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8 décembre 2014 1 08 /12 /décembre /2014 12:35
La Chine disposerait d'un centre d'écoute satellitaire en France

 

03/12/2014 Par lefigaro.fr

 

Selon Le Nouvel Observateur, une annexe de l'ambassade de Chine en banlieue parisienne dispose de paraboles capables d'intercepter des communications entre l'Europe, l'Afrique et le Moyen-Orient.

 

Cette annexe de l'ambassade chinoise est située dans une rue paisible du Val-de-Marne. Selon Le Nouvel Observateur, le numéro 148 de la rue du Lieutenant-Petit-Leroy, à Chevilly-Larue, abriterait en réalité un centre secret d'écoute satellitaire. Les trois paraboles installées récemment sur le toit d'un bâtiment en témoignent. Celles-ci ont d'ailleurs attiré l'attention des services secrets français. Et, à en croire un expert consulté par l'hebdomadaire, deux d'entre elles servent à intercepter des communications entre l'Europe, l'Afrique et le Moyen-Orient. Une troisième permettrait de transmettre le fruit des écoutes vers la Chine. Les informations recueillies en France seraient de cette manière envoyées directement aux services de renseignements chinois, l'APL-3.

 

Officiellement, le bâtiment accueille un service logistique de l'ambassade. Une dizaine de diplomates chinois résideraient également dans les deux autres immeubles. «Les antennes sont pour la communication», ajoute l'attachée de presse de l'ambassade, contactée par L'Obs. Une assertion impossible à vérifier puisque cet hectare de terrain a été concédé à la Chine. De fait, la police française ne peut y pénétrer. Cette antenne diplomatique a été ouverte il y a plus de quarante ans. Elle a un temps accueilli les bureaux du conseiller commercial et des logements de fonction. Les Chinois ne seraient toutefois pas les seuls à recourir à de telles pratiques. D'après des documents confidentiels révélés par Edward Snowden, l'Agence américaine de sécurité nationale avait, fin 2012, intercepté plus de 70 millions de données téléphoniques sur le territoire français en l'espace d'un seul mois.

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8 décembre 2014 1 08 /12 /décembre /2014 08:30
Premier vol opérationnel des Mirage 2000D sur le théâtre irakien (6 déc.)

 

06/12/2014 Sources : Etat-major des armées

 

Le matin du 6 décembre, deux avions Mirage 2000D ont décollé de Jordanie pour leur première mission de reconnaissance armée  au-dessus de l’Irak.

 

Neuf semaines après le début de l'opération Chammal, les armées françaises ont déployé un détachement de chasse en Jordanie avec le soutien des autorités du pays. Ce dispositif permet d'adapter l'engagement français dans la lutte contre Daech en réduisant les délais de transit des avions de chasse jusqu’à la zone d’opérations. Le détachement est actuellement articulé autour de trois Mirage 2000D, arrivés en Jordanie le 28 novembre. Trois autres appareils complèteront ce détachement dans les jours à venir.

 

Parallèlement, les Rafale déployés dans le golfe arabo-persique (GAP) vont poursuivre leurs missions en les orientant principalement sur le renseignement dans la profondeur. Ils pourront cependant renforcer à tout moment la capacité de frappe de la France.

 

Les militaires de la force Chammal poursuivent quotidiennement leurs missions de reconnaissance armée et de renseignement, afin d'appuyer l’action des forces armées irakiennes au sol.

 

Lancée le 19 septembre 2014 sous contrôle du contre-amiral Beaussant, commandant la zone océan Indien (Alindien), l’opération interarmées Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech.

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8 décembre 2014 1 08 /12 /décembre /2014 08:30
Liban : le maire de Tarbes visite les soldats du 1er RHP et du 35e RAP

 

05/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Du 27 au 30 novembre 2014, monsieur Gérard Tremege, maire de Tarbes, monsieur Roger-Vincent Calatayud et monsieur Michel Forget, adjoints au maire, ont rendu visite au contingent français situé à Deyr Kifa, au sud Liban. Constituée principalement du 1er Régiment de hussards parachutistes et du 35e Régiment d’artillerie parachutiste de Tarbes, la FCR (Force Commander Reserve) est composée de près de 900 militaires dont actuellement près de 200 Tarbais.

 

Le maire et ses adjoints ont pris part à de nombreuses activités leur permettant de mieux appréhender l’environnement et les missions complexes des soldats français de la FINUL (Force intérimaires des nations unies au LIBAN.

 

Sur le camp de 9.1 et de 9.10, le maire et ses adjoints ont  également découvert les capacités opérationnelles et les spécificités des missions menées par la FCR à l’occasion d’une présentation des équipements majeurs et de leur emploi sur le théâtre et lors d’une patrouille effectuée avec un peloton du 1erescadron. A la rencontre des soldats tarbais, le maire s’est exprimé face à ses concitoyens afin de témoigner l’attachement et le soutien de la ville de Tarbes à ses soldats.

 

Hussards et artilleurs parachutistes retrouveront leur garnison au printemps prochain.

 

Présente depuis 1978 au Liban, la France est le cinquième contributeur de la FINUL avec près de 900 soldats. La grande majorité d’entre eux arme la FCR qui est directement placée sous les ordres du général commandant le FINUL et qui est en mesure d’agir au profit de tous les contingents déployés sur l’ensemble de la zone d’action de la FINUL, dans le cadre de la résolution 1701.

Liban : le maire de Tarbes visite les soldats du 1er RHP et du 35e RAP
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8 décembre 2014 1 08 /12 /décembre /2014 08:30
La Syrie accuse Israël d’avoir mené deux raids près de Damas

 

08.12.2014 par 45eNord.ca (AFP)
 

La Syrie a accusé dimanche Israël d’avoir mené deux raids contre des secteurs tenus par le régime près de Damas, l’accusant d’apporter un «soutien direct» aux rebelles et djihadistes.

 

Ailleurs dans le pays déchiré par plus de trois ans de guerre civile, les forces pro-gouvernementales ont repoussé un assaut des djihadistes du groupe État islamique (EI) dans la province orientale de Deir Ezzor, et resserraient l’étau sur des positions rebelles dans le secteur d’Alep (nord).

Dimanche après-midi, «l’ennemi israélien a attaqué deux régions sécurisées (gouvernementales) de la province de Damas : le secteur de Dimas (nord-ouest) et celui de l’aéroport international de Damas», a accusé l’armée syrienne dans un communiqué diffusé à la télévision, précisant que les raids n’avaient causé que des dégâts matériels.

Le ministère syrien des Affaires étrangères a indiqué dimanche soir qu’il demandait au Secrétaire général Ban Ki-moon et au Conseil de sécurité de l’ONU d’imposer des sanctions contre Israël. Le ministère a qualifié ces raids de « crime atroce contre la souveraineté de la Syrie», selon l’agence de presse officielle SANA.

Selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), Dimas est un site militaire et l’aéroport de Damas est en partie civil et en partie militaire.

«Cette agression directe par Israël a été menée pour aider les terroristes en Syrie après que nos forces eurent remporté d’importantes victoires à Deir Ezzor, Alep et ailleurs», a ajouté l’armée. «Cela apporte la preuve du soutien direct d’Israël au terrorisme en Syrie».

Dans la terminologie du régime, le mot «terroriste» englobe tous les rebelles, qu’il s’agisse des modérés ou des djihadistes.

Les autorités israéliennes n’avaient pas réagi dans l’immédiat.

 

Un assaut de l’EI repoussé

L’armée et l’aviation israéliennes ont mené plusieurs attaques contre des positions militaires depuis le début de la révolte contre le régime syrien en mars 2011.

L’aviation israélienne a aussi visé en Syrie des infrastructures appartenant au puissant mouvement libanais chiite Hezbollah ou des armes lui étant destinées. Le Hezbollah – qui soutient militairement le président syrien Bachar al-Assad – et Israël s’étaient livrés une guerre dévastatrice et meurtrière en 2006.

L’annonce de ces raids survient alors que les forces pro-gouvernementales syriennes ont connu plusieurs succès ces dernières 24 heures.

Elles ont réussi dimanche à repousser une attaque de l’EI contre un important aéroport militaire situé à Deir Ezzor, selon l’OSDH, qui a précisé que plus de 100 djihadistes et 59 combattants pro-régime avaient été tués.

D’après l’OSDH, plusieurs jihadistes ont souffert de «suffocation» en raison de l’utilisation par l’armée de chlorite.

L’aéroport militaire de Deir Ezzor est considéré comme la seule voie de ravitaillement alimentaire des forces gouvernementales dans l’Est syrien. C’est de là que les avions et hélicoptères de l’armée décollent pour des raids contre les djihadistes et rebelles dans plusieurs régions de Syrie.

 

Rencontres diplomatiques

Par ailleurs, l’armée avançait dimanche dans la province d’Alep, selon l’OSDH, qui a précisé qu’au moins 24 rebelles et jihadistes avaient été tués au nord-est de la ville éponyme. «L’armée (…) a pris le secteur de Breij», a déclaré à l’AFP le directeur de l’OSDH Rami Abdel Rahmane.

Cela signifie que l’armée resserre l’étau sur les rebelles à l’est d’Alep: «il y a une menace très réelle que la route d’approvisionnement de l’opposition soit coupée», a-t-il précisé.

Alep, deuxième ville de Syrie, est divisée depuis juillet 2012 entre secteurs loyalistes à l’ouest et secteurs rebelles à l’est. Ces derniers sont menacés depuis début octobre d’être totalement assiégés par l’armée.

Toujours à Alep, des rebelles ont fait exploser un tunnel près d’une ancienne mosquée, affirmant viser des positions de l’armée, selon l’OSDH.

La télévision officielle a indiqué que les rebelles avaient fait exploser la mosquée de Sultaniyeh. Selon l’OSDH, la mosquée n’a pas été endommagée mais 12 soldats ont été tués dans l’explosion.

Le conflit en Syrie a commencé en mars 2011 par un mouvement de contestation pacifique qui s’est ensuite transformé en rébellion armée. Celle-ci a été largement éclipsée ces derniers mois par la montée en puissance de groupes jihadistes, notamment l’EI.

Alors que les combats ont fait plus de 200.000 morts, le ballet diplomatique a repris pour tenter de mettre un terme aux violences.

L’émissaire de l’ONU en Syrie, Staffan de Mistura, discutera dans les prochains jours à Gaziantep, en Turquie, avec les chefs rebelles d’Alep d’un «gel» des combats dans cette ville.

La Russie, qui entend relancer le processus de paix, recevra de son côté mercredi une délégation d’opposants syriens tolérés par le président Assad, après des personnalités du régime fin novembre.

Le ministre syrien des Affaires étrangères, Walid Mouallem, se rend lui lundi à Téhéran pour une conférence sur l’extrémisme et la violence à laquelle doit également participer Ibrahim al-Jaafari, son homologue d’Irak où l’EI sévit également.

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8 décembre 2014 1 08 /12 /décembre /2014 07:30
Les forces armées régulières au Moyen-Orient (dec 2014) - crédits Corentin Laurent - les clés du Moyen-Orient

Les forces armées régulières au Moyen-Orient (dec 2014) - crédits Corentin Laurent - les clés du Moyen-Orient

 

04/12/2014 Par Corentin Denis - lesclesdumoyenorient.com

 

Malgré le recul des guerres interétatiques, le niveau de conflictualité du Moyen-Orient est toujours élevé. La perception d’une menace par les États de la région se traduit par une augmentation des budgets militaires : la hausse a été de 12% entre 2011 et 2013, portant la part des dépenses militaires dans le produit intérieur brut pour l’ensemble des pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord à 5%. Cette région est celle qui utilise la plus grande proportion de ses ressources dans la défense (par comparaison, l’Europe hors Russie consacre 1,5% de son PIB à la défense, les États-Unis moins de 4%). Les dynamiques varient entre les pays et l’équilibre géostratégique de la région a connu des évolutions récentes : le déclin de la puissance militaire irakienne et l’affirmation iranienne sont deux tendances notables, tandis que l’Arabie saoudite continue à affirmer son leadership sur les pays du Golfe et au-delà.

 

Même si les rapports de force et les interdépendances sont mondialisés, l’analyse porte sur la région qui s’étend de l’Égypte à l’Iran, un espace cohérent par l’intensité des tensions et des interactions qui le traversent. Afin de comprendre les équilibres de la région, les forces à disposition de chaque État seront d’abord comparées (I). Cependant, dans la mesure où un affrontement conventionnel est désormais peu probable, certains acteurs développent des armements alternatifs, non conventionnels, afin de compenser leur faiblesse apparente (II). Les rapports de forces sont ensuite modifiés par les partenariats, entre des États de la région et avec des puissances extérieures (III).

 

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6 décembre 2014 6 06 /12 /décembre /2014 12:30
Chammal : échanges entre les marins français et américains engagés au sein de la Task Force 50

 

04/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Depuis l’intégration de la frégate anti-aérienne (FAA) Jean Bart au sein de la Task Force 50, les interactions entre marins américains et français sont autant d’occasions de renforcer les liens et ainsi mieux opérer dans le cadre de la coalition formée pour soutenir les forces irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech.

 

Alors qu’un officier de liaison français se trouve à bord du porte-avions USS Carl Vinson, un détachement de marins de l’US Navy est embarqué à bord du Jean Bart de façon permanente afin de renforcer l’interopérabilité avec les états-majors et les unités de la TF50.

 

Les marins américains font pleinement partie de l’équipage. A ce titre, le premier-maître Antony J. « Fighter Controller » (officier en charge du contrôle d’avions de chasse) sur le porte-avions américain, « apprécie grandement [son] travail au sein de l’équipe du central opérations du Jean Bart ainsi que l’excellente ambiance qui caractérise le bâtiment ». De même, le lieutenant de vaisseau Brian M, qui n’en est pas à son premier embarquement comme officier de liaison sur des bâtiments de la coalition, insiste pour sa part sur le « grand professionnalisme des équipes françaises ainsi que sur l’accueil très chaleureux » qui lui a été fait. Parfaitement intégrés à l’activité du JeanBart, les marins de l’US Navy ont rapidement adopté le « French Navy way of life ».

 

Plus largement, chaque opportunité d’échange de personnel entre bâtiments de la coalition est saisie, comme dernièrement entre le destroyer USS Sterett et le Jean Bart. Les marins américains et français qui coopèrent au quotidien peuvent ainsi se rencontrer et découvrir des bâtiments certes distincts, mais opérant selon des procédures communes, fruits de longues années d’entraînement et d’opérations conduites ensemble, notamment dans le cadre de l’OTAN.

 

Ces visites favorisent les échanges directs entre marins que la langue et la culture séparent mais que les valeurs et le sens de l’engagement rapprochent indéniablement.

 

Lancée le 19 septembre 2014 sous contrôle du contre-amiral Beaussant, commandant la zone océan Indien (Alindien), l’opération interarmées Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech.

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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 17:30
Chammal : participation à un raid de la coalition

 

05/12/2014 Sources : Etat-major des armées

 

Le 5 décembre 2014, la force Chammal a de nouveau participé à un raid aérien planifié de la coalition, dans le Nord-Est de l’Irak, visant à détruire des positions de combat de l’organisation terroriste autoproclamée Daech.

 

Tôt ce matin (7h00, heure de Paris), une patrouille de deux Rafale équipés de missiles AASM s’est jointe à une opération aérienne interalliée regroupant une quinzaine d’avions de sept pays de la coalition. Elle visait à neutraliser une vingtaine d’objectifs constitués de points d’appui, de postes de tir, de bunkers et de postes de commandement utilisés par Daech à environ 20 kilomètres au Nord-Est de Mossoul.

 

Au cours d’un vol de près de six heures, les Rafale français ont attaqué les trois objectifs qui leur étaient assignés appuyant ainsi directement les unités irakiennes engagées au combat au sol contre Daech.

 

Lancée le 19 septembre 2014, l’opération interarmées Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech.

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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 17:30
Iraqi Army M1A1 Abrams tanks

Iraqi Army M1A1 Abrams tanks

 

December 5, 2014 by James Dunnigan – Strategy Page

 

The American M1 Abrams tank suffered its first heavy losses in Iraq during 2014. Nearly a third of the 140 M1s Iraq had received between 2010 and 2012 have been destroyed or heavily damaged. Most of the M1 damage was done to M1s captured by ISIL (Islamic State of Iraq and the Levant) and then attacked by American aircraft. But over a third of the M1s were destroyed or damaged by ISIL fighters. The Iraqi troops using the M1s did not, as they were taught by the Americans, use their M1s in conjunction with infantry. This allowed ISIL fighters to get close enough to M1s during combat to place explosives and disable or destroy some of these M1s. A few were destroyed by Russian Kornet ATGM (Anti-Tank Guided Missiles). The Kornet E is a Russian laser guided missile with a range of 5,000 meters. The launcher has a thermal sight for use at night or in fog. The missile's warhead can penetrate enough modern tank armor to render the side armor of the Israeli Merkava or U.S. M1 tanks vulnerable. The missile weighs 8.2 kg (18 pounds) and the launcher 19 kg (42 pounds). The system was introduced in 1994 and has been sold to Syria (who apparently passed them on to Hezbollah and Hamas). ISIL captured some Kornets in Syria.

 

Iraq had some in 2003 and four M1s were disabled, but not destroyed, by Kornets. In 2006 several Israeli Merkavas were destroyed by Kornet. By 2014 Israel had adopted anti-ATGM systems for their Merkavas which defeated over a dozen Kornet attacks.

 

Before 2014 no M1s had been destroyed by enemy action, but that was in large part because they were used by well-trained crews and commanders. Moreover nearly all the American M1s that had been in combat had better armor. This impressed Iraq. Back in 2008 Iraq ordered 140 M1A1-SA Abrams tanks, along with over a hundred support vehicles (for maintenance and transportation, like 35 tank transporters). The request includes training and technical support, for a total contract cost of over $2 billion. The tanks began arriving in 2010 and all were delivered by 2012.

 

Iraq received newly built tanks, largely equipped to the "SA" (Situational Awareness") standard the U.S. Army developed in 2006. The M1A1-SA includes the latest thermal (FLIR, or heat sensing) sights, a special engine air filter system developed to deal with the abundant sand and dust in Iraq, the telephone on the rear fender, which allows accompanying infantry to communicate with the crew, and numerous small improvements.

 

There are several items that American M1s have the Iraqi SA tanks did not get. The Iraqi M1A1s had no depleted uranium armor, no ERA (Explosive Reactive Armor), and no additional protection against anti-tank missiles. Also missing was Blue Force Tracker (a U.S. satellite tracking system that shows the location of all American vehicles and aircraft in the vicinity).

 

Despite the removal of some features, the Iraqis are glad to have their M1s. Since 2003 Iraqis have been very impressed by the U.S. military. Although the U.S. initially advised the Iraqis to expand upon their use of Russian equipment (which they had been using for over three decades and is cheaper than Western stuff), the Iraqis insisted on adopting U.S. gear and tactics. Thus Iraqi troops wear similar (to American) uniforms and use many identical weapons and items of equipment. Iraqi soldiers, especially the younger ones, imitate American moves to the point that, in the field, U.S. troops sometimes had to look closely to determine if the G.I. down the street is American or Iraqi. What Iraq did not emulate was careful selection and training of officers. Too many Iraqi officers were corrupt or poorly trained and inexperienced political appointees. This greatly reduced the effectiveness of American weapons and equipment Iraqis so admired.

 

American advisors pointed all this out to other Arab users of the M1 and it had some impact. Egypt, Kuwait, and Saudi Arabia already operate over 1,600 of M1 tanks, and Egypt has built hundreds of them (mainly using components imported from the U.S. but with some locally made parts as well). All the other Arab users have at least some of the latest model (M1A2 SEP).

 

The Arab users of the M1 have been very happy with their American tanks. This satisfaction increased when they saw how the M1 performed in Iraq after 2003. While most Arabs deplored U.S. operations there, Arab tank officers and M1 crewmen were quietly pleased that their tanks appeared invulnerable and able to assist the infantry in any kind of fight. Iraqi army officers have spoken to fellow Arab officers who have used the M1 and were told this was the way to go. But what many Arab officers ignored were American admonitions that crew quality and leadership were the key to success. For a number of cultural reasons the Arab nations do not emphasize lots of training for troops or officers. Having seen what that did in Iraq, even with lots of those splendid American weapons, has led many Arabs to question the traditional way of doing things.

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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 13:30
 source BBC

source BBC

 

WASHINGTON, 2 décembre - RIA Novosti

 

La Turquie demeure la principale filière d'infiltration de mercenaires étrangers sur le territoire syrien, et ce malgré les efforts substantiels déployés par Ankara pour endiguer ce processus, a déclaré mardi le conseiller du département d'Etat américain Robert Bradtke.

 

"La Turquie est un partenaire très important des Etats-Unis dans la région. Nous cherchons à apporter conjointement au conflit une solution politique excluant la participation de Bachar el-Assad. Nous avons également des intérêts communs dans la lutte contre les organisations terroristes en Syrie et en Irak. Nous savons que la Turquie déploie des efforts pour maîtriser le flux de mercenaires étrangers vers la Syrie et nous menons un dialogue à ce sujet avec Ankara", a affirmé M. Bradtke.

 

Il n'en reste pas moins que la Turquie demeure la "principale porte d'entrée" pour les djihadistes se rendant en Syrie. Selon le diplomate américain, plusieurs facteurs en sont la cause: le nombre de touristes (37 millions de personnes) qui arrivent chaque année en Turquie, la longueur de la frontière commune (plus de 900 kilomètres) entre les deux pays, la présence de plus d'un million de réfugiés syriens sur le territoire turc et, enfin, la possibilité de recruter des mercenaires dans les camps de réfugiés.

 

D'après Robert Bradtke, ces derniers temps, la Turquie a pris certaines mesures pour limiter l'entrée dans le pays, ainsi que pour "bloquer le financement des djihadistes avec des moyens provenant de la vente de pétrole par des organisations terroristes".

 

"A la question de savoir si le gouvernement turc achète du pétrole aux terroristes, je répondrai non. Mais des cas de contrebande existent. Et nous coopérons avec la Turquie pour y mettre un terme", a conclu le responsable diplomatique américain.

 

Les autorités syriennes ont pour leur part accusé à plusieurs reprises la Turquie de soutenir les groupes combattant contre les forces gouvernementales. Damas a même reproché à Ankara d'épauler les terroristes du Front Al-Nosra et de l'organisation de l'Etat islamique.

 

En septembre dernier, le gouverneur de la province de Gaziantep (sud de la Turquie) a démenti les affirmations concernant l'existence de camps de formation de terroristes dans la région. Il a déclaré que les autorités locales avaient arrêté un groupe de personnes soupçonnées d'activités terroristes et que ces gens étaient arrivés en Turquie via l'Europe.

 

Selon le gouverneur de Gaziantep, certains intéressés ont été reconduits à la frontière, les autres font actuellement l'objet d'une enquête.

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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 12:30
Les EAU créent un Emirates de la défense, dirigé par l'ancien patron de Thales Luc Vigneron

 

03 décembre 2014, Usine Nouvelle

 

Les Emirats arabes unis (EAU) ont annoncé le 2 décembre la fusion de plusieurs sociétés publiques de défense pour créer une entreprise intégrée de services et de construction baptisée Emirates Defence Industries Company (Edic).

 

Les Emirats Arabes Unis créent un nouveau groupe industriel dédié à la défense. Luc Vigneron, l'ancien PDG du groupe français Thales, prendra la direction de cette nouvelle entité, selon l'agence officielle WAM. Edic (Emirates Defence Industries Company) rassemblera 11 sociétés issues des filiales d'entreprises publiques d'investissement appartenant à Mubadala Development Company, Tawazun Holding et Emirates Advanced Investment Group dans la première phase d'intégration. Plusieurs autres filiales industrielles de Mubadala et Tawazun sont à l'étude pour la deuxième phase d'intégration, qui sera lancée début 2015, a ajouté l'agence.

 

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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 21:30
AUS: Advanced tanker takes the initiative


04.12.014 Pacific Sentinel
 

The crew of a RAAF KC-30A have been praised by senior Super Hornet crews in Australia’s Air Task Group for their performance during a recent mission over Iraq.

 

Commander of Australia’s Air Task Group, Air Commodore Steve Roberton, said the decisive action from the air-to-air refueller during a mission over Iraq mid November was pivotal in a successful attack against ISIL militants.

 

“In a recent mission over the North of Iraq, the actions of the KC-30A crew reduced the refuelling time for Australia’s Super Hornets by 15 minutes. This enabled them to rapidly return to the fight during a crucial period of battle,” AIRCDRE Roberton said.

 

“That might not sound like much but minutes matter.  

 

 

“Their situational awareness and initiative allowed our own Super Hornets to deliver weapons with a decisive effect in support of Iraqi Forces.”

 

The KC-30A is equipped with advanced communication technology which allows crews to monitor the progress of the air and ground battle.  

 

They exploit this increased situational awareness to dynamically re-position the aircraft as close as possible to Australia’s Super Hornets and other Coalition strike aircraft.  

 

Taking this initiative reduces the refuelling time between attacks on ISIL.

 

“Their actions are often unheralded but the KC-30A crews made the difference that day.”

 

As for the KC-30A crew, they attribute their responsiveness to the aircraft’s advanced systems and its reliability.  

 

One of the pilots, SQNLDR C (name withheld), remarked on how the aircraft was withstanding the hot and dusty conditions in the Middle East.

 

“The tanker is thriving over here, the more you fly it, the better it performs,” he said.

 

RAAF

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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 13:30
Air strikes in Iraq - updated: 3 Dec. 2014(UK MoD)

 

3 December 2014 Ministry of Defence

 

British forces have continued to conduct air operations to assist the Iraqi government in its fight against ISIL

 

 

Royal Air Force aircraft struck a large concentration of ISIL vehicles last night as the UK continued its work as part of an international coalition in the fight against terrorism.

Two RAF Tornado GR4s were tasked to investigate reported ISIL activity near Fallujah. A group of ISIL vehicles, including armed pick-up trucks and lorries, was identified and, having confirmed that there were no civilians or friendly forces in close proximity, the jets dropped a cluster of Paveway IV precision guided bombs on the vehicle group. A single truck appeared to survive the initial strike, but was accounted for by a Brimstone missile.

A Reaper remotely piloted aircraft also saw action over Iraq, attacking an ISIL vehicle with a Hellfire missile.

Combined with the targeted military action in northern Iraq, a British Army training team continues to provide infantry training to Kurdish peshmerga.

1 December - A Tornado GR4 patrol investigated a reported ISIL compound near Tal Afar in north-western Iraq and found a group of armoured personnel carriers. These were successfully attacked using Brimstone missiles. A further pair of Tornado GR4s came to the support of Iraqi forces engaged in a major firefight with ISIL near Tikrit. Two terrorist positions were identified and the precision of the Brimstone missile system allowed both targets to be engaged without risk to friendly forces. Meanwhile, an RAF Reaper remotely piloted aircraft on a separate patrol was able to attack 3 ISIL positions with Hellfire missiles. Another Reaper conducted a reconnaissance patrol in northern Iraq. Two ISIL positions and a vehicle were located by the Reaper’s crew, allowing coalition fast jets to conduct strikes on each in turn. The Reaper then identified a further ISIL position and engaged it with 1 of its own Hellfire missiles.

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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 12:30
Au-dessus de l’Irak, Américains et Iraniens se débrouillent pour ne pas se croiser

 

4 décembre 2014 45eNord.ca

 

Les frappes aériennes menées par l’Iran contre le groupe État islamique (EI) en Irak révèlent comment les États-Unis et l’Iran opèrent dans deux zones séparées dans le pays pour éviter toute confrontation dans le cadre d’une alliance informelle et fragile contre les djihadistes.

 

Les récents raids iraniens en Irak ont en effet visé des djihadistes de l’EI dans une zone de l’Est où les avions américains n’opèrent pas.

 

Ils ont eu lieu «dans la province orientale de Diyala», a précisé un porte-parole du Pentagone, Steven Warren, en soulignant que c’était la première opération de combat des F-4 iraniens contre l’EI, à la connaissance de Washington. «Nous ne sommes pas actifs là-bas».

 

Téhéran de son côté n’a pas confirmé officiellement avoir mené ces missions au-dessus de l’Irak.

 

Un responsable américain a expliqué que Téhéran et Washington souhaitaient éviter toute confrontation ou tout accident qui risquerait de créer une crise internationale ou de nourrir des violences sectaires. Ils font donc en sorte de ne pas gêner les opérations de l’autre pays.

 

La coalition emmenée par les États-Unis est d’ailleurs prête à tolérer la présence de conseillers militaires et d’avions iraniens dans les provinces de l’est et du sud de l’Irak, où vivent majoritairement des chiites.

 

«Il y a un accord tacite selon lequel nous n’allons pas agir dans le même espace. Et ils ne ciblent pas les forces américaines», a expliqué le responsable de la défense à l’AFP, sous couvert d’anonymat. «Nous savons qu’ils ont des intérêts dans ces régions: l’Irak est leur voisin».

 

L’espoir de Washington est aussi que les frappes iraniennes augmentent la pression sur les djihadistes du groupe EI, mais l’arrangement tacite entre Washington et Téhéran pourrait s’effilocher et les États-Unis craignent que le rôle joué par l’Iran chiite ne déclenche des violences sectaires.

 

«C’est un équilibre délicat», a repris le responsable. «Le plus important est que les Iraniens appuient les Irakiens d’une manière qui n’alimente pas le sectarisme».

 

La présence iranienne en Irak n’est pas nouvelle: Téhéran a en effet dépêché des conseillers militaires dans le pays dès l’offensive du groupe EI dans le nord et l’ouest en juin.

 

Des agents des forces d’élite iraniennes ont ainsi été envoyés à Samara, Bagdad ou Karbala pour tenter de préserver les zones chiites et aider à organiser les milices chiites locales, explique l’analyste Farzin Nadimi dans un rapport publié par le Washington Institute for Near East Policy.

 

L’Iran a aussi utilisé des drones de surveillance au-dessus de l’Irak, selon des responsables américains. D’autres observateurs avancent que des pilotes iraniens sont aux commandes des avions russes Soukhoï Su-25 mis à la disposition de Bagdad par Téhéran il y a déjà plusieurs mois.

 

«Ils ont des soldats et des conseillers au sol depuis longtemps, et ils font voler des avions sans pilotes», a encore souligné le responsable du Pentagone.

 

Les récents raids aériens menés illustrent l’implication accrue de Téhéran, et ils sont aussi une démonstration de force et d’influence, a estimé de son côté Ali Reza Nader, analyste du groupe de réflexion RAND Corporation. «L’Iran n’a pas besoin de mener ces raids aériens, mais ses dirigeants veulent montrer que l’Iran est une force avec laquelle il faut compter».

 

L’arrangement tacite entre les deux pays convient en tout cas aux États-Unis. Washington est en effet conscient qu’une coopération militaire ouverte avec Téhéran fâcherait au plus haut point ses alliés comme Israël et d’autres pays arabes.

 

Les responsables américains estiment en outre qu’il y a peu de risques que les deux pays se marchent sur les pieds: «Il y a plein de cibles disponibles pour tout le monde», a ainsi ajouté un deuxième responsable du Pentagone.

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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 10:30
photo IRIAF

photo IRIAF

Des avions de chasse F-4 Phantom de l'armée de l'air iranienne ont effectué ces derniers jours des raids dans la province irakienne frontalière de Diyala.

 

04/12/2014 Par Georges Malbrunot, Service infographie du Figaro

 

Les États-Unis qualifient de «positives» les premières frappes iraniennes menées dans l'est de l'Irak.

 

Un mois à peine après avoir assuré le gouvernement de Bagdad que l'Iran mettrait «toutes ses capacités à la disposition de l'Irak» pour lutter contre les djihadistes de Daech, la République islamique a tenu sa promesse. Pour la première fois, des avions F-4 Phantom iraniens ont lancé ces derniers jours des raids aériens en territoire irakien voisin. Les cibles visées dans la province frontalière de Diyala ne doivent rien au hasard. En investissant une partie de cette région dans la foulée de sa conquête de Mossoul et du «pays sunnite» à partir de juin, Daech (l'État islamique ou EI) a porté la menace à la frontière de l'Iran. Ces derniers mois, d'insistantes rumeurs ont même fait état d'infiltration d'éléments de Daech en territoire iranien.

 

L'Iran lance ses avions contre Daesh

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3 décembre 2014 3 03 /12 /décembre /2014 17:30
Liban : monitorat TIOR entre soldats français et libanais

 

02/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Du 24 novembre au 5 décembre 2014, la Force Commander Reserve (FCR) conduit un stage mixte franco-libanais visant à former des moniteurs aux techniques d’intervention opérationnelles rapprochées (TIOR).

 

Pendant ces deux semaines, sur le camp français de Deyr Kifa, une section mixte franco-libanaise suit ce stage qui octroie le monitorat TIOR, monitorat qui rassemble la plupart des sports de combat, de la boxe au krav maga.

 

La section, composée de 30 soldats (10 libanais et 20 français), suit des entrainements théoriques et pratiques : endurance, combativité, résistance. Les cours dispensés permettent ainsi aux stagiaires d’aborder non seulement les aspects techniques du TIOR mais aussi la pédagogie nécessaire pour diriger une séance.

 

Sélectionnés au sein des brigades des Forces Armées Libanaises (FAL), les soldats libanais font preuve d’une réelle motivation afin de s’intégrer à la section française et aux unités qui encadrent et renforcent le stage. Un exercice de synthèse, en fin de stage, permettra la restitution des savoir-faire acquis. Le stage se clôturera par une prise d’armes, en présence de nombreuses autorités militaires du secteur Sud-Litani.

 

Cette période de formation commune est un symbole fort de la coopération établie entre la FCR et les FAL. Ce type de stage contribue à renforcer les liens qui unissent les deux armées. Echange de savoir-faire et cohésion par l’effort  sont les maitres-mots de ce monitorat TIOR.

 

Présente depuis 1978 au Liban, la France est le cinquième pays contributeur de la FINUL avec près de 900 soldats. La grande majorité d’entre eux arme la FCR qui est directement placée sous les ordres du général commandant la FINUL et est en mesure d’agir au profit de tous les contingents déployés sur l'ensemble de la zone d’action de la FINUL, dans le cadre de la résolution 1701.

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3 décembre 2014 3 03 /12 /décembre /2014 13:30
Lockheed Martin Joins Israel's Cyberspark Intiative

 

Dec 2, 2014 ASDNews Source : Lockheed Martin

 

Lockheed Martin will join EMC, Jerusalem Venture Partners (JVP) and BGN Technologies as partner in the CyberSpark Industry Initiative, a non-profit organization established to enhance government-private sector collaboration in Israel and the wider international technology community through its cyber center, based at the Advanced Technologies Park, Beer-Sheva.

 

The CyberSpark Industry Initiative serves as a coordinating body for joint cyber industry activities with various government agencies, the Israel Defence Force (IDF) and academia.

 

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3 décembre 2014 3 03 /12 /décembre /2014 13:30
F-16 Photo Staff Sgt. Evelyn Chavez US Air Force

F-16 Photo Staff Sgt. Evelyn Chavez US Air Force

 

December 1, 2014 By Brian Everstine - airforcetimes.com

 

A U.S. Air Force F-16 pilot was killed in a crash in the Middle East on Sunday, U.S. Central Command said Monday morning. The jet was tasked to bomb targets in support of operation Inherent Resolve, the campaign against the Islamic State group, according to CENTCOM. The command would not say if the jet was headed to Iraq or Syria.

 

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3 décembre 2014 3 03 /12 /décembre /2014 13:30
L'Irak veut combattre la corruption après la découverte de 50 000 soldats fictifs

 

30.11.2014 Le Monde.fr

 

Le premier ministre irakien Haidar al-Abadi a annoncé, dimanche 30 novembre, une intensification de la lutte contre la corruption, après avoir découvert que le pays payait des salaires à 50 000 soldats fictifs, représentant l'équivalent de près de quatre divisions.

 

« Ces dernières semaines, M. Abadi a pris des mesures sévères pour révéler l'existence de ces soldats fantômes et lutter contre le problème à la racine », a précisé le porte-parole de M. Abadi, Rafid Jabouri. L'enquête a débuté par un décompte rigoureux des effectifs durant la dernière distribution des salaires. Des soldats ont confirmé que les salaires avaient été versés récemment, avec un retard de deux mois, sans qu'aucune justification ne leur ait été alors donnée.

« Il y a deux sortes » de soldats fictifs, a expliqué un officier. « Dans le premier cas : chaque officier est autorisé, par exemple, à avoir cinq gardes. Il en garde deux, en renvoie trois à la maison et garde leur salaire ou un grand pourcentage de celui-ci ». « Le deuxième cas (...) a lieu au niveau de la brigade. Un commandant de brigade a en général 30, 40 soldats ou plus, qui restent à la maison ou n'existent pas ».

 

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3 décembre 2014 3 03 /12 /décembre /2014 12:30
Irak: frappes iraniennes contre Daesh

 

03/12/2014 Par LEXPRESS.fr

 

La confirmation par les Etats-Unis que l'Iran mène des frappes aériennes contre le groupe EI illustre la manière dont la menace posée par le groupe islamiste a rapproché les deux anciens ennemis.

 

C'est la première fois que Washington confirme des raids aériens menés par des avions de chasse iraniens contre le groupe Etat islamique. Des avions de chasse iraniens ont lancé des frappes contre les djihadistes de l'EI dans l'est de l'Irak ces derniers jours, sans que ces frappes soient coordonnées avec celles des Etats-Unis, a indiqué mardi le Pentagone. "Nous avons des indications qu'ils ont lancé des raids aériens avec des avions F-4 Phantoms ces derniers jours", a déclaré le porte-parole du Pentagone, le contre-amiral John Kirby.

 

Ses déclarations intervenaient après que la chaîne Al-Jazeera a montré des images d'avions semblant être des chasseurs F-4, similaires à ceux utilisés par l'armée de l'air iranienne. Ces avions attaquaient des cibles dans la province de Diyala, frontalière de l'Iran.

 

Lors d'une conférence de presse, John Kirby avait auparavant noté qu'il revenait au gouvernement irakien de coordonner les frappes aériennes menées par les différents pays participant à la coalition internationale contre le groupe EI, et non aux Etats-Unis. "Nous effectuons des missions aériennes au-dessus de l'Irak. Nous les menons après nous être concertés avec le gouvernement irakien. Il revient au gouvernement irakien de gérer cet espace aérien", a dit John Kirby. "Rien n'a changé concernant notre politique selon laquelle nous ne coordonnons pas nos activités avec les Iraniens", a-t-il ajouté.

 

Rapprochement Etats-Unis - Irak

 

L'armée iranienne est active au sol, assistant les milices chiites ainsi que des unités de l'armée irakienne. L'Iran a également mis à la disposition de l'Irak des Soukhoï Su-25. La rumeur veut même que des pilotes iraniens soient aux commandes de ces appareils.

 

La confirmation par les Etats-Unis que l'Iran mène des frappes aériennes contre le groupe EI illustre la manière dont la menace posée par le groupe islamiste a rapproché les deux anciens ennemis.

 

Le gouvernement chiite iranien entretient des liens étroit avec le gouvernement chiite de Bagdad, qui éprouve de sérieuses difficultés à repousser les assauts des djihadistes sunnites. Des avions américains mènent des missions au-dessus de l'Irak quotidiennement, appuyés par des appareils d'autres pays alliés comme la France, l'Australie ou le Canada par exemple.

 

Les Etats-Unis ont commencé leurs frappes aériennes contre le groupe EI le 8 août en Irak, et en septembre au-dessus de la Syrie voisine.

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2 décembre 2014 2 02 /12 /décembre /2014 18:30
L’Egypte a contrecarré une tentative de l’Etat islamique visant Israël

 

1 décembre 2014, Times of Israel

 

Des hommes armés avaient détourné un bateau lance-missiles de la marine égyptienne le 12 novembre ; 8 personnes sont décédées

 

L’Egypte a contrecarré une tentative d’attaque menée par des terroristes affiliés à l’Etat islamique. Ils souhaitaient frapper des cibles israéliennes en mer méditerranéenne le mois dernier, annonce la Deuxième chaîne lundi. Les terroristes ont détourné un bateau lance-missiles de la marine égyptienne pour mener cette attaque, précise le reportage télévisé. Mais ils ont été arrêtés en mer par un navire qui les avait pris en chasse. On pense que huit personnes ont été tuées dans la bataille qui s’en est suivie. Au moment de l’incident, le 12 novembre, l’armée égyptienne avait déclaré que l’un de ses navires avait subi une attaque « terroriste » en Méditerranée.

 

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2 décembre 2014 2 02 /12 /décembre /2014 17:30
Les EAU créent un Emirates de la défense, dirigé par l'ancien patron de Thales Luc Vigneron

 

03 décembre 2014 Usine Nouvelle (Reuters)

 

Les Emirats arabes unis (EAU) ont annoncé le 2 décembre la fusion de plusieurs sociétés publiques de défense pour créer une entreprise intégrée de services et de construction baptisée Emirates Defence Industries Company (Edic).

 

Les Emirats Arabes Unis créent un nouveau groupe industriel dédié à la défense. Luc Vigneron, l'ancien PDG du groupe français Thales, prendra la direction de cette nouvelle entité, selon l'agence officielle WAM.

Edic (Emirates Defence Industries Company) rassemblera 11 sociétés issues des filiales d'entreprises publiques d'investissement appartenant à Mubadala Development Company, Tawazun Holding et Emirates Advanced Investment Group dans la première phase d'intégration. Plusieurs autres filiales industrielles de Mubadala et Tawazun sont à l'étude pour la deuxième phase d'intégration, qui sera lancée début 2015, a ajouté l'agence.

 

Stratégie de diversification de l'économie

"Le résultat (...) sera une plate-forme de défense intégrée bénéficiant des améliorations dans l'alignement, la performance et l'augmentation de capacité, qui est mieux placée pour servir les forces armées des EAU et participer aux appels d'offres dans la région," a déclaré Homaid Al Shemmari, président de la nouvelle structure.

Le développement des industries de défense fait partie des initiatives déployées par Abou Dhabi, principal exportateur de pétrole des Emirats arabes unis, pour diversifier son économie.

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2 décembre 2014 2 02 /12 /décembre /2014 08:30
Israël, vol au-dessus d’un nid de drones

 

26.11.2014 Par , LeMonde.fr

 

Pour le visiteur néophyte, l’atelier ultra-sécurisé de l’entreprise Israel Aerospace Industries (IAI) pourrait parfois ressembler à une salle d’exposition pour avions modèles réduits. Dans ce hangar baigné d’une lumière crue, une délégation venue d’Asie déambule entre des engins à différents stades d’assemblage, dont les plus petits peuvent être soulevés à deux mains. Mais ces appareils à la silhouette futuriste n’ont guère à voir avec le monde ludique de l’aéromodélisme : nous sommes chez Malat, la division « avion sans pilote » d’IAI.

La compagnie étatique est l’un des champions de l’Etat hébreu en matière de défense. Et le point de passage obligé pour qui veut comprendre comment Israël s’est imposé premier exportateur mondial de drones, devant les Etats-Unis. Une prouesse que ce pays de 8 millions d’habitants, plus petit que la Lorraine, est en passe de rééditer en 2014 malgré une concurrence accrue.

« Le marché local est bien trop petit pour nous : plus de 90 % de nos produits sont vendus à l’export et nous comptons une cinquantaine de clients sur les cinq continents », énumère Jacques Chemla, directeur de la branche Malat, où il œuvre depuis le début des années 1980. Avec huit sortes de drones opérationnels au catalogue, l’entreprise développe une gamme d’une rare diversité. De l’engin électrique assez petit pour être transporté dans un sac à dos au drone MALE (moyenne altitude longue endurance) Heron TP dont l’envergure est proche de celle d’un Boeing 737, en passant par le kamikaze Harop, qui détruit sa cible en fondant sur elle comme un missile. Parmi les projets en développement, le Butterfly (« papillon »), 15 grammes seulement, équipé d’une caméra miniaturisée et conçu pour voler à l’intérieur d’un bâtiment…

Selon une étude du cabinet Frost & Sullivan publiée en 2013, l’industrie israélienne des drones a totalisé 4,6 milliards de dollars (3,7 milliards d’euros) d’exportations entre 2005 et 2012. Les Etats-Unis, premier producteur mais très orienté vers le marché intérieur, arrivent derrière avec moins de 3 milliards de dollars.

 

Rôle précurseur

La formule du succès ? Un mélange d’histoire et de géopolitique, relevé d’un goût prononcé pour l’innovation et d’un fort sens commercial. Dans le hangar d’IAI, fièrement accroché au plafond, un modèle Scout de la toute première génération d’appareils télécommandés rappelle le rôle précurseur joué par Israël dans cette industrie. Le programme a été lancé juste après le désastre de la guerre du Kippour, en 1973, qui avait vu l’armée de l’air subir des dégâts considérables faute d’informations fiables.« Le pays a été pionnier, car il a très vite dû mener des conflits asymétriques, estime ainsi Yaki Baranes, expert chez Frost & Sullivan. Et, compte tenu de sa petite taille qui lui interdit de disposer d’une armée très nombreuse, il a toujours mis l’accent sur la technologie. »

Au sein de l’armée de l’air, les drones assurent déjà plus de la moitié des missions. Une place prépondérante confirmée cet été lors de l’opération « Bordure protectrice » à Gaza, où ces robots volants ont été omniprésents. Une grande conférence réunissant hauts responsables de l’armée et de l’industrie de défense, mercredi 26 novembre, près de Tel-Aviv, prévoyait justement de se pencher sur « le rôle des systèmes sans pilote pendant l’offensive à Gaza ». Cette symbiose est dénoncée par les Palestiniens, qui accusent Israël de se servir de ces conflits comme d’un laboratoire pour tester ses armements.

La proximité avec Tsahal offre à l’industrie un autre avantage : celui du « système de la réserve », comme l’appelle le spécialiste Alon Unger, organisateur de l’UVID, la principale conférence israélienne consacrée au secteur. Au sein des groupes de défense, de nombreux ingénieurs sont aussi des réservistes régulièrement actifs dans l’armée. Cette double casquette permet « un retour sur expérience rapide de la façon dont la technologie est utilisée concrètement et peut être améliorée », explique M. Unger. Elbit Systems, grand concurrent privé d’IAI, coté au Nasdaq, n’hésite pas à faire figurer la mention « combat proven »(« ayant fait ses preuves au combat ») sur la notice de certains de ses produits phares. Le groupe de Haïfa, qui n’a pas souhaité répondre à nos questions, est le premier fournisseur de l’armée israélienne en drones tactiques avec son modèle Hermes 450, capable de rester dix-sept heures en vol.

 

Applications civiles

A en croire les professionnels du secteur, la géostratégie et le partenariat avec l’armée ne sont pas les seuls arguments commerciaux des fabricants.« Notre politique de coopération avec l’industrie des pays clients est un élément décisif pour comprendre notre réussite à l’export », assure M. Chemla, qui évoque « une approche typiquement israélienne ».

Dès la phase de conception, les drones sont pensés de façon modulaire et ouverte. Le client n’est pas contraint d’acquérir les applications développées par l’entreprise mais peut choisir d’installer lui-même les charges utiles et les options. Autrement dit, les caméras, viseurs-lasers et autres systèmes de communication qui donnent à l’appareil toute sa valeur. Telle fut l’approche privilégiée par la France pour ses quatre drones MALE Harfang, codéveloppés avec EADS à partir du Heron.

IAI et Elbit sont les deux géants d’un marché qui compte localement d’autres acteurs, plus petits mais non moins dynamiques. « Nous essayons de nous battre comme David contre Goliath, en étant créatifs et flexibles », fait valoir Dany Eshchar, vice-président du fabricant Aeronautics. Pour faire la différence, l’entreprise se positionne sur un segment à fort potentiel : celui des mini-drones. Elle compte déjà 35 clients dans le monde pour son petit modèle Orbiter. Aeronautics s’engouffre aussi dans le marché des applications civiles, « encore immature mais très prometteur », selon M. Eshchar. Certains de ses drones Dominator et Aerostar sont aujourd’hui utilisés pour de la surveillance agricole, d’autres pour aider à combattre les incendies.

Si celui-ci est toujours balbutiant faute de réglementations adaptées, le marché commercial est un débouché que n’ignore plus aucun producteur. Elbit a ainsi vendu au Brésil son nouveau modèle Hermes 900 pour effectuer des missions de surveillance et de sécurité lors de la Coupe du monde de football cet été.

 

Concurrence plus rude

Les groupes israéliens étudient toutes les stratégies, soucieux de conserver leur avantage à l’heure où la concurrence se fait plus rude. La décision de la France, mi-2013, de commander douze drones Reaper à l’américain General Atomics, au détriment du Heron TP qui devait être « francisé » par Dassault, a marqué les esprits. Le marché des avions sans pilote reste promis à une belle expansion : les dépenses qui lui sont consacrées devraient doubler en dix ans pour atteindre 11,6 milliards de dollars annuels, selon une étude du cabinet Teal publiée en 2013. Mais, de la Chine à la Russie, en passant par les Emirats arabes unis ou l’Inde, de plus en plus de pays veulent aujourd’hui leur part du gâteau.

Dans cette course, l’Etat hébreu conserve toutefois de sérieux atouts. Une combinaison d’expérience et d’inventivité qu’un détour par la jeune entreprise Tactical Robotics permet d’illustrer. Physique sec, regard bleu acier, le patron, Rafi Yoeli, est un vétéran du secteur. Ancien d’IAI, il a participé au premier programme Scout. « A l’époque, ce fut une véritable percée. L’engin que nous construisons aujourd’hui est une nouvelle révolution qui marquera un tournant dans la façon dont sont utilisés les drones », affirme-t-il sans ciller.

Trônant au milieu des locaux, l’AirMule, machine étrange aux airs de voiture volante, est le résultat de douze années de travail et de 37 brevets. Cet hélicoptère sans pilote, à décollage et atterrissage vertical, a l’étrange particularité d’avoir ses rotors intégrés à l’intérieur du fuselage. Objectif : pouvoir évacuer les blessés et ravitailler les troupes dans des zones de guerre où ne peut intervenir un hélicoptère traditionnel, rendu vulnérable par le rayon de ses pales. Mi-2015, l’appareil sera testé dans le désert du Néguev (Sud).

Rafi Yoeli table sur une première commande l’an prochain et évoque de nombreuses marques d’intérêt de l’étranger. « Au début, on nous prenait pour des fous, mais sans doute est-ce bon signe », s’amuse cet ingénieur aéronautique selon lequel la formule du succès à l’israélienne se résumerait ainsi : toujours penser « out of the box ». Hors des sentiers battus.

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2 décembre 2014 2 02 /12 /décembre /2014 08:30
Chammal : la flottille 36F au cœur de la Task-Force 50

 

01/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Déployé sur la frégate anti-aérienne (FAA) Jean Bart depuis le 6 octobre dernier dans le cadre de l’opération Chammal, le détachement de la flottille 36F prend une part active quotidienne dans les opérations menées actuellement dans le golfe arabo-persique, en étant pleinement intégré au sein de la Task-Force 50 constituée autour du porte-avions USS Carl Vinson (Carrier Strike Group 1).

 

Le Panther Standard 2 du Jean Bart remplit ainsi les tâches ordinairement dévolues aux hélicoptères MH-60 américains grâce à ses équipements, qui lui permettent ainsi de contribuer, principalement de nuit, à la permanence des missions de surveillance et de reconnaissance, dans une zone particulièrement sensible et dans des conditions exigeantes. Certains vols peuvent en effet durer jusqu’à quatre heures, avec ravitaillement rotor tournant. Le French Panther 355 est en outre un échelon essentiel dans le soutien logistique de la frégate, dont il assure notamment la récupération du matériel acheminé par avion cargo C2 à bord du porte-avions américain.

 

Le savoir-faire démontré par le détachement dans ses activités aéronautiques concourt efficacement au renforcement des liens de coopération avec nos alliés américains et témoigne du niveau d’interopérabilité de nos forces.

 

L’opération Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech.

Chammal : la flottille 36F au cœur de la Task-Force 50Chammal : la flottille 36F au cœur de la Task-Force 50
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2 décembre 2014 2 02 /12 /décembre /2014 07:30
Visite officielle du CEMA au Qatar

 

01/12/2014 Sources : Etat-major des armées

 

Répondant à l’invitation de son homologue, le général Ghanem Al-Ghanem, le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées (CEMA), a effectué les 25 et 26 novembre 2014 sa première visite officielle au Qatar.

 

Au cours de cette visite, il a été reçu par le ministre de la Défense qatarien, le  général de division Hamad Al-Attiyah.

 

Ce déplacement s’inscrit dans le cadre des dialogues bilatéraux réguliers entre les chefs d’état-major français et qatarien. Les deux CEMA ont fait le point sur la coopération entre nos forces armées, en abordant notamment les aspects formation, interopérabilité et exercices. Cette coopération bilatérale est renforcée par des exercices majeurs réguliers, comme l’exercice interarmées Gulf Falcon, organisé tous les quatre ans (dernière édition en 2013 [Lien vers Brève]), ou encore Al Koot (prochaine édition planifiée en 2015).

 

Le général de Villiers et son homologue ont également échangé leur vision sur l’évolution de la situation sécuritaire régionale. Dans le contexte de la crise au Levant et de l’engagement des deux pays dans la lutte contre le groupe terroriste Daech, le CEMA a tenu à rappeler l’importance des partenariats mis en œuvre dans le golfe arabo-persique, en particulier avec le Qatar. Déjà mise en évidence en 2011 dans le cadre des opérations aériennes menées en Libye lors d’Harmattan, cette coopération s’illustre actuellement avec l’opération Chammal en Irak.

 

Le CEMA a aussi profité de ce déplacement pour faire un point opérationnel sur notre engagement en Irak avec le commandant du détachement aérien français inséré au centre interallié des opérations aériennes, le CAOC (Combined Air and space Operation Center).

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2 décembre 2014 2 02 /12 /décembre /2014 07:30
Pearl of the West 2014

 

01/12/2014 Sources : État-major des armées

 

L’exercice bilatéral franco-koweitien Pearl of the West 2014 s’est achevé le 27 novembre après douze jours très denses de simulation sur poste de commandement.

 

Pearl of the West est un exercice de niveau opératif qui a lieu tous les cinq ans. Organisé dans le cadre de l’accord de défense unissant la France et le Koweït, il est mis en œuvre par l’état-major de force et d’entraînement (EMIA FE) au titre de ses responsabilités en matière de préparation opérationnelle interarmées. Le général de brigade Lesimple, commandant l’état-major de force n°1 (EMF1), a assuré les fonctions de directeur de l’exercice et de représentant du chef d’état-major des armées (CEMA).

 

Cette nouvelle édition, à Koweït City, était centrée sur les procédures de planification et de conduite des opérations d'un poste de commandement interarmées. Elle a mobilisé 300 militaires koweitiens et français, pour l’essentiel des tacticiens, des spécialistes des systèmes d’information et de communication ainsi que des experts de la simulation. Côté français, quarante formations militaires différentes étaient impliquées. Joueurs français et koweitiens étaient répartis en binômes chargés de concevoir, sur chaque poste de commandement et avec des outils communs, les ordres destinés à contenir puis repousser les manœuvres d’un adversaire fictif.

 

Lors de cet exercice, la cyberdéfense a été pleinement intégrée dans les travaux de planification et de conduite de l’état-major. Des moyens de détection ont été déployés, permettant ainsi aux forces de tester leurs capacités de cyberdéfense.

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