile successfully destroyed a fast moving aerial target at a low altitude, the second missile had a direct hit with the unmanned aerial target Banshee Jet 80 nearly 4-km away at 35 meter altitude above sea level proving the system’s capability against subsonic cruise missile." (While this is largely what I hear from my sources too, I'm picking up that that the range was more out to about 8-km in the low-altitude engagement and about 24-km for the second missile).

 

Starting Monday, a random selection of production series Akash missiles (from Bharat Dynamics Ltd) were fired at a series of targets ranging from para barrels, flare targets and on two occasions the Banshee Jet 80 drone. The series of tests is being described as the most successful so far (similar tests in April and June went well too though).

 

The Akash SAM has been in service for over two years now. This weeks training user trials have proven once again the system's maturity. Orders worth $3.7 billion have so far been placed by the IAF and Army (eight IAF squadrons and two regiments) on the Akash SAM system, and there will be more.

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30 novembre 2014 7 30 /11 /novembre /2014 17:40
Les Forces russes de défense aérospatiale identifieront tout objet spatial

 

29.11.2014 Par La Voix de la Russie

 

Les troupes de la défense aérospatiale de la Russie identifieront de manière garantie tous les objets spatiaux, ainsi que les manœuvres effectuées dans l'espace, a déclaré samedi le commandant adjoint des Forces de défense aérospatiale russes, Anatoli Nestetchouk.

 

Nestetchouk a expliqué que les experts pourraient détecter et identifier des objets spatiaux au cours des 24 heures.

 

Nestetchouk a également déclaré que le groupe spatial du système d'alerte précoce pour les attaques de missiles de Russie avait détecté en 2014 tous les lancements de missiles balistiques réalisés depuis les territoires étrangers.

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 11:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

18 Novembre 2014 Marine Nationale

 

La frégate La Fayette a procédé à un tir en salve de deux missiles Mer Mer 40. Evénement peu courant, ce tir a pu se dérouler dans les meilleures conditions grâce à une préparation fine de tout l’équipage.

 

Après un blanchiment de la zone par un avion de patrouille maritime Atlantique 2, et dès la fenêtre de tir ouverte, la messe fut dite et le compte à rebours tenu.

 

Les deux missiles partis en salve ont atteint leur objectif, montrant le savoir faire intact de la Marine à mettre en œuvre et entretenir un système d’armes complexe pour des conflits de haute intensité.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 13:30
Air strikes in Iraq (updated: 17 Nov. 2014)

 

Last updated: 17 November 2014 , Ministry of Defence

 

British forces have continued to conduct air operations to assist the Iraqi government in its fight against ISIL.

 

Royal Air Force (RAF) Tornados and Reapers, operating as part of the international coalition in support of the Iraqi Government, have conducted further strikes against ISIL.

 

On Thursday evening, Kurdish peshmerga reported coming under fire from a dug-in machine-gun position. An RAF Reaper remotely piloted air system succeeded in locating the ISIL position, and attacked it with a Hellfire missile. The crew operating the Reaper then identified further ISIL positions, allowing another coalition aircraft to conduct an attack.

 

Before the end of its patrol, the Reaper crew used another Hellfire to engage an ISIL checkpoint set up to control a road.

 

Elsewhere in Iraq, another Reaper, investigating reported ISIL activity in response to advancing Iraqi forces, identified terrorists boarding a truck. Despite the vehicle moving off at high speed, the Reaper crew were able to hit it with a Hellfire.

 

And on Saturday night, Tornado GR4s conducted an armed reconnaissance patrol over western and northern Iraq, supported by a Voyager refuelling tanker. In the western desert, they were tasked to strike an ISIL communications vehicle, which coalition forces had previously identified. A single Brimstone missile was used to conduct an attack.

 

Later in the patrol, the Tornados were called north to the Mosul area to support Kurdish peshmerga who were under fire from ISIL heavy weapons. Paveway precision guided bombs were used to hit a mortar and firing positions, as well as a bulldozer which the terrorists were using to construct defences against the peshmerga’s advance.

 

In northern Iraq, a British army team continues to provide training to the peshmerga as part of a wider programme of training and assistance provided by the international community to both the Iraqi and Kurdish armed forces.

 

RAF transport aircraft provide logistic support, having delivered numerous deliveries of humanitarian aid and military equipment from both the UK and on behalf of other Coalition partners.

 

13 November - last night a RAF Reaper RPAS was involved in a coalition air strike in the Kirkuk region. The Reaper had been tasked to conduct reconnaissance in an area where Iraqi forces had encountered ISIL fighters. The operators were able to use the Reaper’s advanced systems to identify a number of ISIL positions, enabling another coalition aircraft to attack a command post, bunker, observation post and 2 armed pick-up trucks. They then identified a further 3 positions, and, having carefully checked the area, conducted attacks using the Reaper’s own Hellfire missiles. Initial analysis indicates that the attacks were successful. Other RAF aircraft also continue to fly missions over Iraq, including Tornado GR4s in the armed reconnaissance role, and surveillance, tanker and transport aircraft. A British Army team remains in Erbil, providing training assistance requested by the Kurdish peshmerga.

 

10 November - saw the first air strike by a RAF Reaper RPAS. A series of coalition missions were conducted near Bayji, north of Baghdad, where ISIL terrorists were laying improvised explosive devices. The Reaper, using procedures identical to those of manned aircraft, successfully attacked the terrorists using a Hellfire missile. In addition, 2 RAF Tornado GR4s used a Brimstone missile to successfully destroy a shipping container used by the terrorists to store equipment near Al Anbar, west of Baghdad.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:30
Israel Air Force Hones Patriot Batteries for UAV Defense

 

Nov. 16, 2014 - By BARBARA OPALL-ROME – Defense News

 

Scores First Enemy Intercept in 30-Year History of US-Built System

 

TEL AVIV — With newly war-tested batteries of drone-killing Patriots, air defenders of Israel Air Force (IAF) Wing 168 are earning equal footing with F-16s in guarding the skies against new and growing unmanned threats.

 

The Wing’s Patriot force forms the ground-based node of Israel’s extensively integrated air defense network — historically junior partner to IAF fighters in their joint intercept mission against air-breathing threats.

 

But as traditional threats from fast-flying fighters and other manned aircraft give way to a surging new spectrum of slow, potentially combat-equipped UAVs, Wing 168 and its US-built force is proving a prime time option for frontline defense.

 

Three times in the past four months, US-built Patriot batteries of Wing 168 made history here and for users worldwide by blasting UAVs out of the skies that had penetrated Israel’s northern and southern borders.

 

The first intercept came on July 14 against a Gaza-launched drone. Israeli Patriots scored again on July 17 against the second and last of the unmanned aircraft attempting to penetrate from Gaza during the 50-day war.

 

The third unmanned target came from the north and was quickly destroyed in an Aug. 31 intercept near the Syrian border.

 

Prior to last summer’s Gaza war, Israel-operated Patriots shared the same track record as all other anti-air variants built by Raytheon for the US Army and at least 10 other countries: Zero intercepts of enemy aircraft.

 

They came close in October 2012, maintaining full target tracking of a Lebanon-launched UAV as it flew over two-thirds of the country. “Our Patriots were ready for intercept orders,” recalled Brig. Gen. Doron Gavish, IAF air defense commander at the time.

 

 

The mission ultimately went to F-16s, which downed the target just north of Israel’s nuclear facility in the southern Negev desert.

 

Nearly a decade earlier, US Patriot batteries forward deployed in Iraq came tragically too close, mistakenly intercepting a British Tornado and an F/A-18.

 

Three allied airmen were killed by friendly Patriot fire in March and April of 2003 in attacks marking an all-time low in the 30-year operational track record of the US anti-air system.

 

But from that all-time low, officers and experts say inherent UAV-killing capabilities recently validated by Wing 168 will eventually benefit other nations that rely on Patriot anti-air batteries to defend against growing unmanned threats.

 

A senior IAF commander noted that just a decade ago, the threat from UAVs was rare. “Today, it’s a huge problem. We bear the brunt of it today, but soon many others will face similar threats.”

 

He was interviewed Nov. 11, a day before Iran’s state-run Press TV released footage of what Tehran claims is the maiden flight of an the unmanned system reverse-engineered from a US RQ-170 Sentinel captured in late 2011.

 

At the time, the Pentagon confirmed Iranian’s claims that the reconnaissance UAV took off from Afghanistan. It has not commented on Tehran’s parallel claim that its cyber forces hacked into the aircraft’s control system, forcing it to land in Iran.

 

Herzl Bodinger, a retired major general and former IAF commander, said enemy states and non-state terror organizations are expanding their arsenals of UAVs as a cheap and more effective way to attack Israel by air.

 

“Enemy states have learned not to challenge our airspace and lose their prize assets,” he said.

 

Far overshadowing the UAV threat from Gaza that debuted in last summer’s war with Hamas is the increasingly capable unmanned force amassed by Hezbollah since Israel’s 2006 Lebanon war.

 

Maj. Gen. Yair Golan, a former commander of Israel’s Northern Command, estimated that Lebanon-based Hezbollah holds “an unlimited number” of UAVs initially supplied by Iran and since supplemented by a range of other systems.

 

Also in Syria, experts here cite an uptick in UAV use by forces loyal to President Bashar al-Assad, some of which may have fallen into hands of insurgents fighting to topple the Damascus regime.

 

As the officer who took command of the IAF a year after Patriots were first deployed here during the 1991 war in Iraq, Bodinger said the system that initially disappointed Israel as an anti-missile interceptor has provided significant added value in its anti-air role.

 

“For our purposes, the Patriot is excellent against aircraft; a critical part of our continuously upgraded system of integrated air defenses.”

 

Raytheon spokeswoman Bailey Sargent deferred to the Israeli government and the IAF when contacted for comment. “Patriot is the air and missile defense system of choice for 13 countries around the world,” was all she had to say.

 

Healthy Competition

 

Israeli officers roundly acknowledge that the first UAV to breach sovereign airspace — an Iranian Mirsad launched from Lebanon in late 2004 — came by surprise.

 

When pressed, most also acknowledge that the second unmanned infiltration from Lebanon, in April 2005, was a mistake. Israel’s integrated air defenses were not yet fully honed against the small, stealthy unmanned threat.

 

“It’s like finding a needle in a haystack,” retired Maj. Gen. Eliezer Shkedy, then commander of the IAF, told Defense News at the time.

 

By the time war broke out in Lebanon in June 2006, the IAF’s fortified target detection and classification network helped F-16s score their first intercept against a Hezbollah Ababil.

 

At least five unmanned planes have penetrated Israeli airspace since then, three of them destroyed in recent months by Wing 168.

 

“Today, we’re finding many needles in the haystack,” Col. Chemi Bar-El, 168 Wing commander, said.

 

Bar-El acknowledged “a healthy competition” between ground- and air-based nodes of the net, which provide multiple options for each target.

 

With such limited airspace and so many threats, Bar-El said Israeli air defenders don’t have the luxury of finding out in real time the intentions of unauthorized penetrations.

 

“We have a very clear policy: If it flies it dies,” Bar-El said.

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 13:35
Inde: tir réussi d'un missile balistique Prithvi-II

 

NEW DELHI, 14 novembre - RIA Novosti

 

Les forces armées indiennes ont tiré vendredi avec succès un missile balistique Prithvi-II capable de porter une charge nucléaire, rapporte l'agence PTI.

 

Le missile a été tiré depuis le polygone de Chandipur situé dans l'Etat de l'Orissa (ouest). "Le tir a réussi à 100%. Toutes les cibles ont été atteintes", a déclaré M.V.K.V Prasad, directeur du polygone.

 

Selon  l'Organisation militaire pour la recherche et le développement (DRDO),  de tels essais ont pour objectif de "démontrer clairement l'état de préparation opérationnelle de l'Inde" et sa capacité à "réagir à toute éventualité".

 

Mis au point depuis le début des années 1980, les Prithvi sont des missiles balistiques à courte portée capables de transporter une ogive nucléaire, dont la version sol-sol équipe l'armée de terre indienne depuis 2003. Le Prithvi-II est capable de transporter une charge allant de 500 à 1.000 kg.

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13 novembre 2014 4 13 /11 /novembre /2014 17:40
Missiles intercontinentaux: la Russie fait mouche

 

07/11/2014 Par Alexandre Khrolenko, RIA Novosti

 

La Russie a réussi plusieurs lancements de missiles intercontinentaux mer-sol ces dernières semaines. Ces succès témoignent du grand potentiel technologique et de l'aspiration de l’État à développer son complexe militaro-industriel.

 

En une semaine, la marine russe a réussi deux lancements de missiles balistiques intercontinentaux. Le sous-marin nucléaire lanceur d'engin (SNLE) de la flotte du Nord Iouri Dolgorouki a "fait mouche" le 29 octobre puis, le 5 novembre, le SNLE Toula a tiré un missile intercontinental Sineva. Les deux tirs ont été effectués depuis une position sous-marine. Boulava et Sineva ont suivi la trajectoire prévue de la mer de Barents jusqu'au polygone Koura dans la péninsule du Kamtchatka.

 

Un peu plus tôt, le 10 septembre, le SNLE de la flotte du Nord Vladimir Monomakh avait tiré avec succès un missile Boulava.

 

Ces faits font ressortir la vulnérabilité des adversaires géopolitiques de la Russie: les missiles atteignent leur cible et reflètent le niveau technologique élevé de l'industrie russe. Autrement dit, ces succès mettent en lumière l'inconsistance totale du langage des sanctions et de la force dans les relations avec la Fédération de Russie. Les missiles partent à l'est, certes, mais la Terre est ronde.

 

La ligne de l’État

 

Pour répondre aux défis modernes, l’État opte systématiquement et fermement pour le développement de l'industrie des hautes technologies.

 

Au cours de la réunion de la Commission pour la coopération militaro-technique du 5 novembre, le président russe Vladimir Poutine a noté l'aggravation de la situation géopolitique générale, en déclarant notamment: "La Russie dispose de tous les moyens nécessaires pour non seulement parer ces défis, mais aussi renforcer ses positions. Des programmes d'envergure de substitution des importations dans le secteur militaro-industriel sont déjà prévus et des contacts alternatifs se mettent en place dans le domaine de la production et de la coopération technologiques".

 

La Russie n'a pas l'intention de devenir un marginal technologique, exclu de la civilisation. La stabilité du développement économique du pays dépend toujours des forces nucléaires de dissuasion – la triade nucléaire (les Troupes balistiques stratégiques russes (RVSN), l'armée de l'air et la marine). L'armement stratégique naval est le plus vulnérable et un SNLE est techniquement plus complexe qu'un vaisseau spatial. Objectivement, le milieu maritime réduit significativement les possibilités de détecter les sous-marins avec des radars, des sonars et des satellites de renseignement.

 

Une grande partie des ogives nucléaires russes est déployée sur les SNLE, qui peuvent se cacher pendant des mois dans les océans et anéantir, si nécessaire, des objectifs se trouvant à des milliers de kilomètres avec une grande marge de sécurité.

 

Par ailleurs, le missile Voevoda RS-20B (code Otan, SS-18 Satan), qui a déjà un âge avancé, a fait preuve d'une fiabilité hors pair. D'après le ministère de la Défense, les Troupes stratégiques déployées dans la région d'Orenbourg ont réussi le 6 novembre le tir du missile convertible RS-20B et ont envoyé parallèlement en orbite terrestre plusieurs satellites. Il est à noter qu'initialement Voevoda avait une durée de service de 10 ans, mais que les fusées porteuses de cette classe ont réussi plusieurs fois à envoyer dans l'espace du matériel spatial après plus de 20 ans de service dans un silo. Quel pays pourrait se vanter d'un tel potentiel technologique?

 

Un missile impossible à intercepter

 

Le missile intercontinental mer-sol R-30 Boulava a été conçu par l'Institut de technologies thermales de Moscou pour équiper les sous-marins du projet 941 Akoula et du projet 955, comme une résultante de l'unification avec ses analogues sol-sol (Topol-M). Le missile R-30 Boulava, de trois étages, pèse au lancement près de 36,8 tonnes. Les moteurs des deux premiers étages sont à combustible solide et le troisième est propulsé par un combustible liquide pour assurer une grande manœuvrabilité pendant la phase finale du vol. Les particularités du missile Boulava – la division par quatre de la zone active de vol et l'utilisation d'ogives manœuvrables – permettent de l'inscrire dans la nouvelle catégorie des missiles "quasi-balistiques".

 

La trajectoire de vol du missile Boulava rend inefficace le système de défense antimissile déployé par les États-Unis. Son endurance élevée et sa précision de tir réduisent les exigences en termes de puissance et de nombre d'ogives, et compensent la réduction significative du poids perdu par rapport à d'autres missiles mer-sol.

 

Le missile peut embarquer jusqu'à dix ogives nucléaires hypersoniques manœuvrables d'une puissance de 150 kilotonnes chacune, pour une portée de 8 000 km. Et ce n'est pas tout. Le missile Boulava est prévu pour la nouvelle génération de sous-marins nucléaires du projet 955 Boreï, le premier sous-marin doté d'un système de contrôle numérique intégré de tous les systèmes de l'engin avec 25 niveaux de sécurité. A tel point qu'après la mise en service du SNLE Iouri Dolgorouki en décembre 2013, le chef adjoint du commandement stratégique des USA, le général Robert Forst, avait déclaré que les sous-marins russes du projet 955 représentaient une grande menace pour la sécurité des États-Unis.

 

Le missile Sineva

 

Le Sineva a son propre destin, qui reflète d'une certaine manière l'histoire contemporaine de la Russie. Le missile intercontinental de troisième génération RSM-54 Sineva, au sein du complexe balistique D-9RM, est installé sur les sous-marins nucléaires du projet 667BDRM de classe Delfin.  Ce missile a été conçu par le Bureau d'étude Makeev.

 

Le complexe balistique D-9RM doté du missile RSM-54 a été mis en service en 1986. En 1996, la production de ces missiles a été suspendue mais en 1999, le gouvernement russe a décidé de relancer la production de leur version modernisée à l'usine de Krasnoïarsk. Les essais de vol de la nouvelle version du missile Sineva se sont terminés avec succès en 2004 et il a été mis en service dans la marine en 2007.

 

Les dimensions des étages ont été changées, la résistance des systèmes de contrôle aux impulsions électromagnétiques a été améliorée et des systèmes de contournement de la défense antimissile et de la navigation satellite ont été mis en place sur la nouvelle version. Le poids maximal au lancement du missile Sineva s'élève à 40,3 tonnes. La tête peut se composer de quatre ou de dix ogives nucléaires à guidage individuel. Ou encore – une ogive monobloc de 50 kilotonnes.

 

Ceux qui pérorent sur le retard technologique de la Russie et son isolement politique devraient visiter le polygone de Koura, au Kamtchatka, non loin de l'Alaska.

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13 novembre 2014 4 13 /11 /novembre /2014 13:40
Russie: les premiers missiles hypersoniques construits d'ici 2020

 

ZHUHAI (CHINE), 13 novembre - RIA Novosti

 

Les premiers missiles hypersoniques tirés depuis un aéronef pourront voir le jour en Russie d'ici six ans,  a annoncé jeudi Boris Obnossov, directeur général du consortium russe "Missiles tactiques" lors du salon aérospatial international AirShow China 2014.

 

"Selon mes estimations, les premiers missiles hypersoniques doivent voir le jour d'ici 2020. Nous en sommes proches. Il s'agit de missiles pouvant se déplacer à une vitesse de six à huit Machs (six à huit fois la vitesse du son, soit de 7.344 à 9.792 km/h, ndlr). Atteindre des vitesses encore plus élevées constitue un objectif plus éloigné dans l'avenir", a indiqué le responsable.

 

Selon lui, il s'agit avant tout de missiles tirés depuis un aéronef: ce dernier se déplaçant déjà à une certaine vitesse, cela permet  de lancer le statoréacteur.

 

Il a ajouté que les premiers vols hypersoniques pilotés n'auraient pas lieu avant 2030.

 

"J'estime que des vols hypersoniques pilotés ne seront possibles qu'entre 2030 et 2040", a dit le PDG russe.

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13 novembre 2014 4 13 /11 /novembre /2014 13:35
Hatf-IV Shaheen-2 missile

Hatf-IV Shaheen-2 missile

 

ISLAMABAD, 13 novembre - RIA Novosti

 

Les militaires pakistanais ont testé jeudi avec succès un missile balistique modernisé de moyenne portée Hatf-IV, capable de porter une ogive nucléaire, rapporte le service de presse de l'armée pakistanaise.

 

Le missile Hatf-IV Shaheen-2, d'une portée de 1.500 kilomètres, a atteint sa cible située en mer d'Arabie. Le lancement a été suivi par de hauts responsables de l'armée pakistanaise.

 

D'après le Service de recherche du Congrès US, le Pakistan possède aujourd'hui entre 90 et 110 ogives nucléaires. En 2010, la revue américaine Bulletin of the Atomic Scientists estimait qu'Islamabad détenait entre 70 et 90 ogives.

 

L'Inde, principal ennemi potentiel du Pakistan, possède, selon diverses estimations, entre 80 et 100 ogives nucléaires

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12 novembre 2014 3 12 /11 /novembre /2014 08:35
A patriot ballistic missile exits a launcher during an exercise in Southwest Asia (Oct. 1, 2014)


23.10.2014 US Air Force
 

A patriot ballistic missile exits a launcher during an exercise held at an undisclosed location in Southwest Asia, Oct. 1, 2014. The exercise is a U.S. Army Central-led, bilateral combined patriot live fire exercise with host nation, and U.S. Air Force Central Command. It was held to exercise joint and combined air and missile defense operations. The event is intended to increase proficiency, expand levels of military-to-military cooperation, and promote long term regional stability and interoperability. (U.S. Air Force photo by Tech. Sgt. Henry Hoegen)

 

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11 novembre 2014 2 11 /11 /novembre /2014 17:35
photo IAI (source Livefist)

photo IAI (source Livefist)

 

NEW DELHI, 10 novembre - RIA Novosti

 

L'Inde et Israël ont testé un missile sol-air guidé à longue portée, LRSAM, sur le territoire israélien, a annoncé lundi le gouvernement indien.

 

"Tous les systèmes, y compris le radar, le système de lancement et le missile, ont fonctionné comme prévu et le missile a détruit sa cible", a indiqué le gouvernement dans un communiqué.

 

Les représentants de l'entreprise de construction aéronautique Israel Aerospace Industries (IAI) et de l'agence indienne Defence Research and Development Organisation (DRDO) ont assisté à l'essai du missile qui doit équiper les forces armées des deux pays.

source Livefist

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4 novembre 2014 2 04 /11 /novembre /2014 12:55
Des artilleurs belges sur TOLL 2014

Photos : Dany Aelbrecht

 

27/10/2014 Sabine Fosseux (Armée française)

 

Une cinquantaine de militaires du Bataillon d’artillerie belge participent du 26 au 30 octobre à l’édition 2014 de l’exercice TOLL dans le camp de Canjuers, dans le sud-est de la France.

 

Entraînement des forces terrestres françaises, cet exercice en terrain libre a pour objectif de travailler la conduite des opérations et la coordination des intervenants dans les 3 dimensions (artillerie sol-sol et sol-air, drones et aéronefs), associant manœuvres d’artillerie et tirs réels. À cette occasion, le nouveau lance-roquettes unitaire (LRU) a fait l’objet d’une attention particulière.

 

Le 23 octobre, le 54e régiment d’artillerie français a ainsi intégré une section Mistral belge à l’une de ses batteries, selon un principe de jumelage des chefs de pièce. Le détachement belge a été accueilli à Canjuers par le général de brigade belge Henri Badot-Bertrand, chef de la division opérations du Corps de réaction rapide France (CRR-Fr), état-major multinational qui a organisé, conçu et conduit l’exercice TOLL.

 

Avant le début de la phase d’exécution de l’exercice, les militaires belges ont suivi une instruction technique sur les matériels périphériques (transmissions notamment) différents des leurs, ainsi que sur les ordres de tir français. En plus de la section sol-air, deux équipes belges ont été intégrées, quant à elles, au 11e régiment d’artillerie de marine français. « L’objectif pour les militaires belges est de pouvoir travailler avec des moyens de coordination 3D français, tel que le CMD3D, ou encore la gestion des feux par le radar NC1, dont l’armée belge ne dispose pas », explique le commandant Van Domburg, chef du détachement belge.

 

TOLL 2014 est joué dans un environnement interarmées dans le continuum des exercices aérien NOBLE ARROW et amphibie CATAMARAN. Le CRR-Fr profite de cet exercice pour entretenir ses capacités dans le cadre de l’alerte NRF (NATO Response force, force de réaction rapide de l’OTAN). En vue de sa prise d’alerte JTF (Joint Task Force, groupe de forces interarmées) en 2017, il testera également et principalement avec sa division opérations, ses procédures pour conduire une opération intégrant les capacités aérienne et maritime.

 

Environ 2 000 soldats sont déployés sur le terrain, issus de nombreuses unités de l’armée de Terre française.

Des artilleurs belges sur TOLL 2014
Des artilleurs belges sur TOLL 2014Des artilleurs belges sur TOLL 2014
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