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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 13:50
Unmanned aerial systems on show

A soldier with a Desert Hawk unmanned aerial system (library image) [Picture: Sergeant Brian Gamble, Crown copyright]

 

18 December 2013 Ministry of Defence and Defence Equipment and Support

 

The Ministry of Defence has, for the first time, opened the doors to its unmanned aerial systems (UAS) control centre, based in the UK.

 

Pictures and footage released today, Wednesday 18 December, show the high-tech operations room at RAF Waddington, where members of 13 Squadron remotely operate the RAF’s Reaper aircraft in Afghanistan.

Reaper is just one of a range of UAS, including remotely-piloted air systems, operated by UK armed forces, providing vital, lifesaving intelligence, reconnaissance and surveillance on operations.

Showing this work is a key way to dispel some common myths about the role of the equipment, which UK forces use predominantly in Afghanistan.

During a visit to RAF Waddington, Defence Secretary Philip Hammond viewed the full range of current and future equipment, including:

  • Desert Hawk (Army)

  • Black Hornet Nano (Army)

  • Tarantula Hawk (Army)

  • Watchkeeper (Army)

  • ScanEagle (Royal Navy)

Philip Hammond speaks with Royal Navy Commander Bow Wheaton
Defence Secretary Philip Hammond speaks with Royal Navy Commander Bow Wheaton at RAF Waddington [Picture: Senior Aircraftman Blake Carruthers, Crown copyright]

Mr Hammond also spoke to a Royal Artillery fire support team commander recently returned from Afghanistan who spoke of the benefits the ‘eyes in the sky’ can provide for troops on the ground.

Mr Hammond said:

Vital to our efforts to protect our forces and the people of Afghanistan, this battle-winning technology allows us to understand the situation on the ground more clearly, develop better intelligence, and precisely strike, within our rules of engagement, those who threaten or hurt the people we are protecting.

Much of the criticism of unmanned aerial systems is based on misunderstanding. This event provides a great opportunity to better inform people about these lifesaving assets and their variety of purposes.

Speaking at the event, Air Vice-Marshal Philip Osborn, Joint Forces Command Capability Director, praised unmanned aerial systems’ ability to provide ‘persistent surveillance of enemy positions without putting our servicemen and women at unnecessary risk’. He said:

In today’s operational environment, unmanned and remotely-piloted air systems are increasingly vital to keep one step ahead of the enemy, and to save military and civilian lives.

Highly trained and experienced personnel are at the heart of the capability, and human oversight and control is always paramount. This is a capability just like every other across defence; it has skilled and motivated people at its core, people who are in charge of technology and use it in strict accordance with the law.

Viewing the inside of a Reaper control cabin, the Defence Secretary was able to see how it is guided and controlled at all times by a team of highly trained and skilled people. Pilots, sensor operators and analysts all make decisions in real-time, exactly like the crew of a traditional aircraft.

In over 54,000 hours of operations, the UK’s Reaper, the only armed system used by British armed forces, has fired just 459 precision weapons.

When a precision strike capability is required from RAF Reaper aircraft by ground commanders this is always in accordance with international humanitarian law and the law of armed conflict, and is governed by strict rules of engagement; exactly the same as manned aircraft.

UK military unmanned aerial systems
Reaper remotely-piloted air system
An RAF Reaper remotely-piloted air system at Kandahar Airfield in Afghanistan (library image) [Picture: Corporal Mark Webster, Crown copyright]
Black Hornet
Black Hornet, a nano unmanned aerial system operated by the British Army (library image) [Picture: Sergeant Rupert Frere, Crown copyright]
ScanEagle
ScanEagle is an unmanned aerial system operated by the Royal Navy (library image) [Picture: Copyright Boeing Defence UK]
Hermes 450
A Hermes 450, operated by the British Army, at Camp Bastion in Afghanistan (library image) [Picture: Copyright Thales UK]
Desert Hawk
A soldier launches a Desert Hawk unmanned aerial system during an exercise in Kenya (library image) [Picture: Corporal Ross Fernie, Crown copyright]
T-Hawk
T-Hawk (Tarantula Hawk), a micro unmanned aerial system operated by the British Army (library image) [Picture: Andrew Linnett, Crown copyright]
Watchkeeper
A British Army Watchkeeper unmanned aerial system during trials in the UK (library image) [Picture: Peter Russell, Crown copyright]
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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 13:45
UE: la Centrafrique au menu du sommet européen de Bruxelles

 

18 décembre 2013 Par Grégoire Lory - RFI

 

Le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a annoncé mardi 17 décembre devant l'Assemblée nationale que plusieurs partenaires européens apporteraient leur soutien militaire à la France en Centrafrique. Mais l'opération Sangaris n'a pour l'instant reçu que peu de soutiens concrets de la part des partenaires européens de la France autres qu'un soutien financier à la MISCA. La Centrafrique sera au programme du sommet européen de Bruxelles les 19 et 20 décembre.


 

Dans leur ensemble les Etats membres de l’Union rechignent à intervenir sur le terrain en Centrafrique aux côtés de la France. Paris a pourtant invité ses partenaires à participer à l’opération en cours. Et à en croire le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, ces appels devraient porter leurs fruits.

 

à (re)lire : Laurent Fabius annonce des renforts européens en Centrafrique

 

Toutefois pour l’instant il n’y a rien de confirmé en provenance des différentes capitales. Il a même été question de mise au point. Ainsi en Belgique : des rumeurs annonçaient en effet l’envoi de 150 soldats belges pour une mission de protection. Une hypothèse jugée prématurée par le ministère belge de la Défense ainsi que par l’état-major. L’armée serait en fait pour l’instant en train d’étudier la demande française d’un soutien autre que du transport aérien.

D’autres Etats membres ont aussi fait savoir qu’il n’était pas à l’ordre du jour d’envoyer des hommes sur le terrain. C’est le cas du Royaume-Uni, de l’Allemagne ou encore de la Pologne. Mais tous soutiennent l’intervention française. Londres et Berlin ont mis à disposition des appareils pour permettre le transport de troupes ou de matériel. Cette aide logistique pourrait d’ailleurs être élargie. La Pologne confirme être prête à engager un avion de transport tout comme les Pays-Bas.

 

La politique de sécurité et la Centrafrique au menu du conseil européen

La question centrafricaine sera aussi évoquée à partir de demain lors du sommet des chefs d’Etats et de gouvernement de l’Union. Les 28 doivent se pencher sur la politique européenne de sécurité et de défense (PESD). Ce sera donc l’occasion pour le président français de préciser son idée de Fonds européen permanent de soutien aux opérations militaires. Ce dispositif permettrait de financer les interventions en urgence dans un pays en crise.

Car si les Européens semblent divisés sur les questions militaires, l’Union intervient par d’autres canaux en Centrafrique. Les Européens financent ainsi à hauteur de 50 millions d’euros la MISCA, la Mission internationale de soutien sous conduite africaine.

 

→ à (re)lire : Cinq options pour un soutien international à la Misca en Centrafrique

 

A travers ses programmes d’aide au développement, l’Union est là aussi très impliquée. La Commission a annoncé lundi le déblocage de plus de 18 millions d’euros supplémentaire pour l’aide humanitaire. Cette enveloppe va permettre de répondre à une partie des besoins urgents comme la distribution d’eau, de produits alimentaires et encore des abris. La Commission a aussi déployé un service aérien. Jusqu’à 200 rotations quotidiennes ont lieu entre Douala au Cameroun et Bangui pour acheminer des marchandises et du personnel humanitaire.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 12:50
L'armée roumaine enverra un tiers de troupes de moins à l'étranger en 2014

 

2013-12-18 xinhua

 

Le Conseil suprême de défense nationale roumain (CSDN) a décidé mardi de réduire d'un tiers ses troupes en mission à l'étranger en 2014.

 

Selon le plan approuvé par le CSDN concernant le déploiement de troupes à l'étranger en 2014, l'armée roumaine enverra en mission et opération à l'étranger un total de 1 311 militaires, soit 725 de moins que cette année.

 

Pour ce qui est du ministère de l'Intérieur, les forces participant en 2014 aux diverses missions sous l'égide de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), de l'Union européenne, de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) et des Nations Unies (ONU) seont constitués de 791 soldats et policiers, soit 301 de plus qu'en 2013, a indiqué la présidence roumaine dans un communiqué.

 

"L'effort principal continue d'être la participation au sein de l'opération de la Force internationale d'assistance à la sécurité (FIAS) en Afghanistan et le maintien de l'engagement de la Roumanie dans le théâtre des opérations des Balkans," précise le communiqué de la présidence.

 

Le CSDN, qui inclut le président, le Premier ministre, les ministres de la Défense et des Affaires étrangères, ainsi que les directeurs des services de renseignement, est l'organe exécutif suprême en Roumanie, qui décide des questions de sécurité et de défense.

 

La Roumanie a commencé à envoyer des troupes en Afghanistan en juillet 2002. Cela constituait la première mission militaire du pays à l'étranger depuis la Seconde Guerre mondiale.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 11:50
L’introuvable armée européenne

 

17 décembre 2013 Jan Rood, Kees Homan - De Volkskrant Amsterdam

 

Que ce soit pour intervenir militairement ou investir dans l’industrie de la défense, les Européens manquent cruellement de coordination et y perdent en crédibilité. Relancée par l’intervention française en Centrafrique, la question sera débattue au sommet des 19 et 20 décembre

 

Mieux vaut tard que jamais. Voilà une réaction que pourrait susciter le Conseil européen du 19 et 20 décembre, où pour la première fois depuis très longtemps, les chefs d’Etats et de gouvernements européens discuteront de la politique de sécurité et de défense commune. Un type de discussion qui a toute sa raison d’être.

En 1991, le ministre belge des Affaires étrangères de l’époque, Mark Eyskens, avait comparé l’Europe à “un géant économique, un nain politique et un verre de terre lorsqu’il s’agit d’élaborer une capacité de défense”. Certes, ces dernières années, l’UE est devenue plus active dans le domaine de la sécurité. Mais la grande ambition, maintes fois exprimée, d’investir dans une réelle politique commune de défense et de sécurité, y compris une capacité militaire autonome, ne s’est pas réalisée. Tandis que le monde qui nous entoure change et nous oblige, nous, Européens, à considérer notre sécurité plus sérieusement comme un dossier commun.

 

Plus efficace et plus visible

Dans un monde de plus en plus multipolaire, les Etats-Unis ne sont plus prêts à intervenir en derniers recours si la sécurité européenne est menacée. On observe aussi une instabilité croissante dans le voisinage direct de l’UE – l’Afrique du Nord, le Moyen-Orient, le Caucase. De plus, les menaces se diversifient et, surtout, imbriquent sécurité externe et interne.

La réponse logique à cela semble être davantage de coopération et de prise de responsabilité européennes, et le Conseil européen mise là-dessus : l’Europe doit être plus efficace et plus visible dans le domaine de la sécurité, il faut plus d’investissements dans les capacités militaires, et il faut renforcer l’industrie européenne de défense. Les documents publiés par la Commission européenne et par [la Haute Représentante de l’UE pour les Affaires extérieures] Catherine Ashton en amont de ce Conseil européen, en soulignent la nécessité.

L’intervention en Libye a montré que – par manque d’unité et de moyens – l’UE est obligée de laisser les Etats-Unis et l’OTAN prendre l’initiative.

On observe que ces dernières années, les missions en dehors du territoire sous drapeau européen ont été moins nombreuses et à plus petite échelle. La contribution européenne à la sécurité et la stabilité mondiales est surtout constituée de formation et de soutien, et non pas d’un véritable déploiement de moyens militaires. L’intervention en Libye a montré que – par manque d’unité et de moyens – l’UE est obligée de laisser les Etats-Unis et l’OTAN prendre l’initiative.

Dans le cas du Mali et de la République centrafricaine, la France n’a pas attendu l’avis de l’UE. “Attendre l’Europe, c’est comme attendre Godot”, comme le disait un diplomate français, cité par le Figaro. La décision d’intervenir a été prise de façon entièrement unilatérale. Et ceux qui veulent et peuvent, ont la possibilité d’y contribuer, mais au fond l’opération reste française [l’Espagne.

 

Des coopérations bilatérales

Ce qui est encore plus grave, est la situation des capacités militaires. Celles-ci étaient déjà insuffisantes, mais sous pression de la crise financière et économique, tous les Etats membres coupent dans leur budget de la défense. Et une quelconque coordination au niveau européen est quasiment inexistante. C’est justement aujourd’hui, compte tenu des insuffisances déjà existantes en matière de moyens cruciaux, qu’une coordination des mesures d’austérité ainsi que des investissements s’imposent, si on souhaite maintenir une défense européenne crédible.

Mais ici encore, les Etats de l’UE préfèrent des coopérations bilatérales pour des raisons pratiques, comme la coopération [aérienne] belgo-néerlandaise, aux coopérations européennes. Le pooling and sharing sur une base bilatérale est l’adage. Ce n’est pas mauvais en soi, mais à long terme ce type de coopérations ne sera viable que si elles sont encadrées dans une stratégie européenne plus large. Or, celle-ci n’existe pas.

L’achat et le déploiement de matériaux et la coopération nécessitent plus que jamais une coopération entre pays, mais cela vaut aussi pour l’industrie de la défense européenne qui est très fragmentée. Comparés à d’autres pays, les Etats de l’UE investissent peu en recherche et développement militaire. Le peu d’investissements effectués ont par ailleurs peu d’impact parce que les Etats membres – surtout les grands – protègent leur propre industrie. Résultat : des doublons, des frais de production trop élevés, des matériels très coûteux et une perte de compétitivité sur les marchés internationaux.

Mais la plus grande perte serait que, si cette situation se poursuit, l’Europe ne soit plus en mesure de garantir sa propre sécurité en s’appuyant sur sa puissance industrielle.

Bref, face aux ambitions militaires confondues, la réalité n’est faite que de coupes claires. La question est de savoir si les 19 et 20 décembre, les Etats de l’UE seront prêts et capables de renoncer à leur propres intérêts en faveur de l’intérêt général. Sinon, ce sera un nouveau sommet européen de perdu, et les propos de Mark Eyskens seront toujours d’actualité, tant d’années après.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 08:50
New TRS-4D naval radar for German F125 frigates demos capabilities in sea trials

 

Dec 17, 2013 ASDNews Source : Cassidian

 

    High precision, particularly when detecting small targets

 

Cassidian’s new radar for the German Navy’s F125 class frigates has demonstrated its particular reconnaissance and surveillance capabilities during tests in the North Sea and Baltic Sea and during factory acceptance tests. In two test series of several weeks, the TRS-4D naval radar showed an extraordinarily high precision, particularly when detecting small targets such as UAVs, guided missiles and periscopes. Subsequently, the customer confirmed the system’s capabilities during the factory acceptance test at Cassidian’s Ulm location.

 

At the beginning of the test series, which ran for over a year, the radar underwent functional tests on the beach, which were carried out by the Bundeswehr Technical Centre No. 71 in Surendorf. Next year, the first system is planned to be integrated into the “Baden-Württemberg” lead ship.

 

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 22:45
Photo : Christian Decloedt

Photo : Christian Decloedt

 

13/12/13 MIL.be

 

Ce vendredi 13 décembre 2013, le comité ministériel restreint a donné son accord à un déploiement de moyens militaires belges, à la demande de la République française.

 

La France avait adressé une demande d'appui à la Belgique dans le domaine du transport aérien stratégique et tactique. Sur proposition du vice-Premier ministre et ministre de la Défense Pieter De Crem, la Défense belge sera responsable:

 

Du transport aérien stratégique avec quatre vols A-330 dans la période comprise entre fin décembre 2013 et fin janvier 2014. Le transport aérien implique le transport de personnel et de matériel de la France vers les pays voisins de la République centrafricaine et vers la capitale Bangui.

 

Du transport aérien tactique. La Défense opèrera avec un C-130 depuis Libreville pour une période initiale de deux mois, à compter de fin janvier 2014. Cet engagement peut être prolongé d'un mois. Pour cet engagement, un détachement de 35 militaires est nécessaire. La France demande des vols de Libreville (Gabon) vers Bangui et également des transports sur le territoire de la République centrafricaine à partir de Bangui. Un élément de liaison au centre des opérations à Lyon est inclus. Les tâches consistent à transporter du matériel français et africain ainsi que des militaires entre les capitales africaines et Bangui.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 21:55
 Eurosatory 2014

source Eurosatory

 

Eurosatory 2014 continues its development:

- Latest technologies in French Overseas Military Operations, with the presence of the French Ministry of Defence and the French Army Forces on a 3523 m² exhibition area.
- A special area dedicated to security and assistance to population, with Police, Gendarmerie and Firefighters stands.
- A growing exhibition area, including 34 international pavilions (2012 figures). New countries in 2014: Colombia and Japan.
- Two fully reorganized halls for optimal visitor circulation and a large area of outdoor display.

 

mosaique1

Eurosatory 2014, the entire supply chain offering at one single event:

- Major multinational industry prime contractors, OEMs, innovating and specialized companies, and Defence & Security subcontractors.
- The entire Land and Air-Land D&S Supply chain, from core components to final products
- Access proven solutions at controlled cost as well as high-technology products.

The always acclaimed technology clusters, expanded in 2014 and linked to latest trends:

- Simulation & training
- Unmanned aerial and ground vehicles
- Embedded electronics
- Measurements, tests and testing centers
- CBRNe
- Infrastructure & Critical facilities protection
- Civil security & Emergency Response

Eurosatory is also:

The CEO’s exhibition - Over 50 % of exhibiting companies are represented by their Chairman or CEO, underlining the exceptional value of this unique event.

The simulation exhibition - The large number of simulation exhibitors makes Eurosatory one of the world’s major simulation events and the first in Europe.
 

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 21:50
New Typhoon squadron announced

An RAF Typhoon jet accelerates and climbs rapidly during a training sortie (library image) [Picture: Senior Aircraftman Andrew Seaward, Crown copyright]

 

13 December 2013 Ministry of Defence

 

One of the oldest squadrons in the Royal Air Force is to be re-equipped with the latest Typhoon jets.


 

The move is part of a transformation of the RAF’s combat air capability which will see battle-proven Tornado GR4 aircraft replaced by advanced Typhoon and F-35B Lightning II fighters.

Number 2 (Army Co-operation) Squadron, based at RAF Marham, celebrated 100 years of service in 2012 and its personnel are currently training for their next tour of duty early next year flying Tornado jets in Afghanistan.

After that, the unit will begin the process of swapping its Tornados for Eurofighter Typhoons and transfer to its new base at RAF Lossiemouth.

The move was announced by the Minister of State for the Armed Forces, Mark Francois, who said the change was part of the planned realignment of the RAF’s long-serving Tornado Force, under which all GR4s will leave the service by 2019.

Tornado during operations in southern Afghanistan
An RAF Number 2 (Army Co-operation) Squadron Tornado during operations in southern Afghanistan (library image) [Picture: Corporal Neil Bryden RAF, Crown copyright]

Mr Francois said:

Number 2 (AC) Squadron has the distinction of being one of the oldest fixed-wing flying squadrons in the world, having formed in 1912.

Since being equipped with Tornado aircraft in 1989 it has served with distinction on operations in Libya, the Balkans and Iraq and will complete its final tour of duty in Afghanistan in early 2014.

I can announce that it will formally disband as a Tornado squadron on 31 March 2015 and will re-equip to form a new front line Typhoon squadron based at RAF Lossiemouth the next day on 1 April 2015.

I am sure that Number 2 (AC) Squadron’s valuable contribution to operations throughout its long and distinguished history will continue as it helps maintain the strong traditions of RAF Lossiemouth as a main operating base for the RAF into the future.

The newly-reformed Number 2 (AC) Squadron will be the fifth front line RAF Typhoon squadron.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 21:45
Envoi de 150 soldats belges en Centrafrique: «prématuré» selon la défense [belge]

 

17.12.2013 G.My avec agences - lesoir.be

 

L’information selon laquelle des militaires belges effectueront une « mission de protection » des aéroports en Centrafrique a été démentie par la Défense et par l’état-major de l’armée. L’armée n’en est qu’à « examiner » la demande française pour ce qui va au-delà du transport aérien a affirmé une source militaire.

 

Tant le cabinet du ministre de la Défense que l’état-major de l’armée ont indiqué mardi tout ignorer du projet d’envoyer quelque 150 militaires belges en Centrafrique pour assurer une « mission de protection » des aéroports du pays. C’est l’Agence France presse qui avait évoqué un peu plus tôt cette option.

 

Le conseil des ministres restreint a donné vendredi dernier son feu vert à la mise à disposition de l’opération française Sangaris en République centrafricaine (RCA) d’un avion de transport gros-porteur Airbus A330 et d’un avion de transport tactique C-130H « Hercules » mais écarté l’envoi de troupes terrestres, comme demandé «  informellement  » par Paris, ont rappelé des porte-parole du ministre de la Défense, Pieter De Crem, et de l’état-major.

 

Alors que l’envoi de troupes avait jusqu’ici été écarté, l’Agence France Presse annonçait avoir appris ce mardi de source militaire que la Belgique envisageait d’envoyer 150 soldats en Centrafrique pour une «  mission de protection  » des aéroports. Une décision qui autait été prise à la demande de la France.

 

 

photo Composante Air

photo Composante Air

Le gouvernement belge, qui a déjà donné son feu vert à la mise à disposition de l’opération Sangaris d’un avion de transport gros-porteur Airbus A330 et d’un avion de transport tactique C-130 Hercules, étudierait la «  faisabilité  » d’aller plus loin, à la suite d’une demande «  informelle  » de Paris.

 

«  C’est totalement prématuré  », a réagi une source militaire informée, expliquant que l’armée n’en était qu’à «  examiner  » la demande française pour ce qui va au delà du transport aérien.

 

Des soldats de pays européens « bientôt » déployés

 

Laurent Fabius, chef de la diplomatie française, a de son côté annoncé que des soldats d’autres pays européens seraient bientôt déployés en Centrafrique où intervient déjà l’armée française. «  Je tiens à le souligner car c’est l’une des premières fois que cela se produit  », a déclaré Laurent Fabius à l’Assemblée nationale. Aucune précision n’a pu être obtenue au ministère sur le nombre de pays et leur identité.

 

L’opération française Sangaris en Centrafrique a officiellement commencé le 5 décembre. Quelque 1.600 soldats français interviennent en soutien des troupes africaines (3.200 hommes à ce jour) de la force Misca pour rétablir l’ordre et la sécurité et désarmer les milices dans ce pays où les violences ont pris un tour confessionnel entre chrétiens (80 % des 4,5 millions d’habitants) et musulmans.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 18:50
Signing of EDA-Serbia Administrative Arrangement
 

Brussels - 13 December, 2013 European Defence Agency

 

Catherine Ashton, High Representative of the Union for Foreign Affairs and Security Policy and Head of the European Defence Agency (EDA), and Nebojša Rodić, Serbian Minister of Defence, signed today an Administrative Arrangement between the EDA and the Serbian Ministry of Defence. 

The conclusion of the Administrative Arrangement follows a mandate provided by the EDA Steering Board. The EU Council approved the Administrative Arrangement in May 2013.
The Administrative Arrangement formalises the relationship between EDA and Serbia, enabling Serbia’s potential participation in EDA’s projects and programmes. Cooperative areas remain to be further defined, but Research & Technology and training are examples of possible cooperative areas.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 17:50
New investment in Successor submarines

A computer-generated image of a Successor Class submarine [Picture: BAE Systems]

 

16 December 2013 Ministry of Defence

 

The Defence Secretary has announced £79 million of investment in the next generation of Royal Navy submarines.

 

 

The Successor submarines, which will carry the UK’s strategic nuclear deterrent, will be the largest and most advanced boats operated by the Navy, and their design and construction will be the most technologically complex in the history of the UK.

Two contracts worth £47 million and £32 million have been awarded to BAE Systems Maritime-Submarines who are leading on the design of the vessels.

The investment will allow BAE Systems, who currently have more than a thousand people working on the Successor programme, to begin work on some initial items for the submarines that are due to replace the Vanguard Class from 2028. It is essential these items, which include structural fittings, electrical equipment, castings and forgings are ordered now to ensure the submarines are able to meet their in-service date.

MOD has also released a picture today which shows for the first time how the early designs of Successor are taking shape. The image forms part of an update on the Successor programme that has been presented to Parliament.

Defence Secretary Philip Hammond said:

This £79 million investment is another important milestone in our preparations to build these world-leading submarines. The current Vanguard Class of deterrent submarines perform a vital role in the defence of the UK and the replacement for this capability is of national importance.

The Successor programme is supporting around 2,000 jobs, and up to 850 British businesses could benefit from the supply chain as we exploit the most modern technologies and employ a significant portion of the UK’s engineers, project managers and technicians over the coming years.

First Sea Lord Admiral Sir George Zambellas said:

The Royal Navy has been operating continuous at-sea deterrent patrols for more than 40 years and the Successor submarines will allow us to do so with cutting-edge equipment well into the future.

The submarines are being designed to be some of the stealthiest in the world and are expected to see operational service from the late 2020s right up to the 2060s.

The Successor design and build programme is amongst the most complex ever undertaken by British industry. The total number of MOD and industrial staff currently working on the Successor programme is around 2,000, with more than half working as engineers and designers.

Over 850 potential UK suppliers have so far been identified as benefiting from investment in the programme and as many as 6,000 people will be involved by the time that the construction reaches a peak

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 17:50
A400M : L’Allemagne compte toujours sur une livraison fin 2014

 

17.12.2013 Helen Chachaty journal-aviation.com

 

La Luftwaffe a annoncé qu’elle espérait toujours la livraison de son premier A400M pour la fin de l’année 2014, même si l’avion ne possédait pas encore toutes ses capacités.

 

Le CEMAA allemand, le Generalleutnant Karl Müllner « part du principe que le délai n’a pas besoin d’être repoussé, étant donné que les capacités minimales ne concernent qu’un nombre réduit d’avions sur un délai restreint » et qu’il n’y a donc pas d’obstacles à la mise en service du premier A400M allemand à la fin de l’année 2014 dès sa réception.

 

Le communiqué a été publié en réponse au quotidien économique allemand Handelsblatt, qui avait affirmé le 12 décembre dernier que la livraison du premier A400M pourrait être reportée à mi-2015.

 

Par ailleurs, l’armée de l’air allemande en a profité pour rappeler que les premiers équipages étaient actuellement en cours de formation sur le site d’Airbus Military à Séville et que les travaux du futur centre de formation franco-allemand de Wunstorf avançaient selon le planning établi.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 17:30
Syrie/armes chimiques: l'Italie met un port à disposition

 

MOSCOU, 16 décembre - RIA Novosti

 

L'Italie a accepté de mettre à disposition un de ses ports pour un transbordement d'armes chimiques syriennes à bord d'un navire américain chargé de les détruire en haute mer, annonce lundi la diplomatie italienne citée par les médias occidentaux.

Selon l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), les substances chimiques les plus dangereuses doivent quitter la Syrie avant le 31 décembre. Cette cargaison devrait être acheminée dans le port syrien de Lattaquié avant d'être chargée à bord du navire américain Cape Ray, chargé de la détruire en haute mer.

Un porte-parole de la diplomatie italienne s'est abstenu de dire de quel port il s'agissait.

Auparavant, l'Onu a annoncé qu'un plan détaillé de destruction d'armes chimiques syriennes à l'extérieur de la Syrie serait rendu public le 17 décembre.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 16:50
Background Information EU Council

 

Brussels - 16 December, 2013 European Defence Agency

 

Security and defence is on the agenda of the European Council of 19-20 December. EU leaders are expected to provide political guidance on the way ahead for the Common Security and Defence Policy (CSDP). Their discussion will be cover the effectiveness, visibility and impact of CSDP; capabilities and defence industry. 

 

The Common Security and Defence Policy (CSDP) is an essential tool in the foreign policy of the European Union. Since 2003, the EU has deployed some 30 missions and operations around the world. CSDP also offers the framework for enhanced cooperation among Member States by Pooling & Sharing military capabilities, the only way forward in a context of growing threats and budgetary limitations. It also supports the strengthening of the European defence industry, which is essential for the EU's strategic autonomy as well as a driver for jobs, growth and innovation. 

 

In preparation to the EU Council, the European Defence Agency made proposals for four capability programmes and their associated roadmaps in order to address critical shortfalls identified in recent operations: 

  • Air-to-Air Refuelling, with the objective of establishing a multinational fleet from 2019;

  • Remotely Piloted Aircraft Systems, with the objective of laying the foundations for a European solution in the 2020-2025 timeframe;

  • Governmental Satellite Communication, with the objective of preparing the next generation in the 2025 timeframe; 

  • Cyber Defence, with a focus on technology, training and protection of EU assets. 

 

EDA also proposed measures to back defence industry in Europe, including SMEs, by supporting research and innovation in Europe through prioritisation (list of European critical defence technologies), investment in critical technologies and greater synergies with EU instruments. More information can be found in the dedicated factsheets here below.

 

More information:

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 16:45
Des soldats de pays européens bientôt déployés en Centrafrique, annonce Fabius

 

17 décembre 2013 16h33 Romandie.com (AFP)

 

PARIS - Le chef de la diplomatie française Laurent Fabius a annoncé mardi que des soldats d'autres pays européens seraient bientôt déployés en Centrafrique où intervient déjà l'armée française.

 

Nous aurons bientôt des troupes au sol qui seront apportées par nos collègues européens, a déclaré M. Fabius à l'Assemblée nationale. Je tiens à le souligner car c'est l'une des premières fois que cela se produit, a-t-il ajouté.

 

Son ministère a confirmé que des pays européens, sans préciser lesquels, iraient au-delà d'un simple transport de troupes et s'apprêtaient à envoyer des soldats en Centrafrique. Aucune précision n'a pu être obtenue au ministère sur le nombre de pays et leur identité.

 

Lundi, à l'issue d'un Conseil européen à Bruxelles, M. Fabius avait déclaré s'attendre à ce que plusieurs pays européens annoncent dans les prochains jours un appui, qui pourrait être militaire, à l'intervention française en Centrafrique.

 

Un certain nombre de pays ont déjà décidé de nous accompagner sur le plan logistique (...) Il est probable qu'un certain nombre de pays feront davantage encore, y compris sur le plan militaire, avait déclaré M. Fabius.

 

Il avait notamment cité la Grande-Bretagne, l'Allemagne, la Belgique et l'Espagne pour avoir annoncé un soutien, notamment dans le transport de troupes et de matériels vers Bangui.

 

L'opération française Sangaris en Centrafrique a officiellement commencé le 5 décembre. Quelque 1.600 soldats français interviennent en soutien des troupes africaines (3.200 hommes à ce jour) de la force Misca pour rétablir l'ordre et la sécurité et désarmer les milices.

 

La République centrafricaine est plongée dans le chaos depuis le renversement en mars du président François Bozizé par une coalition rebelle à dominante musulmane, la Séléka.

 

Les violences ont pris un tour confessionnel entre chrétiens (80% des 4,5 millions d'habitants) et musulmans.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 13:50
photo EDA

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Claude-France Arnould, la directrice exécutive de l'Agence européenne de défense (AED), estime que l'Union européenne risque de perdre son industrie de défense si elle ne s'engage pas rapidement dans des programmes de coopération militaire concrets.

 

17-12-2013 par Emmanuel Jarry - nouvelobs.com

 

PARIS (Reuters) - L'Union européenne risque de perdre son industrie de défense si elle ne s'engage pas rapidement dans des programmes de coopération militaire concrets, déclare la directrice exécutive de l'agence européenne chargée de coordonner ces efforts.

 

Les dirigeants européens ont prévu de débattre de leur politique de défense jeudi, lors de l'ultime Conseil européen de 2013, ce qui ne s'est plus vraiment produit depuis 2005, explique Claude-France Arnould dans une interview à Reuters.

 

Les ministres de la Défense des pays membres de l'AED (les Vingt-Huit moins le Danemark) se sont accordés en novembre sur le lancement de quatre programmes de coopération prioritaires pour l'UE : ravitaillement en vol, drones de reconnaissance, communications par satellite et cyberdéfense.

 

Ils ont invité la Commission européenne à renforcer dans ces domaines les synergies entre les programmes civils et militaires pour s'appuyer sur le développement de technologies duales.

 

La patronne de l'Agence européenne de défense (AED), un organisme de 120 experts qui fête ses dix années d'existence, attend du Conseil européen "l'impulsion politique" nécessaire.

 

L'idée d'origine de l'AED est de mutualiser les moyens pour éviter que de nombreux pays lancent les mêmes programmes - de blindés, d'avions de combat ou d'hélicoptères - au moment où les budgets de la défense se réduisent, seuls la France, la Pologne et le Royaume-Uni étant proches, dans l'Union européenne, de l'objectif d'y consacrer environ 2% de leur PIB.

 

Claude-France Arnould souhaite que l'on se concentre désormais sur les programmes d'avenir dans l'espoir d'enclencher une dynamique vertueuse dans les autres domaines.

 

"Nous attendons un engagement des chefs d'Etat et de gouvernement sur les quatre programmes", explique-t-elle. "Pour qu'ils deviennent une réalité, des arbitrages nationaux doivent être faits en ce sens et les ressources allouées."

 

PRÉPARER L'AVENIR

 

Elle ne cache pas que l'évaluation de leur coût et de leur financement constitueront une difficulté et un enjeu de la discussion mais récuse l'idée, défendue par la Commission européenne, qu'il soit possible de "faire plus avec moins".

 

"Personne ne peut sérieusement considérer que le contexte stratégique dans lequel nous sommes nous permet de réduire nos moyens de sécurité et de défense" dit-elle.

 

"Il y a un message très clair du partenaire américain : 'soyez capable de faire votre part en matière de défense et ne comptez plus sur nous pour le faire à votre place, c'est-à-dire pour fournir 80% des capacités de ravitaillement en vol ou de renseignement'", ajoute-t-elle.

 

Il ne s'agit pas d'ignorer la crise financière et ses conséquences mais de donner une priorité à la "préparation de l'avenir", fait encore valoir la directrice de l'AED.

 

Elle invite les dirigeants européens à tenir compte de l'apport de l'industrie de défense à l'emploi, la croissance et d'innovation : 750.000 emplois directs et indirects dans l'UE, dont la suppression serait une perte d'"autonomie stratégique".

 

"Le drame serait de se réveiller de la crise financière guéris mais en ayant perdu entre-temps toute notre capacité industrielle et technologique de défense", explique la directrice de l'AED, selon qui cela ne manquera pas de se produire "si l'on continue sur la tendance actuelle".

 

"Le cri d'alarme des industriels est vraiment à prendre tout à fait au sérieux. Pour certains d'entre eux, la solution c'est de quitter le secteur de la défense", ajoute-t-elle.

 

Le président exécutif d'EADS, Thomas Enders, a d'ores et déjà prévenu que le groupe aéronautique européen ne pourrait "faire l'économie (...) de suppressions d'emplois" dans ses filiales de l'industrie de défense.

 

Pour Claude-France Arnould, une condition du succès des programmes de coopération est qu'ils bénéficient à l'ensemble des Etats membres - une allusion à la Pologne, notamment, très soucieuse de l'avenir de sa propre industrie de défense.

 

INCITER À LA COOPÉRATION

 

Mais si la survie d'une industrie de défense européenne - et de l'idée d'Europe de la Défense - passe par cette coopération sur des programme concrets, "on n'y arrivera pas sans incitation financière", ajoute la directrice de l'AED.

 

Elle attend donc des Vingt-Huit qu'ils se penchent jeudi sur "les éléments financiers et fiscaux qui peuvent inciter à la coopération" et qu'ils donnent mandat au Haut représentant de l'UE pour les Affaires étrangères, à l'AED ou à la Commission européenne d'en étudier les modalités.

 

Selon Claude-France Arnould, les conclusions du Conseil européen pourraient évoquer un tel mandat.

 

Elle cite parmi les pistes envisageables des exonérations de TVA pour les programmes de coopération ou la constitution d'un "pool" pour l'acquisition d'équipements de défense.

 

"Il faut un vrai examen de ce qui est possible avec une clause de rendez-vous devant les chefs d'Etat et de gouvernement à aussi court terme que possible", ajoute Claude-France Arnould, selon qui il faut "faire travailler ensemble les communautés de la défense et des finances" sur ce dossier.

 

Cette coopération suppose aussi un effort de rationalisation et d'harmonisation des besoins des pays de l'UE qui, jusqu'ici, ne va pas nécessairement de soi - il y aurait ainsi 23 versions différentes de l'hélicoptère de transport NH90.

 

"Il ne faut pas recommencer ce qu'on a fait pour l'avion de combat, avoir trois rivaux européens (le Rafale français, le Gripen suédois et l'Eurofighter Typhoon) en compétition avec le F16 et le F35 américains", souligne Claude-France Arnould.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 08:50
De nombreux emplois d’ingénieur aéronautique menacés dans les prochaines années

 

16.12.2013 Mariama Diallo - journal-aviation.com

 

Alors que l’industrie aéronautique prévoit de recruter 15 000 personnes en 2013 du fait de l’augmentation des cadences de production, les sociétés d’ingénierie et bureaux d’études aéronautiques sont confrontés à une baisse d’activité significative.

 

En cause, la fin des phases de conception des grands programmes d’Airbus : Airbus A380, A350, A320neo et l’A400M, l’avion de transport militaire d’Airbus Military. Tous ces programmes, développés au cours des dix dernières années, ont nécessité des investissements colossaux en recherche et développement (R&D). Les nouveaux programmes, A350-900, A320neo et A350-1000, doivent respectivement entrer en service au second semestre 2014, fin 2015 et fin 2017.

 

Mis à part des travaux d’amélioration et d'optimisation récurrents, ces programmes ne nécessitent plus le même niveau d'investissement en recherche et développement. Airbus et ses sous-traitants, qui cherchent à améliorer les process d’industrialisation, se tournent plutôt vers des profils d’ingénieur production.

 

La région Midi-Pyrénées, fief du groupe EADS et d’Airbus, est la plus concernée. Actuellement les entreprises du secteur de l’ingénierie et des bureaux d’études aéronautiques de la région comptent 20 000 emplois selon les chiffres du comité stratégique de filière régionale. Des milliers d’emplois d’ingénieurs bureaux d’études sont menacés.

 

Face à cette situation alarmante, Martin Malvy, président de la Région Midi-Pyrénées, a annoncé mercredi 11 décembre qu'il demandera dans les prochains jours au préfet de Région d’organiser dans les meilleurs délais une table ronde réunissant tous les acteurs concernés du secteur, à laquelle la Région s’associera.

 

« L’absence de nouveaux programmes d’avion avant l’horizon 2020 constitue une nouvelle donne. J’ai déjà eu l’occasion de l’exprimer lors de la dernière assemblée générale du pôle Aerospace Valley. Cette situation peut aussi poser à terme la question du maintien de compétences clés dont nous aurons besoin pour concevoir demain les systèmes et les programmes innovants de nos futurs avions. C’est donc un enjeu important qu’il faut aborder sans tarder avec tous les acteurs concernés », a déclaré M. Malvy dans un communiqué.

 

Des sociétés sous-traitantes d’Airbus à l’image d’Altran sud-ouest auraient déjà commencé à prendre des mesures, rapporte Les Echos. Cette entreprise d’ingénierie aurait prévu de se séparer de 500 de ses 2 000 consultants dans les deux ans et pousse fortement à la mobilité géographique, révèle le journal économique.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 08:50
Not flashy but effective: Closer EU co-operation in defence investments

 

13 December 2013 by Clara Marina O'Donnell * - cer.org.uk

 

This month, European leaders will discuss how to strengthen EU military co-operation. It is the first time that defence has been on the European Council’s agenda since 2008 and EU officials had hoped the member-states would unveil bold initiatives to stem the deterioration of their armed forces. But governments remain wary of ambitious joint efforts in defence. So the best that can be hoped for is that the Council will endorse EU military reforms which are relatively modest, but easier for member-states to support. One of these should be closer co-operation in regulating private investments in European defence companies – somewhat technical and unspectacular but nonetheless useful.

European governments acknowledge that the case for EU defence collaboration is even stronger today than it was when France and the UK launched the Common Security and Defence Policy (CSDP) fifteen years ago: the US will not always be able or willing to help Europeans stem violence in their neighbourhood, so European states must be capable of upholding regional security alone. And EU countries could save money through closer co-operation amongst their armed forces, and by more integration between their fragmented defence markets.

Over the last decade and a half, however, EU states have often disagreed about which parts of their neighbourhood threatened their security and how to respond. Many governments have been averse to putting their troops in danger. They have also been wary of pooling military capabilities without knowing where or how the equipment would be used. And since the outbreak of the economic crisis, governments have also worried that voters would be angry if they funded large joint equipment programmes when ministries of defence are cutting civilian and military personnel.

As a result, EU defence co-operation has struggled. Member-states have deployed under the EU flag 29 times. But many of the missions have been civilian operations. At times, the security restrictions EU states have imposed on their personnel have hampered operations’ effectiveness. Recently, for example, some of the staff from an EU mission designed to help the Libyan authorities improve border security were evacuated to Malta because of concerns about their safety.

The EU published a security strategy in 2003 (and updated it in 2008) in which governments committed to tackle global threats together. But member-states have not paid the strategy enough attention or based national defence planning on it. The European Defence Agency (EDA) has helped member-states improve some of their capabilities, by providing helicopter pilot training for example. But EU countries continue to do much of their maintenance and logistics alone. The EU has introduced rules to make it easier for governments to use competition to drive down prices when buying defence equipment, and to reduce the bureaucracy needed to send military equipment to the armed forces of another member-state. But many equipment programmes are still inefficiently duplicated across the EU. For example, according to the European Commission, there are 11 suppliers of frigates in the EU. Even Europe’s largest defence companies remain relatively small, limiting their ability to reduce costs through economies of scale and to be more innovative. The average American aerospace firm is over 20 times bigger than top EU companies. The challenge for the EU is to find the sweet spot between an oligopoly of suppliers who can raise prices at will, and a proliferation of niche manufacturers serving national markets, whose high unit prices reflect short production runs.

If EU governments want to boost their contribution to international security without increasing their defence spending, they will have no choice but to overcome their various aversions to closer European co-operation. As the CER’s Ian Bond argues, member-states ought to base their co-operation on a common security strategy. Otherwise they will continue to disagree on where to deploy, and refuse to own military equipment in common. But as the last 15 years attest, it will take time for EU states to forge a common military culture. So in the meantime, EU governments should exploit those collaborative measures which are relatively easy to introduce.

One example would be harmonising the system for regulating domestic and foreign investments in their defence companies. Large shareholders can influence a firm’s decisions and access sensitive information, so government checks on investors are essential to national security. But rigid and excessive state controls can unnecessarily restrict the ability of European defence firms to access capital. In France, an EU country with particularly cumbersome controls, the government can investigate attempts by foreign investors to acquire more than a 33 per cent stake in any French defence firm. The state also controls its defence industry through golden shares – enabling it to bloc acquisitions of more than 10 per cent of shares in Thales. And the government itself is a large, and sometimes exclusive, shareholder in several defence firms. In contrast in Sweden, where investment safeguards are lighter, the state has no equity or golden shares in Swedish defence companies. According to former US official Jeffrey Bialos, foreign investors need merely to receive the government’s approval in order to buy a Swedish defence firm (and the CEO must remain Swedish).

As the CER has argued in the past, EU states could streamline their controls on investments in defence companies by relying primarily on ministerial committees instead of inflexible rules and government ownership. As these committees draw on advice from officials and independent experts to examine investment requests on a case by case basis, they reduce the risk of blocking investors unnecessarily.

As a safeguard for the interests of other member-states, EU governments could also make it a legal requirement to consult each other before accepting a sizeable domestic or foreign investment in one of their defence firms. An investment in one EU state could adversely affect another country’s security of supply. For example, the German army might rely on radios produced by a company in Sweden. Deployed German troops could be put at risk if new owners of a Swedish firm decided to stop producing such equipment. The six European countries with the largest defence budgets are already committed to consult each other on such matters. And the EDA has been encouraging all EU member-states to do so. But according to EU officials, governments still rarely check with their neighbours. Legally-binding commitments would change that.

In preparation for the European Council, the European Commission has proposed that it should identify shortfalls in national controls on defence industries and explore options for an EU-wide monitoring system for investments. EU heads of state and government should encourage the Commission to pursue its proposal in close co-operation with the EDA, in order to avoid any duplication of efforts.

Not all European governments yet feel ready to jointly own fleets of drones, or rely on other countries to provide minesweepers for the entire EU. But it would be a missed opportunity if leaders did not use the December European Council to improve the workings of the European defence market in ways that do not require large sums of money or even shared security priorities.

 

* Clara Marina O’Donnell is a senior fellow at the Centre for European Reform and a non-resident fellow at the Brookings Institution

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 08:45
Conclusions du Conseil sur la République centrafricaine

 

Bruxelles, 16 décembre 2013 - Conseil Affaires Etrangères – Conseil de l’Union Européenne

 

Le Conseil a adopté les conclusions suivantes:

 

1. L’Union européenne (UE) est extrêmement préoccupée par la crise en République centrafricaine (RCA) qui s'est dégradée de jour en jour avec des effets catastrophiques pour la population. L'insécurité et les violations massives de droits de l’Homme et du droit international humanitaire sont omniprésentes. La situation humanitaire est alarmante. L’accroissement d’une dimension interconfessionnelle et ethnique dans les affrontements est de plus en plus inquiétante. Dans ce contexte, l'UE salue l'intervention de la France en appui à la Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (MISCA) conformément à la résolution 2127 (2013) du Conseil de sécurité des Nations unies (CSNU).

 

2. L’UE réitère que la responsabilité première de protection des populations incombe aux autorités de transition de RCA. Tout doit être mis en œuvre pour rétablir sans délai la sécurité et l’ordre publics et pour protéger les populations civiles. L’UE fait appel aux autorités de transition, aux groupes armés, aux leaders communautaires et à l’ensemble des Centrafricains pour faire preuve de retenue et ne pas entrer dans un cycle d’attaques et de représailles violentes, et salue le rôle modérateur des autorités religieuses.

 

3. L’UE est particulièrement alarmée par les graves atteintes et violations des droits de l’Homme et du droit international humanitaire, ainsi que par l’impunité généralisée qui prévaut dans le pays. Elle condamne l’ensemble des exactions, dont les exécutions sommaires, arrestations et détentions arbitraires, cas de torture, recrutement et emploi d'enfants par les groupes armés, violences sexuelles et disparitions forcées. L’UE exhorte tous les groupes armés à mettre fin sans délai au recrutement et l'emploi d'enfants par des groupes armés. Une attention particulière doit être apportée a la protection, à la libération et à la réintégration de tous les enfants associes aux groupes et forces armés.

 

4. L'UE souligne que tous les auteurs des violations des droits de l'Homme et du droit international humanitaire, y compris les leaders de l’Armée de résistance du Seigneur, devront en répondre devant la justice. Elle rappelle que la RCA a ratifié le Statut de Rome et que les actes qui constituent des crimes contre l'humanité et des crimes de guerre relèvent de la compétence de la Cour pénale internationale. L'UE encourage la mise en place rapide de la commission d'enquête internationale, prévue par la résolution 2127 (2013) du CSNU, chargée d'enquêter sur les violations du droit international humanitaire et du droit international des droits de l'Homme et d’atteintes aux droits de l’Homme perpétrées en RCA par toutes les parties depuis le 1er janvier 2013.

 

5. L’UE reste alarmée par la crise humanitaire de plus en plus dramatique. L’UE et ses Etats Membres ont triplé leur assistance humanitaire depuis 2012 - plus de 60 M€ déjà en 2013. Ils resteront fortement mobilisés pour répondre à l’urgence et accompagner la sortie de crise du pays. L’UE fait appel à toutes les parties à assurer l’accès libre et en toute sécurité de l’aide humanitaire dans le plein respect des principes humanitaires internationaux. Le Conseil salue l’initiative conjointe de la Commission européenne et de la secrétaire générale adjointe des Nations unies chargée des affaires humanitaires, coordonnatrice des secours d’urgence, de convoquer une réunion à haut niveau sur la situation humanitaire en Centrafrique le 20 janvier 2014.

 

6. Face à la gravité de cette crise, au déplacement de personnes et au flux croissant de réfugiés, il est impératif d’agir pour contribuer à une sortie rapide de ce conflit qui pose un risque éventuel aux voisins de la RCA et à la région plus large. L’UE se félicite des résolutions 2121 (2013) et 2127 (2013) du CSNU ainsi que des résolutions du Conseil des droits de l’Homme relatives à la RCA. Le rétablissement de la sécurité, de l’Etat de droit et de la gouvernance démocratique pour tous les habitants de la RCA reste l’objectif primordial de l’engagement international, y compris de l’UE.

 

7. Dans le cadre d’une approche globale, le Conseil affirme la disponibilité de l’UE à examiner l’utilisation des instruments pertinents pour contribuer aux efforts en cours visant à la stabilisation du pays, y compris dans le cadre de la Politique de Sécurité et de Défense Commune (PSDC), dans ses deux dimensions militaire et civile. Lorsque les conditions sécuritaires seront suffisamment stables, un appui dans le domaine de la réforme du secteur de la sécurité (RSS) devra également être examiné, pour garantir un règlement durable de la crise.

 

8. L’UE apporte son plein appui à l’action déterminée de ses partenaires africains qui ont su, parmi les premiers, prendre la mesure des risques et qui ont décidé d’y répondre afin de favoriser une stabilisation rapide de la situation : l’Union africaine (UA), la Communauté économique des Etats d’Afrique centrale (CEEAC), y compris à travers la MICOPAX, et leurs Etats membres. L’UE les invite à poursuivre leur engagement pour que la MISCA puisse rapidement atteindre ses capacités opérationnelles. A cet égard, l'UE mobilise un financement à hauteur de 50 M€ en faveur de la MISCA à travers la Facilité de paix pour l’Afrique. L’UE soutient le projet de l’UA d'organiser rapidement une conférence de donateurs notamment sur la MISCA, comme le prévoit la résolution 2127 (2013) du CSNU.

 

9. L’UE souligne l’importance de maintenir une forte mobilisation internationale pour répondre à la crise en RCA, et apprécie l’engagement continu des Nations unies (NU) y compris sur place à travers le Bureau intégré de l’Organisation des Nations unies pour la consolidation de la paix en République centrafricaine (BINUCA). Elle salue la déclaration de Bangui publiée à l’issue de la troisième réunion du Groupe international de contact sur la RCA le 8 novembre à Bangui et invite ce groupe à poursuivre ses efforts dans ce sens, en lien avec les Nations Unies et la médiation de la CEEAC. L’UE salue toutes les initiatives en faveur d’un dialogue interconfessionnel et de la réconciliation, ainsi que la signature par les autorités de transition du Pacte républicain à Bangui, le 7 novembre 2013. Elle demande à tous les acteurs de s’engager dans un processus de dialogue et de réconciliation nationale pour apaiser et surmonter les tensions intercommunautaires qui menacent la cohésion sociale du pays. L'UE fait également appelle aux autorités de transition à garantir la participation effective des femmes au processus de transition, conformément à la résolution 1325 (2000) du CSNU.

 

10. L’UE appelle les autorités de transition à travailler ensemble, ainsi qu’avec les partis politiques et la société civile, de manière inclusive et de bonne foi, pour conduire le processus de transition à son terme, conformément à l’accord de Libreville du 11 janvier 2013, à la déclaration de N’Djamena du 18 avril 2013, à l’appel de Brazzaville du 3 mai 2013, et à la déclaration de Bangui du 8 novembre 2013. Elle les incite à ne ménager aucun effort pour faire avancer le processus politique dans la perspective d’élections et du retour à l’ordre constitutionnel d’ici février 2015. Dans cette perspective, elle exhorte les autorités de transition à mettre rapidement en place l’Autorité nationale des élections et à œuvrer en faveur d’un redéploiement de l’administration civile.

 

11. Malgré l'instabilité qui y prévaut depuis un an, l'UE reste le seul partenaire majeur de développement à maintenir sa coopération en RCA pour répondre aux besoins de la population. Dans ce contexte, elle mobilise 23 M€ (du 10ème FED) pour renforcer les projets prêts à redémarrer dès que les conditions sécuritaires le permettront, en plus d’un programme de 10 M€ pour appuyer la stabilisation du pays. Le Conseil marque son plein soutien à l’action résolue de la Commission européenne. L'UE se prépare par ailleurs à accompagner le processus de transition en vue de restaurer les institutions démocratiques et contribuer à la fourniture des services sociaux de base aux populations."

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16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 17:55
Arianespace commande pour 2 milliards d'euros de fusées à Astrium

 

 

14/12/2013 latribune.fr

 

Le constructeur spatial a signé ce 14 décembre, en présence de François Hollande, un contrat prévoyant la livraison de 18 Ariane 5 à Arianespace. Ce n'est que la concrétisation d'un accord passé en septembre dernier.

 

Grosse commande pour le constructeur de fusées Astrium: l'opérateur Arianespace a signé ce 14 décembre un contrat portant sur l'achat de 18 lanceurs Ariane 5 supplémentaires, pour un montant total de plus de deux milliards d'euros. Ils doivent être lancés à partir de 2017, et vont s'ajouter aux 35 qui avaient déjà été commandés en 2009, a précisé Astrium.

"Au terme d'une année record en prises de commandes, ce contrat garantit la pérennité de la filière Ariane tout en améliorant sa compétitivité: c'est donc un acte fort de confiance en l'avenir qui nous permettra d'offrir à nos clients le service le mieux adapté à leurs besoins", a commenté Stéphane Israël, PDG d'Arianespace, cité dans le communiqué publié ce samedi.

Cette signature de contrat avait été annoncée sur Twitter dès septembre par Stéphane Israël.

>> EADS empoche un gros chèque de deux milliards d'euros pour la fabrication de 18 Ariane 5

Just signed LLIs with Astrium for 18 more Ariane 5 launchers. Much like our customers, Arianespace trusts Ariane 5! pic.twitter.com/Xg54nIv5yz

- Stéphane Israël (@arianespaceceo) 17 Septembre 2013

Un accord-cadre officiel dès septembre

Ce samedi, le PDG a une nouvelle fois tweeté:

Arianespace assures the continuity with #Ariane5: Just signed final contract for 18 more heavy-lifters from @Astrium pic.twitter.com/VYvmSGDfCs

- Stéphane Israël (@arianespaceceo) 14 Décembre 2013

Comme l'a rappelé Arianespace, un accord-cadre avait en effet été signé en septembre dernier permettant à "Astrium et à ses partenaires industriels d'engager les approvisionnements à long terme et les premières activités de production des lanceurs additionnels". Des sources industrielles avaient indiqué à l'époque à l'AFP qu'un protocole d'approvisionnement de près de 400 millions d'euros avait été signé entre les deux sociétés, en prévision d'une signature du contrat de commande de 18 lanceurs en décembre.

"Pour Arianespace, cette commande porte à 38 le nombre de lanceurs Ariane 5 en cours de production ou à produire", a précisé la société samedi. "Elle garantit aux clients de l'opérateur européen la pérennité de son offre de service de lancement au Centre Spatial Guyanais jusqu'à la fin de la décennie".

 

5,8 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2012

Astrium est le maître d'œuvre de la fusée européenne Ariane. Cette filiale du groupe EADS est le numéro un européen des technologies spatiales. Elle a réalisé en 2012 un chiffre d'affaires de plus de 5,8 milliards d'euros. Astrium doit fusionner l'année prochaine avec la division défense d'EADS, sous le nom de Airbus Defense and Space.Arianespace, qui réalise plus de la moitié des lancements de satellites commerciaux dans le monde, exploite aussi les fusées Soyouz et Vega depuis le centre de Kourou, en Guyane française.

 

LIRE AUSSI:

>> Espace: ça plane pour Arianespace

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16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 17:50
Une société gantoise va démanteler six navires de guerre français

 

 

16 décembre 2013 RTBF.be (Belga)

 

    La Marine nationale française a confié le marché de "déconstruction" de six de ses anciens escorteurs d'escadre, avisos-escorteurs et avisos à la société belge Galloo Gent (anciennement Van Heyghen Recycling) et appartenant au groupe franco-belge Galloo, a indiqué le ministère français de la Défense.

 

    Le chantier de déconstruction de la société se situe à Gand, a précisé le ministère sur son site internet, sans fournir de précision sur le montant du contrat.

 

    Le marché a été notifié le 11 décembre et son entrée en vigueur est intervenue vendredi dernier.

 

    Il concerne le démantèlement des ex-escorteurs de type T47 "Duperré" et "La Galissonnière", des ex-avisos de type A69 "Détroyat" et "Jean Moulin" et des ex-avisos-escorteurs "EV Henry" et "Cdt Rivière". Ils ont tous été désarmés entre 1990 et 1999.

 

    Quatre des coques se trouvent actuellement à Landévennec, près de Brest, dans le département du Finistère (ouest de la France) "en mouillage d'attente" dans une sorte de "cimetière à bateaux", une est en attente dans le port de Toulon (sud) et la dernière sert de brise lames à l'école navale de Lanvéoc-Poulmic (Finistère).

 

 

  "Dans une approche de développement durable, la Marine a choisi une politique de démantèlement pour le traitement de ses bâtiments retirés du service actif. Ce marché s'inscrit dans ce cadre et dans le strict respect de la réglementation, de la protection des travailleurs et de l'environnement, sans pour autant renoncer à la performance économique", souligne le communiqué du ministère de la Défense.

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16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 17:50
Galileo achieves its first airborne tracking

 

 

December 16th, 2013 By EuropeAerospace - defencetalk.com

 

ESA’s Galileo satellites have achieved their very first aerial fix of longitude, latitude and altitude, enabling the inflight tracking of a test aircraft. ESA’s four Galileo satellites in orbit have supported months of positioning tests on the ground across Europe since the very first fix back in March.

 

Now the first aerial tracking using Galileo has taken place, marking the first time ever that Europe has been able to determine the position of an aircraft using only its own independent navigation system.

 

This milestone took place on a Fairchild Metro-II above Gilze-Rijen Air Force Base in the Netherlands at 12:38 GMT on 12 November.

 

It came as part of an aerial campaign overseen jointly by ESA and the National Aerospace Laboratory of the Netherlands, NLR, with the support of Eurocontrol, the European Organisation for the Safety of Air Navigation, and LVNL, the Dutch Air Navigation Service Provider.

 

A pair of Galileo test receivers was used aboard the aircraft, the same kind currently employed for Galileo testing in the field and in labs across Europe. They were connected to an aeronautical-certified triple-frequency Galileo-ready antenna mounted on top of the aircraft.

 

Tests were scheduled during periods when all four Galileo satellites were visible in the sky – four being the minimum needed for positioning fixes.

 

The receivers fixed the plane’s position and, as well as determining key variables such as the ‘position, velocity and timing’ accuracy, time to first fix, signal to noise ratio, range error and range-rate error.

 

Testing covered both Galileo’s publicly available Open Service and the more precise, encrypted Public Regulated Service, whose availability is limited to governmental entities.

 

Flights covered all major phases: take off, straight and level flight with constant speed, orbit, straight and level flight with alternating speeds, turns with a maximum bank angle of 60+ , pull-ups and push-overs, approaches and landings.

 

They also allowed positioning to be carried out during a wide variety of conditions, such as vibrations, speeds up to 456 km/h, accelerations up to 2 ghorizontal and 0.5-1.5 gvertical, and rapid jerks. The maximum altitude reached during the flights were 3000 m.

 

NLR’s Fairchild Metro-II is something of a satnav veteran, having previously performed initial European GPS testing back in the 1980s and the first tests of the European Geostationary Navigation Overlay Service, EGNOS, which sharpens GPS accuracy and monitors its reliability over Europe for high-accuracy or even ‘safety-of-life’ uses.

 

The definition and development of Galileo’s in-orbit validation phase were carried out by ESA and co-funded by ESA and the EU.

 

The Full Operational Capability phase is managed and fully funded by the European Commission. The Commission and ESA have signed a delegation agreement by which ESA acts as design and procurement agent on behalf of the Commission.

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16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 14:50
EU Common Security and Defence Policy in action

13 déc. 2013 European External Action Service (EEAS)

 

VIDEO AVAILABLE IN ALL 24 EU LANGUAGES (CLICK ON CAPTIONS)

The Common Security and Defence Policy (CSDP) is an essential tool in the foreign policy of the European Union. Since 2003, the EU has deployed some 30 missions and operations around the world. Taking the Horn of Africa as an illustration, this film highlights the contribution of CSDP to the EU's comprehensive approach to crisis management and how the CSDP translates into action on the ground. CSDP also offers the framework for enhanced cooperation among Member States by Pooling and Sharing military capabilities, the only way forward in a context of growing theats and budgetary limitations. It also supports the strengthening of the European defence industry, which is essential for the EU's strategic autonomy as well as a driver for jobs, growth and innovation.

For more information on the CSDP visit the website of the EU's European External Action Service, http://eeas.europa.eu/csdp/index_en.htm.

 

Note RPDefense : visit EDA (European Defence Agency) website too !

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16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 13:50
Crédit : SIRPA Terre

Crédit : SIRPA Terre

 

 

16/12/2013 Armée de Terre

 

Strasbourg. Quartier Aubert de Vincelles. Du 24 novembre au 8 décembre 2013, 900 soldats de 14 nations différentes ont participé activement à l’exercice Joint Spirit 13 organisé par l’Eurocorps.

 

Initié en 2013, Joint Spirit recouvre un cycle de 5 exercices de validation, qui se terminera en novembre 2014.

 

Objectif : entraîner et évaluer la capacité de l’Eurocorps à commander un groupement tactique interarmées dans un cadre multinational sous mandat de l’ONU.

 

Une phase de certification indispensable afin de répondre au besoin de l’OTAN de disposer de plus d’états-majors d’un niveau opérationnel. Grâce à cette certification, l’Eurocorps sera en mesure de gérer le déploiement de troupes non seulement terrestres mais aussi navales et aériennes.

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16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 13:50
photo Laurence Chaperon

photo Laurence Chaperon

 

BERLIN, 16 décembre - RIA Novosti

 

Ursula von der Leyen est devenue la première femme ministre de la Défense en Allemagne dans le troisième gouvernement d'Angela Merkel, rapporte lundi le correspondant de RIA Novosti à Berlin.

 

Médecin de formation, Mme Leyen, 55 ans, avait occupé le poste de ministre de l'Emploi dans le gouvernement sortant.

 

Au cours d'un référendum interne tenu près de trois mois après les élections du 22 septembre, 76 % des adhérents du Parti social-démocrate (SPD) ont finalement donné leur feu vert samedi à la coalition avec l'Union chrétienne-démocrate (CDU) d'Angela Merkel et son aile bavaroise, la CSU. Mardi, la chancelière sera formellement réélue par le Bundestag pour un troisième mandat de quatre ans.

 

Dimanche, les partis ont dévoilé le gouvernement. La chancelière Merkel a alors conservé son ministre des Finances Wolfgang Schäuble, dont le nom est associé selon elle "à la stabilité de l'euro et à tout ce qui est important en Europe". Frank Walter Steinmeier (SPD) a occupé le poste de ministre des Affaires étrangères, tandis que Sigmar Gabriel, président du SPD, a pris le ministère de l'Economie.

 

Parmi les autres portefeuilles attribués dimanche soir, l'ancien ministre de la Défense, Thomas de Maizière, passe à l'Intérieur, un poste qu'il a déjà occupé par le passé. L'ancien secrétaire général de la CDU Hermann Gröhe prend en charge le ministère de la Santé, alors que Joanna Wanka reste ministre de l'Education.

 

Peter Altmaier, remplacé par une sociale-démocrate à l'Environnement, devient ministre en charge de la Chancellerie.

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