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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 17:45
Balanzan: exercice de tirs de roquettes à Kalifabougou


07.03.2014 EUTM Mali
 

Les 4 et 5 mars derniers, le GTIA Balanzan a effectué une série d’exercices de tir aux armes individuelles et collectives (mitrailleuses PKM et lance-roquettes de 122 mm GRAD 2), dans la région de Kalifabougou, un petit village à 60 km au nord-ouest de Bamako.

Les compagnies d’infanterie et la section commando ont effectué une série d’exercices complexes simulant différentes missions que les soldats maliens ont dû planifier et conduire. Par exemple, la section commando a mené une attaque de nuit contre un objectif isolé dans laquelle toutes les armes de la section  ont été mises en œuvre (fusil pour les tireur de précision Dragunov , mitrailleuses PKM, AK 47).

De son côté, la batterie d’artillerie a procédé aux tirs de 6 roquettes de 122 mm sur des objectifs situés à plus de 6 km avec une très grande précision, puisque l’ensemble de cibles ont été détruites. Le GRAD 2 est l’arme la plus puissante dont dispose le GTIA, chaque roquette pèse environ 60kg, il représente un outil efficace à disposition du commandant de bataillon. La formation intense dispensée par les instructeurs de la mission permet à la batterie de délivrer des tirs en quelques minutes.

Cet exercice de tirs a démontré le niveau élevé de compétence atteint par les unités du GTIA 4. La semaine prochaine, « Balanzan » effectuera son exercice final. Durant 4 jours, dans la région de Koulikoro, le commandement du bataillon  et ses capacités seront mises à l’épreuve avant son prochain déploiement opérationnel.

 

Rocket launching in Kalifabougou

During the fourth and fifth of March, GTIA « Balanzan » has conducted a series of life fire exercises in the vicinity of Kalifabougou, a small village 60 northwest of Bamako. The armament use was the individual and collective weapons, the PKM heavy machineguns owned by the infantry companies and the 122mm GRAD 2 rocket launchers used by the GTIA’s battery.

The infantry companies and the commando platoon carried out a series of complex dynamic fire exercises, simulating different missions, which the Malian soldiers had to plan and conduct. For example the Commando platoon carried out a night attack against an isolated target in which all the platoon weapons (Dragunov sniper rifles, PKM machineguns and AK-47 assault rifles) were used.

The artillery battery shot six 122mm rockets at objectives that were more than six kilometers away, achieving a great accuracy, hitting their target each time. This weapon, with a lethal is the most powerful in the GTIA’s arsenal, since each rocket’s warhead delivers a nearly 20-kilogram warhead. It represents a very effective tool for the battalion commander, since thanks to the hard training during their stay in the European training camp, the battery is capable of effectively launching its rockets in a matter of minutes.

Those shooting exercises show the great level achieved by the GTIA’s units. Next week, “Balanzan” will face its final week of training, which will consist in a four-day battalion-size exercise in the vicinity of Koulikoro, in which the GTIA’s command and control skill will be put to the test.

DSC 0017 150x150 Balanzan: exercice de tirs de roquettes à Kalifabougou

Vérifications techniques par un formateur espagnol de la batterie d’artillerie

DSC 0023 150x150 Balanzan: exercice de tirs de roquettes à Kalifabougou

Chargement d’une roquette de 122 mm dans le GRAD 2

DSC 0034 150x150 Balanzan: exercice de tirs de roquettes à Kalifabougou

Chargement d’une roquette de 122 mm dans le GRAD 2

 

DSC 0059 150x150 Balanzan: exercice de tirs de roquettes à Kalifabougou

Le lieutenant-colone Sérémé, chef de corps du bataillon « Balanzan » en compagnie du colonel Uhrich, commandant du camp d’entrainement de la mission EUTM, et d’un formateur espagnol

EUTM Mali Tir Grad.140304 57 150x150 Balanzan: exercice de tirs de roquettes à Kalifabougou

Le GRAD 2

DSC 0067 150x150 Balanzan: exercice de tirs de roquettes à Kalifabougou

Tir de roquette

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 17:30
Border Security System in Qatar now in operation photo Airbus DS

Border Security System in Qatar now in operation photo Airbus DS

 

25 March 2014 Airbus Group

 

Full coverage of 600 km borders achieved

 

Airbus Defence and Space has finalised the deployment of the National Security Shield (NSS) to the Qatar Ministry of Interior and Armed Forces, covering the entire Qatar territorial waters and land border. It is operated by the Qatar Border Guards and Coast Guards. This unique fully integrated system for all forces is the most evolved solution world wide.

The system includes surveillance towers and surveillance vehicles equipped with different sensors such as radars, cameras and direction finders, distributed throughout the territory. Consisting of land sectors, coastal border sectors and offshore site, full coverage of Qatari 600 km borders is now achieved. The main threats it needs to address are illegal immigrant trafficking networks, terrorist groups, piracy, smuggling and illegal fishing.

NSS can be used by all Qatar Defence and Security entities such as Coast Guard, Border Guard, Navy, Air Force and Land Force, as well as by governmental agencies. All the sensor data and images can be accessed from any of the country’s operational sites. Coast Guard, Border Guard Operational Centre (Force headquarters) and the Joint Operational Centre (Joint headquarter) are operational, Navy Operational Centre is ready for operations.

Over the next two years, additional functionalities such as a training simulation system, documentation management, a web portal for external agencies and an enhanced user management will be delivered to further enhance the system. The construction of the Alternative Joint Operational Centre is under finalization; it will be integrated and able to take over all operations at any time. The Air force, the Land Force Headquarters and the National Crisis Centre will be connected to the system in the coming months.

Furthermore, offshore towers and platforms will be installed and equipped with the National Security Shield, covering the Qatar Exclusive Economical Zone, protecting key assets (oil and gas production) of Qatar.

 

About Airbus Defence and Space

Airbus Defence and Space is a division of Airbus Group formed by combining the business activities of Cassidian, Astrium and Airbus Military. The new division is Europe’s number one defence and space enterprise, the second largest space business worldwide and among the top ten global defence enterprises. It employs some 40,000 employees generating revenues of approximately €14 billion per year

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 13:45
Les bêtes de sommes de l’armée malienne: Toyota, ALTV et VLRA - crédits: G Belan

Les bêtes de sommes de l’armée malienne: Toyota, ALTV et VLRA - crédits: G Belan


19.03.2014 Guillaume Belan (FOB)
 

EUTM n’a pas pour seule mission d’instruire 8 bataillons maliens, mais a également déployé une ATF (advisory task force), en charge d’aider et de conseiller les autorités maliennes à réformer leur outil de défense. « Il serait vain de former 8 bataillons, sans en même temps réformer la défense malienne, au risque de voir tous nos efforts annihilés » précisait le colonel Patrck Vaglio, à la tête de l’ATF, à Bamako le 14 mars dernier.

 

Le VLRA monté d'un canon de 23 mm crédits: G Belan

Le VLRA monté d’un canon de 23 mm - crédits: G Belan

 

Une LPM en préparation

 

L’ATF d’EUTM, c’est 18 officiers de 6 nationalités européennes qui travaillent en français. Un audit a déjà été réalisé, et « la transformation des armées est vite devenue une des priorités du gouvernement malien » précise le colonel Vaglio.

Des groupes de travail ont été mis en place, spécialisés dans différents domaines (RH, Renseignement, Finances, Logistique…), coordonnés par des comités de pilotage présidés par un comité directeur, avec à sa tête le ministre malien de la défense.

Ce système travaille depuis novembre dernier et a déjà rendu ses propositions. Un projet de loi va être présenté aux députés maliens pour vote, fin mars/début avril.

Ce projet de loi, sorte de LPM malienne introduit bon nombres de réformes, et « propose une transformation réaliste et atteignable d’ici à 2018-2020, avec des objectifs priorisés et budgétisés » indiquait le commandant de l’ATF.

Traductions concrètes de ces mesures: le remplacement des huit régions militaires, qui a prouvé son inefficacité, par un système de trois zones de défense permanentes.

Une sorte de CPCO (centre de planification et de conduite des opérations) devrait également voir le jour à Bamako, afin que les responsables politiques et militaires puissent planifier et commander des opérations sur le territoire malien, ce qui passera par l’acquisition de moyens de commandement, de communication et d’informations.

 

Un BTR du GTIA Balanzan crédits: G Belan

Un BTR du GTIA Balanzan - crédits: G Belan

 

Les FAMa: effectifs et équipements

 

Aujourd’hui, l’armée malienne affiche un effectif de 27 000 hommes, garde nationale et gendarmerie comprise. L’armée de terre pèse pour 14 0000. Bamako a réalisé un important effort de recrutement avec 4000 recrues l’année passée, « sans aucun problème de soldes » précise le colonel Vaglio.

En parallèle des achats d’équipements ont été lancés, notamment des véhicules de transports. Le groupe français ACMAT (groupe Renault Trucks Défense) en est l’un des bénéficiaires: Tous les bataillons formés par EUTM  disposent de véhicules français: ALTV 4X4 et VLRA de transports de troupe, mais aussi de Kerax pour la logistique (citerne…) et d’ambulance. Contacté par FOB, le groupe n’a pas souhaité préciser les détails de ces commandes. Mais avec 80 véhicules par bataillons (dont également des Toyota pick up), on peut imaginer à quelques centaines de véhicules la commande malienne.

L’État malien souhaiterait acquérir des moyens aériens, comme des hélicoptères de transport, mais le coût prohibitif pourrait les en dissuader. L’armée de l’air malienne ne dispose aujourd’hui que d’avions Tetra de reconnaissance (moins de 10) et peut-être d’un ou deux hélicoptères d’attaque d’origine russe.

Avion de reconnaissance Tetras Crédits: G Belan

Avion de reconnaissance Tetras - Crédits: G Belan

 

Concernant l’armement, il est très hétéroclite et principalement d’origine russe. L’arme la plus utilisée est évidemment l’inusable AK-47 d’origines diverses (Yougoslave…), mais les maliens disposent également d’armes collective mitrailleuse Browning M2HB .50 (12.7 mm OTAN), PK 7.62 mm. L’artillerie est dotée de roquettes de 122 mm Grad M2, de canons sans recul SPG9 de 73 mm et de mortier de 60 mm. Ou encore de 14.5 mm et ZSU de 23 mm montés sur affuts bricolés. Côté blindé, l’essentiel du parc est constitué de 8X8 d’origine russo-soviétique BTR-60 et -70, vieillissants mais toujours vaillants!

 

Grad M2 Crédits: G Belan

Grad M2 - Crédits: G Belan

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 12:55
CCFI Paris. Forum Cyber Sécurité : Liste des Firmes d'Israël

 

21.03.2014 IsraelValley (Mitz)

 

Au sein des « Rencontres Economiques & Technologiques France-Israël », le Forum de cyber-sécurité présente chaque année les meilleures solutions israéliennes et décrypte les tendances futures du secteur. Côté français, la plupart des sociétés du CAC 40 ont déjà participé à cet événement unique, dans le cadre des rendez-vous d’affaires.

 

Environ un millier de rendez-vous qualifiés, organisés depuis 2006 ont conduit à de nombreux accords de partenariats, de distribution ou encore d’intégration.

 

Toute la chaîne de valeur de la sécurité des systèmes d’information est couverte : sécurité des infrastructures critiques, des télécommunications, des applications web, des réseaux, des postes de travail, des données, des tests d’intrusion, du cloud computing, etc.

 

En 8 éditions, le forum de cyber-sécurité s’est imposé comme une véritable passerelle bilatérale entre experts de sécurité français et israéliens. Les membres de l’élite de la sécurité israélienne font ainsi chaque année le déplacement à Paris pour démontrer leur savoir-faire.

 

Ainsi le 26 mars 2014, seront présentes, Radiflow leader israélien en matière de sécurité des SCADAs (systèmes de contrôle), CyberArk spécialisée dans la protection des comptes à privilèges, mais aussi Backbox, Comsigntrust, Cybertinel, Forescout, ObservIT, Promisec, Sasa Software, SenseCy, Smufs Mobile Biometric Solutions…

 

Les RSSI, intégrateurs et distributeurs français intéressés peuvent rencontrer sur place l’après-midi du mercredi 26 mars entre 14:30 et 18:00 les sociétés de cyber-sécurité israéliennes suivantes, par rdv de 15 mn:

1. ADALLOM SaaS security http://adallom.com/company/

2. BACKBOX automated backup and recovery http://www.backbox.co

3. CHECKPOINT internet security http://www.checkpoint.com

4. COMSIGNTRUST PKI-based digital signature http://www.comsigntrust.com

5. CYBERARK against cyber threats http://www.cyberark.com

6. CYBERTINEL the deepest threat protection http://www.cybertinel.com/

7. FORESCOUT network access control http://www.forescout.com

8. ISRAEL AEROSPACE INDUSTRIES cyber division http://www.iai.co.il/

9. OBERVE IT recording user activities on desktops and servers http://www.observeit.com

10. PROMISEC agentless endpoint management & control http://www.promisec.com

11. RADIFLOW secure solutions for critical infrastructure applications http://www.radiflow.com

12. SASA SOFTWARE malicious code detection scan http://www.sasa-software.com

13. SENSECY one-stop shop for all cyber intelligence needs https://www.sensecy.com/

14. SMUFS Mobile Biometric Solutions http://www.smufbio.com

Enfin, Mme Esti Peshin, directrice des programmes cybernétiques d’Israel Aerospace Industries (1er groupe aéronautique, spatial et défense israélien) et directrice générale du Groupe High-Tech de la Knesset, donnera une conférence exclusive et participera aux rendez-vous d’affaires de l’après-midi réservés aux professionnels.

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 12:50
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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 12:50
Calendrier des think tanks à Bruxelles Mise à jour : Lundi 24 Mars2014

Mise à jour par la Représentation permanente de la France auprès de l’UE

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 12:50
Les forces spéciales testent le FRISC en Norvège

25 mars 2014  Belgian Defense

 

Le Special Forces Group belge a pris part à l'exercice Cold Response à Ramsund, en Norvège. C'est là qu'il a testé les nouveaux canots pneumatiques : Fast Raiding Interception & Special Forces Craft (FRISC). Du 10 au 19 mars, nos militaires vont évaluer les réactions de ces embarcations dans un froid extrême.

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 12:50
missile Aster 30 - batterie SAMP/T photo DGA

missile Aster 30 - batterie SAMP/T photo DGA

Le missile Aster, en service en France et en Italie, réussite technique et commerciale de MBDA.

 

18 mars, 2014 Frédéric Lert (FOB)

 

Il y a tout juste un an, pratiquement jour pour jour, FOB écrivait que MBDA entrait dans une zone de turbulence. En cause, la publication des résultats pour 2012 de la filiale commune d’EADS (aujourd’hui Airbus), de BAE Systems (Grande-Bretagne) et de Finmeccanica (Italie). Des résultats que l’on pouvait résumer  par un chiffre d’affaire stable par rapport à 2011 (3 Mds €), mais surtout des prises de commandes en nette baisse (2,3 Mds€ contre 2,6 Mds€ l’année précédente) et un horizon bien sombre sur les marchés européens.

 

En présentant ce jour les résultats 2013, Antoine Bouvier, PDG du premier missilier européen (et deuxième mondial), avait le sourire : les prises de commande étaient annoncées en forte hausse pour 2013,  se hissant à 4 Mds€ malgré un environnement toujours aussi difficile. Avec notamment 2,1 Mds€ de commandes décrochées à l’export, soit un peu plus de la moitié du total. Un résultat que n’a pas manqué de souligner Antoine Bouvier. On remarquera toutefois qu’en 2012, les prises de commandes à l’export s’étaient montées à 1,4 Mds€. Si elles ont donc connu une forte hausse en 2013, c’est bien le marché domestique qui a cru le plus vite (en valeur et en proportion) l’an dernier, contrairement à toute attente.

 

Au delà des chiffres, l’année 2013 a été également ponctuée de bonnes nouvelles qui augurent bien de l’avenir : contrat de développement et de production pour le missile de combat terrestre de nouvelle génération MMP, contrats de production pour le système naval de défense anti-aérienne Sea Ceptor au Royaume-Uni et pour le missile air-air Meteor en Allemagne. L’année 2014 a également bien commencé pour le missilier, avec la confirmation d’une commande franco-britannique portant sur le missile anti navire léger (ANL). La suite sera sans doute plus ardue, avec quelques bras de fer industriels et commerciaux à venir. On attend notamment de connaître l’issue du match opposant Thales et MBDA pour la fourniture d’un réseau intégré de défense aérienne en Arabie Saoudite. En jeu, un contrat d’une valeur globale estimée à environ 4 Mds€ !

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 12:45
Remise de la médaille de la Politique Européenne de Défense et de Sécurité Commune

 

04.03.2014 EUTM Mali

 

Les 28 février et 1er mars, se sont déroulées, au quartier général de la mission EUTM à Bamako et au camp d’entrainement de Koulikoro, les cérémonies de remises de médailles au personnel Européen de la mission qui quitteront le Mali dans les prochaines semaines.

Au total, ce sont 279 officiers, sous-officiers et militaires du rang, de 22 nations, qui ont été décorés de la médaille de la Politique Européenne de Défense  et de Sécurité Commune. Le général Bruno Guibert, commandant l’EUTM, qui présidait les deux cérémonies a, au cours de son adresse, remercié les militaires européens pour leur engagement et leur détermination pour redonner au Mali une armée pérenne et efficace et ainsi rentrer dans leurs pays respectifs avec une fierté légitime du devoir accompli.

 

Medal parade for EUTM personnel

On the 28th of February in EUTM’s main headquarters in Bamako and on the first of March in the Koulikoro training camp, took place the medal parades for the European personnel who will leave Mali during the next weeks.

A total of 279 officers, non-commissioned officers and soldiers from 22 different countries were awarded the medal for European Common Security and Defense Policy. General Bruno Guibert, EUTM commander chaired both ceremonies. He sized this opportunity to address the EUTM soldiers to thank them for their commitment and determination in favor of the rebuilding of the Malian army and assuring them that they could return to their nations and their armies with the legitimate pride of having fulfilled their duty.

 

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 12:11
EDA Annual Conference "European Defence Matters" - draft agenda now published


25.03.2014 European Defence Agency

 

The draft agenda of the EDA Annual Conference "European Defence Matters" is available here (2014-03-18 EDA Conference 2014 DRAFT AGENDA). (Brussels, 18/03/2014)

More than 550 attendees are expected to attend

 

EDA Annual Conference "European Defence Matters" - draft agenda now published

More information : HERE

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 11:50
Pilot Exercise for Strategic Decision Making in Cyber Defence

 

Brussels - 24 March, 2014 European Defence Agency

 

A pilot Decision-Making Exercise on Cyberspace Crisis Management will take place in Lisbon in May 2014.  The pilot exercise aims to prepare strategic leaders for situations involving  a major cyber-attack.

 

With an increasing amount of critical infrastructure - as well as military and government activities - now online the threat of cyber-attacks is growing every day. For this reason, at the European Council meeting in December 2013, Cyber was recognised as one of four key capabilities for future EDA activity.

The pilot exercise in Lisbon aims to prepare strategic leaders with the experience and structures necessary to deal with a cyberspace crisis. The exercise will help increase awareness and contribute to a better understanding of emerging cyberspace challenges and threats.  

 

Used to develop further training courses

One of the aims of the pilot is to help to develop a coherent conceptual toolkit that could be used in assessing current and future decision-making frameworks and could be used in future training plans. This could include the development of a repository of ‘off-the-shelf’ training courses, exercises, and scenarios that Member States could use in the future.

 

EU Cyber Security Strategy

The pilot was developed under the EU Cyber Security Strategy which identified the improvement of leadership, training, and exercises as a key activity for cyber security efforts in the EU. This was reinforced by the results of an EDA study in 2012 that found shortcomings in Cyber Security training and exercises of all 20 Member States who took part.

The European Council in December called for the EDA to develop a roadmap for cyber defence as well as concrete projects focused on training and exercises, improving civil/military cooperation, and the protection of assets in EU missions and operation.

 

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 11:50
« VOLFA 14-01 » : premier exercice majeur des forces aériennes de l’année

 

25/03/2014 Armée de l'air

 

Du 24 mars au 27 mars 2014, « VOLFA 14-01 », exercice majeur de l’armée de l’air, se déroule dans le Massif central, réunissant plus de 450 aéronefs militaires.

 

Au départ de l’ensemble des bases aériennes du territoire, tous les avions tactiques de l’armée de l’air, ainsi qu’un C 160 Transall allemand et un E2C Hawkeye de la marine nationale participent à cette première édition de l’année. L’A400M Atlas sera intégré à certaines missions, dans le cadre des expérimentations en vue de sa mise en service opérationnel à la rentrée.

 

Le thème principal de cet entraînement de synthèse est « l’entrée en premier ». Les missions menées lors de cette semaine d’exercice vont permettre de valider les savoir-faire des équipages des forces aériennes, démontrant la capacité de notre pays à rentrer seul ou en coalition sur un théâtre d’opérations. Conduites depuis le centre national des opérations aériennes de Lyon et animées par le directeur de l’exercice, les missions comprendront des opérations aéroportées réelles ou fictives ainsi que des frappes dans la profondeur ou tactiques.

 

À la tête de dispositifs complexes (COMAO), les « package leaders » et « mission commanders » (les chefs de dispositifs aériens transport et chasse de chaque mission) vont faire face à une menace air-air et une défense sol-air conséquentes. À cette occasion, le Mamba et le Crotale NG sont déployés sur le terrain. L’intégration de l’Atlas A400 M dans ce cadre tactique complexe vise à valider les procédures d’utilisation du nouvel appareil de transport dans un environnement opérationnel dense.

 

« VOLFA 14-01 » sera aussi l’occasion de parfaire l’utilisation des liaisons de données tactiques (Liaison 16 en particulier) et de poursuivre l’expérimentation de tactiques directement inspirées du retour d’expérience des opérations récentes ou en cours. Les spécialistes de l’appui à la manœuvre aérienne, notamment dans le domaine des systèmes d’information et de communications (SIC), travaillent dans l’ombre pour rendre possible l’intégration de tous les acteurs dans ces opérations.

 

« VOLFA » permet ainsi de maintenir une capacité opérationnelle élevée et un haut niveau d’expertise des combattants de l’armée de l’air.

C-160 Transall allemand, participant à l'exercice Volfa. - photo Armée de l'air

C-160 Transall allemand, participant à l'exercice Volfa. - photo Armée de l'air

C-130 Belge, participant à l'exercice Volfa. - photo Armée de l'air

C-130 Belge, participant à l'exercice Volfa. - photo Armée de l'air

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 11:50
Watchkeeper - photo Richard Seymour, Thales UK

Watchkeeper - photo Richard Seymour, Thales UK

 

21 mars, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

FOB interroge aujourd’hui Pierre-Eric Pommellet, Directeur Général adjoint de Thales, en charge des activités systèmes de mission de défense, à propos du programme de drone tactique Watchkeeper.

 

Le drone Watchkeeper a été spécifiquement développé pour les besoins britanniques. Comment se situe ce drone tactique sur le marché des drones aujourd’hui?

Watchkeeper est le premier drone tactique conçu et développé suivant les exigences très strictes de l’Autorité de l’aviation militaire (MMA) britannique, ce qui va lui permettre un emploi non seulement sur les théâtres d’opérations, mais aussi dans l’espace aérien britannique. Et ceci, avec le même niveau de sécurité que des avions pilotés. En cela Watchkeeper se place très clairement tout en haut, dans la catégorie des drones tactiques.

 

Il vient de franchir une étape importante, celle de sa mise en service. Est-ce que cela signifie qu’il va pouvoir être dorénavant employé en opérations? (relire l’article de FOB ici)

Oui, dès la fin de la formation des opérateurs, qui se déroule actuellement sur la base de Larkhill, l’armée britannique envisage de déployer Watchkeeper en opérations.

 

Cette mise en service était attendue depuis plusieurs années. Pourquoi le Watchkeeper a-t-il  mis autant de temps pour être accepté par l’armée britannique ?

Comme je vous l’indiquais, Watchkeeper est un programme très ambitieux, puisque pour la première fois, un système de drone a suivi la totalité du processus de conception, développement et production suivant les règles très strictes de la MMA. Comme beaucoup de programmes aéronautiques majeurs, et afin de ne rien céder à la sécurité aéronautique, Watchkeeper a nécessité plus de temps que ne le prévoyait le contrat initial. C’est très souvent le cas pour les programmes pionniers, ce qui explique aussi que cela se soit déroulé en parfaite intelligence avec le Ministère de la Défense britannique.

 

Quelles sont les prochaines étapes pour les britanniques aujourd’hui ?

D’abord, la formation des opérateurs sur un simulateur, puis aux commandes, avec le vecteur aérien en vol, au-dessus du Royaume-Uni. Et ensuite, ce sera le premier déploiement opérationnel pour l’armée britannique.

 

Le France s’y intéresse pour remplacer les SDTI de Sagem. Aujourd’hui le Watchkeeper correspond-t-il aux besoins français ? Des modifications sont-elles à prévoir pour le client français ?

La France a exprimé dans la Loi de Programmation Militaire (LPM) un besoin de drones tactiques pour remplacer les systèmes existants dans les trois ans qui viennent. Un processus de définition du besoin est en cours et devrait aboutir rapidement et, comme cela a été exprimé à de nombreuses reprises par le Ministre de la Défense français, des contacts fréquents ont lieu entre les autorités françaises et britanniques sur ce sujet.

 

La DGA avait initialement exprimé des doutes sur les performances du système. Qu’en est-il aujourd’hui ?

Les remarques de la DGA correspondaient aux demandes du Ministère de la défense britannique quant aux améliorations à apporter par Thales et qui sont pour la plupart déjà implémentées ou qui le seront à très court terme. Nous sommes dans la phase dite de mise au point du produit où les défauts de jeunesse sont corrigés pour obtenir un drone robuste et fiable.

 

Des militaires français se sont déjà rendus en Grande Bretagne pour l’évaluer. Quelles sont les prochaines étapes pour le choix français?

Le ministère de la défense évalue en ce moment les différents scénarios et il lui revient de définir la feuille de route pour l’acquisition, ce que nous espérons maintenant dans un futur proche.

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 08:50
Sécurité nucléaire: Moscou met en garde contre une transparence excessive

 

LA HAYE, 24 mars - RIA Novosti

 

Une transparence excessive en matière de protection physique des installations et des matières nucléaires pourrait avoir des conséquences dangereuses, a indiqué lundi le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov lors du 3e Sommet sur la sécurité nucléaire de La Haye.

 

"Nous attachons une importance particulière au renforcement de la sécurité de l'information concernant la protection des matériaux et des installations nucléaires. Il est nécessaire de renforcer la protection des systèmes automatisés répondant de la sécurité des installations d'utilisation de l'énergie nucléaire", a déclaré le ministre.

 

Et de rappeler que le terrorisme nucléaire figurait toujours parmi les menaces les plus graves pour la sécurité internationale.

 

"Je tiens à réaffirmer notre disposition à renforcer la coopération en matière de protection physique des matières et installations nucléaires, constituant l'ordre du jour de notre sommet", a conclu M.Lavrov.

 

Les 24 et 25 mars, la ville de La Haye accueille le troisième Sommet sur la sécurité nucléaire (SSN). 53 chefs d'Etats et 4 représentants d'organisations internationales se sont réunis dans la capitale administrative néerlandaise.

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 08:50
GTK Boxer im Graben

 

24 mars 2014  Zentralredaktion der Bundeswehr 03/14 14E11002

 

Bei eisigen Temperaturen durchläuft der GTK Boxer seine Kälteerprobung im nördlichen Norwegen. Gleichzeitig trainiert dort das Jägerbatallion 292. Mitten im laufenden Geschehen rutscht ein Boxer von der Strasse in einen Graben. Aus eigener Kraft kann sich das mehr als 30 Tonnen schwere Fahrzeug nicht mehr befreien. Jetzt sind gute Ideen und internationale Zusammenarbeit gefragt, damit der GTK Boxer schnell wieder einsatzbereit ist. 

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 08:40
Russie-Ukraine: entretiens des ministres des AE à La Haye

 

LA HAYE, 24 mars - RIA Novosti

 

Une rencontre du chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov avec le ministre ukrainien des Affaires étrangères par intérim, Andreï Dechtchitsa, a commencé lundi soir à La Haye, aux Pays-Bas, a appris RIA Novosti d'une source au sein de la délégation russe.

Il s'agit des premiers entretiens entre Moscou et les représentants des nouvelles autorités de Kiev après le changement du pouvoir du 22 février.

Un changement de pouvoir ayant toutes les caractéristiques d'un coup d'Etat s'est produit en Ukraine le 22 février dernier. La Rada suprême (parlement) a destitué le président Viktor Ianoukovitch, réformé la constitution et fixé l'élection présidentielle au 25 mai. Viktor Ianoukovitch a déclaré qu'il avait quitté le pays sous la menace de persécutions, mais qu'il restait le président légitime de l'Ukraine. Moscou conteste la légitimité des nouvelles autorités du pays.

Peuplée en majorité de russophones, la république autonome ukrainienne de Crimée a refusé de reconnaître les nouvelles autorités de Kiev et proclamé son indépendance et la réunification avec la Russie au terme d'un référendum du 16 mars. La Russie et la Crimée ont signé le traité sur le rattachement de la république de Crimée et de la ville de Sébastopol à la Fédération de Russie le 18 mars. Kiev a protesté, en le qualifiant d'"annexion" de la Crimée par la Russie, soit de rattachement forcé de la péninsule.

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 18:55
Réseau sémaphorique

 

24 Mars 2014 Marine Nationale

 

Le réseau sémaphorique tient son origine de la volonté de mettre en place une surveillance maritime permanente le long du littoral afin de prévenir les incursions par la mer.

 

Voir notre diaporama consacré aux sémaphores

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 17:30
MBDA Presents New Coastal Defence System in Doha, Qatar

 

Mar 21st, 2014 navaltoday.com

 

At the DIMDEX exhibition in Doha, Qatar (25-27 March 2014), MBDA is presenting for the first time ever a new coastal defence system based on the Marte missile family.

 

The Marte Coastal Defence System (MCDS) guarantees maritime coastal traffic surveillance and interdiction to hostile ships in territorial waters.

The system is capable of:

  • monitoring and picturing sea communication lines;
  • detecting and identifying hostile vessels through the use of active surveillance equipment;
  • receiving target data via data-link;
  • neutralising hostile vessels by using a new generation of anti-ship missiles.

The MCDS is available with different and flexible configurations depending on customer requirements. This system can operate in either a stand-alone mode or integrated within an existing surveillance radar network.

In addition, MBDA can offer two different missile options for MCDS; the Marte MK2/N for the control of brown waters and Marte ER, for the control of a more expansive sea area.

The system configuration consists of:

  • a Command and Control (C2) module, comprising an ISO standard 12 foot shelter that can be connected via data-link with the upper level surveillance system. This module includes consoles to manage the local picture provided by its own radar (stand-alone mode) or to track targets provided by the upper level surveillance system (integrated mode).
  • a launcher module, comprising up to four firing units that can be mounted on ISO standard trucks. Each launcher can deploy up to four missiles.
  • a logistics module, comprising a logistic and support vehicle, plus a variable number of reloading vehicles.

 

The Marte missile family

The all-weather Marte MK2 is a fire-and-forget, medium-range, sea-skimming anti-ship weapon system. It is equipped with mid-course inertial and radar-based terminal guidance and is capable of destroying small craft and seriously damaging larger vessels. The missile weighs 310 kg and is 3.85 metres long. Marte was first developed in the 1980s with the 30km range MK/2 version being deployed on helicopters. Subsequent models followed for integration on different platforms and thus a family of missiles came into being.

The Marte MK-2/S, where “S” stands for “Short” and indicates shorter munitions in order to enable simpler on board integration, has already been integrated on AW101 and NH-90 NFH helicopters (Naval/Nato Frigate Helicopter) in service with the Italian Navy. The Marte MK-2/A was then developed for launch from fixed-wing aircraft (fighter or patrol aircraft). Finally, in response to the growing interest for a lightweight, rapid-response surface-to-surface naval missile system for littoral operations, Marte MK2/N was developed.

The new version of the missile, called Marte ER (Extended Range), keeps the basic characteristics of the Marte family, but extends its range. The new product is different from previous versions thanks to two main features: turbojet propulsion (leading to a four-fold increase in range compared to the rocket motor version), and the new ISO-calibre cylinder cell. The missile, equipped with these new important components, still preserves a series of elements that were already present in previous versions of the Marte missile, providing a number of significant commonalities that are widely appreciated by the market.

Thanks to these improvements, the new missile has a range that now exceeds 100 km and a much increased speed, both in the cruise and final attack phases. However, it is shorter than the previous model. Logistic systems, such as the transport and stocking canister in the helicopter version and the trolley for moving and hooking the missile to aircraft, are the same as those used in the Mk2/S model, offering clear user advantages.

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 16:50
Interview de Marwan Lahoud, Chief Strategy and Marketing Officer Airbus Group (SDBR)

 

Propos recueillis par Alain Establier - Lettre SECURITY DEFENSE Business Review n° 102 – Mars 2014

 

 

SDBR : Dans la nouvelle entité Airbus Defence & Space, vous avez évoqué un changement de périmètre. Pouvez-vous nous en dire plus ?

 

source Airbus Group

source Airbus Group

 

Marwan Lahoud : Actuellement nous faisons un inventaire complet des activités d’Airbus military, de Cassidian et d’Astrium, les 3 composantes d’Airbus Defence & Space (ADS), qui devrait aboutir vers le mois de juin. Tout ne sera peut-être pas encore figé à ce moment-là, mais nous aurons alors une bonne vision de l’existant pour pouvoir prendre des décisions au 2ème semestre 2014. Rien n’est fermé, ce qui signifie que le changement de périmètre pourrait aussi bien entrainer des cessions d’activités que des acquisitions de sociétés.

 

Dans ADS, il y a « Defence and Space » dans l’intitulé. Quid des activités civiles ?

 

Marwan Lahoud : Il n’y a pas de sous-entendu dans cet intitulé. Les activités civiles auxquelles vous faites allusion sont  essentiellement des activités spatiales, ou bien les activités de réseaux sécurisés. Nous n’abordons pas les activités sous cet angle, à savoir est-ce de la défense ou non, mais selon le Core business d’Airbus Group : est-ce que cela vole, est-ce que cela contribue à des objets volants ou est-ce que cette activité contribue à la notoriété du groupe, est-ce que cette activité contribue au positionnement du groupe en tant qu’acteur de la défense ou de l’espace ? Une fois que nous avons répondu à ces questions nous étudions les critères financiers, à savoir est-ce une activité rentable ou non, est-ce une activité capitalistique ou non ? Toutes ces questions nous permettront de décider de la pérennité de telle ou telle activité dans le groupe. Une fois que la décision sera prise de garder ou non une activité, il nous faudra réfléchir aux moyens de la conserver et de la développer, ou bien de la vendre, à condition qu’il y ait des acheteurs…

 

Peut-on parler des drones ?

 

Interview de Marwan Lahoud, Chief Strategy and Marketing Officer Airbus Group (SDBR)

 

Marwan Lahoud : Les drones ! Prenons l’exemple du Talarion (projet de drone Male de Cassidian). Nous avons annoncé avoir lancé le Talarion en une coopération de la France, de l’Allemagne, de l’Italie et de la Turquie. Qu’en était-il en fait ? Quatre industriels avaient signé une lettre disant en substance : « s’il y a un programme de drone Male et si tout le monde est d’accord, alors nous le ferons ensemble… ». La réalité était un peu différente : la France n’a ni argent ni programme de drone Male, l’Allemagne non plus (en tous cas à ce jour, car le gouvernement vient de changer), l’Italie on ne sait pas et la Turquie non plus. Voilà la réalité. En revanche ce qui est sûr, c’est que si nous ne faisons pas rapidement de la technologie de drone en Europe, nous serons dépassés technologiquement pour l’aéronautique de l’horizon 2040 ! Comme on le constate avec les avions commerciaux, l’évolution va toujours dans la même direction. Il y a un enjeu majeur de l’objet volant sans pilote, qui ne peut être ni sous-estimé ni oublié. Au même moment, aux Etats-Unis et en Israël, les technologies « unmanned » se sont considérablement développées. Donc, si nous ne faisons pas d’effort sur ce sujet nous serons vite dépassés.

 

La Turquie rechigne à prendre livraison de ses A400M. Pourquoi ?

 

A400M MSN9 - photo Airbus DS

A400M MSN9 - photo Airbus DS

 

Marwan Lahoud : C’est toujours très ennuyeux. Sur un avion livrable, il existe des centaines de points de contrôle techniques or nous assistons à une contre-négociation contractuelle pour des points de détail. Tant que le client ne prend pas possession de l’avion, bien sûr le solde contractuel n’est pas dû… Le problème, c’est que l’industriel a lui une chaîne à faire tourner et des cadences à tenir. De plus cela fait mauvais effet sur les autres clients.

 

Quid du psychodrame entre Astrium et Thales Alenia Space ?

 

Marwan Lahoud : L’idée qu’on entend parfois, « il y a des difficultés chez TAS, il y a des difficultés chez Astrium, marions-les et tout ira mieux », est pour moi de la stratégie à deux sous… Je comprends que cela puisse passionner certains, friands de grand meccano industriel, mais un industriel est d’abord intéressé par la charge de ses usines, ce qui permet de faire tourner ses outils de production. S’il y a des activités à arrêter chez Astrium, nous les arrêterons et s’il y en a à développer, nous les développerons. Mais pour pouvoir acheter une activité, il faut un vendeur et un acheteur. Il faut sortir de la logique qui consiste à penser que toute idée de meccano se concrétisera forcément. Aujourd’hui, nous ne sommes pas vendeur et il en est de même pour Thales, il me semble.

 

Nos missiliers sont parfois en concurrence. Quel est votre avis sur ce sujet ?

 

photo MBDA

photo MBDA

 

Marwan Lahoud : MBDA est dans notre Core business et c’est une participation rentable dont nous sommes très contents. Si vous faites référence à l’Arabie saoudite, il faut replacer les choses dans leur contexte en y mettant des chiffres. En Arabie saoudite, il s’agit d’un budget de 4 milliards sur 20 ans pour la défense aérienne (soit 200M par an en moyenne). Le chiffre d’affaires annuel de MBDA est de 3,5 milliards, donc ramenons les sujets à leur juste proportion.

 

Concernant l’A380, vous avez souligné l’effort de ventes qu’il y avait à faire par Airbus. Avez-vous des espoirs en chine ?

 

Marwan Lahoud : C’est un avion qui a été conçu pour le marché chinois. D’ailleurs, les compagnies chinoises étaient parmi les compagnies aériennes qui ont été réunies dans le groupe de travail qui a donné les spécifications du projet de l’A380…                                 

 

* Airbus Group : http://www.airbusgroup.com

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 13:50
MBDA : new coastal defence system based on Marte family of anti-ship missiles

 

03/24/2014 By VMSB

 

The missile specialist MBDA has developed a new coastal defence system based on the company’s Marte family of anti-ship missiles. The system designated MCDS (Marte Coastal Defence System) is capable of monitoring and picturing sea communication lines, detecting and identifying hostile vessels through the use of surveillance equipment, receiving target data via data-link and neutralizing surface ships.

 

The MCDS is available with different and flexible configurations depending on customer requirements. This system can operate in either a stand-alone mode or integrated within an existing surveillance radar network.

 

It consists of a shelter based command and control module that can be connected via data-link with the upper level surveillance system, up to four truck-mounted firing units armed each with up to four Marte MK2/N or Marte ER missiles, as well as associated logistic and support and resupply vehicles.

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 13:50
MOD identifies 10 First World War soldiers

 

22 March 2014 Ministry of Defence

 

Ten soldiers killed during the First World War who were found in France during 2009 have now been identified.

 

Defence Minister Lord Astor has announced that the remains of the 10 soldiers, found during construction work near the French village of Beaucamps-Ligny, have been formally identified after their surviving relatives provided DNA samples.

All those identified served with 2nd Battalion The York and Lancaster Regiment and were killed in battle on 18 October 1914. The discovery will now allow the surviving relatives of the soldiers, who were informed this week, to see their forefathers laid to rest 100 years on from the outbreak of the war.

Lord Astor said:

Our thoughts remain with all those who have made the ultimate sacrifice in the service of our country. Although these soldiers fell almost a century ago, the Ministry of Defence still takes its responsibility extremely seriously to identify any remains found, trace and inform surviving relatives, and to provide a fitting and dignified funeral so they rest in peace.

 
The headstone of an unknown soldier in a Commonwealth War Graves Commission cemetery (library image) [Picture: Sergeant Jez Doak RAF, Crown copyright]

The soldiers will now be reburied with full military honours at a Commonwealth War Graves Commission cemetery in October. The ceremony will be organised by 4th Battalion The Yorkshire Regiment which can trace its history back to the York and Lancaster Regiment. Work to identify a further 5 sets of remains found at the same time is continuing.

Commodore Ian Bisson, from the Ministry of Defence’s Joint Casualty and Compassionate Centre, which identified the soldiers, said:

This has been a difficult but very successful piece of work for the Joint Casualty and Compassionate Centre team and we have identified far more of the fallen than we first hoped. We can still identify some of the remaining 5 sets of remains and would appeal to those who think they may be family members to get in touch with us.

2014 marks 100 years since the start of the First World War. The Ministry of Defence is part of a cross-government effort, led by the Department for Culture, Media and Sport, to build a commemoration fitting of this significant milestone in world history. Find out more: First World War Centenary.
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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 13:25
Ariane 5 : Arianespace réussit son deuxième lancement en 2014

Deuxième mission de l'année et deuxième succès pour le lanceur Ariane 5

 

23/03/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Arianespace a réussi le 59è lancement d'Ariane 5 d'affilée en mettant en orbite deux satellites de télécommunications, ASTRA 5B pour l'opérateur luxembourgeois SES et Amazonas 4A pour l'opérateur espagnol Hispasat.


 

Deuxième mission de l'année et deuxième succès pour le lanceur Ariane 5. Arianespace a réussi le 59è lancement d'Ariane 5 d'affilée en mettant en orbite deux satellites de télécommunications, ASTRA 5B pour l'opérateur luxembourgeois SES et Amazonas 4A pour l'opérateur espagnol Hispasat. A l'occasion de cette mission, ASTRA 5B héberge la charge utile de navigation EGNOS (European Geostationary Navigation Overlay Service) au service de la Commission européenne.

Le décollage s'est déroulé à 19h04 heure locale (22h04, GMT) depuis le centre spatial guyanais à Kourou. Vingt-sept minutes et trois secondes plus tard, le lanceur européen se séparait du satellite Astra 5B pour le compte de SES. Trente-quatre minutes et 37 secondes après le lancement, Ariane a placé à son tour sur orbite Amazonas 4A (3 tonnes environ) pour le compte de l'opérateur espagnol Hispasat et qui a été fabriqué par le constructeur américain Orbital Sciences Corporation.

Un lancement qui intervient au moment où le lanceur européen est fortement déstabilisé par son concurrent américain Falcon 9 de SpaceX, qui pratique un très fort dumping sur les prix. Ce qui oblige l'Europe spatiale à repenser son organisation dans la douleur et qui va entraîner de nombreuses suppressions d'emplois.

 

59e succès d'Ariane 5

"Ce nouveau succès, le 59è d'affilée du lanceur européen Ariane 5 a confirmé que l'offre d'Arianespace est la référence d'un accès garanti à l'espace pour tous les acteurs du secteur spatial, agences internationales ou nationales, opérateurs commerciaux ou institutionnels", a rappelé samedi Arianespace dans un communiqué.

Ce succès "confirme les niveaux de fiabilité et de disponibilité inégalés du lanceur européen, a confirmé le PDG d'Arianespace Stéphane Israël, cité dans le communiqué. Ce soir, nous sommes particulièrement fiers d'avoir mis cette excellence au service de deux grands opérateurs européens, SES et Hispasat, clients de référence d'Arianespace, ainsi que de la Commission européenne qui dispose à bord d'ASTRA 5B d'une charge utile pour son service de navigation par satellite EGNOS".

 

Airbus Defense ans Space maître d'oeuvre d'Ariane 5 et d'ASTRA 5B

Pour ce 217ème vol Ariane, la performance requise était de 9.468 kg en orbite de transfert géostationnaire dont 8.662 kg pour les deux satellites (ASTRA 5B et Amazonas 4A), le reste correspondant au Sylda, le système de lancement double d'Airbus Defence and Space (ADS), et aux structures adaptatrices pour les satellites, a expliqué Airbus Space Systems. ADS, le numéro deux mondial des technologies spatiales, qui développe et construit Ariane 5, était également sur ce lancement maître d'oeuvre d'ASTRA 5B, conçu et réalisé pour SES.

Ce lancement réussi "démontre une fois encore l'extrême fiabilité de notre organisation industrielle, aussi bien en tant que maître d'oeuvre d'Ariane 5 et des futurs lanceurs européens que comme constructeur de satellites de télécommunications comme ASTRA 5B, dont la plateforme Eurostar E3000 fête actuellement 10 ans de succès en orbite", a affirmé le directeur général de Space Systems, François Auque.

ASTRA 5B est le 8ème de la plateforme Eurostar E3000 de la flotte SES placé en orbite, après les lancements d'ASTRA 2F en septembre 2012, de SES-6 en juin 2013 et d'ASTRA 2E en septembre 2013. Un autre satellite Eurostar E3000 destiné à SES (ASTRA 2G) se trouve actuellement en phase finale d'intégration et de tests dans les locaux d'Airbus Defence and Space, tandis que la conception de SES-10, le dernier né de la flotte SES commandé en février 2013, a débuté.

 

EGNOS à bord

ASTRA 5B est un satellite de télécommunications qui offrira des services de télédiffusion directe DTH (Direct-to-Home) et d'alimentation des réseaux de TNT (Télévision Numérique Terrestre) en Europe pour le compte de SES. "Sa durée de vie estimée est de 15 ans", a expliqué le CNES dans un communiqué.

Amazonas 4A, d'une masse au lancement de 3 tonnes, est un satellite de télécommunications qui fournira un éventail étendu de services de télécoms sur toute l'Amérique du Sud pour le compte de l'opérateur Hispasat. Il hébergera également un équipement destiné au service européen de navigation par recouvrement géostationnaire EGNOS. La durée de vie d'Amazonas 4A est estimée à 15 ans, selon le CNES.

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 12:40
Russie: pas d'activité militaire non déclarée (Défense)

 

 

MOSCOU, 23 mars - RIA Novosti

 

Les inspections menées par une série de pays européens n'ont révélé aucune activité militaire non déclarée russe menaçant la sécurité des Etats voisins, a déclaré dimanche aux journalistes le vice-ministre russe de la Défense Anatoli Antonov.

 

D'après le responsable militaire, au cours du mois passé le territoire russe a été visité par huit groupes d'inspection. "Deux fois, nos sites et régions de déploiement des troupes situés le long de la frontière russo-ukrainienne ont été inspectés par des militaires ukrainiens", a précisé M.Antonov.

 

"Nous avons en outre reçu sur notre sol des inspecteurs américains, canadiens, allemands, français, suisses, polonais, lettons, estoniens et finlandais", a poursuivi le vice-ministre avant d'ajouter que ce sont les régions limitrophes avec l'Ukraine qui intéressaient le plus les inspecteurs étrangers. 

 

"Les conclusions tirées par nos partenaires étrangers (…) revenait au même: les Forces armées de Russie ne menaient aucune activité militaire non déclarée susceptible de représenter un danger pour les Etats voisins", a conclu M.Antonov.

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 12:20
A new ‘special relationship’ between Washington and Paris: undermining or underpinning the CSDP?

Image credit: Official White House Photo / Pete Souza.

 

23rd March 2014  by Jo Coelmont - europeangeostrategy.org

 

François Hollande’s recent state visit to Washington featured in-depth discussions on international security and on military cooperation in particular. Is this signalling the emergence of yet another ad hoc framework for initiating future military crisis management operations? Does it suggest a European trend to re-nationalise defence through a series of bilateral ‘special relationships’? Or on the contrary, is it still about ‘Europe as a global actor’, acting in tandem with a strong transatlantic partnership?

 

From a United States (US) point of view, the answers to these questions are rather straightforward. Washington’s objective is to ensure that Europe (its ‘principal partner’) rapidly evolves from a security consumer into a security provider. This would entail the ability to assume full responsibility for military crisis management without overly depending on US support. In this context, both NATO and the EU’s Common Security and Defence Policy (CSDP) do matter to the Americans. And in light of the recent French interventions in Mali and the Central African Republic (CAR) and ongoing diplomatic efforts in the Middle East, Paris still matters as well. This in itself explains the pomp and circumstance displayed in February.

 

From the French point of view, those same military operations in Africa inspired Paris to refer to the US as an ‘indispensable partner’. But Paris also drew some less enchanting lessons from these operations, in particular about the lack of support from most European Union (EU) member states. Is President Hollande’s initiative to put structured military cooperation on the agenda of his meeting with President Obama to be seen as Paris losing faith in the CSDP and henceforth favouring bilateral relations? Or is it still about finding ways to provide extra credibility to the CSDP in the short run and, in so doing, keeping NATO relevant in the long run? In any case, the future shape of this newfound entente will to a large extent depend on the positions taken by France’s partners in Europe rather than across the pond.

 

In itself, bilateral military cooperation – even in a transatlantic context – does not harm the CSDP. Quite the opposite is true, for at present European defence writ large is nothing more than a patchwork of military cooperation efforts, some of which are institutionalised, others not. In the EU all of this is deemed to be in line with the praised ‘bottom-up approach’. While this does offer significant potential, it has also become clear that the present patchwork is insufficient. The prerequisite for Europe to solve its most fundamental military problems, notably its ability to address longstanding capability shortfalls and successfully conduct operations, is to have a shared vision on defence in general and on burden sharing in particular.

 

Fortunately, European leaders have not yet exhausted all their options. At the European Council in December 2013, the traditional bottom-up approach has been complemented with top-down steering by the Heads of State and Government. Common programmes on capability development have been initiated. The Commission is on board. Several processes have been launched on pooling of procurement and convergence of defence planning, even on developing strategies. Crisis management has thus been brought to the political level that is consistent with the magnitude of the problems that need to be resolved. Lessons learned during recent operations have made it clear that durable solutions are only feasible when a clear strategic outcome is identified and underpinned by an even clearer political roadmap. Naturally this assumes the availability of the appropriate civil and military capabilities, and of economic assistance programmes over the longer term. In short, we are entering the early days of a new era in the development of the CSDP. But addressing even the most critical capability shortfalls cannot be done overnight. Given that the next crisis may well pop up tomorrow, an ‘indispensable partner’ across the Atlantic may need to provide interim solutions. That is why Hollande’s state visit to Washington deserves special attention: a potential win-win situation for France, the US, NATO and the CSDP is within reach.

 

The prerequisites, however, remain the same. As important as it is to seek swift solutions to remedy urgent shortfalls, a common European vision on crisis management operations remains a necessary condition for success. The CSDP is but an instrument. If in practice it boils down to ‘so few will have to do so much in the name of so many’, it is doomed to vanish. Ultimately, the spectre of military irrelevance haunts NATO as well, as Robert Gates already warned in his farewell speech in Brussels. In the direst scenarios, ad hoc coalitions and bilateral special relationships will be the only options, even for France. For Europe as a whole, this also means saying farewell to the much-vaunted comprehensive approach.

 

Military fragmentation was of course not the object of Franco-American deliberations. But such a future may well materialise malgré Paris et Washington. Up until quite recently, voices in Berlin and other European capitals spoke of responsibility and sharing the burden more equitably. But real life offers a gloomy picture. European countries are once more stumbling from one force generation conference to another to scrape together the resources required for a distinctly unambitious operation in the CAR. In the immediate run-up to the EU-Africa Summit, this cannot help but severely damage the credibility of the CSDP and the Union as such.

 

We find ourselves halfway between the past European Council on defence and the upcoming NATO ‘Wales Summit’. The Americans display an open-mind about the CSDP-NATO relationship and President Obama is coming to Brussels. In turn, recent events in Ukraine remind all Europeans about the importance of credibility – to have it or not. Europeans may well agree that there is indeed no military solution to Russian tactics in the Eastern neighbourhood. But the hour is getting late and a sense of urgency is justified. Hoping for the best is not a strategy. Arithmetically, international influence gets calculated as a multiplication between different instruments of power. If one variable equals zero, then the result equals zero. In strategic affairs there is therefore no room for part-time credibility.

 

Jo Coelmont

Brig. Gen. (ret.) Jo Coelmont is an Associate Editor of European Geostrategy. He is also a Senior Associate Fellow for the ‘Europe in the World Programme’ at Egmont – Royal Institute for International Relations in Brussels. Formerly, he was the Belgian Military Representative to the Military Committee of the European Union. He writes here in a personal capacity.

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 11:50
Interview de Marwan Lahoud, Chief Strategy and Marketing Officer Airbus Group (Extraits)

 

Propos recueillis par Alain Establier - Lettre SECURITY DEFENSE Business Review n° 102 – Mars 2014

 

SDBR : Dans la nouvelle entité Airbus Defence & Space, vous avez évoqué un changement de périmètre. Pouvez-vous nous en dire plus ?

 

Marwan Lahoud : Actuellement nous faisons un inventaire complet des activités d’Airbus military, de Cassidian et d’Astrium, les 3 composantes d’Airbus Defence & Space (ADS), qui devrait aboutir vers le mois de juin. Tout ne sera peut-être pas encore figé à ce moment-là, mais nous aurons alors une bonne vision de l’existant pour pouvoir prendre des décisions au 2ème semestre 2014. Rien n’est fermé, ce qui signifie que le changement de périmètre pourrait aussi bien entrainer des cessions d’activités que des acquisitions de sociétés.

 

Interview de Marwan Lahoud, Chief Strategy and Marketing Officer Airbus Group (Extraits)

Suite de l'interview en fin de journée.

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