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12 juin 2014 par Michael Delaunay – 45e Nord.ca
Pourtant en première ligne pour dénoncer l’annexion de la Crimée, les autorités canadiennes n’ont émis aucune protestation au sujet de la vente des deux navires de guerre BPC Mistral français à la Russie, au contraire de certains responsables américains et de plusieurs pays membres de l’OTAN.
Un contrat conclu en 2011
Ce contrat de 1,2 milliard d’euros, a été conclu en 2011 avec l’agence d’importation et d’exportation des armes russes Rosoboronexport. Il prévoit la livraison de deux bateaux de projection et de commandement (BPC) de la classe Mistral à la Russie. Le premier navire destiné à la Flotte du Pacifique, le Vladivostok, doit être livré pour octobre 2014; le second baptisé Sébastopol (tout un symbole en pleine crise ukrainienne) sera livré fin 2015 et sera affecté à Sébastopol, base de la Flotte de la mer Noire. Une option portant sur deux navires supplémentaires doit être confirmée avant la fin 2015 par les autorités russes.
Les «couteaux suisse» de la Marine nationale
Les BPC sont des navires multi-missions capables de transporter, projeter, soutenir et commander une force aéronavale sur de grandes distances. Longs de 200 mètres, ils mettent en œuvre six hélicoptères en simultané et peuvent en transporter 16 dans leurs hangars. Une force de 450 hommes peut être embarquée pour une longue durée ou 750 hommes pour une courte durée, avec 60 blindés, dont 12 chars Leclerc. Cette force peut être projetée à terre par quatre chalands de débarquement ou deux aéroglisseurs. De plus, ils disposent également d’un hôpital d’une capacité de 69 lits. Enfin, les BPC ont toutes les infrastructures de commandement et de communication permettant d’accueillir un état-major capable de commander un groupe aéronaval.
Les exemplaires vendus à la Russie ont semble-t-il été adaptés aux conditions particulières des mers froides, permettant au BPC de naviguer par -25 degrés Celsius avec une coque renforcée.
La Marine nationale dispose de trois navires BPC (Mistral, Tonnerre et Dixmude). Entrés en service à partir de 2005, ils ont depuis démontré leur utilité et leur efficacité à mener un éventail très large de missions (notamment au Liban et en Libye), au point qu’on les surnomme les «couteaux suisse» de la Marine.
Une vente qui fait «grincer des dents»
Dès les premières rumeurs de l’intérêt russe pour les navires Mistral français en 2009, les autorités américaines ont manifesté leur désaccord à propos de cette vente, tout comme plusieurs pays membres de l’OTAN.
Depuis le début de la crise ukrainienne, les déclarations d’élus et de responsables américains se sont multipliées pour demander l’annulation du contrat BPC. De plus, lors du sommet du G7 à Bruxelles, le président Barack Obama a fait part de son souhait que la France suspende cette vente.
Les responsables américains ne sont pas les seuls à voir d’un mauvais œil la réalisation de ce contrat, le ministre polonais des affaires étrangères, Radoslaw Sikorski a clairement dit que cette vente ne devait pas se faire, lors d’un entretien au journal le Monde le 3 juin. De plus, le ministre des affaires étrangères lituanien, Linas Linkevicius, a quant à lui suggéré d’intégrer dans la troisième vague de sanctions un embargo sur les armes à destination de la Russie. Pendant ce temps, les autorités canadiennes restent muettes sur la question.
Les autorités françaises résistent aux pressions
Le ministre des Affaires étrangères français Laurent Fabius, a défendu la position de la France lors d’un déplacement aux États-Unis les 12 et 13 mai derniers. Il a déclaré que « La règle dans le domaine des contrats, c’est que les contrats qui ont été passés sont honorés », « Juridiquement, nous n’avons pas la possibilité de ne pas les honorer », alors que « plus de la moitié » des 1,2 milliard d’euros ont déjà été versés par la Russie.
Rompre ce contrat entraînerait prés d’un milliards d’euros de pénalités, cela obligerait également Paris à trouver de nouveaux acquéreurs pour ces deux navires, alors que le budget du ministère de la Défense ne peut pas supporter l’achat et l’entretien de deux navires supplémentaires. En effet, la Défense française qui voit son budget fondre depuis la fin de la Guerre froide, va devoir encore trouver 350 millions d’euros d’économies dans le cadre d’un plan d’économies du gouvernement français. Par ailleurs, ce contrat a permis de maintenir 1 000 emplois aux chantiers de Saint-Nazaire, qui en 2011 avait bien besoin de commandes pour subsister.
Seule une troisième vague de sanctions décidée par l’Union européenne pourrait obliger la France à renoncer à ce contrat, celle-ci pourrait inclure des mesures de rétorsion dans les domaines de l’énergie, la finance et la défense.
Le Canada sanctionne et déploie des militaires canadiens en Europe de l’Est
Le Canada a multiplié les signes de soutien aux pays d’Europe de l’Est afin de montrer son désaccord avec les agissements de la Russie en Ukraine.
Fin avril, Ottawa a envoyé six avions de chasse CF-18 en Roumanie, dans le cadre des mesures engagées par l’OTAN pour rassurer les pays membres de l’organisation suite à la crise ukrainienne. La frégate NCSM Regina a également été déployée en Méditerranée en vue de rejoindre la Mer noire.
De plus, une cinquantaine de militaires canadiens ont participé du 5 au 9 mai à Swidwin, en Pologne, à un exercice de l’OTAN.
Comme les Etats-Unis, le Canada a sanctionné de nombreux responsables russes et ukrainiens et est même allé jusqu’à boycotter une réunion d’un groupe de travail du Conseil de l’Arctique, qui s’est tenue les 14 et 15 avril derniers à Moscou.
Malgré tout cela, les autorités canadiennes n’ont pas réagi au sujet de la vente des navires français à la Russie, alors que les autorités américaines et plusieurs pays membres de l’OTAN ont fait part de leurs inquiétudes à ce sujet à plusieurs reprises.
Contacté le 20 mai à propos de la vente des BPC par la France à la Russie, le ministère de la Défense canadien a répondu que : « Le gouvernement du Canada ne commente pas sur la vente d’une quelconque acquisition de défense entre deux nations étrangères. »
De plus, hasard du calendrier, le BPC Mistral et la frégate La Fayette, doivent se rendre aux alentours de la fin du mois de juin au large de la Gaspésie, au Québec, afin d’effectuer un exercice de débarquement avec l’armée canadienne, dans le cadre de la mission Jeanne d’Arc qui vise à former les futurs officiers de la Marine nationale. Début juin, les deux navires ont mené des exercices avec l’US Marine Corps au large de la Virginie.
Les intérêts économiques plus forts que la géopolitique?
En étudiant la liste des dernières personnalités sanctionnées par Ottawa, on remarque que certains proches du président Poutine ont été épargnés, à savoir : Sergei Chemezov, dirigeant de l’entreprise Rostec, et Igor Sechin, directeur général de Rosneft, alors que les Etats-Unis ont frappé d’interdiction de visa et gelé les avoirs personnels de ces deux apparatchiks russes.
Interrogé sur cet «oubli» par des députés de l’opposition, le gouvernement canadien a répondu que:
«Notre but est de pénaliser la Russie, ce n’est pas de faire des pieds et des mains pour pénaliser des entreprises canadiennes», «Nous allons continuer à faire pression sur la Russie, nous allons continuer à imposer des sanctions avec nos alliés, mais nous allons aussi veiller aux intérêts plus larges du Canada» selon une source du gouvernement Canadien citée par l’agence de presse Reuters.
En effet ces deux proches de Poutine sont à la tête de deux entreprises russes en affaires avec des entreprises canadiennes.
Sergei Chemezov, dirige l’entreprise Rostec qui est actuellement en négociation depuis 2013 pour la fourniture par l’entreprise canadienne Bombardier de 100 avions court-courrier Q400, ainsi que l’installation d’une usine d’assemblage d’avions en Russie, pour un montant s’élevant à 3,4 milliards de dollars. Les deux groupes sont également liés de longue date par une co-entreprise dans le domaine ferroviaire.
Igor Sechin, est lui à la tête de l’entreprise Rosneft, un des géants pétroliers russe avec Gazprom et Lukoil, qui est engagée à hauteur de 30% dans un champ pétrolier d’Exxon Mobil dans la province de l’Alberta.
De plus, comme l’entreprise STX France, le contrat en cours de négociations entre Rostec et Bombardier est crucial pour l’avionneur canadien puisque celui-ci fait face à de gros retards sur sa nouvelle gamme d’avions CSeries dont les essais viennent d’être stoppés, suite à une défaillance d’un des moteurs du nouveau jet.
En dépit de la volonté canadienne de sanctionner le pouvoir russe, il est donc difficile aux autorités canadiennes de critiquer le maintien du contrat des BPC entre la France et la Russie alors qu’Ottawa agit de même en voulant préserver les affaires en cours entre des entreprises nationales et russes, en évitant soigneusement de sanctionner des responsables russes engagés dans des contrats importants avec des entreprises canadiennes.
Les choses ne sont pas différentes en Norvège, où début avril Igor Sechin s’est rendu à Oslo pour rencontrer le ministre du pétrole et signer de nouveaux accords et contrats entre Rosneft et Statoil. Pendant ce temps, le pétrolier français Total a acheté la première cargaison de pétrole en provenance de l’Arctique russe.
Alors que les pays occidentaux continuent de ressentir les effets de la crise économique, il est presque impossible aux gouvernements d’ignorer les effets que peuvent avoir sur leurs intérêts nationaux des mesures de rétorsion économiques contre la Russie.
Avec la tenue du scrutin présidentiel ukrainien sans incidents notables, ainsi que la rencontre organisée par le président français François Hollande entre le président russe Vladimir Poutine et le nouveau prèsident ukrainien Petro Porochenko, en marge des commémorations du 6 juin 1944, une certaine désescalade semble s’amorcer entre les pays occidentaux et la Russie, éloignant d’autant une troisième vague de sanctions venant des pays européens et donc d’un possible blocus sur les ventes d’armes. Toutefois, la crise ukrainienne n’est pas encore terminée et ses conséquences n’ont pas fini de se faire sentir. Vont-elles par exemple affecter les relations entre la Russie et le Canada au sein du Conseil de l’Arctique, organisme de coopération internationale qui a su jusqu’à présent se préserver des crises internationales?
12/06/2014 Par Véronique Guillermard – LeFigaro.fr
Le ministère de la Défense annonce que la France investira 200 millions d'euros supplémentaires dans les drones militaires.
Il faut battre le fer pendant qu'il est chaud. Une semaine après l'arbitrage rendu par l'Élysée sur le budget de la défense et après les célébrations du Débarquement pendant lequel l'aviation a joué un rôle clé, Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, enfonce le clou. L'argent dépensé par la nation dans sa défense, en particulier dans son aéronautique de combat, permet de maintenir les compétences et les emplois à forte valeur ajoutée en France, de franchir de nouvelles marches technologiques et d'en faire bénéficier les activités civiles.
«L'existence d'une filière aéronautique forte est décisive pour la France», a lancé le ministre de la Défense, jeudi, depuis le centre des essais en vol de la Direction générale de l'armement (DGA) à Istres (qui fête ses 70 ans). Il avait auparavant assisté à un vol d'essai de nEUROn, démonstrateur technologique de drone de combat développé sous maîtrise d'œuvre de Dassault Aviation.
«Je me réjouis que le ministre de la Défense soit venu aujourd'hui à Istres pour voir voler le nEUROn, a commenté Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation. Cet avion est le symbole de l'excellence technologique de Dassault Aviation et de ses partenaires européens. Pour nous, elle résulte de notre expérience dans les avions de combat et spécifiquement avec le Rafale. Avec nEUROn, nous avons réalisé une première européenne pour des montants dix fois moindres que nos concurrents américains.»
Chasseur du futur
«Le niveau d'excellence qui est aujourd'hui le nôtre dans ce domaine est le fruit d'investissements de R & D menés depuis des décennies, mais aussi de la volonté politique de conserver l'aviation militaire comme un pilier de notre défense», a martelé Jean-Yves Le Drian.
«nEUROn vole car nous avons investi régulièrement. Nous ne sommes pas dans la déclaration d'intention, nous sommes dans le concret», souligne, pour sa part, la DGA, maître d'ouvrage du démonstrateur technologique qui préfigure les chasseurs du futur. La France poursuivra son effort dans le cadre de la coopération franco-britannique scellée lors du sommet de Lancaster House en 2010. Jean-Yves Le Drian a annoncé qu'il formaliserait, lors du salon aéronautique de Farnborough mi-juillet, l'accord de principe pris lors du sommet de Brize Norton en février 2014, en lançant la phase de définition du Système futur de combat aérien (FCAS), appelé à succéder aux chasseurs européens actuels (Rafale, Typhoon et Gripen) à horizon 2030.
Cela pour 200 millions d'euros répartis entre industriels français et britannique, qui mèneront des travaux en commun. «Je me félicite que la France et le Royaume-Uni aient pris la décision de lancer un futur drone de combat qui sera confié à Dassault Aviation et BAE Systems et leurs partenaires, a souligné Éric Trappier. Cela nous permettra de capitaliser sur les acquis du nEUROn et de préparer avec les Britanniques l'avenir de l'aviation de combat.»
Chacun des deux industriels apportera son expérience, acquise lors du développement de démonstrateurs technologiques d'avion de combat sans pilote à bord (UCAS), une des composantes du FCAS. Le futur programme bénéficiera de l'expérience acquise par Dassault Aviation sur nEUROn et de BAE Systems sur Taranis. Le lancement de la phase de définition du chasseur du futur durera deux ans, jusqu'en 2016, et le développement d'un démonstrateur franco-britannique se déroulera entre 2016 et 2020.
Irriguer la filière
Cette décision marque la volonté de la France de rester aux avant- postes dans l'aéronautique militaire. Cela grâce à la capacité de la DGA et de l'industrie à travailler en coopération avec des partenaires européens et de développer des technologies d'avenir en entraînant derrière elles toute une filière, composée de quelque 4.000 PME. «nEUROn, c'est un nouveau chapitre de l'aéronautique militaire en France, (…) avec l'ambition de développer les compétences des bureaux d'étude d'un secteur industriel aussi stratégique pour notre souveraineté», a déclaré Jean-Yves Le Drian.
L'aéronautique de combat est une des priorités du budget de recherche et technologie (R & T) de la loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019. Sur les 4,5 milliards d'euros prévus pour la R & T sur la période, 20% seront consacrés aux avions de combat. Des crédits qui serviront aussi à améliorer l'existant. En janvier, la DGA a commandé pour 1 milliard d'euros le développement du nouveau standard du Rafale (F3R). Un contrat qui irriguera l'ensemble de la filière. «À lui seul, le programme Rafale représente 7.000 emplois en France. Il implique environ 500 entreprises sous-traitantes, dont une forte majorité de PME», a insisté Jean-Yves Le Drian, en rappelant que «les programmes militaires représentent un quart des 300.000 emplois en France du secteur aéronautique et spatial».
11.06.2014 - ONERA.fr
En vedette seront présentées les thématiques suivantes:
Renseignement d'origine image
Guidage Navigation : anémomètre embarqué pour hélicoptère Tigre : améliorer la sécurité aérienne par une mesure robuste des paramètres air
Matériaux fonctionnels : Offrir des performances mécaniques hors normes à bas coût, de la très grande série (bras de suspension C3) aux applications les plus exigeantes en terme de performances (vols hypersoniques)
Fire support coordination is key in today’s operations, where joint dimension is growing significantly. Thales is showing its capabilities of providing to today’s challenging environment in the Fire Support Zone, covering both the indoor and outdoor area of the Thales stand.
The Fire Support Zones includes systems such as
The Laser Guided Rocket and Lightweight Multirole Missile (LMM), can also be found on stand, and they can both be fired from a variety of tactical platforms including helicopters, fixed or rotary winged Unmanned Aerial Vehicles (UAV), wheeled or tracked vehicles or fast in-shore naval craft.
Close Air Support (CAS) operation requires the synchronisation of air and land users. In this context, the sharing of a common situational awareness is essential between all stakeholders of the fire command chain from the Battlegroup fire support advisor to the Forward Air Controller (FAC).
To meet these complex needs for Air-Land integration, Thales may rely on a comprehensive range of integrated solutions demonstrated through the ALICE (Air-Land Integration Collaborative Environment) system on stand and interoperable Communication-Navigation-Identification suites, including Tactical Data Links for all types of aircraft (helicopters, fighters, UAVs).
Alongside this, Thales are also showing their capabilities with systems such as the Self-Protection Suite (SPS) which offers the latest generation of technology for the protection of all types of helicopters and crew from attack, particularly by surface-to-air and air-to-air missiles. Thales’ SPS includes
Watchkeeper, le drone de Thalès, est dérivé du drone israélien Hermès 450 - photo Richard Seymour / Thales
11/06/2014 par Gabrielle Carpel – Air & Cosmos
C'est un feuilleton qui n'en finit pas. Début 2014, la Loi de programmation militaire (LPM) a commencé à prendre effet. Censée cadrer l'effort de défense français jusqu'en 2019, elle doit lancer une vingtaine de nouveaux projets tout en jouant avec un budget difficile. Entre autres, l'acquisition d'un nouveau drone tactique pour l'armée de Terre en remplacement des actuels SDTI (Système de Drone Tactique Intérimaire).
C'est dans ce contexte qu'un appel d'offre de la DGA devrait être lancé cet été, selon Thales, qui souhaite y répondre. L'objectif fixé par la LPM est de disposer d'une quinzaine de vecteurs mobiles, et de quelques stations au sol, à l'horizon 2019.
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For the first time at Eurosatory, Thales is presenting a zone dedicated to innovation. Innovation is at the heart of everything Thales does. We are constantly looking to innovate with our customers to give their users the battle winning edge. Thales is showing three exciting, interactive demonstrations showing the breadth and depth of our innovation in C4ISR and cybersecurity.
BattleSpace Vista
This demonstration of Thales C4ISR integration capabilities shows aerospace support to land forces in a digitised battlespace.
Multiple UAVs Control Station
This system proposes a dedicated console for managing several UAVs by a single operator (military or civilian) for surveillance missions.
Cybels and Nexium
Thales showcases its end-to-end cybersecurity approach to critical system security and resilience engineering, which is perfectly aligned with the new challenges facing the world today.
Innovation: at the hearth of Thales technologies
With its 25,000 engineers and researchers, Thales has a unique capability to design, develop and deploy equipment, systems and services that meet the most complex security requirements.
11.06.2014 medias24.com
En marge du 1er forum économique entre les deux pays qui vient de s’achever, le Maroc et la Russie ont décidé de développer une coopération militaire inédite. Le royaume affiche désormais clairement sa volonté d'acquérir des armes russes.
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12.06.2014 radio-canada.ca
Un comité indépendant qui a examiné les solutions de rechange aux chasseurs furtifs F-35 devrait présenter jeudi un aperçu de son évaluation menée sur 18 mois, mais la décision du gouvernement sur le maintien de ce programme controversé est toujours en attente.
Avant que la décision soit prise, des experts militaires espèrent que le gouvernement Harper prendra en considération les implications plus larges de ce programme sur le budget général de la Défense et évitera d'avoir recours à des manœuvres politiques pour sauver la face.
Le rapport du comité, une analyse des principales réponses aux critiques du programme émises par le vérificateur général en 2012, ne devrait pas faire de recommandations au cabinet. Il comparera plutôt les coûts et les capacités de chacun des quatre avions concurrents en fonction de ce que le Canada attend de ses avions de guerre.
Il reviendra aux hauts responsables et aux ministres de recommander la voie à suivre au cabinet, une chose qui n'a pas encore été faite, ont indiqué plusieurs sources mercredi.
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11.06.2014 ONERA
Avec Nicolas Rivière, spécialiste en imagerie laser
Connaissez-vous un moyen de produire des images en trois dimensions, capable de voir à travers les feuillages, par tous les temps, de jour comme de nuit ? Ce moyen étonnant, c'est l’imagerie laser 3D, qui est appelée à d'importants développements dans les années à venir.
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11 June 2014 Ministry of Defence, Defence Equipment and Support and Philip Dunne MP
The Ministry of Defence has awarded millions of pounds worth of new contracts to maintain its fleet of small boats.
Six UK companies will benefit from a 5-year contract that will involve support for 1,450 boats used by the Royal Navy, Royal Marines, British Army, and the Ministry of Defence (MOD) Police. They are:
The Minister for Defence Equipment, Support and Technology, Philip Dunne, said:
The award of these contracts by the MOD provides the UK’s marine support industry with a steady volume of work, helping to maintain technical and engineering skills in this sector.
The competition attracted interest from across the marine industry, and is another example of the MOD’s commitment to seek best value for money from the commercial market.
The fleet of boats includes offshore raiding craft, pontoons up to 50 metres in length, police launchers, and Pacific 24 rigid inflatable boats (RIBs), and inflatables.
The contracts will provide maintenance, upkeep, repair, chartering, defect rectification, technical support, provision of spares and replacements.
Alistair Hughes, from the MOD’s Defence Equipment & Support organisation, is the team leader for commercially supported shipping. He said about the new contracts:
Small boats make up a critical component of the UK’s military effect, operating in the UK and globally. They can be seen in all areas of maritime from policing the UK’s naval bases to counter-piracy operations off Africa to training new recruits into the Royal Navy.
The award of the contracts follows 18 months of intensive activity between the team and industry to ensure the continued support of the numerous craft that make up the small boat fleet and find the best deal for the armed forces.
11 juin 2014 LeTelegramme.fr
Jean-Yves Le Drian sera à Rennes, vendredi. Le ministre de la Défense introduira la matinée industrielle de la Direction de la protection et de la Sécurité de la Défense (DPSD). Il reviendra sur l’action de cette direction, communauté de renseignement au service des industriels de la Défense.
source Airbus DS
Airbus Defence and Space, numéro un européen de l’industrie spatiale et de la Défense, sera présent au salon Eurosatory 2014, le plus grand rendez-vous international de la Défense et sécurité terrestres et aéroterrestres, qui se tiendra du 16 au 20 juin 2014 au Parc des Expositions de Paris Nord-Villepinte.
Retrouvez-nous au Pavillon Airbus Group (D480) pour découvrir les systèmes et services qui font de nous un leader mondial du secteur de la Défense :
Une gamme complète de solutions aériennes militaires :
- Les drones Tanan, Tracker et Shadow 200.
- Deux de nos avions de transport militaire : l’A400M, le « tout nouvel avion-cargo du XXIe siècle », aujourd’hui en service au sein des forces aériennes françaises et turques, et le C295, leader sur son marché.
Protéger et connecter, pour la Défense et la sécurité terrestre et aéroterrestre :
- Le radar Spexer 1000 : d’une portée de 18 km et à fréquence de rafraîchissement très élevée, cet élément clé de tout dispositif de sécurité des frontières est capable de détecter très en amont les mouvements suspects et de localiser les objets les plus furtifs avec un taux minimal de fausse alerte.
Communications sécurisées de Défense et de sécurité :
- COMCEPT, le premier réseau de communications numériques militaires par satellite à très haut débit en Europe, qui bénéficiera de la bande Ka et des meilleures solutions réseau IP du marché tout en optimisant le coût final.
- Le TPH900 est la radio Tetrapol de toute dernière génération. Ce terminal portable robuste offre un moyen de communication voix-données sécurisé et a spécialement été conçu pour un usage intuitif et durci sur le terrain.
- La radio Tetra THR9 Ex conjugue la certification pour un usage dans les zones à risque explosif, une utilisation intuitive, une conception robuste et des fonctions avancées pour renforcer la sécurité des usagers.
- Le TH1n est le terminal portable Tetra le plus fin et léger au monde. Il est suffisamment petit pour être glissé en toute discrétion dans une poche, fixé à une ceinture ou emporté dans un sac à main, ce qui le rend idéal pour des missions à la fois conventionnelles et spéciales.
Protéger et connecter dans le cyberespace :
- Cybersécurité : le Cyber Defence Centre, qui regroupe les outils innovants et les experts pour voir, détecter et analyser les cyber-attaques. Ces services incluent la surveillance sécuritaire des systèmes informatiques, la détection des attaques, l’investigation, le traitement correctif et l’anticipation 24/7 des cyber-menaces potentielles. Le Cyber Defence Centre d’Airbus Defence and Space est notamment doté de la solution de gestion avancée de veille et sécurité Cymerius.
Les satellites d’observation de la Terre, un atout clé pour le renseignement et la décision:
- Les satellites Pléiades « in orbit-proven » forment, avec SPOT 6 et bientôt SPOT 7, la seule constellation au monde capable de photographier, chaque jour, n’importe quel point du Globe en haute et très haute résolution.
- I4D, conjointement présenté avec Actinct/Weblab, permet de visualiser et d’analyser les informations recueillies par n’importe quelle source de renseignement (renseignement d’origine électromagnétique, d’origine humaine, d’origine image) sur un seul Globe virtuel.
- GO-3S (Geostationary Observation Space Surveillance System), un projet de satellite d’observation de la Terre en continu et en temps réel depuis l’orbite géostationnaire.
A propos d’Airbus Defence and Space
Airbus Defence and Space est une division du groupe Airbus, née du regroupement des activités de Cassidian, Astrium et Airbus Military. Cette nouvelle division est le numéro un européen de l’industrie spatiale et de la défense, le numéro deux mondial de l’industrie spatiale et fait partie des dix premières entreprises mondiales du secteur de la défense. Elle réalise un chiffre d’affaires annuel d’environ 14 milliards d’euros avec un effectif de quelque 40 000 employés.
11-06-2014 propos recueillis par Erick Haehnsen - info.expoprotection.com
En avant-première d'Eurosatory 2014 (du 16 au 20 juin à Paris-Nord-Villepinte), voici l'interview du président d'Eden Cluster qui rassemble 130 PME de la Défense et de la sécurité.
Pouvez-vous nous rappeler ce qu'est Eden Cluster ?
Il s'agit d'un mouvement d'initiative privée qui regroupe des PME duales, c'est-à-dire des PME qui fournissent à la fois les secteurs de la Défense et de la sécurité civile. Ces PME rejoignent Eden Cluster dans le but de ''chasser en meute'' et de développer leurs parts de marché à l'export. Ce regroupement est né durant l'édition 2008 du salon Eurosatory. Au début, il n'y avait que des PME de la région Rhône-Alpes. A présent, nous comptons Eden-Bretagne, Eden-Centre et Eden-PACA. D'autres régions, comme l'Aquitaine et l'Alsace, sont entrain de nous rejoindre. A l'heure actuelle, Eden Cluster représente 130 PME qui réalisent un chiffre d'affaires de 1 milliard d'euros dont 55% à l'export et emploient 9 000 salariés.
Quel est l'intérêt de développer des technologies duales ?
Regardez ma société, Centralp. Elle conçoit et fabrique des systèmes électroniques et des logiciels embarqués pour 15% de notre chiffre d'affaires à destination du secteur militaire, sûreté et sécurité. Et tout le reste de l'activité concerne les secteurs du transport, du médical et de l'industrie. D'ailleurs, en moyenne, les PME d'Eden Cluster développent moins de 20% de leur chiffre d'affaires dans le secteur militaire. La raison est simple : elles diversifient ainsi leurs débouchés afin d'assurer la pérennité de leur entreprise. C'est important car les lois de programmation militaire réduisent constamment le budget alloué aux industries de Défense. En revanche, en travaillant pour le secteur militaire, les PME peuvent bénéficier de la procédure Rapid (Régime d'appui PME pour l'innovation duale) de la DGA qui propose des subventions pour financer la R&D à hauteur de 50% à 80% du montant du projet.
Suite de l’entretien
11/06/2014 laprovence.com
Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense sera en déplacement à la Direction générale de l’armement Essais en vol à Istres, demain (12 juin 2014).
Le ministre de la Défense participera au vol du démonstrateur de combat Neuron. La Direction générale de l’armement Essais en vol célèbre le 70e anniversaire des essais en vol de ses équipements aéronautiques.
A cette occasion, Jean-Yves Le Drian, se rendra à Istres (Bouches-du-Rhône), pour y rencontrer les équipes de la DGA et se faire présenter leurs missions.
Un vol du démonstrateur de drone de combat Neuron est également planifié. "Une semaine après les arbitrages rendus par le président de la République sur la loi de programmation militaire 2014-2019, cette visite au cœur des industries de Défense rappelle le rôle de ces 4 000 entreprises dans l’innovation technologique, et la responsabilité de la Défense dans l’anticipation et le maintien des compétences humaines nécessaires à notre équipement militaire et notre souveraineté", précise le communiqué du ministère.
En présence de Laurent Collet-Billon, délégué général pour l’armement et d’Eric Trappier, Président-Directeur général de Dassault Aviation, Jean-Yves Le Drian prendra la parole sur le thème des industries de défense et celui des compétences nécessaires au maintien de notre avance technologique.
source Airbus DS
Airbus Defence and Space, Europe’s number one defence and space company, will be present at Eurosatory 2014, the largest international land and air-land defence and security exhibition, to be held at Villepinte-Paris Nord Exhibition Centre from 16-20 June 2014.
Please come and visit us at the Airbus Group Pavilion (D480) to discover systems and services that make us a world’s leading Defence company:
A complete range of military aircraft solutions:
- UASs with Tanan, Tracker and Shadow 200 present at the show.
- Models of two of our military aircraft: the A400M, the “all-new airlifter of the 21st Century”, now in service with the French and Turkish Air Forces, as well as the market leading C295.
Protect and connect, in land and land-to-air defence and security:
- Spexer 1000 radar: with a range up to 18 kilometres and an extremely high update rate, this core element of border security systems is able to detect suspicious movements at a very early stage and to locate difficult-to-detect objects with a very low false alarm rate.
Secure communications for defence and security:
- COMCEPT, the first secure ultra-fast broadband communications by satellite military network in Europe, using Ka-band and the latest IP network solutions on the market, while also optimising costs.
- The TPH900 is the latest generation Tetrapol radio. This robust, hand-portable radio allows mission-critical voice and data communications and is specially designed for easy and solid usability in the field.
- The THR9 Ex Tetra radio, combines certification for operation in explosion-prone areas with user friendliness, a robust design and advanced features to enhance user safety.
- The TH1n, is the thinnest and lightest Tetra handset in the world. It is small enough to be slipped into a pocket, attached to a belt, or carried in a handbag. This makes it ideal for a whole range of users, in addition to those in conventional roles.
Protect and connect in cyberspace:
Cybersecurity: the innovative Cyber Defence Centre gathers all tools and experts to watch, detect and investigate cyber-attacks. These services include supervision of IT security, early detection of attacks, investigation, remediation and 24/7 anticipation of advanced cyber-attacks. Airbus Defence and Space’s Cyber Defence Centre includes in particular Cymerius supervision and security evolved management solution.
Earth observation satellites, a trump card for intelligence and decision-making:
- The ‘in-orbit proven’ Pléiades satellites, which form with SPOT 6 – and soon SPOT 7 – the only constellation in the world capable of taking both high-resolution and very high-resolution images of a selected point anywhere on Earth on a daily basis.
- I4D, jointly demonstrated with Actinct/Weblab, allows users to obtain and to analyse information collected by any intelligence source (Signal Intelligence, Human Intelligence, Imagery Intelligence) on a single virtual globe.
- GO3S (Geostationary Observation Space Surveillance System), an Earth observation satellite project offering continuous real-time acquisition from geostationary orbit.
About Airbus Defence and Space
Airbus Defence and Space is a division of Airbus Group formed by combining the business activities of Cassidian, Astrium and Airbus Military. The new division is Europe’s number one defence and space enterprise, the second largest space business worldwide and among the top ten global defence enterprises. It employs some 40,000 employees generating revenues of approximately €14 billion per year.
Evolution des autorisations d’exportations qui correspondent à des contrats dont la négociation est quasi bouclée. - Ministère allemand de l'Economie
11/06 Thibaut Madelin / Correspondant à Berlin - lesechos.fr
En 2013, les autorisations d’exportation ont augmenté de 23 %, pour atteindre 5,85 milliards d’euros. Le ministre de l’Economie veut freiner les ventes aux régimes autoritaires.
Si, d’habitude, l’Allemagne est fière de ses exportations, ses politiques peinent à cacher leur malaise quand il s’agit de ventes d’armes à l’étranger. C’est le cas du ministre de l’Economie, Sigmar Gabriel, qui devait présenter hier le rapport annuel sur le sujet, mais qui a finalement cédé la place à son secrétaire d’Etat.
Dans un pays profondément pacifiste autant que mercantile, les chiffres publiés hier font en effet office de poil à gratter pour le vice-chancelier, même s’il occupe sa fonction dans la nouvelle coalition depuis décembre seulement.
En 2013, les fabricants allemands ont exporté pour 933 millions d’euros d’équipement militaire, ce qui correspond à un léger recul par rapport aux 946 millions enregistrés l’année précédente par les Airbus Defence & Space, Diehl et autres Krauss-Maffei Wegmann.
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11.06.2014 Yazid Ferhat - .maghrebemergent.com
L’Algérie, le plus gros importateur d’armes au Maghreb ces dernières années, s’approvisionne essentiellement auprès de la Russie. Mais elle se tourne aussi vers l’Allemagne : elle a été son premier client en 2013 avec des contrats d’armements de 826 millions d’euros.
L'Algérie a été, en 2013, le premier client de l’industrie de l’armement allemande, a rapporté aujourd’hui mercredi le journal luxembourgeois Le Quotidien , citant un rapport du ministère allemand de l’Economie sur les exportations d’armes de guerre.
Notre pays a importé pour 826 millions d'euros d’armements, essentiellement des blindés terrestres. Il est suivi, en deuxième position, du Qatar (673 millions d'euros). Viennent ensuite les Etats-Unis, l'Arabie Saoudite, l'Indonésie, Israël, le Royaume-Uni, la Corée du Sud, Singapour et la France.
Entre 2011 et 2012, l’Algérie a importé d'Allemagne 2 frégates MEKO A200 et un premier lot de 54 blindés de transport de troupes de type Fuchs dans le cadre d’un contrat portant sur 1.200 blindés.
L’Algérie le plus grand importateur d’armes au Maghreb
Avec plus de 10 milliards de dollars de dépenses militaires en 2013, l’Algérie est, de loin, le premier importateur d’armes Maghreb. Elle est le 6e plus grand importateur d’armes au monde selon le l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SPIRI), avec un marché à fort potentiel de ventes qui la place au 9e rang des plus grands importateurs d'armes dans le monde d’ici 2017. La Russie est, de loin, son plus grand fournisseur d’armements (93 % selon le SPIRI).
Ces cinq dernières années, l’Algérie a acquis auprès de ce pays 44 avions de combat Su-30MKA, 2 sous-marins Project-636, 3 systèmes de défense S-300 PMU-2 (SA-20B) à longue portée sol-air missiles (SAM) et 185 chars T-90S.
L’Allemagne, un gros exportateur d’armements
L'Allemagne est classée troisième au monde en termes d’exportations d’armements en 2013 devant la Chine et la France, selon le dernier rapport du SIPRI.
Le rapport cité par Le Quotidien souligne que les exportations allemandes d'armements ont augmenté de 23% en 2013 à 5,8 milliards, tirées notamment par des contrats avec des pays du Proche-Orient et d'Asie.
Selon le journal luxembourgeois, l'Allemagne a surtout vendu en 2013 des véhicules blindés pour 2,35 milliards d'euros de contrats, soit près de la moitié du total des autorisations d'exportation pour l’année dernière. Les autres postes sont l'électronique militaire (424 millions d’euros), les bombes, torpilles et missiles (349 millions) et l'aéronautique militaire (326 millions).
11 juin 2014 par Jacques Marouani - electroniques.biz
Sopra pourrait détenir entre 7,5 et 16% du capital de CS.
Sopra vient de signer un accord industriel et commercial avec CS Communication et Systèmes, société d’ingéniérie, spécialisée dans la défense et la sécurité avec laquelle il est partenaire depuis 8 ans. Sopra et CS vont collaborer sur ces domaines d'activité avec des clients tels que la DGA, le ministère de l’Intérieur, Airbus, Safran ou EDF.
A cet effet, CS a lancé un programme d’obligation convertible de 12 millions d’euros, qui sera garanti par Sopra. Au terme de l’opération, Sopra pourrait détenir entre 7,5 et 16% du capital de CS.
la Conférence parlementaire sur la Sécurité, aura lieu le Mardi 8 Juillet 2014 à la Maison de la Chimie sur le thème :
Comment développer notre industrie de pointe pour la sécurité de demain ?
Présidée par : |
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Jean-Pierre BLAZY Député du Val-d’Oise, maire de Gonesse, membre de la Commission des lois |
Jean-René LECERF Sénateur du Nord, président du Haut comité français pour la défense civile |
Cette matinée débat (08h30-12h30) s'articulera
- Marché de la sécurité : attentes et opportunités
- Filière industrielle de sécurité : les conditions d’une réussite pérenne
Ce colloque vise à réunir l’ensemble des parties prenantes du secteur de la sécurité : parlementaires, acteurs institutionnels en charge de la défense et la sécurité (ministères, CoFIS…), représentants des ministères concernés des principaux pays européens ainsi que des instances européennes, industriels du secteur de la défense, de l'aéronautique et de la sécurité, sociétés de services en ingénierie informatique ou encore investisseurs du secteur.
Vous pouvez vous inscrire en vous rendant sur notre site internet
Brussels - 10 June, 2014 European Defence Agency
The EDA Twitter account has been listed as one of the top 100 defence and security Twitter accounts to follow in a report put together by Defence iQ.
EDA is listed as one of the top military, government, and NGO accounts to follow. The account provides news and photos from the agency’s projects across Europe, including live updates on EDA exercises and the EDA annual conference - European Defence Matters. EDA uses its website, printed publications, and social media accounts to connect and inform relevant stakeholders about its work.
The full report lists important defence and security accounts based in different categories: journalists and editors; corporate accounts; analysts and researchers; news and publications; military, government and NGOs; marketing, PR and communications; industry figures and miscellaneous; and just for fun.
The Royal Navy Type 26 programme is progressing with news yesterday from BAE on the award of a number of design and development contracts.
Six Design Development Agreements have been awarded covering key areas such as propulsion, ventilation and electrical equipment, as well as combat and navigation systems. The design contracts have been awarded to the following companies:
Babcock for the ship’s Air Weapons Handling System
DCNS for work on the vessel’s propulsion shaftlines
GE Energy Power Conversion for the Electric Propulsion Motor and Drive System
Imtech for the Heating, Ventilation and Air Conditioning System, and the Low Voltage Electrical equipment
Raytheon to develop the Integrated Navigation and Bridge Systems
Tyco Fire & Integrated Solutions for the ship’s Fixed Firefighting Systems
The latest contract awards build on the first four suppliers to the programme announced in September 2013. Covering propulsion and communications equipment for the ship, the initial Design Development Agreements were awarded to Rolls Royce, MTU, David Brown Gear Systems and Rohde & Schwarz. It is expected that a total of 25 agreements will be placed this year.
Read more at BAE, click here
Relevant website links below;
From the earlier batch of contracts
10/06/2014 GICAT
Du 16 au 20 juin, METRAVIB sera présent au salon EUROSATORY (stand F500 – hall 6), semaine internationale de la défense et la sécurité. A cette occasion et tous les jours, METRAVIB participera aux démonstrations dynamiques pour présenter un de ses produits phares : PEARL.
PEARL (Personal Equipment Add-on for Reactive Localization) est un système de détection acoustique miniaturisé conçu pour détecter et localiser des tirs ennemis issus de petits calibres.
source espacedatapresse.com
EDEN Cluster présente les innovations de 45 entreprises lors d’Eurosatory (16 - 20 juin, Paris-Nord Villepinte)
EDEN cluster, groupement des PME défense, sécurité et sûreté, fondé en 2008, rassemble près de 130 PME, essentiellement des régions Rhône-Alpes, Bretagne, Centre et PACA. Ces entreprises représentent 9000 emplois et près d’un milliard d’euros de CA, dont plus de la moitié à l’export.
Du 16 au 20 juin, 45 d'entre elles exposent au salon Eurosatory, à Paris-Nord Villepinte. Il s'agit du plus grand salon international de défense et de sécurité terrestres et aéroterrestres. Plus qu’une exposition, Eurosatory est une plateforme d’échanges internationale dédiée à tous les experts. En 2012, 70% de ses 1432 exposants et 48% des 53 480 visiteurs étaient venus de 84 pays différents.
Le dossier de presse à télécharger ci-dessous présente succinctement les innovations des 45 PME membres d'EDEN qui exposeront ensemble cette année. Fournisseurs de technologie, aéronautique, drones, équipement des personnes, détection, navigation sans GPS, armement... Faites-vous une idée du potentiel des PME françaises et venez les rencontrer sur place : Hall 6, allée F stand 570.
Dès maintenant, découvrez aussi le nouveau site web : www.edencluster.com