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19 novembre 2015 4 19 /11 /novembre /2015 17:55
Photo P. Kohler  Marine nationale

Photo P. Kohler Marine nationale

 

19.11.2015 par FORFUSCO

 

Depuis le 14 septembre dernier, une trentaine de fusiliers marins, principalement des groupements de fusiliers marins de Toulon et Brest, sont engagés dans l’opération Sentinelle à Paris.

Ces fusiliers marins, reconnaissables à leurs casquettes marine et bâchis, patrouillent sur des points névralgiques de la capitale et de ses transports, comme ici au Jardin du Luxembourg, devant le Sénat.

Le bâchi ne manque pas d’interpeller l’attention des Parisiens, qui l’ont sans doute oublié, mais qui veillait déjà sur les rues de la capitale en août / septembre 1914, quand l’offensive allemande faisait rage.

Aujourd’hui, la marine compte environ 1500 fusiliers marins qui participent à la protection des sites sensibles de la marine et de la Défense, des activités liées à la dissuasion nucléaire et des unités, en mer ou à terre, en opérations. Pleinement mobilisés depuis janvier 2015 dans le renforcement de la sécurité des emprises militaires, les fusiliers marins avaient été engagés une première fois dans l’opération Sentinelle en janvier 2015 pour protéger des sites civils à Brest et Toulon et le sont à nouveau depuis septembre à Paris. Les fusiliers marins apportent ainsi leur expertise dans les actions de protection au sein du dispositif Sentinelle.

 

Reportage photos

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18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 13:55
photo DCSSA

photo DCSSA


17/11/2015  DCSSA

 

Dans une quinzaine de  jours, vous pourrez faire une promesse de don de sang datée en appelant les sites de collecte du CTSA (01 41 46 72 26 pour le site de Clamart et 04 83 16 22 60 pour le site de Toulon) en heures et jours ouvrables.

 

L'exceptionnelle mobilisation des donneurs de sang en Ile-de-France depuis samedi 14 novembre a permis de compléter la banque de sang militaire (CTSA). Nous vous remercions pour votre générosité.

En dehors des collectes déjà programmées, tous ceux qui voudraient s'engager dans le soutien du service de santé des armées doivent réserver leur don pour les semaines à venir et particulièrement pour les fêtes de fin d'année qui sont toujours des périodes en manque de donneurs.

Il est important de respecter cette consigne d'étalement des dons car tous ceux qui donnent aujourd'hui ne pourront plus donner en sang total pendant deux mois.

Pour votre promesse de don, dans une quinzaine de jours, appelez au 01 41 46 72 26 pour le site de Percy/Clamart et 04 83 16 22 60 pour le site de Sainte-Anne/Toulon du centre de transfusion sanguine des armées

 Pour en savoir plus sur le don du sang et le centre de transfusion sanguine des armées

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16 novembre 2015 1 16 /11 /novembre /2015 16:55
photo DCSSA

photo DCSSA


16/11/2015 DCSSA

 

Dans une quinzaine de  jours, vous pourrez faire une promesse de don de sang datée en appelant les sites de collecte du CTSA (01 41 46 72 26 pour le site de Clamart et 04 83 16 22 60 pour le site de Toulon) en heures et jours ouvrables.

L'exceptionnelle mobilisation des donneurs de sang en Ile-de-France depuis samedi 14 novembre a permis de compléter la banque de sang militaire (CTSA). Nous vous remercions pour votre générosité.

En dehors des collectes déjà programmées, tous ceux qui voudraient s'engager dans le soutien du service de santé des armées doivent réserver leur don pour les semaines à venir et particulièrement pour les fêtes de fin d'année qui sont toujours des périodes en manque de donneurs.

Il est important de respecter cette consigne d'étalement des dons car tous ceux qui donnent aujourd'hui ne pourront plus donner en sang total pendant deux mois.

Pour votre promesse de don, dans une quinzaine de jours, appelez au 01 41 46 72 26 pour le site de Percy/Clamart et 04 83 16 22 60 pour le site de Sainte-Anne/Toulon du centre de transfusion sanguine des armées

 Pour en savoir plus sur le don du sang et le centre de transfusion sanguine des armées

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 23:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

10 novembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Paris - Un homme qui a reconnu avoir voulu attaquer des militaires français à Toulon (sud-est) au nom du jihad a été arrêté fin octobre, mis en examen pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et écroué, a-t-on appris mardi de sources policière et judiciaire.

 

Grand port sur la Méditerranée, Toulon abrite la principale base navale française.

 

Âgé de 25 ans, le suspect était depuis plusieurs mois dans le viseur des services de renseignement français, ont précisé des sources policière et proche du dossier, confirmant une information de la chaîne Canal+.

 

Alors qu'il était surveillé, il s'est fait livrer un colis par la Poste, qui a éveillé des soupçons car il était éventré. A l'intérieur de ce colis, un couteau de combat et au moins une cagoule, ont rapporté ces sources.

 

Il est alors interpellé, le 29 octobre.

 

En garde à vue, il a reconnu avoir été en contact avec un Français parti pour la Syrie dans les rangs du groupe jihadiste Etat islamique qui, par internet, l'a incité à passer à l'acte, selon une des sources proches du dossier. C'est ce jihadiste français qui lui conseille d'acheter une arme, a précisé une autre de ces sources.

 

Il a fini par admettre un projet d'attaque contre des marins de la base navale de Toulon. Selon une source policière, il n'avait pas encore de plan très précis.

 

Les attentats islamistes de janvier contre l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo et un supermarché casher à Paris, qui avaient fait 17 morts, ont été suivis de plusieurs autres attaques ou tentatives sur le territoire français.

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3 novembre 2015 2 03 /11 /novembre /2015 18:56
Recherche de donneurs O NEGATIF au profit du Centre de transfusion sanguine des armées

Le Centre de transfusion sanguine des armées (CTSA) manque cruellement de sang 0 NEGATIF (le sang des donneurs universels, distribuable pour toutes les urgences vitales) depuis quelques semaines.

Si vous êtes O NEGATIF n’hésitez pas à faire un don au plus vite au CTSA de Clamart (Hauts de Seine) ou de Toulon

CTSA Clamart

1, rue du lieutenant Raoul Battany

92140 Clamart

01 41 46 72 24

CTSA Toulon

Boulevard Sainte-Anne

83000 Toulon

04 83 16 21 61

Du lundi au vendredi, de 8 heures 30 à 16 heures 30.

Téléchargez la plaquette présentant le CTSA et son expertise : LIEN

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28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 14:55
photo V. Orsini Marine nationale

photo V. Orsini Marine nationale

 

28.10.2015 par Fusiliers marins et commandos marine

 

Le 21 octobre 2015, un détachement de commandos marine s’est entraîné au Tarpon, saut parachute opérationnel en mer, avec la frégate Surcouf au large de Toulon. Le détachement a été largué avec son matériel. La frégate a mis à l’eau des embarcations avec l’ETRACO des commandos marine pour récupérer les opérateurs.

Le tarpon est une des expertises des commandos marine qui peuvent ainsi être projetés très loin avec leurs matériels et équipements et même avec leurs embarcations lourdes (type ETRACO) pour conduire des opérations spéciales, comme la libération d’otage. En mer, ils peuvent rejoindre un bâtiment de la marine nationale comme cela a été réalisé avec le Surcouf qui peut alors servir de bâtiment base et assurer un appui pendant une opération.

 

Reportage photos

photo V. Orsini Marine nationale

photo V. Orsini Marine nationale

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3 octobre 2015 6 03 /10 /octobre /2015 11:55
photo ASP Paguiel Kohler / Marine nationale

photo ASP Paguiel Kohler / Marine nationale

 

2 Octobre 2015 Marine Nationale

 

Préserver la libre circulation en mer, garantir la sûreté des sous-marins de la Force océanique stratégique et contribuer à la sécurité en neutralisant les munitions historiques sont les principales missions des plongeurs démineurs. Placés sous l’autorité organique de l’amiral commandant la Force d’action navale (ALFAN), ils sont répartis sur les trois façades maritimes métropolitaines : Toulon, Brest et Cherbourg.

 

Les GPD effectuent tous types d'opérations de lutte contre les mines, en complément des autres moyens de guerre des mines. Chaque GPD dispose en propre de deux vedettes, d’embarcations pneumatiques et de moyens routiers. Un bâtiment base de plongeurs démineurs, unité complémentaire, permet d’étendre son rayon d’action et agit comme démultiplicateur d’effets : le Vulcain à Cherbourg, le Styx à Brest, et le Pluton à Toulon. Un quatrième bâtiment, l’Achéron, sert à la formation des plongeurs et à l’expérimentation et développement de nouveaux matériels de plongée et peut remplacer le Pluton.

 

Guerre des mines

En janvier 2015, les GPD ont été déployés au sein d’un groupe de guerre des mines (GGDM) durant quatre mois en océan Indien et dans le golfe arabo-persique (GAP). Ce groupe comprenait deux chasseurs de mines tripartites (CMT), l’Aigle et l’Andromède, un détachement de plongeurs démineurs et un état-major de conduite. Le déploiement bisannuel du GGDM dans le GAP contribue à la sécurisation des voies maritimes et des accès aux ports dans une zone d’intérêt stratégique. Ils ont également participé à des entraînements opérationnels avec leurs homologues britanniques et américains.

 

Bilan chiffré

Les GPD assurent une activité permanente sur toutes les façades maritimes métropolitaines. Chaque année, la Marine traite entre 10 et 30 tonnes d’explosifs.  En 2014, près de 2800 engins ont été neutralisés, 2000 munitions sous-marines et 769 mines terrestres ; soit 32 tonnes de munitions.

 

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 07:55
photo Marine nationale

photo Marine nationale

 

23/09/2015 Sources : Marine nationale

 

Du 14 au 18 septembre 2015, le troisième entraînement Gabian de l’année 2015 a réuni 12 bâtiments au large de Toulon, et mobilisé plus de 1500 marins. Organisé une fois par trimestre en Méditerranée, Gabian rassemble toutes les unités de la force d’action navale non déployées et disponibles afin d’entretenir et maintenir leur niveau de qualification opérationnelle.

 

La présence simultanée de plusieurs types de bâtiments permet la conduite d’exercices très variés, coordonnés pour cette édition par la frégate de défense aérienne Forbin. Dès le premier jour, les bâtiments ont fait face à une succession de menaces et de scénarii élaborés pour optimiser cet entraînement mutuel. Les exercices se sont enchaînés: défense aérienne avec le concours des aéronefs de l’aéronavale et de l’armée de l’Air ; transit sous menace mines pour les frégates La Fayette et Aconit avec le concours des chasseurs de mines dont le CMT Capricorne.

 

Tout au long de la semaine, le centre support Cyber Défense, crée en septembre a également  mis à l’épreuve les réflexes des équipages : de jour comme de nuit, des attaques très réalistes ont été lancées sur les réseaux depuis la terre, en parallèle des exercices de guerre électronique (effectués grâce au brouillage des radars et communications) via des scenarii tactiques.

 

Le concours des BCR Marne et Var a également permis la réalisation de nombreux ravitaillements à la mer (RAM), essentiels à la capacité à durer à la mer : RAM « double » entre le Var, le Forbin et le Jacoubet, RAM de nuit pour le patrouilleur de haute mer Commandant Ducuing avec la Marne, préparation au RAM pour l’Orion.

 

Les exercices ont reflété les opérations conduites par la marine nationale au quotidien : le La Fayette a ainsi conduit, avec le BPC Tonnerre, un RESEVAC très réaliste, tandis qu’une visite de navire suspecté de trafic de drogue joué par un bâtiment plastron était effectuée par les marins de la brigade de protection.

 

Les 3 bâtiments de projection et de commandement ont également été à la mer, côte à côte et simultanément.

 

Cette édition de Gabian, particulièrement relevée, a permis aux unités, dont la plupart ont renouvelé plus de 30 % de leur équipage cet été, de remonter en puissance et assurer très prochainement la relève des bâtiments déployés en opérations.

photo Marine nationalephoto Marine nationale

photo Marine nationale

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18 septembre 2015 5 18 /09 /septembre /2015 07:56
Hôtel de Brienne - photo Ministère de la Défense

Hôtel de Brienne - photo Ministère de la Défense


17 septembre 2015 SGA / DMPA

Le ministère de la Défense participe à la 32e édition des Journées européennes du patrimoine les 19 et 20 septembre prochains, consacrée cette année à la thématique « Patrimoine du XXIe siècle, une histoire d’avenir ».

 

Deuxième acteur culturel de l'État, la Défense invite le public à découvrir, dans toute la France, les sites et hauts lieux du patrimoine militaire qui proposent, exceptionnellement, de nombreuses visites, des ateliers pédagogiques et expositions de matériel. En 2014, plus de 250 000 personnes avaient franchi les portes des enceintes militaires à l’occasion de ces journées.  

 

Parmi les sites ouverts cette année :

 

À Paris et sa région

 

* L'Hôtel de Brienne. Construit au XVIIIe siècle, l'Hôtel de Brienne abrite les bureaux du ministre de la Défense et de son cabinet. Ce lieu fut le théâtre de grandes heures de l'histoire de France : Clemenceau y reçut les acclamations des Parisiens le 11 novembre 1918 et le général de Gaulle y installa le siège du gouvernement provisoire de la République française, le 25 août 1944. Le parcours propose une visite des bureaux du ministre de la Défense, du général de Gaulle et de celui de Clemenceau, dont la rénovation s’est achevée en août 2014.

 

* L’École militaire. Ce site historique de 12 hectares, situé en plein cœur de Paris, propose la reconstitution à l’identique d’un bivouac de la Garde impériale de Napoléon 1er. Par ailleurs, une exposition de 12 photos est consacrée au nouveau siège du ministère de la Défense, « l’Hexagone Balard », et invite les visiteurs à découvrir de l’intérieur ce nouveau bâtiment aux allures futuristes.

 

En région

 

* La base navale de Toulon. Le premier port militaire français, qui s’étend sur 270 hectares et accueille 70 % de la flotte en service, propose aux visiteurs un circuit commenté en petit train touristique, pour découvrir les infrastructures de la base navale. Par ailleurs, une présentation des missions des marins pompiers est proposée autour d’un stand de lutte contre les feux de forêts, avec la mise en place de deux camions citerne et une simulation d'extinction de feu.

 

* Le musée de la base aérienne 102 « Capitaine Guynemer » de Dijon. Base aérienne historique, entrée en service peu avant la première guerre mondiale, la BA 102 ouvre ses portes au public pour la dernière fois, avant sa dissolution prévue à l’été 2016. Le musée de la base propose cette année une exposition avec les principaux faits marquants ayant ponctué la « vie » de cet aérodrome militaire centenaire. Les amateurs d’aéronautique apprécieront la présentation de l’authentique Mirage III C des années 60, aux couleurs de l’escadron des « Cigognes », ou encore une réplique grandeur nature du Mirage 2000 « Cristal », totalement réalisé en plexiglas translucide, permettant d’observer les 700 composants de l’appareil (cockpit, réacteur, radar de bord, etc.).

 

* Le musée des parachutistes de Pau. Situé à la cité des parachutistes, le musée s’étend sur 1 200 m² et offre un parcours sur l’histoire des parachutistes, de leur création à nos jours. Une exposition temporaire revient sur l’évolution technique du parachute et de la chute opérationnelle, en parallèle d’une présentation d’aéronefs (Nord Atlas 2501 et hélicoptère Puma).

Note RP Defense: voir Page Facebook :

 

L’accès des sites et des musées est gratuit.

 

Chargée de la conception et de la mise en œuvre de la politique culturelle du ministère de la Défense, la Direction de la mémoire, du patrimoine et des archives (DMPA) fédère dans toute la France 21 musées, 160 monuments historiques, 10 hauts lieux de mémoire et 200 bibliothèques et centres de documentation.   

 

Plus d'informations sur les sites ouverts, les horaires et les animations proposées sont disponibles sur le site du ministère de la Culture et de la Communication.

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2 septembre 2015 3 02 /09 /septembre /2015 12:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

01/09/2015 Source : Marine nationale

 

Ce mardi 1er septembre 2015, à Toulon, le vice-amiral d’escadre Denis Béraud a pris le commandement de la Force d’Action Navale (FAN) à la suite du vice-amiral d’escadre Philippe Coindreau. Après deux ans à la tête de la FAN, ce dernier occupera le poste de sous-chef d’état-major Performance auprès du chef d’état-major des armées à Paris. Son départ a été salué de 17 coups de canons tirés par la frégate Courbet.

 

Après avoir passé en revue les bâtiments à quai, le vice-amiral d’escadre Denis Béraud a reçu les honneurs sur le BPC Tonnerre.

 

Dans sa première prise de parole en tant qu’ALFAN (amiral commandant de la FAN) aux représentants des 23 bâtiments présents avec leur fanion, le vice-amiral d’escadre Denis Béraud a tout d’abord évoqué « sa joie et sa fierté de prendre le commandement de cette magnifique force maritime » qu’est la FAN - composée de 95 bâtiments présents à Toulon, Brest, Cherbourg ainsi qu’Outre-mer.

 

 Il a également mis en valeur le « haut niveau d’engagement personnel et collectif » que requiert le métier de marin, rappelant la « satisfaction d’un métier unique et attachant, en équipage ».

 

 Pour mener à bien l’ensemble des missions qui lui sont confiées, allant de la dissuasion nucléaire à la projection de forces pour résoudre une crise, en passant par le sauvetage en mer, la Marine nationale dispose de près de 10 500 marins et 73 bâtiments de combat et de soutien regroupés au sein de la force d’action navale.

photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

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3 août 2015 1 03 /08 /août /2015 16:30
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

03/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Plus de trois mois après son appareillage de Toulon et avec plus de 17 000 milles nautiques parcourus (31 000 km), la frégate de défense aérienne (FDA) Forbin a retrouvé le 2 août 2015 son port-base à Toulon.

 

Le bâtiment revenait d’un déploiement en Méditerranée orientale, durant lequel il a rempli une mission de surveillance de l’espace aéromaritime et sous-marin, en coopération avec les forces navales alliées. Cette opération, qui s’inscrivait dans le cadre de la fonction stratégique « connaissance et anticipation » a permis à la France d’acquérir une vision toujours plus complète et significative de la situation dans une zone complexe sensible aux crises et aux divers trafics.

Avec le détachement de la flottille 36F embarqué à bord, le Forbin a pu mettre en œuvre un hélicoptère Panther principalement lors de missions de surveillance maritime et de recueil de renseignement.

 

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10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 16:55
1er MédicHos en milieu maritime

Prise en charge des blessés au combat sur un bâtiment de la Marine nationale, lors du 1er MédicHos en milieu maritime, au sein de la FAN Toulon, du 18 au 21 mai 2015 - photo Marine Nationale

 

02/06/2015 BCISSA  - DCSSA

 

Les frégates FAA Cassard et FLF La Fayette ont accueilli, du 18 au 21 mai à Toulon, le premier exercice en milieu maritime de Médicalisation en milieu Hostile (MédicHos).

 

Lors d’exercices particulièrement réalistes, trois médecins et neuf infirmiers ont pris en charge des blessés depuis les phases de combat jusqu'à leur évacuation héliportée vers une structure médico-chirurgicale.

 

Dans la salle de déchoquage du TCD Siroco, les équipes médecins-infirmiers ont révisé des gestes très techniques.

 

Ce MédicHos a permis de mieux appréhender la complexité de la gestion des blessés au combat en milieu maritime. Il a démontré la nécessité de développer l’enseignement du sauvetage au combat, y compris de niveau 2, au sein des équipages, la Marine ne disposant pas d’auxiliaires sanitaires.

 

L’animation pédagogique de ce MédicHos a été réalisée par le CESimMO (Centre d’enseignement et de simulation à la médecine opérationnelle) de Toulon, le CITERA de Bordeaux, la CSS FAN et la cellule secourisme de la FAN.

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26 mai 2015 2 26 /05 /mai /2015 07:55
photo EMA / DGA

photo EMA / DGA

 

22/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Alors que la base navale de Toulon poursuit de grands chantiers pour l’accueillir, la frégate multi-missions (FREMM) valide une nouvelle capacité de frappe dans la profondeur. Un pas de plus dans la mise au point de ce bâtiment destiné à devenir l’épine dorsale de la force d’action navale (FAN).

 

 

photo EMA / DGA

photo EMA / DGA

 

Le 19 mai 2015, la FREMM Aquitaine a procédé, pour la première fois en Europe, au tir d’un missile de croisière naval (MdCN) depuis un bâtiment de surface. Doté d’une portée de plusieurs centaines de kilomètres, ce missile est adapté à des missions de destruction d’infrastructures de haute valeur stratégique. Le 12 mai, la frégate avait déjà procédé à son premier lancement de missile mer-mer 40 Exocet. Ces tests contribuent à la  vérification des capacités militaires du bâtiment avant son admission au service actif. C’est un jalon supplémentaire qui a été franchi, après le tir d’un missile antiaérien Aster 15 en 2013 et la mise en service le 13 mars dernier de la torpille légère MU 90 sur l’hélicoptère Caïman Marine, qui embarquera à bord de cette frégate.

 

En parallèle, la base navale de Toulon adapte les aménagements existants pour accueillir, à l’horizon 2016-2017, les nouvelles FREMM. Ainsi, la construction de quatre nouveaux appontements est prévue afin d’assurer un soutien portuaire adapté. L’objectif est, également, de pouvoir répondre à leurs besoins énergétiques spécifiques.

 

Plusieurs chantiers de dragage successifs ont ainsi été lancés depuis 2011, pour adapter les abords des quais au tirant d’eau de ces frégates. Cela s’accompagne d’une dépollution pyrotechnique complexe des fonds qui recèlent une grande quantité de pièces métalliques. Jusqu’à présent, ce sont plus de 1600 tonnes de sédiments qui ont été évacuées. Par ailleurs, une rénovation progressive des installations électriques de la base navale a été planifiée sur les quinze années à venir.

 

Pour assurer la montée en puissance de la FREMM et ses différents systèmes d’armes, la Marine vit de profondes mutations dans l’organisation et les infrastructures de soutien de ses bases navales. Tout est fait pour que ces adaptations soient conduites sans affecter les missions.

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18 mai 2015 1 18 /05 /mai /2015 07:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

15/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Parti dans les tous premiers jours de décembre, le sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) Améthyste a retrouvé il y a quelques jours le port de Toulon, où sont basés les six SNA français, après cinq mois de déploiement en océan Indien.

 

C’est un déploiement d’une durée inhabituelle que vient d’achever l’Améthyste. Armé par deux équipages, l’équipage « rouge » et l’équipage « bleu », l’Améthyste vient en effet d’opérer durant près de cinq mois en océan Indien.

 

Habitués à se succéder à Toulon pour permettre d’optimiser la présence en mer du sous-marin, les deux équipages se sont cette fois-ci retrouvés lors d’une escale de cinq jours, fin février, sur le théâtre d’opération. L’équipage « rouge », arrivé en avion de Toulon, a rapidement pris la suite de l’équipage « bleu », lequel avait la responsabilité du sous-marin depuis près de quatre mois.

 

Cette relève d’équipage sur le théâtre, défi technique et logistique, a permis de maintenir en océan Indien le sous-marin durant quelque 135 jours, dont une quinzaine a été consacrée à des escales permettant notamment de compléter les vivres.

 

Déployé dans les eaux chaudes de l’océan Indien, de la mer Rouge au golfe arabo-persique, dans une zone traversée par des routes maritimes stratégiques pour nos approvisionnements et bordée par des pays qui connaissent de graves crises sécuritaires, l’Améthyste a mis en œuvre ses capteurs acoustiques, électromagnétiques et visuels pour engranger du renseignement et participer ainsi à améliorer notre connaissance de la valeur opérationnelle des forces en présence, de l’environnement, des flux maritimes et des zones d’intérêt.

 

Pour ce faire, le sous-marin peut compter sur sa discrétion qui lui permet de voir sans être vu et de ne pas modifier le comportement des différents acteurs. Il s’appuie également sur sa très grande endurance qui lui permet d’observer sans discontinuité et sur de très longues périodes de temps.

 

Outil majeur d’appréciation autonome de la situation, l’Améthyste a également participé à la lutte contre le terrorisme en mer et escorté le groupe aéronaval (GAN) constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle à l’occasion de sa mission Arromanches. D’abord employé en précurseur, puis intégré à la TF 473, l’Améthyste a opéré en coopération étroite avec les bâtiments du GAN et ceux de l’US Navy présents dans la zone.

 

Evoluant fréquemment dans des zones peu profondes, loin de toute base logistique, les équipages « bleu » et « rouge » ont montré au cours de ce déploiement leur rigueur et leur professionnalisme ainsi que leur capacité à être totalement autonome pour assurer, cinq mois durant, la pleine disponibilité du sous-marin. La densité des activités opérationnelles a toutefois laissé quelques heures de détente aux sous-mariniers pour fêter Noël et l’année 2015 en mer, dans une ambiance chaleureuse, en équipage, loin du cadre familial.

 

Après quelques semaines de travaux et un réapprovisionnement en vivres, l’équipage « bleu » reprendra la mer avec l’Améthyste pour quatre mois de mission.

photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

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18 mai 2015 1 18 /05 /mai /2015 06:55
Découvrir le 519e GTM

 

16/05/2015 Armée de Terre

 

Le 519e groupe de transit maritime (519e GTM) a chargé un navire civil affrété (un bateau civil chargé de matériel militaire) dans le port de Toulon en mars dernier. Ce navire avait pour objectif de faire plusieurs escales dans l'Océan Indien, en passant par la mer Méditerranée et le canal de Suez.

 

Le 519e GTM, basé à Toulon, faire preuve de savoir-faire particuliers. Ce groupement est un organisme à vocation interarmées Terre (OVIA Terre). Il s'agit de l'unité d'appui à la projection et de soutien au ravitaillement par voie maritime des armées. Il a vocation à garantir la capacité d'entrée en premier par voie maritime, sur un théâtre d’opération pour les forces armées françaises.

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28 avril 2015 2 28 /04 /avril /2015 07:55
Le sous-marin de sauvetage Nemo posé sur le SNA Rubis en rade de Toulon. (Photo Marine nationale)

Le sous-marin de sauvetage Nemo posé sur le SNA Rubis en rade de Toulon. (Photo Marine nationale)

 

27/04/2015 LeMarin.fr

 

Pour la première fois, les marins d’un sous-marin nucléaire d’attaque français ont été évacués à l’aide du sous-marin de sauvetage de l’Otan Nemo. L’entraînement a validé la procédure de transfert. Cela s’est passé à l’occasion del’ exercice Soleil du sud, du 20 au 24 avril en rade de Toulon.

 

Suite de l’article

Le Nemo a été mis à l'eau à partir du bâtiment de soutien Jason. (Photo Marine nationale)

Le Nemo a été mis à l'eau à partir du bâtiment de soutien Jason. (Photo Marine nationale)

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 13:55
Le Birot et le Changbai Shan photo MT Bisson Marine nationale

Le Birot et le Changbai Shan photo MT Bisson Marine nationale

 

10 Février 2015 Source : Marine nationale

 

Le 7 février 2015, l’aviso Commandant Birot, jusque-là en patrouille de surveillance dans les approches maritimes, est allé au-devant de trois navires chinois afin de les accueillir dans les eaux françaises.

 

Le groupe composé du bâtiment de transport de chalands de débarquement Changbai Shan, de la frégate Yuncheng et du pétrolier-ravitailleur Chao Hu, actuellement en déploiement en Europe, est entré dans les eaux territoriales françaises en fin de matinée. Le bâtiment français a escorté les unités chinoises et leur a ouvert la voie jusqu’à la rade de Hyères, où les trois bâtiments ont mouillé en attendant leur entrée dans le port de Toulon. A cette occasion, trois officiers chinois sont venus à bord afin d’échanger et de préparer les activités de coopération opérationnelle qui auront lieu après l’escale.

 

Escorte du LPD Changbai-Shan dans les eaux territoriales - photo MT Bisson Marine nationale

Escorte du LPD Changbai-Shan dans les eaux territoriales - photo MT Bisson Marine nationale

Le 9 février au matin, les quatre bâtiments ont appareillé en direction de Toulon en franchissant les petites passes de l’île de Porquerolles. Une fois le groupe chinois arrivé à bon port, l’aviso Commandant Birot a fait route vers le large, reprenant sa mission.

 

 

 

Le Birot et le Chao Hu au mouillage en rade d'hyere - photo MT Bisson Marine nationale

Le Birot et le Chao Hu au mouillage en rade d'hyere - photo MT Bisson Marine nationale

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6 février 2015 5 06 /02 /février /2015 17:50
Sortie d’arrêt technique pour l’aviso CDT Bouan

 

4 février 2015 par Aviso CDT Bouan

 

Le 30 octobre 2014, dans le cadre d’un arrêt technique de trois mois, l’aviso « Commandant Bouan » a été mis en cale sèche dans le grand bassin Vauban Nord-Est à Toulon. Sous la houlette du titulaire du contrat d’entretien des avisos, CNN/MCO, les marins du bâtiment assistés d’organismes extérieurs ont consacré cette période à la conduite de nombreux travaux d’entretien, de réparation et de modernisation parmi lesquels on peut mentionner la visite des lignes d’arbres propulsives, la mise à niveau des moyens de transmission (OMAR HF HD) et des réseaux IP (RIFAN II) et la visite totale de l’un des trois diesels alternateur.

 

Dans une livrée immaculée, le « Commandant Bouan » a repris la mer à la fin du mois de janvier afin de conduire de nombreux essais de bon fonctionnement. Selon le commandant, les marins attendaient avec impatience ces premiers jours de mer afin de se réapproprier leur bâtiment et mesurer l’ampleur et les bienfaits des travaux récemment accomplis.

 

Le « Commandant Bouan » est de nouveau apte à assumer l’ensemble de ses missions et partira très prochainement pour assurer la relève de l’aviso « Lieutenant de vaisseau Lavallée » dans le cadre de la mission « Corymbe »

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6 février 2015 5 06 /02 /février /2015 07:56
Collecte de dons de sang à bord du BPC Mistral par le CTSA de Toulon

 

3 février 2015 par BPC Mistral

 

Le centre de transfusion sanguine des armées (CTSA) s’est rendu à bord du BPC « Mistral » le 15 janvier 2015, pour organiser une collecte de dons de sang. En effet, cette période de l’année est souvent marquée par une démobilisation des donneurs, alors que CTSA a plus que jamais besoin d’entretenir ses stocks compte-tenu de l’engagement actuel des forces armées, que ce soit sur les théâtres d’opérations extérieures ou dans les opérations de maintien de l’ordre sur le territoire national. Ce centre doit collecter environs 240 dons par semaine pour entretenir ses stocks. Les blessés de guerre sont très souvent hémorragiques et la prise en charge d’un seul blessé hémorragique très grave peut nécessiter des produits sanguins issus de plusieurs dizaines de dons.

 

L’équipage du « Mistral » et les marins des bâtiments amarrés à proximité se sont sentis particulièrement concernés puisque leur générosité a permis de récolter pas loin d’une centaine de dons. Le « Mistral » avec son hôpital de plus de 800 m2 s’est par ailleurs avéré parfaitement adapté pour ce type d’opération, incitant ainsi à renouveler l’expérience dans les prochains mois.

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5 février 2015 4 05 /02 /février /2015 19:55
Les Journées de réflexion sur la Sécurité des Sous-marins

 

4 Février 2015 LV Thierry Maguet Marine nationale

 

Les 2 et 3 février 2015 se sont déroulées à Toulon les Journées de réflexion sur la Sécurité des Sous-Marins (JSSM). Les conférences et tables rondes organisées à cette occasion visaient toutes à consolider la démarche « maitrise des risques », dans laquelle les forces sous-marines sont résolument engagées notamment dans tous les domaines bien connus (sécurité nucléaire, plongée, générale, nautique), mais également dans le domaine transverse du facteur humain.

 

Ces deux journées ont aussi été un moment privilégié pour partager le retour d’expérience au sein des forces sous-marines mais également pour l’Agence spatiale européenne (ESA), dans forces de surface et les forces sous-marines britanniques.

 

Placées sous la présidence du vice-amiral d’escadre (VAE) Louis-Michel Guillaume, commandant les forces sous-marines et la force océanique stratégique (ALFOST), ces journées se sont déroulées à Toulon, au foyer de La Naïade et dans les locaux de l’Escadrille des sous-marins nucléaires d’attaque (ESNA).

 

L’objectif des JSSM est d’offrir aux équipages et au personnel chargé du soutien des sous-marins un lieu de réflexion, d’échange d’expérience et de confrontation d’idées, dans la plus grande liberté de ton. Le thème retenu pour cette édition était la gestion de l’atmosphère en milieu confiné et habité.

 

Notons aussi, que de nombreux invités extérieurs aux forces sous-marines sont venus témoigner de leur expérience en matière de sécurité des systèmes complexes. Etaient également présents, Mme Duvaux-Bechon et M. Lasseur de l’ESA, l’ingénieur général Dugué de la direction générale de l’armement (DGA), le commander Simpson de la Royal Navy, ainsi que le  capitaine de vaisseau  Fontarensky de la division entrainement de la force d’action navale et de Mme Peel (DGA), du médecin chef des services  Cuvillier et du médecin principal Leclercq tous deux des forces sous-marines.

 

Ces conférences ont aussi permis de nourrir la réflexion et les échanges lors des tables rondes sur les thèmes généraux de la sécurité.

 

Comme l’a rappelé le vice-amiral d’escadre Guillaume, « le progrès technique n’est pas synonyme d’amélioration de la sécurité, les ruptures technologiques annoncées sur le projet Barracuda, vont accroître l’insécurité. Il va falloir apprendre le Barracuda et adapter une démarche humble, pragmatique et de bon sens.».

 

La maîtrise du risque dans les activités opérationnelles, la sécurité classique et nucléaire à bord des sous-marins ainsi que la prise en compte du facteur humain dans ses différents aspects individuels et collectifs étaient ainsi au cœur des JSSM 2015.

 

Tous ces échanges se traduiront rapidement dans les unités par des actions concrètes  dont les résultats seront évalués lors de la prochaine édition des JSSM.

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10 janvier 2015 6 10 /01 /janvier /2015 12:55
Les conférences du Service historique de la défense de Toulon: 14-18, la Marine en guerre

 source illustration : La Plume et le Canon

 

07.01.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense


Le Service Historique de la Défense à Toulon organise un cycle de conférences avec un accès gratuit et sans réservation dans le bâtiment de la Corderie Royale à proximité de la place d’armes à Toulon.

 

Voici les dates et les sujets abordés:

 

Jeudi 22 janvier 2015, 17h30. La situation de la Marine à la veille de la guerre. Par Jean de Préneuf, Maître de conférences à l'Université de Lille - UMR CNRS IRHiS 8529 -, LV ® au SHD.

Jeudi 12 février 2015, 17h30. La Grande guerre sur mer. Par Martin Motte, docteur en histoire, directeur d'études à l'EPHE, LV® au CESM.

Jeudi 26 mars 2015, 17h30. Le barrage d’Otrante. Par Thomas Vaisset, docteur en histoire, chargé de recherches et d’enseignement à la division Marine du Département études enseignement du SHD, chargé de cours à l’Ecole de Guerre.

Jeudi 23 avril 2015, 17h30. Dartige du Fournet et la crise d’Athènes. Par l’Amiral Benoit Chomel de Jarnieu.

Jeudi 28 mai 2015, 17h30. Le blocus allié pendant la Première Guerre mondiale Par Mme Emmanuelle Braud, chargée d’études documentaires, adjointe du conservateur du SHD Toulon.

Jeudi 18 juin 2015, 17h30. L’engagement des troupes coloniales sur le front d’Orient. Par le Chef de Bataillon Philippe Roudier, conservateur du musée des troupes de marine de Fréjus.

Jeudi 23 juillet 2015, 17h30. La guerre sous-marine en Méditerranée et Adriatique. Par Schwerer, Docteur en droit et économie des entreprises.

 

Pas de conférence en août

 

Automne 2015 ouverture au Musée de la Marine de Toulon de l’exposition "Marines en Méditerranée 1914-1918". Co-commissariat : Musée de la Marine de Toulon, Service historique de la Défense Toulon, Musée d’histoire maritime de Saint-Tropez.

 

Jeudi 24 septembre 2015, 17h30. La défense des côtes en Méditerranée. Par Frédéric Saffroy, docteur en histoire, avocat à la cour.

Jeudi 22 octobre 2015, 17h30. Les marins tropéziens durant la Première guerre mondiale : une population maritime à l’épreuve de la guerre. Par Laurent Pavlidis, docteur en histoire, responsable du musée d'histoire maritime de Saint-Tropez.

Jeudi 19 novembre 2015, 17h30. Les navires-hôpitaux. Par Bernard Broussolle, médecin général inspecteur (2s), membre de l’académie du Var.

Jeudi 17 décembre 2015, 17h30. (sous réserves de confirmation) L’aviation maritime pendant la première guerre ou: La pyrotechnie de Toulon pendant la première guerre.

Les conférences du Service historique de la défense de Toulon: 14-18, la Marine en guerre

cote A02324 © Photo Marius Bar-Toulon

 

Note RP Defense : voir le site NAVIRES DE LA GRANDE GUERRE

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12 décembre 2014 5 12 /12 /décembre /2014 17:55
DCNS teste de nouveaux outils de lutte anti-terroriste et anti-piraterie

 

12.12.2014 DCNS

 

DCNS vient de tester avec succès, en rade de Toulon, un démonstrateur en temps réel de lutte asymétrique contre les attaques terroristes et de piraterie. Fruit de plusieurs années de recherche et de développement, ce système de DCNS intègre des technologies de pointe : vidéo ultra-haute définition et haute sensibilité, réalité augmentée, algorithmes puissants de détection de comportements menaçants… L’objectif est d’accélérer la prise de décision et d’empêcher les dommages collatéraux en situation de défense rapprochée.

 

Les équipes de DCNS ont expérimenté, le 10 décembre 2014, le démonstrateur d’un nouveau système de lutte contre la piraterie et le terrorisme en mer. La Marine nationale a apporté son soutien tant technique qu’opérationnel à ce test grandeur nature durant lequel des attaques maritimes terroristes ou de pirates ont été simulées. Le système de lutte de DCNS a permis de mettre en œuvre rapidement une défense efficace en zone littorale, là où se déroulent essentiellement les missions de lutte anti-piraterie.

 

Constitué d’un réseau de caméras ultra-haute définition à 360 degrés, l’outil développé par DCNS assure une veille sur plusieurs kilomètres autour du navire. Des informations captées par les caméras se superposent aux images de la réalité augmentée afin de faciliter l’analyse des différents objets mobiles à proximité (navires de plaisance, pêcheurs… ou pirates). En cas de mouvements suspects, un opérateur peut utiliser un zoom très puissant, pour confirmer ou non la menace. Une riposte peut alors être mise en œuvre, du simple avertissement sonore ou lumineux, jusqu’au tir de sommation ou d’arrêt. Grâce à une caméra fixée sur l’arme, le Commandant du navire vérifiant au préalable, dans ce cas, qu’il n’y a pas de risques de dommages collatéraux.

 

La situation à 360 degrés est affichée en permanence, en temps réel, sur un écran dans la passerelle du navire, visible par le Commandant du navire et par tous les opérateurs de défense rapprochée. Chacun partage ainsi les mêmes informations au même moment, dans une approche collaborative, que l’on retrouve dans le concept de passerelle de navire de combat du futur de DCNS, présenté par le Groupe au salon Euronaval 2014. Compatible avec un grand nombre de navires, ce système peut fonctionner seul ou être intégré à un système de management de combat (CMS) pour bénéficier des informations fournies par les autres capteurs du navire notamment ceux embarqués sur des drones aéronautiques.

 

Le développement de ce démonstrateur est l’aboutissement de plusieurs années de recherche de DCNS. Pour le réaliser, DCNS s’est associé à des PME innovantes aux expertises complémentaires. Avec cette capacité supplémentaire, DCNS apporte aux Marines une réponse concrète face aux risques croissants d’attaques terroristes (embarcation-suicide, embuscade…) ou d’actes de piraterie.

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4 novembre 2014 2 04 /11 /novembre /2014 19:55
photo CCI Var

photo CCI Var

 

29/10/2014 Nelly HOETZEL, déléguée régionale - MinDef/SGA/DAR

 

Les acheteurs du ministère au contact des entreprises

 

Le 21 octobre 2013 au Palais des Congrès de Toulon, les PME de la région PACA ont eu l’opportunité de mieux appréhender sur les marchés du ministère de la Défense. Cette rencontre, organisée par la CCI du Var en partenariat avec le ministère de la Défense -première du genre à l'échelle régionale- a engendré en une seule journée plus de 1600 rendez-vous entre les entreprises locales et les 80 acheteurs de la Défense ou des grands donneurs d'ordres.

 

Alors que le Var est le premier département militaire de France et après les conventions d’affaires de 2012 à Hyères, de 2013 à Draguignan, c’est au palais des congrès de Toulon que le président de la CCI du Var et M. Gérard Gibot, adjoint du secrétaire général pour l’administration (SGA) du ministère de la Défense, ont ouvert la séance plénière de cette 3ème convention d’affaires Défense.

 

Dans son mot d’introduction, M. Gibot a rappelé que la Défense représente chaque année 17 milliards d’euros d’achats : 68 % pour les marchés d’armement et 32 % pour les achats de soutien.

 

Si ce type d’évènement à Toulon offre de nouvelles opportunités de marchés pour les entreprises de la région PACA, c’est aussi une opportunité pour le ministère de la Défense de générer 10 % de gains par an et de traiter avec des PME plus performantes et plus innovantes dans le cadre de la modernisation de sa politique d’achat et dans un contexte de restructurations.

 

Mieux connaître l'état de l'offre par segment, soutenir la concurrence, identifier les innovations constituent des leviers de cette performance

 

Ces conventions permettent aux PME de mieux connaître les procédures d'achats et de paiement mises en œuvre par le ministère de la Défense, premier acheteur public du pays.

 

Ouverte à toutes les entreprises de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, fournisseurs des achats généraux, technologiques et scientifiques du ministère de la Défense, la rencontre à Toulon a rassemblé plus de 500 entreprises.

 

Les acheteurs du ministère ont eu également l’opportunité d’affiner leur connaissance de l'état de l'offre sur leurs segments d'achat, en région PACA, et de découvrir de nouveaux partenaires potentiels. Dans le Var, les acheteurs du ministère sont basés au sein de la base de défense (BDD) de Toulon qui est la plus importante de France et celle de Draguignan ou encore à la plate- forme achats finances (PFAF) de Toulon. Ils réalisent des achats de tous ordres pour assurer le fonctionnement quotidien des entités militaires situées en PACA, Languedoc Roussillon et Corse.

 

Présentation du PRED PACA : une nouveauté à la clé

 

Lors de la plénière, la déléguée régionale aux restructurations de défense a également présenté son rôle au sein du pôle régional à l’économie de défense (PRED) PACA. Sa mission de conseil consiste à aider les PME-TPI à identifier le meilleur contact dans leurs recherches d’un service acheteur ou autre du ministère de la Défense.

 

Nouveauté du programme en 2014 : les achats sont de plus en plus liés au maintien en condition opérationnelle (MCO) naval, terrestre et aéronautique, ainsi que la présence des acheteurs des grands donneurs d'ordre (Airbus Helicopters, CNIM, CNN, Dassault Aviation, DCNS, Thales ...).

 

Les achats hors armement concernent des domaines très variés tels que les services généraux (gardiennage, nettoyage des locaux, entretien d'espaces verts ...), l'infrastructure (maintenance des bâtiments, travaux tous corps d'Etat ...), la santé, l'informatique, la maintenance des équipements (maintenance navale, aéronautique, terrestre), le soutien et l'équipement du combattant, l’alimentation etc…

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13 octobre 2014 1 13 /10 /octobre /2014 07:54
Toulon : le ministre de la défense visite les forces de soutien

 

10/10/2014 Marine nationale

 

Le 10 octobre 2014, Jean-Yves Le Drian, ministre de la défense, s’est rendu à Toulon pour effectuer une visite axée sur la thématique du « soutien ». Quelques mois après le lancement de la transformation du soutien 2014-2019, cette visite s’inscrit dans une dynamique de mise en cohérence du soutien avec les contrats opérationnels définis dans le Livre Blanc. La transformation du soutien implique la rénovation des grandes fonctions d’administration du ministère et la simplification de l’organisation territoriale pour améliorer la qualité des services rendus aux forces et aux formations soutenues en base de défense.

 

Après avoir reçu les honneurs à sa descente de l’avion sur la base aéronautique navale d’Hyères, le ministre a visité la caisse nationale militaire de sécurité sociale (CNMSS). Ensuite, le contre-amiral Eric Schérer, commandant la base de défense de Toulon, acteur central de la coordination du soutien, lui a exposé l’articulation du soutien au sein de la base navale de Toulon.

 

Après s’être fait présenter les aspects « alimentation » et « logistique », le ministre s’est rendu au bassin Vauban, zone de la base navale dans laquelle la frégate anti-aérienne Cassard est actuellement en arrêt technique majeur.

 

Comme l’a rappelé le ministre lors de son allocution en fin de journée, « le soutien est un axe stratégique majeur essentiel pour préserver la qualité opérationnelle de nos forces » avec comme logique la poursuite de plusieurs objectifs : « la simplification des processus, la suppression des doublons, l’amélioration des organisations et la qualité de la gouvernance ».

 

Enfin, le ministre a témoigné sa satisfaction au regard de « la volonté de tous les acteurs, à tous les niveaux de la hiérarchie, de faire en sorte que les soutiens soient à la hauteur des attentes des soutenus, et donc à la hauteur des attentes opérationnelles au profit de la sécurité de la France. Je suis très heureux de cette détermination ».

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7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 19:30
photos Marine Nationale

photos Marine Nationale

 

07/10/2014 Sources : Etat-major des armées

 

Le 6 octobre 2014 en fin de journée, la frégate anti-aérienne Jean Bart a appareillé de Toulon pour rejoindre la force Chammal déployée dans le golfe arabo-persique.

 

Cette projection s’inscrit dans le cadre du renforcement du dispositif français décidé par le Président de la République le 1er octobre 2014. La frégate anti-aérienne Jean Bart et son équipage d’environ 250 marins rejoignent un dispositif composé de 9 avions Rafale, d’un avion ravitailleur C135-FR et d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2. Ce dispositif est complété par plusieurs officiers de liaison insérés dans les structures de commandement alliées de la région.

 

La frégate Jean Bart participera, en lien étroit avec nos alliés, au contrôle aérien de l’ensemble des moyens présents sur zone.

 

De février à mai 2014, le Jean Bart avait déjà été déployé en océan Indien dans le cadre de l’opération Enduring Freedom (OEF) qui vise à lutter contre le terrorisme et les trafics illicites dans la zone océan Indien. A cette occasion, le Jean Bart avait été intégré durant une dizaine de jour dans le groupe aéronaval américain constitué autour du porte-avions USS Bush.

 

Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste Daech.

Opération Chammal : appareillage de la frégate Jean Bart
Opération Chammal : appareillage de la frégate Jean Bart
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