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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 12:50
photo A Deluc  -Sirpa Marine

photo A Deluc -Sirpa Marine

 

March 9th, 2015  By - defencetalk.com

 

DCNS has been selected – as part of a multinational industrial team led by the US Company Leidos – to participate in the system engineering and the integration of the NATO Ballistic Missile Defence.

DCNS will provide its leading-edge expertise as a naval systems prime contractor to contribute both to the definition and specification and to the integration and test of the NATO Ballistic Missile Defence architectures. The single-award firm-fixed-price contract has a four-year base period of performance, two one-year options plus one eight-month option, and a total contract value of $77 million if all options are exercised.

NATO’s goal is to integrate existing and future national weapon systems, sensors, command and control systems with the NATO Battle Management Command Control Communications and Intelligence system to provide an active defence for the protection of the alliance territory and populations, as well as deployed military forces and critical assets, against a large spectrum of ballistic missiles threats.

The multinational team will assist in this effort by defining, specifying and testing and verifying the proposed NATO Ballistic Missile Defence architectures and requirements using an integration test bed that will be upgraded and operated under the contract.

 

“DCNS is the prime contractor for the FREMM Frigates – the most technologically advanced combat ships on the market – two of which will be dedicated to Air and Missile defence for the French Navy, and for the Horizon Frigates Combat Management System maintenance. These frigates are strong candidates to contribute to the future NATO BMD architectures.” said Pierre Legros, Senior Vice President, Programmes. “This success of DCNS clearly demonstrates the company’s continued commitment towards the most powerful technological solutions supporting the most advanced defence capabilities.”

 

Leidos Team is a multinational industrial consortium composed of Leidos (USA), a national security, health and engineering solutions company, prime contractor, Aselsan (Turkey), The Boeing Company (USA), DCNS (France), Parsons (USA), QinetiQ (United Kingdom), RIMPAC (Canada), Thales (Netherlands) and TMS (Germany).

 

DCNS designs and builds submarines and surface combatants, develops associated systems and infrastructure, and offers a full range of services to naval bases and shipyards. The DCNS Group generates annual revenues of €3.1 billion and employs 13130 people (2014 data)

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 08:50
Arrivée de blindés américains en Lettonie - photo US DoD

Arrivée de blindés américains en Lettonie - photo US DoD

 

10 mars, 2015 Pierre Brassart (FOB)

 

Après une trêve de plus de 20 ans, assiste-t-on à un renouveau de la Guerre froide ? Pendant près de 50 ans, entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et la chute de l’URSS, l’OTAN et l’URSS se sont fait face en Europe, l’arme au pied, tout en luttant directement l’un contre l’autre sur des champs de batailles éloignés et via des armées tierces. Ce fut le cas en Corée, au Viet Nam bien sûr, mais aussi en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie Centrale, etc…

 

Avec la chute du mur de Berlin ainsi que celle du communisme soviétique, on a pensé que la paix et la démocratie allait se répandre sur le monde. Erreur… Aujourd’hui, si l’URSS a cessé d’exister, la Russie est bel et bien sortie de sa torpeur et a repris sa place de grande nation. La guerre de Géorgie  en 2008 a été une première claque pour l’Europe et les USA.  La Russie ne compte pas laisser l’alliance atlantique s’étendre sans réagir.

 

En 2013, l’Ukraine s’enflamme. Poutine, fin stratège, sait qu’il ne peut intervenir ouvertement. C’est ainsi que l’on a vu des troupes en uniforme, sans signe distinctif, s’emparer des points clés en Crimée, région stratégique pour la Russie. Le fait que ces soldats étaient russes ne faisait aucun doute, mais cette ruse a permis à Poutine de rattacher la Crimée sans que, concrètement, personne n’intervienne. L’affaire aurait pu s’arrêter là, si les provinces orientales et russophones d’Ukraine ne s’étaient pas soulevé à leur tour, entrainant le pays dans une guerre civile longue et sanglante qui n’est pas prêt de s’arrêter. Mais la Russie ayant joué une fois la carte des « troupes inconnues », elle se doit de faire profil bas. C’est ainsi que les séparatistes ukrainiens recevront, comme par magie, suffisamment d’équipement que pour tenir en échec l’armée ukrainienne. Les pays occidentaux se sentiront également menacé par les vols de provocation menés par l’armée de l’air et par l’aéronavale russe. (Mais quand même pas au point de revoir à la hausse leur budget militaire, ou au moins, à la baisse les coupes qui frappe ces derniers dans toute l’Europe).

 

Mais l’OTAN ne compte pas laisser Poutine faire ce qu’il entend. Si la Russie s’est réveillé, l’OTAN, États-Unis en tête, compte bien lui montrer qu’il y a des limites à ne pas franchir.  L’Ukraine va devenir le nouveau champ de bataille des anciens adversaires russe et américain.

 

Lancée en 2014, l’opération Atlantic Resolve, menée par les États-Unis, a pour but de démontrer la résolution américaine à contribuer à la sécurité collective des membres de l’OTAN. Ainsi, depuis plusieurs mois, les Américains multiplient les exercices avec les membres orientaux de l’alliance (pays baltes, Pologne), et n’hésitent pas à fournir un soutien à l’Ukraine. D’autres pays de l’OTAN se joignent au mouvement. Le Royaume –Uni va fournir des conseillers à l’armée ukrainienne, la France parle de déployer des Leclerc et des VBCI en Pologne.

 

Si les pays européens sont encore un peu frileux à l’idée de déployer un grand nombre de troupes et de véhicules, les Américains n’ont pas peur d’envoyer des brigades entières en Europe de l’Est. Après le 2 Cavalry Regiment (monté sur blindés Stryker), c’est au tour de la 1ère brigade blindé de la 3ème division d’infanterie américaine à se déployer en Lettonie. 3000 hommes et plus de 750 véhicules (y compris des chars de combat Abrams et des véhicules de combat d’infanterie Bradley) viennent prendre leur tour de garde à quelques kilomètres de la frontière russe et permettre aux armées baltes de poursuivre leur entrainement.

 

Maintenant que la Guerre froide est relancée, quels seront les prochains pions que les protagonistes avanceront ?

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 12:57
Trois hypothèses d’engagement des forces terrestres


09/03/2015 COL Conegero, LTN Facchin - Armée de Terre

 

Le contrat opérationnel est un cadre structurant pour l’armée de Terre. Il se traduit en capacités qui dotent les forces terrestres du potentiel opérationnel dont elles doivent disposer pour tenir les objectifs qui leur sont fixés.

 

Le contrat passé entre le CEMA et le CEMAT est un document complexe et classifié. Il porte sur les modules capacitaires et les matériels majeurs associés à des niveaux de disponibilité exprimés selon les normes de l’OTAN (cf. focus sur les ambitions de l’OTAN). Il est défini dans le livret 2, qui y consacre 45 des 500 pages qu’il contient, conformément aux hypothèses d’engagement décrites dans le livret 1, en écho du Livre blanc de 2013. Document cœur du contrat opérationnel, il détermine la composition des trois HE pour les forces terrestres :

- HE 1 : la situation opérationnelle de référence (SOR). La SOR peut être considérée comme le quotidien de la vie des militaires ; armer l’échelon national d’urgence (ENU) et le reconstituer, assurer les missions de dissuasion, protection et prévention ainsi que la gestion de crise (2 à 3 théâtres, 6 000 à 7 000 hommes) ; 

- HE 2 : hypothèse d’engagement en urgence dans le domaine de la protection (HE-PROT). Outre la SOR, elle comprend le renforcement du territoire national, sur lequel l’armée de Terre doit pouvoir déployer jusqu’à 10 000 soldats (TN 10 000),  le renforcement de la posture permanente de sécurité et de la dissuasion (TN + DOM COM). C’est cette hypothèse d’engagement qui a été appliquée par les armées suite aux attentats de janvier 2015 ;

- HE 3 : outre les missions réalisées dans le cadre de la HE-PROT, et moyennant quelques mutualisations de matériels "échantillonaires", l’hypothèse d’engagement majeur en intervention (HE-INTER) prévoit un engagement en coalition (MJO ou SJO), dans un délai de six mois et pour un engagement intensif de six mois, pour un volume de forces de deux brigades, ainsi que des moyens de commandement et de soutien associés (jusqu’à 21 000 hommes) afin d’honorer l’exigence d’être "nation-cadre".

Au bilan, les hypothèses d’engagement fonctionnent à la manière de poupées russes : la SOR est comprise dans la HE-PROT, elle-même comprise dans la HE-INT, hypothèse la plus dimensionnante. 

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 12:30
photo Dailysabah

photo Dailysabah

 

March 8, 2015 By Burak Ege Bekdil - Defense News

 

ANKARA, Turkey — Despite mounting problems and multiple cross-border threats in its south and southeast, Turkey is seeking a bigger military role in the Gulf region, preparing to set foot first in Qatar.

 

Turkey and Qatar, two Sunni regional allies, recently signed a comprehensive military accord that gives both countries the right to deploy soldiers in each other's territory.

 

Analysts say that clause would probably work in one direction.

 

"Qatari army is too small. Turkey's army is the second biggest in NATO. Given Turkey's regional ambitions it looks like the deployment clause means, on a de facto basis, Turkey could deploy soldiers in Qatar rather than the other way around," said one Ankara-based analyst.

 

The military agreement between Ankara and Doha also involves cooperation in military training, defense industry and joint military drills.

 

Berat Conkar, chairman of the Turkish parliament's foreign relations committee, said on March 5 that: "Turkey has a strategic view of its relations with the Gulf states. This agreement (with Qatar) will make sure Turkey gains strategic ground in an area we are already influential."

 

Conkar also said similar military cooperation agreements would follow with other Gulf countries.

 

Analysts often view Qatar as Turkey's best political ally in the Middle East.

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 17:50
NATO Maritime Group visits Varna, Bulgaria, during Black Sea deployment

 

07 Mar. 2015 by NATO

 

VARNA, Bulgaria – Ships assigned to Standing NATO Maritime Group Two (SNMG2) arrived in Varna today for a scheduled port visit during the Group’s deployment to the Black Sea.

 

Led by Rear Admiral Brad Williamson (USA N), SNMG2 is currently comprised of the flagship USS Vicksburg (CG 69), HMCS Fredericton (FFH 337), TCG Turgutreis (F 241), FGS Spessart (A 1442), ITS Aliseo (F 574), and ROS Regina Maria (F 222).

 

SNMG2 is in the Black Sea as part of a regularly scheduled deployment to the region to assure NATO Allies of the Alliance’s commitment to collective defense.  During the deployment, SNMG2 ships are training with ships from the Bulgarian, Romanian and Turkish Navies.

 

“Our Sailors are excited to visit Varna and to interact with the people who represent this city and nation,” said Rear Admiral Williamson. “More importantly, we are looking forward to getting back underway and training with the professional mariners of the Bulgarian Navy.”

 

During the port visit, SNMG2 leadership will meet with local Bulgarian authorities and Navy officials to discuss numerous issues of shared importance, to include exercises in the Black Sea.

 

SNMG2 Sailors will also have the opportunity to experience the rich culture and history of the surrounding area and participate in volunteer opportunities before returning to the Black Sea to train with the Bulgarian Navy and maintain maritime situational awareness in the region.

 

Bulgaria became a member of NATO on March 29, 2004, along with Estonia, Latvia, Lithuania, Romania, Slovakia and Slovenia.

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 17:35
Turkmenistan and NATO hold forum on regional peace and stability

 

06 Mar. 2015 by NATO

 

Experts from five Central Asian states and Afghanistan gathered in Ashgabat for a NATO-sponsored regional conference on “Peace and Stability in Central Asia and Afghanistan: A View from Neutral Turkmenistan” on 2 and 3 March 2015.

 

This high-level event, organised jointly by the Ministry of Foreign Affairs of Turkmenistan and the office of the NATO Liaison Officer in Central Asia, was unprecedented in the history of Turkmenistan's partnership with the Alliance.

 

It was the fourth in a series of NATO-sponsored events marking the 20th anniversary of the Partnership for Peace programme in the Central Asian partner states. Moreover, it was included in Turkmenistan's official programme of events celebrating the "Year of Neutrality and Peace" on the 20th anniversary of the United Nations General Assembly Resolution recognising the country's neutrality.

 

Turkmenistan's Deputy Foreign Minister Berdyniyaz Myatiev opened the event, while the NATO Secretary General's Special Representative for the Caucasus and Central Asia, James Appathurai, addressed participants by video link from NATO Headquarters.

 

Turkmen participants included officials and experts from a wide range of institutions, including the Ministry of Foreign Affairs, Ministry of Defence, Ministry of Interior, Prosecutor-General's Office, the Institute of State and Law under the President of Turkmenistan, the Institute of International Relations and the International University of Humanities.

 

Experts from Afghanistan, Kazakhstan, Kyrgyzstan, Tajikistan, Uzbekistan and the United States, and representatives of the United Nations Regional Centre for Preventive Diplomacy for Central Asia, the United Nations Development Programme, the European Union, and the Organization for Security and Co-operation in Europe, also spoke at the event.

 

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 16:50
8 March International Women’s Day: NATO celebrates women in defence and security


7 mars 2015 by NATO

 

Short video clip highlighting the essential role of women in defence and security from high level decision making to serving in the armed forces

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6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 08:55
Carte Corruption et trafics en Europe – Crédits J-C. Antoine

Carte Corruption et trafics en Europe – Crédits J-C. Antoine

 

3 mars 2015 Par Jean-Charles ANTOINE* - Diploweb.com

 

Le trafic d’armes à feu est le marché noir d’outils et d’amplificateurs de puissance servant à protéger le pouvoir de celui ou ceux qui protègent les frontières déjà existantes quoiqu’affaiblies ou de ceux qui désirent en instaurer de nouvelles.

Dans le cadre de ses synergies géopolitiques, le Diploweb.com est heureux de publier cette étude inédite d’un conférencier du Festival de Géopolitique de Grenoble : "A quoi servent les frontières ?" 12-15 mars 2015.

 

Lire l’article

 

* Docteur en géopolitique de l’Institut Français de Géopolitique – Paris 8 et expert en trafic mondial d’armes légères et de petit calibre. Ses travaux portent actuellement sur l’adaptation de la méthode géopolitique à la sécurité publique et à la lutte contre la criminalité organisée. Il publie "A armes illégales. Le trafic d’armes à feu en France", éd. du Plateau, 2015.

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 17:50
NATO Secretary General Jens Stoltenberg and the Prime Minister of Finland, Alexander Stubb

NATO Secretary General Jens Stoltenberg and the Prime Minister of Finland, Alexander Stubb

 

05 Mar. 2015 NATO

 

NATO is determined to strengthen its partnership with Finland to better address security challenges to the east and south, NATO Secretary General Jens Stoltenberg said during his visit to Helsinki on Thursday (5 March, 2015). Mr. Stoltenberg thanked Finnish Prime Minister Alexander Stubb for his nation’s close cooperation with the Alliance, calling Finland “one of our most active and closest partners."

 

The Secretary General stressed the vital role partnerships with countries like Finland play in building peace and stability. He commended Finland's commitment and contribution to NATO-led missions in Afghanistan and Kosovo, as well as exercises such as the ongoing crisis-management exercise CMX15, and discussed ways to strengthen political dialogue and practical cooperation between NATO and Finland for the future.

 

The Secretary General and Prime Minister Stubb expressed their concern about the situation in Ukraine, caused by Russia's aggressive actions. Mr. Stoltenberg said: "we now see a different Russia." He stressed that NATO strived for a more cooperative and constructive relationship with Russia for many years, and continues to do so, but "Russia has to respect its neighbours and the borders of its neighbours."

 

The Secretary General called for full implementation of the Minsk agreement, including a withdrawal of heavy weaponry, full access for OSCE monitors, and a halt to Russian support for the separatists in eastern Ukraine.  He warned that any attempt to expand separatist-held territory would be “unacceptable to the international community.”

 

 The Secretary General also discussed strenghtening NATO's partnership with Finland in discussionw with Foreign Minister Erkki Tuomioja, Defence Minister Carl Haglund, Speaker of the Parliament Eero Heinäluoma and other leading members of Parliament.

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 17:50
Deputy Secretary General: NATO-EU cooperation is more important than ever

 

05 Mar. 2015 NATO

 

NATO Deputy Secretary General Ambassador Alexander Vershbow has called for deeper cooperation between NATO and the European Union in the fight against new security threats. “We need to work together to manage crises, bring relief, and project stability beyond our borders,” he said. Ambassador Vershbow made his remarks in Riga, Latvia on Thursday (5 March 2015) in a speech to the Interparliamentary Conference for the Common Foreign and Security Policy and the Common Security and Defence Policy. “This is a critical time for the security of all our nations,” Ambassador Vershbow said.

 

The Deputy Secretary General warned that the Euro-Atlantic community faces “new threats and challenges both on our eastern and our southern borders”. To the east, we see “an angry, revisionist Russia that breaks international rules” and continues to destabilise Ukraine and intimidate its neighbours, he said. Meanwhile, to the south, across the Middle East and North Africa, “ISIL’s violent ideology has poured oil on the fire of extremism and sectarianism”. Ambassador Vershbow noted that migrants fleeing turmoil have placed strain on countries like Italy and Turkey, and that violent ideologies have inspired terrorism on the streets of Europe.

 

The Deputy Secretary General stressed that NATO and its partners must also be ready to counter hybrid warfare, which combines military intimidation, economic and diplomatic duplicity, and media manipulation. Ambassador Vershbow noted that hybrid warfare has been “central to the Russian strategy” in Crimea and eastern Ukraine. He underlined that any response to hybrid threats should be “multi-faceted”, leveraging the complementary hard and soft power tools of NATO and the European Union.

 

Ambassador Vershbow also pointed to other areas ripe for deepened cooperation between NATO and the European Union, including support for partners like Ukraine, Georgia, and Moldova; as well as for nations to the south. “There is a key role for the European Union to help these countries with political and economic reforms, to build strong institutions, and to fight corruption,” he said.

 

The Deputy Secretary General noted that while NATO-EU cooperation has intensified in recent years, “the logic of closer cooperation between NATO and the EU is more compelling than ever before.” He added that the two organisations should “further coordinate our approaches to counter hybrid warfare, dispel propaganda and misinformation, and defend our shared democratic values.”

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 17:50
NATO conducts Annual Crisis Management Exercise (CMX)

 

03 Mar. 2015 NATO

 

NATO to exercise decision-making in crisis – CMX15 to focus on maritime security

 

Ambassadors on the North Atlantic Council (NAC) are preparing to rehearse Alliance and partner consultation and decision making procedures against the backdrop of a fictitious crisis.

 

The exercise is designed to test the NAC procedures at the strategic political-military level. It involves civilian and military staffs in Allied capitals, at NATO Headquarters and in both Operations and Transformation Strategic Commands. CMX15 involves no deployed forces. The exercise rehearses decision-making processes using an entirely fictitious scenario.

 

The scenario for CMX15 consists of a crisis developing between two non-NATO states at distance from Alliance territory. It contains a humanitarian and maritime dimension, with implications for the security of the Allies.

 

As with previous such exercises, CMX15 will have partner participation. Australia, Finland, Japan, Sweden and Ukraine will participate alongside Allies in the exercise. South Korea, New Zealand and Georgia chose to observe the exercise.

 

The European Union has been invited to exchange information on the evolving situation, along with the United Nations Department of Political Affairs and Department of Peacekeeping Operations, the International Committee of the Red Cross and the International Energy Agency which will also observe the exercise.

 

Partners will be involved in CMX15 according to Alliance decisions taken in 2011. In 2011, the Alliance renewed the framework that governs relations with partners in operational settings, in order to include partner involvement in planning, exercising and decision-shaping.

 

CMX15 will take place between 4 and 10 March 2015. This is the Alliance’s 19th Crisis Management Exercise (CMX) since 1992.

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 17:40
Des navires OTAN déployés en mer Noire pour des activités d’entraînement

 

05 Mar. 2015 OTAN

 

Des navires du 2e Groupe maritime permanent OTAN (SNMG2) sont arrivés en mer Noire mercredi 4 mars 2015 pour s’entraîner avec des bâtiments des marines bulgare, roumaine et turque. Sont prévus au programme des exercices de défense aérienne et de guerre anti-sous-marine ainsi que des exercices mettant en jeu des attaques par de petites embarcations et des manœuvres maritimes simples.

 

Les activités d’entraînement et les exercices auxquels nous allons nous livrer en mer Noire avec nos Alliés sont destinés à nous préparer à toute mission que l’OTAN serait amenée à lancer pour s’acquitter de ses obligations en matière de défense collective, a indiqué le vice-amiral américain Brad Williamson, actuellement aux commandes du SNMG2. La flotte se compose du USS Vicksburg (États-Unis), qui en est le navire amiral, du NCSM Fredericton (Canada), du TCG Turgutreis (Turquie), du FGS Spessart (Allemagne) et l’ITS Aliseo (Italie) et du ROS Regina Maria (Roumanie). Cette puissante force navale OTAN se distingue par ses capacités de contrôle de l’espace maritime, de lutte anti-sous-marine et de défense aérienne.

 

Le déploiement du SNMG2 en mer Noire s’effectue dans le plein respect des conventions internationales et s’inscrit dans le cadre d’une visite programmée pour l’entraînement et en tant que mesure d’assurance à l’intention des pays de l’Alliance riverains de la mer Noire. Le Groupe remettra le cap sur la Méditerranée dans le courant du mois et reprendra ses missions de patrouille pour contribuer à la connaissance de la situation maritime dans la région.

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 17:30
Qatar hosts annual NATO conference on proliferation challenges

 

04 Mar. 2015 NATO

 

Participants from nearly 50 nations across five continents met in Doha, Qatar on 1-3 March to discuss current threats and challenges posed by the proliferation of weapons of mass destruction (WMD) including in the Middle East and Asia. The event provided an informal forum to exchange views on key issues ahead of the 2015 Nuclear Non-proliferation Treaty Review Conference in spring.

 

The three-day event marked the very first time that the Annual NATO Conference on WMD Arms Control, Disarmament and Non-Proliferation was held outside Europe and was hosted by a partner from the Gulf. It is one of NATO’s largest outreach activities involving Alliance member states as well as partners from around the world.

“This conference is a strong demonstration of the important role that NATO attributes to engaging with partner countries here in the Gulf region,” said NATO Deputy Secretary General Ambassador Alexander Vershbow. “The case of Syrian chemical weapons shows that it is possible to meet non-proliferation challenges … Further success will require two things: first, all countries and all international institutions must play their rightful part. And second, we need an open and frank debate on what the challenges are and how we can address them.”

Other key speakers included the Defence Minister of Qatar, Major General Hamad bin Ali Al Attiyah, NATO Deputy Secretary General Alexander Vershbow, the UN High Representative for Disarmament Affairs, Angela Kane, and Lord Desmond Browne, former UK Secretary of Defence.

 “This first NATO WMD conference in the region reflects the full commitment of ICI partners and Qatar to increased cooperation with NATO in the fight against WMD proliferation and terrorism and to peace and security in the region,” said Major General Hamad bin Ali Al Attiyah. “The meeting comes in times of serious turmoil in the Middle East challenged by regional conflicts and terrorism,” he added.

“The security situation in both the East and the South is of particular importance for NATO Allies,” said Ambassador Sorin Ducaru, NATO Assistant Secretary General for Emerging Security Challenges. “These new challenges have been addressed by NATO in a very timely manner at the Wales Summit in September 2014 where NATO leaders reaffirmed that the proliferation of WMD and means of delivery both by states and non-state actors continues to be a serious threat of global scope,” he also stated.

 

The future of the Nuclear Non-Proliferation Treaty (NPT)

Weapons of mass destruction remain a pressing security issue worldwide despite the existence of major non-proliferation treaties and disarmament conventions in the fields of nuclear, chemical and biological weapons – as not all countries are yet parties to these instruments.

NATO’s WMD conference prepared the discussions for the 2015 NPT Review Conference, which will take place at the United Nations Headquarters in New York on 27 April - 22 May and will bring together all the NPT states to review the implementation of the treaty.

The discussion also addressed the conventions prohibiting chemical and biological weapons, and the challenges created by the nexus between technological change, terrorism and WMD proliferation.

 

Dealing with CBRN risks

 

“There is a growing concern that chemical, biological, radiological and nuclear (CBRN) material, still not all fully accounted for in Syria and Iraq, as well as remaining material in Libya could be used by terrorist organisations, such as ISIL and Al Qaida, as ’weapons of terror’ both in countries of the region, as well as beyond,” said Wolfgang Rudischhauser, Head of the NATO WMD Non-Proliferation Centre.

NATO is engaging its wide network of partners in practical cooperation on CBRN risks and nuclear security.

Last December, for example, a CBRN training course, open to all countries of the Gulf Cooperation Council, was hosted by Kuwait.

Also in 2014, the NATO Science for Peace and Security (SPS) Programme supported a training course, led by Italy and Morocco, to introduce diplomats, army and internal security officers from Morocco and Algeria to the key concepts of nuclear non-proliferation, security and safety. Coming up in June this year, an event involving Allies and partners will be organised in Vyškov, the Czech Republic, on how best to cope with new challenges in the area of CBRN defence.

Other SPS activities seek to improve resilience to nuclear and other weapons through training and multi-year projects in both NATO and partner countries.

 

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Previous NATO conferences on the challenges of WMD proliferation were held in Italy (2004), Bulgaria (2005), Lithuania (2007), Germany (2008), Poland (2009), the Czech Republic (2010), Norway (2011), Hungary (2012), Croatia (2013) and Switzerland (2014).

Qatar is one of four countries – along with Bahrain, Kuwait and the United Arab Emirates – participating in NATO’s Istanbul Cooperation Initiative (ICI). Launched in 2004, ICI seeks to promote political consultation and practical cooperation between NATO and countries in the Gulf region.

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3 mars 2015 2 03 /03 /mars /2015 18:50
Photo Jerome Lessard, The Belleville Intelligencer Agence QMI

Photo Jerome Lessard, The Belleville Intelligencer Agence QMI

 

Le 2 mars 2015 nouvelles.gc.ca

 

TRENTON – Aujourd’hui, 125 soldats de l’Armée canadienne, du 3e Bataillon, The Royal Canadian Regiment (3 RCR), ont quitté la BFC Trenton pour l’Europe de l’Est, dans le cadre des activités militaires entreprises par les Forces armées canadiennes (FAC) pour appuyer les mesures d’apaisement de l’OTAN en Europe de l’Est et en Europe centrale. Madame Cheryl Gallant, députée de Renfrew-Nipissing, était sur les lieux à Petawawa (Ontario) pour saluer les militaires, et Rick Norlock, député de Northumberland-Quinte West, a fait un bref discours d’appui et d’encouragement aux troupes à Trenton (Ontario), la dernière escale avant de quitter le Canada.

Le contingent du 3 RCR, qui fait partie du 2e Groupe-brigade mécanisé du Canada (2e GBMC) basé à la garnison Petawawa (Ontario), ira rejoindre le détachement précurseur actuellement déployé dans le cadre de l’opération REASSURANCE. La Force opérationnelle terrestre participera à une série d’activités d’entraînement avec d’autres pays, qui permettront aux Forces canadiennes de faire la démonstration de ses capacités et de son leadership.

 

Faits en bref

  • Les soldats canadiens s’entraînent avec nos alliés de l’OTAN dans le cadre de l’opération REASSURANCE depuis le début de mai 2014.
  • L’opération REASSURANCE fait référence aux activités militaires entreprises par les Forces armées canadiennes à l’appui des mesures d’apaisement de l’OTAN, en réponse aux actes d’agression et de provocation de la Russie contre l’Ukraine, en fournissant les capacités militaires pour l’instruction, les exercices, les démonstrations et les tâches attribuées par l’OTAN. L’action des Forces canadiennes en réponse à la demande de l’OTAN, a pour but de favoriser la sécurité et la stabilité en Europe centrale et en Europe de l’Est, et manifeste l’engagement indéfectible du Canada envers ses alliés dans la région.
  • En 2014, dans le cadre de l’opération REASSURANCE, les Forces canadiennes ont participé à un certain nombre d’exercices d’entraînement avec nos alliés de l’OTAN, dont l’exercice STEADFAST JAVELIN II, l’exercice GNIEZNO, l’exercice PEGASUS KORSARZ, l’exercice SABRE STRIKE et l’exercice ORZEL ALERT.

 

Citations

« Le gouvernement canadien maintient son engagement à renforcer la stabilité et la sécurité régionales en Europe de l’Est. Les exercices de l'OTAN, y compris l’opération REASSURANCE auxquels nous participons, sont préparés afin d'envoyer un message à la Russie. Le Canada et ses alliés de l'OTAN appuient leurs amis est-européens contre l'intimidation et l'agression territoriale de Vladimir Poutine. »

L’honorable Jason Kenney, ministre de la Défense nationale

« Notre gouvernement est fermement résolu à rejeter toute geste d’agression perpétré par le régime Poutine. Alors que nos soldats se rendent en Europe de l’Est aujourd’hui, nous gardons en mémoire la bravoure et l’engagement des hommes et femmes en uniforme qui défendent les principes de liberté, de démocratie et de primauté du droit, au pays et à l’étranger. »

L’honorable Julian Fantino, ministre associé de la Défense nationale

« La participation de l’Armée canadienne à des exercices d’entraînement multinationaux comme l’Opération REASSURANCE offre à nos militaires des occasions supplémentaires d’améliorer leurs compétences de combat et d’accroître notre interopérabilité avec nos partenaires internationaux. Nos militaires demeurent forts, fiers et prêts à répondre à l’appel du devoir en tout temps et partout dans le monde. »

Lieutenant-général Marquis Hainse, commandant de l’Armée canadienne

 

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3 mars 2015 2 03 /03 /mars /2015 17:50
Materieel Patriotmissie Turkije weer terug - @Defensie


3 mars 2015 Defensie.NL

 

Al het materieel dat voor de Patriotmissie in Turkije was, is terug. Het schip dat het luchtafweergeschut, goederen en voertuigen transporteerde, meerde maandag 2 maart 2014 af in Eemshaven.
3 maart gaan meer dan 160 voertuigen in verschillende colonnes de weg op. Nog eens zo’n 70 containers volgen woensdag. Die dag is alles weer terug op de Luitenant-Generaal Bestkazerne in het Limburgse Vredepeel. Het materieel krijgt er groot onderhoud en wordt gemodificeerd.

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3 mars 2015 2 03 /03 /mars /2015 17:35
A spotlight on security in Kabul


3 mars 2015 by NATO

 

General Rahimi is put to the test in his first few months as police chief of Kabul, having to secure a fast growing city with high crime rates and insurgency threats.

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3 mars 2015 2 03 /03 /mars /2015 13:55
Rencontre avec Jens Stoltenberg, secrétaire général de l'OTAN

 

03/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Le général d’armée Pierre de Villiers a rencontré ce jour à Paris (2 mars 2015), Sir Jens Stoltenberg, nouveau secrétaire général de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN)

 

Au cours d’une réunion de travail qui s’est déroulée au centre de planification et de conduite des opérations (CPCO), le CEMA a précisé quel est le niveau d’engagement des militaires français dans un contexte sécuritaire mondial très instable. S’adressant au plus haut fonctionnaire international de l’OTAN, il a également rappelé le rôle tenu par la France dans le cadre de la réponse collective à apporter aux risques qui pèsent aujourd’hui sur les flancs Sud (terrorisme) et Est (instabilité régionale) de l’Europe.

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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 16:55
"L'Europe doit redevenir une puissance dure" - Tribune de Dominique Moïsi *

 

27 février 2015 par Dominique Moïsi * - Tout Un Monde

 

Alors que les menaces s’accumulent et se rapprochent de ses frontières, au sud comme à l’est, l’Europe va-t-elle prendre conscience, qu’elle est en première ligne et doit assumer elle-même la responsabilité principale de sa défense ? Autrement dit, peut-elle se penser et se vouloir comme une « puissance dure », pour faire référence à l’expression du professeur de Harvard, Joseph Nye ?

 

    Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, dans le contexte de la Guerre froide, les pays européens à l’ouest – à l’exception notable de la France et de la Grande- Bretagne – avaient totalement délégué leur sécurité aux États-Unis, dans le cadre de l’Otan. Un choix qui s’avéra judicieux. La guerre resta froide et le système soviétique s’écroula sur lui-même, victime de ses contradictions.

 

    Mais rien n’est plus trompeur et dangereux que le succès. Bercée par l’illusion que les questions de sécurité appartenaient à un âge révolu – les guerres balkaniques n’étaient qu’un anachronisme – l’Union européenne se projeta très vite dans un monde postmoderne, dont elle se voyait comme l’éclaireur et le modèle.

 

    L’Europe disposait, pour garantir sa sécurité, de trois cartes. La première, l’Amérique – que l’on pouvait critiquer ou dénoncer à loisir –, demeurait une forme ultime d’assurance-vie. La deuxième, celle de l’élargissement, s’était révélée particulièrement efficace au début du XXIe siècle, en agissant par capillarité.

 

    « Vous voulez rejoindre notre club de paix et de prospérité ? Comportez-vous bien. » Mais cette politique, qui fonctionna dans les Balkans et en Europe centrale, ne pouvait servir de modèle universel. L’Union ne pouvait avoir pour ambition d’intégrer en son sein, par vagues successives, tous les pays qui, de près ou de loin, l’entouraient.

 

Suite de la tribune

 

* Dominique Moïsi, chroniqueur à Ouest-France, est Conseiller Spécial de l'IFRI, l'Institut français des relations internationales

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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 12:50
La cyberdéfense par l'OTAN

 

28/02/2015 ami-oimc.org

 

Dans le contexte de dépendance grandissante vis-à-vis de la technologie et de l'internet, l'Alliance poursuit ses efforts pour faire face au large éventail de cybermenaces dont les réseaux de l'OTAN sont la cible chaque jour. La sophistication croissante des cyberattaques fait de la protection des systèmes d'information et de communication (SIC) de l'Alliance une tâche urgente. Cet objectif est considéré comme une priorité dans le concept stratégique de l'OTAN, et il a été réaffirmé dans les déclarations diffusées à l'issue des deux plus récents sommets ainsi que lors des réunions ministérielles de l'OTAN.


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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 08:35
Japan and the ‘Counter-Pivot’

 

By

 

With the U.S. increasingly engaged elsewhere, should Japan do more for regional security itself?

 

The U.S. pivot (or rebalance) towards Asia is America’s “I’m back” moment and a warning to China (to paraphrase The Terminator’s “I’ll be back” message). For Japanese who fear Chinese expansionism it is a welcome development. But there is now a risk of a counter-pivot. A full-scale war with Russia is unlikely. But the invasion of Ukraine, combined with European disunity, vacillation, and weakness, ensures that Washington will focus more on NATO’s eastern borders in the coming months and probably years.

 

Read full article

 

* Robert Dujarric is Director, Institute of Contemporary Asian Studies, Temple University Japan, robertdujarric@gmail.com

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 12:30
Photo Marine Nationale

Photo Marine Nationale

 

27/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 20 février 2015, la frégate légère furtive « La Fayette », déployée en méditerranée orientale depuis bientôt un mois dans le cadre d’opération de surveillance, a conduit au large de la base navale OTAN d’Aksaz, une série d’exercices en coopération avec la marine turque.

 

Ces exercices communs (passex) avaient pour objectif le renforcement de l’interopérabilité des deux marines alliées et l’approfondissement des connaissances des procédures ottoniennes.

 

L’ensemble de cet entraînement s’est déroulé en coopération avec la frégate TCG Gelibolu et trois bâtiments des garde-côtes turcs. L’appareillage s’est effectué en formation avec la frégate turque, dans le cadre d’une menace asymétrique jouée par une vedette rapide. Les deux forces armées ont aussi réalisé un exercice de tir d’artillerie et de défense aérienne, au cours duquel deux avions de chasse F-16 turcs jouaient une force ennemie.

 

La coopération s’est achevée par un exercice de « Search and rescue », sous le contrôle tactique de la corvette des garde-côtes Humut, exercice durant lequel on eu lieu la recherche et le sauvetage de plusieurs naufragés, simulés par des mannequins largués par l’hélicoptère du TCG Gelibolu.

 

Cette opportunité a permis aux deux marines de mettre en commun des savoir-faire différents, et a bénéficié aux unités des deux pays et à leurs équipages. Au terme de cette coopération, le bâtiment français « La Fayette » a repris sa patrouille opérationnelle, tandis que les bâtiments turcs ont regagné le port base Aksaz, deuxième base navale de la Turquie.

Photos Marine NationalePhotos Marine Nationale

Photos Marine Nationale

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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 12:50
Six pays membres de l’Otan réduisent leurs dépenses militaires en 2015 - photo Shape

Six pays membres de l’Otan réduisent leurs dépenses militaires en 2015 - photo Shape

 

26/2/15 François d’Alançon – LaCroix.com

 

La diminution des budgets de défense contredit l’engagement pris lors du dernier sommet de l’Alliance atlantique.

 

Les pays membres de l’Otan – hors États-Unis qui représentent 75 % du budget –, ne tiennent pas l’engagement pris lors du dernier sommet de l’Alliance atlantique, en septembre 2014 au Pays de Galles, de mettre fin à la réduction de leurs dépenses militaires pour atteindre 2 % du Produit intérieur brut (PIB) en 2024.

 

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 18:50
Des blindés américains près de la frontière russe, lors d’un défilé en Estonie

 

24 février 2015 45eNord.ca (AFP)

 

Deux blindés de combat Stryker américains participant à des manœuvres de l’Otan en Estonie ont marqué les esprits par leur présence dans un défilé militaire mardi à Narva, tout près de la frontière russe, alors que les relations entre Moscou et les Occidentaux se sont dégradées avec la crise ukrainienne.

 

Une centaine de soldats de pays de l’Otan, Britanniques, néerlandais, espagnols, lettons et lituaniens ont également défilé dans la neige aux côtés d’environ 1300 militaires estoniens, pour marquer l’anniversaire de l’indépendance de l’Estonie, une ancienne république soviétique désormais membre de l’Union européenne et de l’Otan.

La parade annuelle a pris un relief particulier cette année dans le contexte des craintes suscitées dans les pays baltes par l’engagement dont est accusée la Russie dans le conflit ukrainien.

L’Otan a réagi à ces craintes en envoyant des avions de chasse dans les pays baltes et en y organisant plusieurs exercices militaires.

L’Histoire nous a appris que si nous ne nous défendons pas nous-mêmes, personne d’autre ne le fera, a toutefois déclaré lors du défilé le général Riho Teras, chef d’état-major estonien.

Les habitants venus voir le défilé, dont beaucoup ne parlaient pas estonien, paraissaient cependant faire peu de cas des craintes d’ingérence russe.

La population russophone est fortement majoritaire dans la région de Narva.

La Lituanie voisine a de son côté l’intention de rétablir temporairement le service militaire obligatoire en raison de l’actuel environnement géopolitique, a annoncé mardi la présidente de cet autre État balte, Dalia Grybauskaite.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 17:50
NATO and Italy discuss how Alliance is adapting to face threats from east and south

 

26 Feb. 2015 NATO

 

Arriving in Rome at the start of a two day visit to Italy on Thursday (26 February 2015), Secretary General Jens Stoltenberg underscored that NATO is adapting to “defend all Allies against threats from any direction”, east or south. He added that the Alliance is implementing the biggest reinforcement of NATO’s collective defence since the end of the Cold War, in order to respond to emerging challenges, including ISIL and instability in the Middle East and North Africa.

 

In meetings with President Sergio Mattarella and Prime Minister Matteo Renzi, the Secretary General discussed NATO’s adaptation to new security challenges. This involves “improving our situational awareness over our southern borders, and developing our maritime strategy,” Mr Stoltenberg said. The leaders underscored the importance of working with partners to keep the region stable, particularly in light of the deteriorating security situation in Libya. The Secretary General noted that NATO “stands ready to support Libya with advice on defence and security institution building.” He added that “by helping countries in North Africa and in the Middle East build up their defence capacity, we can project stability without always deploying our own forces.”

 

The leaders further discussed the crisis caused by Russia’s aggressive actions against Ukraine, agreeing that the Minsk agreement remained the best opportunity for a peaceful solution. The Secretary General welcomed “recent indications of reduced fighting,” but noted that “Russia continues supporting the separatists with equipment, forces and training.” Mr. Stoltenberg called on all parties to “fully respect the ceasefire and withdraw heavy weapons.” He warned that any attempts to expand separatist-held territory would be “unacceptable to the international community”.

 

The Secretary General thanked Italy for its valuable contributions to the Alliance, including major deployments in both Afghanistan and Kosovo. Mr. Stoltenberg further welcomed the leading role that Italy will play in NATO’s new Spearhead Force, which will enable the Alliance to respond rapidly to threats emerging from any direction.

 

On Thursday, Secretary General Stoltenberg is also meeting with Foreign Minister Paolo Gentiloni. He also held separate talks with Defence Minister Roberta Pinotti, as well as with members of the Foreign Committee and the Defence Committee of the Senate and Chamber of Deputies, including Italian members of the NATO Parliamentary Assembly.

 

On 27 February, the Secretary General will address personnel at the NATO Defense College in Rome, before travelling to Naples for a visit to Allied Joint Force Command Headquarters.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 12:30
Chinese S-300 (HongQi 9 [HQ-9]) launcher during China's 60th anniversary parade, 2009. photo Jian Kang

Chinese S-300 (HongQi 9 [HQ-9]) launcher during China's 60th anniversary parade, 2009. photo Jian Kang

 

25/02/2015 lorientlejour.com

 

"La Turquie s'efforce de conclure un meilleur accord, non seulement commercialement mais aussi politiquement".

 

La Turquie a relancé la controverse autour de l'appel d'offres lancé pour équiper son armée de missiles sol-air dernier-cri en agitant à nouveau la perspective d'une victoire de la Chine, à seule fin semble-t-il d'arracher des concessions des autres prétendants.

 

En 2013, le gouvernement islamo-conservateur turc a créé la surprise en annonçant avoir retenu pour ce contrat de 3 milliards d'euros la firme China Precision Machinery Export-Import Corporation (CPMIEC), de préférence à ses concurrents américains Raytheon et Lockheed Martin et le consortium franco-italien Eurosam.

 

Cette décision a provoqué la levée de boucliers des alliés de la Turquie au sein de l'Otan. Tous ont regretté l'absence de compatibilité du matériel chinois avec leurs propres systèmes et rappelé que CPMIEC faisait l'objet de sanctions de Washington pour avoir livré des armes à la Syrie et à l'Iran sous embargo. Sous pression, Ankara a donc été contraint de revoir sa position en repêchant les deux autres candidats, priés de reformuler leurs propositions. A en croire les confidences du président Recep Tayyip Erdogan, ce nouveau tour de piste semblait devoir bénéficier aux Européens. Mais une série de récentes déclarations et de confidences sont venues rebattre les cartes.

 

La semaine dernière, le ministre de la Défense Ismet Yilmaz a ainsi suggéré que les Chinois allaient l'emporter en indiquant, en réponse à la question d'un député, que le système retenu par les Turcs ne serait pas intégré au système de l'Alliance atlantique. Dans la foulée du ministre, les autorités turques ont insisté sur les mérites de l'offre chinoise, même si elles ont précisé qu'aucune décision n'avait encore été prise. "La Chine est un candidat sérieux et se trouve dans une position plus avantageuse que celle de ses concurrents", explique à l'AFP une source gouvernementale, "elle propose un prix inférieur de moitié et elle accepte de partager sa technologie".

 

"Dans la course"

 

Si certains ont rapidement conclu de ces sorties que les Turcs avaient fait leur choix, les analystes n'y ont vu qu'une péripétie des négociations en cours."Il est faux de présumer que la Turquie a choisi d'acheter ses missiles aux seuls Chinois. Les Américains et les Européens sont toujours dans la course", assure Sinan Ülgen, du Centre d'études économiques et de politique étrangère (Edam) d'Istanbul. "La Turquie s'efforce de conclure un meilleur accord, non seulement commercialement mais aussi politiquement", renchérit Nihat Ali Özcan, du centre d'études Tepav d'Ankara.

 

La presse proche du gouvernement a ainsi rapporté récemment que les autorités n'attribueraient pas le contrat avant le 24 avril, date de la commémoration du centième anniversaire du génocide arménien, afin de s'assurer des bonnes dispositions de Paris et Washington sur ce dossier sensible. "Un accord pourrait être signé avec la Chine si les gouvernements américain et français adoptent des positions pro-arméniennes", a écrit le quotidien Sabah.

 

Un projet de loi français, finalement annulé, pénalisant la négation du génocide arménien a suscité une sérieuse crise entre Paris et Ankara en 2012 et le président français François Hollande a déjà annoncé sa présence à Erevan le 24 avril. Les Turcs s'inquiètent également du dépôt au Congrès américain d'un texte reconnaissant le caractère de génocide aux massacres d'Arméniens par l'Empire ottoman pendant la Première guerre mondiale. Ankara réfute catégoriquement cette qualification.

 

L'Otan comme les pays en course se sont refusés à commenter l'état des discussions. "Chaque nation est libre de décider de l'origine de ses équipements militaires mais il est important que tous puissent fonctionner ensemble", a toutefois rappelé sous couvert de l'anonymat à l'AFP un responsable de l'Alliance atlantique.

 

Le porte-parole du président Erdogan, Ibrahim Kalin, semble avoir entendu ces inquiétudes et a affirmé lundi que son pays assurerait "l'intégration" de son futur système d'armes avec celui de l'Otan.

 

Même si la Turquie fait monter les enchères, donc, les experts restent persuadés qu'elle privilégiera au final les offres occidentales. "Comment pouvez-vous espérer que le système radar de l'Otan basé à Kurecik, dans l'est de la Turquie, puisse fonctionner à pleine capacité avec un système chinois ?", s'interroge Sinan Ülgen, "ce serait un paradoxe". "Européens et Américains font la course en tête, pas les Chinois", confirme M. Özcan.

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