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25 juin 2013 2 25 /06 /juin /2013 11:35
Australia: 1000th Mercedes-Benz G-Wagon delivered to Defence

25.06.2013 Pacific Sentinel
 

 
Minister for Defence Materiel Dr Mike Kelly AM MP today announced the delivery of the 1000th Mercedes-Benz G-Wagon under Project LAND 121 Phase 3A.
 
The new G-Wagons, along with Australian-made trailers, are being rolled out to Army and Royal Australian Air Force units as part of LAND 121 ‘Project Overlander’, a $7.5 billion program delivering more than 7500 protected and unprotected vehicles to the Australian Defence Force (ADF) over the next decade.
 
“The new G-Wagons will help prepare ADF personnel for operations and provide the flexibility to undertake a wide range of tasks in difficult off-road conditions, while ensuring that Australian soldiers are better prepared and equipped,” Dr Kelly said.
 
The new variants are used as tactical training vehicles and for a wide range of support tasks. 
 
“G-Wagon variants include utility, ambulance, surveillance and reconnaissance, mobile command post variants, and even a canine variant to transport military working dogs and their handlers,” Dr Kelly said.
 
Dr Kelly congratulated Mercedes-Benz on the delivery of the first 1000 G-Wagons, adding that the G-Wagon represents a big step forward for the ADF’s tactical training capability.
 
“Today’s handover of the 1000th G-Wagon represents an important milestone at the Mercedes-Benz facility in Mulgrave, Victoria,” Dr Kelly said.
 
“At the Mulgrave facility, modules and tray bodies provided by G.H. Varley in Newcastle are integrated with the vehicles and pre-delivery work is undertaken.”
 
A total of 2146 G-Wagons are being rolled out to ADF units between July 2012 and June 2016.
 
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25 juin 2013 2 25 /06 /juin /2013 09:50
Le rôle négatif du soft power bruxellois dans la démilitarisation de l’Europe

21 juin 2013 par Bruno Racouchot

 

On cantonne bien trop souvent le débat sur l’avenir de la Défense à des considérations budgétaires ou techniques. Le mérite du jeune chef de bataillon Jean-Baptiste Vouilloux est d’aller plus loin et de dégager les racines profondes de cette désaffection des élites européennes à l’endroit de la chose militaire. Dans La démilitarisation de l’Europe, récemment publié aux éditions Argos (sous la direction d’Olivier Zajec, par ailleurs successeur d’Hervé Coutau-Bégarie à l’Ecole de Guerre), Jean-Baptiste Vouilloux ne pratique pas la langue de bois. Entre autres maux, le monde militaire souffre d’une détestation feutrée de l’univers bruxellois. Les représentations mentales que se font de l’armée les hauts responsables européens sont partisanes et détestables. « La plupart des hauts fonctionnaires européens pèchent par manque de convictions dans le sens où ils n’adhèrent pas à l’idée d’une Europe forte militairement. Ce constat peut sembler caricatural mais il est parfaitement illustré par le peu d’appétence dont fait preuve Catherine Ashton, la Haute Représentante de l’UE pour les affaires étrangères, vis-à-vis de l’Europe de la défense. Il faut dire que son passé de militante pour le désarmement nucléaire ne la prédispose pas à accorder une confiance démesurée aux forces armées. Tous les militaires qui ont servi au sein des institutions européennes à Bruxelles ont pu y constater leur marginalisation, voire le malaise suscité par la simple vue de l’uniforme. »  Lire la suite

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25 juin 2013 2 25 /06 /juin /2013 07:55
Le premier vol du demonstrateur nEuron - photo Dassault Aviation 01.12.2012

Le premier vol du demonstrateur nEuron - photo Dassault Aviation 01.12.2012

19 juin 2013 Jean-Marc Moschetta - Les Experts de L'Usine / Usinenouvelle.com

 

La performance des avions de combat n'a cessé de croître depuis un siècle: motorisation, aérodynamique, commandes de vol, systèmes de navigation, systèmes d'armes, etc. Mais dans cette course effrénée, la présence de l'homme à bord représente le dernier obstacle à de plus grandes performances et le maillon faible du système. Les drones tactiques sont-ils le futur de l'aviation de combat ?

 

Face à des robots aériens qui se joueront des facteurs de charge et réduiront le temps de réaction et de décision en deçà des possibilités physiologiques de l'homme, les avions de combat conventionnels risquent de devenir dépassés voire impuissants.

 

Certes, en moins de 20 ans, les avions de combat actuels dits de quatrième génération ont considérablement évolué sur le plan technologique et le coût de développement de ces systèmes d’armes correspond aux nombreuses capacités nouvelles qui ont été intégrées dans les avions.

 

Pilote sous contrôle de la machine

 

Mais certains nouveaux systèmes de vol indiquent qu’il s’agit désormais non seulement d’aider le pilote humain à opérer l’avion comme il le devrait mais aussi à encadrer plus sévèrement ses décisions lorsque celles-ci mettent en danger le succès de la mission.

 

C’est le cas du système de reprise en main par le calculateur embarqué en cas de désorientation du pilote humain ou du système automatique de secours à basse vitesse (Automatic Low-Speed Recovery System) qui empêche le pilote de sortir de son enveloppe de vol en combat à basse vitesse et basse altitude.

 

La question de l’utilité de l’humain

 

Ces nouveaux systèmes de vol viennent s’ajouter à la (déjà) longue liste des équipements destinés à protéger le pilote et à assurer sa survie à bord : blindages, siège éjectable, approvisionnement en oxygène, climatisation, etc.

 

Dans la conception de nouveaux systèmes de combat, la question se pose désormais de savoir si un pilote humain à bord est encore nécessaire, voire même si c’est seulement une option raisonnable. Certes, le degré de maturité atteint actuellement par les drones tactiques demeure insuffisant pour interroger immédiatement le développement des avions de combat opérés par des pilotes humains à bord.

 

Robotisation de l’espace aérien

 

Toutefois, des projets très ambitieux et remarquables sur le plan technique comme le démonstrateur européen nEUROn sous maîtrise d’œuvre Dassault, manifestent les immenses progrès réalisés en quelques années sous l’impulsion d’une volonté politique forte qui a pour le moment fait défaut au lancement des autres programmes de drones (drones MALE en particulier).

 

Même si le démonstrateur nEUROn n’a pas pour objectif de se substituer aux avions de combat, il illustre une tendance qui semble bien irréversible : la robotisation de l’espace aérien au détriment des aéronefs conventionnels. Tout comme le missile tactique a révolutionné le combat aérien dans les années 1980, le drone tactique pourrait bien s’annoncer comme le concept clé des guerres aériennes du futur.

 

* Jean-Marc Moschetta, Professeur d’Aérodynamique

Responsable du cursus Drones, Institut Supérieur de l’Aéronautique et de l’Espace

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 17:50
Conforme à la norme DEF STAN 61-5 section 6 édition 6, le module DSF226 de XP Power cible les applications militaires sous 28 V.

Conforme à la norme DEF STAN 61-5 section 6 édition 6, le module DSF226 de XP Power cible les applications militaires sous 28 V.

20/6/2013 Philippe Corvisier, ElectroniqueS

 

Avec le DSF226, XP Power introduit un module de filtrage et de protection contre les surtensions, destiné aux applications militaires exploitant une tension d'alimentation de 28 Vdc.

 

Présenté dans un boîtier métallique de 61,2 x 36,8 x 12,9 mm, ce module est susceptible de fournir 200 W.

 

Conforme à la norme DEF STAN 61-5 section 6 édition 6, il répond par ailleurs aux normes d'immunité et d'émissions électromagnétiques MIL-STD 1275A-D, DEF STAN 59-411 et MIL-STD 461C.

 

Spécifié dans la gamme de température -46 °C à +100 °C, le DSF226 supporte une tension transitoire de 10 V pendant 1 s. Une sortie en collecteur ouvert est fournie afin de délivrer une alarme en cas de température excessive.

 

Enfin, le rendement est typiquement de 97 % et le MTBF supérieur à 2 millions d'heures (selon MIL-HDBK-217F à 40 °C).

 

Le filtre est conçu pour fonctionner de pair avec les convertisseurs DC-DC issus des séries MTC/QSB/ICH de la société. Il peut aussi être associé aux convertisseurs 24 V 4:1 de la série J pour des solutions militaires "sur étagère".

 

Le DSF226 est disponible auprès des distributeurs agréés de XP Power, ou directement auprès de la société. La garantie est de 3 ans.

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 17:45
Third Denel A400M work package re-negotiated after acquisition cancellation

20 June 2013 by defenceWeb

 

The loss of a multi-million Rand contract as a result of South Africa’s withdrawal from the A400M programme has been successfully re-negotiated thanks to the ability of a Denel Group company to deliver on time and within budget in the high-tech composite manufacturing sector.

 

Denel Aerostructures (DAe) was this week given its third work package on the new generation Airbus airlifter after completing initial design of tail plane detail parts.

 

“Manufacturing was placed on hold following South Africa’s decision to cancel its acquisition of the A400M. Airbus Military last year gave the green light for manufacturing which was followed by signing of a re-negotiated agreement for the ribs, spars and sword of the tail plane. This will mirror DAe’s ramped up production of wing to fuselage fairing and top shells,” chief executive Ismail Dockrat said following the official announcement of the contract at the Paris Airshow.

 

He said the third work package on the A400M placed DAe at “the core of the global aerospace manufacturing industry”.

 

The new package will see the ribs, spars and sword of the A400M vertical tail plane produced in virtual sterile conditions adjacent to OR Tambo International Airport in Kempton Park.

 

The 7x2m structure consists of two vertical beams (the spars), 16 horizontal composite machinings (the ribs) and a bottom connecting plate (the sword). All are made from carbon fibre composites, covered by a metallic skin which is added to the internal structure prior to assembly.

 

“This component is a flight critical part of an aircraft the size of the A400M and contributes to its ability to carry payloads in excess of 35 tons,” Dockrat said.

 

With relocation of all its operations completed and now under a single roof DAe is confident of even more improved efficiencies and further cost cutting.

 

“It also positions the company well for future manufacturing work for Airbus and other original equipment manufacturers,” Dockrat said.

 

DAe has also made what he called “significant investment” in a composite facility. Products ranging from basic aircraft parts through to complex main rotor blades for helicopters can now be manufactured on site. Raw carbon fibre material is bonded, moulded, heated and polished until the required properties are achieved.

 

DAe’s investment in high-tech composite manufacturing is in line with the international aerospace sector where the move away from metallic structures to advanced materials with superior properties is well underway. Durability, hardness, elasticity and high strength-to-weight ratios are hallmarks of the new composite technology.

 

Dockrat sees DAe’s move in this area as complimentary to government’s aerospace sector development plan.

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 16:50
The A400M takes flight: redefining the airlift market? (SLD)

21 June 2013 by Robbin Laird - Second Line of Defence - defenceWeb

 

At the recent Airbus Military Trade Media Briefing 2013, journalists who attended were given the opportunity to fly the aircraft for more than an hour.

 

Francis Tusa, the well-known British journalist and hardly a Euro hugger, underscored what we all felt:

 

The lack of noise within the aircraft was noticeable compared to the C-17, C-130 or other aircraft. The seats are more comfortable as well. I did not hear the engines start up, and so was surprised when the aircraft took off. And then the incredibly rapid takeoff demonstrated its capability to lift from very, very short fields. The plane had a very stable performance in flight. And all of this in a very large cargo aircraft.

 

The A400M features C-130-like ability to use a wide variety of airfields with the capability to carry oversized loads of the sort that the C-17 currently carries.

 

The aircraft will be able to deliver equipment and personnel closer to the point of attack than the C-17 with C-17 type loads.

 

It will not be difficult to see how this aircraft will initially be used. In the current Mali operation, the French had significant challenges in delivering the capability necessary for their forces. When the A400M many years ago was first thought of, lift was considered somewhat equivalent to a truck or a greyhound bus.

 

With the last decade of experience and the revolution in air dropping, the airlifter is an integral part of the kind of expeditionary logistics, which insertion forces clearly need to operate with for 21st century operations.

 

In my colleague’s reporting from Mali, the French military made it clear to her that they were eagerly waiting for the A400M to join the fleet in order to facilitate the kind of operation which Mali represented.

 

As Murielle Delaporte underscored about the Mali operation:

 

Air support has been crucial in the areas of more intense engagement. Forward air controllers or FACs were important members of the ground forces. And air assets –Air Force (fighters), Army (helos) and Navy (Atlantique 2) – have been drawn upon in the operation.

 

More generally, and as far as the air component goes, one should also stress that the demands on the old tactical transport aircraft Transalls or the C-160s are very high.

 

This would be a good time to have the new A400Ms in play.

 

French Air Force officers all agree that it will be beneficial in the near future to have a plane which could fly straight from France and have the capability to land on the short, tough airfields characteristic of the Mali operation.

 

The logistics side of the Mali operation was inextricably intertwined with the combat forces in the combat operation.

 

Murielle Delaporte, based on interviews with the French forces in Mali, has emphasized that the French are re-inventing the Caravan concept but in the context of 21st century operations. They are deploying into combat areas the forces they need but correlated with the support they need as well. They are not creating mobile Walmarts that need to be defended. And in this effort, various transport means are being used, including convoys (on which she travelled for several days in Mali) as well as airlift of various types.

 

To gain a sense of how the A400M would be used in the future with the Mali operation in mind, Airbus Military’s Damien Allard, the Market Development Manager for the A400M, has put together a briefing, which he recently presented at a press conference.

 

At the heart of the approach is the capability of the aircraft to carry C-17 type loads with C-130 type agility. The A400m combines an ability to carry outsize and heavy loads that cannot fit into current tactical airlifters and be able to deliver those loads on soft, short, and austere areas where current strategic airlifter cans not. According to Airbus Military, the plane can deliver up to a 55,000-pound or 25 ton payload onto as short an airfield as a 750 meter or 2500 foot low grade airstrip.

 

The range of the aircraft will allow it to fly directly from France to do the resupply effort and land directly onto remote airfields, creating a very different type of transit link, one between the supply “warehouse” and the engaged force. The key is to deliver equipment to the point of need for the supply points, not necessarily located in the combat zone or country. This allows reduction of transit time, and enhanced security of supply.

 

At the heart of the evolving concepts of expeditionary logistics is the concept of providing support integrated within combat forces, without having to stockpile equipment to support “forward” deployed forces.

 

The notion of the “front” and “rear” is eroded by the expeditionary logistics concept.

 

The A400M fits right into this concept. The A400 M will bring the capability to the French forces of delivering heavy and outsize loads directly from France or from other airfields in the region to unpaved airstrips in Northern Mali such Tombouctou, Gao, or Tessalit.

 

According to Damien Allard: “The A400M can airlift all the equipment in use for ‘Operation Serval,’ including those which were either sealifted through slow Ro-Ro ships or airlifted through costly strategic airlifters.”

 

The first A400Ms are being delivered this year to the French and Turkish forces.

 

Clearly, the European forces need an upsurge in lift capabilities.

 

The program has been contracted between a European agency called the Organization for Joint Armament Cooperation or OCCAR and Airbus Military, which guarantees a stable, buy of the aircraft. Beyond the core buyers – the UK, France, Germany, Turkey, Spain, Luxembourg, and Belgium), the first export customer is Malaysia. What this means is that the signers of the OCCAR contract are obligated to buy the core purchases even if they decide to reduce the number in their own inventory from the initial order.

 

Contract stability among multinational partners in the program is a crucial element of launching such a program in challenging financial times.

 

The A400M is clearly a 21st century aircraft and part of the multi-mission revolution generated by the small number of multinational programs, which are re-baselining 21st century capabilities. Whether it is the A400M or the F-35, each platform is part of a fleet and is designed to operate as such.

 

Some of the characteristics of such a fleet are building in logistics from the ground up.

 

Common serial numbers or UIDs are built in. These common markings enable a global logistics management effort. The prime contractor manages the global supply chain to build the aircraft and manages the data on parts performance to ensure improvements in the supply chain as operational experience is gained with the aircraft.

 

Multi-national training is a core focus of the A400M and the F-35, and this common training facilities cross-fertilization of ideas of how to use a common fleet. There is an opportunity to apply the user group concepts pioneered by programs such as the Rover or the C-130 and to apply the inputs from user groups to drive further development of these 21st century programs rather than developing the program based on the desires of procurement agencies or engineers.

 

Clearly, global reach is enabled by each participant in the program getting economies of scale on parts, surge capabilities, and the possibility of cross learning on con-ops.

 

The A400M will re-define airlift with its capability to bring large loads into close proximity to operational forces.

 

This does not mean that the market for other lift aircraft simply vaporizes over night.

 

The core concept which I developed for understanding the impact of 5th generation aircraft is the re-norming of air operations, whereby the new aircraft reshape how air operations are done, and how legacy aircraft are used and how new capabilities get defined and added over time. The A400m is part of re-definition process for airlift.

 

C-17s are no longer being built. This means that the C-130J and the upgrade market of the C-130s will remain part of the picture of some time to come. Embraer is promising to launch a new lift aircraft into the mix as well. The market by 2030 is certainly going to be a mix of these aircraft, but the capabilities of the A400M will be obvious from how its users deploy the aircraft. And in this market and is many parts of the military market, imitation is the highest form of flattery.

 

A suggestion of how the mix might play out came from a discussion with a senior editor of an Asian defense journal. M. Ghazemy Mahmud, the editor of the Malaysian based Asian Defence Journal:

 

A core reality is that the A400M will be used with our C-235s and C-130s for a long time. In effect, a task force approach will be put in place.

 

Malaysia has C-130Hs which is relevantly new airlifter and the Air Force is very pleased with this aircraft. It will be upgraded over time, but the C-130J will not be bought because of the availability of the A400M.

 

Although the Malaysian Air Force likes the C-17, it is too expensive to buy and to operate for them. The A400M is a better choice for them, and will shape a new approach to the use of the overall fleet.

 

In short, the A400M, which will appear at the forthcoming Paris Air show and not only fly, but also have the first French aircraft on display, will be a key contributor to 21st century air capabilities.

 

And these capabilities are part of what I like to call the 3 Ms: multi-mission, maintainable and high technology manufactured.

 

In today’s world, the acquisition of aircraft in financially stringent environments favors multi-mission platforms. The U.S. and allied air forces are buying less aircraft and a smaller variety of aircraft. The expectation is that the aircraft purchased will do more than their core specialty.

 

With regard to maintainability, new platforms are built with a significant amount of attention to how to enhance their ability to be maintained over time. When platforms were built thirty years ago, logistics support was an afterthought. Now it is a core element of determining successful outcomes to the manufacturing process.

 

The final M is manufacturability. Briefing slides and simulations are not the same thing as a finished good of high quality and of high reliability. Here you need a trained workforce, good engineering practices and an ability to deliver a product of high quality and standards. It is challenging to build new systems and not every manufacturer is created equal. And a core element of today’s manufacturing systems is the challenge of managing extended supply chains. And these supply chains are subject to disruptions and the need to manage those disruptions.

 

In short, the Three M’s – Multi-Mission, Maintainability and Manufacturability – are key elements of shaping 21st century air capabilities. Flexibility, agility, reliability and performance are highly interactive elements for building viable platforms and systems for the years ahead and the A400M is a core example of 21st century trends.

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 16:30
Declaration by the HR on behalf of the EU on the alignment of certain third countries with Council Decision 2013/255/CFSP concerning restrictive measures against Syria

Declaration by the High Representative on behalf of the European Union on the alignment of certain third countries with Council Decision 2013/255/CFSP concerning restrictive measures against Syria

 

Brussels, 24 June 201311533/13 (OR. en) PRESSE 292

 

On 31 May 2013, the Council adopted Decision 2013/255/CFSP (1) concerning restrictive measures against Syria. The Decision applies until 1 June 2014.

 

The Decision concerns restrictive measures against Syria with regard to:

– export and import restrictions with the exception of arms and related material and equipment which might be used for internal repression;

– restrictions on financing of certain enterprises;

– restrictions on infrastructure projects;

– restrictions of financial support for trade;

– financial sector;

– transport sector;

– restrictions on admission;

– freezing of funds and economic resources.

 

With regard to the possible export of arms to Syria Member States committed to proceed in their national policies in agreement with the Council Declaration adopted on 27 May 2013.

The Candidate Countries Montenegro*, Iceland+ and Serbia*, the Country of the Stabilisation and Association Process and potential candidate Albania, and the EFTA countries Liechtenstein and Norway, members of the European Economic Area , as well as the Republic of Moldova and Georgia, align themselves with this Decision.

They will ensure that their national policies conform to this Council Decision.

The European Union takes note of this commitment and welcomes it.

 

(1) Published on 1.6. 2013 in the Official Journal of the European Union no. L 147, p. 14.

* Montenegro and Serbia continue to be part of the Stabilisation and Association Process

+ Iceland continues to be a member of the EFTA and of the European Economic Area
 

http://www.consilium.europa.eu/uedocs/cms_Data/docs/pressdata/en/cfsp/137589.pdf

(original version - EN)

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 15:50
SCCOA Système de Commande et de Conduite Aérienne - Crédits burokdesign.com

SCCOA Système de Commande et de Conduite Aérienne - Crédits burokdesign.com

21/06/2013 Par Quentin Michaud - air-cosmos.com

 

En service dans l’armée de l’air depuis 1993, le Système de Commande et de Conduite Aérienne (SCCOA) va bénéficier progressivement d’une modernisation grâce à une extension JRE en cours d’intégration dans la liaison 16. Le SCCOA constitue un ensemble de systèmes de transmission pour assurer la surveillance de l’espace aérien, le contrôle des vols militaires et gouvernementaux et le commandement des opérations aériennes et de la défense sol-air.

 

Le SCCOA entre en ce moment dans une nouvelle phase de son développement. Ainsi, le SCCOA 4.1 permettra de rénover 6 radars 2215 et 4 radars 22XX. La surveillance sera désormais assurée par deux centres de coordination (ACCS) et deux centres équipés du Système de Traitement et de Représentation des Informations de Défense Aérienne (STRIDA). Deux centres de détection et de contrôle passeront également en version C3.

 

Chaque année, 250 millions d’euros sont investis dans la recherche et développement pour apporter des corrections sur SCCOA. Depuis 20 ans, le coût global du programme est de 4 milliards d’euros. Thalès met en œuvre à 90% le SCCOA avec une participation de la société française CS et de Cassidian.

Crédits thalesraytheon.com

Crédits thalesraytheon.com

En la matière, la coopération européenne tente de se renforcer. Des contacts sont établis avec l’EATC pour mutualiser le transport tactique européen au sein du SCCOA. Enfin, le SCCOA sera mis à l’épreuve de la prise de la NATO Response Force par la France en 2015.

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 15:45
Le gouvernement donne son feu vert à l'envoi de 70 militaires belges au Mali

20 Juin 2013 sudinfo.be (Belga)

 

Le gouvernement a donné ce jeudi son accord à l’envoi d’une septantaine - soit vingt de plus qu’initialement envisagé - militaires belges pour assurer la protection des instructeurs européens de la mission de formation et de conseil à l’armée malienne à partir de début juillet. Mais les hélicoptères Agusta déployés au Mali rentreront fin juillet, a indiqué le ministère de la Défense.

 

L’envoi de ce détachement - une compagnie d’état-major, un élément d’appui et un peloton de «force protection» - destiné à compléter un contingent espagnol a été décidé lors d’un Conseil des ministres électronique, a-t-on précisé au ministère de la Défense.

 

Ce peloton belge sera engagé pour la défense des infrastructures, des instructeurs et du personnel de la mission EUTM. Il sera également chargé de protéger les convois entre Koulikoro (principal lieu de la formation des unités maliennes) et Bamako et de participer à une force d’intervention rapide ("Quick Reaction Force», QRF en jargon militaire) qui devra intervenir en cas d’incident. La Belgique alternera le commandement de la force de protection avec l’Espagne.

 

La question de l’augmentation de la participation belge à l’EUTM-Mali avait déjà été abordée la semaine dernière en conseil ministériel restreint, mais renvoyée à un groupe de travail en raison de réticences des deux partis socialistes, a confié un spécialiste du dossier à l’agence Belga.

 

Répondant à une demande de la France, le Conseil ministériel restreint avait approuvé le 13 mars la proposition du ministre de la Défense, Pieter De Crem (CD&V), de déployer un contingent d’une cinquantaine de militaires au Mali pour assurer la protection des formateurs européens. La décision des principaux ministres du gouvernement portait alors sur l’envoi d’un peloton - soit une trentaine d’hommes, renforcés avec des moyens logistiques à l’académie militaire de Koulikoro, une localité située à une soixantaine de kilomètres au nord-est de Bamako.

 

Le Conseil des ministres a également décidé jeudi de prolonger la participation jusqu’au plus tard le 31 juillet prochain la mission des deux hélicoptères Agusta A109 en configuration d’évacuation médicale, mis en oeuvre par 35 militaires affectés à l’EUTM, souhaitant qu’une autre nation prenne alors le relais.

 

Les deux hélicoptères Agusta, basés à Bamako, sont affectés à l’EUTM Mali depuis fin mars, après avoir participé à l’opération française Serval lancée le 11 janvier par Paris pour stopper la progression des islamistes armés du nord du Mali vers le sud.

 

Pour la Belgique, la durée initiale de cette nouvelle mission de protection est de quatre mois, renouvelable, avec un coût estimé à 2,2 millions d’euros par période, selon la Défense.

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 15:30
Airbus Military A400M  F-WWMS 23rd June- Paris Air Show 2013 crédits EADSpics

Airbus Military A400M F-WWMS 23rd June- Paris Air Show 2013 crédits EADSpics

21/06/2013 Par François Julian - air-cosmos.com

 

Il vient tout juste d'emmener au Bourget le président de la République François Hollande, et devrait prochainement s'envoler pour une autre mission d'importance. Cet avion, c'est bien entendu l'A400M, et plus particulièrement « Grizzly 5 » (MSN 006). Cet exemplaire d'essai, présent depuis le début de la semaine au Salon du Bourget, devrait s'envoler « très bientôt » pour la région du Golfe Persique, très probablement avant la fin de salon, explique une source issue de l'industrie.

 

Là, l'avion y subira sa toute première campagne d’évaluation dans le cadre d'une possible vente à l'export. Bien que cela ne soit pas confirmé, il est possible que ce soit aux Emirats Arabes Unis que l'avion sera évalué. Si Abou Dhabi venait à se laisser tenter par l'avion d'Airbus Military, ce dernier viendrait alors renforcer une flotte d'avions de transport déjà bien conséquente, comprenant des C-17, des C-130 et des CN-235.

 

Pour autant, les Emirats Arabes Unis ne sont pas le seul prospect de l'A400M dans la région. Ce dernier pourrait également intéresser l'Arabie Saoudite, voir le Qatar. Dans tous les cas, il est prévu que des pilotes militaires d'un des ces pays prennent les commandes de l'avion, en place droite.

 

Airbus Military mise beaucoup sur les ventes export de l'A400M, sachant que beaucoup de clients européens envisagent déjà des étalements de leur commande par rapport à ce qui a été conclu en 2003.

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 13:50
Organisation des industries de défense en Europe source ead-minerve.fr

Organisation des industries de défense en Europe source ead-minerve.fr

21/06/2013 Par Pascal Pincemin, Guillaume Martinez* - LeFigaro.fr

 

TRIBUNE - Pascal Pincemin*, associé membre du comité exécutif, et Guillaume Martinez*, associé M & A transaction services chez Deloitte, estiment que l'Europe devra prendre des initiatives sur les procédures d'achats publics pour permettre l'émergence d'un marché européen de la défense.

 

Le livre blanc de la défense 2013 a poursuivi un objectif: mettre en cohérence les objectifs stratégiques, les capacités opérationnelles et les contraintes budgétaires de la France.

 

Si les propositions concernant les forces armées sont désormais clarifiées et consistent pour l'essentiel en un transfert à budget constant (au niveau du budget 2013: 31 milliards d'euros soit 1,76% du PIB) d'effectifs et de moyens vers trois axes prioritaires - les deux premiers déjà identifiées en 2008 - que sont la cyberdéfense, le renseignement et les forces spéciales, qu'en est-il de l'industrie de défense française? Quels enjeux, quelles conséquences, quelles difficultés de mise en œuvre pour un secteur qui regroupe plus de 4000 entreprises en France?

 

À court terme: augmenter les ventes!

 

Alors que les situations de crise se multiplient et que l'éventail de menaces s'élargit, les industries européennes sont prises en tenaille entre la baisse tendancielle des budgets et des commandes d'État, et l'agressivité commerciale des firmes américaines et des acteurs issus des pays émergents. Pour autant, le contexte d'un marché européen atone contraint les acteurs du secteur de la défense à considérer les exportations comme un élément central de leurs modèles commerciaux. La priorité immédiate des industriels est simple: vendre… vendre sur les marchés en croissance, en Asie, au Moyen-Orient et en Amérique latine.

 

Continuer à renforcer la performance opérationnelle pour maintenir ses capacités d'innovation

 

Les industriels n'ont d'autres choix que de proposer de nouveaux produits répondant aux besoins des différentes armées (interarmées et intégrables) et exportables. Ils doivent aussi réduire les coûts de développement et de production, notamment en simplifiant les spécifications, allongeant les séries et développant les accords de coopération aux niveaux français et européen. Ils doivent également faire évoluer leurs offres vers plus de services intégrés, comme le maintien en condition opérationnelle, et se tourner vers les marchés les plus porteurs, que sont notamment la protection des voies maritimes, les systèmes intégrés de commandement et de contrôle, et la cybersécurité, autant d'axes prioritaires mis en avant dans le livre blanc 2013.

 

La capacité de projection des entreprises hors du marché d'attache se heurte néanmoins à deux difficultés que sont la fragmentation de l'industrie française, et les demandes des pays émergents de transfert de technologies. Sur ce dernier point, l'absence de nouveaux programmes de développement domestiques signifie moins d'argent engagé en recherche et développement, et donc un risque de perte progressive de l'avance technologique qui permet justement de composer avec les exigences de compensation.

 

Quelles incidences sur le marché européen?

 

On pourrait croire que la diminution des ressources au niveau des États aurait favorisé des rapprochements et la recherche de plus de partage entre industriels et entre pays. Il n'en est rien pour le moment.

 

Pour autant, l'Europe devra prendre des initiatives sur les procédures d'achats publics pour permettre l'émergence d'un marché européen de la défense et éviter entre autres que les concurrents américains, protégés par le «buy american act» sur leur territoire, se trouvent en situation d'égalité avec les industriels européens en Europe.

 

La consolidation des principaux acteurs de l'industrie européenne aura-t-elle lieu? Aux États-Unis, la consolidation des maîtres d'œuvre s'est effectuée au pas de charge dans les années 1990, avec l'encouragement et le soutien du gouvernement américain. Ce sont ainsi plus de cinquante groupes qui ont fusionné pour aboutir à cinq maîtres d'œuvre: Boeing, Lockheed Martin, Northrop Grumman, General Dynamics et Raytheon. L'Europe, dont les budgets réunis sont nettement inférieurs, compte toujours un certain nombre de grands maîtres d'œuvre. L'État français qui est présent, directement ou indirectement, au capital de la majorité des grands acteurs français de défense doit en effet composer avec trois objectifs contradictoires: développer la concurrence pour obtenir les meilleurs prix, construire des champions industriels nationaux et garder le contrôle de son industrie pour sécuriser l'approvisionnement en équipements critiques.

 

La consolidation des acteurs européens reste une question ouverte. Aux États-Unis, les fusions entre les grands maîtres d'œuvre se sont accompagnées de sorties d'activités massives, lesquelles ont généré, avec l'aide de fonds d'investissement, l'émergence de nouveaux fournisseurs (L-3, Transdigm) centrés sur les technologies clés indispensables aux 5 grands maîtres d'œuvre. Avec le recul, cette dynamique a été fondamentalement vertueuse pour les sociétés ainsi regroupées: elles se sont retrouvées en première ligne face à des clients multiples plutôt que cantonnées à des rôles de sous-traitant captif.

 

Dans ce contexte, il est important de rappeler que l'appui du monde financier est nécessaire pour accompagner ce type de consolidation sectorielle. Certains fonds spécialisés existent déjà en France (Aerofund en est un exemple), d'autres sont attendus.

 

* Pascal Pincemin, associé membre du comité exécutif chez Deloitte, est responsable mondial programmes clients industries stratégiques; Guillaume Martinez, associé M & A transaction services chez Deloitte, est spécialiste aérospace & défense

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 12:50
CEMA : participation au Senior Level Group

24/06/2013 Sources : EMA

 

Le 13 juin 2013, l’amiral Edouard Guillaud, chef d’état-major des armées (CEMA), a participé à la réunion du groupe de haut niveau franco-britannique, ou Senior Level Group (SLG).

 

Organisée dans la continuité du sommet de Lancaster House de 2010, le SLG, rassemble les représentants de la Présidence de la République et du Cabinet Office, les chefs d’état-major des armées et les directeurs « armement » français et britannique ainsi que les représentants des deux ministères de la défense. Cette rencontre annuelle vise à évaluer la mise en œuvre de la feuille de route fixée par le traité de Lancaster House à l’horizon 2016 et à faire le point sur les objectifs intermédiaires atteints d’une année sur l’autre, conformément aux orientations données lors du sommet bilatéral. Le dernier a eu lieu le 24 juillet 2012.

 

A cette occasion, les autorités politiques et militaires ont fait le point sur la montée en puissance de la force expéditionnaire commune interarmées (Combined Joint Expeditionary Force – CJEF). Le CJEF doit permettre, d’ici 2016, de disposer d’une capacité conjointe pouvant être engagée dans des opérations bilatérales, mais également dans le cadre d’une coalition internationale (OTAN, UE ou ONU). A ce titre, l’exercice Corsican Lion, organisé en octobre 2012, a constitué un jalon significatif et une étape supplémentaire dans l’approfondissement de la coopération franco-britannique, notamment la montée en puissance du volet maritime du CJEF. Entre autres, il a démontré la capacité des deux pays à mettre sur pied une structure de commandement conjointe, l’objectif étant, à terme, de créer un état-major de force commun déployable (Combined Joint Force Headquarter – CJFHQ). En 2013, le processus de certification du CJEF sera centré sur la dimension aérienne dans le cadre l’exercice Joint Warrior qui aura lieu à l’automne, en Ecosse.

 

Cette réunion a également été l’occasion de faire le point sur les mesures visant à améliorer l’interopérabilité des deux armées. Les participants ont souligné l’importance de maintenir et de renforcer les formations conjointes et les échanges bilatéraux. Ils ont également indiqué la nécessité de poursuivre dans la voie de la mutualisation capacitaire, en tenant compte de la complémentarité des savoir-faire de chacun, et de développer la coopération dans le domaine du partage de renseignement. Remerciant la partie britannique pour son engagement en soutien à l’opération Serval, le CEMA a souligné la rapidité et l’adaptabilité des moyens déployés au profit de la force comme exemplaires de la bonne coopération opérationnelle entre nos deux pays.

 

En amont de cette réunion, l’amiral Guillaud a reçu le nouveau major général des armées britannique, l’Air Chief Marshall Stewart Peach, qui a succédé au général Nicholas Houghton en mai dernier. Le CEMA s’est entretenu avec lui des prochains grands rendez-vous opérationnels, dont l’exercice Joint Warrior et l’exercice Rochambeau prévu en 2014. Concernant le volet capacitaire, le CEMA et le MGA britannique ont confirmé leur volonté commune de poursuivre les coopérations engagées dans le domaine du transport tactique et des moyens de renseignement. Enfin, après avoir rappelé le rôle essentiel du CJEF dans la mise en œuvre de la coopération bilatérale franco-britannique, les deux autorités ont souligné l’importance de ce nouvel instrument opérationnel dans le contexte plus large de la coopération internationale.

 

La prochaine rencontre du Senior Level Group aura lieu à l’automne 2013 au Royaume-Uni.

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 12:50
Baltic 2013 : mission de desserrement à Palanga

21/06/2013 Sources : EMA

 

Le 14 juin 2013, deux Mirage F1CR du détachement air français déployés dans le cadre de l’opération Baltic 2013 sur la base de Siauliai ont conduit une mission de desserrement sur l'aéroport de Palanga, en Lituanie.

 

Cette mission entre dans le cadre du maintien en condition opérationnelle du détachement et consiste à déployer des avions de chasse sur un autre site et d'effectuer une reconnaissance du terrain.

 

Lorsque les deux Mirage F1CR se sont posés sur l’aéroport international de Palanga, une dizaine de mécaniciens spécialisés et des militaires du SEA étaient présents. Ces derniers ont pu faire un état des lieux des moyens et des facilités disponibles sur cette plate-forme civile en cas de déroutement d’urgence des chasseurs de la permanence opérationnelle. Il s’agit en effet de pouvoir dépanner, le cas échéant, le plus rapidement possible un appareil immobilisé afin de retrouver une disponibilité optimale des 4 avions.

Baltic 2013 : mission de desserrement à Palanga

Depuis le 30 avril 2013, près de 90 militaires français et 4 Mirage F1CR assurent la mission Baltic, sous mandat de l’OTAN. Durant 4 mois, le détachement conduit des missions d’assistance et de police du ciel de l’espace aérien de la Lituanie, de la Lettonie et de l’Estonie.

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 11:55
Airbus  Military A400M  F-WWMS 23rd June- Paris Air Show 2013 - crédits EADSpics

Airbus Military A400M F-WWMS 23rd June- Paris Air Show 2013 - crédits EADSpics

21 juin 2013 par Frédéric Lert – Aerobuzz.fr

 

C’est aujourd’hui une certitude : un A400M participera au défilé du 14 juillet. Mais il n’est pas encore certain que ce soit un appareil aux couleurs de l’armée de l’Air…

 

Recevant la crème de l’Association des Journalistes de Défense à l’occasion du Salon du Bourget, le général Mercier, chef d’état major de l’armée de l’Air a longuement évoqué les défis auxquels fait face l’institution qu’il dirige. Aerobuzz reviendra la semaine prochaine plus en détail sur les différents thèmes abordés par le patron de l’armée de l’Air. Voici déjà un premier point sur l’A400M « Atlas », avec donc cette interrogation sur la participation de l’avion cargo au défilé aérien du 14 juillet. L’armée de l’Air doit prendre possession incessamment de son premier avion de série, le MSN7. Cet appareil fait l’objet depuis plusieurs semaines d’un long processus d’acceptation dans les installations d’Airbus Military à Séville (Espagne).

 

En parallèle, l’armée de l’Air forme ses équipages et ses mécaniciens sur la base d’Orléans, au sein de la MEST (Multinational Entry Into Service Team). Tous les pilotes ayant reçu leur qualification de type (QT) sur l’avion ont commencé leur apprentissage sur un simulateur A380 en profitant pleinement de la proximité des affichages et des systèmes, « philosophie Airbus » oblige… « J’ai trois équipages complets formés et lâchés, plus les mécanos qui attendent l’avion » expliquait le général Mercier, rappelant donc ensuite que « l’idéal serait que l’avion arrive avant le 14 juillet  ». Dans le cas non idéal où l’avion ne serait pas officiellement réceptionné, Airbus devrait toutefois dépêcher un de ses avions de développement dans le ciel parisien. Le grand public ne devrait voir que du feu de cet artifice du 14 juillet.

 

Rappelons d’un mot que la France a officiellement commandé 50 A400M. La question qui agite le Landerneau est de savoir si cette commande ne devra pas être rabotée ou étalée dans le temps sous la pression budgétaire. Rien n’est encore gravé dans le marbre, mais l’armée de l’Air annonce déjà vouloir garder quatorze C-160 Transall en service plus longtemps que prévu, au-delà de 2020, pour garantir un « tuilage capacitaire ». « Il s’agit de quatorze avions sur lesquels il est possible de faire des visites (de maintenance) assez simples et pour un coût limité  » soulignait le général Mercier.

 

Autre certitude, le premier escadron de l’armée de l’armée de l’Air à recevoir l’A400M « Atlas » sera le 1/61 « Touraine » qui évoluait auparavant sur Transall. L’escadron de transport devrait pouvoir annoncer une première capacité opérationnelle à l’automne 2014, au terme d’une expérimentation opérationnelle longue d’un peu plus d’un an. A cette date, le Touraine devrait être équipé de six Atlas. Le général Mercier a également révélé que tous les avions recevront un nom de baptême. Celui du premier avion mis en œuvre sur la base aérienne 123 d’Orléans Bricy sera logiquement… « Ville d’Orléans ».

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 11:55
Du livre blanc au Conseil européen de décembre: comment relancer l'Europe de la Défense ?

23.06.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense



(Encore) une (autre) conférence parlementaire intitulée "Du livre blanc au Conseil européen de décembre: comment relancer l'Europe de la Défense ?" se tiendra le jeudi 11 juillet, de 9h à 16h30, à la Maison de la chimie, 28 rue Saint-Dominique à Paris.

 

Organisée en collaboration avec l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques et en amont de la LPM, cette conférence réunira le 11 juillet prochain des députés (dont Jacques Gautier sénateur des Hauts-de-Seine, Vice-président de la Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, Elisabeth Guigou députée de la Seine-Saint-Denis, présidente de la Commission des affaires étrangères et Gwendal Rouillard député du Morbihan, secrétaire de la Commission de la défense nationale et des forces armées), le chef d'état-major des armées, des analystes, des représentants militaires et d'autres acteurs de la défense, ainsi que Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense.

 

Cette conférence abordera trois axes :
- L'Europe face aux crises futures,
- Quelles capacités militaires pour des opérations européennes ?, avec une question impertinente: "Quels abandons de souveraineté faut-il consentir ?" (la réponse, je le parie, le sera beaucoup moins...),
- Comment conserver une industrie de défense en Europe ? etc...

 

Programme complet en cliquant ici.

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 10:50
EADS Flags LBG 2013 - photo EADS

EADS Flags LBG 2013 - photo EADS

22 juin 2013 LesEchos.fr

 

PARIS, 22 juin (Reuters) - La faiblesse du dollar par rapport à l'euro est une situation qui n'est plus tenable pour l'industrie aéronautique européenne, dit Marwan Lahoud, directeur général délégué d'EADS, dans une interview à paraître dans le Journal du dimanche.

 

Le dirigeant s'exprime dans cet entretien à l'issue du Salon aéronautique du Bourget, près de Paris, où Airbus a signé en quatre jours la vente de 466 appareils, dont 20 A380.

 

"Notre objectif de 800 commandes sur l'année sera tenu", explique-t-il en estimant que, sur le long terme, Airbus et Boeing resteront "à 50-50".

 

Prié de dire ce qu'il a conseillé aux dirigeants politiques qui ont visité le salon, il répond : "De se battre contre un dollar beaucoup trop faible face à l'euro et de veiller à la compétitivité européenne. La situation n'est plus tenable."

 

"Tout le monde a compris que c'est l'industrie qui va régler les problèmes de l'Europe et non les services. Quand vous regardez les créations d'emploi ou les chiffres du commerce extérieur, vous voyez que l'économie tient grâce à l'aéronautique", ajoute-t-il.

 

Il exhorte également le gouvernement français à arrêter la dégradation de la compétitivité de la France par rapport à l'Allemagne pour assurer la survie de l'industrie française.

 

"Notre chance est d'être dans une industrie en croissance, sur le long terme, qui va embaucher 13.000 salariés cette année", souligne-t-il. "Elle peut amortir des chocs mais elle ne résistera pas éternellement à un coût du travail toujours plus pénalisant vis-à-vis de la concurrence internationale, voire européenne."

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 10:50
EADS Flags LBG 2013 - photo EADS

EADS Flags LBG 2013 - photo EADS

22 juin 2013 LesEchos.fr

 

PARIS, 22 juin (Reuters) - La faiblesse du dollar par rapport à l'euro est une situation qui n'est plus tenable pour l'industrie aéronautique européenne, dit Marwan Lahoud, directeur général délégué d'EADS, dans une interview à paraître dans le Journal du dimanche.

 

Le dirigeant s'exprime dans cet entretien à l'issue du Salon aéronautique du Bourget, près de Paris, où Airbus a signé en quatre jours la vente de 466 appareils, dont 20 A380.

 

"Notre objectif de 800 commandes sur l'année sera tenu", explique-t-il en estimant que, sur le long terme, Airbus et Boeing resteront "à 50-50".

 

Prié de dire ce qu'il a conseillé aux dirigeants politiques qui ont visité le salon, il répond : "De se battre contre un dollar beaucoup trop faible face à l'euro et de veiller à la compétitivité européenne. La situation n'est plus tenable."

 

"Tout le monde a compris que c'est l'industrie qui va régler les problèmes de l'Europe et non les services. Quand vous regardez les créations d'emploi ou les chiffres du commerce extérieur, vous voyez que l'économie tient grâce à l'aéronautique", ajoute-t-il.

 

Il exhorte également le gouvernement français à arrêter la dégradation de la compétitivité de la France par rapport à l'Allemagne pour assurer la survie de l'industrie française.

 

"Notre chance est d'être dans une industrie en croissance, sur le long terme, qui va embaucher 13.000 salariés cette année", souligne-t-il. "Elle peut amortir des chocs mais elle ne résistera pas éternellement à un coût du travail toujours plus pénalisant vis-à-vis de la concurrence internationale, voire européenne."

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21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 07:50
CEMA : rencontre avec le DSACEUR

17/06/2013 Sources : EMA

 

Le 07 juin 2013, l’amiral Edouard Guillaud, chef d’état-major des armées (CEMA), a rencontré le Commandant suprême adjoint des forces alliées en Europe (DSACEUR), le général britannique Richard Shirreff. Le DSACEUR est plus particulièrement chargé de recenser les forces requises pour les opérations de l’Alliance et d’organiser la génération de force auprès des pays membres. Il est également le commandant stratégique des opérations de l’Union européenne menées dans le cadre de l’arrangement de « Berlin + », notamment l’opération ALTHEA.

 

Cette rencontre s’inscrit dans le prolongement de la dernière réunion des chefs d’état-major de l’OTAN organisée trois semaines auparavant et centrée sur trois thèmes principaux : la mission de la force internationale d’assistance et de sécurité en Afghanistan (FIAS), la coopération au sein de l’Alliance et la transformation de l’OTAN.

 

Le CEMA et le DSACEUR ont abordé l’avenir de l’engagement de l’Alliance dans le cadre de la mission Resolute support qui succèdera à la FIAS à l’horizon 2014.

 

CEMA : rencontre avec le DSACEUR

Les deux autorités se sont ensuite entretenues sur les engagements opérationnels de l’OTAN et de l’Union européenne (UE) dans les Balkans. Evoquant l’engagement de la France au Kosovo dans le cadre de la KFOR, et en Bosnie Herzégovine dans l’opération de l’Union européenne (UE) ALTHEA, le CEMA a rappelé la nécessité de veiller à maintenir l’équilibre et la complémentarité de ces deux opérations. La question de la complémentarité des actions conduites par l’UE et l’OTAN a également été soulignée dans le domaine de la sécurité maritime.

 

Cet entretien a également été l’occasion pour le CEMA de rappeler le soutien de la France à une plus grande interopérabilité au sein de l’Alliance, conformément au principe de la Connected forces initiative (CFI). Les deux autorités ont plus précisément évoqué le partage de renseignement, pièce maîtresse de l’efficacité opérationnelle dans le cadre d’un engagement interallié et enjeu de coopération essentiel.

 

Cette rencontre a confirmé la qualité des relations que les armées françaises entretiennent avec l’OTAN et du rôle majeur que la France tient au sein de l’Alliance.

CEMA : rencontre avec le DSACEUR
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21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 07:50
EUROCONTROL and European Defence Agency Strengthen Military Dimension of European ATM
Paris | Jun 20, 2013 European Defence Agency
 
EUROCONTROL and the European Defence Agency (EDA) have strengthened in front of the aerospace & military community their ongoing relationship, defining a joint list of key priorities for the implementation of the Single European Sky in the military aviation sector. Areas of action include remotely piloted aircraft systems, coordination of SESAR deployment and satellite telecommunications.

The overall aim of the agreement, which was signed on 19 June at the Paris Air Show Le Bourget by Mr Frank Brenner, Director General of EUROCONTROL and Mme Claude France Arnould, Chief Executive of EDA is to ensure improved coordination and cooperation between civil and military air traffic resulting in the construction of a Single Sky in Europe for both military and civil air transport.

Under the terms of the arrangement, the two Agencies will cooperate closely in the following areas:

• Support to Single European Sky implementation, on operational aspects, (training, certification, development of an Advanced Flexible Use of Airspace Concept, considering ground ATM and airborne side, etc.);
• Military coordination in SESAR Deployment;
• Remotely Piloted Aircraft Systems (RPAS).

This cooperation may also extend to radiofrequency spectrum management, satellite-based applications and research and technology aspects.

“As a civil-military organisation, EUROCONTROL is fully committed through this new promising collaboration to increasing our collaboration with EDA to help the military community to be fully integrated in the Single European Sky. These arrangements also set up an optimum environment for the implementation of SESAR technology”, declared Frank Brenner, Director General of EUROCONTROL;

“This agreement will bring together the expertise of EUROCONTROL in civil military ATM coordination and EDA’s in developing and improving military capabilities. We share the common goal to support our respective Member States’ Ministries of Defence and to enable their air forces to keep their combat readiness while training and operating in a reshaped environment”, said Claude-France Arnould, Chief Executive of the European Defence Agency.

The two Agencies have been working together since 2008 and have, in particular been focusing on supporting their respective Member States on relevant military matters regarding Single European Sky implementation, including its technological pillar SESAR.
 
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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 17:55
Salon du Bourget 2013 : l’A400M fait son show

20/06/2013  DICoD - Economie et technologie

 

Quatrième jour du Salon du Bourget. La rédaction vous emmène au cœur de l’aéronautique militaire au travers de grandes thématiques de la Défense. Aujourd’hui, focus sur la capacité à projeter, avec l’A400 M.

 

C’est une des attractions principales du Bourget. Conçu par Airbus Military, l’A400 M est le nouvel avion de transport tactique, stratégique et logistique destiné à équiper l’armée de l’Air française. De la dimension d’un Hercule C-130, son prédécesseur, il est riche d’innovations et repousse les limites de la polyvalence. L’A400M ou « Atlas », son nom de guerre, sera tout aussi bien employé pour larguer des parachutistes, transporter du matériel lourd et volumineux, évacuer des blessés ou encore, ravitailler des aéronefs et des hélicoptères en vol.

Comme pour l'intervention française au Mali, la projection des forces et du matériel se fait souvent sur un théâtre d’opération éloigné du territoire national. L’A400M est capable de transporter 30 tonnes sur 4 500 km. « C’est un des premiers avions de transport militaire au monde avec de telles capacités » assure le capitaine Thierry Feuillet, pilote de la base aérienne d’Orléans-Bricy, avec à son actif 23h de vol et une trentaine d’atterrissages sur cet appareil. « Sa détectabilité et sa vulnérabilité sont réduites. C’est d’autre part, un avion à hélices d’une extrême manœuvrabilité avec par exemple, une inclinaison jusqu’à 120° commente le capitaine Feuillet, le pilote peut ainsi se concentrer sur sa mission sans se soucier des paramètres de vols ». Enfin, l’Atlas possède une très grande soute de 340 m3 et est capable de décoller et atterrir sur des pistes sommaires très courtes.

La démonstration, à la fois lente et sportive dans le ciel du Bourget a conquis les spectateurs. L'A400M est le fruit d'un consensus entre les ministères de la Défense de sept pays européens - France, Allemagne, Royaume-Unis, Espagne, Belgique, Luxembourg et Turquie. Les français auront le privilège de revoir l'A400M très prochainement : il  défilera lors de la fête nationale, le 14 juillet.

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 16:50
photo EDA 2013

photo EDA 2013

16/06/2013 latribune.fr(Reuters)

 

Dans un entretien au Sunday Times, le président exécutif d'EADS estime, au sujet du projet de fusion avorté avec BAE Systems, que cette "opportunité identifiée il y a un an a disparu pour des années."

 

Thomas Enders, le président exécutif d'EADS, exclut toute nouvelle tentative de rapprochement avec le britannique BAE Systems, dans un entretien au Sunday Times, estimant que les deux groupes ont tourné la page après l'échec du projet initié l'an dernier.

"Cette fenêtre a été refermée", a-t-il dit dans cet entretien publié à la veille de l'ouverture du Salon aéronautique du Bourget. "Les deux entreprises sont allées de l'avant. L'opportunité que nous avions identifiée il y a un an a disparu pour des années."

 

Le projet de fusion entre EADS et BAE, qui aurait créé un champion européen de l'aéronautique et de la défense, a été abandonné en octobre dernier faute d'avoir surmonté les obstacles politiques qui lui étaient opposés, notamment par l'Allemagne.

 

Dans l'entretien au Sunday Times, Thomas Enders explique également que le conseil d'administration d'EADS étudiera le mois prochain le cas de Cassidian, la filiale de défense du groupe. Mais il assure: "Nous ne sommes pas en train de nous désengager de la défense."

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 16:50
Cassidian CyberSecurity presents innovative cyber defense offering at the 50th Paris Air Show

Paris Air Show,  17 June 2013 - eads.com

 

        Innovative global cyber defense offering combining trusted security solutions and services with high-level human expertise.

        Cassidian CyberSecurity supports governments, critical national infrastructures and industries

        Cassidian CyberSecurity aims at becoming a European leader providing trusted high grade cyber security products and solutions

 

Cyber attacks today affect all sectors, especially those with high added value, including aeronautics. All organizations are threatened by the risk of intrusion into their systems by viruses or malwares; with these weapons, attackers can alter the data transmitted, steal confidential information or disrupt the activity of their target.

 

Given the growing number and diversity of cyber attacks, Cassidian CyberSecurity has been created to support governments, critical national infrastructures and industries in their daily fight against cyber threats. Cassidian CyberSecurity's expert teams are based in France, the UK and Germany where they work closely with the respective government authorities in order to put in place dynamic solutions needed to detect and combat these threats.

 

Cassidian CyberSecurity has developed a comprehensive approach. Combining high-level human expertise with innovative security solutions and services to effectively combat the attacks, this approach comprises seven steps ranging from awareness raising to post-recovery remote-monitoring.

 

On the occasion of Paris Air Show, Cassidian CyberSecurity presents these tools, in particular Cymerius®, which is a key component of real-time supervision of the most sensitive networks, providing the operators with a detailed reaction plan.

 

Jean-Micel Orozco, CEO of Cassidian CyberSecurity declares: “Paris Air show is a major opportunity to present our cyber security competences. Cassidian CyberSecurity aims at becoming a European leader providing high grade trusted cyber security products and solutions to its customers"

 

To achieve this goal, the company relies on an ambitious growth strategy. On 29 April, Cassidian CyberSecurity announced the acquisition of Arkoon Network Security, one of the key players in network security, information systems protection and data confidentiality. Six months after the acquisition of Netasq, this buyout is an additional step in Cassidian CyberSecurity's growth.

 

About CASSIDIAN

 

Cassidian, the defence division of EADS, is a worldwide leader in defence and security solutions. The company delivers advanced defence systems along the whole action chain from sensors through command & control systems to combat aircraft and unmanned air systems. In the area of security, Cassidian provides customers worldwide with border surveillance systems, cyber security solutions and secure communications. In 2012, Cassidian – with around 23,000 employees – achieved revenues of € 5.7 billion.

 

About Cassidian CyberSecurity

 

Cassidian CyberSecurity is a 100% Cassidian company entirely devoted to addressing the cyber security market across Europe and the Middle-East, operating from France, the United Kingdom and Germany. Cassidian CyberSecurity’s high-grade expertise includes “Cyber Defence & Professional Services” focusing on high-grade professional services and establishing Security Operation Centres; “Trusted infrastructure” aiming at cryptography, digital identity management and high-security national solutions, and “Secure Mobility”, focused on services for mobile device security. To reinforce its solutions and establish a European cluster for cyber-security products and services, Cassidian CyberSecurity took over Netasq in 2012 and of Arkoon Network Security in 2013. Cassidian CyberSecurity generated revenues of 80 million euros in 2012, with a workforce of 600 people, which it plans to double by 2017.

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 16:50
Flight Lieutenant Ian Abson [Picture: Senior Aircraftman Connor Payne, Crown copyright]

Flight Lieutenant Ian Abson [Picture: Senior Aircraftman Connor Payne, Crown copyright]

19 June 2013 Ministry of Defence

 

An RAF navigator has been awarded for heroism under fire while protecting civilians from attack by Gaddafi-regime forces in Libya in 2011.

 

Flight Lieutenant Ian ‘Abbo’ Abson was attached to the Armée de l’Air, the French Air Force, when he took part in the dangerous night-time missions near Tripoli that won him the Croix de la Valeur Militaire avec Etoile de Bronze (Cross of Military Valour with Bronze Star).

French Mirage 2000D aircraft
Flight Lieutenant Ian Abson, left, in the navigator's seat of a French Mirage 2000D aircraft [Picture: Crown copyright]

It is the second time the airman, now serving with the RAF’s iconic 617 ‘Dambusters’ Squadron, has received the honour from the French government; 2 years ago he received the same decoration for bravery on operations in Afghanistan when flying on a 3-year exchange posting with the French Air Force, operating the 2-seat Mirage 2000D attack fighter aircraft.

Flight Lieutenant Abson said:

I am honoured and humbled to be recognised in this way, although at the time I was just doing my job. In a way it’s a tribute to the close bonds formed between the RAF and the French Air Force in Libya and Afghanistan where we were, literally for me, fighting side-by-side.

It was a tremendous experience for me to serve with our French allies. I think we all learned a lot from each other which can only benefit both nations if we are called on to conduct future joint operations.

Flight Lieutentant Ian Abson being presented with his medal
Antoine Anfré (left) presents the French Cross of Military Valour with Bronze Star to RAF Flight Lieutentant Ian Abson [Picture: Petty Officer (Photographer) Derek Wade, Crown copyright]

He was presented with the award at a ceremony in London’s exclusive Carlton Gardens, a former residence of France’s wartime leader-in-exile General Charles de Gaulle.

The award was bestowed by Antoine Anfré, the Ministre Conseiller of the French Embassy, at a ceremony 73 years to the day from that on which de Gaulle made his historic appeal to the French people to fight on in a speech broadcast by the BBC on 18 June 1940.

Monsieur Anfré said:

I am delighted to be awarding Flight Lieutenant Abson the Cross of Military Valour with Bronze Star. This prestigious decoration was created in 1956 to honour individual defence personnel who have accomplished brilliant feats outside national territory in overseas missions and operations.

In 2011, Flight Lieutenant Abson took part in the Libya campaign. It was his feat of arms during this campaign which has earned him this decoration today. It is a pleasure and honour for me to award him this insignia, which testifies to the gratitude of the French Republic, which he served with courage.

French Air Force Mirage 2000D over Afghanistan
Flight Lieutenant Ian Abson in a French Air Force Mirage 2000D over Afghanistan (library image) [Picture: Senior Aircraftman Ben Tritta, Crown copyright]

In the citation for the medal, Flight Lieutenant Abson’s French Air Force superiors praise his ‘superb military qualities’.

It goes on to say:

On 28th March, Flight Lieutenant Abson led a patrol of 4 Mirage 2000D and 2 Rafale aircraft with distinction. During a night-time bombing mission south of the Libyan capital, Tripoli, he successfully destroyed high priority enemy buildings with several laser-guided bombs while under intense threat from ground-to-air defences.

He further showed his skill on reconnaissance missions on the 14th and 17th June when he destroyed 6 Libyan military vehicles that were about to harm the civilian population.

Thanks to his great tenacity and remarkable determination under enemy fire he directly contributed to the success of the coalition forces.

Because of his courage, his sense of responsibility and his selfless acts, he should be held as an example for our nation and he merits the award of the Cross of Military Valour with Bronze Star.

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 16:50
EDA Proposes Pooling and Sharing of Governmental SATCOM
Paris | Jun 20, 2013 European Defence Agency
 

At a high-level seminar on governmental satellite communication (SATCOM) at the International Paris Airshow “Le Bourget” on 19 June the European Defence Agency (EDA) presented and discussed its “Secure Telecom by Satellite” (SECTELSAT) concept for future governmental SATCOM.

 

Currently, five European nations operate military satellite communication assets: the United Kingdom, France, Italy, Spain and Germany. In the timeframe 2018-2025 all these assets will need to be replaced. This creates a unique opportunity for Pooling & Sharing this type of satellites which EDA is promoting with its “Secure Telecom by Satellite” (SECTELSAT) concept for a European-wide use of governmental SATCOM. The intergovernmental approach proposed by EDA suggests a cross-use of future governmental assets on a broader basis and significant synergies if future programmes can be coordinated.
“With its European Satellite Communication Procurement Cell (ESCPC), the European Defence Agency has already delivered a concrete Pooling & Sharing tool in the area of commercial satellite communications. Our proposal for governmental SATCOM goes one step further. Pooling & Sharing of critical assets is an opportunity as much as a necessity in times of tight defence budgets and eroding capabilities”, says Claude-France Arnould, Chief Executive of the European Defence Agency, at the opening of the high-level seminar.

 

Secure Telecom by Satellite

EDA’s concept includes the pooling of future assets with a coordinated approach to collect and harmonise national requirements of EU Member States that operate MILSATCOM, and possibly to pave the way for future cooperative ad hoc programmes. At the same time, it proposes to share future assets by leasing parts of governmental SATCOM for defence and security services to additional Member States (including Norway and Switzerland) with significant requirements. Future assets would also be shared by offering a new capability package that could benefit from EU funding for its internal and external connectivity needs through more resilient networks.

 

High-Level Seminar

The high-level seminar was divided into an open seminar on SATCOM policies and plans with speakers from the EDA, the EU Military Committee, the European Commission, the European Space Agency, EU Member States and industry representatives. During the closed afternoon session capability planners and governmental SATCOM programme managers discussed the way ahead, an action plan as well as possible Pooling & Sharing options.

 

Background

 In military operations satellite communications are fundamental for Communication, Command and Control. They also allow operational effectiveness of Intelligence, Surveillance and Reconnaissance platforms, including Remotely Piloted Aircraft Systems. In 2012 the Agency launched the European Satellite Communications Procurement Cell (ESCPC) to pool and share commercial satellite communications services. Five Member States (France, Italy, Poland, Romania and the United Kingdom) participate in a framework contract the Agency concluded with Astrium Services to use commercial bands. ESCPC can for instance support outsourced logistic services with the provision of a backbone network for any national, EU-led or coalition operation.

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 16:50
Claude-France Arnould, Chief Executive of the European Defence Agency

Claude-France Arnould, Chief Executive of the European Defence Agency

Brussels | Jun 20, 2013 European Defence Agency
 

In view of the recent publication of the Cyber Security Strategy for the European Union, the Irish Presidency, in association with the Estonian Ministry of Defence and the European Defence Agency, organised a high-level EU Cyber Security conference in Brussels on 20 June.

The conference aimed to advance the debate on European Union Member States’ preparedness to face cyber threats at national level and across the EU as a whole. The growth of cyber attacks on critical private, government and defence networks requires a coordinated response at the EU level and across Member States. To successfully counter this emerging cyber threat, cooperation between national security, defence, law enforcement and technical incident response organisations within and between Member States needs to be encouraged to identify and exploit synergies. The conference brought together key policy-makers across the EU cyber community to highlight preventative measures, the need for cooperation and crisis response procedures to the mounting cyber security challenge.

After keynote speeches delivered by Mr Alan Shatter, Ireland’s Minister for Justice, Equality and Defence and Mr Jaak Aaviksoo, Estonia’s Minister for Education and Research, as well as Commissioner Cecilia Malmström, the first panel concentrated on a strategic view as to how the EU can protect itself against cyber threats. Mr Maciej Popowski (EEAS), Amb Gabor Iklody (NATO), Mme Claude-France Arnould (EDA) and Amb Jean-François Blarel (French Ministry of Foreign Affairs) discussed how to develop increased information sharing, early warning, and crisis response as well as closer cooperation between EU and NATO. While the second panel looked at crisis response systems, the third panel discussed cyber resilience in the EU with a view to public and private cooperation. Looking ahead to the European Council in December including defence topics, the final session of the conference dealt with requirements and capability development in cyber security and cyber defence. Topics discussed were cyber defence requirements for CSDP operations, synergies between civil R&D and military R&T as well as cyber security/defence “Dual-Use” capabilities.

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