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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 22:30
Irak: le groupe Daesh va battre sa propre monnaie

 

15-11-2014 Par RFI

 

Les frappes aériennes de la coalition internationale se poursuivent en Irak et dans le nord de la Syrie contre l'organisation Etat islamique. L'armée irakienne a par ailleurs remporté une grande victoire en reprenant le contrôle du barrage d'Adhaïm. Mais le groupe EI entend prouver qu'il n'est pas affaibli. Après la diffusion d'un message audio de son chef Abou Bakr al-Baghdadi censé démontrer qu'il n'a pas été tué, l'organisation terroriste a annoncé coup sur coup son intention de battre monnaie ainsi que l'exécution d'un de ses chefs, accusé de vol.

 

L'organisation a annoncé vendredi la décapitation et la crucifixion d'un de ses chefs, près de Deir Ezzor dans l'est syrien. Le supplicié, un commandant jihadiste syrien accusé de « détournement de fonds » aurait été exécuté sur ordre d'Abou Bakr al-Baghdadi, « pour avoir volé l'argent des musulmans », selon l'écriteau manuscrit déposé sur sa dépouille exposée à la population. Une façon pour le groupe EI de prouver que sa justice s'applique à tous sans distinction.

 

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 22:30
Pro-western rebels in Syria surrender weapons, defect to Islamic State forces

 

November 15, 2014 David Pugliese

 

During a key battle in the rugged mountains of a northern province earlier this month, U.S.-backed Syrian rebels collapsed before an assault by al-Qaida fighters, the Associated Press reports.

 

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 17:50
Brigade médiane – photo Daniel Orban

Brigade médiane – photo Daniel Orban

 

14 novembre 2014 T.M. avec Marie Bourguignon, Julien Jeffredo et Anne Lemaire RTBF.be

 

Les syndicats craignent que, d'ici dix ans, le nombre de militaires aujourd'hui en activité ne soit réduit d'un tiers. La Centrale Général du Personnel Militaire (CGPM) formule ainsi l'hypothèse que la Défense pourrait passé de 32 000 soldats à 20 000 d'ici 2023, suite aux mesures d'économies de 220 millions d'euros par an prévues par le gouvernement Michel pour ce secteur. Et cela pourrait également avoir des conséquences à l'international.

 

D'après les syndicats militaires, ces économies d'un milliard et demi d'euros en cinq ans ne pourront se faire que sur le dos du personnel, avec à la clé la fermeture de certaines casernes. Celles d'Arlon, Bastogne ou Ypres sont régulièrement citées. L'armée devra sans doute aussi faire un choix entre les bases aériennes de Beauvechain et de Florennes.

Deux cent vingt millions d'euros d'économies par an, c'est en effet l'équivalent du salaire moyen de plus de 4500 militaires sur une année.

"On doit tenir compte d'une diminution bien plus élevée que les 25 000 militaires qui était préconisée par les pistes d'études qui existaient à l'heure actuelle à la Défense", explique Yves Huwart, secrétaire général du syndicat militaire CGMP.

 

Plusieurs casernes en ligne de mire

"Sachant qu'aujourd'hui les investissements sont nuls, que les frais de fonctionnement sont incompressibles, les seules variables sur lesquelles on peut jouer, ce sont le personnel et la fermeture de certaines casernes, souligne Patrick Descy, secrétaire permanent CGSP-Défense. Nous craignons donc la perte d'au moins un tiers des effectifs et la fermeture de grands ensembles qui permettent de réduire dans l'immédiat des frais de fonctionnement, car c'est bien ce que recherche ce gouvernement : des économies immédiates."

Luc Devos, professeur en conflits contemporains à l'École royale militaire, considère le calcul des syndicats comme étant correct et ajoute à cela d'autres scénarios qui pourraient aussi permettre de faire des économies. "On peut encore aussi fermer quelques casernes, dit-il. Ce qui serait le plus logique, ce serait de carrément fermer la caserne de Bastogne, parce qu'elle n'a plus de fonction. On peut aussi s'imaginer supprimer une base aérienne et la seule qu'il me paraitrait logique [de fermer] serait la base de Beauvechain."

Pour Patrick Descy, le nombre de casernes qui pourraient potentiellement être victimes de ces économies est cependant plus large. "Arlon fait partie des casernes qui pourraient fermer, au même titre que la base de Coxyde, la caserne d’Ypres, voire la caserne de Spa ou d'Eupen. Ce sont toutes des casernes qui avaient déjà été citées sous la précédente législature, mais pour lesquelles il y avait eu une levée de boucliers de la part du politique, mais également de la part des syndicats et des militaires."

 

Actions à prévoir

Du côté du ministère de la Défense : aucun commentaire; pas de confirmation ou d'infirmation des chiffres calculés par les syndicats. Le nouveau ministre de la Défense, Steven Vandeput (N-VA), sera sans doute interpellé sur le sujet lundi lors de son audition devant la commission de la Chambre.

Avant cela, il devra cependant s'entretenir avec la CGSP qui prévient que des actions devraient suivre. "Nous rencontrons le ministre de la Défense lundi, confirme le secrétaire permanent CGSP-Défense. Après, il ira expliquer au Parlement sa vision pour cette Défense à l'horizon 2020 et comment il va faire pour économiser 1,5 milliard en cinq ans."

"Dès que nous l'aurons rencontré, nous prendrons contact avec nos collègues des trois autres syndicats pour savoir comment, en front commun, nous pourrions éventuellement manifester notre indignation vis-à-vis de ce qui nous est imposé, contrairement à ce qui nous avait été annoncé – la Défense n'allait plus faire d'économies, elle avait suffisamment donné. On voit que ce ne sera pas du tout le cas. Il y aura donc très certainement des manifestations pour montrer que nous ne sommes pas d'accord avec ces économies."

 

Perte de crédibilité à l'OTAN ?

D'après Luc Devos, cette réduction du nombre de soldats en Belgique, si elle est avérée, serait par ailleurs très mal venue face aux autres membres de l'OTAN.

"Le gouvernement précédent avait promis de ne plus faire d'économies. Il y a eu des promesses fermes, affirme-t-il. On perdrait toute fiabilité. Parce qu'il faut comparer avec les autres pays suivant leur taille, leur population et leur richesse : nous sommes vraiment les très mauvais élèves de la classe."

Christophe Wasinskin, docteur en sciences politiques à l'ULB, n'est toutefois pas du même avis. "Cet argument est petit peu problématique pour moi, indique-t-il. On évoque souvent l'extérieur pour justifier des choses en interne. Je ne rencontre pas énormément de réflexions dans les cercles de l'OTAN où la taille de l'armée belge aurait véritablement un impact très important. C'est quelque chose qui reste très fort au niveau belgo-belge : on évoque l'extérieur, mais je ne crois pas que, du côté de l'OTAN, on va s'en soucier énormément."

 

Désengagement en cours

L'armée belge participe à plusieurs missions à l'étranger et cette réduction de personnel pourrait dès lors mettre en péril nos réponses aux différentes demandes des organisations internationales. Le désengagement de l'armée belge sur des théâtres d'opérations extérieurs a d'ailleurs déjà lieu, au Liban notamment.

Dès ce samedi, une centaine de démineurs, environ quinze véhicules et du matériel entameront leur retrait définitif du Liban, lequel devrait être achevé d’ici un mois.

Ce dernier contingent est basé dans la région d’At-Tiri, au sud du pays. Envoyé en 2006 dans le cadre de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), l’armée belge, reconnue pour son expertise dans le domaine, a notamment permis le déminage de ce qu’on appelle la ligne bleue, c'est-à-dire la frontière entre le Liban et Israël, après 18 ans d’occupation par l’État hébreu.

En se retirant de la FINUL, la Belgique abandonne en fait sa dernière intervention sous l’égide des Nations Unies et, malgré la demande du gouvernement libanais, le pays ne prolongera pas sa mission. La presse libanaise, citant des sources diplomatiques, pointe des raisons financières derrière ce retrait de la Belgique.

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 17:30
Tsahal achète aux USA deux nouveaux avions transporteurs C-130J-30

Le "Shimshon" a été pensé pour répondre aux besoins particuliers des forces spéciales israéliennes

 

13.11.2014 i24news.tv

 

L'armée de l'air israélienne (Tsahal) s'apprête à recevoir deux nouveaux avions de transport, Super hercules ou C-130J-30, après qu'un contrat d'achat de 150 millions de dollars a récemment été signé avec le constructeur américain Lockheed Martin, rapporte Haaretz jeudi soir.

 

Les responsables militaires israéliens veulent acheter neuf avions au total, des négociations sur l'acquisition des avions supplémentaires sont actuellement en cours, a confié un officier supérieur de Tsahal au quotidien israélien.

 

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 22:30
Irak: la ville clé de Baïji repris par l’armée des mains des djihadistes de Daesh

 

14 novembre 2014 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Les forces irakiennes ont pris vendredi le contrôle total de la ville stratégique de Baïji située près de la plus grande raffinerie d’Irak, après en avoir chassé les djihadistes du groupe État islamique (EI).

 

Il s’agit de l’une des rares et plus importantes victoires des forces armées dans leur guerre contre l’EI depuis sa fulgurante percée territoriale en juin en Irak où il s’est emparé de larges pans de territoire au nord, à l’est et à l’ouest de Bagdad.

La ville de Baïji, qui échappait au contrôle de l’armée depuis plusieurs mois, est stratégique car elle se trouve aussi sur la route principale menant de Tikrit à Mossoul, deux villes tenues par l’EI.

Un commandant, un général de l’armée de même qu’un colonel de la police ont tous confirmé sa reprise. La télévision officielle Iraqiya a aussi annoncé que Baïji était de nouveau sous contrôle du gouvernement.

Outre le fait d’isoler un peu plus les djihadistes à Tikrit, la prise de Baïji pourrait permettre de sécuriser le site de la plus grande raffinerie du pays, située à proximité de la ville et dont les jihadistes font le siège depuis plusieurs mois.

Les forces irakiennes sont en route pour la raffinerie de Baïji, à quelque 9 km plus loin, a dit M. Krayim.

Il y a une semaine, les forces gouvernementales contrôlaient plus de 70% de la ville, selon le commandement militaire pour la province de Salaheddine. Un officier a alors affirmé que le drapeau irakien avait été hissé sur des bâtiments importants comme le siège de la police.

Les forces de sécurité irakiennes, aidées par des miliciens et des membres de tribus sunnites alliés au gouvernement, avaient lancé en octobre l’opération pour reprendre par le sud cette ville où elles étaient entrées le 31 octobre.

Les Etats-Unis, qui ont lancé en août leur campagne de frappes contre les positions de l’EI en Irak dans le cadre de leur lutte contre ce groupe, ont lancé aussi des raids près de Baïji pour aider les troupes irakiennes.

Le 11 novembre, une série de missions de la coalition ont été conduites dans la région et un CF-18 canadien a alors frappé une pièce d’artillerie de l’EI en utilisant des munitions guidées par laser. Plusieurs combattants djihadistes seraient morts dans la frappe. «C’est très probable», avait indiqué jeudi 13 le colonel Dan Constable, commandant de la Force opérationnelle interarmées canadienne en Irak, qui a du même souffle affirmé que la stratégie des djihadistes avait changé.

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 20:30
Chammal : Les Rafale appuient les troupes irakiennes au combat

 

14/11/2014 20:00 Sources : État-major des armées

 

Le 14 novembre 2014, la force Chammal a porté trois nouvelles frappes contre des positions de Daech depuis lesquelles ces terroristes menaient des actions offensives contre les forces de sécurité irakiennes dans le nord du pays.

 

Dans la matinée, alors qu’elle était en mission de reconnaissance armée, une patrouille de deux Rafale a été orientée par le centre opérationnel aérien (CAOC) sur une mission d’opportunité dans la région de Kirkouk, entre Bagdad et Mossoul. Il s’agissait de détruire des positions de combat depuis lesquelles des terroristes du groupe autoproclamé Daech ouvraient le feu sur les forces de sécurité irakiennes.

 

Au cours de cette mission, la patrouille a délivré plusieurs bombes guidées laser (GBU12) sur des positions offensives de Daech. L’action des avions français a ainsi permis la destruction d’un bunker abritant des combattants terroristes, du matériel servant à la fortification de leur poste, ainsi qu’un second poste de combat.

 

Ces missions de reconnaissance armée quotidiennes appuient directement l’action des forces armées irakiennes engagées au combat.

 

Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Depuis le 5 octobre, suite au renforcement du dispositif, les forces françaises s’appuient sur neuf avions Rafale, un avion de ravitaillement C135, un avion de détection et de contrôle aéroporté E-3F Awacs et un avion de patrouille maritime Atlantique 2. En entrant dans le golfe arabo-persique (GAP), la frégate anti-aérienne Jean Bart participe, en coordination avec nos alliés, au contrôle aérien de l’ensemble des moyens présents sur zone.

 

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 12:55
Fin de mission pour la frégate légère furtive (FLF) Courbet


14/11/2014 Sources EMA

 

Partie le 25 juillet dernier, la frégate légère furtive (FLF) Courbet a accosté à Toulon le 7 novembre après un long déploiement opérationnel en mer Méditerranée et dans l’océan Indien.

 

Dès le début de la mission, le Courbet a été engagé dans une opération d’évacuation de ressortissants en Libye avec le Montcalm.

 

Par la suite, le Courbet a été engagé dans l’opération de lutte anti-terroriste Enduring Freedom, au sein des Combined Task Forces 150 et 152, du 4 août au 13 octobre. La frégate a ensuite effectuée une patrouille de présence et de recueil de renseignement en Méditerranée orientale jusqu’au 29 octobre.

 

Pendant l’opération Enduring Freedom, le Courbet a assuré la contribution de la France à la mission de lutte contre les trafics maritimes liés au terrorisme dans la mer Rouge, le golfe d’Aden, la mer d’Arabie et le golfe d’Oman. Une vingtaine de contrôles appelés « approach and assist », une visite complète d’un boutre, des coopérations avec les marines des pays riverains (Koweït, Arabie Saoudite, Emirats Arabes Unis, Bahreïn) ont été réalisées pendant ces deux mois. Deux interactions de plus grande envergure avec les marines américaines et anglaises ont également été menées à bien, montrant le haut degré d’interopérabilité de nos marines.

 

L’hélicoptère type Panther et son détachement de la flottille 36F, présents tout au long de la mission, ont réalisé plus d’une trentaine de SURMAR (vols de surveillance maritimes) qui ont permis de recueillir du renseignement et d’améliorer notre connaissance de la région au Moyen-Orient et en Méditerranée orientale, lieu de la deuxième phase opérationnelle du déploiement du Courbet.

 

Après le passage du canal de Suez le 13 octobre, et une coopération opérationnelle avec la Marine égyptienne au large d’Alexandrie, le bâtiment s’est consacré pleinement à une mission de recueil de renseignement dans cette zone sensible

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 12:30
Terrorists attack Egyptian Navy vessel in Mediterranean

 

13 November 2014 naval-technology.com

 

A terrorist attack on an Egyptian Navy vessel in the Mediterranean Sea has reportedly injured five servicemen, with eight others missing.

 

During the attack, which comes a day after a car bomb injured ten people in the Sinai Peninsula, the vessel reportedly came under fire some 70km off the northern port of Damietta.

 

According to an Agence France-Presse report, the attackers deployed 'fishing boats' and did not appear to use any rocket propelled grenades or heavier weapons.

 

Egyptian military spokesperson Mohamed Samir was quoted by the local daily Youm Sabah as saying: "In addition to what has been posted regarding the terror attack, the five servicemen who were injured during the attack have been transported to military hospitals for the necessary care."

 

The Egyptian military destroyed four vessels used by the assailants and arrested 32 people. Reports also revealed that the Egyptian Air Force was used in response.

 

The attack follows the remote detonation of a car bomb in the town of El-Arish, north of the Sinai Peninsula, by the police in a controlled explosion.

 

However, there were no signs of attacks by Sinai-based militants, who have stepped up attacks against police and soldiers since Islamist President Mohammed Morsi was overthrown last year.

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 12:30
Liban : l’équipe EOD (Explosive Ordnance Disposal) participe à un exercice de la FINUL

 

 

13/11/2014 Sources : État-major des armées

 

Le 6 novembre 2014, sur le camp espagnol de 7-2 situé au Nord-Est de la zone d’opération de la FINUL, l’équipe EOD (Explosive Ordnance Disposal) de la Force Commander Reserve (FCR) a pris part à un exercice d’intervention sur un engin explosif improvisé (IED - improvised explosive device) réunissant également les spécialistes EOD des contingents espagnols, italiens et finlandais.

 

Le scénario de cet exercice visait à permettre aux différentes équipes spécialisées dans la lutte contre les IED de détecter, neutraliser et analyser un IED fictif. Un chien détecteur d’explosif (EDD) espagnol a tout d’abord décelé la présence d’explosif dans une voiture.Grâce à un robot, l’équipe italienne d’un robot a ouvert les portes de la voiture en sécurité, permettant aux EOD français d’intervenir, revêtus d’équipements de protection, pour neutraliser le colis suspect. Après cette neutralisation les EOD finlandais sont intervenus pour collecter les résidus de l’IED afin de les analyser pour identifier le type et l’origine possible de l’IED.

 

Placé sous la responsabilité de l’état-major basé à Naqoura, cet exercice a permis aux équipes de spécialistes EOD de la FINUL de réaliser ensemble une intervention réaliste tout en développant l’interopérabilité de leurs savoir-faire respectifs.

 

Les équipes d’intervention EOD sont composées d’un binôme de sous-officiers spécialisés dans la lutte contre toutes sortes d’engins explosifs, qu’ils soient artisanaux ou« manufacturés»telles que des munitions de guerre, des plus simples, comme les grenades, aux plus complexes comme les missiles. Ils ont une connaissance approfondie de tous les mécanismes de fonctionnement existants et sont équipés de moyens de détection, d’approche et de neutralisation sophistiqués. Une équipe cynotechnique est intégrée à cette équipe dans la phase détection et une équipe médicale est systématiquement en soutien.

 

Présente depuis 1978 au Liban, la France est le cinquième pays contributeur de la FINUL avec près de 900 soldats. La grande majorité d’entre eux arme la FCR qui est directement placée sous les ordres du général commandant la FINUL et est en mesure d’agir au profit de tous les contingents déployés sur l'ensemble de la zone d’action de la FINUL, dans le cadre de la résolution 1701.

Liban : l’équipe EOD (Explosive Ordnance Disposal) participe à un exercice de la FINUL
Liban : l’équipe EOD (Explosive Ordnance Disposal) participe à un exercice de la FINUL
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13 novembre 2014 4 13 /11 /novembre /2014 12:30
Daesh peut compter sur de nouveaux soutiens au Moyen-Orient

Le groupe terroriste égyptien Ansar Beit Al-Maqdess a annoncé son allégeance à l'Etat Islamique (Archives/Al-Arham)

 

10 novembre 2014 par Clémentine Michallon – 45eNord.ca

 

 

 

L’«État islamique» (EI) se fait de nouveaux alliés. Ce lundi, l’organisation terroriste a obtenu l’allégeance du principal groupe djihadiste égyptien afin d’étendre son influence au Moyen-Orient.

 

«Nous annonçons prêter allégeance au calife Ibrahim Ibn Awad (…) pour écouter et obéir», a déclaré le groupe égyptien Ansar Beït al-Maqdess dans un enregistrement audio, en référence au nom religieux du chef de l’EI, Abou Bakr al-Baghdadi.

Ansar Beït al-Maqdess ou «Les partisans de Jérusalem», n’a cessé de multiplier les attentats meurtriers ces derniers mois contre les forces de l’ordre en Egypte, et plus particulièrement dans la région du Sinaï, où il est basé.

Ces agissements auraient pour motif les représailles à la répression sanglante qui s’est abattue sur les islamistes après la destitution par l’armée du président Mohamed Morsi, au début de l’été 2013.

 

La guerre des clans

Jean-Pierre Filiu, spécialiste de l’islam radical, est convaincu que l’EI «a définitivement détrôné Al-Qaïda comme référence ultime du djihad global à vocation planétaire».

En effet, l’allégeance du groupe Ansar Beït al-Maqdess à l’EI, ne fait que renforcer l’influence de l’Etat islamiste influence au Moyen-Orient, alors que le groupe égyptien affirmait jusqu’à présent s’inspirer d’Al-Qaïda.

Néanmoins, les principales franchises d’Al-Qaïda en Afghanistan, Syrie, Somalie, Sahel et Yémen, demeurent toujours fidèles au chef de ce réseau, Ayman al-Zawahiri, très critique à l’égard de l’EI.

L’annonce d’Ansar Beït al-Maqdess intervient après un week-end de rumeurs et d’informations contradictoires selon lesquelles Abou Bakr al-Baghdadi, le leader de l’EI, aurait été blessé, voire tué, dans des raids de la coalition ayant visé vendredi des dirigeants de l’EI.

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13 novembre 2014 4 13 /11 /novembre /2014 08:30
Ministers Hennis-Plasschaert and Asscher - photo DefensieNL

Ministers Hennis-Plasschaert and Asscher - photo DefensieNL

 

06-11-2014 Defensie NL

 

"I have immense respect for our Dutch military personnel and the contribution they are making to the international effort in the fight against ISIS. It is important work that is also in the interests of the Netherlands.", said Vice Prime Minister Lodewijk Asscher while visiting Air Task Force Middle East in Jordan. He, together with Minister of Defence Jeanine Hennis-Plasschaert and Chief of Defence General Tom Middendorp, was informed about the military effort against the ISIS terrorist movement.

 

During their visit to the air base from where the Dutch F-16s operate, the ministers and the general talked to both pilots and ground crew members. The detachment commander gave a tour of the F-16s and explained the planning process and mode of operation of his unit.

 

Flexibility

 

The ministers and the Chief of Defence gave expression to their feelings of respect and  appreciation for the military personnel and their high-risk and important mission. "The response time available for deployment was short. There is great flexibility and professionalism among our people. I am deeply impressed", said Hennis. The delegation is to return to the Netherlands tonight.

 

Minister of Defence Jeanine Hennis-Plasschaert and Chief of Defence General Tom Middendorp – photo DefensieNL

Minister of Defence Jeanine Hennis-Plasschaert and Chief of Defence General Tom Middendorp – photo DefensieNL

 

Support for the mission

 

According to the first results of  a survey conducted by the Defence organisation, the Dutch population supports this mission in the fight against ISIS. 64% of those questioned declared to be "strongly in favour or mostly in favour" of the Dutch deployment; 67% indicated that they were "proud" of the Dutch contribution to the fight against ISIS, and 59% said they thought that the deployment of our F-16s "will contribute to security in Iraq".

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13 novembre 2014 4 13 /11 /novembre /2014 08:30
Canons Caesar - photo Nexter Systems

Canons Caesar - photo Nexter Systems

 

11 novembre Jean-Dominique Merchet - (Article paru dans L'Opinion du 5 novembre)

 

La France va livrer pour 3 milliards de dollars d'équipements militaires au Liban, menacé par la crise syrienne. Mais c'est l'Arabie saoudite qui règle la facture

 

Avec le «contrat-cadre» a été signé mardi 4 novembre au Palais royal de Riyad, la capitale de l'Arabie saoudite, le Royaume s'engage à verser trois milliards de dollars (2,4 milliards d'euros) à la France, une somme considérable qui servira à équiper les forces armées libanaises (FAL). Cet accord commercial inhabituel, en discussion depuis un an, traduit un «accord politique» sur «la stabilité du Liban à l'aune de la crise syrienne» explique-t-on à Paris. Ce «contrat d'aide à l'armée libanaise illustre la qualité exceptionnelle de la relation franco-saoudienne» s'est réjoui le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius.

 

Submergé par plus d'un million de réfugiés syriens, traversé par les lignes de fractures entre sunnites et chiites, menacé par les groupes djihadistes liés à Daech, le Liban affronte aussi une crise de gouvernance : il est sans président de la République depuis le mois de mai et les députés, élus en 2009 pour quatre ans, ont décidé mardi de prolonger leur mandat jusqu'en 2017. Dans ce contexte, l'armée apparaît comme l'une des rares institutions garantes de la stabilité du pays, si ce n'est la seule. Et comme elle est sous-équipée et sous-entraînées, son renforcement est une priorité stratégique.

 

Le principe de l'accord triangulaire était acquis depuis la visite de François Hollande en Arabie saoudite, en décembre 2013. Depuis lors, des discussions se sont poursuivies, sous la responsabilité du ministère de la Défense, côté français. Après avoir traîné durant l'été, les négociations se sont débloquées avec l'aggravation de la crise régionale, en Irak et en Syrie. Mardi, le contrat a été signé par l'amiral Edouard Guillaud, patron de l'Odas, l'entreprise para-publique qui porte les contrats étatiques avec l'Arabie saoudite, et le ministre saoudien des finances Ibrahim al-Assaf. Le chef d'état-major libanais, Jean Kahwaji, a contre-signé le document. «Il reste du boulot, mais on peut espérer une entrée en vigueur du contrat avant la fin de l'année» assure un proche du dossier. Des discussions techniques et des marchandages sur le taux de change dollar/euro doivent se poursuivre au cours des six prochaines semaines, avant le premier versement. Les livraisons s'étaleront sur trois ans et les contrats de maintenance sur dix ans. Ce «plan d'équipement» s'accompagne d'un programme de formation opérationnelle des militaires libanais, confié à l'armée française – «un gros effort», reconnaît-on à Paris.

 

Les Saoudiens avaient deux exigences : des prix «raisonnables» et surtout, pas d'intermédiaires qui auraient pris leurs commissions au passage. On assure, de bonne source, que cette dernière clause a été respectée. Ensuite, les Libanais ont communiqué leur «shopping list» à la partie française. Au total, une vingtaine d'industriels français sont concernés par ce contrat, des grands (Thalès, Airbus, etc), mais également des PME. La liste des matériels en question n'est pas publique. On sait qu'y figurent des équipements terrestres (VAB, véhicules de transport, canon Caesar, missile antichar Hot, mortier, missile sol-air à très courte portée, etc), des hélicoptères (combat et transport), des patrouilleurs navals légèrement armés et du matériel de renseignement, de surveillance et de communication, dont des drones tactiques.

 

Une seule livraison souhaitée par le Liban a fait l'objet d'un veto français : des missiles antinavires Exocet. Ces engins, de peu d'usage contre les groupes terroristes, auraient en revanche menacé la marine israélienne au large des côtes libanaises. Pour des raisons d'argent, le Liban a renoncé à acquérir des missiles sol-air Crotale et des blindés lourds Leclerc ou VBCI. En effet, le contrat tripartite est loin de couvrir tous les besoins de l'armée libanaise qui s'élèvent à une douzaine de milliards d'euros. Ainsi, l'état-major libanais souhaite acquérir des chars de combat : il espérait acheter des Leopard 2 d'occasion mais s'est heurté au veto de Berlin. Paris était prêt à céder des Leclerc, mais leur coût d'achat et de maintenance s'est avéré trop élevé. Autre discussion compliquée, le type des patrouilleurs pour la marine : DCNS proposait des Gowind, construits à Lorient (chez le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian) alors que CMN de Cherbourg (chez le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve), qui l'a emporté, présentait des bateaux plus légers. Le fait que le patron de CMN, Iskandar Safa, soit franco-libanais, n'a sans doute pas joué en sa défaveur...

 

Ce contrat ne met pas fin au réarmement libanais, que ce soit l'armée ou les forces de sécurité intérieure (FSI). Ces dernières sont jugées moins impartiales et plus proches des sunnites que des chiites. Le milliard de dollars donné directement par l'Arabie saoudite à l'ancien premier ministre (sunnite) Saad Hariri devrait aller pour moitié au FSI. Les Américains fournissent eux aussi une aide militaire importante, alors que la Russie est prête à vendre des armes. Reste l'Iran, acteur capital de la scène politique libanaise via le Hezbollah, qui a proposé officiellement son aide. Fadi Assaf, analyste pour Middle East Strategic Perspectives, assure même que c'est un «feu vert» de Téhéran qui a finalement permis de débloquer le contrat entre le Liban et ses deux partenaires français et saoudiens.

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12 novembre 2014 3 12 /11 /novembre /2014 08:30
UK Reaper bombs IS militants in Iraq

UK MQ-9 Reaper aircraft launched the first air strike against the Islamic State fighters in Iraq. Photo UK MoD

 

11 November 2014 airforce-technology.com

 

A UK Royal Air Force's (RAF) MQ-9 Reaper remotely piloted air system (RPAS) has launched the first air strike against the Islamic State (IS) fighters in Iraq.

 

Assigned to support a series of coalition missions near Bayji, north of Baghdad over the weekend, Reaper successfully attacked terrorists laying improvised explosive devices using a Hellfire missile.

 

The drone used procedures identical to those of manned aircraft and also continued to provide intelligence, surveillance and reconnaissance assistance to coalition aircraft. This enabled them to conduct further strikes.

 

Also on 9 November, two RAF Tornado GR4 fighters were tasked to investigate suspected IS activity near Al Anbar, west of Baghdad.

 

The aircraft fired a single Brimstone missile to successfully destroy a shipping container used by the terrorists to store equipment to support extortion and control of the local population.

 

Operating from RAF Akrotiri in Cyprus, the Tornado fighters have been conducting airstrikes on multiple IS targets in northern Iraq since last month.

 

The Reaper airstrikes come just days before the US Department of Defense announced that the initial group of Iraqi F-16 jets will be sent to Tuscon, Arizona, instead of Balad Air Base, Iraq.

 

Iraq ordered a total of 36 F-16 C/D Block 52 fighters from Lockheed Martin in September 2011 and October 2012, to help rebuild its air force.

 

Deliveries to Iraqi Air Force were originally scheduled to start by mid-2014, but were postponed after IS overran much of the north-western part of the country. This led to evacuation of the programme contractors from Balad airbase.

"We are going to deliver three F-16s to Tucson in December and then one per month after that through May for a total of eight F-16s."

 

US Defense Department spokesman Army colonel Steven Warren said: "We are going to deliver three F-16s to Tucson in December and then one per month after that through May for a total of eight F-16s.

 

"We expect the Iraqi pilots will begin flying their own aircraft for continuation training beginning in January.

 

"All maintenance for the F-16s will be provided by [contracted] logistic support."

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12 novembre 2014 3 12 /11 /novembre /2014 08:30
Les USA livreront des chasseurs F-16 à l'Irak en décembre

 

MOSCOU, 10 novembre - RIA Novosti

 

Les Etats-Unis se mettront à livrer des chasseurs F-16 à l'Irak en décembre, les avions seront d'abord transférés sur la base de l'US Air Force dans l'Arizona où des militaires irakiens devant piloter ces appareils suivent à présent leur formation, rapportent lundi les médias internationaux.

 

Selon un porte-parole du Pentagone, les militaires irakiens sur la base d'Arizona recevront trois F-16 en décembre, et ensuite, un chasseur y sera livré tous les trois mois. On n'apprend toutefois pas quand les appareils seront transférés en Irak.

 

En tout, Bagdad a commandé aux Etats-Unis 36 chasseurs F-16 pour un montant de 65 millions de dollars. Début septembre, Washington a suspendu sine die la mise en exécution du contrat en raison de l'offensive vertigineuse des djihadistes de l'Etat islamique (EI), de crainte que les appareils ne tombent aux mains des terroristes.

 

Les diplomates américains ont déclaré à l'époque que les avions seraient livrés à l'armée irakienne après la normalisation de la situation sécuritaire dans la zone de la base aérienne de Balad, située à 70 km au nord de Bagdad.

 

Le groupe sunnite terroriste Etat islamique, une des formations djihadistes les plus cruelles, a gagné en puissance lors de ses opérations en Syrie, où il combat les troupes gouvernementales. Il y a quelques mois, cette organisation a intensifié ses activités en Irak. Fin juillet, l'EI a proclamé un "califat islamique" sur les territoires irakiens et syriens tombés sous son contrôle.

 

Depuis le 8 août, l'aviation américaine effectue des frappes contre les positions des djihadistes de l'EI en Irak.

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12 novembre 2014 3 12 /11 /novembre /2014 08:30
Islamic State Threat Delays Delivery of F-16s to Iraq

US Air Force Col. Andrew MacDonald, 162nd Operations Group commander, helps Iraqi Air Force Brig. Gen. Abdulhussein Lafta Ali Ali buckle into an F-16D Fighting Falcon before an orientation flight at Tucson International Airport in 2012. (Maj. Gabe Johnson/ US Air Force)

 

Nov. 11, 2014 by KRISTIN DAVIS – Defense News

 

The Islamic State threat has delayed the initial delivery of F-16 fighter jets to Iraq, the US Defense Department announced Monday.

The first Iraqi-purchased F-16s will be sent to Tuscon, Arizona, instead of Balad Air Base, Iraq, DoD spokesman US Army Col. Steven Warren said in a news release.

Plans to deliver the fighters to the air base were put on hold this summer as militants seized control of portions of Iraq and forced the evacuation of U.S. contractors from the base.

The first three jets are scheduled to arrive in Arizona in December, followed by one per month for the next five months, Warren said.

Iraqi airmen will train on their own F-16s in Tuscon once they are delivered, Warren said.

"We expect the Iraqi pilots will begin flying their own aircraft for continuation training beginning in January," Warren said.

In the meantime, the Iraqis are using training aircraft in Arizona. At least 18 Iraqi airmen have been training in the U.S. to fly the F-16s, including a dozen in Tuscon, Air Education and Training Command said this summer.

The Iraqi aviators will need hundreds of flight hours in the fighter jets to become flight leads and instructor pilots, a process that could take two years or more.

Speeding up the training in light of the security threats was not an option, AETC said this summer.

"Accelerating the F-16 flying training program for any pilot, Iraqi or U.S., would be insufficient for training them to the skill level necessary to adequately employ the aircraft systems and to fly and fight in combat," Tom Fox, Iraq Training Team Lead, said in July.

Iraq has purchased 36 F-16s, which were scheduled to be delivered between September and the fall of 2017.

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12 novembre 2014 3 12 /11 /novembre /2014 07:30
RQ 170 stealth drone Sentinel

RQ 170 stealth drone Sentinel

 

MOSCOU, 10 novembre - RIA Novosti

 

L'Iran a testé avec succès un drone de combat conçu sur la base d'un drone-espion américain RQ-170 saisi en 2011, a rapporté lundi l'agence IRNA se référant au général de brigade iranien Amir-Ali Khajizade, le chef de la division aérienne des Gardiens de la Révolution.

Les spécialistes iraniens ont antérieurement présenté le drone de fabrication nationale lors d'un salon d'armement à Téhéran. Selon un représentant des forces aérospatiales iraniennes, les ingénieurs et techniciens du pays ont réussi à copier des informations importantes stockées sur le disque dur de l'engin américain ce qui a notamment permis de mieux protéger sa réplique iranienne contre les radars.

D'après l'agence FarsNews, le drone iranien est capable d'effectuer des missions de reconnaissance, mais aussi de combat.

L'Iran pris le contrôle d'un drone-espion américain RQ-170 début décembre 2011, alors que cet avion sans pilote, long de 4,6 m et d'une envergure d'environ 26 m, survolait le territoire iranien près de la ville de Tabas (nord-est). Par la suite, les autorités iraniennes ont montré une vidéo représentant le drone pratiquement intact. Selon Téhéran, ses experts ont piraté le système informatique du drone pour le forcer de se poser dans un désert.

Washington a d'abord démenti ces informations, avant d'exiger de restituer le drone, ce que Téhéran a refusé de faire.

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12 novembre 2014 3 12 /11 /novembre /2014 07:30
Air strikes in Iraq (UK MoD)

 

Last updated: 10 November 2014 Ministry of Defence

 

British forces have continued to conduct air operations to assist the Iraqi government in its fight against ISIL.

 

This weekend saw the first air strike by a Royal Air Force Reaper remotely piloted air system (RPAS) as British forces continue to assist the Iraqi Government in their fight against ISIL.

A series of coalition missions were conducted near Bayji, north of Baghdad, where ISIL terrorists were laying improvised explosive devices.

The Reaper RPAS, using procedures identical to those of manned aircraft, successfully attacked the terrorists using a Hellfire missile.

UK Reaper continued to provide intelligence, surveillance and reconnaissance assistance to coalition aircraft which enabled them to conduct further strikes.

In addition, on Sunday morning, 2 RAF Tornado GR4s were tasked to investigate suspected ISIL activity near Al Anbar, west of Baghdad.

A single Brimstone missile was used to successfully destroy a shipping container used by the terrorists to store equipment to support extortion and control of the local population.

 

4 November - saw further action from Royal Air Force aircraft as they continue to assist the Iraqi Government in their fight against ISIL. Two Tornado GR4s, flying in support of Iraqi army units in the area surrounding Bayji north of Baghdad, used a Brimstone precision guided missile to successfully destroy an ISIL armed pick-up truck. Other RAF aircraft, including tankers, transport and surveillance platforms also continue to support coalition air operations.

3 November - over the weekend, 2 Royal Air Force Tornado GR4s were tasked to investigate ISIL activity near the scene of an earlier successful coalition air strike at Al Qaim, north-west of Baghdad. The aircraft, as part of the international coalition supporting the Iraqi government, identified and destroyed an ISIL armed vehicle using a single Brimstone missile. RAF Tornados were involved in further attacks this morning as a Brimstone missile was again used to attack a heavily armed ISIL pick up truck.

24 October - two Royal Air Force Tornado GR4s participated in a coordinated coalition air strike overnight (Thursday) at Jar Silah, west of Kirkuk. The aircraft, at the request of the Iraqi Government, used Paveway IV precision guided bombs to successfully attack a former Iraqi military base which ISIL were using as a logistics hub for operations in the area. Other RAF aircraft, including Voyager refuelling tankers, and Rivet Joint and Reaper surveillance platforms, also continue to support coalition air operations.

20 October - Early last week, 2 Tornado GR4s, while on an armed reconnaissance patrol, were tasked to attack an ISIL main battle tank which coalition forces had been tracking near Ramadi. Following extensive surveillance to ensure that there were no civilians nearby the tank was destroyed in a precision attack using a Brimstone missile.

19 October - RAF Tornados were involved in further successful airstrikes on ISIL terrorists who had attacked an Iraqi military convoy south of Fallujah. Brimstone missiles were used to hit the ISIL forces, including 2 trucks, ahead of additional attacks by other coalition forces in the area which were supported by UK Tornados. Video footage of the Ramadi mission is available on the Defence Imagery website

8 October 2014 - Tornado GR4 aircraft completed another round of air strikes in Iraq overnight. The Royal Air Force aircraft flew further missions to assist the Iraqi government in its fight against ISIL.

7 October 2014 - two Tornado GR4s were tasked to support the Iraqi Army. Brimstone missiles and Paveway IV guided bombs were used to conduct a successful precision attack on ISIL terrorists who were firing on Iraqi troops from a stronghold near Ramadi.

6 October 2014 - Tornado GR4s, flying from RAF Akrotiri, have continued their patrols over Iraq as part of the international coalition against ISIL.

5 October 2014 - two of our aircraft, flying in support of Iraqi security forces, successfully used Paveway IV precision-guided bombs to attack ISIL terrorists, fortified in a building near Ramadi, who were firing on Iraqi soldiers.

For more information see ISIL: UK government response page on GOV.UK

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11 novembre 2014 2 11 /11 /novembre /2014 17:45
Paris et Tunis renforcent leur coopération pour contrer les djihadistes

 

11.11.2014 Par Marie-Amélie Lombard envoyée spéciale à Tunis – LeFigaro.fr

 

Le ministre français de l'intérieur était lundi à Tunis pour coordonner la lutte contre le terrorisme et prévenir le départ de ressortissants français ou tunisiens vers la Syrie et l'Irak.

 

La lutte contre le terrorisme était au centre du déplacement qu'a fait lundi le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve en Tunisie. A plusieurs titres, Paris et Tunis sont en première ligne face à la menace djihadiste et au phénomène des départs de leurs ressortissants pour la guerre sainte en Syrie. Quelques chiffres l'illustrent. Les Français sont les plus nombreux parmi les Européens à rejoindre les rangs de l'Etat islamique ou d'Al Nosra. Au total, un millier d'entre eux ont réalisé ce projet ou tenté de le faire. Les Tunisiens forment, eux, le plus gros contingent parmi les combattants étrangers en Syrie. Selon les évaluations officielles, entre 2 000 et 3 000 Tunisiens sont concernés, parmi lesquels environ 500 ont trouvé la mort au Moyen-Orient et 500 sont revenus.

 

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11 novembre 2014 2 11 /11 /novembre /2014 17:35
photo IAI (source Livefist)

photo IAI (source Livefist)

 

NEW DELHI, 10 novembre - RIA Novosti

 

L'Inde et Israël ont testé un missile sol-air guidé à longue portée, LRSAM, sur le territoire israélien, a annoncé lundi le gouvernement indien.

 

"Tous les systèmes, y compris le radar, le système de lancement et le missile, ont fonctionné comme prévu et le missile a détruit sa cible", a indiqué le gouvernement dans un communiqué.

 

Les représentants de l'entreprise de construction aéronautique Israel Aerospace Industries (IAI) et de l'agence indienne Defence Research and Development Organisation (DRDO) ont assisté à l'essai du missile qui doit équiper les forces armées des deux pays.

source Livefist

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10 novembre 2014 1 10 /11 /novembre /2014 11:30
En Irak, Obama passe à la vitesse supérieure

 

09/11/2014 - JDD

Le nouveau but des Etats-Unis en Irak et en Syrie : ne plus seulement stopper les djihadistes, mais aussi "lancer une offensive" contre eux. Le président américain Barack Obama a annoncé dimanche qu'une "nouvelle étape" s'ouvrait en Irak.

 

Pendant ce temps, Bagdad et Washington cherchent à déterminer si le chef des djihadistes de l'Etat islamique (EI), Abou Bakr al-Baghdadi, faisait partie ou non de dirigeants tués ou blessés vendredi par des raids aériens de la coalition. Baghdadi est l'un des deux hommes les plus recherchés par Washington, qui offre 10 millions de dollars pour sa capture.

 

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8 novembre 2014 6 08 /11 /novembre /2014 12:30
L’histoire secrète du mégacontrat d’armement français au Liban

L'armée libanaise est déjà équipée d'hélicoptères Gazelle. Le contrat signé avec la France va lui permettre d'étoffer sa flotte et plus largement son arsenal. photo armyrecognition.com

 

07-11-2014 Par Vincent Lamigeon -  Challenges

 

La France va livrer à l'armée libanaise pour 2,4 milliards d'armement, soit l'équivalent d'un tiers de ses exportations annuelles. Un contrat financé par l'Arabie saoudite et regardé de près par Israël.

 

Cette fois, c’est signé. Le ministère saoudien des finances et la société française d’exportation d’armement ODAS ont paraphé mardi 4 novembre l’énorme contrat de livraisons d’armements français au Liban, un accord destiné à renforcer les forces libanaises face au risque de contagion de la crise syrienne. Les premiers équipements seront livrés dès le premier trimestre 2015.

 

Les dernières, celles des hélicoptères, auront lieu fin 2018. Le contrat prévoit notamment la vente de véhicules de l’avant blindés (VAB) MkIII et des véhicules blindés légers (VBL) de Renault Trucks Défense, des navires patrouilleurs de CMN, des missiles Mistral, des canons Caesar, des hélicoptères Gazelle et Cougar, mais aussi des drones tactiques, très probablement les SDTI de Sagem.

 

Un financement saoudien

 

Original, ce contrat l’est à plusieurs titres. Par sa taille, d’abord : avec 3 milliards de dollars (2,4 milliards d’euros), il représente à lui seul un tiers des exportations d’armement annuelles françaises (6,9 milliards d’euros en 2013). Mais c’est surtout le caractère tripartite de l’accord qui le rend unique : c’est bien l’Arabie saoudite, soucieuse de renforcer les forces libanaises face à Daesh mais aussi face au Hezbollah, qui finance leur modernisation avec des équipements français.

 

L'accord, forcément complexe, a été long à se dessiner. "Les Saoudiens ont mis des exigences claires : ils ne voulaient pas de déperdition d’argent, et ont insisté pour que la France assure la formation opérationnelle des forces libanaises, au-delà de la formation technique effectuée par les industriels", explique-t-on de source proche du dossier. En intégrant la formation et le soutien, l’accord implique ainsi la France sur une dizaine d’années.

 

Une véritable course contre la montre

 

La signature de l'accord est l'épilogue -même si les derniers ajustements techniques doivent être réglés dans les trente jours – d'une négociation de presque un an. L'idée d'un renforcement de l'armée libanaise émerge en octobre 2013, lors d'un entretien entre le roi Abdallah d’Arabie Saoudite et le ministre de la défense Jean-Yves Le Drian. Deux mois plus tard, la décision formelle de ce contrat tripartite est prise lors de la visite de François Hollande à Riyad : l'Arabie saoudite financera un colossal plan de modernisation de l'armée libanaise de 3 milliards de dollars. La France fournira les équipements et la formation.

 

C'est le début d'une véritable course contre la montre. Définie en partant d'un plan d'équipement publié par l'armée libanaise de 2013, la liste de matériels prend peu à peu forme entre février et mars 2014. Blindés, artillerie lourde, moyens anti-chars, patrouilleurs, hélicoptères de transport et de combat, systèmes de commandement et de communication... Les débats font rage entre les partenaires, le chef d'état major de l'armée libanaise Jean Kahwaji faisant régulièrement part de son impatience. Des intermédiaires locaux tentent de s'inviter à la table des négociations, sans succès. En avril, la "shopping list" est enfin validée à Riyad.

 

Les Israéliens très attentifs à l'arsenal livré

 

L'interface avec les industriels est toute trouvée : l'organisme ODAS, codétenu par l’État français et les industriels de la défense, créé à l'origine pour représenter la France dans les grandes ventes d'armes en Arabie Saoudite. Dirigé par l'ancien chef d'état-major des armées, l'amiral Edouard Guillaud, ODAS se charge de conduire l'opération, avec des appels d'offres express adressés aux industriels. En un mois, une vingtaine de sociétés sont sélectionnées. Reste à obtenir l'aval du ministère des finances saoudien : l'accord est trouvé en juillet, juste avant la grande coupure du Ramadan. Si le montant de 3 milliards est confirmé, sur demande expresse saoudienne, l'armée française sera mise à contribution, aux frais de la France, pour la formation opérationnelle de son homologue libanaise.

 

En coulisses, les tractations se succèdent. L'Iran, soutien du Hezbollah libanais, suit avec attention l'avancée du processus. Israël regarde aussi avec inquiétude les négociations franco-saoudo-libanaises, pressant Paris de limiter la liste des équipements français transférés, notamment les missiles, craignant qu'ils puissent être récupérés par le Hezbollah. «"Israël est un pays ami de la France, ses questions sont légitimes, mais cela n'a modifié en rien le projet", assure une source proche du ministère de la défense.

 

Après des semaines de doutes, le contrat est finalement signé le 4 novembre à Riyad entre l'Arabie Saoudite et ODAS, en présence du chef d'état-major de l'armée libanaise. Les premières livraisons concerneront des véhicules terrestres d'occasion de l'armée française, dès le premier trimestre 2015.

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7 novembre 2014 5 07 /11 /novembre /2014 17:30
Photo : Jürgen Braekevelt - MIL.be

Photo : Jürgen Braekevelt - MIL.be

 

07/11/2014 Stijn Verboven – MIL.be

 

Deux F-16 belges ainsi que six autres avions ont, dans la nuit du 3 novembre 2014, neutralisé une usine dans le nord de l’Irak, là où le groupe terroriste État Islamique (EI) confectionnait des explosifs improvisés. Durant la mission, les Belges menaient ces six appareils de la coalition internationale.

 

Le chef de la Composante Air, le général-major aviateur Frederik Vansina, a révélé quelques informations sur cette mission lors d'une conférence de presse le vendredi 7 novembre. Des rapports de renseignements collectés par des avions sans pilote des pays de la coalition ont dévoilé que l'EI utilisait une usine irakienne désaffectée pour la production d'engins explosifs. « L'EI est un ennemi bien organisé », dit le général Vansina. « On les voit rarement se réunir en grands nombres. C'était pourtant le cas ici, et c'était l'occasion de leur porter un sérieux coup. »

 

C'était la première fois que le détachement belge prenait le lead d'un groupe d'avions international depuis le début de l'opération Desert Falcon. Les F-16 sont partis de la Jordanie pour une mission de trois heures, pendant laquelle ils ont bombardé et détruit l'usine, avec leurs bombes à guidage GPS.

 

Les F-16 belges sont engagés depuis plus d'un mois dans le combat de la coalition internationale contre l'État Islamique. Le gouvernement a prolongé la participation belge à cette opération jusqu'à la fin de cette année.

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7 novembre 2014 5 07 /11 /novembre /2014 13:30
al-Anbar - source economist.com

al-Anbar - source economist.com

 

07-11-2014 Angélique Ferat correspondante à Amman - RFI

 

Cela fera bientôt trois mois que la coalition internationale anti-Etat islamique a commencé des frappes aériennes en Irak. Mais la région d’al-Anbar, la plus grande région d’Irak où la rébellion sunnite a pris les armes en janvier dernier, est toujours contrôlée à 85% par l’organisation de l’EI et les tribus rebelles. L’armée irakienne est à la peine, malgré des déclarations victorieuses.

 

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7 novembre 2014 5 07 /11 /novembre /2014 12:30
RQ-170 Sentinel drone. Air Force photo

RQ-170 Sentinel drone. Air Force photo

 

Nov 7 Joseph Trevithick - War Is Boring

 

Mock attack could point to future Middle East strikes

 

Two years ago, the U.S. Air Force brought the stealthy RQ-170 drone and the Massive Ordnance Penetrator—two of America’s most secretive weapons—together for a single test.

The Pentagon denies that it’s aiming the huge MOP bomb—which can punch deep into the ground to destroy underground bunkers—at any specific targets. But the experimental pairing from 2012 could have been a sort of rehearsal for potential strikes in the Middle East.

 

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6 novembre 2014 4 06 /11 /novembre /2014 17:30
photo EMA - Armée de l'Air

photo EMA - Armée de l'Air


06/11/2014 Sources : EMA

 

Lancée le 19 septembre 2014, Chammal est une opération conduite par les armées françaises en coordination avec nos alliés présents dans la région, pour assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech.

 

Ces actions sont réalisées à la demande du gouvernement de l’Irak et dans le cadre des décisions du Conseil de sécurité des Nations unies, en particulier sa Résolution 2170 du 15 août dernier.

Commandée par le chef d’état-major des armées (CEMA) à partir du centre de planification et de conduite des opérations (CPCO), cette opération est réalisée sous le contrôle opérationnel du contre-amiral Beaussant, amiral commandant la zone océan Indien (ALINDIEN).

 

Missions

L’objectif de l’opération Chammal et des forces alliées est dans un premier temps de mettre les éléments de Daech à la portée des forces armées irakiennes, c’est-à-dire de renverser le rapport de force.

  • Pour ce faire, l’action des forces françaises consiste à fournir un appui aérien aux forces armées irakiennes.
  • Cet appui aérien comporte deux volets : des missions de renseignement, et des missions de frappes, qu’elles soient planifiées à l’avance ou non
  • Ces opérations s’inscrivent dans le temps long

 

Dispositif

Le 13 septembre, un premier renfort en capacités de renseignement avait été acheminé par avion A400M. Une quarantaine de militaires et du matériel de renseignement ont ainsi été projetés depuis la base aérienne (BA) 123 d’Orléans-Bricy. Le lendemain, dimanche 14 septembre, un avion ravitailleur C135 ralliait également la région depuis la BA 125 d’Istres.

Actuellement, neuf Rafale, un avion de patrouille maritime de la Marine nationale (Atlantique 2), un avion ravitailleur C135-FR , une frégate anti-aérienne et un avion de guet aérien E3F sont engagés dans cette opération.

Une trentaine de militaires sont également insérés dans la structure de commandement et de coordination alliée dans la région, pour coordoner l’emploi des moyens français dans le cadre de la coalition.

A ces moyens sont associés environ 700 militaires français, en incluant les effectifs pré-positionnés en permanence dans la région, dont une trentaine dans les structures de commandement alliées dans le golfe arabo-persique.

Ce volume de moyens découle du renforcement décidé par le président de la République à l’issue du conseil restreint de défense du mercredi 1er octobre 2014, dont l’objectif était de :

  • densifier le soutien aérien apporté aux forces irakiennes, en termes de renseignement et reconnaissance armée,
  • disposer d’un moyen naval capable de participer, en coordination avec nos alliés, au contrôle aérien de l’ensemble des moyens présents sur zone,
  • renforcer la participation des officiers de liaison français au sein des structures de commandement alliées dans le golfe arabo-persique.

 

Le 28 octobre, la frégate anti-aérienne (FAA) Jean Bart a rejoint la Vème flotte américaine déployée dans le golfe arabo-persique, se plaçant sous le commandement tactique de l’amiral commandant la « task force 50» du porte-avions USS Carl Vinson (Carrier Strike Group 1). La frégate française y assure les fonctions de :

  • commandant d’une zone de défense aérienne au profit du centre de coordination des opérations aériennes (CAOC) d’Al Udeid, situé au Qatar ;
  • commandant de la défense aérienne du groupe du porte-avions américain.

 

Les avions de chasse Rafale de l’armée de l’Air sont équipés de :

  • bombes air-sol guidées laser GBU 12
  • bombes AASM (Armement Air-Sol Modulaire) ; famille d’armements guidés air-sol intelligents de nouvelle génération. Tiré à distance de sécurité et autonome, l’AASM atteint une cible fixe ou mobile avec une très haute précision, de jour comme de nuit et par tous les temps.
  • Pod Damocles  
  • Pod Reco NG 

 

L’ATL2 agit de façon complémentaire au Rafale dans le recueil du renseignement dans la profondeur, permettant aux armées de renforcer leur capacité d’appréciation autonome de situation.

La mission principale de l’ATL2 consiste à collecter du renseignement image (IMINT) et électromagnétique (ELINT) au profit des échelons stratégique (CEMA), opératif (ALINDIEN) et tactique (Coordination Air Operation Center – CAOC d’Al Ubeid).

 

Les forces françaises sous commandement d’Alindien participent au dispositif des forces de présence des armées françaises. Elles sont constituées d’un état-major de niveau opératif, d’une base navale, d’une base aérienne et de la 13e demi-brigade de Légion étrangère (13e DBLE). Elles assurent une présence permanente dans la région dans le cadre des accords de défense et animent les relations bilatérales de défense de la France avec ses partenaires régionaux. Elles ont également pour mission de soutenir les moyens militaires déployés dans le golfe arabo-persique et le nord de l’océan Indien, et de permettre l’entrainement et l’aguerrissement des forces en milieu urbain et désertique.

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