Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 13:45
Serval : point de situation du 12 décembre 2013

 

13/12/2013 17:04 Sources : EMA

 

Point sur les opérations de la force Serval depuis le jeudi 5 décembre 18h00 jusqu’au jeudi 12 décembre, 18h00

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec environ 90 sorties, dont environ 30 effectuées par les avions de chasse. 40 de ces sorties ont été dédiées aux missions de transport et 20 aux missions de ravitaillement et de renseignement.

 

Depuis le 6 décembre, le GTIA Korrigan poursuit ses missions de sécurisation en menant des  patrouilles dans la région de Gao et dans l’ensemble du Nord de la boucle du Niger.

 

Le 7 décembre 2013, sur le camp d’entraînement de Koulikoro,  a eu lieu la cérémonie de fin de formation du groupement tactique interarmes (GTIA) malien baptisé Sigui, « les buffles » en langue tamashek. Il s’agit du troisième bataillon malien à être formé par la mission EUTM Mali, après le GTIA Waraba et le GTIA Elou. La cérémonie, présidée par le général Mahamane Touré, chef d’état-major général des armées (CEMGA) malien et le général Bruno Guibert, commandant la mission européenne d’entrainement au Mali (EUTM Mali), s’est déroulée en présence des plus hautes autorités militaires maliennes des autorités civiles et militaires des missions internationales en place au Mali. Le GTIA Sigui a effectué une formation d’une durée de 10 semaines dans le cadre d’EUTM Mali,  qui s’est achevée lors d’un exercice de synthèse conduit du 2 au 4 décembre 2013, dans la région de Koulikoro.

 

Le 9 décembre, le bataillon tchadien de la MINUSMA appuyé par son détachement de liaison et d’appui (DLA) a mené une patrouille à une trentaine kilomètres au nord-ouest de Tessalit. En tout, trois sections renforcées de véhicules blindés ont pris part à cette mission, soit une vingtaine de véhicules.

 

A quelques jours du second tour des élections législatives, ces opérations, au même titre que celles qui sont régulièrement menées, contribuent à établir un niveau de sécurité permettant le bon déroulement de ce processus électoral. Les forces de sécurité maliennes assureront la sécurisation de ce scrutin, appuyées par les forces de la MINUSMA et, si besoin, par la force Serval.

 

Environs 2800 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

Serval : point de situation du 12 décembre 2013Serval : point de situation du 12 décembre 2013
Serval : point de situation du 12 décembre 2013
Partager cet article
Repost0
16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 12:50
Douloureuse gestation pour Airbus Group

 

 

15 décembre 2013 par Pierre Sparaco – Aerobuzz.fr

 

Le couperet est tombé, EADS se prépare à supprimer 5.800 emplois à travers « ses » quatre pays, Allemagne, France, Royaume-Uni et Espagne. Le prix à payer, non pas pour éliminer des branches mortes – il n’y en a pas - mais pour mettre les capacités industrielles en adéquation avec la demande. Laquelle est plus vigoureuse que jamais en matière d’avions civils mais sérieusement fragilisée côté militaire, et un peu moins dans le spatial. Cassidian, Airbus Military et Astrium sont directement impactés.

 

Depuis que Thomas Enders, PDG du groupe, a confirmé ces mesures, chacun est tout simplement dans son rôle. Les dirigeants de l’entreprise montrent à quel point ils se veulent performants et proches des réalités, les syndicats expriment leur profond mécontentement face à un comportement « économiquement aberrant (…) et socialement inacceptable ». En revanche, de part et d’autre, on dit trop peu qu’il convient de relativiser l’impact de cet élagage, compte tenu de l’effectif total actuel d’EADS, 144.156 personnes. Dès lors, il est probable que les licenciements secs puissent être évités et les dégâts sociaux minimes.

 

En pratique, c’est le futur Airbus Group qui se façonne sous nos yeux, déséquilibré dans la mesure où il ne trouve pas les moyens de construire un bon équilibre entre activités civiles et militaires. Les avions commerciaux se portent bien, avec plus de 1.200 commandes enregistrées depuis janvier et 620 livraisons prévues pour l’ensemble de l’année 2013. Dans le même temps, les budgets militaires sont à la peine, les perspectives ne sont pas bonnes et la construction de l’Europe de la Défense demeure une illusion d’optique. En témoigne, notamment, le fiasco en matière de drones : la technologie est disponible mais les différents acteurs sont incapables de s’entendre, exception faite du démonstrateur Neuron.

 

Le cours de l’histoire serait-il différent, aujourd’hui, si EADS avait pu mettre la main sur BAE Systems ? On peut l’estimer et on imagine que Thomas Enders y pense chaque fois qu’il croise Angela Merkel. La chancelière, obsédée par le risque supposé de perte d’influence de l’Allemagne au sein de l’entreprise quadrinationale, et sans doute mal conseillée, a commis une erreur grave en opposant un « nein » retentissant au projet de fusion EADS/BAE. Lequel veto, ce jour-là, nous a rappelé que les ingérences politiques dans la gouvernance d’EADS sont toujours bien réelles. En ont témoigné, cette semaine, des déclarations de plusieurs ministres français, pourtant peu réputés pour leurs compétences aéronautiques et spatiales, notamment Michel Sapin et Arnaud Montebourg. Ils auraient mieux fait de se taire mais, de toute manière, personne ne les a écoutés.

 

Dans le même temps, les esprits critiques dénoncent, comme il se doit, une politique de rentabilité à outrance, ce qui ne correspond pourtant pas à la réalité. Certes, en prenant pour référence les trois premiers trimestres de l’année, le résultat net d’EADS a fait un bond en avant de 36 % mais il atteint ainsi un niveau à peine convenable. Un bénéfice sur 9 mois de 1,19 milliards d’euros n’est impressionnant que dans l’absolu et l’est beaucoup moins quand on le rapporte à un chiffre d’affaires, toujours pour trois trimestres, de 40 milliards. D’autant que d’autres sujets d’inquiétude apparaissent, par exemple les ventes d’Eurocopter moins brillantes que précédemment.

 

Cette préparation de l’Airbus Group conduit à tourner la page, à aborder une époque nouvelle, comme en témoigne symboliquement la construction du nouveau siège de Blagnac et la fermeture annoncée de l’immeuble du 37 boulevard de Montmorency, dans le seizième arrondissement parisien, murs chargés d’histoire depuis l’époque des premières sociétés nationales françaises, SNCASE, Sud-Aviation, Aerospatiale puis les regroupements contemporains, à commencer par la mise en place d’Aerospatiale Matra Hautes Technologies. Tout cela est maintenant terminé.

Partager cet article
Repost0
15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 11:50
source BBC

source BBC

 

MOSCOU, 13 décembre - RIA Novosti

 

L'Otan n'a pas rempli une seule des conditions posées par Moscou concernant le déploiement du système de défense antimissile en Europe, a déclaré le représentant de la Russie auprès de l'Alliance Alexandre Grouchko.

 

"Le dispositif qui sera mis en place en tant qu'élément du système mondial de défense antimissile - et je parle du segment européen de ce système - doit être proportionné aux menaces réelles, qui ne sont plus évidentes, car le problème iranien est résolu. Ce dispositif ne doit pas être physiquement capable d'intercepter les armes de dissuasion nucléaires russes. Ces deux conditions sont fondamentales pour notre coopération avec les Etats-Unis et l'Otan en matière de défense antimissile. Aucune d'entre elles n'est pour le moment remplie", a déclaré M. Grouchko.

 

Selon le diplomate, "ni un dialogue ni, à plus forte raison, une coopération ne seront possible dans le cadre du Conseil Russie-Otan tant que nos partenaires ne fourniront pas de garanties juridiques contraignantes attestant que le système en gestation ne sera pas en mesure de torpiller la stabilité stratégique".

 

Les Etats-Unis sont en train de déployer en Europe un bouclier antimissile comprenant des radars d'alerte haute fréquence et des missiles intercepteurs basés au sol et en mer. Selon les responsables américains, ce bouclier vise à protéger les Etats-Unis et leurs alliés européens contre les attaques balistiques et nucléaires qui pourraient émaner de "pays-voyous": la Corée du Nord et l'Iran.

 

Moscou demande aux Etats-Unis de signer un accord garantissant que la future capacité de défense antimissile balistique ne menacera pas les forces nucléaires russes. Washington refuse de conclure un tel document.

 

Selon le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, avec la conclusion des ententes sur le programme nucléaire iranien, la raison invoquée par l'Otan pour justifier le déploiement d'un système de défense antimissile en Europe a cessé d'exister.

Partager cet article
Repost0
15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 11:35
L'armée belge restera présente en Afghanistan jusque fin 2014

 

14 décembre 2013 RTBF.be

 

L'armée belge restera présente en Afghanistan tout au long de l'année 2014, jusqu'à la fin du mandat de la force internationale d'assistance à la sécurité (Isaf, dirigée par l'Otan), et affectera au second semestre une frégate à l'opération anti-piraterie Atalanta de l'Union européenne autour de la Corne de l'Afrique, selon le projet d'"engagements opérationnels" approuvé par le Conseil des ministres.Actuellement, 215 militaires belges sont déployés dans ce pays.

 

    "La Belgique maintiendra la plupart de ses contributions actuelles dans les opérations en cours de l'Otan, de l'UE et de l'ONU en 2014", a expliqué samedi le cabinet du ministre de la Défense, Pieter De Crem, dans un communiqué.

 

    En ce qui concerne l'Isaf, la Belgique restera principalement présente sur deux sous-théâtres. Dans le nord de l'Afghanistan, l'armée continuera à participer à la formation de l'armée nationale afghane (ANA) en fournissant des instructeurs dans les centres d'instruction et en soutenant les efforts allemands dans la base de Mazar-i-Sharif. Dans le sud, à Kandahar, où est déployé un détachement d'une centaine d'hommes, six chasseurs-bombardiers F-16 continueront à fournir un soutien aérien aux troupes terrestres de l'Isaf.

 

    La mission de combat des troupes de l'Otan doit prendre fin le 31 décembre 2014. Mais l'Alliance atlantique prépare toutefois depuis des mois une opération "d'entraînement, de conseil et d'assistance" des forces de sécurité afghanes (ANSF), qui doit succéder à l'Isaf sous le nom de "Resolute Support", avec des effectifs allant de 8.000 à 12.000 personnes. Son déploiement effectif nécessite toutefois encore l'aval définitif de Kaboul et la conclusion d'un Sofa ("Status of Forces Agreement", accord régissant le stationnement de troupes), avec une "invitation claire" de la part des autorités afghanes,

 

    Le communiqué de M. De Crem - favorable à titre personnel au maintien d'une présence militaire belge en Afghanistan après 2014, une position qui ne fait pas l'unanimité au sein du gouvernement - ne mentionne aucun préparatif préalable à une participation à "Resolute Support".

 

    En 2014, la Défense poursuivra par ailleurs sa mission de déminage au Liban dans le cadre de la Force intérimaire des Nations unies au Sud-Liban (Finul) et fournira "une capacité limitée de génie de construction", poursuit le communiqué.

 

    Depuis la mi-2009, les Casques bleus belges de la Finul se concentrent sur des tâches de déminage, principalement le long de la "Blue Line", la démarcation tracée par l'ONU après le retrait israélien unilatéral du Liban sud en 2000 pour fixer la frontière libano-israélienne.

 

    Dans le cadre des opérations de l'UE, la Belgique continuera à contribuer à la mission d'entraînement des forces armées maliennes (EUTM-Mali) avec un détachement de "Force Protection" chargé d'assurer la sécurité des instructeurs européens, "éventuellement sous une forme adaptée à partir de mai 2014", selon le cabinet de M. De Crem.

 

    Actuellement, quelque 75 militaires sont déployés au Mali, principalement sur le site de l'académie militaire de Koulikoro, à une soixantaine de kilomètres au nord-est de la capitale, Bamako, et lieu principal de la formation dispensée aux soldats maliens par les instructeurs européens.

 

    Au second semestre, la frégate "Léopold I" participera à l'opération Atalanta de lutte contre la piraterie somalienne autour de la Corne de l'Afrique, indique encore la Défense. Ce sera sa première mission depuis sa modernisation. Le bâtiment a déjà participé à deux reprises, en 2008 et 2009, au volet naval de la Finul en Méditerranée orientale.

 

    Durant tout le second semestre 2014, la Belgique assurera le commandement d'un groupement tactique (GT) européen - en anglais "EU Battle Group" (EUBG). Au total, 1.800 militaires belges qui seront concernés sur un effectif global de quelque 3.000, fournis par les Pays-Bas, l'Allemagne, le Luxembourg, l'Espagne et la Macédoine.

 

    Dans le cadre du Programme de partenariat militaire (PPM) belgo-congolais, la Défense "continuera à suivre" le bataillon de réaction rapide des Forces armées de la RDC (FARDC) qu'elle a entrainé en 2013 à Kindu, le chef-lieu de la province du Maniema (est de la République démocratique du Congo), conclut le communiqué.

Partager cet article
Repost0
15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 11:00
Opérations militaires: il faut "un fonds européen permanent" (Hollande)

 

14/12/2013 latribune.fr

 

La France ne veut plus assumer seule les dépenses liées aux opérations militaires d'urgence. Si convaincre les partenaires européens s'annonce ardu, le Président français s'y emploiera tout de même lors du prochain Conseil européen.

 

"L'Europe fait beaucoup, mais elle le fait ponctuellement. Il faudrait un fonds européen permanent, pas un fonds par opération": François Hollande a plaidé jeudi depuis le Brésil en faveur d'un fonds commun permanent pour financer les opérations militaires.

 A l'occasion du Conseil européen qui se déroulera les 19 et 20 décembre prochain, Paris entend convaincre ses partenaires de créer ce fonds européen, destiné à financer les interventions d'urgence dans les pays en crise.

Il faut dire que la France est engagée dans plusieurs opérations fort coûteuses en Afrique. Si elle ne devrait pas atteindre les 650 millions d'euros qu'a coûté Serval au Mali en 2013, celle en Centrafrique pourrait à son tour faire exploser la facture. Et la France, condamnée à tailler dans les programmes militaires et à rogner les effectifs des armées en période de crise, ne veut plus assumer seule les dépenses.

"Il ne s'agit pas qu'on soit la force armée et qu'on demande à être payé, on n'est pas les mercenaires, ni les gendarmes de l'Europe", a assuré ce samedi le Président de la République.

 

Convaincre les autres pays s'annonce rude

Dès l'intervention franco-britannique en Libye en 2011, les critiques se sont élevées en France pour dénoncer l'apathie des Européens, qui refusent de s'engager militairement pour défendre la sécurité commune. Un fonds européen permanent permettrait de financer les interventions d'urgence jusqu'à ce qu'elles basculent sous statut d'opérations de maintien de paix des Nations unies, et bénéficient dès lors des crédits de l'ONU.

Si Paris aura du mal à convaincre ses partenaires dans un domaine, l'Europe de la défense, où les avancées sont souvent millimétriques, les Européens semblent disposés à accompagner financièrement les interventions militaires dès lors qu'on ne leur demande pas d'envoyer des troupes au sol. Ainsi Berlin, Bruxelles et Londres ont promis une aide en transport aérien de troupes et matériels pour la Centrafrique, et l'UE a décidé de débloquer 50 millions d'euros supplémentaires pour appuyer la montée en puissance de la force africaine qui doit prendre à terme le relais des Français.

 

Urgence sur les Groupements tactiques de l'Union Européenne

Pierre angulaire de cette Europe de la défense souvent qualifiée de "coquille vide", Paris veut bousculer ses partenaires.

"S'il y a une réflexion à avoir d'urgence, c'est sur le concept de groupement tactique. Comment l'utiliser à bon escient dans le cadre d'une relation entre l'Europe et l'Afrique qu'il faut remettre à l'ordre du jour", a estimé mercredi le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian.

Ébauche d'une force de réaction rapide européenne, les GTUE (Groupements tactiques de l'Union Européenne) existent sur le papier mais n'ont jamais été mobilisés pour répondre aux situations d'urgence. Faute à un manque de volonté politique commune et à un mécanisme lourd qui nécessite l'accord des 28 membres de l'UE avant toute action. "Chacun a pu constater, y compris dans la situation en RCA, que les GTUE ne sont pas au rendez-vous", s'agace d'ailleurs Jean-Yves Le Drian.

Aucune décision ne devrait être prise les 19 et 20 décembre à Bruxelles, mais Paris pousse pour que le dossier "soit traité rapidement".

Partager cet article
Repost0
15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 10:50
Défense européenne : quand le Caïman dévore les budgets

 

15 Décembre 2013 franceinfo.fr

 

Le prochain Conseil européen, les 18 et 19 décembre 2013 à Bruxelles, sera consacré notamment à la politique de sécurité et de défense commune. Les opérations récentes en Afrique, Libye, Mali et maintenant Centrafrique, ont mis en évidence de grosses lacunes dans ce domaine. Un reportage de Corinne Fugler.

 

La France est partie toute seule en Centrafrique parce qu'il était urgent d'intervenir et aussi parce qu'il semblait difficile de monter rapidement une opération multinationale. Le député UMP Arnaud Danjean préside au Parlement européen la sous-commission "sécurité et défense". Il dénonce le manque de langage commun et rêve pour l'Europe d'une politique de défense à géométrie variable. Inutile de chercher un consensus à 28, il faut laisser aux états l'opportunité de s'impliquer dans les conflits selon leurs moyens. Ainsi un petit pays comme l'Estonie n'est pas en mesure de fournir beaucoup d'hommes mais peut apporter ses compétences en matière de cyberdéfense.

 

Un drone européen

 

Ce sommet ne suffira pas à bâtir une défense européenne mais il pourrait contribuer à renforcer l'industrie militaire européenne, en standardisant les équipements, par exemple. Ainsi l'hélicoptère européen de transport de troupes NH90, le Caïman, est fabriqué en plus de 20 versions, pour satisfaire tous les états-majors. Les uns réclament un marchepied plus bas, les autres une cabine plus haute, les fabricants sont donc obligés de multiplier les options. Le député chrétien démocrate allemand Michaël Gahler dénonce ces facéties nationales, qu'il juge contreproductives. Acheter un même modèle à plusieurs permet de réaliser de substantielles économies.

 

L'Europe a aussi besoin de drones. Elle accuse un gros retard dans ce domaine. Elle s'appuie pour le moment sur la technologie américaine ou israélienne. Arnaud Danjean préconise le lancement de programmes spécifiques pour apporter aux armées du continent de nouveaux outils d'observation. L'enjeu économique est fort : l'industrie européenne de la défense fait travailler 400.000 personnes. Elle génère aussi près d'un million d'emplois indirects.

Partager cet article
Repost0
14 décembre 2013 6 14 /12 /décembre /2013 12:50
EXPAL Develops a New, Safer Initiation System

 

December 11, 2013 by EXPAL

 

The new S-402, as this initiation system is called, incorporates an innovative technology that significantly increases security during its use.

 

The S-402 is a safe initiation system, developed to minimise involuntary initiation due to static, stray or induced currents. Its technology is innovative in the defence realm: the exploder and detonators have been upgraded with digital electronics in order to substantially increase operative use safety.

 

The new system has also reduced the long safety protocols required by conventional initiators, which increases the deployment and use speed. Other features worth mentioning are its use flexibility, prompt start by elimination of cable-connection times, and reduced weight and volume.

 

The S-402 consists of an ES-402 exploder, and DS-402 detonators. The ES-402 exploder has the capacity to check and initiate up to ten electric DS-402 detonators. This system can be used in a radio-environment / Electronic Counter Measures or static currents.

 

It presents a sturdy configuration and safe use features, while maintaining a light weight and volume. The system is incorporated to the operator's equipment, and is carried on a belt. It is ideal for the use of engineers, special operations units, EOD specialists, police or rescue teams in explosive disposal missions, or intervention and people rescue in catastrophes.

 

EXPAL has extended experience in the design, development and manufacturing of initiation systems, demolition charges and EOD. These products can be found among the equipment used by the Spanish Armed Forces, and the armies of other countries.

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 13:50
Thales EC635 helicopter simulator for Swiss Air Force achieves Level D certification


13/12/2013 thalesgroup.com
 

Thales is pleased to announce that the EC635 helicopter Full Flight Mission Simulator (FFMS) delivered to the Swiss Air Force has achieved JAR FSTD-H* Level D certification issued by Switzerland’s Federal Office of Civil Aviation (FOCA).

The Thales simulator, which is in service at Emmen Air Base, Switzerland, has therefore achieved the highest possible level of FSTD certification. Used to train EC635 helicopter aircrews, this latest-generation simulator meets the Swiss Air Force's specific pilot instruction and training requirements, improves operational effectiveness, raises levels of crew and operator safety and reduces environmental impacts.

The Thales simulator offers an extended range of capabilities, from ab-initio to tactical training, and allows pilots to train for emergency situations and more than 280 different types of equipment failures. It can be used to train aircrews for a broad array of missions including cargo and personnel transport, search and rescue and forest firefighting. Pilots train under highly realistic flight conditions in varied natural settings, including mountain regions. The simulator can reproduce whiteout and brownout situations, terrain-induced turbulence, very low-level flight and complex landing approach profiles.

Night flying conditions with or without night vision goggles can be realistically simulated. The simulator software also incorporates Thales's computer-generated forces application to simulate a broad range of tactical environments.

The projection system offers a field of view of 240 degrees horizontally and 90 degrees vertically. The ThalesView image generation software and associated database enable pilots to train with realistic views of any area in Europe. The whole of Switzerland can be reproduced extremely realistically from a high-resolution aerial imagery database containing details of buildings, roads, power lines and other structures for the entire country.

The EC635 simulator can be coupled to the AS532 Super Puma/Cougar simulator in service with the Swiss Air Force, also developed by Thales, providing pilots with unlimited scope for training exercises involving formation flying and tactical operations.

"This latest-generation simulator, which is now certified to the highest possible level, supports the training of Swiss Air Force EC635 helicopter pilots, offering them an extended array of state-of-the-art and highly realistic training capabilities."
Jean-Jacques Guittard, Vice President for Thales's Training & Simulation business

Thales has delivered more than 110 helicopter simulators to customers in 25 countries around the world.

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 12:50
Thales : le satellite Athena-Fidus est arrivé sur la base de lancement de Kourou

 

 

12.12.2013 (Boursier.com)

 

Thales annonce que le satellite dual franco-italien de télécommunication très haut débit est arrivé sur la base de lancement de Kourou, en Guyane française, le 9 décembre. Maître d'oeuvre du programme pour le compte des agences spatiales française (CNES) et italienne (ASI) et des ministères de la Défense français (Direction générale de l'armement) et italien (Segredifesa), Thales Alenia Space est responsable du développement, de la construction, des tests et de la livraison en orbite du satellite. Telespazio, la coentreprise détenue à 67% par Finmeccanica et à 33% par Thales, intervient sur ce projet au niveau de la mise en place du segment sol et à travers ses compétences services liées principalement au lancement et à la mise en orbite du satellite.

 

Le programme Athena-Fidus (Access on theatres for European allied forces nations-French Italian dual use satellite) comprend un satellite géostationnaire fonctionnant en bandes Ka et EHF ainsi que son segment sol de contrôle, basé sur un site militaire français. Le satellite fournira des capacités en particulier aux ministères de la Défense français et italien ainsi qu'aux acteurs institutionnels de la sécurité de ces pays (sécurité civile, sécurité intérieure : police, pompiers...).

 

D'une masse au lancement de plus de 3 tonnes, le satellite, basé sur une plate-forme Spacebus 4000, aura une durée de vie opérationnelle supérieure à 15 ans. Le lancement sera effectué par Arianespace, à bord du lanceur Ariane 5

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 12:50
Claude-France Arnould Attends Meeting of Nordic Defence Ministers

Helsinki - 12 December, 2013 EU Defence Agency

 

Claude-France Arnould was invited by Mr Carl Haglund, the Minister of Defence of Finland, to Helsinki on 3-4 December to attend meetings of Defence Ministers of the Nordic and Baltic States and the Northern Group.

Mme Arnould discussed with the Ministers the  development of European defence capabilities and the reinforcement of linkages with regional cooperation. Discussions addressed the mutual benefit of joint efforts in the regional and European frameworks, including through economies of scale, improved interoperability, and synergies with wider European policies.

 

More information:

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 12:50
photo Airbus Military

photo Airbus Military

 

Le 12/12/2013 BFM (Dow Jones)

 

NEW YORK -Le groupe européen d'aéronautique et de défense EADS (EAD.FR) va reporter la livraison de son avion de transport militaire A400M à l'armée allemande, indique jeudi le quotidien allemand Handelsblatt.

 

La livraison est maintenant prévue pour la mi-2015, au lieu de novembre 2014, précise le journal, citant la réponse du ministère allemand de la Défense à la question du député écologiste Tobias Lindner.

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 12:50
photo BAE Systems

photo BAE Systems

source airforce-technology.com dec 2013

BAE Systems announced this week that Typhoon Tranche 3 has taken to the air for the first time. Over one hundred modifications have been made over its Tranche 2 predecessor. Here we take a ride in the cockpit for its first flight (Video: BAE Systems)

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 11:50
Le cyberespace, priorité de la défense européenne

 

13.12.2013 Jeremy Fleming - article traduit de l'anglais - euractiv.fr
 

Les États membres entrent dans la course au « cyberarmement », selon l'Agence de l'UE chargée de la sécurité des réseaux et de l'information (ENISA). 

 

L'ENISA a compulsé 250 sources différentes pour son rapport annuel publié le 11 décembre. Conclusion : il faut de toute urgence une coopération renforcée entre les États membres dans le domaine du cyberespace.

« De nombreux États ont développé des dispositifs qui peuvent être utilisés pour infiltrer toutes sortes de cibles, gouvernementales ou privées, en vue d'atteindre leurs objectifs, » indique le rapport.

Le rapport montre que la cyberguerre a définitivement dépassé la fiction.

Peter Round, le directeur [Capabilities Director] Capacités de l'Agence européenne de défense, qui promeut la coopération entre les Etats membres, a indiqué lors d’un entretien à EurActiv que la guerre cybernétique serait l'une des priorités dans la prochaine évaluation stratégique de l'agence.

 

Le Royaume-Uni et les Pays-Bas en pointe

Même si des États membres de l'Union et d'autres pays gardent leurs forces secrètes dans ce domaine, le Royaume-Uni et les Pays-Bas ont lancé un appel public en faveur d’un renforcement des compétences d'attaque dans le cyberespace.

Le ministre britannique de la Défense, Philip Hammond (Parti conservateur), s’est exprimé devant les délégations de son parti lors de la conférence annuelle, le 29 septembre. Il a expliqué que le Royaume-Uni allouait une plus grande partie du budget de la défense, le quatrième au monde, au renseignement et à la surveillance liés à la cybercriminalité.

« Mettre en place une cyberdéfence ne suffit pas : comme dans toute guerre, il vaut mieux prévenir que guérir. Le Royaume-Uni compte développer des forces de contre-attaque et de frappe, si nécessaire, dans le cyberespace, » a assuré le ministre britannique de la Défense.

Le ministre néerlandais de la Sécurité et de la Justice, Ivo Opstelten, a demandé au Parlement néerlandais en octobre 2012 d’adopter une loi qui permettrait de « hacker » des ordinateurs à l'intérieur et à l'extérieur du pays. Objectif : combattre contre la cybercriminalité.

 

Aucune harmonisation entre les États membres

Si le Parlement néerlandais approuve « l’extension des pouvoirs » demandée par le ministre de la Justice, les agences gouvernementales pourront mener des recherches dans des ordinateurs situés sur le territoire national ou à l'étranger. Cette évolution permettra d'accéder à des données normalement inaccessibles et d'installer à distance des « ressources techniques », comme des programmes malveillants, sur ces ordinateurs ciblés.

« Nos États membres ne sont pas sur un pied d’égalité, ils n'utilisent pas les mêmes méthodologies de protection et il n'existe pas de normes communes pour le partage des informations, même si elles sont en développement, » selon Peter Round.

Le rapport de l'ENISA affirme que les cyberattaques sont devenues de plus en plus sophistiquées et fréquentes. « Les modes et les outils d'attaques contre les ordinateurs utilisés quelques années auparavant, sont maintenant mis en œuvre dans l'écosystème de la téléphonie cellulaire. […] Deux nouveaux champs de bataille cybernétique sont apparus : un lié aux "données massives" [big data] et un autre lié à "l'Internet des objets" [Internet of Things] », révèle le rapport.

EurActiv a demandé à Peter Round si les États membres qui ont développé un système de cybersécurité étaient moins enclins à coopérer avec l'Agence européenne de défense (AED) en vue d'évaluer la capacité de l'Europe à résister à des cyberattaques. Il a répondu : « Nous sommes le catalyseur ou la glue qui permet de réunir les compétences des États membres. Certains d'entre eux ont plus de compétences que d'autres et partagent ce qu'ils veulent bien. Les États membres sont des États souverains et sont libres de poursuivre leurs propres stratégies. »

Toutefois, il a ajouté que cette question devenait de plus en plus pressante dans l'ordre du jour des cercles politiques et de la défense. « Je pense que l'Europe est à la traîne par rapport à d’autres pays. D'un point de vue politique, nous enregistrons des progrès rapides, j'irais mêmes jusqu'à dire que nous sommes en tête de peloton, » a-t-il poursuivi.

 

Le cyberespace : une priorité stratégique

Peter Round a affirmé que l'AED était sur le point de finaliser un projet de développement de compétences l'année prochaine afin de déterminer les priorités stratégiques.  « Je ne serais pas surpris de voir le cyberespace en haut de la liste des priorités, » selon lui.

Le rapport de l'ENISA estime que 2013 a été une année faste en ce qui concerne l'application des lois. En outre, un nombre en constante augmentation de rapports et de données a permis d'améliorer la qualité des informations disponibles.

« La coopération entre des organisations pertinentes en vue d'évaluer conjointement les cybermenaces et de se défendre contre elles, a été déjà envisagée par le passé et sera renforcée dans un futur proche; » indique le rapport.

Les auteurs du rapport recommandent la participation active des utilisateurs finaux dans la défense face aux cybermenaces et un raccourcissement des délais dans leur évaluation en vue de réduire la vulnérabilité de l'Union.

 

Prochaines étapes : 

  • Fin 2014 : publication d'un plan de développement de compétences par l'AED avec un accent mis sur le cyberespace

 
 

Liens externes

EU official documents

European Agencies

Le cyberespace, priorité de la défense européenne

Note RP Defense : informations sur le site de l'Agence Européenne de Défense :

 

 

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 11:45
Battlegroup pour le Centrafrique ? Quand Cathy a dit stop !

Les hélicoptères en RCA ne seront pas européens. Ici, un hélicoptère Puma en route vers le Centrafrique (Crédit : Ministère FR de la défense)

 

Déc 13, 2013 Nicolas Gros-Verheyde (BRUXELLES2)

 

Selon nos informations concordantes, la préparation du déploiement de la force de réaction rapide de l’Union européenne en Centrafrique a été stoppée net sur ordre… de la Haute représentante de l’UE, Catherine Ashton.

 

Suite de l’article

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 08:50
Source BBC

Source BBC

 

MOSCOU, 13 décembre - RIA Novosti

 

Les ententes avec l'Iran ayant modifié la situation géopolitique, l'Otan devrait modifier ses projets concernant le bouclier antimissile européen, a déclaré vendredi le vice-ministre russe des Affaires étrangères Alexeï Mechkov dans une interview accordée aux journalistes russes.

 

"Nous estimons que les ententes avec l'Iran créent une situation géopolitique complètement différente. Nous avons toujours entendu nos partenaires dire que la raison de leurs démarches visant la création du bouclier antimissile européen était leurs préoccupations concernant le programme nucléaire iranien. A présent, il nous semble que ces préoccupations sont en train de diminuer.  Il serait logique que cela se répercute sur les projets de l'Otan afin de créer le bouclier européen ainsi que sur l'ABM global américain. Nous verrons comment agiront nos partenaires", a indiqué le diplomate russe.

 

Les Etats-Unis et les autres pays de l'Otan, sous prétexte de défense contre une éventuelle attaque de missiles iraniens, ont annoncé leur intention d'installer un bouclier antimissile en Europe et de déployer ses éléments à proximité des frontières russes. Moscou estime que ces projets visent la Russie et que le bouclier européen est susceptible de détruire l'équilibre de forces stratégiques de dissuasion nucléaire entre la Russie et les Etats-Unis.

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 08:50
La Défense reste importante (De Crem)

 

12/12/13  Stijn Verboven – MIL.be

 

« Defensie blijft belangrijk, La Défense restera importante, Defence truly matters ».  Le message est tellement important que le vice-Premier ministre et ministre de la Défense Pieter De Crem l'a prononcé en trois langues. Il l'a annoncé ce 11 décembre 2013 lors d'une conférence à l'École Royale Militaire.

 

Photos Malek Azoug  >>

 

C'est devant une salle comble que De Crem a dévoilé son point de vue sur différents sujets relatifs à la Défense, comme le concept Pooling and Sharing. « La Belgique a déjà démontré à plusieurs reprises qu'une collaboration étroite avec les pays voisins porte ses fruits. Mon intention est de continuer à renforcer cette collaboration dans les années qui viennent. »

 

« La collaboration avec les pays limitrophes est bonne, mais nous ne devons pas oublier le vaste contexte international », estime le ministre De Crem. Selon lui, l'inscription, pour la première fois en huit ans, du thème Défense dans les priorités de l'agenda européen est également un développement positif.

 

Un deuxième acteur important en matière de défense internationale, à côté de l'EU, est l'OTAN. « L'OTAN est la meilleure et la plus solide garantie de préserver la paix sur notre propre territoire », précise De Crem. « Les deux institutions sont complémentaires. »

 

Qu'en sera-t-il des opérations militaires belges dans le futur ? Le ministre De Crem entrevoit deux pistes importantes : « Nous devons préalablement nous concentrer sur des interventions relativement courtes et des moyens efficaces avec lesquels nous pouvons éliminer une source de chaos. Il nous faut ensuite former les forces combattantes étrangères afin qu'elles deviennent des armées professionnelles et démocratiques. »

 

Afin de développer ces deux pistes et remplir nos obligations internationales, des investissements sont nécessaires. L'exemple le plus frappant du ministre concerne l'achat du successeur du F-16 : « Sans capacité aérienne de chasse, la Défense n'a pas de sens. Le F-16 aura un successeur. »

 

La conférence du ministre De Crem a fait couler beaucoup d'encre, un signe que la Défense, comme il l'a formulé, reste importante.

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 08:45
EUTM Mali : fin de formation du GTIA malien Sigui

 

12/12/2013 Sources : EMA  

 

Le 7 décembre 2013, sur le camp d’entraînement de Koulikoro,  a eu lieu la cérémonie de fin de formation du groupement tactique interarmes (GTIA) malien baptisé Sigui, « les buffles » en langue tamashek.

 

La cérémonie, présidée par le général Mahamane Touré, chef d’état-major général des armées (CEMGA) malien et le général Bruno Guibert, commandant la mission européenne d’entrainement au Mali (EUTM Mali), s’est déroulée en présence des plus hautes autorités militaires maliennes des autorités civiles et militaires des missions internationales en place au Mali.

 

Le GTIA Sigui a effectué une formation d’une durée de 10 semaines dans le cadre d’EUTM Mali,  qui s’est achevée lors d’un exercice de synthèse conduit du 2 au 4 décembre 2013, dans la région de Koulikoro.

 

Cet exercice avait pour objectif d’évaluer la capacité opérationnelle du bataillon. Le scenario simulait la prise d’une ville de la région par des forces ennemies, à partir de laquelle étaient lancé des  raids menaçant la ville de Koulikoro.

 

Tout au long de l’exercice, les officiers maliens, commandant directement leurs unités, ont dû faire face à de nombreux incidents afin d’éprouver l'efficacité des troupes et leurs capacités de commandement: embuscades, harcèlements ou attaques au moyen d’engins explosifs improvisés (IED).

 

Au cours de ces manœuvres, deux Mirage 2000D déployés à Bamako dans le cadre de l’opération Serval, ont pris part à l'exercice dans le cadre de l'évaluation des équipes de contrôleurs aériens avancés (TACP) du bataillon.

 

Au bilan, le bataillon Sigui a prouvé sa capacité à conduire une manœuvre coordonnée autonome de niveau de groupe tactique interarmes (GTIA), dans le cadre d'une offensive menée par des éléments armés.

 

Le GTIA, commandé par le lieutenant-colonel Sangaré, est constitué de 700 soldats.

 

Commandée par le général français Bruno Guibert, la Mission Européenne d’Entraînement au Mali regroupe 550 militaires européens de 23 nationalités différentes, dont 110 militaires français, principalement issus de l’état-major de la 1re Brigade mécanisée de Chalons en Champagne et du 1er Régiment d’infanterie de Sarrebourg. EUTM Mali repose sur deux piliers : une mission de formation des unités combattantes des forces armées maliennes sur le camp d’entraînement de Koulikoro et une mission d’expertise et de conseil assurée par le détachement de liaison et d’expertise (ALTF), destiné à appuyer la réorganisation de l’armée malienne.

EUTM Mali : fin de formation du GTIA malien Sigui
Partager cet article
Repost0
12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 18:50
German Air Force order highlights Saab Grintek Defence’s self-protection business

 

 

12 December 2013 by Guy Martin - defenceWeb

 

Saab Grintek Defence is manufacturing the core components for the BOZ-101 EC podded self-protection system for the German Air Force’s Tornado jets and is also working on a variety of other self-protection systems for various international customers.

 

Last month Saab in Sweden announced that it had received three orders for self-protection equipment for the German Air Force’s Tornado fleet totalling 100 MSEK.

 

The contracts will see the certification and limited production of the BOZ-101 EC podded self-protection system, including the MAW-300 missile approach warning system, as well as development and qualification of a new cockpit control unit for the pod. The pods sold to Germany have a missile approach warner, controller and dispenser. Saab Grintek Defence (part of Saab South Africa) manufactures the missile approach warners and controllers while Saab in Jarfalla, Sweden, does the remainder of the work.

 

“These orders mark the first contract with Germany for Saab’s MAW-300 missile approach warning system. It is a breakthrough and a strong vote of confidence in Saab as an electronic warfare supplier,” said Micael Johansson, Head of Saab’s business area Electronic Defence System.

 

A production order is expected from Germany in the second quarter of 2014. Saab is also expecting a follow-on order from the Italian Air Force, which has used a version of the pod, BOZ-102 EC, on its Tornados since 2008.

 

Saab’s premier military self-protection system is the IDAS (Integrated Defensive Aids Suite) for helicopters and fixed wing aircraft. It features missile, laser and radar warning receivers and chaff and flare dispensers. Its modular system architecture allows IDAS to be configured for any one or any combination of the three sensor types. Saab claims it is the world’s first fully integrated system, as Saab produces every component itself. Another selling point is that the user has complete control over the system’s threat database and library tools, according to Chris Skinner, Vice President, Head of Marketing and Sales and Commercial, Saab Grintek Defence.

 

Saab says IDAS has been chosen for many different airborne platforms, including the Saab 2000, AgustaWestland A109, Super Lynx 300, Boeing CH-47 Chinook, Denel Rooivalk and Oryx, Eurocopter Cougar, Puma and Super Puma, NH Industries NH90, C-130 and L100 Hercules and Sukhoi Su-30MKM.

 

In September this year Saab Grintek Defence was awarded additional follow-on orders to supply its IDAS onto India’s Dhruv advanced light helicopter. The Dhruv’s manufacturer, Hindustan Aeronautics Limited (HAL), is producing helicopters for the Indian Army and Air Force. Deliveries on the latest follow-on order are scheduled to commence in 2014.

 

India is one of Saab Grintek Defence’s most significant customer to date, and Saab is expecting follow-on orders for the Dhruv. The entire self-protection system on the Dhruv, except for the dispensers, is made in South Africa. So far Saab has been contracted to supply 99 systems, and expects orders for additional systems next year. It is transferring technology to HAL for local involvement, something that will help Saab’s chances in supplying systems for the HAL Light Combat Helicopter (LCH), currently under development.

 

Saab has developed the IDAS system into the commercial Civil Aircraft Missile Protection System (CAMPS) using almost identical sensors and other features (such as the MAW-300 warner), but instead of dispensing chaff or flares, CAMPS uses pyrophoric ‘confetti’ which reacts with the air to burn at a cool temperature, creating a large heat signature to throw off heat-seeking missiles. The biggest advantage of the system is that it does not pose a fire risk, unlike with conventional flares - this makes it viable as a commercial protection system.

 

The CAMPS system is designed to work against first and second generation heat-seeking missiles like the SA-7 and SA-14 which have been widely proliferated across the globe, especially following the fall of Muammar Gaddafi in Libya and the disappearance of thousands of SAMS from his stocks.

 

Skinner said that the CAMPS project was started around 2005 and the first demonstration was done at the Overberg Test Range in the Western Cape in 2007 using an Embraer 120 aircraft. He added that CAMPS had accumulated a couple of good sales and lots of interest. UN and World Food Programme operators and heads of state make the most inquiries for the system, which has or is still being integrated onto civil Hercules, Embraer 120, Dornier 328, Boeing 737 and Boeing 747 aircraft.

 

Saab also provides self-protection systems for land vehicles, the Land Electronic Defence System (LEDS). This comes in several different versions, including the LEDS 50 laser warning system. The LEDS 150 system currently under development is an active protection system (APS) that operates in conjunction with the Mongoose-1 counter-munition. LEDS 150 claims the possibility to destroy incoming anti-tank projectiles (e.g. RPG-7 rounds) with the Mongoose missile at ranges as close as within 20 metres of the launch vehicle. The munition has in tests deflected 105 mm tank rounds as well as fin-stabilised rods.

 

A number of partners are involved in LEDS 150, including Denel, which supplies the Mongoose missile, Reutech, which supplies the radar that detects incoming rounds, and Curtiss Wright, which manufactures the directed launcher. Saab is the systems house and integrator.

 

Saab is looking for a partner to complete development of the LEDS 150. Skinner said that due to the complexity and state of the art technology involved, it was a very R&D resource intensive programme, hence the serious need for an investment partner. Saab is talking to two potential European partners and is hoping for a firm commitment in the next six months, otherwise the company may have to hibernate the programme.

 

Skinner said LEDS 150 was a proven concept, with trials already been conducted using the Mongoose active countermeasure missile. He said the big thing was integrating and finalising the system. It would take an estimated one and a half years to get the system to production.

 

LEDS 50 is currently operationally deployed on the CV 90/35 combat vehicles of the Royal Netherlands Army and Saab hopes the LEDS system will be ordered by the Canadians for their new combat vehicle.

 

Saab also has a marine version of the laser warning system called NLWS for surface vessels and has numerous international successes with this product in both Europe and the Middle East.

 

Going forward, Saab is looking at new sensor technologies such as active and imaging infrared sensors, as well as partnering with other suppliers with the aim of enhancing technologies such as directed infrared countermeasures (DIRCM) systems.

Partager cet article
Repost0
12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 16:50
Military Airworthiness

11 December 2013 European Defence Agency

 

Airworthiness is essential to ensure the safety of personnel and passengers in the air and on the ground. Only a holistic approach can guarantee that all aspects of the aircraft are airworthy and thus safe.

 

More information

Read more about EDA Military Airworthiness project

 

Download file

Military Airworthiness
Partager cet article
Repost0
12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 12:50
Pathfinders et forces spéciales en chute libre

 

11/12/13 Liesbeth Bardyn – MIL.be

 

Dans le désert marocain, special forces et pathfinders embarquent dans un avion de transport C-130. Avec leur masque à oxygène à portée de main, ils s'apprêtent à effectuer un saut à 8 000 mètres d'altitude.

 

Photos Christian Decloedt >>

 

Depuis début décembre 2013, un paysage où règnent sécheresse et rouges collines sert de décor à l'exercice annuel de sauts des membres du Special Forces Group et des pathfinders. Ces derniers sont des parachutistes chargés de reconnaître des zones d'atterrissage permettant de préparer des largages de matériel ou de personnel.

 

Ici, ils ne s'entraînent pas à des sauts conventionnels à 4 000 mètres d'altitude. Les C-130 doublent cette valeur et le saut à très haute altitude (VHA) devient un réel défi dans cette atmosphère ténue et glaciale.

 

« La raréfaction de l'air oblige chaque participant à utiliser un masque à oxygène », raconte le lieutenant Tom Verschroeven, commandant en second de l'exercice. « Sauter à haute altitude permet l'infiltration aérienne d'une zone déterminée en se déplaçant sur quelque 40 kilomètres. »  

 

Cet effort demande énormément de technique et de travail de navigation. Le physique est également fort sollicité lors d'un tel saut. L'équipement et le matériel de parachutisme représentent un poids de cinquante kilos pour chaque militaire. Pour le corps et l'esprit, la haute altitude est une épreuve coriace.

 

Des pathfinders participent également à l'exercice afin de parfaire leur instruction. Ils sautent ici pour la première fois et cela laisse une forte impression. « J'ai effectué mon premier saut à haute altitude la semaine dernière », explique un pathfinder qui suit le cours VHA. « C'était à la fois particulier et très difficile. Il faut veiller à une foule de choses avec un tas de matériel. Cela n'a rien de comparable avec un saut classique. »

Pathfinders et forces spéciales en chute libre
Pathfinders et forces spéciales en chute libre
Pathfinders et forces spéciales en chute libre
Partager cet article
Repost0
12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 08:55
RCA:la facture française sera payée sur le budget 2014


11.12.2013 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Pour 2013, le coût de la présence militaire française en RCA a été estimé à 21,5 millions d'euros. C'était avant Sangaris et l'envoi de 1 200 soldats supplémentaires. Donc 3 fois 21,5= 65 millions d'euros (j'arrondis).

Et les autres surcoûts spécifiques à Sangaris? Parce qu'une opex, ce sont avant tout des surcoûts (primes, transport, munitions, restauration etc). Si l'on en croit certains chiffres, un soldats en opex coûte annuellement 100 000 €. Disons 1 600 (bas de la fourchette) multiplié par 100 000 et divisé par deux (l'opex est supposée durer 6 mois, selon le gouvernement) = 80 millions d'euros, au bas mot (maux?) comme on dit. Je ne suis pas joueur mais je parierais bien que la facture appprochera 200 millions fin 2014.

On est certes loin des 646,6 millions que nous coûte Serval (Mali) mais les opérations aériennes y sont intenses et gourmandes et les effectifs deux fois plus élevés.

 

Des aides? Allons-nous tout financer, come l'affirmait il y a peu l'UMP Christian Jacob? Aux 40 millions déjà annoncés, Washington a  promis 60 autres millions de dollars supplémentaires d'aide militaire pour l'opération des forces étrangères en République centrafricaine. Dans un mémorandum transmis au secrétaire d'Etat John Kerry, le président Obama a ordonné de fournir notamment à la France et à l'Union africaine "des matériels de défense et un soutien" logistique. Pas de flouze mais un coup de pouce...

Et l'Union européenne. L'UE a, pour sa part, vendredi dernier, annoncé qu'une enveloppe de 50 millions d'euros étaient attribuée mais à la Misca.

 

Report de charges. Quoi que coûtent (et coûteront) les opérations en RCA d'ici au 31 décembre, ce sera sur le budget 2014 que les montants seront imputés. Ce qui permet au premier ministre d'assurer que "le financement de l'opération Sangaris était assuré".

On appelle ça un "report de charges". La pratique n'a rien de scandaleuse; elle témoigne juste de l'état de délabrement budgétaire.

Partager cet article
Repost0
12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 08:50
UK MoD Drops Acquisition Outsourcing, Plans New Agency

Dec 11, 2013 defense-aerospace.com

(Source: Reuters; published Dec 10, 2013)

 

Britain Ditches Plan to Outsource Military Buying (edited excerpt)

 



Britain said on Tuesday it had abandoned plans to engage a private contractor to run a multi-billion dollar defence procurement programme plagued by spending overshoots, delays and technical problems.

Britain's Conservative-led government had earlier this year trumpeted a reform of the way it buys equipment for its armed forces to help rein in public spending.

The plan hit problems when one of two bidders for the contract pulled out on Nov. 19, leaving only a consortium led by U.S. engineering group Bechtel, and with PA Consulting and PricewaterhouseCoopers, in the competition.

"We do not have a competitive process. I have therefore concluded that the risks of proceeding with a single bidder are too great to be acceptable," Defence Secretary Philip Hammond said, confirming earlier reports of the cancellation.

…/…

"It's another embarrassing U-turn for the government," Labour defence spokesman Vernon Coaker told parliament. "His flagship policy on defence procurement has come crashing down around him." (end of excerpt)


Click here for the full story, on the Reuters website.

Partager cet article
Repost0
12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 08:50
Britain taps Babcock for acquisition of Phalanx 1B kits

 

LONDON, Dec. 11 (UPI)

 

Babcock is to deliver four Phalanx 1B kit modifications and conduct two conversions of the land Phalanx Weapons System to its original marinized configuration.

 

The work comes under a contract to the U.K. company from Britain's Ministry of Defense. The value of the work, however, was not disclosed.

 

The Phalanx is a close-in, computer-controlled weapon system of 20mm Gatling guns to defend a ship against missile attack. The guns fire 4,500 rounds per minute.

 

The 1B configuration allows for its use against small surface vessels and for crew to visually identify and target threats. It also features forward looking infra-red camera technology to defend the ship against surface targets and slow air targets.

 

Raytheon is the manufacturer of the system, which is used on U.S. and Royal Navy ships. Babcock is the in-service support provider in Britain for the system.

 

Under the new award -- delivered under an amendment to the existing support and upgrade contract -- Babcock will obtain Phalanx 1B systems equipment from Raytheon and covert the two land-based Phalanx weapon systems using their own weapons support engineers.

 

The systems are due to be delivered by March 2014.

 

"We are delighted to be applying our expertise and working with Raytheon to help the MOD and Royal Navy build the Phalanx ... capability it needs," said Babcock Weapons Business Development Manager Martin Laity. "Babcock is already known for our weapon support work for the UK MOD and our expertise in the assembly, test and setting to work of naval weapon systems.

Partager cet article
Repost0
12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 08:50
Mission Bois Belleau : entrainement bilatéral franco-grec

 

11/12/2013 Sources : EMA

 

Le 4 décembre 2013, au large de la Crète, le groupe aéronaval (GAN) constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle a participé à un entraînement bilatéral avec les forces aériennes grecques.

 

Cette interaction s’est déroulée alors que le GAN s’apprête à franchir le canal de Suez dans le cadre du déploiement Bois Belleau dans le nord de l’océan Indien et dans la région du golfe arabo-persique.

 

La Grèce étant un partenaire majeur de la France en Méditerranée, le passage du groupe aéronaval au large des côtes helléniques a été l’occasion d’effectuer des exercices aéromaritimes complexes en dépit d’une météo peu favorable.

 

Six Rafale Marine, quatre Super Etendard Modernisés du groupe aérien embarqué et huit F16 de la Hellenic Air force ont ainsi participé ensemble à une Composite Air Opération (COMAO). Il s’agit d’un groupement d’aéronefs aux configurations et aux missions différentes mais ayant des objectifs opérationnels communs Ce type d’entraînement est essentiel pour maintenir un bon niveau d’interopérabilité et pérenniser l’entente entre les forces armées alliées.

 

La coopération opérationnelle entre les deux pays n’est pas nouvelle, et de telles interactions aéromaritimes sont fréquentes lorsque le groupe aéronaval français est déployé en océan Indien. Déjà en 2010, dans le cadre de l’opération Agapanthe,les forces françaises et grecques s’étaient entraînées dans des conditions similaires.

 

Après cet entraînement de haut niveau particulièrement fructueux, le groupe aéronaval, a repris sa route vers l’est. Cette mission opérationnelle, ordonnée par le chef d’état-major des armées, a notamment pour objectif d’assurer une mission de présence opérationnelle en océan Indien et de développer des savoir-faire communs avec les pays partenaires de la France.

Mission Bois Belleau : entrainement bilatéral franco-grec
Mission Bois Belleau : entrainement bilatéral franco-grec
Mission Bois Belleau : entrainement bilatéral franco-grec
Partager cet article
Repost0
12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 08:50
La Norvège abandonne le programme Archer

L’imposant système d’artillerie Archer sur camion Volvo (Crédits FMV Ministère de la Défense suédois)

 

11 décembre, 2013 Guillaume Belan (FOB)

 

Bonne nouvelle pour l’industrie terrestre française, le canon d’artillerie automoteur Caesar se débarrasse de son concurrent britannique  !

 

La Norvège vient de signifier à la Suède, son partenaire dans le programme d’artillerie  Archer, qu’il abandonnait le programme. Lancé au milieu des années 90, le canon de 155 mm/52 calibre sur châssis articulé Volvo 6X6 A30D de 30 tonnes, était le fruit d’un développement commun entre l’industriel suédois Bofors (qui appartient aujourd’hui au groupe britannique BAE System) et la Norvège, selon un accord signé en 2008. Selon cet accord, la Norvège et la Suède partageaient les coûts de développement et de production et s’engageaient à acquérir 48 systèmes (24 pour Oslo et autant pour Stockholm). Patatras! Après quelques retards dans le développement du système, la Norvège qui a reçu l’exemplaire de pré-série fin septembre de cette année pour évaluation, vient de juger ce matériel trop lourd et pas suffisamment mobile. L’Archer « ne correspond plus au changement de concepts de notre armée » a annoncé la ministre de la Défense Eriksen Søreide, qui met ainsi un terme à la coopération nordique et de facto au programme Archer.

 

Canon Caesar - photo Armée de Terre

Canon Caesar - photo Armée de Terre

Cette décision met le groupe britannique BAE en difficulté sur ce programme, le privant d’un système d’artillerie autopropulsé pour les marchés export. C’est donc une excellente nouvelle pour les français Nexter et Renault Trucks Défense (RTD), qui avec le Caesar, il est vrai nettement plus léger (18 tonnes) et mobile voient un sérieux candidat s’effacer. L’Archer était notamment positionné sur des appels d’offres au Canada, en Croatie, au Danemark ou encore en Inde.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories