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4 octobre 2014 6 04 /10 /octobre /2014 11:30
Un CF-18 canadien se réapprovisionne en carburant (Archives/Nicolas Laffont/45eNord.ca)

Un CF-18 canadien se réapprovisionne en carburant (Archives/Nicolas Laffont/45eNord.ca)

 

3 octobre 2014 par Jacques N. Godbout - 45eNord.ca

 

Après avoir déposé la motion ouvrant la voie à une mission de combat et pavant la voie au déploiement de chasseurs CF-188 Hornet en Irak, le gouvernement Harper a dévoilé ce vendredi plus de détails dans une note d’information sur l’engagement canadien en Irak.

 

Stephen Harper a déposé ce matin une motion ouvrant la voie à l’envoi d’avions de chasse et d’avions de ravitaillement pour participer aux frappes aériennes menées par les pays de la coalition internationale assemblée par les États-Unis contre les cibles du groupe armé État islamique, en Irak seulement pour l’instant, tout en entrouvrant la porte à des frappes en Syrie.

Un débat et un vote auront lieu lundi à ce sujet, mais le débat sera toutefois limité à cinq heures et, bien sûr, le vote est déjà acquis au gouvernement qui dispose de la majorité des sièges à la Chambre.

 

 

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4 octobre 2014 6 04 /10 /octobre /2014 11:30
Daesh : Damas qualifiera d'agression toute intervention turque

 

BEYROUTH/MOSCOU, 3 octobre - RIA Novosti

 

La Syrie qualifiera d'agression toute action turque sur son territoire, a déclaré vendredi le ministère syrien des Affaires étrangères cité par l'agence d'information SANA.

 

"Damas considérera tout action turque sur son territoire comme une agression", a indiqué le ministère.

 

"La position adoptée par le gouvernement turc constitue une violation flagrante de la Charte des Nations unies qui prévoit le respect de la souveraineté nationale des Etats membres et la non-ingérence dans leurs affaires intérieures", a indiqué le ministère dans une lettre adressée au secrétaire général de l'Onu et au président du Conseil de sécurité de l'Onu.

 

"La communauté internationale et notamment le Conseil de sécurité de l'Onu doivent mettre fin aux actions dangereuses des dirigeants turcs qui constituent une menace pour la sécurité et la paix dans la région. Ils doivent adopter une position ferme, obliger la Turquie à assumer la responsabilité de ses actions destructrices et à respecter les résolutions du Conseil de sécurité", a indiqué le ministère.

 

Le parlement turc a donné jeudi son feu vert à une éventuelle intervention militaire turque en Syrie et en Irak contre les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) et a autorisé le stationnement sur le sol turc de troupes étrangères qui pourraient y participer. La Turquie, qui a longtemps refusé de rejoindre la coalition militaire anti-EI formée par les Etats-Unis, s'est dite prête à le faire, suite à l'avancée des radicaux islamistes dans les régions syriennes situées près de la frontière turque.

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3 octobre 2014 5 03 /10 /octobre /2014 20:30
Turkish Air Force F-16 Fighting Falcon - photo UK MoD

Turkish Air Force F-16 Fighting Falcon - photo UK MoD

 

03 octobre 2014 Romandie.com ( AFP)

 

Istanbul - La Turquie fera tout ce qu'elle peut pour empêcher les jihadistes de groupe de l'Etat islamique (EI) de prendre le contrôle de la ville frontalière syrienne de Kobané (Aïn al-Arab en langue arabe), a promis le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu.

 

Nous ne voulons pas que Kobané tombe. Nous avons tendu la main à nos frères de Kobané, a déclaré M. Davutoglu dans un entretien accordé à la chaîne de télévision A Haber-ATV diffusé tard jeudi soir.

 

Nous ferons tout ce que nous pouvons pour que Kobané ne tombe pas, a-t-il insisté.

 

Le Parlement turc a voté jeudi soir à une large majorité un projet de résolution du gouvernement islamo-conservateur d'Ankara qui autorise son armée à intervenir en Syrie et en Irak contre l'EI et à accueillir sur son territoire des troupes étrangères qui participeraient à une opération militaire.

 

Les autorités turques n'ont toutefois jamais clairement dévoilé leurs intentions, notamment sur son éventuelle participation à des opérations militaires.

 

Aucune décision n'a été prise sur une éventuelle action militaire lors de la réunion de sécurité conviée jeudi soir, a déclaré M. Davutoglu.

 

Le chef du gouvernement a également semblé écarter l'idée d'une opération militaire imminente pour sauver Kobané.

 

Si les forces armées turques entrent à Kobané et que les Turkmènes de Yayladag (une autre minorité turcophone de Syrie) nous demandent +pourquoi est-ce que vous ne nous sauvez pas ?+, il faudrait alors que nous intervenions là-bas aussi, a-t-il plaidé.

 

M. Davutoglu a toutefois indiqué que son pays ne pouvait se contenter d'une approche passive. Nous ne pouvons laisser le sort des populations d'Irak et de Syrie entre les mains d'une coalition internationale à laquelle nous ne participerions pas, a-t-il ajouté.

 

Aucun autre pays (que la Turquie) ne peut peser autant sur les événements en cours en Syrie et en Irak. Aucun autre pays ne serait d'ailleurs plus affecté que nous par ces événements, a plaidé M. Davutoglu.

 

Le Premier ministre a également une nouvelle fois plaidé pour l'instauration d'une zone-tampon et d'une zone d'exclusion aérienne dans le nord du territoire syrien pour protéger les territoires tenus par l'opposition syrienne modérée.

 

Faute d'une zone d'exclusion aérienne, les forces du président syrien Bachar al-Assad vont profiter du départ des frappes de la coalition contre l'EI pour, à leur tour, bombarder en représailles Alep et Rakka, a-t-il pronostiqué, et 3 millions de personnes vont fuir vers la Turquie.

 

Les combats ont fait rage vendredi aux portes de Kobané, cible des tirs de mortier des jihadistes, a constaté une journaliste de l'AFP depuis la frontière turque distante de quelques kilomètres.

 

L'offensive lancée il y a deux semaines par l'EI sur la région de Kobané à majorité kurde a provoqué l'exode d'au moins 186.000 réfugiés vers la Turquie, selon le dernier chiffre cité par M. Davutoglu.

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3 octobre 2014 5 03 /10 /octobre /2014 19:30
Le Canada va participer aux frappes aériennes contre Daesh en Irak

 

03 octobre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Ottawa - Le Premier ministre canadien Stephen Harper a présenté vendredi au Parlement une motion prévoyant l'envoi d'avions de chasse en Irak qui participeront, pendant six mois, à la campagne de frappes aériennes contre le groupe Etat islamique (EI).

 

La Chambre des communes doit formellement entériner cette motion lundi lors d'un vote qui ne devrait être qu'une formalité pour M. Harper car son parti dispose d'une large majorité au Parlement (165 élus sur un total de 308).

 

Le Premier ministre canadien a exclu tout envoi de troupes de combat au sol, la mission canadienne se limitant à l'envoi d'avions de chasse F-18 et de ravitailleurs.

 

Le déploiement de conseillers militaires (69 forces spéciales maximum), déjà décidé il y a un mois, est également prolongé de six mois.

 

Il s'agit du premier engagement militaire du Canada à l'étranger depuis la campagne aérienne en Libye en 2011.

 

Cette campagne est soutenue par 64% des Canadiens, contre 36% qui la désapprouvent, selon un sondage publié vendredi par le Globe and Mail.

 

Ce large soutien n'a toutefois pas fait changer d'avis les deux principaux partis d'opposition aux Communes: Libéraux et Néo-Démocrates ont répété dans la foulée de l'allocution de M. Harper qu'ils s'opposeraient à cette motion lors du vote de lundi, reprochant au Premier ministre de ne pas les avoir informés au préalable sur les objectifs de cette mission.

 

Le Premier ministre n'a pas précisé combien d'avions de chasse seraient envoyés en Irak mais les médias locaux parlaient vendredi de quatre à huit F-18.

 

Les opérations aériennes ne seront menées que là où le Canada a le soutien clair du gouvernement du pays. A présent, c'est seulement le cas en Irak, a déclaré le dirigeant conservateur devant les députés.

 

Si cela devait être le cas en Syrie, alors nous participerions également aux frappes aériennes contre l'EI dans ce pays, a observé M. Harper.

 

Il a toutefois reconnu que la coalition internationale ne devait pas trop attendre de cette campagne aérienne: Pour être clair, disons que cette intervention ne permettra pas d'éliminer cette organisation terroriste.

 

Nous avons l'intention d'affaiblir de façon importante les capacités de l'État islamique, plus particulièrement sa capacité à avoir des mouvements militaires de grande envergure ou d'avoir des bases en terrains ouverts, a-t-il précisé.

 

La coalition internationale engagée en Irak, et pour certains pays en Syrie, s'était déjà renforcée vendredi avec l'envoi par l'Australie d'avions de combats et de 200 militaires. La Belgique, le Danemark, la France, les Pays-Bas et le Royaume-Uni mènent également des frappes aériennes contre l'EI, aux côtés des Etats-Unis et de cinq alliés arabes -- Jordanie, Arabie saoudite, Emirats arabes unis, Qatar et Bahreïn.

 

Outre son engagement militaire, le Canada a déjà dépensé 28 millions de dollars canadiens pour l'aide humanitaire aux civils affectés par l'avancée des jihadistes de l'Etat islamique, aussi bien en Irak qu'en Syrie.

 

Quelque 15 millions de dollars ont également déjà été investis dans du matériel militaire défensif remis à l'armée irakienne et aux combattants kurdes.

 

Les partis d'opposition jugent toutefois l'engagement humanitaire bien insuffisant. Le Parti libéral ne peut pas (soutenir) et ne soutiendra pas cette motion du Premier ministre pour aller en guerre en Irak, a asséné Justin Trudeau, le leader des libéraux, qui arrivent en tête des sondages sur les élections législatives prévues dans un an.

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3 octobre 2014 5 03 /10 /octobre /2014 12:30
Combattante kurde de Ras Al-Ayn. photo Hamid Mesud

Combattante kurde de Ras Al-Ayn. photo Hamid Mesud

 

03.10.2014 Romandie.com (ats)

 

Les combattants kurdes tentaient toujours de repousser vendredi l'assaut de l'Etat islamique (EI) contre la ville syrienne kurde de Kobané, près de la frontalière turque. Sur place, la population parle d'un "massacre" en cours. Cela fait deux semaines que cette ville est assiégée.

De son côté, la Turquie ne veut pas que la ville tombe entre les mains des jihadistes. Ankara va faire tout ce qui est en son pouvoir pour l'éviter, a déclaré vendredi le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu.

La Turquie a rassemblé d'importantes forces près de la frontière syrienne, mais a jusqu'à présent rechigné à s'impliquer dans le conflit en expliquant qu'une telle intervention ne servirait à rien si elle ne s'accompagne pas d'un départ du président syrien Bachar al-Assad.

Le Parlement turc a cependant approuvé jeudi un dispositif permettant au gouvernement d'intervenir militairement en Irak et en Syrie pour lutter contre l'EI..

 

Fumée noire

Les combats faisaient rage vendredi aux portes de Kobané (Aïn al-Arab en arabe), d'où s'échappait une épaisse fumée noire. Les tirs de mortiers se succédaient à intervalles réguliers, a constaté une journaliste de l'AFP depuis la frontière turque distante de quelques kilomètres.

"Les Unités de protection du peuple (YPG) ont détruit ce matin deux véhicules blindés de l'EI à moins de deux kilomètres au sud-est de Kobané", selon Rami Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH, une ONG basée à Londres. Il n'a pas fait état de nouvelles frappes de la coalition internationale contre les positions de l'EI aux alentours de Kobané.

Le dernier communiqué du commandement américain fait état de quatre frappes mercredi et jeudi en Syrie, dont une près de Kobané, avec l'aide des Emirats arabes unis.

Les YPG sont une milice kurde dont les hommes sont moins bien équipés et bien moins nombreux que les jihadistes qui ont pris depuis le 16 septembre l'assaut pour le contrôle de Kobané.

 

"Le monde reste silencieux"

Selon l'OSDH, il ne resterait que quelques milliers de civils à Kobané, après la fuite en Turquie de 160'000 habitants de la ville et des localités environnantes devant la progression des jihadistes. L'EI contrôle déjà de vastes régions dans le nord et l'est de la Syrie ravagée par plus de trois ans de guerre civile. Il occupe également de vastes pans de territoire dans l'Irak voisin.

"C'est un massacre commis sous les yeux du monde entier", a déclaré vendredi un témoin des combats à Kobané. "Le monde reste silencieux alors que les Kurdes sont massacrés", a poursuivi ce témoin auprès de l'AFP. "Nous assistons avec tristesse à l'oeuvre meurtrière d'EI", a déclaré un Kurde turc, lui aussi témoin des bombardements depuis le poste-frontière turc de Mursitpinar. "Nos frères sont dans une situation très difficile, c'est très violent", a-t-il indiqué.

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 12:30
Syria: The Long War

 

October 1, 2014: Strategy Page

 

So far over 70 percent of the air strikes against ISIL (Islamic State in Iraq and the Levant) in Iraq and half of those in Syria have been carried out by American warplanes. The rest have been flown by NATO and Arab countries. There have been about 300 air strikes against ISIL so far but only about a quarter of them have been in Syria. That’s largely because the strikes in Iraq began in early August while those in Syria did not begin until late on September 22nd. Moreover most NATO nations prefer to restrict their operations to Iraq, so only the U.S. and five Arab nations are bombing in Syria. Britain and France have expressed willingness to operate in Syria. But will have to wait until more targets are identified. The strikes in Syria are limited by the lack of reliable people on the ground to confirm targets. This is less of a problem in Iraq where there are Iraqi air controllers and some Iraqi army units that are reliable enough to assign American controller teams to. Then there are the Kurds (in Iraq and Syria) where Special Forces controllers can operate with Kurdish militia groups they know (and often trained over the years). The trained Kurdish fighters are spread thin, trying to protect long borders and widespread Kurdish civilian populations. As more American controller terms get into Iraq and Syria, the air attacks against ISIL combat forces will become more common and effective. Many of the older ISIL fighters, with experience fighting American air power in Iraq (and, for a few ISIL men, Afghanistan) know that with enough controllers on the ground and enough bombers in the air, ISIL will no longer be able to take and hold ground. This explains the ISIL offensives going on now, because ISIL leaders know that in a month or so they will not be able to travel easily by road or even cross country on foot. Syrian civilians have also gotten the word and air reconnaissance shows civilians fleeing residential areas where ISIL has sought sanctuary from the air strikes. ISIL will be forced to follow the Taliban practice of forcing (at gunpoint) civilians to stick around to discourage the warplanes above.

 

The first few dozen air strikes in Syria hit the obvious targets like buildings taken over by ISIL (especially in the eastern city of Raqqa which has become the ISIL capital) as well as large storage areas for captured vehicles, weapons and housing for ISIL fighters. Also hit were large ISIL checkpoints that controlled traffic on the few major roads in eastern Syria. As expected ISIL, under the direction of Iraqi ISIL men who had experienced American air power in Iraq from 2003-2008, quickly began to disperse. Headquarters were moved to residential areas, large permanent checkpoints were abandoned (replaced by temporary ones set up by ISIL fighters travelling in vehicles equipped with baggage on the roof, to look like civilians) and all vehicles and equipment was also dispersed to residential areas. Schools, hospitals and mosques now have to provide some space for ISIL men and equipment. ISIL personnel have been warned to use cell phones and radio communications carefully because the Americans are probably listening. The Americans are listening and they have proven tactics to defeat the dispersal tactics ISIL is using to avoid air attack. Dispersal will not make ISIL safe from attack bur it will slow down the rate of loss to air attack. The attacks in Syria have killed about 240 people so far, that’s about three deaths (and over a dozen wounded) per strike. The attacks so far have concentrated on things like command and control (headquarters and communications) and logistics (fuel, vehicles and stockpiles of food and equipment). This causes ISIL long term problems right away and killed or wounded several senior people. Soon the attacks will concentrate on combat forces. This is already happening in Iraq where Kurdish forces, long comfortable working with American troops and air power) are pushing back ISIL in the north and inflicting (with the help of air strikes) lots of ISIL casualties. Because of the threat of air strikes ISIL has to be careful concentrating forces to push back the Kurdish advance.

 

In response ISIL is, as expected, claiming massive civilian casualties from the air strikes. Again, as expected, the U.S. is ready with video and eyewitness evidence that the ISIL claims are false. Since the wide use of smart bombs in the 1990s civilian casualties have plummeted over 80 percent compared to the pre-smart bomb era. This sort of thing does not make good headlines, but false accusations from Islamic terrorists, who regularly use civilians as human shields, do. Another non-news event is the large number of smart bomb strikes that are called off to avoid civilian casualties.

 

The anti-ISIL rebels are complaining that many Syrians are blaming the rebels for the damage and disruption caused by the coalition (of NATO and Arab states) air strikes. Given how few strikes there have been so far and the fact that most of them were very precise and often in remote areas, these complaints are seen as an attempt to pry more aid out of NATO and Arab counties. The Arabs are rethinking their support for Islamic terrorist rebels groups and NATO is again trying to find non-terrorist rebels to train and support. The main problem with the rebels has always been lack of unity and a sharp division between the secular (or non-fanatic Moslem) groups and the radicals. Unfortunately the Islamic terrorist groups have the widest appeal to the young Moslem men most likely to join the armed rebel groups. This is made worse by the religious divisions in Syria. The ruling Assad family are Shia, a minority in Syria and the Moslem world in general. The Shia and other minorities (Christians and other small Islamic sects) are a quarter of the population and they have dominated the Sunni majority for decades. So it’s not just a rebellion against a dictatorship but part of the centuries old hostility between Sunni and Shia. It doesn’t help that the Assads have been financed and armed by Shia Iran since the 1980s. Religious radicalism has been a problem in the Islamic world for over a thousand years. While most other religions have found ways to tame the fanatic fringe problem, Islam has not. This fanaticism is a key component in the Syrian civil war and cannot be ignored or avoided.

 

ISIL controls (or contests control) of a third of Iraq (mostly in the west) and a third of neighboring Syria (mostly in the east). There are more aircraft and UAVs over Syria and Iraq seeking out new ISIL targets than there are bombers hitting targets. ISIL forces are dispersing now that they have to deal with a sustained air offensive.  This is not a major problem because ISIL forces are not as concerned with controlling large areas, if only because most of eastern Syria and western Iraq is desert and uninhabited. What ISIL is concentrating on is attacking Kurdish and government forces wherever it can. The Kurdish and Iraqi forces are largely tied down keeping ISIL raiders out of more densely populated areas the government and Kurds control. Thus there are clashes with these ISIL raiders every day.

 

What the international coalition must do is establish a system where air support can quickly be provided for all anti-ISIL forces on the ground. This is difficult because having trained troops (air controllers) on the ground is the preferred method. But there are hundreds of specific locations anti-ISIL forces are guarding or based in and all are potential targets. This is not a new problem, but how it is handled in Iraq and Syria will determine how quickly ISIL can be reduced from major threat to dangerous nuisance status. The United States has declared that it will seek to destroy ISIL without putting any troops on the ground in Iraq or Syria. That means no American regular troops will be sent in for offensive combat. That does not apply to Special Forces advisors and ground controller teams. Some Americans will be there to help with security around the massive U.S. embassy compound, and perhaps other American facilities as well. There will also be a lot of security contractors. While these are civilians, many are veterans of the U.S. Army, Marines, Special Forces and so on. Given their civilian status, there may be a temptation to use the contractors if a lot of offensive muscle is needed. By the end of the year there will be at least 5,000 American military personnel in Iraq and even more contractors. That number is expected to grow in 2015 is needed. Hundreds of these will end up in Syria, but the United States will not be saying much about that officially.

 

Many Western politicians are uneasy with the fact that they are now de-facto allies with Iran and the Syrian Assad dictatorship as well as rebel groups that are openly Islamic terrorists and hostile to the West. Iran wants to destroy the West but at the moment it’s a case of “the enemy of my enemy is my ally whether I like it or not.” Despite official bans on cooperation there is some informal military coordination with Iran and the Assads. Meanwhile the Iranian government is encouraging the rumor that ISIL is part of an American plot to hurt Iran. This sort of thing is believed by most Iranians and many Arabs as well, who see the Western operations against ISIL as another form of the Western “war on Islam”. This conspiracy theory is so popular that many Arab states are reluctant to get too involved with the mainly Western coalition formed to stop ISIL. This is despite the fact that ISIL is a very immediate threat to Iran and all Arab states in the region. Iran backs the “ISIL is an American plot” in part to show their anger at the growing sanctions and Iranian efforts to formally coordinate anti-ISIL operations. The Syrian government is claiming to be part of the international anti-ISIL coalition but only Russia supports that claim and at the moment both Russia and Syria are considered outlaw states by the international community. 

 

The UN admitted that it had basically withdrawn its peacekeeping force on the Israeli/Syrian border. The 1,200 man peacekeeping force has been on the border since 1974 and Israel has long criticized the UN for allowing their troops to be used as human shields anti-Israel terrorists could hide behind. Now those peacekeepers are fleeing to Israel for protection.

 

September 30, 2014: On the Iraqi border Kurdish forces, allied with an Iraqi Sunni tribe that had turned against ISIL, attacked and captured a border crossing controlled by ISIL. Many Sunni tribes in Syria and Iraq have turned against ISIL, at great risk to themselves. ISIL has retaliated savagely against rebellion Sunni tribes in Syria. Defections like these were a prelude to the al Qaeda in Iraq collapse in 2007. But before this can seriously weaken ISIL the Americans have to convince the Shia dominated Iraqi government to make peace with their Sunni minority on terms acceptable to most Sunnis. That is difficult given the bitter memories the Shia and Kurds (who together comprise over 80 percent of the population) have of decades of brutal Sunni rule. The Syrian situation is more complicated, with the Sunni majority (nearly 80 percent of the population) also angry at decades of brutal Shia minority rule. The Sunni majority in Syria is more religiously conservative than the Shia Arabs (largely Shia) and Kurds (largely Sunni) of Iraq. This means that most rebels are Islamic conservatives and more sympathetic to Islamic terrorist groups. But in both Syria and Iraq most Sunni Arabs do not want to live according to the strict rules enforced by ISIL.

 

Outside Damascus al Nusra rebels repulsed an attack by soldiers and Hezbollah gunmen. The rebels have been close to the center of the city since 2012 and can still get close enough to launch rockets (with a range up to ten kilometers) or fire mortar shells (up to a few kilometers.) This fire is not accurate, but by firing into the city center it is difficult not to cause damage or casualties. Al Nusra may be losing to ISIL in the north and east, but in central and southern Syria they are still the main foe of the government forces.

 

Today American and British warplanes carried out 24 airstrikes in Iraq (14 attacks) and Syria (ten). Arab warplanes did not participate as they are undergoing maintenance and should be available tomorrow. The Arab coalition members have not contributed as many warplanes to the anti-ISIL air operations as the U.S. and Britain and are not as efficient at turning their aircraft around for more sorties.  For most of the Arab pilots and ground crews this is their first combat experience.

 

September 29, 2014: Turkey moved a company of about a dozen tanks to the area (across the border from the northeastern Syrian town of Kobane) where over 100,000 Syrian Kurds have been allowed to enter Turkey to get away from a major ISIL offensive. The tanks were accompanied by about two dozen other armored vehicles and several hundred combat troops. This border crisis began on September 18th when a large ISIL force, including some tanks and other armored vehicles and supported by artillery, advanced and have occupied over 70 of Kurdish villages. This forced over 200,000 Kurdish civilians to flee, with Kurdish militiamen delaying the ISIL fighters so the civilians could get away. About half of these civilians got into Turkey before the Turks closed the border. This ISIL victory was achieved in part because of an August agreement by Kurds from Iraq, Syria and Turkey to join forces against ISIL in northern Iraq. This was in response to continued ISIL attacks on Kurdish territory in Iraq. The organized Kurdish military forces consist of the Iraqi Peshmerga (about 100,000 full time and over 300,000 part time fighters, many with formal training and years of experience), the Turkish PKK (several thousand based in northern Iraq) and the Syrian PYD (a smaller version of the PKK and largely tied down defending northeastern Syria.) The Peshmerga and PKK have been increasingly active helping the PYD defend traditional Syrian Kurdish territory against ISIL. The fighting in northeastern Syria has been going on for over two years and ISIL has largely been held back. But as the Kurds shifted forces back to Iraq in early September to defend Kurdish northern Iraq ISIL sensed an opportunity. Because of growing American air strikes in Iraq it seemed safer to concentrate forces against the Syrian Kurds. ISIL really has it in for the Kurds, mainly because of the decades of violence between Sunni Arabs and Kurds in northern Iraq. The Sunni Arabs have been getting the worst of it since the 1990s and want revenge. Because of the need for fighters in Iraq, ISIL only encountered local militia when they advanced and the use of armored vehicles and artillery was more than the militiamen could handle. Despite Kurdish reinforcements being shifted to northeastern Syria the ISIL advance continued, despite a few coalition air strikes in support of the Kurds. Turkish Kurds tell the Turkish government that refusal to support the Syrian Kurds is causing anger among Turkish Kurds and may interfere with the current peace negotiations to end the three decade old Kurdish rebellion in Turkey.

 

Some Kurdish reinforcements were blocked or delayed at the Turkish border as the Turks enforced their ban on armed men crossing in either direction. Many Turks objected to this and now pressure is building in the Turkish parliament to have Turkey actively join the anti-ISIL coalition and allow Turkish air and ground forces to go after ISIL in the border areas. The senior Turkish leadership is against this, feeling that the Turks will be criticized by the Arabs (who endured centuries of harsh Turkish rule until 1918 and have not forgotten).

 

In the east (Deir Ezzor province) ISIL executed two of its own men. One was accused of looting and the other of spying for the Americans. The air attacks have caused some morale problems with many ISIL fighters, and paranoia among ISIL leaders.

 

September 28, 2014: Because many al Nusra rebels have allied themselves with ISIL in the last month or so, some of the recent coalition air strikes hit al Nusra units. As a result some al Nusra leaders have threatened to make attacks in the West and Arabia (especially the oil-rich Gulf States.) The al Nusra threats have more import than similar ones made by ISIL. That’s because ISIL is basically a local (most ISIL leaders are Iraqi Sunnis) while al Nusra is still on good terms with al Qaeda (which still has active franchises in Afghanistan, Pakistan, North Africa and Yemen and all of these have been trying to carry out attacks against the West).

 

September 27, 2014: The Arab Gulf states agree with the United States that the fight against ISIL could take years and are making more of an effort to stop those wealthy citizens of theirs who are still contributing lots of cash to Islamic terrorist groups, including ISIL. Many Arabs in Arabia have long been very conservative and sympathetic to Islamic terrorist organizations. This has provided most of the manpower and cash to keep al Qaeda, ISIL and other Islamic terrorist groups going. The West has been pressuring Arabian (especially Saudi Arabia, UAE and Kuwait) to do more to stem the flow of volunteers and cash. With these government facing a very real threat from ISIL, there is more cooperation to curb terrorist recruiting and find raising.

 

In Syria al Nusra revealed that the leader of an al Qaeda faction (Khorasan) that was actively planning attacks on the West, was killed by a recent air strike. Khorasan is based in Afghanistan and Pakistan but moved some key people to Syria in the last year to set up an operation for carrying out terror attacks in Europe and North America. Khorasan allied itself with al Nusra. The dead Khorasan leader, Muhsin al Fadhli was known to Western intelligence agencies and there was a $7 million reward for killing or capturing him.

 

September 26, 2014: American military leaders revealed that their planners had determined that it would require over 12,000 reliable (trained and well led) rebels to retake eastern Syria. This is the heartland of ISIL and would be heavily defended. The American officials also believed that it would take six months to train rebel fighters and their leaders to the point where they could carry out the liberation of eastern Syria. In other words, the current plan is for at least six months of air strikes on Syria while the coalition tries to find 12,000 or more Syrian rebels that can be trained, armed and equipped. These trainees must be men who are unlikely to run off and join ISIL or some other Islamic terrorist group. This plan will cost at least $500 million in its first year and rebel training camps in Jordan are being expanded. The U.S. would like the Turks to get more involved and also host training camps.

 

September 24, 2014: Sources inside Turkey claim that the Turkish government secretly agreed to release fifty ISIL men held prisoner by secular Syrian rebels in return for the freedom of 46 Turkish diplomats and family members captured when ISIL took Mosul in early June. The Turkish government denies that any such deal was made. It is claimed that the Turks made promises to the Syrian rebels in order to get the Turkish captives released. Turkey so far refuses to provide a lot of support for the campaign against ISIL and is accused of secretly allowing support for ISIL from Turks to continue. The Turkish captives were released in Iraq on September 20th.

 

September 23, 2014: On the Israeli border Israel used a Patriot missile to shoot down a Syrian Su-24 that had entered Israeli air space while it was bombing rebel positions on the Syrian side of the border. The Su-24 only got about 700 meters into Israel before turning around. Israeli air defense forces have orders to shoot down any Syrian warplanes that enter Israeli air space and Syria was informed of that policy. The last time Israel shot down Syrian aircraft was in 1985 when two Syrian MiG-23s attempted to interfere with an Israeli reconnaissance mission over Lebanon. At the time Syrian forces occupied parts of Lebanon because the 1975-90 civil war there was still going on.

 

Overnight the U.S. and Arab nations began large scale (over 200 bombs on nearly 30 targets) air strikes against ISIL targets in Syria. Most of the attacks were carried out by American aircraft, as well as 47 cruise missiles fired from U.S. ships. Some warplanes and other support was provided by Saudi Arabia, Qatar, Jordan, UAE (United Arab Emirates) and Bahrain. It was estimated that 120 Islamic terrorists were killed. Some 70 of the dead were ISIL while the other fifty belonged to a faction of al Nusra that was planning attacks on the United States. Phone calls to Syrians living near the targets indicated that there was little damage to nearby structures or injuries to civilians. But the Islamic terrorists were keeping locals away from the buildings hit while the wreckage was searched. Meanwhile the U.S. has carried out nearly 200 attacks against ISIL targets in Iraq since August 7th. The U.S. also announced that over fifty countries had agreed to join a coalition to destroy ISIL. Most of these nations would not be contributing military forces but would assist in intelligence and police operations against ISIL. Some countries will provide support for coalition military forces and this is what many Arab states are doing. Western intelligence agencies now believe that there are at least 3,000 Moslems from the West fighting for ISIL. The Saudis reluctantly admit that Saudi citizens comprise the largest national faction of ISIL, including many senior positions. Most ISIL members are Iraqi or Syrian Sunnis.

 

September 20, 2014:  On the Lebanese border a suicide bomber attacked a Hezbollah controlled checkpoint and killed at least three Hezbollah gunmen and one civilian. Earlier in the day al Nusra announced that it had killed a Lebanese soldier it had captured. Al Nusra wants Hezbollah gunmen to withdraw from Syria.

 

September 19, 2014: Just across the Lebanese border a roadside bomb, apparently planted by Syrian Islamic terrorist rebels, killed two Lebanese soldiers.

 

Israeli intelligence believes that Syria has held onto some of its chemical weapons despite a 2013 deal that had them surrender those weapons in order to avoid NATO air attacks. The Israelis also believe Syria has stockpiled component chemicals for some chemical weapons and has the ability to quickly resume production. Earlier this year Israel announced that it believed that Syria again used chemical weapons on March 27th during two operations on the outskirts of Damascus.

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 11:30
Syrie: frappes de la coalition sur les jihadistes aux portes d'Aïn al-Arab

 

01 octobre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Beyrouth - La coalition menée par les Etats-Unis menait mercredi des frappes aériennes contre les positions des jihadistes du groupe Etat islamique (EI) qui sont arrivés aux portes de la ville syrienne kurde d'Aïn al-Arab, rapporte l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

 

La coalition américano-arabe a mené au moins cinq frappes aériennes contre les positions jihadistes sur la ligne de front qui les opposent aux Kurdes, à l'est et au sud-est de Kobané (nom kurde d'Aïn al-Arab), a indiqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH.

 

L'ONG n'a pas fait état de morts dans l'immédiat.

 

Les extrémistes de l'EI ne sont plus qu'à 3 km à l'est de cette troisième ville kurde de Syrie, d'après l'OSDH qui dispose d'un large réseau de sources civiles, médicales et militaires à travers la Syrie.

 

Des combats acharnés opposaient mercredi les jihadistes aux forces kurdes aux portes de cette ville frontalière de la Turquie et que les Kurdes défendaient farouchement, d'après l'ONG.

 

Au moins neuf combattants kurdes des Unités de protection du peuple (YPG) et un jihadiste de l'EI ont péri dans les combats durant la nuit de mardi à mercredi, selon l'OSDH.

 

Bien qu'inférieurs en nombre et en armement, les combattants kurdes refusent de se retirer et défendent farouchement leur ville, selon M. Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH. C'est pour eux une question de vie ou de mort, ajoute-t-il.

 

Des centaines de combattants kurdes font face à des milliers de combattants jihadistes, qui disposent en outre de chars, d'artillerie lourde et des lance-roquettes multiples de 220 mm, précise l'ONG.

 

Les Kurdes eux sont armés de kalashnikovs, de mitrailleuses lourdes soviétiques DShK et de lance-roquettes RPG, précise M. Abdel Rahmane.

 

S'ils faisaient sauter le verrou d'Aïn al-Arab, les jihadistes contrôleraient une longue bande territoriale continue au nord de la Syrie, le long de la frontière turque.

 

Leur assaut a entraîné un exode massif de la population, au moins 160.000 personnes ayant traversé la frontière pour se réfugier en Turquie depuis la mi-septembre.

 

Des miliciens du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) ont alors fait le chemin inverse pour aller prêter main forte à leurs frères syriens assiégés.

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 19:30
Fallait-il livrer des armes à la rébellion en Syrie ?

 

30 Septembre 2014 Par Loïc Simonet* – V.A.

 

* Loïc Simonet est chargé des relations extérieures d’une organisation internationale, auteur du "Traité sur le commerce des armes" (à paraître aux Éditions A. Pedone).

 

Alors que l’opinion publique internationale était sous le choc de l’assassinat du journaliste James Foley et que les États-Unis préconisaient l’éradication de l’État islamique jusque sur le territoire syrien, le président Hollande confirmait, lors d’un entretien dans le Monde du 21 août dernier, que la France avait livré ces dernières années des armes à la rébellion syrienne. Pourquoi cette pseudo-révélation procure-t-elle un sentiment de malaise ?

 

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 14:30
Turkey sends tanks to border as IS advances in Syria

 

30 September 2014 army-technology.com

 

Turkey has deployed tanks and armoured vehicles to reinforce its border with Syria after Islamic State (IS) militants advanced on Syria's Kurdish-controlled town of Kobani.

 

Nearly 30 Turkish tanks and armoured vehicles, some with their guns pointed towards Syrian territory, were moved to a military base located north-west of Kobani, after two shells and a stray fire from IS landed on Turkish soil, Reuters reported.

 

Turkish interior minister Efkan Ala said: "We have taken the border under full control. We have ramped up our security measures in the Suruc region."

 

Also known as Ayn al-Arab, Kobani was besieged by IS from three sides last week, forcing more than 150,000 Kurds to flee into Turkey.

 

Syrian Observatory for Human Rights founder Rami Abdulrahman said the IS fighters had advanced to within 5km of the town, and launched nearly 15 mortar rounds yesterday, killing at least one civilian.

 

The Turkish military reportedly fired back on 28 September after two mortar bombs crossed the border.

 

Having earlier refused to join a US-led anti-IS coalition, Turkey is set to submit motions to its parliament seeking approval to join the ongoing fight in Iraq and Syria against the terrorist group..

 

Turkish Parliamentary speaker Cemil Cicek was quoted by NTV television as saying: "The motions have not yet been sent to parliament. They may come tomorrow (Tuesday)."

 

Turkish President Recep Tayyip Erdogan said: "We will hold discussions with our relevant institutions this week.

 

"We will definitely be where we need to be. We cannot stay out of this."

 

According to Turkish Prime Minister Ahmet Davutoglu, the motions are expected to be debated on 2 October.

 

Ankara has also indicated that Turkish soldiers could be used to help set up a secure zone in Syria, if an international agreement to establish such a haven for refugees fleeing IS is signed.

 

The US and its Arab allies are continuing air strikes against IS in Syria, with the latest raids targeting the towns of Dayr ar Zawr, Ar Raqqah and Aleppo, as well as an area adjacent to an IS-held grain storage facility near Manbij, and Koniko Gas Plant located near the town of Khasham.

 

The air strikes reportedly destroyed IS vehicles and training camps, and injured some militants.

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29 septembre 2014 1 29 /09 /septembre /2014 05:30
Attaque de la coalition contre le principal complexe gazier de Daesh

Two U.S. Air Force F-15E Strike Eagle aircraft fly over northern Iraq Sept. 23, 2014, after conducting airstrikes in Syria - photo US Air Force

 

29.09.2014 Romandie.com (ats)

 

Les forces de la coalition dirigée par les Etats-Unis ont procédé tard dimanche en Syrie à des frappes contre le principal complexe gazier aux mains de l'Etat islamique. L'attaque "n'a pas fait de morts chez les jihadistes, mais quelques blessés", a annoncé une ONG.

 

"La coalition internationale a attaqué pour la première fois l'entrée et la salle de prières de l'usine Coneco", a précisé l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Cette usine, "sous le contrôle de l'EI, est la plus grande de Syrie", a ajouté l'ONG proche des rebelles syriens.

 

Selon l'OSDH, cette attaque avait pour but de pousser les militants de l'EI à abandonner ces installations. L'usine Coneco se trouve dans l'est de la Syrie, dans la province de Deir Ezzor, riche en pétrole et proche de la frontière irakienne.

 

Les Etats-Unis et un groupe de pays arabes, principalement du golfe Persique, ont commencé mardi à lancer des raids contre des positions jihadistes en Syrie, un mois et demi après le début des attaques contre l'EI dans l'Irak voisin.

 

Jusqu'à ce dimanche, les bombardements ont principalement visé des bases jihadistes et des raffineries artisanales utilisées par leurs militants, dans le dessein de tarir leur principale source de financement.

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27 septembre 2014 6 27 /09 /septembre /2014 13:30
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27 septembre 2014 6 27 /09 /septembre /2014 12:30
source Defence One

source Defence One

 

26 Septembre 2014 Larbi Amine - lemag.ma

 

Washington : Le site américain, Defense One, édité par le groupe médiatique US Atlantic Media et spécialisé dans les questions de défense et de sécurité nationale américaine, a publié une carte des alliés contribuant à la guerre contre ‘DAECH’ exclusivement en Syrie.

 

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26 septembre 2014 5 26 /09 /septembre /2014 12:30
source BBC MidEast

source BBC MidEast

 

26 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Damas - Les avions de combat américains et arabes ont bombardé vendredi pour le 3e jour consécutif des raffineries contrôlées par les jihadistes de l'Etat islamique (EI) en Syrie, alors que la Grande-Bretagne est sur le point de rejoindre la coalition contre ce groupe en Irak.

 

Dans le même temps, les Etats-Unis et la France ont maintenu la pression en Irak sur ce groupe extrémiste sunnite responsable d'atrocités, en menant des raids jeudi contre ses positions dans ce pays.

 

Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), une ONG s'appuyant sur un vaste réseau d'informateurs et de militants, les Etats-Unis et leurs alliés arabes ont lancé jeudi soir et vendredi matin de nouvelles frappes contre les installations pétrolières prises par l'EI dans la province de Deir Ezzor (est), près de la frontière avec l'Irak.

 

Des raids ont en outre visé vendredi un centre de commandement de l'EI dans les environs de la ville d'al-Mayadine dans la même province, ainsi que des installations pétrolières et une base de l'EI dans la province de Hassaka (nord-est), a précisé l'OSDH.

 

Les Etats-Unis et leurs alliés arabes d'Arabie saoudite et des Emirats arabes unis avaient frappé mercredi soir, pour la première fois, des raffineries contrôlées par l'EI en Syrie, avec l'objectif d'assécher l'une de ses principales sources de revenus.

 

Les jihadistes, qui contrôlent plusieurs raffineries en Irak et en Syrie, revendent le pétrole en contrebande à des intermédiaires des pays voisins, tirant selon des experts des bénéfices pouvant aller de 1 à 3 millions de dollars par jour.

 

- Vote du Parlement britannique -

 

Depuis leur début mardi, les frappes de la coalition en Syrie ont tué 141 jihadistes, dont 129 étrangers, selon l'OSDH, qui n'était pas en mesure de dire si les frappes de vendredi avaient fait des victimes. Parmi les étrangers, 84 étaient affiliés à l'EI.

 

Alors que le président américain Barack Obama a appelé mercredi le monde à se joindre au combat contre le réseau de la mort, le Parlement britannique s'apprête à voter en faveur d'une participation à la campagne aérienne en Irak, menée par les Etats-Unis et la France.

 

En convoquant les députés en session extraordinaire, le Premier ministre David Cameron les a appelés à ne pas être pétrifiés de peur à l'idée de commettre la même erreur qu'en 2003, lorsqu'ils avaient approuvé l'engagement britannique dans la guerre en Irak auprès des Etats-Unis, toujours très controversé.

 

Le texte qui sera soumis au vote autorise l'usage des frappes aériennes dans le cadre d'un soutien requis par le gouvernement irakien et précise que Londres ne déploiera aucun soldat britannique dans les zones de combat.

 

La fille de l'otage britannique David Haines, enlevé en Syrie et décapité par l'EI, a apporté son soutien à la participation des forces britanniques. L'EI doit être éradiqué, a déclaré Bethany Haines.

 

Son père avait été exécuté après la décapitation de deux journalistes américains, James Foley et Steven Sotloff, également enlevés en Syrie, dans des vidéos diffusées par le groupe extrémiste sunnite.

 

- Le meurtrier identifié -

 

Le FBI a annoncé avoir identifié le meurtrier des trois hommes, montré dans la vidéo et qui s'exprimait avec un accent britannique, sans révéler son nom.

 

Ces exécutions ont révulsé le monde et poussé M. Obama à annoncer le 10 septembre une stratégie pour détruire l'EI dans le cadre d'une vaste coalition regroupant une quarantaine de pays.

 

La mise en scène de l'exécution des trois otages occidentaux a été répétée par un groupe jihadiste lié à l'EI, Jund al-Khilafa, qui a diffusé mercredi une vidéo de la décapitation de l'otage français Hervé Gourdel, enlevé dimanche en Algérie.

 

Mais Paris a refusé de céder au chantage et a poursuivi ses frappes en Irak, alors que l'Algérie a mobilisé 3.000 militaires pour tenter de retrouver le corps de Hervé Gourdel et de neutraliser les assassins.

 

Plusieurs pays européens ont annoncé une plus grande participation à la coalition anti-jihadiste, comme les Pays-Bas et la Belgique qui ont mis des avions de combat F-16 à sa disposition. L'Australie a aussi déployé 600 militaires aux Emirats et livre du matériel militaire aux Kurdes d'Irak.

 

Selon les renseignements américains, plus de 15.000 combattants étrangers venus de plus de 80 pays ont rejoint ces groupes en Irak et en Syrie ces dernières années.

 

Alors que les pays occidentaux craignent de voir les jihadistes, une fois aguerris, revenir sur leur territoire pour organiser des attentats, le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté mercredi à l'unanimité une résolution imposant aux Etats, sous peine de sanctions, d'empêcher leurs citoyens de s'enrôler dans des groupes extrémistes.

 

Accusé de nettoyage ethnique et de crimes contre l'Humanité, l'EI est responsable de multiples exactions -viols, rapts, exécutions, crucifixions- dans le califat proclamé sur les régions qu'il a conquises en Irak et en Syrie.

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25 septembre 2014 4 25 /09 /septembre /2014 19:31
Mirage UAE Air Force

Mirage UAE Air Force

 

25 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Washington - L'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis, qui ont rallié la coalition anti-jihadistes emmenée par les Américains, ont joué un rôle majeur dans les dernières frappes aériennes menées en Syrie contre l'organisation Daesh, a affirmé jeudi le Pentagone.

 

10 des 16 avions qui ont bombardé mercredi soir des positions de Daesh en Syrie étaient saoudiens ou émiratis et ils ont largué 80% du tonnage total d'explosifs, a précisé le porte-parole du Pentagone, le contre-amiral John Kirby.

 

Les avions américains ont envoyé 18 des 23 bombes larguées lors de ces raids mais les deux puissances arabes ont utilisé des munitions plus puissantes, a-t-il ajouté.

 

Mercredi soir, les Etats-Unis, l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis ont frappé 12 raffineries contrôlées par l'EI dans l'est de la Syrie.

 

C'est la première fois que la coalition contre l'EI s'en prend à des installations pétrolières dans le but d'assécher la source principale de financement des jihadistes, qui revendent le pétrole en contrebande à des intermédiaires des pays voisins. L'organisation contrôle d'autres raffineries en Irak.

 

Le Pentagone a par ailleurs précisé avoir l'intention d'enquêter sur le nombre de victimes civiles, affirmant que les frappes avaient été soigneusement calibrées.

 

Nous n'avons pas de retours crédibles sur le nombre de civils tués ces trois derniers jours de raids aériens, a précisé le contre-amiral Kirby. Mais nous allons nous pencher dessus, a-t-il ajouté.

 

Depuis le 8 août, les Etats-Unis ont lancé près de 200 frappes aériennes contre des cibles du groupe Etat islamique en Irak.

 

Mais mardi, ils ont élargi leurs frappes contre des cibles de l'EI en Syrie, avec le soutien de cinq pays arabes (Jordanie, Qatar, Arabie Saoudite, Emirats arabes unis, et Bahrein). Cette coalition de cinq nations arabes conduisant simultanément des frappes aériennes avec les Etats-Unis, est du jamais-vu depuis des décennies dans un conflit au Moyen-Orient.

 

Ces opérations militaires font suite à une tournée du secrétaire d'Etat John Kerry il y a dix jours dans plusieurs pays arabes qu'il avait réussi à rallier, y compris pour des actions militaires, au sein de la coalition internationale contre le groupe EI.

Depuis le début de la semaine, le président américain profite de l'assemblée générale de l'ONU pour appeler à une plus large coalition internationale contre ce qu'il a appelé le réseau de la mort qui a proclamé un califat sur les régions qu'il contrôle en Irak et en Syrie.

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25 septembre 2014 4 25 /09 /septembre /2014 19:30
Les jihadistes visés au portefeuille par les frappes sur les raffineries

Photos released by the Pentagon show the Gbiebe Modular Oil Refinery in eastern Syria before (left) and after air strikes 25 Sept 2014

 

25 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Beyrouth - En ciblant 12 raffineries contrôlées par le groupe Etat islamique (EI), la coalition conduite par les Etats-Unis a voulu frapper les jihadistes au portefeuille, qui est le nerf de la guerre.

 

Quelle quantité de pétrole produit l'EI?

 

L'EI produit plus de pétrole que le gouvernement syrien. Le ministère syrien du Pétrole estime que les jihadistes extraient 80.000 b/j tandis que la production gouvernementale s'est effondrée à 17.000 b/j.

 

Cependant, selon Valérie Marcel, chercheuse associée à l'institut Chatham House de Londres, l'EI produit seulement 50.000 b/j en Irak et en Syrie.

 

Depuis juillet, l'EI contrôle la majorité de la province pétrolifère de Deir Ezzor, où se situe Al-Omar, ainsi que l'essentiel des champs pétroliers de la région, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

 

Des experts estiment que l'EI contrôle sept champs pétroliers et deux raffineries dans le nord de l'Irak et six des dix champs en Syrie.

 

Frappé par les sanctions occidentales depuis 2011 et la perte de ses champs pétroliers, le régime de Damas est obligé d'importer son pétrole, notamment d'Irak et d'Iran.

 

Quelles sont les raffineries visées'

 

Les 12 raffineries visées par les raids sont artisanales car les deux principales de Syrie se trouvent dans des zones contrôlées par le régime, à Homs (centre) et Banias (ouest). Fin 2013, leurs capacités s'élevaient à 240.000 b/j.

 

Pour Valérie Marcel, il y a une multitude de raffineries qui produisent entre 5 et 50 b/j.

 

L'armée américaine a précisé que les raffineries visées produisaient entre 300 et 500 barils de pétrole par jour, qui rapportent environ 2 millions de dollars quotidiens aux jihadistes.

 

Mais, selon le militant Leith al-Deiri, de Deir Ezzor, l'extraction dans les champs pétroliers a quasiment cessé depuis le début des frappes de la coalition.

 

Un autre militant, Rayan al-Fourati, ayant récemment fui Deir Ezzor, indique que les jihadistes maintiennent en activité les champs pétroliers et gaziers, les centrales électriques et les barrages qu'ils contrôlent en versant un supplément de salaire aux employés de ces infrastructures, qui continuent également à recevoir de l'argent du gouvernement syrien.

 

Un certain nombre d'employés sont restés à leur poste après avoir reçu des garanties qu'on ne leur ferait pas de mal. L'EI a également fait venir des ingénieurs libyens.

 

Combien cela rapporte-t-il à l'EI?

 

Il est difficile de l'évaluer en l'absence d'informations sur le prix auquel l'EI vend le baril, mais celui-ci est certainement inférieur au prix du marché qui tourne autour de 100 dollars.

 

Une porte-parole du ministère syrien du Pétrole a affirmé qu'une partie de la production était utilisée localement et une autre vendue à l'extérieur.

 

Le principal client, selon elle, est la Turquie, qui l'achète par des intermédiaires. Le gouvernement syrien a récemment mis en place une commission pour poursuivre en justice les acheteurs de ce pétrole.

 

Les tarifs varient entre 20 et 55 dollars par baril et les revenus se situent entre 1 et 3 millions de dollars par jour, selon Valérie Marcel, en précisant que le carburant est transporté par camion citerne vers les clients ce qui augmente son prix.

 

Le roi Abdallah II de Jordanie a récemment affirmé que les jihadistes de l'EI pouvaient produire en un an jusqu'à un milliard de dollars de produits pétroliers dérivés, ce qui signifie qu'ils pourront payer beaucoup de combattants étrangers et acheter des armes.

 

Fin juillet, les 15 pays siégeant au Conseil de sécurité avaient lancé une mise en garde en prévenant que tout achat de pétrole auprès de groupes comme l'EI ou le Front Al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda, pourrait entraîner des sanctions.

 

De tels engagements constituent un soutien financier aux terroristes et pourraient se traduire par de nouvelles sanctions, a prévenu le Conseil de sécurité.

 

source BBC Middle-East

source BBC Middle-East

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25 septembre 2014 4 25 /09 /septembre /2014 11:30
L'armée syrienne reprend aux rebelles une ville au nord de Damas

 

25.09.2014 Romandie.com (ats )

 

L'armée syrienne s'est emparée jeudi de la ville d'Adra, au nord de Damas, tenue par les rebelles depuis décembre 2013, a affirmé un haut responsable de la sécurité dans la capitale. L'armée contrôlait déjà la zone industrielle d'Adra, la plus grande de Syrie, et la partie de la ville qui longe l'autoroute reliant Damas à Homs.

 

"Depuis ce matin, l'armée a repris le contrôle de la ville ouvrière d'Adra et y a rétabli la sécurité", a affirmé cette source.

 

Les quartiers surnommés "Adra ouvrière", où vivaient avant le début des violences en 2011 quelque 20'000 personnes employées dans les usines, avaient été pris par les rebelles il y a neuf mois et ont été repris jeudi par l'armée, selon la source de sécurité.

 

Cependant, l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a affirmé que des combats se poursuivaient encore jeudi matin dans la ville ouvrière, composée de grands immeubles, et que les rebelles continuaient à contrôler "la vieille ville" d'Adra.

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25 septembre 2014 4 25 /09 /septembre /2014 10:30
Le budget de Daesh s'élève à un million de dollars par jour

 

25.09.2014 Romandie.com (ats)

 

Les Etats-Unis ont intensifié leurs frappes mercredi en Syrie, visant des raffineries contrôlées par le groupe Etat islamique (EI), au moment où le président Barack Obama appelait à l'ONU le monde à "s'unir" face à la menace jihadiste. L'opposition syrienne va elle recevoir 90 millions de dollars supplémentaires.

Mercredi soir, les Etats-Unis, l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis ont frappé 12 raffineries contrôlées par l'EI dans l'est de la Syrie, a annoncé le Pentagone. C'est la première fois que cette coalition réunie contre l'EI s'en prend à des installations pétrolières dans le but d'assécher la source principale de financement des jihadistes, qui vendent le pétrole en contrebande à des intermédiaires des pays voisins.

Le Pentagone a précisé que l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis avaient participé à ces frappes menées par des avions de combats et des drones aux alentours de Mayadine, de Hassaké et d'Abou Kamal, des communes de l'est de la Syrie. La Grande-Bretagne doit aussi participer, a estimé jeudi le Premier ministre David Cameron, et le Parlement va être appelé à se prononcer sur la question.

Un total de 13 frappes ont été menées contre une douzaine de raffineries pétrolières modulaires contrôlées par les combattants de l'EI, a dit le commandement central américain. Une quatorzième frappe a de son côté détruit un véhicule appartenant aux djihadistes.

 

Un million par jour

Rien ne permet pour l'instant d'établir avec certitude la quantité de pétrole vendue par l'EI. Selon Adam Sieminski, directeur de l'Agence d'information sur l'énergie (AIE), l'EI produit moins de 100'000 barils de brut par jour.

Nicholas Rasmussen, directeur adjoint du Centre national du contre-terrorisme, a déclaré en septembre devant le Congrès américain que les revenus de l'EI s'élevaient à environ un million de dollars par jour, alimentés par la vente de pétrole sur le marché noir, la contrebande, les pillages et les rançons versées en contrepartie de la libération d'otages.

 

Aide à l'opposition

Et le groupe des "amis de la Syrie", composé majoritairement de pays occidentaux et arabes, s'est engagé à fournir plus de 90 millions de dollars (84 millions de francs) d'aide à l'opposition syrienne. Elle se composera d'équipements non létaux et d'aide humanitaire.

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25 septembre 2014 4 25 /09 /septembre /2014 09:30
Le Conseil de sécurité lance la chasse aux jihadistes étrangers

 

24 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Nations unies (Etats-Unis) - Un Conseil de sécurité extraordinaire présidé par Barack Obama a adopté mercredi une résolution contraignante pour endiguer le flot des jihadistes étrangers en Syrie et Irak et contrer la menace qu'ils représentent pour leurs pays d'origine.

 

Ce texte adopté à l'unanimité impose aux Etats, sous peine de sanctions, d'empêcher leurs citoyens de s'enrôler dans des organisations extrémistes comme l'Etat islamique (EI).

 

Cette rare réunion au sommet était présidée par le président américain Barack Obama et rassemblait 27 autres chefs d'Etat et de gouvernement, dont le président français François Hollande et le Premier ministre britannique David Cameron.

 

La Russie et la Chine se sont ralliées à la résolution mais n'étaient représentées que par leurs ministres des Affaires étrangères.

 

En ouvrant la séance, M. Obama a exprimé sa solidarité avec la France après la décapitation d'un otage français enlevé par un groupe jihadiste lié à l'EI. Nous sommes avec vous et avec le peuple français alors que vous faites face à une terrible perte et que vous vous êtes dressés contre la terreur pour défendre la liberté, a-t-il déclaré, s'adressant à François Hollande.

 

La Conseil a aussi adopté une déclaration pour condamner fermement le meurtre lâche et haineux de Hervé Gourdel.

 

M. Obama a souligné que quelque 15.000 combattants étrangers venus de plus de 80 pays avaient rejoint ces dernières années les organisations extrémistes en Irak et en Syrie.

 

Une résolution ne suffira pas, a-t-il affirmé, il faut que les paroles prononcées ici soient suivies d'actions concrètes pendant les années à venir.

 

Pour M. Hollande, cette résolution est un message de fermeté et d'unité de la communauté internationale toute entière. La réponse (à l'EI) est militaire mais aussi économique ou humanitaire, a-t-il estimé en soulignant la nécessité d'assécher les sources de financement du terrorisme.

 

David Cameron a rappelé que 500 Britanniques figuraient parmi les jihadistes étrangers et que le combattant de l'EI qui avait décapité devant la caméra deux journalistes américains parlait avec un accent anglais. Il faut certes renforcer les contrôles, a-t-il dit, mais aussi combattre ceux qui prêchent la violence et répandent l'idéologie toxique de l'extrémisme.

 

Plusieurs chefs d'Etat africains comme le Tchadien Idriss Déby, le Nigérian Goodluck Jonathan ou le Rwandais Paul Kagame ont mis l'accent sur les groupes extrémistes opérant en Afrique et qui recrutent eux aussi des étrangers comme Boko Haram, Al-Qaïda au Maghreb islamique ou les shebab somaliens.

 

La résolution concerne tous les combattants terroristes étrangers même si elle vise surtout l'EI.

 

Elle avait été proposée par les Etats-Unis qui s'efforcent depuis des semaines de rassembler une coalition internationale contre l'EI. Washington mène depuis le 8 août des frappes aériennes en Irak, puis depuis mardi à l'aube en Syrie contre les positions de l'EI avec l'aide de cinq alliés arabes.

 

Aux termes de la résolution, les gouvernements seront tenus de prévenir et empêcher le recrutement et les déplacements d'individus qui tentent de se rendre à l'étranger dans le but de planifier ou de participer à des actions terroristes ou d'y recevoir un entraînement.

 

Le texte est placé sous le chapitre 7 de la charte des Nations unies qui prévoit des sanctions en cas de non-respect du texte.

 

Elle demande que tous les Etats membres s'assurent que leurs lois et règles nationales instaurent de lourdes sanctions pénales à l'encontre des jihadistes étrangers et des responsables de leur recrutement et de leur financement.

 

Les Etats devront aussi empêcher l'entrée ou le transit sur leur territoire de ces combattants étrangers, une disposition qui concerne notamment la Turquie, point de passage vers la Syrie.

 

Plusieurs pays européens, dont la France et le Royaume-Uni, ont déjà pris ou annoncé des mesures dans ce domaine. Ils craignent de voir les jihadistes, une fois aguerris, revenir sur leur territoire pour organiser des attentats.

 

Le Premier ministre turc Recep Teyyip Erdogan a affirmé que la détermination de la Turquie dans ce domaine ne saurait être mise en doute. Il a souligné que son pays, régulièrement accusé de complaisance envers les jihadistes qui transitent sur son territoire, avait expulsé plus de 1.000 combattants étrangers de 75 pays depuis le début du conflit syrien en 2011.

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25 septembre 2014 4 25 /09 /septembre /2014 09:30
Syrie: Washington, Ryad et les Emirats frappent des raffineries contrôlées par Daesh

An F/A-18E Super Hornet from the "Eagles" of Strike Fighter Squadron (VFA) 115 launches from the flight deck of the U.S. Navy's forward-deployed aircraft carrier USS George Washington (CVN 73). George Washington and its embarked air wing, Carrier Air Wing (CVW) 5, provide a combat-ready force that protects and defends the collective maritime interests of the U.S. and its allies and partners in the Indo-Asia-Pacific region. (U.S. Navy photo by Mass Communication Specialist Seaman Everett Allen/Released) Digital

 

25 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Washington - Les Etats-Unis, l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis ont bombardé mercredi soir 12 raffineries contrôlées par le groupe Etat islamique (EI) dans l'est de la Syrie, a annoncé le Pentagone.

 

Pour la première fois, cette coalition contre l'organisation EI a touché des installations pétrolières dans le but d'assécher la source principale de financement des jihadistes, qui revendent le pétrole en contrebande à des intermédiaires des pays voisins.

 

Ces raffineries produisent entre 300 et 500 barils de pétrole par jour, qui rapportent environ 2 millions de dollars quotidiens aux jihadistes, a précisé le commandement américain chargé du Moyen-Orient et de l'Asie centrale (Centcom) dans un communiqué.

 

Les frappes ont visé 13 cibles --dont 12 raffineries-- dans l'est de la Syrie, a ajouté le porte-parole du Pentagone, le contre-amiral John Kirby sur CNN.

 

La treizième cible était un véhicule de l'EI près de Deir Ezzor, qui a été détruit, selon le Centcom.

 

Ces installations, de petite taille, ont été touchées par des missiles de l'aviation de la coalition. En réalité, il y avait, lors de cette opération, davantage d'avions de la coalition que d'avions américains, a précisé M. Kirby.

 

Les jihadistes, qui contrôlent plusieurs raffineries en Irak et en Syrie, revendent du pétrole en contrebande à la Turquie, l'Irak, l'Iran et la Jordanie, via des intermédiaires.

 

Depuis le 8 août, les Etats-Unis ont lancé près de 200 frappes aériennes contre des cibles du groupe Etat islamique en Irak.

 

Mardi à l'aube, ils ont élargi leurs frappes contre des cibles de l'EI en Syrie, avec le soutien de cinq pays arabes (Jordanie, Qatar, Arabie Saoudite, Emirats arabes unis, et Bahrein).

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24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 16:30
Syrie: la Turquie n'a pas été utilisée pour les frappes de la coalition

 

24 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Ankara - Ni l'espace aérien de la Turquie ni sa base aérienne d'Incirlik (sud-est) n'ont été utilisés pour les frappes de la coalition dans la nuit de mardi à mercredi contre le groupe Etat Islamique (EI) en Syrie, ont affirmé des sources officielles turques à l'AFP.

 

Notre espace aérien et notre base n'ont pas été utilisés, a précisé l'une de ces sources sous couvert de l'anonymat. L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a pour sa part affirmé que des avions venus de Turquie avaient mené ces raids.

 

Il n'est pas question que la Turquie, son espace aérien ou sa base d'Incirlik aient été utilisés pour des raisons opérationnelles lors des raids de la coalition, a souligné un responsable de l'entourage du Premier ministre Ahmet Davutoglu

 

Ces frappes aériennes ont visé les positions des jihadistes dans les environs de la ville kurde d'Aïn al-Arab (Kobané en kurde), complètement encerclée par le groupe extrémiste, selon l'ODSH.

 

La poussée de l'EI dans cette zone a provoqué un afflux massif de quelque 140.000 civils vers la Turquie depuis la semaine dernière.

 

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré mardi que la Turquie pourrait apporter un soutien militaire aux opérations contre l'EI.

 

Nous apporterons le soutien nécessaire à cette opération. Ce soutien pourrait être militaire et politique, a dit le président turc à New York, où il assiste à l'Assemblée générale des Nations unies.

 

Membre de l'Otan, la Turquie, que Washington souhaite rallier à la coalition mise en place contre les djihadistes présents en Irak et en Syrie, était pour l'heure plutôt réticente à s'engager.

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24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 13:50
Syrie/Irak: le nombre de djihadistes européens en hausse (responsable UE)

 

PARIS, 24 septembre - RIA Novosti

 

Le nombre de jihadistes européens partis combattre en Syrie et en Irak a progressé ces derniers mois pour atteindre 3.000 personnes, a annoncé le coordinateur de l'UE pour la lutte contre le terrorisme Gilles de Kerchove cité par les médias occidentaux.

 

Selon le responsable, cette augmentation serait due à l'avancée sur le terrain du groupe extrémiste Etat islamique (EI) et à la proclamation en juin d'un "califat" sur les territoires irakiens et syriens passés sous son contrôle.

 

Ces combattants arrivent pour la plupart de France, de Grande-Bretagne, d'Allemagne, de Belgique, des Pays-Bas, de Suède et du Danemark, mais aussi d'Espagne, d'Italie, d'Irlande et désormais d'Autriche, a fait savoir M.de Kerchove.

 

L'EI, appelé autrefois l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), sévissait au départ principalement en Syrie où il combattait les troupes gouvernementales, s'imposant comme l'une des organisations terroristes les plus cruelles. Il y a quelques mois, l'EI s'est soudainement activé en Irak, s'emparant d'importants territoires. Depuis le 8 août, l'armée américaine porte des frappes aériennes contre les positions des djihadistes de l'EI en Irak.

 

Mardi matin, les Etats-Unis ont lancé des raids contre les combattants de l'Etat islamique, du Front Al-Nosra et de Khorasan en Syrie depuis des navires déployés en mer Rouge et dans le nord du golfe Persique.

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24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 13:30
Jihadistes présumés libérés: Le Drian critique une initiative malencontreuse d'Ankara

 

24 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Paris - Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a critiqué mercredi une initiative malencontreuse d'Ankara, après l'arrivée à l'aéroport de Marseille (France), sans être inquiétés, de trois présumés jihadistes français en principe attendus à Paris.

 

Parlant à la radio France Info de cafouillage, de couac, M. Le Drian assure qu'une solution sera vite trouvée, mais que l'initiative des autorités turques de changer (les jihadistes) d'avion a été malencontreuse.

 

Il a cependant reconnu qu'il y avait eu une défaillance du système de lecture des passeports à Marseille.

 

Il y a manifestement un gros cafouillage mais il est en grande partie dû aux difficultés, à l'absence de très bonne collaboration avec les services turcs. Ce cafouillage montre qu'il faut renforcer les relations, les méthodes et les actions avec les autorités turques, a dit le ministre.

 

Trois présumés jihadistes français de retour de Syrie via la Turquie sont rentrés mardi en France sans être inquiétés, alors que le ministère de l'Intérieur les attendait de pied ferme. Il avait même annoncé leur arrestation à l'aéroport parisien d'Orly, alors qu'ils ont débarqué à Marseille.

 

Parmi les trois hommes, se trouve le mari de Souad Merah, la soeur de Mohamed Merah, un jeune Toulousain, tué par la police en mars 2012 après avoir mené plusieurs expéditions au cours desquelles il avait tué sept personnes, dont plusieurs enfants dans une école juive.

 

Il n'empêche, a noté M. Le Drian, que depuis plusieurs jours, on arrête tous les jours des individus suspectés d'être dans ces filières jihadistes, ils sont arrêtés, mis en garde à vue, judiciarisés.

 

La vigilance est de tous les instants, selon lui.

 

Relancé sur une défaillance technique du système Cheops (Circulation hiérarchisée des enregistrements opérationnels de la police sécurisés), il a acquiescé : Il y a eu une panne à Marseille, je le sais.

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21 septembre 2014 7 21 /09 /septembre /2014 11:30
India’s Blind Spot on ISIS

 

September 21, 2014 By Kabir Taneja - TheDiplomat

 

So far, few Indians have joined the extremists, but gaps in New Delhi’s ability to track them are worrying.

 

The terrorist group Islamic State of Syria and the Levant (ISIS) or, as it likes to call itself, the “Islamic State,” has managed to attract Islamist fighters not just from the Middle East but all across the world.

According to data released by the International Centre for the Study of Radicalisation and Political Violence (ICSR), a London-based think tank, would-be jihadists from countries as far away as Australia and Norway have joined the ranks of the ISIS, which recently announced that the territory it controls, greater than the landmass of the United Kingdom, is now a “caliphate” led by the group’s elusive leader Abu Bakr al-Baghdadi.

According to ICSR, most of the overseas fighters populating the ranks of the ISIS have come from Tunisia (3,000 plus), Saudi Arabia (2,500 plus), and other regional Gulf members. However, the organization also notes that Western countries are also rapidly adding to the ISIS numbers, with France (around 700) and Britain (around 500) leading the pack. Even China has figured prominently, with more than 100 jihadists of Chinese origin thought to have fought with ISIS. According to latest estimates by America’s Central Intelligence Agency (CIA), the terror group may have up to 30,000 personnel under its command across Iraq, Syria, and possibly even beyond that.

 

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21 septembre 2014 7 21 /09 /septembre /2014 09:50
La Commission européenne parmi les cibles possibles de jihadistes retour de Syrie

 

 

20 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Bruxelles - La Commission européenne figurait parmi les cibles possibles de jihadistes revenus de Syrie, a annoncé samedi la chaîne de radio-télévision néerlandaise publique NOS.

 

Selon NOS, au moins deux des personnes arrêtées par les autorités belges venaient de La Haye.

 

Ils préparaient un attentat. L'une des cibles était le bâtiment de la Commission européenne à Bruxelles, indique NOS, citant des sources anonymes.

 

Les commissaires n'étaient pas visés individuellement. L'action devait ressembler à l'attaque du Musée juif (...) avec pour objectif de tuer un maximum de personnes, a ajouté NOS.

 

Le suspect dans l'attentat du Musée juif de Bruxelles au mois de mai, qui a fait quatre morts, est le Français Mehdi Nemmouche, qui avait passé plus d'un an en Syrie dans les rangs des extrémistes islamistes et qui est actuellement détenu en Belgique sous l'accusation de meurtre lié à une entreprise terroriste.

 

Nous sommes au courant de l'information a déclaré à l'AFP un porte-parole de la Commission. Nous sommes sûrs que les autorités nationales suivent l'affaire de manière appropriée.

 

Les bâtiments de la Commission à Bruxelles abritent plusieurs milliers de fonctionnaires dont les hauts responsables des responsables de la gestion au quotidien de l'Union et de ses 28 pays.

 

Bruxelles abrite également le quartier général de l'Otan et de plusieurs autres compagnies et organisations internationales mais les mesures de sécurité y adoptent un profil bas et sont discrètes.

 

Le journal belge L'Echo a rapporté plus tôt dans la journée que les autorités belges avaient empêché plusieurs attentats de jihadistes revenus au pays après avoir combattu en Syrie et qui sont des sympathisants du groupe État islamique (EI).

 

On estime à quelque 400 le nombre de personnes de nationalité belge qui sont allées se battre en Syrie, dont environ 90 sont rentrées, selon l'Echo.

 

Nous partons du principe que, parmi eux, un sur neuf a l'intention de commettre un attentat. C'est une évaluation conservatrice, quand on tient compte des gens qui peuvent leur venir en aide, a expliqué une source au journal.

 

Selon L'Echo, plusieurs personnes ont été arrêtées, mais les autorités ne veulent pas dévoiler quelles étaient les cibles potentielles, pour ne pas affoler le public.

 

La Belgique, comme d'autres pays européens, s'inquiète du nombre croissant de ses ressortissants qui vont combattre en Syrie et en Irak et risquent de rentrer au pays encore plus endurcis et radicalisés.

 

En juin, un tribunal a ordonné un procès contre 46 personnes soupçonnées d'être membres de Sharia4Belgium, un groupe islamiste radical accusé de recruter de jeunes combattants pour la Syrie.

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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 12:58
Général Sainte-Claire Deville - photo La Voix du Nord

Général Sainte-Claire Deville - photo La Voix du Nord

 

20.09.2014 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord.

 

Le général de corps d'armée Arnaud Sainte-Claire Deville s'est adressé ce matin, au quartier Kléber à Lille, au personnel du commandement des forces terrestres, dont il a pris la tête le 1er août en remplacement du général Bertrand Clément-Bollée.

Il nous avait reçu plus tôt dans la semaine pour évoquer cette continuité dans l'action (il a été chef d'état-major du CFT de 2010 à 2012). Et comme ses prédécesseurs, il attend avec impatience les concrétisations budgétaires de la Loi de programmation militaire...

 

[...]

Opération Barkhane

« Par rapport à Serval, l’environnement reste le même avec de grandes étendues désertiques. On n’a donc pas fondamentalement changé la préparation opérationnelle spécifique avec sur place, deux GTIA de force conventionnelle, le fuseau est sur le Tchad et le fuseau ouest, essentiellement le Mali. Qui interagissent avec les forces spéciales.

Irak-Syrie

« Il y a un certain nombre de sommets. Nous sommes à l’écoute. On planifie, on réfléchit mais sans aller au-delà pour le moment. Nous ferons ce que nous dirons de faire nos autorités politiques. Des matériels ont été livrés mais il n’y a pas de formateurs des forces terrestres en Irak. Des gens des forces spéciales oui mais pas de forces terrestres… »

[...]

 

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