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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 20:50
Germany and War : Understanding Strategic Culture under the Merkel Government

 

11/03/2014 Sophia Becker - IRSEM

 

Synthèse

 

L’objectif de cette étude est d’analyser les attitudes de l’Allemagne vis-à-vis de l’usage de la force pendant la période du gouvernement de Merkel entre 2005 et 2012. Ont-elles connu un changement notable? Afin d’examiner le comportement allemand en matière de sécurité et de défense, le concept de culture stratégique sera utilisé comme cadre théorique. Ce concept permet de refléter la politique de sécurité et de défense en incluant des spécificités historiques, institutionnelles, normatives et idéologiques concernant la menace, l’usage et la perception de la puissance militaire. L’auteur avance que la culture stratégique de l’Allemagne est constituée de deux éléments fondamentaux, l’antimilitarisme et le multilatéralisme, ces derniers continuant d’influencer la politique étrangère allemande. Ces deux éléments sont, cependant, entrés en conflit, et par conséquent, la politique de securité allemande fait face à un dilemme inhérent à sa culture stratégique. Les décideurs allemands sont alors dans une situation délicate, puisqu’ils doivent réconcilier deux éléments contradictoires de leur culture stratégique. Les changements récents de la situation internationale ont augmenté les pressions extérieures sur l’Allemagne afin qu’elle s’engage davantage sur la scène internationale; alors qu’au même moment, des expériences telles que la guerre en Afghanistan ont terni l’image de la Bundeswehr considérée auparavant comme une force œuvrant pour le bien et ont accru le scepticisme vis-à-vis des inverventions militaires. Ces changements ont intensifié le conflit inhérent à la culture stratégique de l’Allemagne et ont ainsi complexifié davantage la politique de sécurité de l’Allemagne.

 

Abstract

 

The aim of this study is to analyse whether German attitudes towards the use of military force have undergone significant change during the time of the Merkel government between 2005 and 2012. In order to shed light on recent German security behaviour, the concept of strategic culture will be used as the theoretical framework. This concept enables to reflect on security and defence policy by including specific historical, institutional, normative, and ideational predispositions with regard to the threat, use, and perception of military force. The author suggests that German strategic culture is made up of two fundamental elements, antimilitarism and multilateralism, which continue to inform Germany's foreign policy. The two elements have, however, entered into a conflict, so that Germany faces a security policy dilemma inherent to its strategic culture. This fact puts German foreign policy makers in a delicate situation of having to reconcile two contradictory elements of their own strategic culture. Recent developments of the international environment have increased the external pressure for more German responsibility while experiences like the war in Afghanistan tarnished the Bundeswehr's image as a "force for good" and caused the scepticism towards military interventions to grow. These developments intensified the inherent conflict of German strategic culture and made the formulation of German security policy all the more complicated.

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 20:40
La Crimée déclare l'indépendance, Russes et Américains discutent chacune de leurs propositions

 

11 mars 2014 19h41 Romandie.com (AFP)

 

SIMFEROPOL (Ukraine) - Les autorités séparatistes de Crimée ont fait un pas de plus vers le rattachement à la Russie en adoptant mardi une déclaration d'indépendance, alors que Russes et Américains discutent de leurs propositions concurrentes pour sortir de la crise.

 

Parallèlement, les Européens, Britanniques et Français en tête, ont évoqué de nouvelles sanctions. Et la chancelière allemande, Angela Merkel, a parlé devant des parlementaires allemands d'annexion de la Crimée, dérobée par la Russie.

 

Au Parlement régional de la Crimée, la presqu'île à majorité russophone où Moscou a envoyé des milliers d'hommes, 78 des 81 députés ont adopté une déclaration d'indépendance visant à préparer le rattachement à la Russie.

 

Les parlementaires ont notamment évoqué le précédent de l'indépendance du Kosovo, reconnue par l'ONU, pour justifier leur démarche.

 

La République de Crimée sera un État démocratique, laïc et multinational, qui s'engagera à maintenir la paix et l'entente inter-ethnique et interconfessionnelle sur son territoire, indique la déclaration.

 

Un référendum est prévu dimanche sur le rattachement à la Russie. Ensuite, la Crimée s'adressera à la Fédération de Russie pour y être admise sur la base d'un accord intergouvernemental idoine en tant que nouveau sujet de la Fédération.

 

La Russie a immédiatement adoubé la déclaration d'indépendance de la Crimée, la qualifiant d'absolument légale.

 

Moscou en a profité pour retourner l'exemple de l'indépendance du Kosovo contre les Occidentaux en rappelant que la Cour internationale de justice avait considéré à l'époque qu'une déclaration unilatérale d'indépendance d'une partie d'un Etat ne violait aucune norme du droit international.

 

Le vote des parlementaires intervient alors que les forces russes contrôlent désormais les points stratégiques de la péninsule ukrainienne. Tout est en place pour une sécession rapide de la péninsule: le Premier ministre, Serguiï Axionov, s'est autoproclamé chef des armées et les 2 millions de Criméens, majoritairement russophones, ont vu les chaînes russes remplacer les chaînes ukrainiennes sur leur poste de télévision.

 

Des hommes en treillis fouillent tout voyageur arrivant à Simféropol en provenance du nord et seuls les vols en provenance de Moscou peuvent y atterrir.

 

La région est de facto interdite aux responsables et observateurs internationaux. Mardi, l'ONU a annoncé que son émissaire en Ukraine, Ivan Simonovic, avait renoncé pour le moment à s'y rendre.

 

- Propositions russes et américaines concurrentes -

 

A la veille d'un déplacement à Washington du Premier ministre ukrainien, Arseni Iatseniouk, qui va chercher l'aide du président américain, Barack Obama, à cinq jours du référendum en Crimée, l'incompréhension est totale entre Russes et Occidentaux.

 

Le Premier ministre britannique, David Cameron, a averti qu'il y aurait des sanctions dures si Moscou ne change pas de cap. Le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a agité la menace de nouvelles sanctions dès cette semaine.

 

Mais, globalement, le dialogue de sourds qui a succédé à l'intense activité diplomatique de la semaine dernière ne laisse pas présager d'une possible sortie de crise.

 

Washington et Moscou campent sur leurs positions et sur leurs idées concurrentes de sortie de crise. Les Etats-Unis ont accusé le Kremlin de ne pas tenir compte des propositions sur la table après que Moscou eut avancé ses contre-propositions.

 

Signe de détente, cependant: Moscou a indiqué mardi que les chefs de la diplomatie des deux pays, Sergueï Lavrov et John Kerry, avaient discuté de leurs propositions concrètes visant à assurer la paix en Ukraine.

 

Ils ont échangé leurs avis sur les propositions concrètes de la Russie et des Etats-Unis pour assurer la paix civile et la concorde dans ce pays, a indiqué le ministère dans un communiqué, sans donner de détails.

 

- Ianoukovitch espère rentrer à Kiev -

 

Le président déchu, Viktor Ianoukovitch, réfugié en Russie depuis qu'il a été renversé en février après trois mois de contestation pro-occidentale, qui a fait une centaine de morts à Kiev, a réaffirmé être le président légitime de l'Ukraine.

 

L'ancien président est apparu devant les caméras pour la deuxième fois depuis sa chute. Se posant en seul président légitime de l'Ukraine, il a toutefois semblé en désaccord avec le Kremlin en disant regretter que la Crimée se détache de l'Ukraine.

 

Dès que le permettront les circonstances -- je suis certain qu'il ne faudra pas attendre longtemps -- je reviendrai forcément à Kiev, a-t-il assuré, appelant la communauté internationale à cesser de soutenir un coup d'État perpétré par une clique composée d'ultra-nationalistes et de néo-fascistes.

 

Le pays va se ressaisir et retrouver son unité, a-t-il encore déclaré, alors que la direction russe a semblé appuyer la perspective d'une partition du pays et a estimé que M. Ianoukovitch n'avait plus d'avenir politique.

 

Pour sa part Vladimir Poutine voit sa stratégie saluée par les Russes, selon les instituts de sondage, qui donnent au président russe un record de popularité depuis sa réélection en 2012. Plus de deux tiers des Russes approuvent sa politique.

 

- Manoeuvres militaires -

 

Dans ce contexte tendu, le ministre ukrainien de la Défense, Igor Tenioukh, a annoncé des manoeuvres militaires. Les Ukrainiens sont prêts à défendre leur État, a-t-il dit.

 

Sur le plan économique, la Banque mondiale (BM) a déclaré être prête à apporter jusqu'à 3 milliards de dollars d'aide à l'Ukraine cette année pour lui permettre de faire face à ses graves difficultés financières.

 

Et la Commission européenne a proposé de fortes réductions des tarifs douaniers, pour un montant évalué à quelque 500 millions d'euros par an. Cette facilité douanière s'ajoute au plan d'aide massif d'un montant d'au moins 11 milliards d'euros, sous forme de prêts, de dons et d'avantages commerciaux.

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 17:50
New system to help with Personnel Recovery missions is gaining maturity

 

Brussels - 11 March, 2014 European Defence Agency

 

A new system demonstrator designed to help European Armed Forces deal with Personnel Recovery operations is now available for testing and training. The system – known as the Personnel Recovery Functional Area Service (PR FAS) Demonstrator – is part of the EDA’s work to close the interoperability gap in Personnel Recovery in European Armed Forces. The system is being used in training for the first time at the EU Personnel Recovery Controller and Planner Course (PRCPC) in Karlsborg, Sweden this month.

 

The PR FAS Demonstrator is a combination of software and a server designed specifically for use in situations involving Personnel Recovery. The device is rugged and portable and works on a ‘plug and play’ basis, so it can be used by just connecting it to a laptop or can be integrated into the command and control (C2) system of the force using it.

 

Work on the project will continue - focusing on integrating the PR FAS into national C2 systems and further incremental development and improvement. The device is therefore available to participating Member States for further testing and development and the results of the original work have already been disseminated for national evaluation. The project is part of the EDA’s role in improving the capability and interoperability of the European Armed Forces in Personnel Recovery. This involves not only the development of new systems but also improving training and coordination.

 

Personnel Recovery is aimed at mitigating and reacting to the risk of isolation, capture, and exploitation of military or civilian personnel during a Crisis Management Operation (CMO).

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 17:50
MOD announces preferred private sector bidder to join DIO

A Challenger 2 main battle tank crosses Salisbury Plain during an exercise [Picture: UK MoD]

 

10 March 2014 Ministry of Defence and Defence Infrastructure Organisation

 

MOD is a step closer to bringing in a strategic business partner to help improve the running of the 230,000-hectare defence estate.

 

 

The Ministry of Defence has announced Capita, working in conjunction with URS and PA Consulting, as its preferred bidder in the competitive procurement of a strategic business partner for the Defence Infrastructure Organisation (DIO) – the organisation which manages and develops the defence estate.

The 10-year contract, worth around £400 million, will help transform the facilities and services that allow our armed forces to live, work, train and deploy on operations. It also has the potential to deliver substantial savings for the taxpayer, which could reach over £300 million a year during the period of the contract.

Defence Secretary Philip Hammond said:

Working with a strategic business partner will bring in private sector expertise to enhance the Defence Infrastructure Organisation and deliver value-for-money and potentially hundreds of millions of pounds of savings for the taxpayer.

This is another step along the way in implementing Lord Levene’s reforms and will allow us to tap into the innovation and expertise of the private sector so that we can deliver the best possible infrastructure and services for our armed forces.

Runway resurfacing at Royal Naval Air Station Culdrose
Runway resurfacing at Royal Naval Air Station Culdrose [Picture: Crown copyright]

The key areas where a strategic business partner will provide the greatest benefit and additional capability include:

  • developing a strategic plan to help identify potential savings and commercial opportunities
  • improving access to market-competitive knowledge and skills
  • better access to private funding for key efficiency improvements
  • improving how change is managed across the Defence Infrastructure Organisation

Capita, URS and PA Consulting have been selected as the preferred bidder after a thorough and robust procurement process. The Defence Infrastructure Organisation will now consult further with trade unions and it is expected the contract will be awarded in spring 2014.

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 17:35
UK and Australian Foreign and Defence Ministers meeting

 

11 March 2014 Foreign & Commonwealth Office and Ministry of Defence

 

Foreign and Defence ministers of the UK and Australia meet in London this week for the annual Australia-UK Ministerial (AUKMIN) meeting.

 

Foreign Secretary William Hague and Defence Secretary Philip Hammond will meet Australian Foreign Minister Julie Bishop and Defence Minister David Johnston to discuss foreign, defence and security policy challenges and opportunities for further joint cooperation.

During the visit, the Foreign Ministers will sign a Joint Statement on Enhanced Diplomatic Network Cooperation, which will enable diplomatic networks to share best practice and develop new initiatives in areas such as consular crisis training, IT and property cooperation. This will provide for efficiencies and cost savings for both countries.

The Ministers will also discuss the UN Security Council agenda, challenges around conflict and crisis response and developments in the Asia Pacific region, with particular focus on areas where UK and Australia can work more closely together or share resources. They will review and reaffirm the importance of intelligence cooperation and will discuss the current situation in Ukraine.

Defence-related discussions will focus on developing interoperability between our respective Armed Forces, building on the close relationship most recently fostered in Afghanistan and Iraq. Another critical element of these talks will be opportunities for collaborating on defence engagement in the Asia Pacific region.

Australia and the UK will ramp up their development cooperation by signing a new Partnership Arrangement, committing to an annual Development Dialogue and intensifying collaboration in shared priority areas, including leveraging the private sector and aid for trade, gender equality and women’s empowerment, and humanitarian response.

Also at the talks, the ministers will formally launch a new dialogue on Asia, involving foreign policy experts from the UK and Australia. Based on a partnership between the British Ditchley Foundation and the Sydney-based think tank, the Lowy Institute for International Policy, the first meeting will take place at Ditchley Park in June. Its aim will be to promote our common interest in a stable and prosperous region.

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 16:55
MBDA missile ‘turning point’ for European defence co-operation

 

March 11, 2014 By Carola Hoyos, Defence Correspondent – Ft.com

 

It took three years of negotiations, and a meeting between a president and a prime minister, for Antoine Bouvier finally to begin to run his company like a normal chief executive.

 

On January 31 at a Royal Air Force base in Oxfordshire, UK Prime Minister David Cameron and French President François Hollande agreed to fund jointly an attack helicopter missile made by MBDA, Europe’s biggest missile maker with a turnover of around €3bn.

 

Up until now Mr Bouvier has had to put up with the competing demands, secrecy and political U-turns of MBDA’s biggest customers, the governments of France, Britain, Italy and Germany. They have now accepted that, for missile technology, they have to “share it or, lose it”, Mr Bouvier says, detailing changes he will announce to investors on March 19.

 

Following the January summit, MBDA – owned by pan-European Airbus, BAE Systems of the UK and Italy’s Finmeccanica – can inch closer towards building the missile the way BMW builds a car, or Philips a razor.

 

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 16:50
USS George H.W. Bush in Greece - photo US Navy

USS George H.W. Bush in Greece - photo US Navy

 

MOSCOU, 11 mars - RIA Novosti

 

L'exercice naval qui devait débuter mardi en mer Noir, réunissant la Bulgarie, la Roumanie et les Etats-Unis, a été différé d'un jour en raison des mauvaises conditions météorologiques, indique un communiqué mis en ligne sur le site du ministère bulgare de la Défense.

Conçu pour assurer la sécurité en mer Noire, cet exercice devait se tenir dans les eaux territoriales de la Roumanie. Il réunira une frégate bulgare, trois bâtiments de guerre roumains et le destroyer américain USS Truxtun équipé de missiles télécommandés. Ce dernier navire fait partie du groupe aéronaval d'attaque formé autour du porte-avions USS George H.W.

L'USS Truxtun, qui opère dans la zone de responsabilité de la 6e Flotte américaine, est un destroyer de classe Arleigh Burke. Il possède un système d'alerte et défense Aegis doté d'antimissiles et de missiles de croisière Tomahawk.

Le commandement de l'US Navy a auparavant souligné que les manœuvres en mer Noire avaient été programmées avant les événements en Crimée.

Cette péninsule peuplée principalement de Russes n'a pas reconnu la légitimité des nouvelles autorités installées à Kiev et a décidé d'organiser le 16 mars un référendum sur son futur statut politique.

Ce référendum a été qualifié d'illégitime par le nouveau gouvernement ukrainien, ainsi que par Londres et Washington.

Parallèlement à la présence navale bulgare, roumaine et américaine en mer Noire, l'armée de terre ukrainienne s'est massée à Kherson, aux abords de la Crimée.

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 13:50
Exploring Safe Design & Operations for European UMS

 

by European Defence Agency

 

  • Date of the Event: 27 March 2014

 

The workshop will be a major forum focusing on the discussion of latest developments and on the exchange of recent experiences in the field of safety of Unmanned Maritime Systems. It will bring together end users and various stakeholders from industry, research institutes and governmental organisations.

The workshop is supported by European Defence Agency and the the working group on Safety and Regulations for European Unmanned Maritime Systems (SARUMS) whose aim is to provide European navies with a best practice framework for the handling, operations, design and regulations of Unmanned Maritime Systems. 

The workshop will take place on 27 March 2014 in the EDA premises in Brussels. Participants are invited to register by sending a registration form (see below) to CAT(a)eda.europa.eu by 21 March 2014.

 

More information:

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 12:55
Coup d'envoi pour TLP 2014

 

11/03/2014 Lieutenant-colonel Galy - Armée de l'air

 

Lundi 10 mars 2014, sur la base aérienne d’Albacete au sud-est de l’Espagne, a débuté le deuxième stage Flying Course du Tactical Leadership Program (TLP) marqué par une forte participation des aviateurs français.

 

Durant quatre semaines, l’armée de l’air prend part à l’exercice et met en œuvre de nombreux moyens aériens : trois Rafale des bases aériennes de Saint-Dizier et de Mont-de-Marsan, deux Mirage 2000D de Nancy, deux Mirage 2000N d’Istres, deux Mirage 2000 C d’Orange, deux Alphajet de Dijon et deux Caracal de Cazaux. Outre le personnes navigant et le personnel mécanicien, le dispositif français est composé de spécialistes du renseignement et de la guerre électronique. Concernant les activités Personnel Recovery (récupération de personnel isolé), elles sont conduites par le commando parachutiste de l'air n°30 (CPA 30) de Cazaux. Au total, 180 aviateurs sont présents sur la base aérienne espagnole. L’aéronavale participe également avec deux Rafale Marine, deux Super Etendard et deux Hawkeye.

 

Particularité de cette seconde édition : l’engagement de moyens aériens de plusieurs nations européennes, dont l’Espagne. Ainsi, quatre F18, un C295, un DA20, deux C101 et deux Puma espagnols sont déployés aux côtés de quatre F16 grecs, un C130J danois, deux H212 italiens, un E-3A AWACS et un A310 MRTT (Multi-rôle transport and tanker) allemands.

Coup d'envoi pour TLP 2014
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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 12:50
Des boîtes noires en série sur les Airbus Helicopters

Fourni par Appareo, l’enregistreur équipera à terme tous les hélicoptères Airbus. photo Appareo
 

10 mars 2014 par Thierry Dubois – Aerobuzz.fr

 

Airbus Helicopters a décidé de doter tous ses modèles d’un petit enregistreur fourni par l’Américain Appareo. Objectif : une sécurité améliorée à un coût abordable.

 

Airbus Helicopters va progressivement équiper tous ses hélicoptères d’un enregistreur d’images et de données de vol. C’est déjà le cas de tous les monoturbines AS350 Ecureuil sortis depuis début 2013. Les prochains sur la liste sont l’EC130 T2 et l’EC135, sur lesquels le système est déjà certifié.

 

Le petit Vision 1000, codéveloppé avec Appareo, enregistre quatre images par seconde et le bruit ambiant. S’y ajoutent un GPS et une centrale à inertie qui donne les angles de roulis, tangage et lacet. L’appareil est fixé au plafonnier, derrière les têtes des pilotes, de façon à voir le tableau de bord et l’extérieur.

Il permettra ainsi de généraliser l’enregistrement des données de vol sur hélicoptère. Car les CVFDR – les classiques « boîtes noires », très complètes et résistantes mais chères – ne sont obligatoires que pour le transport public de passagers au-delà d’une certaine masse au décollage. En pratique, dans la gamme Airbus, seuls les Dauphin et les Super Puma sont concernés. « Nous voulons aller plus loin que la réglementation pour être innovants et proposer un nouveau standard de sécurité, » explique Gilles Bruniaux, responsable de la sécurité des hélicoptères en service chez Airbus Helicopters. Il assure que le surcoût sera acceptable.

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En généralisant les enregistreurs, Airbus Helicopters assure viser un nouveau standard de sécurité.  photo Appareo

D’autant que le rapport prestation/prix, par rapport à un CVFDR, est vu comme avantageux. « On a moins de paramètres et la résistance au crash et au feu est moins bonne mais cela reste très intéressant : l’image donne des indications sur la météo, les obstacles et les actions du pilote  », poursuit Gilles Bruniaux.

On peut utiliser le Vision 1000 comme moyen de prévention, en faisant de l’analyse des vols avec un logiciel spécifique. Un bémol dans ce cas : il n’existe pas d’obligation d’analyse des vols chez les petits opérateurs. « Nous comptons sur leur bonne volonté », reconnaît Gilles Bruniaux. Il espère créer des incitations grâce à un partenariat avec une compagnie d’assurance.

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En matière de prévention, on peut analyser les données de vol afin de « rejouer » un vol et détecter d’éventuels problèmes. photo Appareo

L’enregistreur léger doit aussi être une source d’information importante dans une enquête après un accident. Airbus Helicopters a ainsi décidé d’installer, à terme, ce type d’enregistreur sur toute sa gamme. Car, même sur les appareils déjà munis de CVFDR, l’apport de l’image devrait le rendre utile dans les enquêtes.

Le système complet pèse environ 300 grammes. Il est intégré en une seule unité ; il lui faut juste deux câbles pour l’alimentation et l’antenne GPS, indique Gilles Bruniaux. On peut envisager une installation a posteriori pour quelques milliers d’euro.

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 20:50
Le Conseil autorise les États membres à ratifier le traité sur le commerce des armes

 

Bruxelles, le 4 mars 2014 7190/14 (OR. en) PRESSE 112

 

Le 3 mars, le Conseil a adopté une décision autorisant les États membres de l'UE à ratifier le traité sur le commerce des armes.

 

Avec l'adoption de cette décision autorisant les États membres à ratifier le traité dans l'intérêt de l'Union européenne, le Conseil achève les procédures internes de l'UE qui ont reçu l'approbation du Parlement européen le 5 février 2014. Étant donné que le traité sur le commerce des armes couvre certains domaines qui relèvent de la compétence exclusive de l'UE et comme l'UE elle-même ne peut pas être partie au traité (seuls des États pouvant y être parties), il était nécessaire, pour que les États membres de l'UE puissent ratifier le traité, qu'une décision de l'UE soit prise les y autorisant.

 

L'adoption de la décision du Conseil permet désormais aux premiers États membres de l'UE qui sont en mesure de le faire de déposer leurs instruments de ratification à New York, ce qui favorisera considérablement l'entrée en vigueur du traité. En effet, ce traité, adopté par l'Assemblée générale des Nations unies en avril 2013, n'entrera en vigueur qu'après cinquante ratifications.

 

Mme Catherine Ashton, Haute représentante de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité et vice-présidente de la Commission, a déclaré que la décision rendrait possible une première série de ratifications nationales, ce qui contribuera à l'entrée en vigueur rapide du traité sur le commerce des armes. L'UE apporte de longue date son soutien au traité. Elle continuera de le faire après son entrée en vigueur afin de favoriser la mise en œuvre effective, de manière à ce que soit apportée une amélioration concrète incitant à une plus grande responsabilité en matière de transferts d'armes.

 

Une fois que le traité sera entré en vigueur, il sera extrêmement important de veiller à ce qu'il soit effectivement mis en œuvre et de préférence par autant de pays que possible. Face à de tels enjeux, l'UE a adopté, en décembre 2013, dans le cadre de la décision 2013/768/PESC du Conseil, un programme de mesures ambitieuses et concrètes destinées à appuyer la mise en œuvre dans des pays tiers. Ce programme aidera un certain nombre de pays tiers à renforcer leurs systèmes de contrôle des transferts d'armements pour leur permettre de répondre aux exigences du traité. Des efforts seront par ailleurs déployés sans relâche pour établir le dialogue avec les pays qui ne sont pas encore parties au traité.

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 19:50
Finland orders training simulators from Saab

 

 

LINKOPING, Sweden, March 10 (UPI)

 

The Finnish Defense Force has ordered training and simulation systems from Saab Training & Simulation of Sweden under a contract worth nearly $56.5 million.

 

Saab said the contract covers regimental training and includes anti-tank simulators, vehicles simulators and systems for military operations in urban terrain. The contract also covers a midlife upgrade of the Finish combat training center and its systems.

 

Systems support from Saab for seven years is also part of the deal, Saab said.

 

"The Finnish Defense Force has once again chosen Saab as its partner," said Henrik Hojer, Saab's vice president of Training & Simulation. "The Finnish Army has used Saab's systems for more than 10 years and has always been a competent user.

 

"This order strengthens our position as one of the world's leading suppliers of combat training centers."

 

Additional details on the systems to be supplied and delivery schedules for them were not disclosed.

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 18:56
Airbus Defense and Space launches AuroraGlobal, its new high throughput satcom services

 

10 March 2014 astrium.eads.net

 

AuroraGlobal provides unmatched high throughput services set to address the growing needs of markets including government, maritime and enterprise

 

This new offer, available today, provides the best value next generation satcom-enabled solutions using Airbus Defense and Space’s global multi-band network

 

Following the recent creation of Airbus Defense and Space, the company launched the AuroraGlobal high throughput services for government, maritime and enterprise markets at Satellite 2014 in Washington DC as a response to increased bandwidth demand. This new portfolio of high throughput services – featuring Ku-, X-, and Ka-bands – provides increased throughput, without the need to change antenna systems.

 

Evert Dudok, Head of Communications, Intelligence & Security at Airbus Defense and Space, announced at Satellite 2014: “AuroraGlobal is now available and is setting new standards for high throughput services to provide the best value on the market. With this offer, Airbus Defense and Space is bringing its customers one step closer to next generation satcom whether it be military or commercial satellites such as Inmarsat’s Global Xpress and Intelsat’s Epic NG.”

 

It can provide enhanced X-band capabilities and performance for civil and military government purposes, dramatically increasing throughput up to four times more than current services using existing terminals, and enabling greater throughput via new smaller terminals, in line with growing operational needs. For instance, recent trials with hardened Skynet satellites at Airbus Defense and Space have proven that a 60-cm X-band terminal can support more than 70Mbps of throughput. Separate tests using the SCOT5 1.5-m naval terminals confirmed that levels of assured service throughput can be achieved at four times the current levels provided to Skynet customers.

 

In the maritime market, the customers will benefit from the next generation Ku-band VSAT service without the need to replace existing antenna. The new maritime VSAT offering is an all-in-one solution featuring twice the previous data volume allowances and twice the previous data speeds. It comes with unlimited L-band back-up service, as well as the new XChange platform, without having to invest in a new VSAT antenna.

Shipping companies can now select this offer and maintain the option to upgrade to future Ku- and Ka-band high throughput services.

 

In the Enterprise vertical markets, customers will further benefit from the latest technology fully compatible with high throughput satellites following the recent signature of a contract with Newtec. Customers will have access to new network hubs on Airbus Defense and Space’s teleports, optimizing frequency bands and providing throughput up to 150Mbps.

 

As part of the new offer, Airbus Defense and Space will also deliver Global Xpress high-speed broadband services through its worldwide distribution channels in the near future. The strategic agreement signed last December with Inmarsat covers key vertical markets – including the maritime, as well as the government and defense sectors – initially in Europe, and will allow us to provide highly competitive Ka-band services. In due course, Airbus Defense and Space’s Global Xpress offering will encompass all service types – packaged services, bandwidth capacity, as well as commercial and military Ka-band.

 

With the creation of Airbus Defense and Space, the combined satcom activities within the Communications, Intelligence & Security business line bring together the number one military satcom operator in the world and the leading commercial satcom provider for maritime and enterprise customers. AuroraGlobal complements other Airbus Defense and Space services provided at UHF-, L- and C-bands.

 

About Airbus Defense and Space

 

Airbus Defense and Space is a division of Airbus Group formed by combining the business activities of Cassidian, Astrium and Airbus Military. The new division is Europe’s number one defense and space enterprise, the second largest space business worldwide and among the top ten global defense enterprises. It employs some 40,000 employees generating revenues of approximately €14 billion per year.

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 17:50
Crimée: visite d'observateurs militaires de l'OSCE relève du pouvoir local

 

 

MOSCOU, 10 mars - RIA Novosti

 

Il est inutile d'appeler la Russie à contribuer à une visite en Crimée d'observateurs militaires de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), cette question relevant des autorités légitimes de la presqu'île, indique lundi le ministère russe des Affaires étrangères.

 

"Moscou a pris note des propos tenus le 7 mars dernier par l'ambassadeur des Etats-Unis auprès de l'OSCE Daniel Baer lors d'une réunion spéciale du Conseil permanent de l'Organisation. Le diplomate américain a appelé les autorités russes à aider à une visite de la Crimée par les observateurs militaires de certains pays membres de l'OSCE", lit-on dans le communiqué.

 

 Selon la diplomatie russe, cet appel est pour le moins étonnant et se trompe manifestement d'adresse.

 

"Tout activité de suivi de l'OSCE en Crimée doit être concertée avec les autorités légitimes de Crimée", stipule le document.

 

Un groupe d'observateurs militaires et civils envoyé par l'OSCE à la demande du nouveau gouvernement ukrainien a été obligé de rebrousser chemin sans pouvoir entrer en Crimée. Un groupe de 40 militaires sans armes de 21 pays a été envoyé en Ukraine par l'Organisation conformément au chapitre III du Document de Vienne 2011 (Réduction des risques). Le groupe n'a pas été autorisé à entrer sur le territoire de la Crimée.

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 17:50
Calendrier des think tanks à Bruxelles Mise à jour : Lundi 10 Mars2014

Mise à jour par la Représentation permanente de la France auprès de l’UE

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 17:50
photo Thales group

photo Thales group

 

 

10.03.2014 Mariama Diallo - journal-aviation.com

 

À 51 ans, Martin Van Schaik a été nommé directeur commercial de Thales Alenia Space (TAS). Il est en poste depuis le 3 mars dernier. Il occupait auparavant la fonction de directeur des activités Systèmes de combat de surface (AWS) de Thales et des activités Systèmes de combat naval pour Thales aux Pays-Bas.

 

Sa carrière

 

Diplômé en ingénierie électronique et en administration commerciale (université de Twente, Pays-Bas), Martin Van Schaik a toujours travaillé pour Thales. Il entre au sein de l’électronicien français en 1986 comme ingénieur système aux Pays-Bas. De 1990 à 2000, il occupe successivement les postes de responsable de programme adjoint, responsable technico-commercial de programme, directeur des ventes et contrats, puis directeur développement radar. Martin Van Schaik est nommé directeur des activités systèmes de combat naval en 2000.

 

Il rejoint les équipes de Thales en France en 2003 en tant que directeur du centre de transformation de l’espace de bataille, centre qui fédère l’ensemble des travaux menés par Thales dans le domaine des capacités infocentrées. En 2007, il est promu vice-président des activités de défense antimissiles de ThalesRaytheonSystems.

 

Martin Van Schaik dirigeait les activités Systèmes de combat de surface (AWS) de Thales et des activités Systèmes de combat naval pour Thales aux Pays-Bas depuis 2010.

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 16:50
Apprenticeship opportunities at leading defence firm

Armed Forces Minister Mark Francois meets MBDA apprentices [Picture: MBDA]

 

8 March 2014 Ministry of Defence

 

Armed Forces Minister Mark Francois has learned about the opportunities available to apprentices at defence equipment company MBDA.

 

The minister spoke to young trainees as part of a day spent at the missile systems developer and manufacturer’s site in Filton, south Gloucestershire, during a visit coinciding with the conclusion of National Apprenticeship Week.

Mr Francois met apprentices Daniella Di Stazio, Louie Penfold, Anna Schlautmann and Lucinda Jones, all aged between 19 and 21.

The group explained their roles within the firm, which has operations across Europe as well as in the UK, and provided the minister with their first-hand experience of the opportunities that apprenticeships had presented them with.

Mr Francois said:

It is difficult to overstate the importance of apprenticeship schemes and it was fantastic to meet young people who have seized their opportunity with both hands.

National Apprenticeship Week is a good time both to celebrate apprenticeships and highlight once again the positive impact they can have on people and businesses.

After meeting these apprentices I’m confident that the future of defence manufacturing in this company is in safe hands. I wish them every success for the future.

All 4 apprentices are employed either within business or engineering with MBDA.

Daniella Di Stazio, aged 21, is a fourth-year business apprentice based at MBDA’s Stevenage site in Hertfordshire where she works in a supply chain transformation team. She won National Higher Apprentice of the Year 2014 from Semta (the UK Skills Council for Engineering and Manufacturing) in February.

Louie Penfold, aged 19, is a third-year engineering apprentice who works at MBDA’s Henlow facility in Bedfordshire on the final missile assembly line where the integration of warheads and motors takes place prior to customer delivery.

Anna Schlautmann, aged 21, is a third-year logistics apprentice who works on MBDA’s manufacturing workload forecast process ensuring that the company has the necessary resources amongst the teams working on the shop floor on missile assembly. Anna won Apprentice of the Year at the 2013 Manufacturer Awards in December last year.

Lucinda Jones, aged 21, is a second-year engineering apprentice who works in operations at MBDA’s Lostock site in Greater Manchester where she is involved with manufacturing missile components and inert missile assembly.

Daniella said:

Taking part in this apprenticeship scheme has been fantastic for me because I can get paid while gaining experience in permanent employment. It has given my career a great head start in an industry which I find fascinating. I’ve really enjoyed my time at MBDA

It’s also really good to see the Ministry of Defence and the government taking the opportunities presented to young people by apprenticeships seriously.

I really value the opportunity to meet a minister today and talk to him about my career and I hope he found it useful to hear how we have benefited from the scheme.

For people who want to pursue a career in defence, there are no shortage of apprenticeship opportunities.

MBDA offers places each year and is just one of many defence companies offering apprenticeship opportunities for young people starting out on the career ladder.

In addition, the Ministry of Defence, Royal Navy, Army and Royal Air Force combined are the biggest providers of apprenticeships in the UK.

Army schemes alone have an annual value of £27 million and at any one time there are more than 15,000 soldiers enrolled on an apprenticeship.

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 13:50
Entraînement royal

Un sapeur parachutiste fait une pause après une marche d'exfiltration épuisante d'une dizaine de kilomètres. Il est équipé de l'appareil normal de protection à vision panoramique (ANPVP) et de la tenue nucléaire biologique chimique. Crédits : CCH J.Bardenet/SIRPA Terre

 

 

10/03/2014 Armée de Terre

 

Eagles Build : zoom sur l'exercice franco-britannique. Des images axées sur l’appui génie au profit de la 16 air assault brigade et comportant d'importantes phases de combat de l'infanterie. Les sapeurs parachutistes ont pu travailler leurs fondamentaux dans une ambiance très réaliste et rustique.

Album facebook Entraînement royal

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 13:50
Workshop on European Unmanned Maritime Systems: Programme Published

 

Brussels - 10 March, 2014 European Defence Agency

 

The programme of the workshop “Exploring Safe Design and Operations for European for European Unmanned Maritime Systems is now available. 

 

This workshop is organised by the European Defence Agency in cooperation with the working group on Safety and Regulations for European Unmanned Maritime Systems (SARUMS) 27 March 2014 in the EDA premises in Brussels. 

The workshop will be a major forum focusing on the discussion of latest developments and on the exchange of recent experiences in the field of safety of Unmanned Maritime Systems. It will bring together end users and various stakeholders from industry, research institutes and governmental organisations.

The workshop is supported by European Defence Agency and SARUMS working group whose aim is to provide European navies with a best practice framework for the handling, operations, design and regulations of Unmanned Maritime Systems. 

More information on how to register and the draft programme can be found here

 

More information:

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 13:40
source voxthunae

source voxthunae

 

10 mars 2014 Romandie.com (AFP)

 

VARSOVIE - La dépendance de l'Allemagne vis-à-vis du gaz russe constitue une menace pour la souveraineté de l'Europe, a affirmé lundi le Premier ministre polonais Donald Tusk.

 

La dépendance de l'Allemagne au gaz russe peut limiter réellement la souveraineté de l'Europe. J'en suis convaincu, a déclaré M. Tusk devant la presse, à deux jours d'une visite de la chancelière allemande Angela Merkel à Varsovie.

 

Pour moi, la question de l'Ukraine, c'est une question de l'avenir et de la sécurité de l'Union européenne, a déclaré le Premier ministre polonais en visitant une base militaire dans le nord de la Pologne.

 

Il s'est prononcé pour une certaine révision de la politique énergétique de l'UE.

 

J'en discuterai très ouvertement avec Mme Merkel, faisant valoir que les conceptions actuelles concernant la politique climatique et gazière risquent de constituer une menace pour la sécurité et la souveraineté de l'Europe toute entière, a-t-il insisté.

 

Je formulerai sans équivoque nos opinions au sujet des menaces politiques liées à la dépendance au gaz et à l'argent russes. Ceci, bien sûr, ne concerne pas que l'Allemagne, mais l'Allemagne constitue un fort exemple de ce phénomène, ces dernières années, a déclaré M. Tusk.

 

Il a annoncé qu'il aborderait avec Mme Merkel la question de savoir comment les Allemands pourraient rectifier certaines décisions économiques, pour éviter une paralysie de l'Europe au moment ou elle doit agir rapidement et adopter une position claire.

 

Le géant public russe Gazprom a menacé vendredi l'Ukraine d'interrompre ses exportations de gaz en raison d'impayés de 1,89 milliard de dollars, comme ce fut le cas en 2009, quand des coupures avaient perturbé l'approvisionnement de pays européens.

 

L'exposition des différents pays européens au gaz russe reste très contrastée.

 

Les pays de l'Ouest de l'Europe (Belgique, Pays-Bas, Espagne, France, Royaume-Uni, Italie) tirent entre zéro et le quart seulement de leur consommation de gaz de la Russie, selon une note de Morgan Stanley.

 

D'autres pays sont plus dépendants (Allemagne, Autriche, Pologne) voire très ou entièrement dépendants (Finlande, pays baltes).

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 13:35
FOB Interview : Eric Lenseigne, Directeur des activités de Thales en Inde

Eric Lenseigne, Directeur des activités de Thales en Inde

 

24 février, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

Durant son déplacement en Inde pour la salon Defexpo, FOB a eu le plaisir de rencontrer Eric Lenseigne, Directeur des activités de Thales en Inde. L’occasion de décrypter la stratégie du groupe français sur ce marché particulier mais très prometteur.

 

L’Inde est-il un pays important pour Thales ?

 

Depuis l’arrivée de Jean-Bernard Lévy  à la tête de Thales , il y a clairement une nouvelle stratégie annoncée pour le groupe : celle du développement de Thales sur les marchés émergents et à forte croissance, dont l’Inde bien sûr fait partie.
Nous augmentons donc notre présence industrielle ici. Thales India, c’était 200 personnes l’année dernières, 300 cette année et cela va encore augmenter. Et seul 2,6% de nos effectifs sont des expatriés ici, soit 8 français.
L’Inde pour Thales c’est 250 millions d’euros de prise de commande pour tout le groupe.

 

Comment se traduit votre présence ici ?

 

La présence de Thales en Inde repose sur 3 piliers :

- Les activités en propre de Thales en Inde. Nous avons ici bon nombre de compétences clefs qui sont proches des besoins indiens. Dans cette optique, notre volonté est d’accroitre la part locale. C’est pourquoi nous recrutons dans tous les métiers, notamment des ingénieurs.

- La création de Joint Venture est le second pilier de notre présence. Ainsi nous constituons des JV dans des domaines clefs avec des entreprises compétentes, par exemple avec BEL (Bharat Electronic Limited) dans le domaine des radars terrestres ou encore avec Samtel dans l’avionique. Nous répondons ainsi également à la réglementation locale qui stipule qu’une entreprise étrangère ne peut détenir plus de 26% du capital d’une entreprise de défense.

- Enfin, le troisième pilier de notre présence est les partenariats industriels. Ainsi nous sommes partenaires avec HAL dans les aéronefs militaires ou Tata dans les véhicules terrestres, nous avons donc plusieurs partenaires avec qui nous entretenons une relation privilégiée
La période 2014 /2015 va d’ailleurs être une période importante pour Thales en Inde. Nous allons nous attacher à structurer ces partenariats locaux et les organiser par domaines : aéronefs militaires ; transport civil ; communications militaires ; radar et défense aérienne.

 

Quels sont plus particulièrement les grands prospects de Thales en Inde ?

 

De nombreux et parfois très grands programmes sont aujourd’hui en cours en Inde.
Par exemple, dans la défense aérienne en courte et très courte portée. Trois programmes devraient aboutir d’ici 4 à 5 ans. Mais également dans le domaine des radars de surveillance aérienne. Ou la communication tactique : deux grand programmes sont lancés : le BMS (Battlefield management system) et le Tactical communication system, pour lesquels nous sommes en train de former des alliances avec des partenaires locaux.

Thales devrait ainsi augmenter significativement sa présence en Inde, avec le développement de véritables établissements industriels, ce qui n’est pas encore le cas aujourd’hui
Nous bénéficiions d’un réseau stable et structuré de partenaires indiens solides.

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 12:50
Ukraine: the charge of the diplomatic brigade

 

 

6th March 2014  – by Sven Biscop* - europeangeostrategy.org

 

Rather than its adroitness, the Ukrainian crisis highlights the failure of Russian strategy.

 

Russian long-term strategy failed, for the model of society and the type of relationship on offer were evidently not appealing at all to the mass of demonstrators who forced Yanukovich to come to terms. By contrast, the social model associated with the European Union (EU) – though in austerity times it is in fact not always applied within the Union – clearly appeals much more to many Ukrainians. They feel that European governments protect and provide for their citizens and expect their government to do the same.

 

Once Yanukovich fled the country, immediately after three EU Member States had brokered an agreement, Russian short-term strategy failed as well. Either Yanukovich decided to leave the scene without giving prior warning to Moscow, which means Russia lost control, or his great escape was part of the Russian plan, in which case it was faulty, for the resulting vacuum was immediately filled by the opposition.

 

Subsequent Russian military action in the Crimea is an over-reaction attempting to mask the weakness of Moscow’s position. That does not render it less of a crisis, which does threaten the peace in Europe. But it does mean that a solution can be found, as long as the Russian government is permitted to save face.

 

Not all of its objectives are necessarily unreasonable. But having built its domestic power base on the image of external power, it cannot allow that image to be pierced. Especially not in what it persists in presenting to its own public as its sphere of influence. To that end it prefers to grab what actually it could receive by asking politely.

 

Europe and the United States (US) have their own concerns with their image and legitimacy though, so they too want to appear resolute in the face of the crisis. Targeted sanctions such as travel restrictions and freezing of assets can serve that purpose, signaling at the same time resolve in addressing the crisis and prudence in wishing to avoid escalation. Energy need not now come into play. Moscow and Brussels know that they are so dependent upon each other that both would be unduly hurt by a freezing of energy deliveries. Europe more in the short term, but Russia more in the long term, for Europe represents a far greater share of its exports than Russia of Europe’s imports.

 

A military solution there certainly is not. Too much posturing through NATO can only be counter-productive, making it more difficult for Russia to back out. Precisely because Russia must maintain the image – or mirage – of its sphere of influence, NATO is not the right conduit to manage the crisis in Ukraine (as it was not in Georgia in 2008).

 

Crisis diplomacy at the highest level by the EU, unequivocally backed by the most relevant Member States, and the US, is the only option to broker a deal. An agreement certainly seems possible. Russia’s lease on the naval base in Sevastopol can be guaranteed by the Ukrainian interim government. Elections in Ukraine as a whole and a referendum on independence or increased autonomy in the Crimea can both be pushed back and held on the same day, under international observation. The Organisation for Security and Cooperation in Europe (OSCE), where Russia, the EU and the US are all represented, could organise this. Future governments can enact strong guarantees of minority rights (another area in which the OSCE has great expertise).

 

In this ‘Crimean war’, the only brigade that has to charge therefore is the diplomatic brigade.

 

 

* Prof. Sven Biscop is a Senior Editor of European Geostrategy. He is also Director of the ‘Europe in the World Programme’ at Egmont – Royal Institute for International Relations in Brussels. He writes here in a personal capacity.

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 12:50
Il faut une défense européenne


10.03.2014 Jean-Marie Colombani - directmatin.fr

 

Deux événements devraient nous convaincre de l’absolue nécessité de doter l’Union européenne d’une défense digne de ce nom et de mettre un terme à la baisse régulière des crédits alloués à l’effort de défense. Il s’agit bien sûr de la crise ukrainienne mais aussi de la politique de Pékin telle qu’elle vient d’être exposée devant les représentants du peuple chinois.

La situation en Ukraine découle des ambitions de Vladimir Poutine. Se déroule sous nous yeux un scénario analogue à celui de 2008 qui avait vu la Russie, au nom de la préservation des intérêts de communautés russophones, s’emparer de deux régions de Géorgie. De la même façon, Poutine vient de pratiquement annexer la Crimée.

Il ne s’agit pas ici de dire qu’il faudrait défendre par les armes l’intégrité de l’Ukraine. L’arsenal de la diplomatie et surtout des sanctions économiques, la mise en avant des intérêts bien compris des Européens et des Russes peuvent encore être efficaces. Il s’agit plutôt de s’interroger : s’il prenait à Vladimir Poutine l’envie d’aller plus loin (par exemple en direction des Etats baltes), aurions-nous les moyens de défendre le territoire de l’Union européenne ? La Russie, dont l’économie peut à court terme devenir chancelante et que nous avons sans doute les moyens d’affaiblir, est menacée de déclin par l’effondrement de sa démographie. Elle cherche, par la militarisation et le retour à une ambition impériale, à compenser ces faiblesses.

A Pékin, l’objectif officiel est d’accroître le poids de la Chine dans le monde. Pour ce faire, les dirigeants chinois prévoient d’affecter chaque année 12 % supplémentaires à leur effort militaire. On dira : ce réarmement laisse tout de même la Chine loin derrière les Etats-Unis. Mais elle possède déjà la première armée du monde par le nombre avec 2 millions de soldats et entend égaler la puissance militaire américaine au milieu du siècle. Dans le même temps, inquiet, le Japon accroît significativement son budget de la défense.

Danger objectif ici, remilitarisation là : et pendant ce temps, nous, Européens, continuons de désarmer. Chacun pour soi sans rien entreprendre de significatif sur le plan collectif.

 

 

Suite de la tribune

 

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 12:50
Ukraine: "Si l'UE veut peser, il faut une réelle défense européenne"

 

9 mars 2014    Ju. Vl – RTBF.be

 

    Alors que la crise ukrainienne bat son plein, Didier Reynders (MR), ministre des Affaires étrangères, et Isabelle Durant (Ecolo), vice-Présidente du Parlement européen, ont débattu de la réaction à adopter vis-à-vis de la Russie et des nouvelles autorités ukrainiennes.

 

    Les Russes ont récemment déclaré être prêts à entamer un "dialogue d’égal à égal" avec les "partenaires internationaux" sur le dossier ukrainien. Une porte ouverte au dialogue qui ne change pas le fait que l’heure soit plutôt à l’escalade qu’au refroidissement entre occidentaux et Russes sur ce dossier.

 

    "Cette escalade, c’est une phase qui vise à renouer le dialogue", a cependant tempéré Didier Reynders sur le plateau de Mise au Point ce dimanche.

 

    Le ministre fédéral, invite également l’Europe à renforcer ses capacités à peser dans le concert international. "Si l’Europe veut pouvoir peser sur les discussions à venir, elle doit renforcer à la fois sa capacité à développer une politique étrangère", a déclaré l’élu libéral.

 

    La question de la défense européenne relancée

 

    L’UE se doit également de dialoguer avec la Russie afin de trouver un modus vivendi, estime Didier Reynders. Pour cela, le dossier ukrainien constitue un test important. "Dans les prochains mois et les prochaines années pour l’UE -ce n’est pas seulement de créer sa défense et une politique étrangère plus intégrée-, c’est le débat avec ses partenaires. Et la Russie doit être un partenaire. On ne peut pas se dire qu’on va gérer l’Europe avec quelqu’un à l’est avec qui on ne veut pas parler. Et ce dialogue il devra passer par une solution acceptable pour tous les Ukrainiens".

 

    Isabelle Durant s’inscrit dans le même constat. "Il faut arriver à une défense commune à l’échelle de l’UE et à une politique étrangère plus unie. Nos réactions individuelles n’ont aucun sens, nous ne pèserons que si nous réagissons ensemble", a déclaré l’eurodéputée.

 

    Cette dernière estime qu’il est indispensable que l’Europe s’engage dans le dossier ukrainien, détourner le regard n’est pas une option. "Parfois on a le sentiment que l’Ukraine c’est loin, qu’on se demande ce que l’on va faire là-bas et pourquoi on irait leur prêter de l’argent alors qu’on a déjà du mal avec notre économie?", déplore-t-elle. Or, selon l’ancienne ministre, "ce qui se passe en Ukraine, ce nécessaire dialogue avec la Russie, c’est la garantie de notre sécurité et d’un monde plus juste. Quand les Ukrainiens se tournent vers nous pour une question de droits de l’homme, on en peut pas leur répondre que les droits de l’homme ce n’est bon que pour nous".

 

    Didier Reynders enfonce le clou de la nécessité de mettre sur pied une réelle Défense européenne. "Comment fait-on pour, au départ de l’UE, s’exprimer fortement par rapport aux grands acteurs mondiaux: Chine, Etats-Unis, Russie? Cela nécessite une politique étrangère forte mais aussi une Défense. Or, je crains fort qu'aujourd'hui en Europe, beaucoup dans les jeunes générations ont le sentiment que 'finalement une défense cela sert à quoi quand on vit en paix depuis si longtemps' ", .

 

    Mais ce qui se passe à nos frontières immédiates peut peut-être faire changer un peu la réflexion. Une défense européenne, cela ne veut pas dire dépenser plus, cela peut peut-être même vouloir dire dépenser moins mais ensemble avec un objectif commun. Cela signifie surtout avoir une capacité de discussion d’égal à égal avec les autres grandes puissances.

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 07:50
La Norvège reçoit ses premiers CV90 modernisés

 

 

3 mars, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

Hagglunds (groupe BAE Systems) a livré le 25 février dernier les deux premiers véhicules de combat d’infanterie chenillés CV90 modernisés à l’armée norvégienne.

 

Ces véhicules de présérie vont débuter une campagne d’essais pour d’ultimes ajustements, avant que la production ne débute en janvier 2015.

 

Au total, la Norvège va moderniser 144 de ces véhicules, qui doivent être livré d’ici 2018.

 

Les améliorations concernent la protection, l’ajout d’une vétronique, des caméras pour une vision extérieure à 360° pour les quatre soldats d’équipage.

 

Les 144 véhicules modernisés sont répartis en différentes configurations : reconnaissance avec un mât optronique, version PC, version sapeurs, et deux véhicules d’instruction et d’entraînement.

 

Le chenillé CV90 est équipé d’une tourelle modernisé deux hommes avec un canon de  30 mm ATK et d’une 7.62 mm coaxial.

 

Cette nouvelle tourelle est montée d’une étonnante et imposante excroissance à l’avant qui n’est autre qu’un toureleau téléopéré Kongsberg RWS 0.50 Cal. M2 HB MG.

 

Fort de ce succès avec l’armée de terre norvégienne, BAE Hagglunds espère aussi moderniser les parcs de CV90 en service en Suède ou au Danemark.

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