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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 12:50
European Air Transport Command - Subcommittee on Security and Defence

 

13-03-2014 SEDE

 

The Subcommittee will exchange views on the European Air Transport Command with its Commander General Pascal Valentin.

 

When : 19 March 2014


Further information meeting documents

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 12:50
Tigre UHT. Photo Bundeswehr

Tigre UHT. Photo Bundeswehr

 

 

March 13, 2014: Strategy Page

 

Two years after the first ones arrived Germany recently received the last batch of four Tiger helicopter gunships modified for service in Afghanistan. These twelve ASGARD (Afghanistan Stabilization German Army Rapid Deployment) models included sand filters, additional defense systems, a mission data recorder, and communications gear able to deal with systems used by allies. Germany has been training Tiger crews intensively for the last few years, getting them ready for service in Afghanistan. The training has been intense as crews returning from Afghanistan warn that you have to be prepared if you are to survive out there.

 

There have also been teething problems with Tiger. For example all Tigers were grounded in March 2013 after one of them crashed and burned during a training accident in Germany. This was the third Tiger to crash so far, although none of the six crewmen involved were killed. Intense training continued despite the accidents. German troops in Afghanistan wanted this aircraft badly but delivery was delayed several times due to various problems. In addition to the ASGARD upgrades, there were problems with the wiring and a number of less serious shortcomings as well. When the first French Tigers arrived in Afghanistan in 2009 there were problems and that led to the German ASGARD program for German Tigers intended for Afghanistan. In 2009 Germany only had ten Tigers and all were being used for training. It took three years to create ASGARD Tigers and get some to Afghanistan.

 

Tiger is made by European firm Eurocopter and has shown up just in time in Afghanistan. Until the arrival of the French and German Tigers, American AH-64s provided gunship support for all foreign troops in Afghanistan. France has used Tigers in Somalia, and Mali, where they have performed well. Tiger has spent over 7,500 flight hours in combat zones so far and a hundred have been delivered. The major users are Germany, France (which has ordered 80), Spain (24), and Australia (22). A total of 206 Tiger helicopters have been ordered. So far Tigers have spent over 50,000 hours in the air, most of it for training.

 

The Tiger costs more (some models go for over $100 million, including R&D costs) than the AH-64, a ten ton gunship that has been in service since the 1980s. Tiger entered service in 2003. The six ton Tiger has a crew of two and a max speed of 280 kilometers an hour. It cruises at 230 kilometers an hour and usually stays in the air about three hours per sortie. It is armed with a 30mm automatic cannon, 70mm rocket pods (19 rockets per pod), and various types of air-to-ground missiles (eight Hellfire types at once). It can also carry four Mistral anti-aircraft missiles.

 

Germany appears to have lost some of its enthusiasm for Tiger and cut its order from 80 to 57. Germany has had a lot of problems with Tiger during the last few years. Besides, Germany has better uses for the money, like bailing out the many European nations having financial problems.

 

Warplanes: Tiger Makes Its Mark In Little Wars

In 2013 France received the first of 40 of the ground support (HAD) version of the Tiger helicopter gunship. In 2008 the German Army received its first Tiger HAD. This version of Tiger first entered service in 2005. The HAD version has 14 percent more engine power and better protection from ground fire than the original model. While earlier versions were mainly for anti-vehicle work, HAD is more like the current U.S. AH-64 Apache and optimized for ground support. Development of Tiger began in 1987, before the Cold War ended. So the anti-tank aspect took a while to disappear and get replaced by a gunship optimized for hunting and killing a large variety of targets.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 12:50
The forthcoming EU Maritime Security Strategy - SEDE

13-03-2014 SEDE

 

The Subcommittee will exchange views on the forthcoming EU Maritime Security Strategy with Didier Lenoir, acting Director of the Crisis Management and Planning Directorate, EEAS, and Beate Gminder, Head of Unit, Maritime Policy Mediterranean and Black Sea, DG MARE, European Commission.

 

When : 19 March 2014


Further information meeting documents

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 11:50
MBDA, un modèle industriel pour l'Europe de la défense ?

 

13 mars 2014 Par Hassan Meddah - Usinenouvelle.com

 

A l'occasion du lancement du programme de missiles anti-navire léger (ANL), MDBA adopte une nouvelle organisation industrielle. Elle assoit une dépendance mutuelle stratégique et industrielle entre la France et le Royaume-Uni.

 

L'Europe de la défense se fera peut-être par l'industrie. En particulier, en s'inspirant du nouveau modèle industriel du fabricant de missiles MBDA, filiale commune à Airbus group, l'italien Finmeccanica, et l'anglais BAE Systems. Ce modèle est basé sur une dépendance mutuelle que sont prêts à organiser entre eux les Etats européens eux-mêmes, en tout cas la France et le Royaume-Uni. A l'occasion du lancement du programme du missile anti-navire léger ANL, les gouvernements français et britanniques ont décidé d'entrer dans une nouvelle logique de partage de souveraineté et de dépendance mutuelle au niveau industriel. 

La raison est simple : aucun des deux pays ne peut plus maintenir sur le long terme l'effort nécessaire pour financer et développer les nouvelles technologies de missiles afin de disposer, chacun de leur côté de la Manche, d'une gamme complète de produits. L'idée est donc de se partager les compétences pour éviter la coûteuse duplication des bureaux d'études et des chaînes industrielles. Pour le programme ANL, l’industriel va s’appuyer sur 12 centres de compétences répartis sur les deux pays. Ainsi les sites français de MBDA ont l'expertise des calculateurs embarqués développée au Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine) et des bancs de tests installées à Bourges (Cher). Les sites anglais maîtrisent les technologies des actuateurs (les parties mobiles des missiles) et des systèmes de liaisons de données. Jusqu’ici, l’industriel prenait soin de dupliquer dans chaque pays l’ensemble des compétences pour assurer à chacun des deux pays de pouvoir assurer la production de missiles sur son territoire.

 

Partage des tâches

Ce partage des tâches s'appliquera non seulement aux programmes en coopération mais également aux programmes nationaux. Ainsi le futur missile moyenne portée (MMP) destiné à l'armée française embarquera des actuateurs anglais, et le programme britannique du Spear Capability s'appuiera sur un calculateur français. Avec cette nouvelle spécialisation industrielle et la mise en place d'une filière missile optimisée, les deux pays visent jusqu'à 30% d'économies sur les livraisons des futurs équipements. Il s'agit de faire face à la concurrence des groupes américains (Raytheon, Lockheed Martin) et israéliens (Rafael Advanced Defense System) mais également des acteurs émergents comme des industriels chinois qui ont récemment remporté l'appel d'offres turc pour un système de défense aérienne de longue portée.

 

Groupe intégré

Le nouveau modèle de spécialisation de MBDA est l'aboutissement d'une longue maturation industrielle, qui devrait avoir des impacts dans les deux pays. Le point de départ remonte au début des années 1990 avec lancement d'un premier programme entre français et britanniques - déjà ! - le Scalp Storm Shadow et la création de MBD (l’ancêtre de MBDA) avec la fusion des activités missilières de Bae Dynamics et de Matra Défense. Il y a encore 20 ans, l'Europe comptait encore six fabricants nationaux capables de concevoir et de produire des missiles et tous concurrents ! Ensuite la consolidation a opéré jusqu'en 2001, avec le rassemblement des activités de missiles des grands acteurs européens (Alenia Marconi Systems, Matra Bae Dynamics, EADS Aerospatiale Missile) créant MBDA. 

 

MBDA, un modèle industriel pour l'Europe de la défense ?

L'entreprise pèse aujourd’hui environ 3 milliards d'euros de chiffres pour un effectif de 10 000 salariés répartis entre l'Allemagne, la France, l'Italie, le Royaume-Uni et les Etats-Unis. Agissant comme un groupe intégré, il a abandonné l'organisation par pays. Ainsi les différents patrons des activités en charge des programmes ou des forces commerciales ont autorité sur l'ensemble des pays.

Mais l'histoire n'est pas finie... Pour amplifier cette organisation, il faudra encore convaincre l'Italie, l'Allemagne et l'Espagne de partager la vision industrielle du couple franco-britannique.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 08:55
L’Airbus A400M réalise ses premiers essais de largage

 

 

12.03.2014 Emilie Drab journal-aviation.com

 

Airbus Defence and Space a annoncé le 12 mars que l’A400M avait réalisé sa première campagne d’essais de largage. Ceux-ci ont été réalisés au-dessus de la zone de Fonsorbes, près de Toulouse.

 

Les essais ont compté onze vols sur deux semaines durant lesquelles l’A400M a parachuté différentes charges. Les 26 plus lourdes (de 255kg à 4 tonnes) ont été larguées par la rampe arrière (RAS-wedge) et les onze autres (pesant entre 15 et 320kg) par les portes prévues pour les parachutistes.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 08:40
ODK has presented its best designs to a British delegation


07.03.2014 Rostec

 

Hosted by representatives of the corporation ODK and held on the premises of SPC Gas Turbine Salute, an aerospace conference has taken place with the participation of British aviation companies.

The conference began with a tour of the Salute museum, which shows the entire history of the plant since its inception to the present day.

The British delegation was shown models of the best examples from the domestic motor industry, including PD-14, AL-31FN, AI-222-25, and others. The PD-14 engine is a civil turbofan engine project developed by several ODK enterprises. The Yak-130 aircraft uses the AI-222-25 engine series. To date, several engine modifications have been developed as well, including an engine with an afterburner and thrust vector control system. The AL-31FN engine is designed for the Su -27 airplane and related models.

Alexander Korshunov, director of marketing, sales and international industrial cooperation, discussed the enterprises and products of ODK. In his speech he also talked about future areas of cooperation with the UK aerospace industry.

Sergei Pavlinich, deputy general director of ODK, stressed the importance of partnerships between Russia and Britain in high-tech industries.
The British delegation was made up of representatives from companies specializing in high-tech manufacturing components, the design and development of advanced materials, equipment, and production technology. They also made a presentation about their products.

Among the British delegates visiting Salute were Barbara Habberjam, the Minister-Counselor for Economic Affairs, Trade, and Investment at the British Embassy, as well as David Scotter, the head of ADS GROUP LTD. They expressed their hope and willingness for further cooperation between Great Britain and Russia in the field of aerospace manufacturing.

The United Engine Corporation (ODK) has a integrated structure that produces engines for military and civil aircraft and also installs various capacities for the production of electricity and thermal energy, gas-compressor and gas turbine units for ships. ODK is part of the state corporation Rostec.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 07:50
Francine Closener, secrétaire d’État à la Défense, a rencontré Claude-France Arnould, Chief Executive de l’Agence européenne de défense

 

12.03.2014 gouvernement.lu

 

Francine Closener, secrétaire d’État à la Défense, a rencontré aujourd’hui Claude-France Arnould, Chief Executive de l’Agence européenne de défense (AED), en visite à Luxembourg le 12 mars 2014.

 

La secrétaire d’État a rappelé le soutien que le Luxembourg apporte au travail de l’Agence, dont l’expertise représente une plus-value pour tous les États participants.

 

Ont été explorées les opportunités pour le Luxembourg de s’insérer plus étroitement dans les domaines d’activité de l’Agence.

 

L’Agence européenne de défense, située à Bruxelles, vise à développer les capacités de défense dans le domaine de la gestion des crises, ainsi qu’à promouvoir et à renforcer la coopération européenne en matière d'armement. Elle a aussi pour but de renforcer la base industrielle et technologique européenne dans le domaine de la défense, d’agir dans le contexte d’un marché européen concurrentiel des équipements de défense, et de favoriser la recherche.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 07:50
Prague Extends Lease of 14 Swedish Gripen Fighters

 

Mar. 12, 2014 – Defense News (AFP)

 

PRAGUE — The Czech government on Wednesday renewed its lease on 14 Swedish fighter jets until 2027, its defense minister said.

 

The Czech army has been using the Gripen one- and two-seaters since 2005 under a 10-year contract worth around 20 billion koruna (€730 million, $1 billion).

 

“From now on Prague will pay an annual 1.7 billion koruna,” Defence Minister Martin Stropnicky said of the lease that kicks in next year.

 

He added that the aircraft would be upgraded under the contract. Sweden would also train 25 Czech pilots and 90 technicians.

 

A total of 166 Gripen fighters are used around the world, including 100 in Sweden, according to data from Swedish manufacturer Saab.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 19:50
Le 27e BCA et d'autres montagnards au-delà du cercle polaire norvégien pour l'exercice Cold Response 2014

 

11.04.2014 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord
 

Quatre cents chasseurs alpins du 27e BCA (bataillon de chasseurs alpins) de Cran-Gevrier près d'Annecy et d'autres éléments de la 27e BIM (brigade d'infanterie de montagne) sont depuis début mars en Norvège, au-delà du cercle polaire arctique, pour l'exercice Cold Response 2014 qui se déroule du 11 au 23 mars et réunit 16 000 soldats de seize nations (photo de l'entraînement, 27e BCA). Retour au froid originel pour les montagnards, très sollicités dans la chaleur de l'Afrique ces derniers temps...

 

L'exercice biennal Cold Response, créé par la Norvège en 2006, n'est pas une manœuvre de l'OTAN comme on pourrait le penser de prime abord. Il entre dans le cadre du Partenariat pour la Paix, des accords de coopération souples signés par l'OTAN en bilatéral avec des Etats non membres de l'Alliance. Comme ici, l'Irlande, la Suède, la Suisse. Les autres participants sont la Norvège, la Belgique, le Canada, le Danemark, l'Estonie, l'Allemagne, la France, la Lituanie, les Pays-Bas, la Pologne, l'Espagne, le Royaume-Uni et les Etats-Unis.

norvège,27e bca,annecyCôté français, 400 chasseurs alpins du 27e BCA de Cran-Gevrier près d'Annecy (on tourne tous les deux ans au sein de la 27e BIM), mais aussi une compagnie du 13e BCA de Barby près de Chambéry, des éléments du 2e REG (étranger génie) de Saint-Christol, du 93e RAM (artillerie de montagne), de l'état-major de la 27e BIM, du centre médical et de la compagnie de commandement et de transmission montagne (CCTM), tous de Varces, vont jouer les méchants (avec les Norvégiens) dans une campagne de haute intensité en conditions hivernales. On ne dira pas que ça pourrait servir avec ce qui se passe en Ukraine mais bon. Un peu de froid ne nuit pas, surtout quand on voit les chasseurs alpins en Centrafrique (13e BCA actuellement), au Mali (en Côte d'Ivoire en juin pour le 27e BCA)...

norvège,27e bca,annecyLes Français sont hébergés au camping de Malselvfossen et travaillent avec l'armée norvégienne au camp militaire de Skjold (carte Forces armées norvégiennes). Le 27e BCA s'est notamment déplacé avec des VAC (véhicules articulés à chenilles) et des motoneiges qui serviront en forêt, sur lac gelé. Même si les températures ne sont pas polaires (positives en ce début de semaine mais de -13° à -1° ce week-end selon les prévisions)...

Samedi 8 mars, les Français se sont rendus à Narvik pour la commémoration de la bataille du même nom, victoire glorieuse mais éphémère d'une expédition franco-britannique pour couper la route du fer des Allemands en avril et mai 1940.

Pour voir d'autres photos de la participation du 27e bataillon de chasseurs alpins à l'exercice Cold Response 2014, on vous conseille le riche album photos de sa page officielle Facebook.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 19:50
£20 million contract for new Royal Navy ships

An Amazonas Class offshore patrol vessel built for the Brazilian Navy [Picture: Copyright BAE Systems]

 

12 March 2014 Ministry of Defence and Defence Equipment and Support

 

The Ministry of Defence (MOD) has signed a £20 million contract to buy parts for the Royal Navy's 3 new offshore patrol vessels (OPVs).

 

It was announced in November last year that MOD would purchase the ships which will be built, subject to approval, by BAE Systems.

Today, 12 March, during a visit to the company’s shipyards on the Clyde in Scotland, Minister for Defence Equipment, Support and Technology Philip Dunne announced that MOD has committed £20 million to the programme.

The contract will enable BAE Systems to begin work on parts such as the engines and gearboxes, which require a longer time to make and therefore have to be ordered in advance of the main shipbuilding programme.

The Royal Navy’s OPVs are set to be built later this year by BAE Systems at their Clyde shipyards, which employ approximately 3,000 people.

Computer-generated image of the Royal Navy’s new OPV
Mick Ord, Managing Director at BAE Systems Naval Ships, and Defence Minister Philip Dunne view a computer-generated image of the Royal Navy’s new OPV [Picture: Copyright BAE Systems]

Mr Dunne said:

This £20 million is a significant milestone, critical to the successful delivery of these 3 vessels for the Royal Navy.

The OPVs will not only provide an additional capability for the UK but also, at its peak, the OPV programme will safeguard more than 800 vital skilled roles in the shipbuilding industry.

OPVs can be used to support counter-terrorism, counter-piracy and anti-smuggling operations in the waters around the UK and other UK interests abroad.

Compared to the current River Class ships, the new OPVs will be larger, with more storage and accommodation facilities and a larger flight deck for Merlin helicopters.

The first OPV is expected to be delivered to the Royal Navy in 2017.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 18:50
Kongsberg Has Signed A Contract for Upgrade of the Royal Norwegian Navy’s (RNoN) Proteus Simulator Infrastructure

 

 

March 12, 2014 defense-aerospace.com

(Source: Kongsberg; issued March 12, 2014)

 

The contract scope includes infrastructure upgrades and migration to a common PROTEUS simulation core for all the RNoN’s Kongsberg delivered simulators, new visual image generation, a generic HLA Evolved interface enabling further simulator participation in joint collaborative exercises and a new PROTEUS map centric instructor station.

 

The contract has a value of 49 MNOK and will be delivered to the RNoN training establishment KNM Tordenskjold at Haakonsvern naval base in 2016.

 

"This contract is the result of Kongsberg’s long and proven relationship with RNoN. RNoN’s decision to further upgrade and improve its PROTEUS based simulator infrastructure strengthens our position as supplier of simulator systems, and in this context this is a very important reference contract for Kongsberg", says Executive Vice President Leiv Inge Steig in Kongsberg Defence Systems.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 17:55
L’aviso LV Le Hénaff rencontre le 27ème BCA en Norvège

Les autorités militaires ont salué la mémoire de leurs glorieux prédécesseurs

 

12 Mars 2014 Marine nationale

 

Il y a 74 ans, en avril 1940, un corps expéditionnaire franco-britannique débarquait à Narvik (Norvège) pour couper la route du fer de l’Allemagne nazie. Ce premier succès avait insufflé le vent de la victoire aux Alliés.

 

Le 8 mars 2014, l’équipage de l’aviso LV Le Hénaff - présent sur place à l’occasion de l’entraînement « COLD RESPONSE »-, les chasseurs alpins du 27ème BCA d’Annecy et le fanion du 2ème REG se sont rassemblés devant la stèle qui commémore l’événement. Les marins et soldats d’aujourd’hui ont rendu hommage à tous leurs anciens qui sont tombés en Norvège. Quelques instants pour se recueillir dans un lieu chargé d’Histoire et de bravoure, où la Marine s’est illustrée en engageant un croiseur, 6 contre-torpilleurs et 3 torpilleurs, ainsi qu’une vingtaine de navires auxiliaires.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 17:50
Denmark selects M60E6 as new LMG

Denmark has selected the US Ordnance M60E6 as the Royal Danish Army's new light machine gun. Source: Royal Danish Army

 

10 March 2014 Remigiusz Wilk, Warsaw - IHS Jane's Defence Weekly

 

The Danish Defence Forces (Forsvaret) have selected the US Ordnance M60E6 machine gun (MG) to replace its ageing LMG m/62 (Rheinmetall MG3) 7.62 mm squad support weapons, it was announced on 7 March.

 

The M60E6 is the latest generation of the M60, first adopted by the US Army in 1957. The US weapon was selected over the Heckler & Koch HK121 I ('Infanterie'), a squad support variant of the German HK121 general purpose machine gun, following a trial programme.

 

The delivery of the first M60E6 MGs, to be called LMG m/14 in Danish service, is expected by the end of 2014.

 

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 17:50
Dutch Ministry of Defense signs secure voice agreement with Sectra

 

 

Mar 12, 2014 ASDNews Source : Sectra

 

The Dutch Ministry of Defense has signed an order with IT and secure communications company Sectra (STO:SECT B) for the encrypted mobile phone Sectra Tiger 7401. The device is used to protect voice and data communication from eavesdropping, also by other countries’ Security Agencies. The Ministry and Sectra have also extended their existing framework agreement for secure communication solutions for another two years. The order value is estimated to EUR 580,000.

 

The extended framework agreement with Sectra encompasses service and maintenance for the secure communication systems already in use at the Ministry. It also includes an option for Sectra Panthon, which is a smartphone app for secure voice and data communication and text messaging. Since Sectra Panthon and Sectra Tiger 7401 have been approved for different security classification levels, the individual security needs of the Ministry’s users will be easier to match.

 

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 17:50
Entre Ariane 5 ME ou Ariane 6, l'Europe devra-t-elle choisir ?

Le budget d'Ariane 6 s'établit à environ 3 milliards d'euros pour le développement du lanceur, à quoi s'ajoutent 750 millions pour le segment du sol

 

12/03/2014 Michel Cabirol – laTribune.fr

 

Selon le président du CNES, les conditions budgétaires des Etats membres de l'Agence spatiale européenne (ESA) pourraient exiger des arbitrages dans les programmes spatiaux.

 

La prochaine ministérielle des pays membres de l'Agence spatiale européenne (ESA), qui aura lieu en décembre prochain au Luxembourg, risque d'être compliquée entre Paris et Berlin sur la question des lanceurs. Mais selon le président du Centre national d'études spatiales (CNES), Jean-Yves Le Gall, auditionné fin février par la commission des affaires étrangères et de la défense du Sénat, l'Agence spatiale européenne (ESA) réfléchit à la façon de financer les deux programmes de lanceurs Ariane 5 ME et Ariane 6. Les Allemands soutiennent le programme Ariane 5 ME, une évolution d'Ariane 5 ECA tandis que les Français estiment que le futur lanceur Ariane 6 doit être la réponse à l'offensive agressive des États-Unis, qui déstabilise avec le lanceur Falcon 9 (SpaceX) le modèle opérationnel et économique d'Ariane 5.

La prochaine ministérielle des pays membres de l'ESA demandera donc un accord entre Paris et Berlin. Et Jean-Yves Le Gall en est conscient. Toutefois, "il faut bien être conscient, a-t-il expliqué devant les sénateurs, que le compromis trouvé à Naples, consistant à tout faire, ne semble pas tenable sur le plan budgétaire, compte tenu des limites imposées par les États membres. Nous devrons donc recourir à un scénario alternatif pour tenir nos objectifs stratégiques - maintenir notre accès à l'espace, un plan de charge conséquent pour nos bureaux d'études et tenir nos engagements budgétaires".

 

L'Allemagne soutient Ariane 5 ME

Dans ces conditions, la poursuite de tous les programmes - notamment Ariane 5 ME et Ariane 6 - paraît difficile à concilier avec les positions budgétaires des différents Etats membres de l'ESA. "L'Allemagne soutient Ariane 5 ME, qui lui paraît le meilleur lanceur face à la concurrence américaine et aussi, il ne faut pas se le cacher, parce que ce scénario est plus favorable à sa propre industrie", a expliqué Jean-Yves Le Gall.

Et de rappeler à ceux qui l'avait peut être oublié que les "voisins d'Outre-Rhin ont pu manquer de cohérence en retenant, comme ils l'ont fait, Falcon 9 pour le lancement de leurs propres satellites gouvernementaux d'observation...". Bonne ambiance. Pour autant, Jean-Yves Le Gall garde espoir sur un accord avec Berlin en attendant de voir "comment les choses évoluent avec l'arrivée de la nouvelle coordonnatrice spatiale pour la partie allemande".

 

Rome penche pour Ariane 6

L'Italie, de son côté, soutient Ariane 6, a souligné Jean-Yves Le Gall parce que "le nouveau lanceur utilisera de la poudre, grande spécialité de l'industrie italienne". Notamment sur le petit lanceur italien Vega. Mais il préfère rester prudent compte tenu de la situation gouvernementale italienne. "Les changements récents intervenus à la tête de l'ASI (Agence spatiale italienne, ndlr), laissent planer des incertitudes", a-t-il fait valoir. Et les autres pays membres de l'ESA ? Jean-Yves Le Gall a estimé que "la plupart des autres Etats membres comprennent bien l'utilité qu'il y a d'avancer vers Ariane 6".

A l'origine du programme Ariane 6, la France est "très attentive aux conséquences d'un changement de lanceur sur son industrie, ce qui la pousse, à ce stade, à financer l'exploitation d'Ariane 5 dans sa version actuelle, le développement de ME et aussi celui d'Ariane 6 ainsi qu'à rechercher la meilleure voie pour passer d'un lanceur à l'autre".

 

Où en est le programme Ariane 6 ?

Selon Jean-Yves Le Gall, le dossier Ariane 6 a "bien avancé, au-delà même de ce que j'imaginais en prenant mes fonctions (au CNES, ndlr) et je me félicite que les hypothèses financières initiales viennent d'être validées par les industriels, dans les offres qu'ils ont remises le 14 février". Car il a souligné que "les hypothèses centrales de coût - 3 milliards d'euros pour le développement et 70 millions d'euros par lancement - viennent d'être validées par les industriels, c'est un pas très important". Jean-Yves Le Gall peut être rassuré. Le programme Ariane 6 semble être sur la bonne orbite.

Le budget d'Ariane 6 s'établit à environ 3 milliards d'euros pour le développement du lanceur, à quoi s'ajoutent 750 millions pour le segment du sol. "L'objectif est que la France en finance 50 %, l'Allemagne 25 %, l'Italie 15 % et la Suisse et la Belgique, 5 % chacun", a révélé le patron du CNES. Le développement d'Ariane 5, qui a été guidé par la technologie, a coûté près de 10 milliards d'euros, dont 55 % à la charge de la France. L'ESA table sur une mise en service d'Ariane 5 ME pour 2018 et la France sur une Ariane 6 pour 2021.

 

Pourquoi Ariane 6 et pas Ariane 5 ME

Le retour de la concurrence américaine avec l'offensive très agressive de SpaceX et de son lanceur Falcon 9 contraint l'Europe à évoluer "plus rapidement que prévu". D'autant que SpaceX "rend nécessaire d'augmenter le soutien public à l'exploitation de la version actuelle d'Ariane 5" pour que le lanceur reste compétitif. Car SpaceX, avec son lanceur mono charge Falcon 9, vient de réussir trois vols - le 29 septembre, le 3 décembre et le 6 janvier derniers - et signe des contrats à des prix bien en-deçà d'Ariane 5. "Comme nous avons déjà réduit considérablement nos coûts, nous pouvons difficilement diminuer nos tarifs sans un supplément d'aide publique, ce qui ne pourrait se faire, à enveloppe constante, sans limiter l'aide aux autres parties du programme d'ensemble. Car c'est une donnée déterminante du dossier : les difficultés de la conjoncture se traduisent par une pression très forte sur notre budget, particulièrement en France", a rappelé le président du CNES.

Le coût de lancement d'un satellite est d'environ 100 millions d'euros et après subvention des Etats membres, de 100 millions de dollars, contre 60 à 70 millions de dollars pour le Falcon 9 de SpaceX, a-t-il précisé. C'est pourquoi l'ESA et le CNES ont fixé l'objectif d'Ariane 6 à 70 millions d'euros par lancement, en comptant sur l'avantage de fiabilité pour être compétitifs. "Nous héritons d'une forte expertise, nos capacités d'études sont largement reconnues, notre carnet de commandes est important : je suis convaincu que nous parviendrons à nos objectifs", a assuré Jean-Yves Le Gall.

 

Comment SpaceX pratique des prix low cost

SpaceX s'appuie sur les budgets publics américains : "celui de la Nasa, 17 milliards de dollars, celui de l'US Air Force, 18 milliards et celui qui est à discrétion du président américain, pratiquement autant, soit un total de près de 50 milliards, à comparer aux 4 milliards d'euros de l'Agence spatiale européenne, auxquels s'ajoutent 1 à 2 milliards pour les programmes militaires européens", a fait valoir le président du CNES.

Ce qui est l'inverse du modèle Ariane 5, qui doit recourir au marché commercial pour atteindre un prix compétitif. "Ce sont les commandes commerciales qui font vivre le lanceur européen et c'est ce modèle d'une souveraineté fondée sur le marché commercial, qui est aujourd'hui remis en cause", a constaté Jean-Yves Le Gall. Avec Ariane 6, l'objectif annuel est de quatre lancements institutionnels et de dix lancements commerciaux.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 17:50
Airbus A400M Successfully Completes First Airdrop Trials

An A400M test aircraft drops a range of different loads over a drop zone near Toulouse, France, as part of its ongoing military flight-test programme. (Airbus photo)

 

March 12, 2014 defense-aerospace.com

(Source: Airbus Defense & Space; issued March 12, 2014)

 

The A400M new generation airlifter has successfully completed one of the most important elements of its continuing military flight-test programme – the first phase of airdrop trials.

 

Flying over the Fonsorbes drop zone near Toulouse, an A400M development aircraft dropped a range of different loads by parachute during 11 flights over a two-week period.

 

In total it dropped 26 platforms and containers weighing from 255kg to 4 tonnes using the ramp aerial-delivery system (RAS-wedge), and 11 bundles weighing from 15kg to 320kg using the paratrooper doors.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 17:45
photo Nasa

photo Nasa

 

12-03-2014 SEDE

 

The Subcommittee jointly with the Committee on Foreign Affairs will debate the situation in the Horn of Africa with Alexander Rondos, EU Special Representative for the Horn of Africa, before visiting the EU Missions in Djibouti the week after.

 

When : 19 March 2014


Further information meeting documents

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 17:40
Un réveil russe pour l'Otan ?

 

12.03.2014 par Laurent Marchand - Tout un monde
 

L'aggravation de la crise ukrainienne, depuis quelques semaines, a ravivé les tensions entre la Russie et l'Occident. En guise de riposte à l'intervention russe en Crimée, les Etats-Unis et l'Europe ont jusqu'ici évoqué essentiellement des rétorsions de type politique ou économique. Retrait des travaux préparatoires du G8 de Sotchi, exclusion de la Russie de ce même G8, sanctions économiques et financières ciblées. Or, l'Occident ne peut plus feindre d'ignorer les répercussions stratégiques de la crise ukrainienne. S'il est impropre de parler d'une nouvelle guerre froide, l'Otan n'en est pas moins interpelée dans sa raison d'être : la protection de ses membres. Lundi, des avions de reconnaissance ont été déployés en Pologne et en Roumanie.  Mardi 11 mars, les Etats-Unis ont entamé des exercices militaires à proximité de l'Ukraine en compagnie d'autres pays de l'Otan, et notamment de la Pologne, voisin occidental de la Biélorussie.  Mercredi, des manœuvres  entre les forces navales américaines, bulgares et roumaines ont commencé en mer Noire. Ces manoeuvres  étaient prévues avant la crise en Ukraine. Elles soulignent désormais le soutien apporté aux pays de l'Otan proches de la Russie. Simple signal destiné à rassurer les alliés et montrer les muscles de l’Alliance à Moscou, ou faut-il y voir un réveil ? Et si Poutine était en train de redonner à l’Otan sa raison d’être… De réveiller une Alliance qui ne savait plus exactement à quoi elle servait... Extraits

 

Sur le site de l’Alliance Atlantique, une page est consacrée aux relations entre l’Otan et l’Ukraine.  Il y est rappelé que ces relations sont régies par une charte de partenariat spécifique, qui date de 1997. Que le 27 février, les ministres de la défense de l’Otant ont affirmé suivre "de très près" la situation en Ukraine :  « Une Ukraine souveraine, indépendante et stable, fermement attachée à la démocratie et à l'état de droit, est essentielle à la sécurité euro-atlantique. » Cette déclaration fait écho à un point clé de la Charte de 1997. Les ministres de la Défense ont ajouté que « les Alliés continueront d'apporter leur soutien à la souveraineté et à l'indépendance de l'Ukraine, à son intégrité territoriale, à son évolution démocratique et au principe de l'inviolabilité des frontières, facteurs clés de la stabilité et de la sécurité en Europe centrale et orientale et sur l'ensemble du continent »

 

Dans un article paru hier dans le quotidien américain Wall Street Journal   (qui n'est pas un journal connu pour sa sympathie pour les colombes), Jim Thomas, vice-président du Center for Strategic and Budgetary Assessments à Washington, estime que l'Otan a désormais les coudées franches pour installer, dans les pays membres frontaliers de la Russie, des forces nucléaires non stratégiques. En somme, l'invasion de la Crimée autorise selon lui l'Otan à revenir sur ses engagements de 1997 vis-à-vis de Moscou. A rompre aussi avec la faiblesse de ses réactions après l'invasion russe de la Géorgie, en 2008.

 

1° Selon Jim Thomas, une première étape pourrait être de rendre les F16 polonais à même de transporter aussi bien des armes conventionnelles que des armes nucléaires.

2°, l'Otan devrait renforcer selon lui les allies frontaliers de la Russie, en prenant en considération le stationnement permanent de forces en Pologne, en Roumanie comme dans les États baltes. Cela afin de renforcer le système de défense et de dissuader Moscou de céder à la tentation d'empiéter sur leur souveraineté  au nom de "la protection des minorités russes".

3°, l'Otan devrait sérieusement considérer l'hypothèse d'une assistance militaire indirecte de l'Ukraine (à sa demande) si la Russie attise la crise dans les régions orientales du pays 

4°, les Etats-Unis et leurs alliés au sein de l'Alliance devraient selon l'auteur revoir leur refus de fournir des armes de combat aux groupes modérés de l'opposition syrienne.

5° enfin, la crise ukrainienne devrait amener l'administration Obama a revoir sa ligne stratégique sur le "leading from behind", sur la remise des compteurs à zéro avec Moscou et l'élimination de toutes les armes nucléaires dans le monde. 

 

Jim Thomas de conclure : "Les dirigeants à Washington et en Europe ont laissé les défenses de l'Otan se détériorer à tel point que M. Poutine semble penser pouvoir agir en toute impunité. Il est plus que temps de reconstituer ces défenses, et les manoeuvres ukrainiennes de Poutine doivent en être le catalyseur."

 

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→   Lire également ce papier de la Fondation Schuman sur les relations Otan-Ukraine depuis 1991

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 16:50
Général Henri Bentégeat : "L'Europe de la défense bien insuffisante mais indispensable"

 

11.03.2014 par Henri Weill - Ainsi va le monde !


Mali, Centrafrique, l'Europe combien de divisions ? Vladimir Poutine encourt-il aujourd'hui, une réaction politique coordonnée des Européens sur le dossier ukrainien ? Des Européens qui ont du mal à se mettre d'accord compte-tenu des intérêts économiques de certains d'entre eux en Russie.Quant à la menace militaire de l'UE, elle n'existe pas. 
Voilà les questions dictées par l'actualité. Interrogation de fond, interrogation récurrente, pourquoi une Europe de la défense est-elle si difficile à mettre en place ? 
Voici des éléments de réponse fournis, dans cette interview à Ainsi va le monde, par le général Henri Bentégeat qui fut chef d'état-major particulier du président de la République (1999-2002), chef d'état-major des armées (2002-2006) puis jusqu'en 2009, président du Comité militaire de l'Union européenne.

Q- Parler de l’Europe de la défense, est-ce évoquer un « sujet maudit » ?
H. Bentégeat- L'Europe de la défense est, en effet, un sujet maudit en ce sens qu'il n'est jamais abordé sereinement sans préjugés et sans anathèmes. La vérité est que très peu de ceux qui s'expriment savent ce dont ils parlent. On additionne les désaccords politiques ou industriels des Européens, on assimile les moyens aux buts, on constate que la France fait cavalier seul et on en conclut que l'Europe de la défense n'existe pas. On ignore ou on oublie que l'Union européenne a conduit six opérations militaires en dix ans et lancé plus de vingt missions civilo-militaires.

Q- L’UE est-elle dans un état de léthargie stratégique ?
HB- Hubert Védrine a évoqué, en effet "la léthargie stratégique" dont souffrirait l'Europe. Comment lui donner tort quand on constate que la plupart de nos partenaires ne se sentent même plus les garants de leur propre sécurité dont ils ont abandonné la responsabilité à l'OTAN, en fait aux Etats-Unis. Seuls le Royaume-Uni et la France, membres permanents du Conseil de sécurité des Nations-Unies, ont une vision stratégique et la volonté de s'impliquer dans les affaires du monde. L'Allemagne y vient tout doucement, par l'angle économique surtout.

Q- Notre bouclier : l’OTAN, l’Union européenne. Vous utilisez à ce propos une formule bien ciselée : « Agir dans le cadre de l’OTAN, c’est nécessaire mais insuffisant. Agir dans le cadre de l’UE c’est insuffisant mais indispensable… ». Comment gommer les insuffisances au temps des budgets en diminution et des compromis extrêmement difficiles à trouver ?
HB- Oui, l'OTAN est nécessaire à la défense et à la sécurité de l'Europe, mais elle n'est pas suffisante. Et l'Europe de la défense est bien insuffisante mais elle est indispensable pour garantir nos intérêts spécifiques, parce qu'elle seule a les moyens de traiter globalement les crises. Ses insuffisances sont politiques (divergences de vues sur L'Afrique ou les marches orientales du continent) ou militaires (capacités individuelles ou collectives). Comment trouver les compromis politiques et limiter les conséquences de la baisse continue des budgets militaires?  Impossible à 28. Il faut donc cultiver un noyau dur de nations désireuses d'aller plus loin. Le triangle de Weimar, France, Allemagne, Pologne, est le plus prometteur...

Suite de l'entretien

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 12:55
Le Groupe Nexter reçoit à Roanne une délégation d’industriels danois


Roanne, 11 mars 2014 – Nexter Group

 

Le Groupe Nexter reçoit à Roanne une délégation d’industriels danois invitée par la Danish Defence and Security Industries Association (Forsvars- & Aerospaceindustrien i Danmark – FAD)

 

Dans le cadre de sa stratégie d’internationalisation et de son offre au Danemark, le Groupe Nexter organise, dans son centre de production de Roanne, une journée d’échanges avec quinze sociétés danoises sur les thèmes de la conception, la production et la maintenance des véhicules militaires notamment le VBCI. Ce dernier est actuellement en compétition au Danemark pour le programme APC-R visant à remplacer la flotte de véhicules M113 en service.


Organisée en partenariat avec la FAD ainsi que l’ambassade du Danemark, cette journée vise à la constitution d’une véritable « équipe Danemark » qui sera en mesure de proposer des solutions parfaitement optimisées au regard des besoins des forces danoises. Elle permettra également d’assurer un partenariat étroit avec l’industrie danoise dans une vision de bénéfices mutuels sur le long terme.


En accord avec la stratégie commerciale du Groupe pour les années à venir, cette journée démontre une fois de plus toute l’implication de Nexter dans la conquête de nouveaux marchés à l’export et le développement de partenariats gagnants-gagnants avec les industriels locaux.

 

Téléchargez le communiqué de presse

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 12:50
Ariane 5 ECA vol 171 Crédits ESA CNES Arianespace

Ariane 5 ECA vol 171 Crédits ESA CNES Arianespace

 

12/03/2014 Cercle Finance

 

Saft a de nouveau obtenu, auprès de la division Space Systems d'Airbus Defence and Space, un contrat de plusieurs millions d'euros pour la fourniture de systèmes de batteries embarqués.

 

Ces systèmes équiperont les 18 prochains lanceurs Ariane 5 ECA dans le cadre du futur programme de vols spatiaux de la société de lancement de satellites commerciaux Arianespace.

 

Pour chaque lanceur, Saft fournira 16 systèmes de batteries qui alimenteront les éléments critiques, comme l'étage principal cryotechnique, les étages d'accélération à poudre et la case à équipements.

 

Ce contrat est une continuation des commandes passées en 2005 et en 2009 dans le cadre desquelles Saft a fourni toutes les batteries pour un total de 65 lanceurs Ariane 5 ECA.

 

Toutes les batteries destinées à ces lanceurs seront conçues et fabriquées sur le site spécialisé Saft à Poitiers en France, la première livraison étant prévue en 2016 et la première mise en orbite en 2017.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 12:50
Pour guider ses choix industriels, MBDA veut se détacher de toute considération politique

 

12 mars 2014 Par Julien Bonnet - Usinenouvelle.com


Le missilier européen MBDA, détenu par Airbus Group, l'italien Finmeccanica et le britannique BAE Systems, va adopter une organisation industrielle davantage basée sur l'excellence technologique et moins sur des considérations politiques, affirme ce mercredi 12 mars le quotidien économique Financial Times. Ce changement de stratégie doit être confirmé le 19 mars prochain.

 

Se détacher des considérations politiques pour gagner en efficactité industrielle. C'est la volonté du missilier européen MBDA, affirme un article du Financial Times publié mardi 11 mars. Détenue par les groupes européens Airbus Group, italien Finmeccanica et britannique BAE Systems, l'entreprise avait jusqu'ici tendance à répartir la charge de travail de ses unités en fonctions de considérations politiques.

MBDA va donc adopter une organisation industrielle davantage basée sur l'excellence technologique et moins sur ces considérations politiques, écrit le FT. Le quotidien britannique explique notamment que les futurs missiles MBDA seront à l'avenir construits dans les douze centres d'excellence que l'entreprise est en train de créer, en particulier en France et en Grande-Bretagne. A l'heure actuelle, MBDA dispose de quatre de ces centres, dont deux en Grande-Bretagne (actionneurs de commandes de vols, connectique) et deux en France (équipements de tests, ordinateurs embarqués).

Toujours selon le FT, ce changement de stratégie devrait être présenté par le patron de MBDA, Antoine Bouvier, le 19 mars prochain. Son actionnaire Airbus Group, qui a longtemps connu une telle situation, s'est depuis affranchi des tutelles politiques pour adopter une organisation industrielle intégrée, comparable à celle de ses principaux concurrents. Un exemple que souhaite visiblement suivre le missilier européen.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 12:50
New system to help with Personnel Recovery missions is gaining maturity

 

Brussels - 11 March, 2014 European Defence Agency

 

A new system demonstrator designed to help European Armed Forces deal with Personnel Recovery operations is now available for testing and training. The system – known as the Personnel Recovery Functional Area Service (PR FAS) Demonstrator – is part of the EDA’s work to close the interoperability gap in Personnel Recovery in European Armed Forces. The system is being used in training for the first time at the EU Personnel Recovery Controller and Planner Course (PRCPC) in Karlsborg, Sweden this month.

The PR FAS Demonstrator is a combination of software and a server designed specifically for use in situations involving Personnel Recovery. The device is rugged and portable and works on a ‘plug and play’ basis, so it can be used by just connecting it to a laptop or can be integrated into the command and control (C2) system of the force using it.

Work on the project will continue - focusing on integrating the PR FAS into national C2 systems and further incremental development and improvement. The device is therefore available to participating Member States for further testing and development and the results of the original work have already been disseminated for national evaluation. The project is part of the EDA’s role in improving the capability and interoperability of the European Armed Forces in Personnel Recovery. This involves not only the development of new systems but also improving training and coordination. 

Personnel Recovery is aimed at mitigating and reacting to the risk of isolation, capture, and exploitation of military or civilian personnel during a Crisis Management Operation (CMO).

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 12:50
Airbus DS présente le PZL 130 Orlik MPT

Roll out de l’avion d’entrainement militaire PZL 130 Orlik MPT dans l’usine PZL (Airbus Defense & Space) de Varsovie

 

11 mars Aerobuzz.fr

 

Airbus Defense and Space (ex Airbus Military) a présenté, le 11 mars 2014, dans l’usine PZL de Varsovie, l’avion d’entraînement militaire PZL 130 Orlik MPT (Multi Purpose Trainer). Il s’agit d’une nouvelle version « Glass cockpit » du biplace développé par le constructeur polonais PZL passé depuis sous le contrôle d’Airbus. Ce nouveau modèle est une évolution de l’Orlik TC II Garmin actuellement en service dans l’armée de l’air polonaise. Le cout de développement de l’Orlik MPT est de 9,5 M€. Airbus Defense and Space estime à 16.000 unités sur les 10 ans à venir, le marché pour ce type d’avion d’entrainement polyvalent.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 08:50
EDA Annual Conference Update: Roundtables on Capabilities & Defence Industry

 

Brussels - 11 March, 2014 European Defence Agency

 

Less than three weeks before the Agency’s Annual Conference “European Defence Matters”, high-level speakers have confirmed their attendance at the two prestigious roundtables on defence capabilities and the state of research & innovation in the European defence sector.

 

Speakers at the first roundtable will discuss ways for Europe to provide for future defence capabilities. The Agency is delighted to welcome Ine Eriksen Søreide, Norwegian Minister of Defence, Norway, General Patrick de Rousiers, Chairman of the EU Military Committee, General Sverker Göranson, Swedish Chief of Defence, Tim Rowntree, Director of OCCAR and Alexander Vershbow, NATO Deputy Secretary General to the discussion.

Investment in research is an investment in the future. The decline in defence budgets however often does not leave much room for maneuver. In the second high-level roundtable, policy and industry leaders will be discussing the state of the European defence industry and prospects for the future.

Confirmed speakers are: Michael Gahler, Member of the European Parliament, Committee on Foreign Affairs & Subcommittee on Security and Defence; Hakan Buskhe, President and Chief Executive Officer of SAAB; Bernhard Gerwert, Chief Executive Officer of Airbus Defence & Space; Holger Becker, Chief Executive Officer of Microfluidic ChipShop  and Jenny Body, President of the Royal Aeronautical Society

 

Background

On 27 March 2014, around 400 European defence stakeholders are expected to attend the EDA Annual Conference. Major figures in defence cooperation as well as leaders from the military, politics and industry will engage in highly interactive panel debates and keynote speeches with plenty of opportunities for the audience to contribute to the discussion.

The conference will be opened by Claude-France Arnould, Chief Executive of EDA followed by keynote speeches by Catherine Ashton, Head of the Agency, and Dimitris Avramopoulos, Greek Minister of Defence.

This year’s main panels are entitled: “European Defence Capabilities: Pool it or Lose it?” and “Securing the future: Research & innovation at the point of no return?” A free debate on the role of EDA in the fabric of European defence cooperation including Pieter de Crem, Belgian Vice-Prime Minister and Minister of Defence, as well as focus sessions on EDA’s cooperative projects and programmes complement the agenda.

 

Follow live

Access to the conference is upon invitation only. If you want to stay up-to-date with the discussions, follow us on twitter (@EUDefenceAgency) #defencematters.

For more information about the EDA’s 2014 Annual Conference, visit the dedicated webpage.

 

More information:

 

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