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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 07:30
Proche-Orient sans ADM: Moscou veut accélérer l'organisation d'une conférence

 

MOSCOU, 9 octobre - RIA Novosti

 

Le représentant de la Russie à l'Assemblée générale de l'ONU, Mikhaïl Oulianov, a appelé mercredi à lancer le plus vite possible des consultations à Genève réunissant tous les pays du Proche-Orient en vue de préparer une Conférence sur la création d'une zone libre d'armes de destruction massive (ADM).

"La convocation immédiate à Genève de consultations préparatoires rassemblant tous les pays du Proche-Orient contribuerait réunir au plus vite une Conférence sur la mise en place d'une zone libre d'ADM dans cette région", a déclaré le diplomate.

Lors de la discussion politique tenue le 8 octobre à la 68e Assemblée générale de l'ONU, M. Oulianov a regretté que la Conférence sur la création d'une telle zone au Proche-Orient n'ait pas eu lieu en 2012.

Selon le représentant russe, il est indispensable "d'utiliser l'impulsion engendrée par la décision de la Syrie de renoncer aux armes chimiques et par l'entente russo-américaine concernant la destruction de ces armes".

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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 07:25
Embraer selects Thales IFF systems for military aircraft upgrades

Oct 9, 2013 ASDNews Source : Thales Group

 

Brazilian aircraft manufacturer Embraer has awarded Thales a contract to supply IFF (Identification Friend or Foe) transponders for the upgrade of A1M fighters and E-99 AEW surveillance aircraft in service with the Brazilian Air Force. A total of 48 aircraft will be retrofitted with the new IFF transponders.

 

Thales will supply its TSC 2030 and TSC 2050 transponders, which are part of the company's BlueGate range of IFF products and provide a digital identification capability in line with NATO's MKXA standard. The aircraft equipped with the new IFF systems will be fully interoperable to overcome risks of friendly fire.

 

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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 06:55
Le Français et cadre d’Al Qaïda Naamen Meziche expulsé du Pakistan

09/10/2013 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

Naamen Meziche, un Français d’origine algérienne considéré comme un cadre d’Al Qaïda, a été placé en garde à vue à Paris après son expulsion par le Pakistan vers la France, rapporte l‘AFP.

 

Meziche est soupçonné d’être impliqué dans une filière d’apprentis djihadistes et des projets d’attentats en Occident, tout particulièrement en France.

 

Il avait été arrêté en mai 2012 par la police pakistanaise alors qu’il voyageait en bus avec trois autres Français dans le sud-ouest du pays, non loin d’un bastion présumé d’Al Qaïda.

 

Après seize mois de détention, Meziche a donc été expulsé par le Pakistan qui l’a conduit dans la nuit de lundi à mardi à l’aéroport d’Islamabad, d’où il s’est envolé sous bonne escorte pour Paris via Dubaï.

 

Arrivé dans l’après-midi à Paris, il a été aussitôt interpellé et placé en garde à vue par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), le «FBI» français en matière de renseignement.

 

Les trois autres Français qui voyageaient avec lui avaient quant à eux déjà été expulsés vers la France où ils ont été mis en examen pour «association de malfaiteurs en vue de commettre des actes terroristes» et placés en détention provisoire.

 

Meziche devrait vraisemblablement être poursuivi et incarcéré pour le même motif

 

Les enquêteurs français espèrent d’ailleurs que la confrontation entre les trois autres Français et Meziche permettra d’en savoir plus sur cette filière et son rôle exact au sein d’Al Qaïda.

 

Toutefois, la justice française pourrait aussi le poursuivre simplement sur la base d’éléments judiciaires fournis par les services allemands, remontant à l’époque où il habitait en Allemagne, où il était chargé de recruter de nouveaux aspirants au djihad venant d’Europe, et aurait également planifié plusieurs attaques en Europe et en Australie, sur le modèle de celles de Bombay, en Inde, qui avaient fait plus de 140 morts en novembre 2008.

 

En outre, les services de renseignement occidentaux et pakistanais ont aussi présenté Meziche comme un proche de Younis Al-Mauritani, un important cadre d’Al-Qaïda arrêté au Pakistan six mois auparavant.

 

Selon l’armée pakistanaise, Younis Al-Mauritani avait été chargé personnellement vers les années 2000 par Oussama ben Laden de planifier des attentats contre des cibles économiques importantes aux États-Unis, en Europe et en Australie

 

La zone Afghanistan-Pakistan continuerait ainsi d’attirer les djihadistes étrangers, y compris français, même si leur nombre semble avoir fortement dominué ces dernières années avec l’apparition d’autres fronts au Moyen-Orient, notamment en Syrie, ou en Afrique, comme au Mali.

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 16:50
Nouvel hélicoptère NH90 dans le ciel belge

08/10/13 Virginie Flawinne– MIL.be

 

Ce mercredi 2 octobre 2013, la Défense fêtait l'arrivée du premier NH90 sur le territoire belge. La base aérienne de Beauvechain et ses invités ont assisté à l'atterrissage de cet appareil, symbole d'une nouvelle ère.

 

L'appareil en question avait déjà fait un passage remarqué en Belgique, lors du défilé du 21 juillet. L'arrivée ce mercredi au 1er Wing de Beauvechain du premier hélicoptère de transport de la Défense est historique. Ne remplaçant aucun appareil, il constitue un nouveau créneau développé conjointement par plusieurs pays membres de l'OTAN.

 

« En tant qu'hélicoptère de transport tactique, il apporte une nouvelle capacité à notre flotte », précise le colonel Georges Dejaeger, commandant du 1er Wing. « C'est un engin résolument nouveau pour nous », explique le lieutenant Valéry Dessers, pilote instructeur. « On passe d'un système analogique à un système numérique qui permet beaucoup plus de choses dont notamment voler en conditions de très mauvaise visibilité. »

 

À ce titre, le NH90 est déployable sur tout type de théâtre d'opération et par tous les temps. Le partenariat que la Belgique a instauré avec différents pays lui permet par ailleurs de partager l'organisation de la formation mais aussi la gestion des stocks.

 

Sorti des lignes de productions le 21 décembre 2012, cet hélicoptère était grandement attendu. Maintenant que la formation initiale des pilotes et des mécaniciens est terminée, le programme d'entraînement en Belgique peut débuter.

 

« Cela faisait longtemps que nous l'attendions et nous nous réjouissons de le voir enfin en exercice dans notre ciel », conclut le colonel Dejaeger.

 

Photos >> : Daniel Orban –

 

Vidéo : Wim Cochet

Nouvel hélicoptère NH90 dans le ciel belge
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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 16:50
U.S. to move 200 Marines to Italy base after Libya raid

09 October 2013 defenceWeb (Reuters)

 

The United States will move about 200 Marines to a U.S. base at Sigonella, Italy from one in Spain in the next day or so, U.S. military officials said on Tuesday, bolstering the U.S. ability to respond to any crises after its raid in Libya.

 

The move comes after a U.S. special operations forces captured a senior al Qaeda figure in Libya on Saturday and whisked him to a warship for questioning.

 

One U.S. military official called the Marines' move to Naval Air Station Sigonella a "prudent, precautionary" measure after the Libya raid.

 

The Marines are part of the Special Purpose Marine Air-Ground Task Force-Crisis Response, which was created after last year's attack on the U.S. diplomatic compound in Benghazi, Libya to bolster U.S. response capabilities in north and west Africa.

 

 

Libyan militant groups angered by Saturday's raid have taken to social networking sites to call for revenge attacks on strategic targets, including gas-export pipelines, planes and ships, as well as for the kidnapping of Americans.

 

In the operation, U.S. special forces seized Nazih al-Ragye, known by his alias Abu Anas al-Liby - a Libyan who is a suspect in the 1998 bombings of U.S. embassies in Kenya and Tanzania that killed 224 civilians.

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 16:45
The Denel Umkhonoto surface to air missile

The Denel Umkhonoto surface to air missile

 

 

09 October 2013 by defenceWeb

 

Denel has successfully tested the land-based version of its Umkhonto surface-to-air (SAM) missile at the Denel Overberg Test Range, where the weapon destroyed targets at a range of 20 km.

 

The live fire exercises, carried out between October 1 and 3, were the first with the land-based version of Denel Dynamics’ naval Umkhonto SAM. Denel said that observers from nine countries joined officials from the Ministry of Defence, Armscor and the SANDF to witness the firing.

 

During the demonstration three missiles successfully destroyed low-cost aerial target systems (LOCATS – provided by the South African Army), two at 15 km range and one at 20 km. The targets were launched from Denel’s range at the southern tip of Africa and flew out to sea before turning inshore on an elliptical track. The successful ground-based firing tests proved that the range of the Umkhonto has now been extended to 20 km while the physical dimensions of the missile remain unchanged, Denel said.

 

The targets were engaged by the Umkhonto missiles in their lock-on-after-launch mode. The Reutech Radar Systems new RSR-320 dual-band 3D radar provided mid-course guidance updates to get the missiles within range of their infrared seekers.

 

The Umkhonto SAM system was developed by Denel Dynamics for the SA Navy’s Meko A200 class frigates, and is in service in both Block 1 and Block 2 versions. The Block 2, with a range of 15 km, is also used by the Finnish Navy aboard its Hamina class corvettes and Hämeenmaa class mine layers. The Block 2 variant features a 3 km greater range and a seeker aimed at processing cluttered environments, especially in look-down mode. The Umkhonto has reportedly been selected by Algeria for use on its Meko frigates.

 

Denel said the newly-developed ground-based launcher now provides an alternative that can also be used by the SA Army for Phase 2 of its Ground-based Air Defence System (GBADS) – a project that is also managed by Denel, the company said. The RSR-320 radar could also be used for GBADS Phase 2.

 

The RSR-320 radar was developed from the 2D Thutlwa ESR 220 radar, currently in service with the South African Army, and designed as a missile guidance radar, according to IHS Janes.

 

Riaz Saloojee, the Group Chief Executive Officer of Denel said the successful testing of the recently modified Umkhonto missile demonstrated the company’s global leadership in the development and manufacturing of guided weapons. This was the first time an integrated air defence system developed entirely in South Africa was demonstrated.

 

“Our local defence industry can develop products that are comparable and better than what is available in the rest of the world,” said Saloojee. “This contributes to the strategic capabilities of the SANDF and strengthens the high-technology proficiencies of the defence sector.”

 

Denel Dynamics is developing a longer range Umkhonto variant with a range exceeding 20 km, as well as a radar-guided version.

 

In collaboration with Brazilian partners Denel is also developing and testing its new generation air-to-air missile, the A-Darter.

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 16:45
No time constraints for U.S. in holding Libyan on ship: experts

09 October 2013 defenceWeb (Reuters)

 

A terrorism suspect grabbed in Libya by U.S. special forces will likely be held on a Navy ship until interrogators decide he has provided as much information as he is going to, and there are no legal constraints on how long that may be, experts said Tuesday.

 

But while the U.S. government is not running against a legal clock to hold al Qaeda suspect Nazih al-Ragye, it will not want to keep him too long on board the USS San Antonio at sea, which could prompt accusations of flouting Geneva Conventions, U.S. experts say.

 

Also known as Abu Anas al-Liby, he was snatched from the streets of Tripoli over the weekend and is being questioned on the ship by a specialized interrogation team for high-value suspects.

 

While the U.S. government has not said what the next step will be for Liby, experts say he is likely to be brought to stand trial in New York where there is a federal indictment against him.

 

In 2011, a Somali man suspected of helping al Qaeda, Ahmed Abdulkadir Warsame, was held on a U.S. Navy ship for questioning for over two months without being advised of any legal rights before being brought to New York City to face charges.

 

One U.S. official said there was no time constraint necessarily associated with Liby's confinement. He was being held on an amphibious transport dock ship that can transport helicopters and hundreds of Marines.

 

"It doesn't matter the length of time as long as (he's held) in a humane condition," the official said, speaking on condition of anonymity.

 

MILITARY DETENTION

 

Senior al Qaeda operatives are subject to military detention under a 2001 authorization for the use of military force, and there is no requirement that they be held in a particular place, Stephen Vladeck, a professor at American University Washington College of Law, said.

 

"I do think the longer they hold him (on ship) the more they risk their legal position in a subsequent criminal case," he said. "That's the administration's calculation - that they want to hold him, but not so long that it's going to be really, really hard to get a judge to sign off when they ultimately do prosecute him."

 

U.S. government officials have also been very careful to say that no decision has been made on whether Liby will be tried in a civilian or a military court because such declarations might influence subsequent judicial proceedings, U.S. experts said.

 

The raid in Tripoli was carried out by the U.S. Army's special operations Delta Force rather than the CIA, which grabbed a suspect off the streets of Italy a decade ago in a famous case of a U.S. abduction of a terrorism suspect.

 

Hina Shamsi, director of the national security project at the American Civil Liberties Union, said the U.S. raid to grab Liby off the streets in a foreign country was the first reported "rendition" of its kind under the Obama administration.

 

President Barack Obama has little doubt of Liby's involvement in plots against Americans. The Libyan is accused in the 1998 bombings of the U.S. embassies in Kenya and Tanzania that killed 224 civilians.

 

"We know that Mr. al-Liby planned and helped execute plots that killed hundreds of people, a whole lot of Americans. And we have strong evidence of that. And he will be brought to justice," Obama told a news conference in the White House.

 

It remained unclear what precisely the Libyan government knew about the operation to snatch Liby and when exactly it was informed.

 

Libyan Prime Minister Ali Zeidan said Libyans accused of crimes should be tried at home but the raid in which Liby was grabbed in Tripoli would not harm ties with Washington.

 

Charles Stimson, a national security law expert at the Heritage Foundation, a conservative think tank, said he believed Liby could be held an extended period aboard the ship without any serious risk to the government's case against him in a criminal court.

 

"Will a long period of time, 20, 30, 60 days on the ship, unnecessarily complicate the ability to try him in federal court? I think the answer is no," he said.

 

The U.S. administration is not saying what the plan is for Liby other than to bring him to justice.

 

"The administration is worried that anything it says could be used later on to say the clock should have started the second they said we are going to prosecute him," Vladeck said.

 

State Department spokeswoman Marie Harf said the United States had been in touch with the International Committee of the Red Cross about Liby and "he's being treated humanely," but she declined to comment on the next step.

 

Daniel Benjamin, a scholar at Dartmouth College and former counterterrorism coordinator at the State Department, said operations in which the United States pursues criminal suspects overseas is not a new phenomenon.

 

"In the case of the Libya operation it puts the Obama administration square in a tradition that goes back to the Reagan administration of pursuing people for whom there are indictments and confirming the United States never gives up on any of these cases," he said.

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 16:45
SEDE debates EU Border Assistance Mission in Libya
08-10-2013 SEDE

 

The SEDE subcommittee will exchange views with Col. Antti Hartikainen, Head of Mission, and Hansjörg Haber, Civilian Operations Commander and Director of CPCC, on EUBAM Libya.
 
When : 14 October 2013, 16:00-17:00

Further information
meeting documents
 
 
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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 16:45
SAS Spioenkop departs Simons Town for West Africa

SAS Spioenkop departs Simons Town for West Africa

09 October 2013 by Dean Wingrin - defenceWeb

 

The South African Navy frigate SAS Spioenkop departed Simon’s Town Wednesday morning on a patrol along the west coast of Africa, destined for Dakar in Senegal.

 

During her six-week voyage, the South African warship will be visiting Walvis Bay (Namibia), Luanda (Angola), Tema (Ghana) and Lagos (Nigeria) prior to arriving in Dakar where she will support the South African contingent participating at the Sea Power for Africa Symposium.

 

The patrol, known as INTEROP WEST, is a military diplomacy mission, showing the flag in each of the ports. En route, the ship will exercise with various African Navies and allow naval officers of different countries to sail on board.

 

According to Capt Chris Manig, Commander of the Frigate Squadron, the actual exercises will be decided by the ship and the host country whilst the ship is alongside.

 

“We won't have any specific requirements that we want to exercise with our neighbours, it's more about what they would like to do with us on areas that they want to brush up on,” Manig explained.

 

“We'll look at the visiting country's capacity in terms of their navy and any specific outcomes they want to concentrate on and then we'll discuss a program around that,” he continued.

 

The exercises will possibly concentrate on maritime interdiction and anti-piracy type operations, including anti-piracy boarding training.

 

Commanded by Captain MA Boucher, the Spioenkop has a crew of 180, together with a dozen Maritime Reaction Squadron (MRS) members and four specialists from the South African Military Health Services (SAMS). The South African Air Force contingent with a Super Lynx maritime helicopter had to pull out at the last minute due to serviceability issues with the helicopter.

 

Whilst a blow to the Navy, Manig put on a brave face. Spioenkop is due to replace SAS Isandlwana on Operation Copper, the anti-piracy mission in the Mozambique Channel, in January next year.

 

“We will definitely be taking a helicopter (then), so we will catch up on what we couldn't achieve on this particular trip, Manig said, “So it is of no real concern to us.”

 

The west coast of Africa, particularly the Gulf of Guinea and the Niger Delta, is a high piracy threat area. The Navy says that the pirates in the area are getting more and more brazen in terms of who they board and who they take hostage. As the navies in the area have their own practices in place to counter the piracy threat, the Spioenkop will not be going out and actively looking for any pirates.

 

However, Manig explained that they may be called upon to assist whilst they are in the area as they have the capability of assisting with the MRS boarding teams and boats onboard. Thus, the MRS is capable of intercepting and boarding any suspicious vessels as part of the anti-piracy objectives or hijacking at sea.

 

Once alongside in Senegal, the ship will participate in the 4th Sea Power for Africa Symposium from 4 to 8 November 2013. Attended by Chief of the South African Navy, Vice Admiral Refiloe Mudimu, the Symposium is attended by Chiefs of the navies or their representatives from most of the African coastal and inland navies, together with observers from international navies. It aims at identifying, prioritising and resolving various maritime issues facing Africa.

 

Spioenkop will also act as a display platform for the South African Defence Industry, where Denel will be showcasing various defence industry products and hardware.

 

Having spent 10 days in Senegal, Spioenkop will depart on 11 November and passage direct to Simon’s Town, arriving on 22 November.

 

Spioenkop recently participated in Ex Shared Accord, the joint South African/ US Armed Forces exercise that was held in the Eastern Cape in July this year.

 

INTEROP WEST and INTEROP EAST are generally held alternatively each year, with the aim of building and maintaining co-operation with navies along the coast of Africa.

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 16:30
Le lieutenant-général Beny Gantz visitant le plateau du Golan en 2013.

Le lieutenant-général Beny Gantz visitant le plateau du Golan en 2013.

Tsahal

 

Le lieutenant-général Benny Gantz a parlé mardi au Centre des Études Stratégiques Begin-Sadat, où il a soulevé les menaces que l’armée israélienne pourrait rencontrer dans un futur proche. Il a souligné que, bien que les organisations terroristes aux portes d’Israël pourraient engager le pays dans des affrontements sur toutes ses frontières, “nous sommes assez forts pour faire face à tous les défis, l’attendu comme l’inattendu.”

 

Des missiles frappant le siège de Tsahal à Tel-Aviv, des officiers supérieurs kidnappés et une cyberattaque de grande envergure, voici quelques-uns des scénarios possibles auxquels Tsahal pourrait faire face d’ici 2025 selon le chef d’état-major, le lieutenant général Benny Gantz. Il a détaillé les menaces que l’armée israélienne pourrait avoir à affronter dans les dix prochaines années lors d’une allocution au sommet Vision 2020 qui s’est tenue au Centre des Études Stratégiques Begin-Sadat.

“C’est une guerre qui pourrait commencer par un missile frappant avec précision le bâtiment de l’état-major de Tsahal au cœur de la Kirya [siège de Tsahal] à Tel Aviv, ou par une cyberattaque sur les sites qui offrent des services quotidiens aux citoyens d’Israël, comme les centrales électriques ou les banques”, précise le lieutenant-général Gantz.

Selon le chef d’état-major, une telle attaque conduirait à des développements beaucoup plus complexes. “Un tunnel rempli d’explosifs pourrait permettre l’effondrement d’un terrain ou encore un assaut massif pourrait se produire sur une ville israélienne près de la clôture de sécurité. Dans le pire des cas, il pourrait s’agir d’une combinaison de tout ce que j’ai évoqué”, insiste t-il.

 

hamas-underground-tunnel

Tunnel sous-terrain découvert près de la frontière avec l’Égypte. Photo d’archive.

Le chef d’état-major a ensuite décrit un scénario qui pourrait dégénérer en une guerre sur plusieurs fronts. Il prend l’exemple hypothétique d’une mine qui pourrait exploser lors d’un passage d’une jeep en patrouille sur le plateau du Golan, tandis qu’une autre patrouille serait sous le feu d’un missile antitank. Le chef d’état-major ajoute à ce scénario le kidnapping de trois soldats, dont l’un serait chef de bataillon. “La responsabilité de l’incident sera probablement portée par une organisation terroriste, se réclamant du  Djihad mondial ou d’une autre organisation sans affiliation particulière.” précise t-il.

“Cette organisation terroriste hypothétique pourrait enflammer la région avec une guerre immédiate sur plusieurs fronts”, explique t-il. Dans une telle situation, suite à la réponse israélienne, le Hezbollah pourrait commencer à lancer des missiles sur les collectivités du nord d’Israël, tout en tentant de franchir la frontière. La précision de leurs missiles va augmenter considérablement et si le Hezbollah choisit de frapper une cible particulière présente n’importe ou sur le territoire israélien, il en aura la capacité”, a déclaré le lieutenant-général Gantz.

Dans ce même scénario théorique, des missiles pourraient être lancés par des groupes terroristes sur la ville israélienne d’Eilat à partir du Sinaï en coordination avec le Hezbollah, alors que les terroristes du Hamas pourrait attaquer le passage d’Erez entre Israël et la bande de Gaza et avancer en direction de la brigade de Tsahal se trouvant au nord de Gaza. “Cela vous semble improbable ?”, demanda le chef d’état-major à l’auditoire. “Je ne crois pas.” a t-il répondu.

 

Le Dôme de Fer a intercepté pour la première fois en 2013 un missile tiré depuis le Sinaï par des terroristes sur la ville d'Eilat.

Le Dôme de Fer a intercepté pour la première fois en 2013 un missile tiré par des terroristes sur la ville d’Eilat depuis le Sinaï .

Des changements géopolitiques majeurs

Le chef d’état-major s’est inspiré de la situation géopolitique instable aux portes d’Israël actuellement pour imaginer ce scénario hypothétique. “Le Sinaï est devenu un no man ‘s land utilisé comme base d’entraînement par des organisations terroristes, ce que les spécialistes de la région n’imaginaient pas il y a encore moins de deux ans,” a t-il dit.

Les autorités du Hamas, qui utilisent la bande de Gaza comme foyer pour ses activités terroristes et la contrebande d’armes via les tunnels avec l’Égypte, ont récemment rencontré des difficultés. “Le Hamas fait face à des portes qui se ferment alors qu’il pensait qu’elles resteraient toujours ouvertes. De ce fait, il est contraint de développer des moyens créatifs dont il n’avait pas besoin jusqu’alors”, a déclaré le lieutenant-général Gantz.

La frontière nord d’Israël a également changé. “Le paysage serein du plateau du Golan, parsemé de verdure et de cours d’eau paisibles, pourrait devenir en un instant un champ de bataille de sang, de feu et de fumée”, a t-il ajouté.

Selon le chef d’état-major, chaque petit incident pourrait enflammer la frontière. “Le transfert stratégique d’armes qui arriveraient dans les mauvaises mains, la découverte de tunnels pour pénétrer dans le territoire israélien, un engin explosif qui frappe une patrouille… Ce ne sont que quelques exemples précis, mais pertinents et réels qui se sont déroulés ces derniers mois et qui pourraient dans l’avenir nous obliger à finir nos journées d’une manière dont nous ne souhaitons pas”, a expliqué le lieutenant-général Gantz.

Un terrorisme mondial coordonné

Parmi les principales menaces qui pèsent sur l’armée israélienne aujourd’hui, on compte aussi la montée en puissance de groupes terroristes stationnés près des frontières d’Israël et de la possibilité d’une coordination entre ces groupes dans différents pays. “Ils existent dans des réseaux communs qui opèrent dans les mêmes forums”, a expliqué le lieutenant-général Gantz.

Parallèlement à ces défis, la cyber menace prend de l’ampleur, ce qui pourrait mettre les réseaux civils en première ligne en cas de conflit. “L’ennemi va aspirer à agir dans le domaine virtuel en infiltrant les réseaux informatiques et en semant la panique ” a t-il ajouté.

À la lumière de ces menaces, l’armée israélienne met en place des exercices de grande envergure pour se préparer à toutes les éventualités. Dans le cas d’un incident sur plusieurs fronts et en plusieurs étapes, le chef d’état-major explique qu’il serait capable de suivre tous les événements qui se déroulent dans les airs, en mer, sur terre, sous terre et sur les réseaux de communication à partir de la salle de guerre de l’état-major installé sous le siège de Tsahal. Ainsi, toutes les forces combattantes en mission sur le terrain seraient coordonnées.

Afin de relever ces défis, l’armée israélienne a besoin de soldats professionnels, de soldats bien entraînés et de forces qui supportent les combats et les activités opérationnelles. “Nous devons nous assurer que nous sommes là, prêts à faire face à toute menace et apporter toutes les réponses nécessaires”, a déclaré le lieutenant-général Gantz.

Plus petit, plus fort, plus rapide

Le chef d’état-major a noté que “les coupes budgétaires de la défense qui nous ont été imposées ont accéléré le rythme de changement et nous ont obligés à prendre des risques.” Le lieutenant-général Gantz a ensuite ajouté qu’”à la lumière des conclusions concernant le budget, nous devons agir plus rapidement que ce que nous espérions. Néanmoins, une telle réalité nous oblige à assurer notre sécurité avec les ressources adéquates “.

Compte tenu de la situation actuelle, le chef d’état-major a souligné l’obligation de l’armée israélienne de développer ses ressources humaines et d’améliorer les armes actuelles. “Les missiles que nous utilisons seront plus avancés et plus précis, les hélicoptères se déplaceront plus rapidement et éviteront les tirs ennemis et les soldats seront mieux équipés, mieux formés et plus adaptés à leurs missions”, a t-il dit.

Les soldats non-combattants prendront aussi une part conséquente dans la mission de défense du pays. “Nous aurons besoin, pas moins qu’aujourd’hui, du soutien aux soldats combattants : le mécanicien qui prépare l’avion de chasse, le personnel de logistique qui équipent le combattant avant une opération et l’analyste des photographies aériennes pour guider les frappes ciblées. Aucun soldat sera secondaire”, a souligné le lieutenant général Benny Gantz.

Le chef d’état-major a conclu par sa confiance en les capacités de Tsahal à faire face à toutes les menaces. “La boussole que nous avons développée pour l’avenir nous ouvre déjà une nouvelle voie. Nous sommes assez forts pour faire face à tous les défis, l’attendu et l’inattendu, et il est de notre devoir d’investir tout ce qui est nécessaire pour fournir les réponses adéquates, même en regardant plusieurs années dans le futur”.

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 15:55
Photos à l'appui! Les pilotes du Belfort à Holloman AFB...

09.10.2013 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

L'armée de l'Air vient de diffuser trois clichés des six pilotes de l'escadron Belfort en formation sur Reaper sur la base de Holloman. Après une photo de Reaper prise en Afghanistan, voici donc un échantillon photographique pour illustrer l'avancement du dossier RPA ("remotely piloted aircraft").

Pour lire les deux derniers posts à ce sujet, cliquer ici et ici.

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 15:50
Personne n’est laissé de côté sur la base aérienne de Cazaux , au CJPRSC

09/10/13 Stijn Verboven – MIL.be

 

Vingt-neuf militaires apprennent actuellement en France comment libérer leurs collègues qui se sont écrasés ou qui ont simplement atterri dans un territoire ennemi.  Du 25 septembre au 11 octobre 2013, ils prennent part, sur la base aérienne de Cazaux , au Combined Joint Personnel Recovery Standardization Course (CJPRSC).

 

La plupart des militaires belges à Cazaux proviennent du 1 Wing de Beauvechain. Ils ont emporté avec eux trois hélicoptères A109.  Durant les exercices, ils utilisent essentiellement leur appareil pour fournir un appui-feu aux plus grands hélicoptères.

 

Personne n’est laissé de côté sur la base aérienne de Cazaux , au CJPRSC

Au total, plus de 400 pilotes, techniciens et personnes au sol issus de quatorze pays participent à l'exercice grande échelle organisé par l'European Air Group (EAG). L'un des organisateurs est le commandant Sébastien Devue : «  Le personnel recovery, c'est la récupération de personnes en territoire ennemi. Nous ne formons pas uniquement des militaires entrainés, mais également du personnel qui n'est pas équipé ou formé à faire face à ce genre de situation ».

 

Durant deux semaines, les pays participants tentent d'améliorer leur connaissance, de travailler plus efficacement ensemble et d'accorder leurs procédures. Avec tous ces appareils, langues et procédures, il n'est pas évident de mener à bien une opération, mais c'est en forgeant qu'on devient forgeron.

 

Photos : Jürgen Braekevelt

 

Vidéo : Erwin Ceuppens

Personne n’est laissé de côté sur la base aérienne de Cazaux , au CJPRSC
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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 11:55
Les Rafale français passent le cap des 100.000 heures de vol

09/10/2013 Par Guillaume Steuer – Air & Cosmos

 

Le cap est symbolique : au cours de l'été, la flotte de Rafale français a franchi la barrière des 100.000 heures de vol réalisées sous les couleurs de l'Aéronautique navale et de l'armée de l'Air.

 

Le bilan inclut les heures de vol réalisées entre 2000 et 2008 par les Rafale au standard F1 de la Marine, qui sont aujourd'hui en chantier de retrofit.

 

Au 1er octobre 2013, 122 Rafale avaient été livrés aux forces françaises : 38 Rafale M à la Marine et 84 Rafale B/C à l'armée de l'Air, dont 44 monoplaces et 40 biplaces. Le projet de loi de programmation militaire prévoit d'en livrer 26 supplémentaires entre 2014 et 2019.

 

Sur 100.000 heures de vol, cinq Rafale ont été perdus, dont quatre dans la Marine. Aucun de ces accidents n'a toutefois été causé par une avarie technique, le facteur humain ayant été prédominant dans tous les cas.

 

En septembre 2013, le consortium Eurofighter rappelait que la flotte mondiale de Typhoon avait franchi le cap des 200.000 heures de vol réalisées par ses clients. Environ 380 appareils avaient alors été livrés aux six pays utilisateurs de l'avion.

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 11:50
Military Airworthiness Conference 2013

Aix-en-Provence | Oct 08, 2013 European Defence Agency

 

The Military Airworthiness Conference 2013 took place on 25-26 September in Aix-en-Provence, France. This was the 5th conference arranged under the auspices of the Military Airworthiness Authorities (MAWA) Forum and built upon the success of previous EDA Military Airworthiness Conferences and workshops that had been organised in the Czech Republic, Sweden, Poland and Cyprus. 

 

This year presentations focused on "Building upon the foundations of military airworthiness harmonisation in order to realise future benefits” and on exploring the way forward now that the full suite of European Military Airworthiness Requirements (EMARs) and other associated documents will be available in the near term. 

 

The conference brought together 95 military airworthiness experts from European Member States, governmental organisations, aerospace industry and the European Aviation Safety Agency as well as representatives from Australia, Canada, the Republic of Korea, Singapore and Turkey.

 

The wide variety of presentations, interspersed with valuable Q&A sessions and discussions, posed a number of challenging questions for the Military Airworthiness community, as well as providing an exciting insight into the way-forward for European Military Airworthiness. The conference provided key opportunities for networking, ensuring that delegates were able to maximise their time with each other and to follow-up individual  presentations with more detailed discussions of specific national issues. 

Conference feedback from all attendees has been very positive, and will provide further impetus to the EDA-chaired MAWA Forum as it prepares for the national consultation of several critical documents over the next few months, including EMAR 66 and the Acceptable Means of Compliance & Guidance Material linked with EMAR 21 and EMAR 147.

 

More information

  • All presentation held at the 5th MAWA Conference are available here.

  • Pictures of the conference are available here

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 11:50
News Digest October 2013 - EU Defence Agency

09.10.2013 European Defence Agency

Latest news

 

First Collective Air-to-Air Refuelling Clearance Trial First Collective Air-to-Air Refuelling Clearance Trial
 

The European Defence Agency, Italy and the Movement Coordination Centre Europe (MCCE) jointly organise the first collective European Air-to-Air Refuelling (AAR) clearance trial on the Italian KC767. Starting on 5 September, aircraft from France (Mirage 2000, Rafale) and Sweden (Gripen) participate in the campaign to obtain technical and operatio...

 

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Military Airworthiness Conference 2013Military Airworthiness Conference 2013
 

The Military Airworthiness Conference 2013 took place on 25-26 September in Aix-en-Provence, France. This was the 5th conference arranged under the auspices of the Military Airworthiness Authorities (MAWA) Forum and built upon the success of previous EDA Military Airworthiness Conferences and workshops that had been organised in the Czech Republ...

 

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Call for Submissions: EDA-Egmont PhD PrizeCall for Submissions: EDA-Egmont PhD Prize
 

The European Defence Agency (EDA) in partnership with Egmont Institute has the pleasure of inviting the best and the brightest of European academic scholars to submit their candidacy for the EDA-Egmont PhD Prize in Defence, Security and Strategy. If you have been awarded a PhD in the last academic year or beginning of current academic year (1 Se...

 

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Naval Challenges in the ArcticNaval Challenges in the Arctic
 

The European Defence Agency, together with the Permanent Representation of Finland to the European Union today hosted a conference on the "Naval Challenges in the Arctic Region" highlighting the conclusions of a long term analysis conducted by the Wise Pen Team International. Pilvi-Sisko Vierros-Villeneuve, Ambassador and Permanent Representativ...

 

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EU US Defence Data 2011

EU US Defence Data 2011
 

EDA has compared the 2011 defence expenditure of its participating Member States with that of the United States for the same year. The data show that the US spent €503 billion on defence in 2011 compared to €193 billion spent in the EU: around 2,5 times more. In 2011, the governments of the 26 EDA pMS spent a total of €193 billio...

 

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 11:50
C-IED Manual Neutralisation Techniques Courses and Exercises
Brussels | Oct 08, 2013 European Defence Agency
 

Austria, Belgium, Germany, Ireland, Italy and Sweden signed today a Letter of Intent expressing their interest in pooling resources and expertise for the setting up of a shared C-IED Manual Neutralisation Techniques courses and exercises capacity. Improvised Explosive Devices continue to pose significant threat to military and civilian personnel. In some cases complex explosive devices have to be neutralised manually.

 
Member States (MS) earlier this year expressed their wish to increase efforts on Manual Neutralisation Techniques (MNT) due to an urgent but limited requirement which does not justify separate, national training programmes in this cost-intensive area. Austria as lead nation proposed and developed a four year MNT project under the umbrella of the Pooling & Sharing Countering IED Training initiative with the intention to conduct one MNT course and exercise a year. The training of Manual Neutralisers is highly cost-intensive due to equipment and specialist’s advisory role. The role of Manual Neutralisers is life saving and is a priority for participating Member States.

 

With today’s letter of intent, the signatory countries express their interest to cooperate in the development of a project arrangement and to participate in the project. 

 

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 11:45
Tunisie – Renforts militaires dans le sud tunisien : La version du ministère de la défense

 

 

8 octobre, 2013 tunisienumerique.com

 

Taoufik Rahmouni, porte-parole du ministère de la Défense, a indiqué ce mardi 8 Octobre au micro de Shems FM,  que le déploiement militaire consiste en une opération ordinaire qui rentre dans le cadre de la création d’une zone tampon.

 

Rahmouni a assuré que ce déploiement n’à rien avoir avec les rumeurs qui courent à propos des menaces terroristes au  sud tunisien.

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 11:35
Chinese S-300 (HongQi 9 [HQ-9]) launcher during China's 60th anniversary parade, 2009. photo Jian Kang

Chinese S-300 (HongQi 9 [HQ-9]) launcher during China's 60th anniversary parade, 2009. photo Jian Kang

08/10/2013 Chine Nouvelle (Xinhua) - Xu Yongchun

 

La porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Hua Chunying a répondu mardi aux préoccupations de l'OTAN et des Etats-Unis concernant la décision de la Turquie de co-produire un système de défense antimissile avec une société chinoise, qualifiant de "normal" cet accord militaire entre la Chine et la Turquie.

 

Le 26 septembre, le ministre turc de la Défense Ismet Yilmaz a annoncé la décision de la Turquie d'accorder ce contrat à la société China Precision Machinery Import and Export Corp.

 

Le secrétaire général de l'OTAN Anders Fogh Rasmussen a indiqué lundi qu'il espérait que la Turquie choisirait un système compatible avec ceux de ses alliés.

 

Les Etats-Unis ont exprimé à la Turquie leurs sérieuses préoccupations, avertissant le pays que le système de défense antimissile chinois ne fonctionnerait pas avec le système de l'OTAN.

 

La porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Hua Chunying a souligné que les préoccupations des pays occidentaux étaient déraisonnables et inutiles.

 

Elle a espéré que les parties concernées considéreraient cet accord militaire entre la Chine et la Turquie d'un point de vue objectif et ne politiseraient pas la question de la concurrence commerciale.

 

Le gouvernement chinois a toujours adopté une attitude prudente et responsable à l'égard de la coopération militaire avec d'autres pays, a-t-elle ajouté.

 

La Chine a toujours strictement respecté les principes consistant à ne pas compromettre la paix et la stabilité régionales et mondiales, à ne pas s'ingérer dans les affaires intérieures des autres pays, et a strictement rempli ses obligations internationales, a souligné Mme Hua.

 

Le système de défense anti-aérienne chinois FD-2000 l'a emporté sur le système américain Patriot, le système russe S-400 Triumph et le système franco-italien Eurosan Samp-T, selon les rapports des médias.

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 07:55
La Lettre de l'IRSEM

09/10/2013 IRSEM

 

La Lettre de l'IRSEM est notre lettre d'information. Chaque mois, chercheurs résidents et invités y présentent un dossier stratégique, des chroniques et points d'actualité.
Vous trouverez dans cette rubrique les liens vers les numéros de chaque collection annuelle.

 

Afin de recevoir par mail la newsletter mensuelle, la Lettre de l'IRSEM, merci de nous préciser :
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Lettre n°6 - 2013

La Lettre de l'IRSEM n°6
(pdf 933 Ko)

 

DOSSIER :
  Qu’attendre de l’élection du nouveau président iranien ?
(pdf - 560 ko)

 

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 07:55
La maquette du démonstrateur du lanceur aéroporté Eole monté dans la veine de la soufflerie L2 du centre de Lille

La maquette du démonstrateur du lanceur aéroporté Eole monté dans la veine de la soufflerie L2 du centre de Lille

08.10.2013 ONERA

 

Le démonstrateur aéroporté Eole, dont le développement est coordonné par l'Onera, s'inscrit dans le programme étudiant Perseus, dont le Cnes est maître d'ouvrage.

Les essais en soufflerie menés au centre Onera de Lille dans L2 permettront de définir l'ensemble des caractéristiques aérodynamiques, statiques et dynamiques du démonstrateur, en vue de la préparation des lois de pilotage et de commande ainsi que de l'évaluation de ses performances. Ce projet de réalisation d'un démonstrateur volant, dont la fabrication puis la mise en oeuvre finale sont confiées à Aviation Design [adjets.com], débouchera sur un système expérimental opérationnel mi 2013.

Le projet Eole est issu de travaux menés avec le Cnes depuis plusieurs années. Son principe est celui du lancement aéroporté. L'idée générale est d'emmener à l'aide d'un avion ou d'un appareil automatique semblable à un avion une fusée jusqu'à une certaine altitude pour mise à feu. On remplace ainsi le premier étage du lanceur "classique" par un véhicule qui est réutilisable pour d'autres lancements.

Ce type de lancement vise le marché de la mise en orbite de nano-satellites, c'est à dire des satellites dont la masse est comprise entre quelques kilogrammes et quelques dizaines de kilogrammes. La fusée correspondant à ce besoin atteindrait une masse de 4 tonnes et le véhicule porteur aurait alors nécessairement une envergure comparable à celle d'un d'un Falcon voire A320, par exemple (l'envergure du démonstrateur n'est que de 6,7 m ).

Traditionnellement, ces satellites sont mis en passagers de satellites commerciaux classiques sur des lanceurs conventionnels (type Ariane 5). Inconvénient : la trajectoire n'est pas optimale pour le petit système. Les créneaux de lancement ne sont pas non plus choisis. L'avantage d'un système dédié au lancement de ces nano-satellites est de permettre plus d'efficacité et de performance et réagir promptement à des évènements comme des catastrophes humanitaires (mise en place de systèmes d'observation ou de relais de communication dédiés).

L'objectif de l'Onera est de réaliser un démonstrateur volant (6,7 m d'envergure) instrumenté et disposant de capacités de représentativité dynamique. Ce sera un banc d'essai capable d'emmener des maquettes de fusée et de les larguer, principalement pour comprendre les interactions entre les deux véhicules au moment du largage, mais aussi pour prédire le comportement et les qualités de vol, en complément des calculs et essais en soufflerie...

Le démonstrateur Eole a fait l'objet d'un dépôt de brevet, commun à Aviation Design, Cnes et Onera.

L'équipe Onera responsable de l'étude est composée de Jean Hermetz [Jean.Hermetz\AT\onera.fr] et Julie Ledogar [Julie.Ledogar\AT\onera.fr]. Ce projet est supervisé au Cnes par Jean Oswald [Jean.Oswald\AT\cnes.fr].

 

Simulation numérique deé écoulements autour d'Eole
Simulation numérique deé écoulements autour d'Eole

 

Discussion technique autour de la maquette d'Eole à l'échelle 1:2 dans la veine de L2
Discussion technique autour de la maquette d'Eole à l'échelle 1:2 dans la veine de L2

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 07:50
Airbus A400M - Video von Bundeswehr

29 sept. 2011 Bundeswehr

Größere Reichweite und mehr Nutzlast kennzeichnen das neue Transportflugzeug der Bundeswehr, die Airbus-Maschine A400M. Unser Reporter hat den Produktionsprozess begleitet und er stellt die Neuerungen vor.

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8 octobre 2013 2 08 /10 /octobre /2013 20:20
FFDj : entraînement Search And Rescue franco-américain

08/10/2013 International

 

Le 22 septembre 2013, les hélicoptères de l’escadron de transport (ET) 88 Larzac des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) et de la 26th Marine Expeditionary Unit (MEU) ont effectué, au large de Djibouti, un entraînement conjoint à la récupération de personnel sur terre et en mer.

 

La mission a simulé la récupération de commandos en milieu hostile, ainsi que la recherche et le sauvetage d’un pilote d’un avion de type AV-8 Harrier tombé en mer après une éjection simulée. L’exercice a été mené par une patrouille de deux hélicoptères d’attaque Cobra AH-1 de la MEU et d’un Puma de l’ET88.

 

La 26th MEU est embarquée sur l’USS Kearsarge depuis environ huit mois et met en œuvre de nombreux moyens aériens, dont des hélicoptères. Cependant, ne disposant pas d’une capacité autonome de récupération en mer par hélicoptère, elle fait appel, en cas de besoin, à la marine américaine, l’US Navy.

 

L’intégration d’un Puma équipé d’un treuil dans une mission que les US Marines appellent TRAP (Tactical Recovery of Aircrew and Personnel) a permis de démontrer le savoir-faire des équipages de l’ET88 en matière de sauvetage maritime.

 

Toutes les spécialités de l’escadron impliquées dans la mission SAR (Search And Rescue) ont ainsi été engagées, des pilotes aux treuillistes, en passant par les plongeurs. A l’issue de la mission, la patrouille a apponté sur l’USS Kearsarge où a eu lieu le débriefing.

 

Le commandant de la 26th MEU a témoigné de son intérêt en participant à l’exercice à bord du Puma. Les Marines ont d’ores et déjà fait part de leur intérêt de poursuivre ce type d’entraînements avec les FFDj.

 

Les FFDj mènent régulièrement des actions de coopération avec les forces américaines présentes à Djibouti. De leur côté, les militaires américains peuvent profiter des installations d’entraînement des FFDj, principalement au travers du centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Ce centre accueille les unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, les unités ou écoles de métropole, les forces djiboutiennes et étrangères. Enfin, les états-majors des FFDj et de CJTF-HOA (Combined Joint Task Force – Horn of  Africa) se réunissent régulièrement afin de coordonner l’ensemble de leurs activités à Djibouti.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDJ) dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDJ participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante (soutien des bâtiments de guerre et des actions de patrouille maritime, soutien santé), ainsi qu’à la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie.

FFDj : entraînement Search And Rescue franco-américainFFDj : entraînement Search And Rescue franco-américain
FFDj : entraînement Search And Rescue franco-américain
FFDj : entraînement Search And Rescue franco-américainFFDj : entraînement Search And Rescue franco-américain
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8 octobre 2013 2 08 /10 /octobre /2013 19:45
Serval : le détachement chasse, une unité toujours en éveil

08/10/2013 Sources : EMA

 

Le 28 septembre 2013, le détachement chasse de l’opération Serval stationné à Bamako a entamé son 7e mandat.

 

Les équipages du DETCHASSE Serval « 6 », issus de l’escadron de chasse 1/3 « Navarre » de la BA133 de Nancy ont effectué une cinquantaine de missions au cours de plus de 240 heures de vol, dont une partie de nuit. Ils laissent la place aux équipages de l’escadron 2/3 « Champagne », stationné lui aussi sur la BA 133.

 

Arrivés la veille, les nouveaux équipages ont pris leurs consignes en vol et ont assuré dès le premier jour leur première mission.

 

7h30, en salle de briefing, les pilotes et les navigateurs de Mirage 2000D travaillent déjà sur les cartes, identifient les points de passage et vérifient les consignes de vol. Ils s’apprêtent à mener une mission en deux temps : d’abord un entrainement au profit des guideurs aérien – les « forward air controler, FAC - révisant ainsi les procédures du « close air support » (l’appui aérien) ; ensuite une mission de renseignement sur une trajectoire définie du Nord au Sud (« line search »). Toute la mission est détaillée lors d’un briefing visant à préciser aux deux équipages les procédures qui seront appliquées durant le vol.

 

10h50, la patrouille quitte le tarmac de l’aéroport de Bamako pour débuter sa mission.

 

12h05, les Mirages 2000 se posent, les pilotes entament rapidement une série de vérifications de leur avion avec le chef de piste, avant de le lui confier. Une équipe de mécaniciens se charge de préparer en 40 minutes les appareils pour le prochain vol : recomplètement en kérosène, changement de bouteille d’oxygène, vérification de la mécanique, contrôle des appareils électroniques, etc. Pendant ce temps les équipages font leur débriefing.

 

Le « lâché » sur le théâtre est désormais effectif, ils peuvent prendre à leur compte la mission du détachement chasse de l’opération Serval.

 

Les missions du détachement chasse de l’opération Serval ont évolué en fonction des objectifs de la force. Au début de l’opération, le détachement a principalement mené des actions de bombardement dans la profondeur, afin de stopper rapidement l’avancée vers le Sud des groupes terroristes. Il a par ailleurs fourni un appui aux troupes au sol. Dans un deuxième temps, les équipages ont appuyé les différentes opérations, soit en renseignant en avance de phase les unités déployées, soit en traquant les groupes terroristes et en les neutralisant le cas échéant. Actuellement, le DETCHASSE assure des patrouilles quotidiennes. Il est en alerte permanente, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, en mesure d’agir très rapidement.

 

Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent leurs missions de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

Serval : le détachement chasse, une unité toujours en éveil
Serval : le détachement chasse, une unité toujours en éveil
Serval : le détachement chasse, une unité toujours en éveil
Serval : le détachement chasse, une unité toujours en éveil
Serval : le détachement chasse, une unité toujours en éveil
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8 octobre 2013 2 08 /10 /octobre /2013 17:20
Carry-all Modular Equipment Landrover, called CaMEL

Carry-all Modular Equipment Landrover, called CaMEL

October 8, 2013 defense-unmanned.com

(Source: Northrop Grumman Corporation; issued October 7, 2013)

 

Northrop Grumman's CaMEL to Participate In Robotics Demonstration and Armed Live Fire

 

FORT BENNING, Ga. -- Northrop Grumman Corporation (NOC) has been selected to demonstrate its Carry-all Modular Equipment Landrover, called CaMEL, during the U.S. Army Maneuver Center of Excellence Robotics Limited Demonstration Oct. 7-10 at Fort Benning, Ga.

 

Northrop Grumman's CaMEL will participate in both parts of the center's 'robot rodeo:' A 'lighten-the-load' CaMEL configuration will traverse the Squad-Multipurpose Equipment Transport, or S-MET, course Oct. 7. On Oct. 10, the company's Mobile Armed Dismount Support System, an armed robotic CaMEL platform, will participate in wireless live firing of an armed unmanned ground vehicle.

 

CaMEL is a mid-sized unmanned ground vehicle (UGV) designed to accommodate multiple missions, including lightening the load; performing casualty evacuations; clearing antipersonnel mine routes; and hauling ammunition for dismounted mortar platoons. It also can serve as a mobile communications platform, towed artillery ammunition carrier, network retransmission platform and robotic weapon system and can be used in resupplying ammunition, barrier materials for obstacles and food and water.

 

On the S-MET range, CaMEL and other robotic systems will be put through their paces to assist the Army in developing requirements in categories including operational range, speed, load-bearing capacity, navigation options (tethered, wireless and autonomous), mobility and maneuverability in various terrain, obstacle detection and avoidance and energy efficiency. CaMEL will be converted to the Mobile Armed Dismount Support System configuration for the live fire.

 

"CaMEL is a multifunction platform that can quickly transform from supporting troops to protecting troops as an armed wingman, increasing the firepower of dismounted platoon and company maneuver units," said Phil Coker, director of the Integrated Platform Solutions business at Northrop Grumman's Information Systems sector. "Its hybrid engine allows the armed CaMEL to operate very quietly – a real plus on the battlefield – and travel farther to provide firepower where it's needed."

 

The 'armed wingman' CaMEL in its Mobile Armed Dismount Support System configuration can carry a variety of crew-served weapons, including the MK-19 40mm automatic grenade launcher, M2 heavy machine gun, M240/249 machine gun and 25 and 30mm weapon systems. It also can carry a load of 1,000 lbs. of equipment at a maximum speed of 5 miles per hour across rough terrain.

 

CaMEL's hybrid design – diesel engine combined with a battery – not only provides more than 20 hours of continuous operations on 3.5 gallons of fuel but also produces power that can be exported and used for charging batteries or powering other systems.

 

"Power is one of the biggest challenges on the battlefield. CaMEL is an innovative solution that reaches out and touches power in a new way – it's a robotic transport and weapons platform that actually generates, not just uses, power," Coker said.

 

The annual Maneuver Center's Robotics Limited Demonstration gives industry the opportunity to showcase new and innovative UGVs and interact with the Army user, research and development, and capability-development communities.

 

 

Northrop Grumman is a leading global security company providing innovative systems, products and solutions in unmanned systems, cyber, C4ISR, and logistics and modernization to government and commercial customers worldwide.

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8 octobre 2013 2 08 /10 /octobre /2013 16:50
New Scotland analysis paper on Defence

8 October 2013 Ministry of Defence and Scotland Office

 

Scotland benefits from every single pound spent on UK defence, a new Scotland analysis programme paper makes clear.

 

The Scotland analysis paper on Defence, published today, highlights the extent to which an independent Scotland would no longer benefit from the £34 billion annual UK defence budget, one of the largest in the world.

 

The complex and integrated nature of the UK’s defence capabilities mean that an independent Scotland would have real difficulties trying to replicate a similar but smaller force from scratch.

 

The paper, launched by the Defence Secretary Philip Hammond during a visit to Edinburgh, contains detailed analysis and concludes that ‘an independent Scotland would face an immediate and pressing challenge to establish Armed Forces capability and supporting defence machinery’.

 

The paper highlights the employment and economic benefits the defence industry brings to Scotland that would be threatened should Scotland leave the UK.

 

The paper mentions the thousands of skilled jobs in Scotland that are reliant on the UK’s defence industrial base, which plays a key role in providing the Armed Forces with the state-of-the-art equipment they need to defend the country against attack. It also sets out the economic benefits throughout Scotland for communities who contribute to the defence of the UK.

 

Under Future Force 2020 Scotland will be home to one of 3 Royal Navy main bases, including all its submarines, one of the British Army’s 7 adaptable force brigades and one of 3 Royal Air Force fast jet main operating bases.

 

Although the overall number of Regular Armed Forces personnel across the UK is decreasing, by 2020 the number in Scotland is set to increase to 12,500 (8.8% of the UK total).

 

And, as a part of the UK government’s plans to increase the size of the Reserve Forces, by 2018 there will be an estimated 4,250 trained Volunteer Reserves in Scotland.

Defence Secretary Philip Hammond
Defence Secretary Philip Hammond [Picture: Crown copyright]

The Defence Secretary, Philip Hammond, said:

The Scottish people deserve to know what the impact of independence would be on the jobs and livelihoods of the many thousands of people in Scotland that are employed in the UK Armed Forces or in the defence industry that equips and supports them.

Less than a year before the Scottish people go to the ballot box to take one of the most important decisions in the history of Scotland, the Scottish Government’s plans remain insultingly vague – a 2-page wish list that is neither costed nor credible.

The security of the Scottish people is too important to be ducked and dodged.

 

As part of the UK, Scotland has access to the full range of UK defence capabilities, defending against both natural and man-made threats.

 

MOD’s future plans for equipment also ensure that Scotland, as part of the UK, will have defence capabilities of a scale and sophistication enjoyed by few other countries.

 

This includes the 2 brand new Queen Elizabeth Class aircraft carriers, 6 Type 45 destroyers, 13 Type 26 frigates, 7 Astute Class submarines and the fast jet force of Typhoon and the Lightning II Joint Strike Fighter.

 

From a defence perspective, it is clear that the transition to independence would be extremely complex, raising serious questions over how an operational capability for an independent Scottish state could be managed.

 

The Scotland analysis programme is a series of detailed publications produced by civil servants, including those in Defence, explaining the benefits Scotland brings to the United Kingdom and the benefits for Scotland in being part of the UK. Earlier papers have covered topics such as currency, financial services and the economy.

 

The defence paper is the first in a sequence of papers that will analyse Scotland’s place in the world.

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