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8 septembre 2015 2 08 /09 /septembre /2015 16:30
Les F-16IQ de la Force Aérienne Irakienne effectuent leurs premières frappes aériennes

8 Septembre 2015 defens'aero

 

Après une livraison reportée en raison de l'instabilité de l'Irak et leurs arrivées le 15 Juillet 2015 sur la base aérienne de Balad, dans le centre du pays, les premiers F-16IQ de la Force Aérienne Irakienne (Al Quwwat al Jawwiya al Iraqiya) ont effectué leurs premières frappes aériennes contre des positions de l'Organisation Etat Islamique.

En effet, selon les déclarations du commandant de la Force Aérienne Irakienne M. Anwar Hama Amin, et comme le rappelle le très sérieux blog AeroHisto, les premières missions aériennes se sont déroulées le Mercredi 02 Septembre 2015 dans le Nord de l'Irak, et plus précisément dans les provinces de Kirkouk et de Salaheddin.

 

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8 septembre 2015 2 08 /09 /septembre /2015 16:30
photo SOFREP

photo SOFREP

 

September 4, 2015 SOFREP

According to a September 1, 2015, story in the Washington Post that should surprise no one with even a passing knowledge of U.S. counterterrorism efforts over the last fifteen years, it appears the Central Intelligence Agency (CIA) and the military’s Joint Special Operations Command (JSOC) are using unmanned aerial vehicles to target and kill Syrian-based leaders of the Islamic terrorist group Islamic State (ISIS, also known as ISIL and IS).

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8 septembre 2015 2 08 /09 /septembre /2015 15:55
Maquette motorisée de l’A400M dans la grande soufflerie S1MA de l’Onera photo Onera Airbus

Maquette motorisée de l’A400M dans la grande soufflerie S1MA de l’Onera photo Onera Airbus

 

08/09/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Dans un rapport au vitriol, la Cour des comptes critique la gestion, la gouvernance ainsi que le manque d'implication de l'ONERA dans le domaine de l'aéronautique civile. Mais son nouveau patron Bruno Sainjon est en train de remettre en tension le centre de recherche de l'aérospatial français.

Trop tard ou trop tôt. Le rapport de la Cour des Comptes sur l'ONERA, qui couvre la période 2008-2013, tombe plutôt à plat... Car depuis l'arrivée le 30 mai 2014 du nouveau PDG, Bruno Sainjon, cet organisme public de recherches est en train de se réveiller et de retrouver un réel dynamisme. Pour autant, ce rapport n'est pas non plus inutile. Notamment il montre l'incapacité de l'État à valoriser un bijou technologique, envié dans le monde entier et, surtout, il pointe son manque de vision dans la recherche et, par conséquent, dans l'avenir de la filière aérospatiale civile et militaire française, en réduisant considérablement sa subvention au fil des années.

Depuis 2010, le budget de l'ONERA a pris le bouillon, passant de 257,9 millions d'euros à 207 millions en 2014, selon les derniers chiffres disponibles. Soit une chute de près de 20%, essentiellement liée à la réduction de la subvention accordée à l'ONERA, qui est tombée à 96,4 millions (contre 123,9 millions en 2010). Elle représentait 46,6% de son budget, contre 48% en 2010. Et ce contrairement à ce qu'affirme la Cour des comptes, qui estime que "les financements publics sont relativement stables, au moins ceux de la DGA". Une remarque qui a fait bondir le PDG de l'ONERA dans sa réponse aux sages de la rue Cambon;

"Cette observation est inexacte, c'est même précisément la baisse des moyens publics qui explique en grande partie la situation financière actuelle de l'ONERA", qui traine effectivement en 2014 un déficit de 16 millions d'euros, a expliqué Bruno Sainjon. Dans le budget initial 2015, le conseil d'administration de l'ONERA a voté un déficit de 3 millions d'euros.

En 2015, son budget prévisionnel s'élève à 228,9 millions. A suivre...

 

La DGAC a lâché l'ONERA

Parmi les critiques soulevées par la Cour des Comptes, les relations très distantes entre la direction générale de l'aviation civile (DGAC) et l'ONERA. Ce qui s'est notamment traduit par l'arrêt par la DGAC d'une subvention à l'ONERA à partir de 2001 (contre 3,8 millions en 2010). De même, elle a réduit pratiquement à zéro son activité contractuelle avec l'ONERA, qui est passée de 24 millions d'euros 2010, à 0,3 million en 2014.

Pourquoi une telle défiance? Selon la Cour des comptes, "les causes sont multiples : réduction du budget de la DGAC, volonté de la DGAC de cibler son soutien et d'encadrer l'utilisation de sa subvention afin d'éviter une contrariété potentielle aux règles du commerce international et du droit de la concurrence, perte de pertinence de l'ONERA aux yeux de la DGAC et dégradation des relations". Pourtant l'ONERA travaille sur ce que seront les avions du futur, et plus précisément sur le programme "Nova" (Next-generation Onera Versatile Aircraft), qui pourrait remplacer les actuels moyen-courriers. Il est destiné à transporter 180 passagers à 900 km/h sur une distance de 5 à 6.000 km. Par ailleurs, les relations avec la DGAC sont en train de se réchauffer...

En outre, la DGAC estime, selon la Cour des Comptes, que l'Office "ne s'est pas adapté aux évolutions profondes du secteur de l'aéronautique civile depuis les années 1980, notamment l'émergence de nouveaux sujets structurants : gestion de l'énergie, avionique, cockpit et navigation, nouveaux procédés de production". Enfin, elle "regrette la faible participation de l'ONERA aux programmes européens et aux initiatives locales".

Bruno Sainjon fait pourtant part dans sa réponse à la Cour des Comptes des succès remportés récemment par l'ONERA dans le cadre de trois appels d'offres lancés au titre du programme européen Cleansky 2 pour un montant de plus de 30 millions d'euros étalés sur huit ans. Tout comme il rappelle l'implication de l'ONERA "beaucoup plus affirmée" dans le Conseil pour la recherche aéronautique et civile (CORAC).

 

Pourquoi un tel désintérêt de l'État?

Dans sa réponse à la Cour des Comptes, le Premier ministre, Manuel Valls, assure pourtant que "l'action de la tutelle a été conduite dans un souci de préservation de la position de l'ONERA". On a vu mieux comme soutien financier à un organisme public... Car quand l'État le veut, les subventions suivent. Comme le montrent les dotations aux Établissements publics à caractère scientifique et technologique (EPST), CNRS inclus, qui sont passées de 4,9 à 5,7 milliards d'euros entre 2008 et 2014.

Dans une interview accordée en juin à La Tribune, Bruno Sainjon avait tenté d'expliquer le désintérêt de l'Etat vis-à-vis de l'ONERA : "travailler majoritairement sur des sujets de défense n'incite pas à une communication tous azimuts. Et surtout la recherche fondamentale même à visée applicative n'a pas été mise en évidence ces dernières années. Pourtant sans la science et la recherche, il n'y a pas de technologie ni de programme". C'est vrai que l'ONERA est complètement sorti des radars de la plupart des responsables politiques français. A tel point que la plupart d'entre eux ne savent pas ce que cet organisme fait exactement. Un peu désolant...

 

L'ONERA au cœur des enjeux aéronautiques

En dépit des critiques de la Cour des Comptes sur son isolement, l'expertise de l'ONERA a été à plusieurs reprises plébiscitée dans de nombreux domaines, dont certains liés à une actualité très brûlante. Ainsi, en avril dernier, un consortium piloté par l'Office a été sélectionné par l'Agence Nationale de la Recherche (ANR) pour la lutte anti-drone. En 2014, l'ONERA, à la demande de la direction générale de l'armement (DGA), a commencé à travailler sur le projet d'étude amont DEMPERE, dont l'objectif est de développer un démonstrateur de simulation numérique destiné à évaluer le degré de perturbation d'un radar par les parcs éoliens.

En outre, l'ONERA s'est récemment rapproché de plusieurs organismes de recherche à la fois concurrents et partenaires. Ainsi, l'Etat a mandaté l'ONERA comme pilote de la nouvelle filière aéronautique Carnot, baptisée AirCar (Air Carnot) et financée pendant six ans à hauteur de 10,5 millions d'euros. L'objectif de ce consortium multidisciplinaire et complémentaire sera de comprendre les besoins des PME et ETI de la filière aéronautique afin de booster leur capacité d'innovation et répondre ainsi au mieux aux besoins industriels.

Par ailleurs, l'ISAE-SUPAERO et l'Office ont renforcé en mars dernier leur coopération en signant une convention de partenariat scientifique créant deux équipes de recherche communes (ERC). Enfin, le Cetim et l'ONERA ont renforcé leur coopération en vue de développer une offre technologique commune, innovante et performante dans le contexte de ré-industrialisation de la France et des enjeux liés à la filière matériaux.

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8 septembre 2015 2 08 /09 /septembre /2015 15:45
EDA supports EUTM Mali to enhance medical facilities

 

Brussels - 08 September, 2015 European Defence Agency

 

The European Defence Agency (EDA) provided technical, contractual and administrative support to the EU Training Mission (EUTM) Mali regarding the procurement of a biomedical incinerator to be installed in Koulikoro.

 

The requirement for the new equipment, to meet European standards in case of an EBOLA outbreak, was identified by the operation. EDA´s support was requested in May 2015 and the award decision was signed by the former Operation Commander, Brigadier General Alfonso García-Vaquero Pradal in July 2015. The contract, with a budget of 59.000€, includes transportation and on-site maintenance. The incinerator should be operational by mid-September.

This is the first case conducted under the EDA-Athena cooperation arrangement signed on 27 February 2015 which aims at facilitating direct procurement support to CSDP military operations.

EDA supports CSDP operations and missions to meet their operational needs. Based on the combination of industry knowledge, in-house technical expertise and experience in procurement, the Agency helps operations to optimize procurement procedures in order to save resources.

 

More information:

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 16:55
Création du centre d’expertise aérienne militaire

 

03/09/2015 Armée de l'air

 

Le 1er septembre 2015, le CEAM est officiellement devenu le centre d’expertise aérienne militaire (anciennement appelé le centre d’expériences aériennes militaires), sous la présidence du général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA).

 

Cette nouvelle appellation s’inscrit dans la volonté de l’armée de l’air de développer un centre de guerre aérienne (Air Warfare Center) et de concentrer ses experts autour des trois piliers constitutifs d’une capacité opérationnelle de première ligne : la doctrine, les équipements et l’expertise tactique du combattant.

 

Composé de 25 unités et de 700 experts, le CEAM rassemble tous les métiers de l’armée de l’air sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. Il dispose également d’expertises technico-opérationnelles très élevées. En devenant le centre d’expertise aérienne, le CEAM devient le centre d’innovation de l’armée de l’air, où se construiront les capacités opérationnelles futures de l’institution.

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 16:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

03/09/2015 Armée de l'air

 

Le 27 août 2015, la base aérienne 105 d’Évreux a accueilli son nouveau commandant, le colonel Vincent Breton.

 

Prise de commandement

 

Le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA), a présidé la cérémonie de passation de commandement de la base aérienne normande. Précédemment auditeur à l’institut des hautes études de la Défense nationale (IHEDN), le colonel Vincent Breton prend la tête de la base aérienne 105 d’Évreux. Il succède au colonel Fabrice Féola, qui rejoint le bureau organisation de l’état-major de l’armée de l’air.

 

Création de deux escadres : la 64e et l’EAC2P

 

Cette cérémonie a également été marquée par la création de deux escadres : la 64e escadre de transport et l’escadre aérienne de commandement et de conduite projetable (EAC2P). La 64e escadre réunit les escadrons de transport 1/64 « Béarn », 2/64 « Anjou », l’escadron électronique aéroporté 1/54 « Dunkerque » et l’escadron de soutien technique aéronautique (ESTA). « Créée le 1er décembre 1956 au Bourget, la 64e escadre s’installe à Évreux le 1er novembre 1967, conférant à la base aérienne une vocation logistique et tactique qui perdure jusqu’à nos jours », a souligné le général Mercier. Dissoute en 1994, elle renaît en cette rentrée et regroupe dorénavant tous les avions de transport et de recueil de renseignement d’Évreux.

 

En parallèle, le groupement tactique des systèmes d’information et de communications aéronautiques (GTSICAéro) a été officiellement dissous.  C’est l’EAC2P qui lui succède. Cette nouvelle escadre regroupe l’escadron des systèmes de télécommunications tactiques (ESTT), l’escadron des systèmes de surveillance tactiques (ESST), l’escadron des systèmes d’information tactiques (ESIT) et l’escadron de détection et de contrôle mobiles (EDCM). « Cette escadre trouve ses origines historiques dans la création en Afrique du nord en 1944 du groupement de chasse et de défense aérienne 550 appartenant au 1er corps aérien français », a expliqué le CEMAA.

 

Le commandement de la 64e escadre a été donné au lieutenant-colonel David Gaillard, tandis que le commandement de l’EAC2P a été confié au lieutenant-colonel Bruno De San Nicolas.

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 16:45
photo ECPAD

photo ECPAD

 

02/09/2015 Sources : État-major des armées

 

Après avoir effectué une première rotation la veille, un C17 américain a encore décollé le 23 août 2015 de l’aéroport de Djibouti pour une mission de transport logistique. A son bord se trouvaient un Puma du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre (DETALAT) et son équipage. L’hélicoptère était transporté vers N’Djamena (Tchad) pour participer à l’opération Barkhane.

 

En deux rotations, le C17 a ainsi déchargé 2 Puma, 13 membres d’équipage et mécaniciens et 1,3 tonnes de fret. Bien que la coopération franco-américaine pour les opérations au Sahel soit régulière, c’était la première fois que les forces américaines apportaient leur soutien à Barkhane sous cette forme. C’était également la première fois qu’un Puma était embarqué sur un C17 américain.

La première opération de chargement, effectuée de nuit et en temps contraint (3 heures entre l’arrivée et le redécollage du C17), constituait un vrai défi technique. Les dimensions de la soute du C17 ne laissant que quelques centimètres pour charger le Puma, les équipes françaises et américaines ont dû allier leur savoir-faire pour parvenir à leur fin. La technique du baraquement du Puma (affaissement du train d’atterrissage) combinée à la précision de la manœuvre de la rampe par les Américains ont finalement permis de faire rentrer l’hélicoptère dans l’avion.

A leur arrivée à N’Djamena après 4 heures de vol, la manœuvre de débarquement des Puma a été tout aussi délicate. Le DETALAT a ensuite pris le relais pour reconditionner les appareils afin de les rendre opérationnels. Les deux Puma de l’ALAT sont destinés à remplacer le détachement de l’armée de l’Air basé sur l’emprise française de Madama, dans le Nord Niger.

 

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photo ECPAD

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 16:40
L’hélicoptère russe d’attaque K-52 Alligator de Russian Helicopters. (Russian Helicopters)

L’hélicoptère russe d’attaque K-52 Alligator de Russian Helicopters. (Russian Helicopters)

 

7 septembre 2015 par Jacques N. Godbout - 45eNord.ca

 

Juste quand on pensait que cette histoire était enfin finie et que le divorce se passait plutôt bien, la saga du Mistral pourrait repartir de plus belle: Moscou mettrait son veto à la vente des Mistral sans hélicoptères russes, rapporte cette semaine la très officielle agence russe Ria Novosti.

 

Depuis que la France et la Russie sont parvenues début août à un accord pour mettre un terme au contrat signé en 2011 qui prévoyait la livraison de deux bâtiments de projection et de commandement (BPC) de type Mistral à la Russie, la France cherche de nouveaux acheteurs pour ses deux Mistral commandés et construits spécifiquement pour les Russes.

L’accord stipulait bien que la France, qui avait intégralement remboursé à la Fédération de Russie les sommes avancées au titre du contrat, obtenait la pleine propriété et la libre disposition des deux bâtiments.

Mais voilà que Moscou ne sait plus quoi faire de ses hélicoptères de combat Ka-52K, une version conçue spécialement pour le Mistral du maintenant célèbre hélicoptère russe d’attaque K-52 Alligator de Russian Helicopters.

La seule solution: vendre les hélicos aux acheteurs potentiels des porte-hélicoptères français.

« Le sort des deux porte-hélicoptères est directement lié aux projets de commercialisation des hélicoptères de combat Ka-52K, qui ont été initialement produits et destinés spécialement pour être déployés à bord des Mistral russes », rapporte de son côté le quotidien économique russe Kommersant citant une source proche du dossier.

Dans le cas où les acheteurs potentiels des porte-hélicoptères français refuseraient d’acheter les hélicoptères russes, Moscou pourrait utiliser son droit de veto. L’Inde, le Brésil, l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, le Vietnam et l’Egypte figurent sur la liste des acheteurs potentiels des deux navires de classe Mistral.

En outre, font remarquer les Russes, si les hélicoptères Ka-52K ont été développés spécifiquement pour les Mistral, l’inverse est aussi vrai: réciproquement, les Mistral ont été construits pour ce type d’hélicoptères

De plus, les autres technologies ont aussi été adaptées aux exigences russes, souligne l’agence officielle russe: système de géolocalisation GLONASS, appareils de communication, de cryptage, radars, double coque pour la navigation polaire.

Les futurs acheteurs des Mistral seront donc obligés de traiter avec la Russie à un moment ou à un autre pour pouvoir exploiter ces navires, concluent les Russes. S’ils ont raison, le destin et l’avenir des deux navires seraient alors encore lié à la Russie, entente de rupture de contrat ou pas. Pas facile le divorce.

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 16:30
SDBR Interview with Luc Vigneron, CEO of the Emirates Defence Industries Company (EDIC)

 

08/09/2015 by Alain Establier - SDBR N°133

 

Recently Alain Establier met with Mr. Luc Vigneron *, Chief Exective Officer of the Emirates Defence Industries Company (EDIC) to discuss the rationale and future of the recently formed company, based in Abu Dhabi, United Arab Emirates. The interview was possible thanks to the courtesy of emirates authorities. Below is a transcript of their conversation:

 

SDBR: Is EDIC a financial institution, an OEM or something else?

Luc Vigneron (LV): Following a law issued by His Highness Sheikh Khalifa bin Zayed al-Nahyan, the President of the UAE, Ruler of Abu Dhabi and Supreme Commander of the UAE Armed Forces, EDIC was formed as an integrated defence manufacturing and services platform by its principal shareholders Mubadala Development Company and Tawazun Holding. It is a strategic asset of the UAE Government, and its mandate is to help keep the Armed Forces of the UAE at a peak state of readiness while also competing for business across the region. However, it is of equal importance to mention the national defence industry landscape, which set the conditions for a transformation to occur at this time. Over the last two decades, the UAE has built a robust and successful indigenous defence industry. Each company under EDIC has played an important role in achieving this.

As a result, both time and conditions were right to combine the country’s defence industries to position them for the next phase of growth. In fact, the UAE joins many other emerging economies that have followed a similar path, successfully consolidating their defence industry assets and becoming regional and global players. As a new national defence industry champion, EDIC is positioned to do the same.

 

SDBR: What’s your mission at EDIC?

LV: EDIC aims to unlock synergies across the industry, and create value through the strategic alignment of our capabilities. We will be the leading integrated defence industries platform for the UAE, and we aspire to be recognised globally as the region’s premier partner for manufacturing, services, and technology development. Furthermore, EDIC will deliver cutting-edge products and services and provide world-class facilities to better serve the Armed Forces of the UAE while working to transfer technical know-how to UAE Nationals. The UAE has established a strong and globally respected national defence industry over the last two decades. EDIC is proud to carry on this tradition. By working closely with our stakeholders and partners, we will build a new national defence champion over the next decade. Specifically, we are:

1.  Strengthening our strategic alignment to the needs of the UAE Armed Forces, and enhancing collaboration among our companies through shared services to reap economies of scale

2.  Balancing our relationships with OEMs, with a focus on increasing the transfer of technology and know-how

3.  Strengthening Emirati leadership in the defence industry and building world-class national capabilities

4.  Providing dynamic career opportunities to UAE Nationals in a high-skilled industry, with a focus on engineering and project management, and the technology sector in general

 

SDBR: What is the stage of EDIC evolution?

LV: We are working through the legal process of transferring ownership of each of the 16 companies to EDIC. At the same time, we are exploring synergies with a view to strengthening the industry, building national capabilities and increasing our capacity. When this transformation is complete, EDIC will be a substantial industrial services player and one of the largest such companies in the Arabian Gulf region, with 10,000 personnel employed in manufacturing and services across air, land and sea platforms. 

 

SDBR: It seems that the goal is to build a champion…A champion for what to do? In which specialities?

LV: EDIC companies operate in manufacturing and assembly; maintenance, repair and overhaul; autonomous systems; training; communications; and technology development. This new national defence industry champion will benefit three key stakeholders – our country, our customers and our companies.

 

SDBR: What is the contribution from Mubadala Development Company and Tawazun Holding?

LV: Both companies serve as EDIC’s principal shareholders.

 

SDBR: Do you have other plans for external growth? In which areas?

LV: Our focus now is on achieving a successful national defence industry transformation and building a national defence champion. As part of this process, we will work to promote innovation, technology development, state-of-the-art manufacturing and human capital development, specifically growing the next generation of Emirati engineers and project managers. We will also serve as a centralised hub of enhanced technological capabilities, resources and expertise – and deliver ease of access to a range of world-class products and services across all defence platforms.

 

SDBR: Do you have partnership projects outside the UAE?

LV: Our companies already have some leading global defence partners on board. We fully expect that by building an integrated defence manufacturing and services platform we will not only benefit our primary stakeholder, the Armed Forces of the UAE but, as a centralised facilitator for world-class products and services, serve as an attractive partner from the UAE with whom to do business.

 

 

* Mr. Vigneron’s brings extensive leadership experience in the global defence arena to EDIC, previously serving as the Chairman and CEO of Thales Group from 2009 to 2012. Prior to that, he served as Chairman and Chief Executive Officer of Giat Industries. During his time at Giat, he managed an extensive restructuring, which led to a relaunch of the company under the Nexter name in 2001.

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 16:25
Guyane : la chaîne de défense aérienne en action

 

03/09/2015 Armée de l'air

 

Le 21 août 2015, au lendemain du lancement d’une fusée Ariane 5, un aéronef a fait l'objet de mesures passives de sûreté aérienne.

 

L'aéronef avait été détecté, non identifié, à 40 nautiques au large des côtes guyanaises. Le centre de contrôle de l’aéroport international « Félix Eboué » de Cayenne signale alors au centre de contrôle militaire (CCM), sur la base aérienne 367, qu’il n’a aucun contact radiophonique avec l’appareil. Celui-ci change de cap et se dirige ensuite vers la zone interdite de survol protégeant le centre spatial guyanais. L’aéronef reste muet, malgré plusieurs tentatives de contacts, notamment sur la fréquence de détresse. Il pénètre la zone interdite et est alors immédiatement classé « suspect » par la haute autorité de défense aérienne (HADA) sur le sol guyanais. L’appareil entre enfin en contact avec l’aéroport et est pris en charge par le CCM. La HADA ordonne une mesure passive de sûreté aérienne, de type « contrainte d’itinéraire », pour faire sortir au plus vite l’intrus de la zone.

 

 

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 13:30
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

7 septembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Paris - Des vols de reconnaissance seront menés à partir de mardi au-dessus de la Syrie pour y mener des frappes contre l'organisation Etat islamique, a annoncé lundi le président français François Hollande, qui a exclu toute opération au sol dans ce pays.

 

J'ai demandé au ministre de la Défense que dès demain puissent être menés des vols de reconnaissance au-dessus de la Syrie. Ils permettront d'envisager des frappes contre Daech, en préservant notre autonomie d'action et de décision, a déclaré M. Hollande au cours d'une conférence de presse.

 

Aujourd'hui en Syrie, ce que nous voulons, c'est connaître, savoir ce qui se prépare contre nous et ce qui se fait contre la population syrienne.

 

(...) C'est la condition pour que nous puissions disposer de la capacité d'intervenir sous cette forme, et puis ensuite, selon les informations que nous recueillerons, les renseignements que nous aurons collectés, la reconnaissance que nous aurons pu faire, nous serons prêts à faire des frappes, a précisé le chef de l'Etat français.

 

Dans le cadre d'une coalition internationale menée par les Etats-Unis, les Mirage 2000 et les Rafale de l'aviation française bombardent déjà les positions de Daech en Irak. La France avait jusqu'à présent refusé de faire de même en Syrie dans les région contrôlées par l'EI.

 

Il serait inconséquent et irréaliste d'envoyer des troupes françaises en Syrie au sol, a par ailleurs souligné M. Hollande.

 

Irréaliste parce que nous serions les seuls, inconséquent parce que ce serait transformer une opération en force d'occupation. Donc nous ne ferons pas d'intervention au sol, pas plus d'ailleurs que nous n'en faisons en Irak, a-t-il déclaré.

 

En Irak, c'est aux Irakiens de mener ces opérations, et en Syrie c'est aux Syriens qui sont dans la rébellion, c'est aussi aux pays voisins, aux forces régionales, de prendre leurs responsabilités, a poursuivi le président français.

 

La France travaille pour que des solutions politiques soient trouvées car l'issue, elle est politique en Syrie, a estimé M. Hollande.

 

Et donc nous considérons que nous devons parler avec tous les pays qui peuvent favoriser cette issue et cette transition, a-t-il jugé, ajoutant: Je pense aux pays du Golfe, je pense aussi à la Russie, à l'Iran en plus de pays qui sont d'ores et déjà membres de la coalition.

 

En Syrie, rien ne doit être fait qui puisse consolider ou maintenir Bachar al-Assad. Le départ de Bachar al-Assad est à un moment ou un autre posé dans la transition, a-t-il réaffirmé.

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 11:55
Dossier de presse colloque Cyberdef 2015


03/09/2015 Ministère de la Défense

 

Veuillez trouver ci-dessous le dossier de presse sur le colloque Cyberdéfense 2015 :

Télécharger le document

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 11:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

03/09/2015 Sources : Marine nationale

 

Mercredi 2 septembre au matin, le contre-amiral Benoît Lugan, succédant au vice-amiral d’escadre Philippe Hello, a pris ses fonctions devant l’ensemble du personnel civil et militaire de l’ École navale.

 

Durant cette cérémonie, le contre-amiral Lugan a souhaité saluer l’ensemble du personnel et des élèves et, au travers de son discours, présenter les grandes lignes directrices et les priorités qui fonderont l’année scolaire 2015-2016.

 

A l'issue, les officiers et cadres civils, ainsi que les représentants de catégories et représentants du personnel civil ont pu partager un moment convivial d'échanges autour du nouveau commandant de l'école.

 

Le contre-amiral Benoît Lugan en quelques mots, chiffres et dates

Devenu à 20 ans officier de Marine en 1978, contre-amiral depuis janvier 2012.

- 1984/1994 : entre Bretagne et Provence, années d’activités et de responsabilités opérationnelles embarquées comme pilote d'hélicoptères, achevées avec le commandement de l’escadrille 23S à Saint-Mandrier de 1992 à 1994.

- 1994/2003 : entre Provence et Paris, officier d’état-major avec deux temps forts, l’un comme aide de camp auprès du Président de la République, monsieur Jacques Chirac (1998/2001), l’autre comme commandant la base d'aéronautique navale de Hyères de 2001 à 2003.

- 2003/2015 : en administration centrale à Paris, rapporteur pour le ministère de la Défense du « Livre blanc sur la sécurité intérieure face au terrorisme » (2006), chargé à l’état-major de la Marine de la conduite des réformes (2008/2010), puis du recrutement et de la formation (2010/2011), et enfin en 2011 adjoint au Directeur du Personnel Militaire de la Marine.

A l’été 2015, commandant de l’École navale.

 

4000 heures de vol sur Lynx, Dauphin/Panther, Alouette II et III

 

Formations

École navale (1978/1981), Collège interarmées de défense (1994/1995), Centre de formation au management de la défense (2001/2002), Centre des hautes études militaires et Institut des hautes études de la défense nationale (2003/2004).

Marié et sans enfants, le contre-amiral Benoît Lugan est officier dans l’ordre de la Légion d’Honneur, commandeur dans l’ordre national du Mérite et titulaire dans plusieurs ordres étrangers

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 11:55
Credits photo : GIGN

Credits photo : GIGN

 

05.09.2015 par GIGN

 

Jeudi 3 septembre 2015, l'Unité a reçu une délégation de diplomates du ministère des Affaires Etrangères.

 

Composée de personnels prochainement affectés en postes sensibles, une délégation de diplomates du Quai d'Orsay a pu rencontrer les gendarmes du GIGN.

 

A travers plusieurs démonstrations, les diplomates ont été sensibilisés à la sécurité à l'étranger et aux conduites à tenir en situation dégradée.

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 11:50
Hermes 900 HFE photo Armasuisse

Hermes 900 HFE photo Armasuisse

 

07.09.2015  Communication DDPS, Marco Zwahlen

 

Après le Conseil national, le Conseil des Etats s’est prononcé à son tour en faveur du programme d’armement 2015 à hauteur de 542 millions de francs. Ce dernier prévoit le remplacement de trois systèmes qui arrivent à la fin de leur durée d’utilisation. Il est prévu d’acquérir six nouveaux drones de reconnaissance, des nouveaux simulateurs de tir pour fusil d’assaut 90 et 879 véhicules légers tout-terrain pour systèmes techniques.


En juin dernier, le Conseil national avait adopté le programme d’armement 2015 par 130 voix contre 55 et une abstention. Le Conseil des Etats lui emboîte maintenant le pas, par 31 voix contre 9 et 5 abstentions. La proposition de la gauche parlementaire de renoncer à l’acquisition de nouveaux drones de reconnaissance a été clairement rejetée. La minorité motivait sa demande en invoquant les trop nombreuses incertitudes d’ordre éthique, politique et pratique. Le ministre de la défense Ueli Maurer a argumenté qu’une acquisition en Israël ne va pas à l’encontre du droit international public, bien que le pays soit impliqué dans un conflit armé. Il a ajouté que la sécurité est un élément primordial pour un pays. Ces drones de reconnaissance nous permettent de combler une lacune qui existe depuis un certain temps. Cela sert la protection de la population suisse.

 

Acquisitions

Le système de drones de reconnaissance 95 de type Ranger est en service depuis une vingtaine d’années. Il est dépassé et les pièces de rechange ne peuvent plus être achetées. Une évaluation approfondie préconise l’acquisition du système de drones de reconnaissance non armés Hermes 900 HFE construit par Elbit Systems. Quant au simulateur de tir pour fusil d’assaut 90, il est en service depuis 1993. Les coûts d’entretien augmentent et les pièces de rechange ne peuvent également plus être achetées. Il est prévu de le remplacer par un simulateur de tir de nouvelle technologie. Par ailleurs, le Conseil fédéral entend remplacer l’actuel véhicule pour systèmes Steyr-Daimler-Puch 230 GE par le véhicule léger tout-terrain pour systèmes techniques, développé à partir du châssis du Mercedes-Benz G 300 CDI 4x4. Les coûts de maintenance et de réparation de ces véhicules, acquis il y a 25 ans, dépassent en effet les limites économiquement admissibles.
 

Programme d'armement 2015

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 10:45
photo EMA / Armée de Terre / ECPAD

photo EMA / Armée de Terre / ECPAD

 

03/09/2015 Sources : État-major des armées

 

Engagé dans l’opération Kounama 5 du 19 au 29 août 2015 en appui des forces armées nigériennes, le groupement tactique désert Est (GTD-E) Chimère continue de perturber les flux des groupes armés terroristes (GAT).

 

Après avoir été largués dans la région de la passe de Salvador au cours de la nuit du 22 au 23 août, 90 parachutistes du 8e RPIMa, du 17e RGP et du 35e RAP se sont infiltrés à pied sur plusieurs kilomètres, puis ont installé avant les premières lueurs du jour divers dispositifs d’arrêt et de surveillance en profondeur des mouvements terroristes dans la zone.

Après confirmation du renseignement fourni par les hommes déployés au sol et par une patrouille de deux avions Rafale, les forces armées nigériennes, appuyées par les éléments mobiles du GTD-E stationnés dans un autre compartiment du terrain, ont appréhendé un pick-up suspect. Ses quatre occupants étaient lourdement armés, (fusil d’assaut de type kalashnikov, mitrailleuse PKM) et équipés (matériels militaires, téléphones satellitaires). De la drogue a également été découverte dans leur véhicule, qui devait plus tard être échangée contre de l’armement à destination des cellules combattantes du Nord-Mali.

 

Suite de l’article

photo EMA / Armée de Terre / ECPADphoto EMA / Armée de Terre / ECPADphoto EMA / Armée de Terre / ECPAD
photo EMA / Armée de Terre / ECPAD

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 09:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

03/09/2015 Sources : État-major des armées

 

Contexte :

La situation est aujourd’hui globalement stabilisée. La fin du mois d’août a cependant été marquée par la réapparition de tensions à l’est du pays.

Désormais pleinement opérationnelle et responsable de la stabilisation de la Centrafrique, la MINUSCA est intervenue pour apaiser la situation en particulier dans les villes de Bambari et de Bria. La détermination des forces internationales ainsi que le message de fermeté du nouveau chef de la Mission de l'ONU en Centrafrique (MINUSCA), M. Parfait Onanga-Anyanga, ont permis de ramener les différentes parties dans une logique de dialogue.

 

Action de la force :

La force Sangaris, est aujourd’hui constituée en force de réaction rapide, en mesure d’intervenir à la demande de la force onusienne. En août, alors que les unités de la force française se sont recentrées sur une mission de contrôle de zone aux abords de la capitale, une partie des éléments du GTIA Centurion se sont déployés au contact des éléments de la MINUSCA dans le couloir central.

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 07:55
CyberDef 2015 : first edition


4 sept. 2015 Ministère de la Défense

 

On September 24th, experts from around the world will meet in Paris for first cyberdefense symposium organized by the French Ministry of Defense.
For the first edition, the colloque aims to discuss the part of cyber on military operations. The thematic is "cyber defense at the heart of operations."

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 07:54
Missiles Hawk à N'Djamena (Source 7septembre-fr)

Missiles Hawk à N'Djamena (Source 7septembre-fr)


07.09.2015 source SHD
 

7 septembre 1191 : bataille d’Arsouf (Palestine) Lors de la 3e croisade, Richard Cœur de Lion défait Saladin, dont les forces le harcelaient sur sa route entre Césarée et Jaffa. Progressant le long de la côte afin de préserver son soutien logistique assuré par la flotte naviguant au même rythme, Richard parvient à retenir ses impétueux chevaliers afin qu’ils ne tombent pas isolément dans le piège des fuites simulées par les turcs. Il balaye ensuite par une charge de cavalerie massive, l’armée de Saladin sans toutefois parvenir à l’empêcher de se replier. Saladin, qui n’a pas réussi à vaincre les croisés, ni par le harcèlement, ni par la bataille, voit son prestige diminué auprès de ses troupes. Il a été légèrement blessé à l’épaule d’un coup de lance donné par Richard lors de la bataille. De plus sa situation tactique à Ascalon et à Jérusalem est critique. Malheureusement pour la croisade, Richard Cœur de Lion, craignant une nouvelle ruse, n’exploite pas son succès. Il entreprend la reconstruction de Jaffa, laissant aux turcs le temps de se réorganiser à l’intérieur des terres.

 

7 septembre 1565 : fin du siège de Malte (Méditerranée). La flotte musulmane de Mustafa Pacha envoyée en mai 1565 par Soliman pour prendre la dernière retraite des chevaliers de Saint-Jean, lève l'ancre.  

 

7 septembre 1812 : La bataille de La Moskowa.  Nommée Borodino par les Russes, elle est l'une des plus meurtrières et difficiles de toutes les campagnes de l'Empire. Longtemps indécise, elle bascule lorsqu'est prise la grande redoute par un assaut conjoint des cuirassiers et du Corps d'Eugène de Beauharnais. Napoléon perd 6500 tués et 21500 blessés, Les pertes russes sont de 45000 hommes. La route de Moscou est ouverte...Dans le Bulletin de la Grande Armée Napoléon fait écrire « : L’artillerie et surtout celle de la garde s’est surpassée ». Le nom de La Moskova est encore inscrit sur l’étendard du 1er RA [et du 4e Régiemnt de Chasseurs].

 

7 septembre 1940 : début du Blitz (Londres). Premier raid allemand sur Londres : 448 morts.

 

7 septembre 1987 : Le dispositif Epervier abat un Tupolev. Un peu avant 07h00 du matin, les radars du dispositif Epervier détectent qu’un Tupolev 22 libyen vient de franchir sans autorisation la frontière entre le Tchad et la Libye et fonce sur N’Djaména. Le 403 ème Régiment d’artillerie tire un missile Hawk qui atteint le Tupolev de plein fouet. L’épave révèle que les soutes, ouvertes au moment de l’impact du missile, étaient pleines de bombes à fragmentation.

 

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 07:50
New RAF intelligence aircraft arrives in UK seven months early


4 sept. 2015  Defence HQ

 

As part of its Airseeker Programme, the second signals intelligence aircraft has been delivered to the RAF, seven months early, the MOD has announced. The specialist surveillance aircraft was handed over today at RAF Mildenhall in Suffolk and will be deployable on operations within a matter of weeks.

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4 septembre 2015 5 04 /09 /septembre /2015 16:50
Guillaume Steuer Responsable de la Communication externe d’Airbus Helicopters

Depuis le 1er septembre 2015, Guillaume Steuer est le nouveau responsable de la communication externe d’Airbus Helicopters. Il pilote toutes les activités de Communication externe de la société. Il arrive de l’Agence Européenne de Défense à Bruxelles où, depuis juin 2014, il occupait le poste de Chargé des medias et de la communication.

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4 septembre 2015 5 04 /09 /septembre /2015 16:40
Mistral : Paris a déjà versé les 949,7 millions d'euros à Moscou

En vertu de l'accord passé avec la Russie, la France n'aura pas de pénalités à verser mais a remboursé le 5 août les montants avancés par Moscou pour l'achat des deux porte-hélicoptères. Le texte doit encore être examiné en septembre par l'Assemblée nationale.

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4 septembre 2015 5 04 /09 /septembre /2015 16:40
BPC Vladivostok photo Marine Nationale

BPC Vladivostok photo Marine Nationale

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2 septembre 2015 3 02 /09 /septembre /2015 07:20
Peacekeeping: Curing The Cure That Failed

 

August 31, 2015: Strategy Page

 

The UN is rethinking its approach to peacekeeping operations. What was once a small force, which mainly monitored areas where peace had been worked out, the UN now finds itself with a lot more peacekeepers and many of them under fire. After the Cold War ended in 1991 the changes began. After 2000 the UN peacekeeper force expanded from 20,000 to over 120,000. This was complicated by the growing use of Islamic terrorism against UN personnel. That meant it had become more dangerous to be a peacekeeper. Despite the increasing Islamic terror attacks the UN's peacekeeping army suffers less than a hundred combat deaths a year. More than ten times that number are wounded, injured in accidents, or disabled by disease. The peacekeeper combat fatalities come out to 90-110 per 100,000 troops per year. In Afghanistan foreign troops lost about 350-450 in 2012. At the peak of the fighting (2005-7) in Iraq, the losses were 500-600 per 100,000. The rate for U.S. troops in Vietnam and World War II was about 1,500 per 100,000 troops. So the UN peacekeepers are often seeing some considerable violence but at less than a third of the rate of troops in actual contemporary wars and much less than in 20th century conflicts. Still, it’s a lot more violent than Cold War era peacekeeping.

 

But it’s not the casualties that are causing the biggest problem but the increase in deliberate attacks and, to put it bluntly, the use of terror against the peacekeepers. This has made more countries reluctant to supply peacekeepers, especially Moslem countries, whose troops are accused of being heretics (and not just “enemies of Islam”) by Islamic terrorists and their many supporters among the Moslem population under peacekeeper protection. Most of the peacekeepers have come from South Asia (Pakistan, India, Bangladesh, Nepal) and most of these are Moslem. Pakistan has been one of the most frequent contributors, sending nearly 150,000 troops to over forty UN peacekeeping operations in 23 countries over the last half century. The Pakistani troops suffered a death rate of 92 per 100,000 but it could have been worse were not the South Asian troops among the best trained and most professional in the UN force.

 

It’s not just the growing terrorism that is causing difficulty in getting more troops for peacekeeping duty. While the casualties have something to do with this, corruption and lack of success are more often discouraging countries from contributing. The corruption angle is interesting, as it pertains both to the corruption within the UN bureaucracy and the corrupt atmosphere the peacekeepers operate in and often succumb to. Then there is the criticism of how the UN manages these missions. Casualties are expected but the contributing countries feel a lot of their troop losses are the result of restrictive UN rules that limit what peacekeepers can do. This, in turn, is believed most responsible for a lack of success for the peacekeeping missions.

 

In addition India and Pakistan are not happy with the lack of volunteers from other major nations. The chief reasons for that are the same ones annoying the current peacekeepers (corruption and restrictive rules of engagement). In addition, the major military powers (with the exception of China and Russia) feel they already contribute quite a lot in the form of money to pay the peacekeepers. And the contributors are also upset at the lack of results. A growing number of UN members, including many who contribute little money and no personnel for peacekeeping are coming to realize that the original goals (keeping the peace) are often not met and the peacekeepers will never turn into a military organization that will be able to impose peace. While the UN likes to condemn (bad behavior) and demand that people behave, most member states do not support trying to create a UN police force with real enforcement capabilities. None of the major world powers supports this either. So there is growing pressure to look for other ways to deal with seeming endless supply of new hotspots needing to be cooled down, much less all the older ones that are still smoldering.

 

Over the last decade the UN has spent $7-10 billion a year on 13-20 peacekeeping operations supported each year. Most of the money comes from the West but a lot of it comes from wealthy (usually because of oil) Moslem nations. To Islamic terrorists that makes the peacekeepers lackeys of the non-Moslem West and Arab “enemies of Islam”. The money pays for the peacekeepers and a smaller support staff. It's actually a pretty cheap way of keeping some conflicts under control or at least out of the headlines. The causes of the unrest may not be resolved by peacekeepers but at least the problem is contained and doesn't bother the rest of the world too much. This is an increasingly unpopular approach to peacekeeping and now even the UN bureaucracy is being forced to consider changes. Fewer UN members back the policy of sending peacekeepers to where they are not wanted (by the local government, usually a bad one that is often the cause of the trouble in the first place) and use some UN approved violence to go after the people responsible for the local mess and end the seemingly endless violence in some areas. This sort of thing seems fine in theory but does not always work in practice.

 

Meanwhile most of the money is going to a few large peacekeeping operations. Three of the largest get over half the cash and for over a decade this has been Congo, Darfur (western Sudan), and southern Sudan. Africa has the largest number of "failed states" on the planet and, as such, is most in need of outside security assistance. The Middle East is also a source of much unrest. But there the problem isn't a lack of government, just bad government. Most Middle Eastern nations are run by tyrants, who have created police states that at least keep anarchy at bay and peacekeepers out.

 

Religion has become a touchy subject. While Islamic radicalism is more of a problem to fellow Moslems than it is to infidels (non-Moslems), most Middle Eastern governments avoid blaming Islam for these problems. Since it's increasing difficult to pin the blame on "colonialism" or "crusaders," the Middle Eastern nations encourage other UN members to just stay away from the religious angle altogether. This has made it difficult to deal with peacekeeping issues in Moslem nations, since religion usually plays a part in creating the problem. To the UN, this is just another diplomatic problem to be dealt with, although not very well.

 

But overall the troops and money that keep all the peacekeeping going are in danger of fading away. Frantic diplomacy is underway by the UN to try and makes things all better, but success is not assured and every year there’s the same drama as cash shortages threaten to shut down many peacekeeping operations.

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 17:45
Barkhane : Visite officielle du commandant en chef de la FMM

 

31/08/2015 Sources : État-major des armées  

 

Le 28 août 2015, le commandant la Force multinationale mixte (FMM), le Major Général nigérian Abbah, accompagné d’une délégation de l’état-major de la FMM, a rencontré le général de division Brethous, commandant la force Barkhane.

 

La FMM, dont l’état-major est en cours d’installation à N’Djamena, regroupera des forces de sécurité du Tchad, du Niger, du Cameroun et du Nigéria dans le cadre de leur lutte commune contre la secte Boko Haram, sévissant dans la région. C’est en tant que commandant de la FMM que le général Abbah a été invité à visiter l’état-major de la force Barkhane basé à N’Djamena, et plus particulièrement sa Cellule de coordination et de liaison (CCL). Mise en place en décembre 2014 à l’initiative de la France, cette structure vise à favoriser l’échange de renseignements et d’information entre les pays partenaires de la Commission du bassin du lac Tchad (CBLT) afin de leur permettre de conjuguer au mieux leurs efforts pour garantir leur propre sécurité.

 

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