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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 12:50
Airbus DS présente le PZL 130 Orlik MPT

Roll out de l’avion d’entrainement militaire PZL 130 Orlik MPT dans l’usine PZL (Airbus Defense & Space) de Varsovie

 

11 mars Aerobuzz.fr

 

Airbus Defense and Space (ex Airbus Military) a présenté, le 11 mars 2014, dans l’usine PZL de Varsovie, l’avion d’entraînement militaire PZL 130 Orlik MPT (Multi Purpose Trainer). Il s’agit d’une nouvelle version « Glass cockpit » du biplace développé par le constructeur polonais PZL passé depuis sous le contrôle d’Airbus. Ce nouveau modèle est une évolution de l’Orlik TC II Garmin actuellement en service dans l’armée de l’air polonaise. Le cout de développement de l’Orlik MPT est de 9,5 M€. Airbus Defense and Space estime à 16.000 unités sur les 10 ans à venir, le marché pour ce type d’avion d’entrainement polyvalent.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 12:35
Pakistan - C-130 Fleet Upgrade Program

 

 

Mar 11, 2014 ASDNews Source : Defense Security Cooperation Agency (DSCA)

 

The Defense Security Cooperation Agency notified Congress today of a possible Foreign Military Sale to Pakistan for a C-130 Fleet Upgrade Program and associated equipment, parts, training and logistical support for an estimated cost of $100 million.

 

The Government of Pakistan has requested a possible sale of C-130B/E avionics upgrades, engine management and mechanical upgrades, cargo delivery system installation, and replacement of outer wing sets on six aircraft.  Also included are spare and repair parts, support equipment, publications and technical documentation, personnel training and training equipment, U.S. Government and contractor technical and logistics support services, and other related elements of logistics support.  The estimated cost is $100 million.

 

This proposed sale will contribute to the foreign policy and national security of the United States by helping to improve the security of a Major Non-NATO ally which has been, and continues to be, an important force for regional stability and U.S. national security goals in the region.

 

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 12:50
Des boîtes noires en série sur les Airbus Helicopters

Fourni par Appareo, l’enregistreur équipera à terme tous les hélicoptères Airbus. photo Appareo
 

10 mars 2014 par Thierry Dubois – Aerobuzz.fr

 

Airbus Helicopters a décidé de doter tous ses modèles d’un petit enregistreur fourni par l’Américain Appareo. Objectif : une sécurité améliorée à un coût abordable.

 

Airbus Helicopters va progressivement équiper tous ses hélicoptères d’un enregistreur d’images et de données de vol. C’est déjà le cas de tous les monoturbines AS350 Ecureuil sortis depuis début 2013. Les prochains sur la liste sont l’EC130 T2 et l’EC135, sur lesquels le système est déjà certifié.

 

Le petit Vision 1000, codéveloppé avec Appareo, enregistre quatre images par seconde et le bruit ambiant. S’y ajoutent un GPS et une centrale à inertie qui donne les angles de roulis, tangage et lacet. L’appareil est fixé au plafonnier, derrière les têtes des pilotes, de façon à voir le tableau de bord et l’extérieur.

Il permettra ainsi de généraliser l’enregistrement des données de vol sur hélicoptère. Car les CVFDR – les classiques « boîtes noires », très complètes et résistantes mais chères – ne sont obligatoires que pour le transport public de passagers au-delà d’une certaine masse au décollage. En pratique, dans la gamme Airbus, seuls les Dauphin et les Super Puma sont concernés. « Nous voulons aller plus loin que la réglementation pour être innovants et proposer un nouveau standard de sécurité, » explique Gilles Bruniaux, responsable de la sécurité des hélicoptères en service chez Airbus Helicopters. Il assure que le surcoût sera acceptable.

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En généralisant les enregistreurs, Airbus Helicopters assure viser un nouveau standard de sécurité.  photo Appareo

D’autant que le rapport prestation/prix, par rapport à un CVFDR, est vu comme avantageux. « On a moins de paramètres et la résistance au crash et au feu est moins bonne mais cela reste très intéressant : l’image donne des indications sur la météo, les obstacles et les actions du pilote  », poursuit Gilles Bruniaux.

On peut utiliser le Vision 1000 comme moyen de prévention, en faisant de l’analyse des vols avec un logiciel spécifique. Un bémol dans ce cas : il n’existe pas d’obligation d’analyse des vols chez les petits opérateurs. « Nous comptons sur leur bonne volonté », reconnaît Gilles Bruniaux. Il espère créer des incitations grâce à un partenariat avec une compagnie d’assurance.

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En matière de prévention, on peut analyser les données de vol afin de « rejouer » un vol et détecter d’éventuels problèmes. photo Appareo

L’enregistreur léger doit aussi être une source d’information importante dans une enquête après un accident. Airbus Helicopters a ainsi décidé d’installer, à terme, ce type d’enregistreur sur toute sa gamme. Car, même sur les appareils déjà munis de CVFDR, l’apport de l’image devrait le rendre utile dans les enquêtes.

Le système complet pèse environ 300 grammes. Il est intégré en une seule unité ; il lui faut juste deux câbles pour l’alimentation et l’antenne GPS, indique Gilles Bruniaux. On peut envisager une installation a posteriori pour quelques milliers d’euro.

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 17:35
Video: Textron’s new Scorpion attack jet at the Singapore Airshow

 

 

March 10, 2014 stratpost.com

 

Textron Systems showcased its newly-developed Scorpion ISR light attack aircraft at the Singapore Airshow 2014 besides the Shadow M2 and Aerosonde UAVs.

 

Textron Systems showcased its newly-developed Scorpion ISR light attack aircraft at the Singapore Airshow 2014, besides the Shadow M2 Tactical Unmanned System and the Aerosonde Mk 4.7 Small Unmanned Aerial Vehicle.

 

Textron Systems’ Brian Feser says the Scorpion would cost USD 20 million per aircraft and has a cost per flight hour of USD 3000.

 

Produced by Shruti Pushkarna

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 14:35
Le Rafale franchit une étape importante en Inde

 

 

10/03 Par Alain Ruello et Patrick de Jacquelot – LesEchos.fr

 

Dassault et ses partenaires locaux, HAL en tête, ont conclu l’accord de transfert de technologie. Le sort de la vente des 126 Rafale est désormais dans les mains du prochain gouvernement.

 

La vente des 126 Rafale à Inde vient de franchir une étape importante, à défaut d’être décisive. Dassault et ses interlocuteurs industriels locaux, au premier rang desquels Hindustan Aeonautics Limited (HAL), on conclu récemment l’accord de transfert de technologie qui constitue le cœur du contrat en cours de négociation.

L’information a été dévoilée il y a une semaine par la télévision locale NDTV , mais est passée relativement inaperçue, en France notamment. «  Il y a eu un accord sur la répartition des tâches, qui fait quoi, comment et surtout qui est responsable. Il a été soumis au gouvernement indien », confirme-t-on aux « Echos » de source proche.

Début février 2012, le Rafale a remporté l’appel d’offres de New Delhi portant sur l’achat de 126 avions de combat, destiné à remplacer les escadrons de vieux Mig. Boeing, Lockheed Martin, Eurofighter, Saab, Mig, Soukhoï et donc Dassault : la compétition a vu le gratin de l’aéronautique de combat s’affronter. Elle a donné lieu à des tests très poussés de chacun des appareils dans le désert au dans l’Himalaya. Même si elle n’a jamais été complètement corroborée, la somme en jeu donne le vertige puisqu’on on évoque un contrat de plus de 10 milliards de dollars.

 

« Boulot de dingue »

Dans son appel d’offres, New Delhi a imposé que du 19e au dernier Rafale, soit 108 des 126 exemplaires prévus, la production et l’assemblage se fassent en Inde, ce qui suppose que l’industrie locale monte en cadence progressivement en terme de savoir-faire (les 18 premiers sortiront de l’usine de Mérignac, ce qui représente un an et demi de production aux cadences actuelles).

Dans un en entretien à Europe 1 le 19 février , Laurent Collet Billon, le délégué général pour l’armement, avait indiqué mi-février que la liste des entreprises sous-traitants de HAL avait été arrêtée. Un pas de plus a donc été franchi depuis, avec cet accord de partage des tâches industrielles entre Dassault et HAL. « Ca a été un boulot de dingue et c’est pour cela a pris deux ans. On est descendu jusqu’à la vis de 4 », toujours de la même source.

 

Pourvoir d’achat réduit

Selon NDTV, le radar du Rafale sera construit par Bharat-Electronics Ltd (BEL) à Bangalore par exemple. Dassault s’inquiétant de la coordination entre BEL et HAL, ce dernier aurait accepté d’installer une unité de fabrication à côté de celle de son partenaire. Les deux gouvernements travaillent par ailleurs à un accord d’Etat à Etat certifiant que l’avionneur tricolore assurera la fourniture et l’entretien des Rafale pendant 40 ans.

Cette étape franchie, rien ne devrait se passer maintenant d’ici aux élections législatives de mai. C’est le gouvernement qui sortira des urnes qui décidera du destin de ce contrat pharaonique. A priori, il y réfléchira à deux fois avant de remettre en cause tout ce qui a été négocié sous l’égide de son prédécesseur. Mais rien n’interdit non plus qu’il le fasse quitte à repousser de nombreux mois la conclusion de l’affaire, d’autant le pouvoir d’achat du ministère indien de la défense s’est considérablement réduit.

Contacté, Dassault n’a pas souhaiter commenter.

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7 mars 2014 5 07 /03 /mars /2014 17:35
Singapour s'offre six avions ravitailleurs MRTT d'Airbus Group

L'importante capacité d'emport de carburant de base (111 tonnes) de l'avion de ligne A330-200 permet à l'A330 MRTT d'exceller dans les missions de ravitaillement en vol

 

07/03/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Singapour a confirmé l'acquisition de six avions ravitailleurs A330-200 MRTT à Airbus Group. Un contrat estimé à 1 milliard d'euros.

C'était un secret de polichinelle depuis plusieurs semaines. Singapour a signé un contrat d'acquisition avec Airbus Defence and Space pour la fourniture de six avions de ravitaillement en vol de nouvelle génération A330 MRTT (Multi-Role Tanker Transport) destinés aux forces aériennes de la république singapourienne RSAF (Republic of Singapore Air Force). Un contrat d'environ 1 milliard d'euros qui a été signé en 2013.

Selon nos informations, cette commande d'A330 MRTT, destinés à remplacer les Boeing KC-135 de la RSAF vieillissants, aurait été annoncée aux autorités françaises par le Premier ministre singapourien, Lee Hsien Loong, lors de son passage à Paris fin octobre. Sur ce milliard, environ un tiers (fuselage de l'A330-200) seulement sera comptabilisé dans les exportations françaises. Toutefois, le ministre de la Défense de Singapour, Ng Eng Hen, ne l'a annoncé officiellement au Parlement que ce jeudi. Il n'a pas précisé le nombre d'appareils qui seront commandés, contrairement à Airbus Group dans son communiqué publié ce vendredi.

 

Singapour, cinquième client du MRTT

D'ici à 2030, "nos ravitailleurs actuels KC-135 auront été remplacés par les Airbus A330 Multi-Role Tanker Transport, que nous avons décidé d'acquérir", a déclaré le ministre de la Défense singapourien lors d'un débat sur le budget de l'Etat. "Le MRTT peut transporter 20 % de carburant de plus que nos KC-135", a-t-il fait valoir. "Cette décision confirme le statut incontesté de l'A330 MRTT, l'avion de ravitaillement et de transport le plus avancé au monde, et atteste de son adéquation parfaite pour une utilisation dans la région Asie-Pacifique", a expliqué pour sa part le directeur de l'unité Military Aircraft au sein d'Airbus Defence and Space, Domingo Ureña Raso, cité dans le communiqué d'Airbus Group.

Cette sélection fait de Singapour le cinquième pays à opter pour l'A330 MRTT,  après l'Australie, l'Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis et le Royaume-Uni, qui ont commandé 28 exemplaires au total. En Inde, les dernières négociations contractuelles sont actuellement en cours pour six appareils. 17 avions au total sont actuellement en service au sein des quatre premières nations.

 

Et la France ?

La France doit également passer une première commande de deux appareils à Airbus Military, selon "Le Journal de l'Aviation". La France a prévu de commander au total 12 MRTT, selon le Livre Blanc de la défense et de la sécurité nationale en vue de renouveler sa flotte d'avions ravitailleurs, dont certains exemplaires (Boeing) approchent les 50 ans d'âge.

L'A330 MRTT a rendu les armes seulement deux fois dans les compétitions auquel il a participé. Aux Etats-Unis en 2011 après un combat de titans face à Boeing pour le contrat du siècle qui représentait 179 avions ravitailleurs pour une valeur totale de 35 milliards de dollars. Plus récemment au Brésil, Airbus a dû affronter un concurrent israélien, qui proposait la modernisation de KC-767 de Boeing à des prix extrêmement bas.

 

Le MRTT, un avion polyvalent

Conçu sur la base des long-courriers A330-200, l'A330 MRTT "a prouvé, en service, sa polyvalence en tant qu'avion de ravitaillement et de transport", a précisé Airbus Group dans son communiqué. L'importante capacité d'emport de carburant de base (111 tonnes) de l'avion de ligne A330-200 permet à l'A330 MRTT d'exceller dans les missions de ravitaillement en vol, sans l'adjonction de réservoir supplémentaire.

L'A330 MRTT est proposé avec un choix de systèmes de ravitaillement incluant la perche caudale ARBS (Aerial Refuelling Boom System) d'Airbus Defence and Space et/ou une paire de nacelles tuyau/panier sous voilure et/ou un système ventral tuyau/panier FRU (Fuselage Refuelling Unit). Grâce à son large fuselage, l'A330 MRTT peut servir d'avion de transport, capable de transporter jusqu'à 300 soldats ou 45 tonnes de charge utile. Il peut également être décliné en version d'évacuation sanitaire (MEDEVAC) et recevoir jusqu'à 130 civières.

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7 mars 2014 5 07 /03 /mars /2014 13:20
photo Dassault

photo Dassault

Dassault Aviation et la Direction générale de l'armement (DGA) ont obtenu le prix "Laureate Awards" pour le programme européen de drone de combat Neuron

 

07/03/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le célèbre avionneur tricolore et la Direction générale de l'armement (DGA) ont obtenu le prix "Laureate Awards" pour le programme européen de drone de combat Neuron lors d'une cérémonie organisée par le magazine américain Aviation Week.

 

Lors d'une cérémonie organisée jeudi à Washington DC par le magazine américain aéronautique et spatial Aviation Week, Dassault Aviation et la Direction générale de l'armement (DGA) ont été déclarés vainqueurs des Laureate Awards dans la catégorie défense pour le programme européen de drone de combat Neuron.

Ce prix, qui honore les valeurs et l'esprit pionnier de l'industrie aérospatiale et de défense en général, récompense les défis technologiques relevés et les solutions industrielles d'avant-garde imaginées pour développer la première grande plate-forme aérienne furtive en Europe, le démonstrateur technologique Neuron.

 

Le Neuron Lancé en 2003

Lancé par le gouvernement français en 2003, ce programme, dont la maîtrise d'oeuvre a été confiée à Dassault Aviation, vise à démontrer la maturité et l'efficacité des solutions techniques qui préfigureront l'avenir de l'industrie de l'aviation de combat au cours des vingt prochaines années.

"La nécessité de mettre au point des technologies stratégiques, de conserver des compétences de pointe dans des domaines où l'industrie française a acquis un savoir-faire d'excellence, et de fournir une charge de travail aux bureaux d'études, a fait du nEUROn l'un des programmes phares du secteur de la défense", a expliqué Dassault Aviation dans un communiqué.

 

Vol inaugural en décembre 2012

photo Dassault

photo Dassault

Le succès du vol inaugural du Neuron, le 1er décembre 2012, a validé "l'aptitude de l'industrie française à préparer l'avenir des systèmes aériens de combat avec ou sans pilote à bord", a précisé Dassault Aviation. Il illustre également la volonté de la France de rester un acteur de premier ordre dans l'édification de la défense de demain.

Notifié à Dassault Aviation par la DGA en 2006 ainsi que les contrats de partenariats industriels pour un coût de 400 millions d'euros, le programme Neuron associe la France, l'Italie, la Suède, l'Espagne, la Grèce et la Suisse. Sous la maîtrise d'oeuvre de Dassault Aviation, le programme a été construit "pour fédérer les compétences et les savoir-faire" d'Alenia Aermacchi (Italie), Saab (Suède), EADS-Casa (Espagne), HAI (Grèce), Ruag (Suisse) et Thales (France).

Le drone de combat Neuron de Dassault "oscarisé" à Washington
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6 mars 2014 4 06 /03 /mars /2014 08:20
Boeing fait voler son Challenger 604 de surveillance maritime

 

 

05/03/2014 Par Guillaume Steuer - air-cosmos.com

 

Annoncé en 2012 à l'occasion du salon de Farnborough, le projet Boeing MSA (Maritime Surveillance Aircraft) prend forme. L'avionneur américain annonce avoir procédé le 28 février au premier vol de certification d'un jet d'affaires Challenger 604 dont la cellule a été modifiée pour recevoir des capteurs et un système de mission dérivés de ceux du P-8 Poseidon de patrouille maritime.

 

C'est la société Field Aviation, chargée de ces travaux de modification, qui a mené ce vol inaugural de quatre heures. Celui-ci s'est déroulé depuis l'aéroport international de Toronto. Boeing souligne que le calendrier serré de ce programme est rendu possible par des techniques de prototypage rapide mises au point dans son bureau Phantom Works, en charge des technologies avancées.

 

La modification la plus visible apportée à la cellule du démonstrateur Boeing MSA concerne l'intégration d'un radôme ventral, qui doit accueillir un radar de surveillance maritime à balayage électronique actif fourni par Selex ES. L'appareil emportera également une boule optronique Flir Systems.

 

Selon Boeing, ces essais en vol devraient durer environ deux mois. A l'issue de cette campagne, l'appareil rejoindra Seattle pour entamer les essais du système de mission. Ce dernier inclut également des capteurs d'écoute électronique (ESM), d'écoute des communications (Comint) et d'identification AIS, équivalent naval de l'ADS-B aérien.

 

D'après l'avionneur américain, les avantages du bizjet par rapport aux solutions existantes sur base d'avions turbopropulsés sont nombreux : vitesse de croisière accrue, meilleur champ de vision des capteurs grâce à une altitude de travail plus élevée, endurance et génération électrique supérieures, confort des opérateurs…

 

Interrogé fin 2013 par "Air&Cosmos", Boeing disait vouloir « démontrer les capacités du MSA à des clients potentiels dès 2014 ». Selon l'industriel, « trente à trente-six mois » seraient nécessaires pour livrer un appareil à compter de la signature d'un contrat. La société s'abstient évidemment de tout commentaire quant à l'identité des clients en question. Mais il est probable que l'Inde, ayant déjà fait le choix du P-8 et qui cherche une capacité complémentaire plus « légère », figure en haut de la liste des prospects de Boeing.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 19:35
Rafale : les négociations franco-indiennes progressent

 

03/03/2014 Romain Guillot journal-aviation.com

 

Un grand pas aurait été franchi pour le contrat Rafale en Inde, selon un article publié par la chaine indienne New Delhi Television (NDTV) le 3 mars.

 

L’avionneur français Dassault Aviation, seul finaliste de l’appel d’offres MMRCA depuis près de deux ans, qui prévoit l’acquisition de 126 chasseurs pour les besoins de l’Indian Air Force (IAF), aurait finalisé les grandes lignes de l’accord de répartition des tâches avec le gouvernement indien.

 

Selon des sources proches du dossier, l’entreprise publique Hindustan (HAL) assurerait 70% des travaux sur les 108 appareils produits en Inde. Le radar des futurs appareils serait, quant à lui, produit par Bharat-Electronics Ltd dans une usine située à proximité de la ligne d’assemblage de HAL à Bangalore.

 

Toujours selon NDTV, le contrat d’acquisition des Rafale ne serait pas finalisé avant les prochaines élections législatives indiennes qui s’achèveront en mai prochain, le ministère de la Défense n’ayant de toute façon pas budgétisé le contrat pour l’année fiscale en cours.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 19:20
Field Aviation Completes First Test Flight of Boeing’s Maritime Surveillance Aircraft

 

March 5, 2014. David Pugliese - Defence Watch

 

News release from Field Aviation:

 

TORONTO, ONTARIO, March 5th, 2014 – Field Aviation, a Field Aerospace company, has successfully completed its first test flight of Boeing’s Maritime Surveillance Aircraft (MSA) demonstrator. The demonstrator is a Boeing owned Challenger 604 and is the prototype platform upon which Boeing will develop its MSA program based on the Bombardier Challenger 605.

 

Field Aviation, Boeing’s teammate on the MSA program has carried out modifications to the airframe and systems which include the design, manufacture and installation of provisions for Search Radar, retractable EO/IR camera, ESM, Comint and other communication systems.

 

Following the arrival of the aircraft at Field Aviation’s Toronto facility in early 2013, a baseline flight of the aircraft was carried out to acquire and benchmark flight and handling characteristics prior to any modifications being carried out.

 

The first post modification flight took place at Toronto Pearson International Airport (CYYZ) on Friday, February 28th. The nearly four hour flight was conducted to verify that the handling qualities of the aircraft had not been affected by the airframe modifications. Field Aviation test pilot Craig Tylski reported that there were no issues with aerodynamic performance throughout the envelope and the external shapes on the aircraft did not affect the handling or control of the aircraft whatsoever.

 

Following this first fight, the MSA demonstrator has been flown to a Boeing facility in Yuma, AZ, where Field Aviation will continue working towards completion of its flight test program, leading to FAA and Transport Canada certification. Upon flight test completion, Field Aviation will deliver the modified MSA demonstrator to Boeing in Seattle for integration of the MSA’s sensors and communications subsystems.

 

Field Aviation is internationally recognized for its uniquely engineered products and services including the modification of aircraft for special mission purposes. These capabilities have made Field Aviation a world leader in the adaptation of commercial aircraft for special mission roles. Special mission aircraft modified by Field Aviation are serving governments throughout the world providing a range of essential services.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 18:20
Cobham subsidiary producing more transmitters for Navy

 

 

LANSDALE, Pa., March 5 (UPI)

 

A U.S. subsidiary of Britain's Cobham Plc is to manufacture low-band transmitters under a $21.8 million contract modification from the U.S. Navy.

 

In addition to the low-band transmitters, of LBTs, Cobham Defense Electronics will manufacture a variety of antennas and adapter interface modules for AN/ALQ-99 tactical jamming systems to be used by the U.S. Navy and the Australian military.

 

"Cobham is proud of our longstanding and successful partnership with the U.S. Navy on this critical program," said Jill Kale, vice president of Cobham Defense Electronics. "As we continue to satisfy the Navy warfighter's current needs, we look forward to providing the next generation of integrated RF solutions for U.S. Navy air and maritime operations."

 

Cobham Defense Electronics, which is located in Pennsylvania, said it will manufacture eight LBTs for the U.S. Navy and eleven for Australia; eleven vertically polarized antennas for the Navy and six for Australia; 17 high-band horizontally polarized antennas for the Navy and seven for Australia; and six Band -2 adapter interface assemblies for Australia.

 

The low-band transmitter helps protect strike aircraft, ships, and ground troops by disrupting enemy radar and communications. It is used on U.S, Navy EA-6B Prowler and EA-18G aircraft and Marine Corps EA -6B aircraft.

AN/ALQ-99 system on EA-6B Prowler Aircraft

AN/ALQ-99 system on EA-6B Prowler Aircraft

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 17:55
centre RetT photo Thierry Mamberti Safran

centre RetT photo Thierry Mamberti Safran

 

Paris, le 5 mars 2014 Safran

 

Safran, leader mondial dans les domaines de l’Aéronautique et de l’Espace, de la Défense et de la Sécurité, va recruter 160 collaborateurs pour son nouveau centre de R&T et d’Innovation, qui ouvrira en fin d’année à Paris-Saclay (Yvelines).

 

Ce site développera les nouvelles technologies destinées à l’ensemble des activités du Groupe. Safran recherche donc des ingénieurs chercheurs (jeunes diplômés et profils expérimentés) spécialisés en Matériaux avancés et Procédés, Capteurs et Systèmes de capteurs, Traitement du signal et de l’information, Algorithmie avancée, Modélisation, Mécanique des Structures et des Fluides, Propulsion ou encore Systèmes Aéronautiques.

 

Le Groupe, fortement impliqué dans le domaine de la responsabilité sociétale, accordera une attention particulière à la promotion de la diversité des origines et des parcours ainsi qu’au recrutement de femmes.

 

Les nouveaux embauchés rejoindront un Groupe composé de plus de 66 000 salariés, dont la vocation est d’imaginer les nouvelles technologies de demain. Safran, qui propose une grande diversité de métiers et de réelles perspectives d’évolution, cherche plus particulièrement à renforcer ses équipes en Recherche et Technologie*. Le nouveau centre de Paris Saclay permettra à Safran d’accélérer ses percées technologiques dans les domaines des Systèmes avancés aéronautiques, du Numérique, et des Matériaux et Procédés et Capteurs.

 

Ingénieurs chercheurs, soyez les inventeurs de demain et rejoignez Safran à Paris Saclay. Consultez les offres disponibles et postulez en ligne : http://www.safran-group.com/site-safran/talent/nous-rejoindre-801/centre-de-r-t/

 

* La Recherche & Technologie (R&T) fait partie de la Recherche et Développement (R&D) : elle se situe en amont et regroupe l’ensemble des activités d’études, de recherches et de démonstrations technologiques qui assurent à Safran la maîtrise des savoir-faire lui permettant de développer des produits innovants avec un risque, un délai et un coût réduits. En 2013, les dépenses en R&D du Groupe ont représenté 1,8 milliard d’euros, soit 12 % de son chiffre d’affaires. La R&D mobilise plus de 20 % des effectifs du Groupe, dont plus de 450 docteurs et 150 doctorants.

****

 

Safran est un groupe international de haute technologie, équipementier de premier rang dans les domaines de l’Aéronautique et de l’Espace (propulsion, équipements), de la Défense et de la Sécurité. Implanté sur tous les continents, le Groupe emploie 66 200 personnes pour un chiffre d’affaires de 14,7 milliards d’euros en 2013. Composé de nombreuses sociétés, Safran occupe, seul ou en partenariat, des positions de premier plan mondial ou européen sur ses marchés. Pour répondre à l’évolution des marchés, le Groupe s’engage dans des programmes de recherche et développement qui ont représenté en 2013 des dépenses de 1,8 milliard d’euros. Safran est une société cotée sur NYSE Euronext Paris et fait partie de l’indice CAC 40.

 

Pour plus d’informations, www.safran-group.com / Suivez @SAFRAN sur Twitter

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 17:50
photo Geoffrey Lee

photo Geoffrey Lee

March 5, 2014 defense-aerospace.com

(Source: Spanish Ministry of Defence; issued March 4, 2014)

(Issued in Spanish; unofficial translation by Defense-Aerospace.com)

 

Twenty-Five Thousand Hours of Eurofighter in Air Force

 

The Air Force’s fleet of Eurofighter EF-2000 aircraft has completed its first 25,000 flight hours during the month of February, to which three units equipped with this weapon system have contributed: 11 Wing at Air Base Morón de la Frontera in Seville, 14 Wing at Los Llanos Air Base in Albacete and the Armaments Logistics and Experimentation Center (CLAEX) at Torrejón de Ardoz air base in Madrid.

 

The Eurofighter, which in the Air Force carries the designation C.16, entered service in our Armed Forces in October 2003. Since then, it has been assigned to the 11th Wing, operating mainly from Morón Air Base, in order to fulfill its primary mission of interception and air defense.

 

Since May 2012, it also has been operated by 142 Squadron of 14 Wing, as has the CLAEX, where it is operated for the development of operating software and weapons integration.

 

The C.16 fleet operated by Wing 11 and Wing 14 reached full operational capacity in January 2008 and, since then, is part of a select group of Air Force aircraft that monitor and protect our national sovereign airspace 24 hours day, seven days a week.

 

The primary mission of the Eurofighter units is to provide the Air Force with the required defensive and offensive air capability, to meet both national missions, as well as commitments arising from the Spanish participation in international organizations. It is equipped with latest-generation precision weapons that allow the Eurofighter to launch bombs and guided weapons with centimetric accuracy. Combined with the vast potential of its radar and air-to-air armament against aerial threats, the possibilities of this weapon system are multiplied.

 

The Air Force, which has 41 Eurofighter, reached this milestone with the assurance that the performance of these first 25,000 hours of flight confirms the operational and industrial success of the Eurofighter program, which has enabled the European aerospace industry and its Armed Forces to design, build and operate one of the best fighter planes that have plied the skies.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 17:35
Y-20 Flight Tests Going Well, China Says

Flight-testing of China’s Y-20 four-engined strategic transport aircraft is progressing well, according to the PLA, and has already set new national records for flight testing. (PLA photo)

 

March 5, 2014 defense-aerospace.com

(Source: China Military Online; published March 4, 2014)

 

Test Flight Frequency of Y-20 Heavy-Duty Transport Aircraft Sets New Record

 

BEIJING --- The Y-20 heavy-duty transport aircraft is now still at the test flight stage, and its test flight frequency and time already set new records in the test flight history of China, according to Tang Changhong, chief designer of the Y-20 heavy-duty transport aircraft, on March 3, 2014 in Beijing.

 

Although the commissioning time for Y-20 cannot be disclosed, Tang Changhong said it is hoped that it can be commissioned as early as possible. However, it is important to ensure that there is no risk of failure at all in the aircraft test, and the aircraft can only be put into use under the very precise conditions. The test to date is going on very smoothly. He disclosed that the training of the test flight pilots for large transport aircraft is now underway.

 

Tang Changhong introduced that according to the current test flight status, all the expected goals have been achieved, and the original design goals for some limit requirements including flight height and flight speed, especially the requirements that the aircraft should possess good anti-bumping performance and be more comfortable have also been achieved.

 

The Y-20 heavy-duty transport aircraft is the new-generation military transport aircraft independently developed by the Xi'an Aircraft Industry Group under the Aviation Industry Corporation of China (AVIC). Its maximum take-off weight is estimated to be 220 tons, and its maximum payload is 66 tons, which is among the top ten world’s most powerful aircraft in transport capacity.

 

China declared to launch its large aircraft development project in March 2007. And the Y-20 took off for the first time from China’s Yanliang base at 14:00 on January 26, 2013 for a flight period of one hour. The successful first flight of the Y-20 marked that China has its own large aircraft.

 

According to the estimation from foreign media, China needs at least 300 Y-20 aircraft, and at the same time, China may also export the Y-20. In this regard, Tang Changhong said that Russia has made more than 800 IL-76 aircraft, and the number of large aircraft in the U.S. is also very large. But different countries have different national conditions, China’s civil and military aviation transport is just at its beginning stage; its perfect transport system is not yet built up, which is now far behind that of developed countries. “Therefore, I believe that through the hard-working, China will have a very big room for development in the future. We also hope to establish cooperation relations with other countries,” Tang said.

 

As for the guess that China will develop super large transport aircraft after developing the Y-20, Tang Changhong expressed that China currently has no such plan. He pointed out that from the design perspective, the emerge of large transport aircraft not only represents an aircraft model, but more importantly represents the accumulation of a batch of basic technologies, design capabilities and production capabilities. It is actually an upgrading of the industrial level, which will make more contributions to China.

 

When will the brother series of Y-20 be launched? Tang Changhong replied that: “The present main work is still to carry out the test flight on Y-20’s basic stability, the brother series is not yet considered. Some plans on China’s large transport aircraft are still under discussion, which cannot be disclosed.”

 

Tang Changhong expressed that Y-20 with a maximum payload of 66 tons and a maximum take-off weight of 220 tons is a very large heavy-duty transport aircraft. He took the example of the U.S. large aircraft’s application and said that the U.S. large transport aircraft have played very important roles in the national construction in the U.S. Therefore, China’s Y-20 not only aims at military application, but also more focuses on civil applications including construction material and equipment transportation, earthquake relief and emergency rescue.

 

“The performance of Y-20 is very high. It can adapt to relatively hard conditions and can land at small airports in mountain areas. In its design, the adverse weather conditions of frigid zone, high heat area and plateau as well as the runway situation are fully considered,” he said.

 

Tang Changhong, a Xi’an native, graduated from the major of aerodynamics at the Northwestern Polytechnical University in 1982. He successively participated in the development of the aircraft models including “Flying Leopard” fighter, Y7-200A, MPC-75 and AE-100, as well as the research on major pre-research subjects. He is now the chief designer of the First Aircraft Design Institute under the First Group Company of the AVIC and an academician of the Chinese Academy of Engineering (CAE).

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 12:50
Inde: enquête sur un contrat avec Rolls-Royce

 

04/03/2014 Par Lefigaro.fr (AFP)

 

Le ministère indien de la Défense a demandé l'ouverture d'une enquête sur l'achat de moteurs d'avions de combat auprès du motoriste britannique Rolls-Royce dans le cadre d'un contrat estimé à 1,6 milliard de dollars US.

 

Le Bureau central des enquêtes (CBI) va enquêter sur des soupçons de pots-de-vin pour la fourniture de moteurs à l'entreprise publique indienne Hindustan Aeronautics Ltd (HAL) entre 2007 et 2011, a précisé un responsable du ministère. "Il y a eu un rapport interne (conduit par HAL) qui laisse deviner des trous dans le contrat. Le CBI se penche sur le dossier", a ajouté ce responsable sous couvert d'anonymat.

 

Ces moteurs étaient destinés à des avions de combat développés par HAL et qui servaient d'appareils de formation aux forces aériennes et maritimes indiennes. Un porte-parole de Rolls-Royce a indiqué que le groupe allait "coopérer pleinement" avec les autorités indiennes, a rapporté l'agence de presse du pays, Press Trust of India (PTI).

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 12:20
La marine américaine commandera moins de F-35 que prévu

 

04/03/2014 Capital.fr (AOF)

 

Sale temps pour Lockheed Martin. La marine américaine devrait en effet ne commander que 36 exemplaires du chasseur F-35 conçu par le géant de l'aéronautique et de la défense, qui a dû supprimer plusieurs milliers d'emplois au cours des derniers mois, au lieu des 69 initialement prévus. C'est en tout cas ce qu'a déclaré un responsable du ministère de la Défense sous couvert d'anonymat. Ces appareils seront livrés entre 2015 et 2020.

 

Publiés fin janvier, les résultats du quatrième trimestre de Lockheed Martin ont notamment révélé un bénéfice net de 488 millions de dollars, ou 1,5 dollar par action, contre 569 millions (1,73 dollar par action) un an auparavant, soit un repli de 14,2%. Le chiffre d'affaires du groupe a, lui, reculé de 4,7% à 11,5 milliards de dollars.

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 19:50
First Tranche 3 Eurofighter for Italy emerges

 

Mar. 4, 2014 by Craig Hoyle - FG

 

London - Italy’s first Tranche 3 production example of the Eurofighter Typhoon has been rolled out from Alenia Aermacchi’s Turin-Caselle final assembly line, ahead of being handed over within the next few months.

 

“The Italian single-seat aircraft number 64 is now ready for engine tests, and will be delivered within the first half of this year,” the Eurofighter consortium says.

 

Italy’s air force is to receive 21 aircraft under the four-nation programme’s Tranche 3A production phase, with a further combined 91 to be accepted by Germany, Spain and the UK.

 

The Italian air force has a current active fleet of 71 Eurofighters, and is also yet to receive its last three examples in the Tranche 2 configuration, according to Flightglobal’s MiliCAS database.

 

The emergence of the second aircraft in the new standard – which follows a lead Royal Air Force example flown for the first time by a BAE Systems test pilot last December – comes days after Germany’s defence ministry confirmed it will not proceed with the Eurofighter programme’s previously expected Tranche 3B activity. This was to have delivered the last 124 aircraft from an originally-planned umbrella contract for 620 of the type signed by the partner nations. Italy, Spain and the UK also plan to halt their acquisition of the Typhoon on the completion of their 3A order.

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 19:40
Russia To Invest $55.6B To Boost Aerospace Defense Forces

 

Mar. 4, 2014 - By JAROSLAW ADAMOWSKI – Defense News

 

WARSAW — Russia is planning to invest 2 trillion rubles (US $55.6 billion) to acquire new weapons and upgrade the existing armament of its Aerospace Defense Forces (VKO), Deputy Defense Minister Yuri Borisov said.

 

The new and overhauled air and space defense systems are expected to be operational by 2025, reported local news agency ITAR-TASS.

 

“The main purpose [of the program] is to provide … systems capable of combating all existing and potential means of aerospace threats,” Borisov said. The announcement was made during the minister’s visit at local defense manufacturer Almaz-Antey.

 

The priorities pursued by Russia’s military policy include acquiring an effective range of weapons and military equipment, and developing advanced weapons with an open and modular design, Borisov said. This is to be achieved despite the challenges posed by the ongoing economic crisis, according to the minister.

 

The acquisitions will be part of the country’s plan to spend $650 billion on new arms and military equipment by 2020.

 

Russia’s Aerospace Defense Forces were set up in 2011 with the aim of ensuring air and space defense of Russian territory.

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 19:20
Final Upgraded CF-18 Delivered

Group photo of The Countermeasures Warning and Control System ALR-67 (V3) Mod line. Photo taken in on the floor of 1 Hangar on 21 January 2014 by Corporal (Cpl) Audrey Solomon, Imagery Technician, 4 Wing Cold Lake

 

March 4, 2014 By Captain John-Alec Bossence - RCAF / Defence Watch

 

The fighter force has achieved another significant milestone with the delivery of the final ALR-67 (V3) modified CF-188 Hornet from Boeing International. The milestone was marked at a ceremony held on January 21 at 4 Wing Cold Lake, Alberta.

 

As part of the CF-188 defensive electronic warfare suite project, the objective of the ALR-67 (V3) modification sub-project was to upgrade the CF-188 Electronic Warfare self-protection equipment to improve the CF-188 survivability in a modern theatre of operation against both air-to-air and air-to-ground threats.

 

After a competitive process, the ALR-67 (V3) aircraft modification contract was awarded to Boeing who sub-contracted the work to L-3 Military Aviation Services (MAS). The work was performed through a dedicated modification line at 4 Wing Cold Lake, with modifications to the first aircraft starting in March 2011. Each aircraft required 14 work days in the modification line to incorporate the new advanced capability.

 

The close-knit fighter community came together to complete the modification line ahead of schedule. The combined efforts from L-3 MAS, 409 Tactical Fighter Squadron, 410 Tactical Fighter (Operation Training) Squadron, Aerospace Engineering Test Establishment and 1 Air Maintenance Squadron (1 AMS), all from 4 Wing, and 425 Tactical Fighter Squadron from 3 Wing Bagotville, Quebec, were essential for the completion of the modification line. They all contributed to the preparation, configuration, transportation and logistical requirements to have every aircraft delivered to the Cold Lake modification line on time to meet the induction schedule and deliver aircraft on or ahead of schedule.

 

On January 21 the last of 75 aircraft was delivered and 1 AMS held a closing ceremony with representatives from Boeing, L-3 MAS and 4 Wing Cold Lake to recognize and congratulate the participants for this unique and outstanding success.

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 17:20
Les 350 A-10 en service sont équipés pour opérer au plus près de l’adversaire. Photo USAF

Les 350 A-10 en service sont équipés pour opérer au plus près de l’adversaire. Photo USAF

 

3 mars 2014 Aerobuzz.fr

 

Aux USA, le budget prévisionnel de la Défense (496 Md$) prévoit le retrait de deux avions de légende : l’avion-espion U-2, et le tueur de chars A-10. Ces deux appareils emblématiques de la guerre froide sont pourtant, encore aujourd’hui, appréciés des militaires américains.

 

Il est temps de tourner la page. Pour le Secrétaire américain à la Défense, Chuck Hagel, les USA ne peuvent plus se permettre de conserver, au sein de leur arsenal, des avions « mono mission ». En conséquence, l’A-10 et le U-2/TR-1, deux avions de légende, se retrouvent dans le collimateur du Pentagone et de la Maison Blanche se trouvent.

 

Selon l’administration américaine, supprimer le parc d’avions d’attaque A-10C , soit 350 avions au total, permettrait d’économiser 3,5 Md$ en cinq ans. Une somme qui aiderait à financer partiellement le programme d’avion d’attaque furtif F-35, les drones d’attaque Reaper et surtout, une partie des avions ravitailleurs. Selon la Maison Blanche, ces avions d’attaque qui ont plus de 40 ans, sont des reliques de la guerre froide. Ils sont aujourd’hui qualifiés d’obsolètes et de vulnérables aux moyens de défense modernes.

 

 

Le A-10 est capable d’encaisser les coups des défenseurs adverses. Photo  USAF

Le A-10 est capable d’encaisser les coups des défenseurs adverses. Photo USAF

 

Au congrès, une sénatrice dont le mari est un ancien pilote de A-10, a fait remarquer que le « tueur de chars » des années 80 est aujourd’hui qualifié de « meilleur ami du fantassin » sur tous les théâtres où il a été engagé, et plus d’un marines lui doit la vie sauve. En outre le parc vient de subir, aux frais du contribuable américain, une modernisation importante qui a porté sur l’avionique, le système d’arme, les moyens d’autoprotection et l’installation d’une nouvelle voilure. De quoi faire durer ces monstres blindés de titane et d’aluminium jusqu’en 2028 au moins.

 

Si les drones d’attaque sont en train de monter en puissance dans l’arsenal américain, leur souplesse d’emploi et leur fiabilité laisse encore à désirer parfois. Quant au remplaçant furtif, le F-35 JSF, présenté comme le fer de lance des années 2020, les retards de programme, les dépassements de budget et les déboires techniques à répétition n’augurent, pour le moment, rien de bon. Ainsi, là où un A-10, taillé pour le combat au plus près de l’adversaire avec son blindage peut survivre à des impacts de munitions de 12,5 mm et des tirs de missiles courte portée, le coûteux JSF, dépourvu de tout blindage et dont la soute interne ne permet pas d’emporter beaucoup de missiles, devra rester à distance de sécurité.

 

 

Le A-10 tire des munitions à uranium appauvri capables de percer tous les blindages. Photo USAF

Le A-10 tire des munitions à uranium appauvri capables de percer tous les blindages. Photo USAF

 

 

En outre plusieurs sénateurs font remarquer que depuis les années 80, le spectre des missions du A-10 est passé de « simple » «  tueur de chars  », à avion d’appui aérien, de contrôle des opérations avancé et moyen de localisation de personnes en détresse en zone hostile. Bref le A-10 est aujourd’hui le couteau suisse des avions d’attaque, à l’instar des SU-25 en Russie.

 

Le A-10 a bénéficié d’un important programme de remise à niveau. Photo USAF

Le A-10 a bénéficié d’un important programme de remise à niveau. Photo USAF

 

Autre victime pressentie des restrictions budgétaires américaines : l’avion espion U-2/TR-1 « Dragon Lady ». Cet appareil est apparu dans les années 50. Né en huit mois seulement de la volonté d’un seul homme, l’ingénieur de Lockheed Martin Clarence Kelly Johnson, cet appareil vendu à la CIA puis à l’USAF est depuis 50 ans de toutes les opérations, qu’elles soient secrètes, ou officielles. Le parc actuel d’avions espions, U-2 compte 32 unités. Le potentiel théorique de cet avion singulier peut lui permettre de rester en service pendant encore 35 ans. Les U-2 sont des avions optimisés pour la haute altitude, environ 77.000 pieds au maximum, soit largement au dessus des avions de ligne. Plus on vole haut, plus on voit loin, et moins on a de chance d’être abattu expliquait Kelly Johnson.

 

Vers une sortie définitive des U-2 et A-10 de l’arsenal militaire américain

Le U-2 est apparu dans les années 50. Il a permis par exemple d’estimer dès ses premières missions le véritable potentiel offensif de l’URSS. Photo Lockheed-Martin

 

Depuis son perchoir, le U-2 met en œuvre des charges utiles diverses suivant les données à collecter. Ainsi pendant les missions en ex Yougoslavie, un U-2 interceptait en permanence toutes les communication radio militaires et civiles. Des données relayées en direct par satellite vers Washington, qui, après traitement, élaborait une situation tactique claire de tout le théâtre d’opérations. Ainsi équipé, le U-2 savait avant même les Awacs, qu’un pilote serbe ou croate s’apprêtait à mettre en route son MiG21. Un préavis inestimable pour les forces de l’Otan. Plus tard en Afghanistan, c’est encore le U-2 qui surveillait les mouvements des Talibans poseurs de bombes improvisées sur les routes. La panoplie du U2 comprend également un radar capable de détecter les cibles au sol les mieux camouflées tout en restant au dessus des nuages, et des caméras à très haute résolution.

 

Vers une sortie définitive des U-2 et A-10 de l’arsenal militaire américain

Le U-2 croise à plus de 21.000 mètres pendant des heures pour fournir de précieux renseignements aux militaires et aux politiques. Photo Loockheed-Martin

 

Le remplaçant pressenti du U-2 est le drone Global Hawk Block 30. Avec une endurance de 30 heures environ il bat à plate couture le U-2 dont le pilote a besoin de repos après huit heures exténuantes dans la stratosphère. Mais le drone a ses défauts, sa vulnérabilité au brouillage des communications, la faiblesse de sa capacité d’emport, ses capteurs aux performances moyennes, son altitude de croisière inférieure et ses couts d’exploitation élevés. Bref un manque de maturité qui suscite des réactions de méfiance outre-Atlantique.

 

Vers une sortie définitive des U-2 et A-10 de l’arsenal militaire américain

Le parc de U-2, qui se monte à 32 unités est encore « jeune » en termes de potentiel. photo Lockheed-Martin

 

Quant aux satellites espions, leur cout élevé et leur manque de souplesse d’emploi ne compenseront pas le départ du U-2. En effet, un satellite défilant ne peut passer que quelques minutes sur un point donné, et il emporte soit un radar à ouverture synthétique, soit des capteurs SIGINT (radio) soit des caméras. Le U-2, lui peut aisément être configuré pour n’importe quel mission et assurer la permanence du renseignement là où les autres moyens ne sont pas présents.

 

Vers une sortie définitive des U-2 et A-10 de l’arsenal militaire américain

Le U-2 collecte des données tactiques et stratégiques.  Il dispose de moyens d’écoute électroniques, d’un radar air-sol et de caméras très puissantes. Photo Lockheed-Martin

 

La bataille qui opposera bientôt le Congrès à la Maison Blanche pour le budget de la Défense s’annonce rude, mais il y a cette fois peu de chances que le U-2 et le A-10 en réchappent.

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 12:35
S. Korean Firm Claims Development of Wideband Radar Absorbing Material

Cony International said it has developed a radar-absorbing material that can be used in development of stealthy fighters, such as for the KF-X project. (Jung Sung-ki)

 

Mar. 3, 2014 - By JUNG SUNG-KI – Defense News

 

SEOUL — A South Korean company claims that it has developed a radar absorbing material (RAM) suited to absorption of almost all frequencies.

 

Cony International, based in Icheon, announced it has developed a RAM with reflectivity lower than -10dB at any frequency.

 

“The Cony RAM has greater radar absorbency at almost all frequencies,” said Choi Jae-chul, chairman of the company. “This material could be applied to many types of weapons systems, such as fighter jets and warships, for stealth capabilities. It will help improve their survivability and mission capability to a greater extent.”

 

Korea Maritime and Ocean University evaluated the Cony RAM for its radar cross-section efficiency last November. The absorption rate peaked at a level as high as 98 percent, according to the university.

 

The national university in Busan is one of the two organizations in South Korea to evaluate the RAM performances. The other is the Agency for Defense Department, affiliated with the Ministry of National Defense.

 

“RAM generally absorbs radar waves either at a certain frequency or a short range of frequencies,” said Professor Kim Dong-il of the Department of Radio Sciences and Engineering at the university. “But the Cony RAM has been tested to have excellent electromagnetic absorption performance over a wide band.”

 

The RAM could be used in developing a stealthy fighter jet, Kim said, referring to the country’s KF-X project aimed at developing an F-16 class aircraft with radar-evading stealth capabilities.

 

Established in 1986, Cony International has long developed microwave absorbing materials both for commercial and military purposes.

 

In the late 1980s, the company supplied the South Korean Navy with RAMs for warships to resolve electromagnetic interferences.

 

It also signed a contract with a Middle East nation in 1992 to provide RAMs for fighter aircraft.

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 18:35
Rolls Royce-HAL Dealings Under Probe

India is investigating fraud allegations related to the acquisition of engines for the Hawk advanced jet trainer. (BAE Systems)

 

Mar. 3, 2014 - By VIVEK RAGHUVANSHI – Defense News

 

NEW DELHI — India’s anti-fraud agency, the Central Bureau of Investigation (CBI), has begun a probe into alleged corruption charges against UK-based Rolls Royce in the supply of engines to state-owned Hindustan Aeronautics Ltd. (HAL) to power the Hawk advanced jet trainer aircraft.

 

The overhaul and license production of Hawk trainers at HAL facilities is unlikely to be affected, said a HAL source.

 

India contracted the purchase of 66 Hawk trainers from BAE Systems in 2003 for US $1.2 billion and 57 Hawk trainers in 2010 for $780 million.

 

The probe was ordered by the Ministry of Defense March 2 on the recommendations of the Chief Vigilance Officer of HAL, who had received an anonymous letter in December indicating payment of bribes by Rolls Royce to unknown HAL personnel to win the order to supply Adour engines for the Hawk trainer aircraft, a HAL source said.

 

While no MoD official would publicly comment on the CBI probe, an MoD source said the investigations are only preliminary and that no decision against Rolls Royce nor HAL’s license production of Hawk is currently contemplated.

 

Rolls Royce executives in New Delhi were unavailable for comment; neither would an official of HAL comment on the matter.

 

An Indian Air Force official said they are satisfied with the Hawk trainer and would not comment on the CBI probe.

 

MoD has blacklisted seven foreign defense companies on charges of alleged corruption related to other procurements. Most recently, CBI has investigated the sale of 12 VVIP helicopters by Anglo-Italian company AgustaWestland.

 

Senior officers of the Indian Defense Services have expressed concerns that such blacklisting of overseas companies delays purchase of essential weapons.

 

“The ruling United Progressive Alliance [UPA] government has been calling in CBI detectives on even an anonymous complaint, the purpose of which is only to tell the public that the UPA government is against corruption,” said Nitin Mehta, defense analyst here.

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 12:30
La Turquie pourrait commander ses premiers F-35 en 2015

 

 

28/02/2014 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

Reuters rapporte que la Turquie serait susceptible de débuter ses commandes de F-35 à partir de 2015, avec une commande initiale de deux appareils. La livraison est espérée pour 2017-2018.

 

La Turquie fait partie des pays partenaires du programme F-35 de Lockheed Martin, elle a prévu d’en acquérir 100 exemplaires, pour un coût estimé à 16 milliards de dollars.

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 12:30
Retard de livraison de l'A400M MSN9 : Ankara répond à Airbus

 

28/02/2014 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

Le différend qui oppose actuellement la Turquie à Airbus Defence & Space continue. Murad Bayar, secrétaire d’État de l’industrie de Défense, a déclaré jeudi que la Turquie allait demander des compensations financières à Airbus pour le retard de livraison du premier A400M, l’exemplaire MSN9.

 

Reuters rapporte les propos tenus par Bayar devant les journalistes, un message plutôt clair qui confirme le bras de fer entre le gouvernement et l’industriel : « Mon message pour Airbus est le suivant : Il devrait d’abord s’occuper de remplir les termes du contrat », réfutant la notion de « marchandage » lâchée par le PDG d’Airbus Group Tom Enders lors de la présentation des résultats annuels le 26 février dernier.

 

Selon Murad Bayar, le retard de livraison est dû au fait qu’Airbus n’aurait pas rempli toutes les exigences techniques contractuelles, un fait contesté par l’industriel, qui assure que l’avion est « opérationnel ».

 

L’A400M va obtenir ses capacités militaires « au fur et à mesure » et n’est donc pas livré pleinement opérationnel selon le cahier des charges. A titre d'exemple, les deux premiers A400M français peuvent effectuer des vols logistiques, mais doivent encore obtenir le standard qui leur permettra d’accomplir tout l'éventail de leurs missions tactiques.

 

Le secrétaire d’État espère toutefois que le premier A400M de l’armée de l’air turque sera livré au mois de mars.

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 08:50
 photo BAE Systems

photo BAE Systems

26.02.2014 Vincent Lamigeon, grand reporter à Challenges - Supersonique


L’avantage avec Tom Enders, c’est qu’il se cache rarement derrière son petit doigt. Interrogé ce matin lors de la présentation des résultats d’Airbus Group sur la situation du chasseur Eurofighter Typhoon, le patron de l’ex-EADS a dressé un panorama sombre de l’avenir commercial du chasseur codéveloppé avec BAE Systems et Finmeccanica. « Je ne suis pas terriblement optimiste, expliquait ainsi le patron allemand. Nous espérons remporter encore un ou deux succès à l'exportation, mais nous devons aussi nous préparer à un scénario où, du fait de l’absence de commandes à l'exportation, nous devrons bientôt réduire la production. »

Le discours tranche avec l’optimisme qu’a toujours affiché BAE Systems sur la question. Le groupe britannique avait ainsi, fin 2013, laissé fuité l’annonce d’une commande de 60 Eurofighter par les Emirats Arabes Unis, avant d’être contraint à un rétropédalage piteux : le groupe avait dû reconnaître l’échec des négociations avec Abu Dhabi. La différence de discours entre Airbus Group et BAE Systems confirme des divergences de fond entre membres du consortium Eurofighter, qui devront être mises à plat rapidement.

Pourquoi ce coup de semonce de Tom Enders ? L'annulation par l’Allemagne, annoncée la semaine dernière, de la commande de 37 appareils de la tranche dite 3B du Typhoon est manifestement le coup de poignard de trop. « Ces appareils de la tranche 3B auraient été les modèles les plus avancés de l’avion, optimisés pour les futures opérations de frappes ou de combat air-air de forte intensité, explique Edward Hunt, consultant au cabinet IHS Defence. Il est d’ailleurs intéressant de noter qu’aucun des Etats partenaires n’a définitivement confirmé la réception d’appareils de tranche 3B. » En gros, cette décision confirme une certaine forme de désengagement des Etats partenaires du programme (Allemagne, Royaume-Uni, Italie, Espagne).

L’export n’apparaît pas plus florissant. Depuis la commande de 12 appareils par Oman fin 2012, l’appareil patine. L’Inde, si elle est encore loin d'être gagnée pour le Rafale, semble définitivement perdue pour le Typhoon. La compétition malaisienne sera difficile à gagner face au F-18,  au Rafale et au Gripen. Les commerciaux se concentrent donc sur le Koweit, Bahrein, une nouvelle commande en Arabie Saoudite et un éventuel contrat au Qatar, ces deux dernières négociations pouvant s’avérer décisive pour l’avenir de l’appareil. Car l’Eurofighter n’a pas une seule chaîne d’assemblage à nourrir comme le Rafale, lui aussi en panne chronique de commandes export, mais quatre. Faute de nouveau contrat, les usines pourraient se retrouver à cours de charge dès fin 2017 - début 2018.

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