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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 08:25
Coup de frein sur le programme brésilien de sous-marins

 

04/11/2015 LeMarin.fr

 

Après le coup de turbo, c'est un peu la douche froide : la marine brésilienne a suspendu la construction de sous-marins, pour laquelle elle a requis les services de DCNS et d'Odebrecht, son partenaire brésilien, dans le cadre du contrat Prosub.

 

Ce coup de frein a pour motifs la crise économique et les affaires à répétition qui secouent l'administration, le programme n'ayant rencontré aucune difficulté technique. Peu de détails sont encore disponibles sur le nouveau calendrier du programme.

 

Une demi-coque seulement a été réalisée pour l'instant. Prosub (programa de submarinos) prévoit la construction au Brésil de quatre sous-marins de la classe Scorpène (75 mètres, 2 000 tonnes) et d'un sous-marin nucléaire, qui est désormais retardé à 2025.

 

Le premier sous-marin (conventionnel) devait être mis à l'eau en 2017 (et le deuxième en 2019). Si les temporisations budgétaires sont confirmées, cette date ne sera pas tenue. La construction du SNA de 6 000 tonnes devait elle débuter en 2017. Déjà, les semaines des ouvriers locaux ont été écourtées.

 

Prosub comprend aussi une base sous-marine clé en en mains à Itaguaï, le total du projet revenant à 10 milliards d'euros. La marine brésilienne souhaite protéger ses 8 500 km de côtes et ses ressources en haute mer, notamment les puits d'hydrocarbures.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 19:55
Existe-t-il un droit de la cyberguerre ?

 

03.11.2015 Par Pierre ALONSO - Liberation.fr

 

Alors que les Etats recourent de plus en plus aux cyberattaques, l'encadrement de cette guerre électronique demeure flou, malgré des tentatives répétées pour le clarifier.

 

 

Le ministère de la Défense récuse l’avoir organisé en urgence, mais ce colloque tombe à pic. Lundi et mardi, le nouveau site de Balard, «l’Hexagone», accueille une série de conférences sur le thème «Droit et Opex» (opérations extérieures, la guerre donc), autour de deux thèmes clés : la judiciarisation croissante des conflits et l’adaptation du droit aux nouvelles menaces, aux «zones grises». A l’instar des bombardements français en Syrie dont la légalité a soulevé de nombreuses questions.

Ces bombardements se sont accompagnés d’actions d’un nouveau genre. Selon Le Monde, «une opération informatique du cybercommandement de l’état-major» a permis de «remonter jusqu’au groupe» visé. Soit une nouvelle application de la doctrine française en matière de «lutte informatique offensive», dans un cadre légal encore flottant.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 17:55
Une toile sous les mers

 

03.11.2015 ASP Alexia Pognonec, chargée de recherches au Centre d’études stratégiques de la Marine (CESM) - Marine nationale

 

 

Le 20 novembre 2000, en Australie, les internautes n’ont plus accès à la toile. Telstra, leur principal fournisseur d’accès, ne tourne plus qu’à 30 % de sa capacité habituelle. Le trafic est ralenti, toute tentative de connexion est impossible. La raison ? La rupture d’un câble sous-marin au large de Singapour.

Difficile d’imaginer que nos photographies de voyage postées sur les réseaux sociaux ou que nos conversations sur Skype avec nos amis du bout du monde transitent sous la mer ? Et pourtant. Ce sont plus d’un million de kilomètres de câbles qui sillonnent le fond des océans, permettant d’assurer 99 % des communications intercontinentales, loin devant les satellites. Et le développement de cette technologie ne date pas d’hier. Les premières tentatives d’immersion de câbles remontent aux années 1840. C’est en 1851 que la toute première ligne sous-marine est inaugurée : posée au fond de la Manche, elle relie Calais à Douvres.

Ce pas de géant dans le développement des communications internationales sera le premier d’une longue série. Dès le mois d’août 1858, la liaison est établie entre l’Europe et les États-Unis, permettant l’envoi de messages en quelques heures seulement. Loin des 15 jours de traversée nécessaires pour qu’un courrier traverse l’Atlantique ! Mais la composition inadaptée du câble à l’environnement marin aura très rapidement raison de cette première. Sept années de travail, de multiples tentatives de pose et autant d’échecs seront nécessaires, avant qu’en 1866 un autre câble déroulé par le plus grand paquebot de l’époque, le Great Eastern, relie à nouveau le Vieux Continent au Nouveau Monde.

Depuis cette date, la technique n’a cessé d’évoluer. Les années 50 voient naître les câbles téléphoniques et la fin des années 80 les câbles en fibres optiques dont les performances sont progressivement décuplées. La capacité de transmission est passée au très haut débit, multipliant ainsi par 1 million le volume de flux.

 

Une économie connectée

Ces câbles sont également le support des marchés financiers, permettant de se jouer des distances et des créneaux horaires pour parier à la hausse ou à la baisse de Tokyo à Londres, en passant par New York. À l’heure des opérations boursières, chaque milliseconde gagnée dans le transfert de données peut valoir plusieurs millions de dollars.

L’entrepreneur de son côté peut commander, contrôler la fabrication, puis la livraison via les porte-conteneurs de sa prochaine collection de prêt-à-porter, de son dernier modèle de voiture ou de son smartphone. Et bon nombre d’entreprises sont de plus en plus tributaires de ces plates-formes dématérialisées. L’accès au Cloud Computing (nuage virtuel) qu’elles utilisent aux fins de messagerie, de stockage de fichiers clients, de données comptables ou financières est particulièrement dépendant de la qualité du réseau. Le risque, en recourant à ce type de technologie, est qu’en cas de coupure internet – due à une rupture de câble ou à une attaque ciblée – les activités de ces sociétés s’en trouvent gelées.

 

Lorsque les États perdent le fil

Dans le monde actuel inter – voire ultra – connecté, le bon fonctionnement de ces liaisons sous-marines est crucial. Déjà, lors de la Grande Guerre, ces liens revêtaient une importance décisive, à tel point que les alliés se sont attelés à en priver l’Allemagne dès les premières heures du conflit. Ce faisant, ils s’assuraient un avantage stratégique majeur dans le déroulement des hostilités.

C’est aussi la stratégie qu’ont adoptée les États-Unis pour isoler Cuba du reste du monde dès le début de l’embargo en 1962. Il faudra attendre près de 50 ans pour que la Havane soit enfin connectée via un unique câble sous-marin.

Si cette mainmise sur les câbles de télécommunications revêt une importance considérable dans les relations entre États, elle est tout aussi essentielle concernant le contrôle et la surveillance des populations. Qu’il s’agisse d’espionnage d’agences gouvernementales – comme rappelé par l’affaire Snowden – ou de régimes autoritaires qui paralysent les communications pour faire taire les contestations de leurs peuples, le pouvoir que confère la maîtrise de ces outils est immense.

 

Câbles stratégiques

Les câbles sous-marins ne sont pas indestructibles, loin de là. Les contraintes qu’ils subissent sont nombreuses : température, salinité, pression, courants, tempêtes, séismes et glissements de terrain sous-marins, ancres, chaluts et même attaques de requins ! Autant de facteurs qui rendent ces serpents de mer vulnérables. Ceci sans compter les dégradations volontaires, le vandalisme et les autres formes de sabotages. D’autant qu’ils ne sont pas non plus à l’abri de destructions une fois à terre, quand bien même ils seraient enfouis dans le sol.

Dans le cadre de ses missions, la Marine a aussi vocation à protéger les navires civils qui œuvrent à la pose de ces câbles, ainsi qu’à déceler toute forme d’activité suspecte ou délictueuse à l’encontre de ces précieux moyens de communication.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 17:55
Entraînement au tir des réservistes du 13e RG - photo Armée de Terre

Entraînement au tir des réservistes du 13e RG - photo Armée de Terre

 

02.11.2015 par 13e RG - Armée de Terre


Réunie en octobre, la compagnie s'est entraînée pour le contrôle opérationnel de novembre avec au programme : tirs, parcours d'obstacles, révisions tactiques sur le terrain, etc...
Les 12 et 13 septembre derniers, les réservistes intégrés en avril et août 2015 ont également été présentés au drapeau du régiment.

 

Reportage photos

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 17:55
Somme 2016 : une adresse dédiée pour les inscriptions

 

03/11/2015 CNE C. Thomassin  -  DICOD

 

La cérémonie franco-britannique de la bataille de la Somme aura lieu le 1er juillet 2016 à Thiepval, marquant le premier jour de l’offensive alliée de 1916 dans ce département. Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire, a annoncé la mise en place d’une adresse dédiée pour le public français désireux de participer à la cérémonie.

 

Organisée conjointement par les gouvernements français et britannique, avec le concours de la Commonwealth War Graves Commission (CWGC) et de la Royal British Legion (RBL), la cérémonie franco-britannique de la bataille de la Somme se déroulera le 1er juillet 2016 en présence des plus hautes autorités civiles et militaires. Environ 10 000 invités français, britanniques et en provenance des pays du Commonwealth, sont attendus.

 

Le secrétaire d’État à la Culture, John Whittingdale, responsable de l’organisation du centenaire de la Première Guerre mondiale au Royaume-Uni, a lancé officiellement lundi 28 septembre 2015 le tirage au sort qui permet au gouvernement britannique d’allouer les places aux familles du royaume désireuses d’assister aux cérémonies de la bataille de la Somme.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 17:50
Le VBCI de Nexter (ici équipé d'une tourelle T40), futur véhicule de combat d'infanterie de la Lituanie?

Le VBCI de Nexter (ici équipé d'une tourelle T40), futur véhicule de combat d'infanterie de la Lituanie?

 

4 novembre, 2015 Nathan Gain (FOB)

 

La Lituanie devrait finalement sélectionner son futur véhicule de combat d’infanterie d’ici la fin du mois, a récemment déclaré le ministère de la Défense Nationale lituanien, Juozas Olekas. Deux nouvelles candidatures issues des Etats-Unis et de Pologne (des Rosomak ?) ont en effet repoussé la prise de décision de quelques semaines afin de permettre au Ministère concerné d’effectuer les recherches et analyses sous-jacentes et de récolter les détails complémentaires nécessaires auprès de la dizaine d’industriels ayant déjà fait offre, parmi lesquels Nexter.

 

« L’analyse des nouvelles offres prendra du temps supplémentaire, nous avons donc postposés la prise de décision finale concernant l’achat de véhicule de combat d’infanterie à la fin du mois de Novembre. D’ici là, nous espérons avoir reçu les données complémentaires de la part des industriels s’étant manifestés auparavant, ce qui nous permettra de réaliser une évaluation appropriée des offres gouvernementales et industrielles, » a déclaré Juozas Olekas.

 

Le futur blindé 8×8 envisagé par la Lituanie remplacera les antiques véhicules chenillés M113. Les véhicules acquis seront initialement utilisés pour équiper deux bataillons de brigade d’infanterie mécanisée « Iron Wolf ». Chaque bataillon comprend trois compagnies, chacune dotée de 10 à 12 véhicules, pour un total variant de 60 à 72 blindés. La Lituanie n’exclut toutefois pas l’achat de véhicules supplémentaires.

 

Outre les deux propositions « G2G » (de gouvernement à gouvernement) dernièrement reçues par les militaires lituaniens, on retrouve Nexter et son VBCI, décliné en 25 et en 40 mm. Dévoilée en février dernier lors du salon IDEX, cette version musclée du VBCI ne met rien de moins en œuvre que le fameux canon 40CTAS développé en partenariat avec BAE Systems pour le programme AJAX britannique.

 

Neuf autres compagnies ont répondu à la RFI (Request for Information) envoyée le 17 juillet 2014 par le MinDef lituanien : Patria et son AMV équipé d’une tourelle UT 30 Mk2, le Boxer d’ARTEC armé soit d’une tourelle RCT 30 ou LANCE 30, le Superav d’IVECO doté également d’une UT 30 Mk2, le fameux LAV II de General Dynamics Land Systems assorti d’une tourelle MCT30 produite par le norvégien Kongsberg, General Dynamics European Land System et le Piranha, l’Arma et la tourelle Mizra-30 d’Otokar et, enfin, le PARS de FNSS pourvu d’une tourelle E30. Par ailleurs, Elbit Systems et Lockheed Martin ont quant à eux offert un système d’armement principal, à savoir respectivement les tourelles UT 30 Mk1 et 2, et la 40CTAS.

 

Ce programme, le plus important jamais mis en œuvre par les forces armées lituaniennes, est doté d’un budget estimé à 460 millions d’euros. Une fois ce choix officialisé, le ministère de la Défense Nationale lituanien lancera la procédure d’acquisition proprement dite, une étape qui devrait durer entre 4 et 10 mois selon le type de procédure choisi. Les premières livraisons sont prévues pour 2017 et devraient continuer jusqu’en 2020.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 17:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

03/11/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 4 au 16 octobre 2015, le détachement d’appui opérationnel « Marine » de l’unité de coopération régionale des Éléments français au Sénégal (EFS) a conduit une action de formation « Visite opérationnelle » à Nouadhibou au profit des commandos fusiliers marins de la Marine mauritanienne.

 

Conduite à la demande des forces armées mauritaniennes, cette mission a permis de consolider et de compléter leur savoir-faire dans le domaine du contrôle des navires en mer. Les six instructeurs des EFS ont dispensé à une trentaine de stagiaires un enseignement théorique et pratique. La formation était principalement axée sur la visite de navires, le tir de combat, les techniques d’interventions opérationnelles rapprochées, le combat d’infanterie en milieu clos, les techniques de franchissement, la nage de combat et le secourisme au combat.

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photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 17:25
Soyuz Flight VS13 photo Arianespace

Soyuz Flight VS13 photo Arianespace

 

Nov 4, 2015 ASDNews Source : Arianespace

 

The satellites for Arianespace’s 12th flight in 2015 – which will close out the company’s record year of launch activity – have arrived in French Guiana with delivery of the latest two European Galileo navigation platforms to be lofted by Soyuz. These spacecraft landed at Cayenne’s Félix Eboué Airport aboard a chartered freighter jetliner, and were transferred via road to the Spaceport’s S1 payload preparation facility for checkout.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 17:20
Tigre HAD, équipé de 2 missiles Hellfire– photo André BOUR HelicoPassion

Tigre HAD, équipé de 2 missiles Hellfire– photo André BOUR HelicoPassion

 

Nov 4, 2015 ASDNews Source : Defense Security Cooperation Agency (DSCA)

 

The State Department has made a determination approving a possible Foreign Military Sale to the Government of France for Hellfire Missiles and associated equipment, parts and logistical support for an estimated cost of $30 million. The Defense Security Cooperation Agency delivered the required certification notifying Congress of this possible sale on November 3, 2015.

 

The Government of France has requested a possible sale of two-hundred (200) AGM-114K1A Hellfire Missiles; Hellfire Missile conversion kits; blast fragmentation sleeves and installation kits; containers; and transportation. The estimated cost of MDE is $25 million. The total estimated cost is $30 million.

 

This proposed sale will contribute to the foreign policy and national security of the United States by improving the capability of a NATO ally. France is a major political and economic power in Europe and a key democratic partner of the United States in ensuring peace and stability around the world. It is vital to the U.S. national interest to assist France to develop and maintain a strong and ready self-defense capability.

 

The additional missiles will meet France's operational requirements for a precisionguided tactical missile for its Tigre Attack Helicopter. The purchase will directly support French forces actively engaged in operations in Mali and Northern Africa, providing them the capability to successfully engage targets with minimal collateral damage. France will have no difficulty absorbing these missiles into its armed forces.

 

The proposed sale of this equipment and support will not alter the basic military balance in the region.

 

There is no principal contractor for this sale as the missiles are coming from U.S. Army stock. There are no known offset agreements in connection with this potential sale.

 

Implementation of this proposed sale will not require any additional U.S. Government or contractor representatives in France.

 

There will be no adverse impact on U.S. defense readiness as a result of this proposed sale.

 

This notice of a potential sale is required by law and does not mean the sale has been concluded.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 16:55
L'"Hexagone Balard", nouveau site du ministère de la défense (CR-ANMA Artefactory)

L'"Hexagone Balard", nouveau site du ministère de la défense (CR-ANMA Artefactory)

 

04-11-2015 Par Vincent Lamigeon – Challenges.fr

 

EXCLUSIF 13.600 euros pour une imprimante et un scanner! Le consortium Opale Défense (Bouygues, Thales…), opérateur privé de l’Hexagone Balard, facture chaque prestation au prix fort. Au grand dam des militaires.

 

Ne l’appelez plus "Pentagone à la française". L’Hexagone Balard, nom définitif du nouveau siège du ministère de la Défense dans le 15ème arrondissement de Paris, est officiellement inauguré ce jeudi 5 novembre à 15h par le président François Hollande. Mais les militaires et agents du ministère n’ont pas attendu le grand raout pour prendre possession des lieux: 85% des 9.300 agents prévus sur le site sont déjà installés dans les 145.000 m2 de bâtiments neufs, qui rassembleront les états-majors des armées, la Direction générale de l’armement et divers services du ministère.

Depuis l’arrivée des "pionniers" en février dernier, les occupants vont de surprise en surprise. Il y a bien sûr les inévitables bugs des bâtiments flambant neufs : panne d’ascenseurs, volets qui se ferment automatiquement en pleine réunion, problèmes de scan des plaques d’immatriculation à l’entrée du site. Mais les agents ont surtout pu se familiariser avec les joyeusetés de la gestion du site en partenariat public privé (PPP): si le loyer annuel versé par le ministère, 154 millions d’euros, comprend la redevance immobilière, celles des systèmes d’information et des services (restauration, nettoyage, conciergerie…), chaque modification des bureaux demandée fait l’objet d’une facturation supplémentaire.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 14:30
photos USA DoD - UK France MoD

photos USA DoD - UK France MoD

 

November 04, 2015 by CJTF-OIR Release # 20151104-01

 

Military Strikes Continue Against ISIL Terrorists in Syria and Iraq

 

SOUTHWEST ASIA- On Nov. 3, coalition military forces continued to attack ISIL terrorists in Syria and Iraq. In Syria, coalition military forces conducted six strikes using attack, ground-attack, fighter, bomber, and remotely piloted aircraft. Separately in Iraq, coalition military forces conducted 19 strikes coordinated with and in support of the Government of Iraq using bomber, fighter, attack, ground-attack and remotely piloted aircraft against ISIL targets.

 

The following is a summary of the strikes conducted against ISIL since the last press release:

 

Syria

• Near Al Hasakah, two strikes struck two separate ISIL tactical units and wounded an ISIL fighter.

• Near Al Hawl, two strikes struck two separate ISIL tactical units and destroyed four ISIL fighting positions.

• Near Dayr Az Zawr, two strikes destroyed three ISIL cranes, four ISIL rigs, two ISIL excavators, an ISIL front end loader, and two ISIL pipefitters.

 

Iraq

• Near Al Baghdadi, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL fighting position.

• Near Albu Hayat, two strikes struck two separate large ISIL tactical units and destroyed an ISIL vehicle borne improvised explosive device (VBIED), an ISIL mortar system, an ISIL building, and four ISIL fighting positions.

• Near Bayji, one strike wounded an ISIL fighter.

• Near Mosul, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL fighting position.

• Near Ramadi, five strikes struck an ISIL tactical unit and destroyed seven ISIL fighting positions, an ISIL VBIED, an ISIL weapons cache, an ISIL vehicle, an ISIL building and denied ISIL access to terrain.

• Near Sinjar, nine strikes struck an ISIL tactical unit and destroyed ISIL IED facility, an ISIL staging facility, three ISIL staging areas, four ISIL weapons caches, an ISIL headquarters location, an ISIL bed down location, 10 ISIL fighting positions, and two ISIL vehicles.

 

Strike assessments are based on initial reports. All aircraft returned to base safely.

 

The strikes were conducted as part of Operation Inherent Resolve, the operation to eliminate the ISIL terrorist group and the threat they pose to Iraq, Syria, and the wider international community.

 

The destruction of ISIL targets in Syria and Iraq further limits the group's ability to project terror and conduct operations. Coalition nations which have conducted strikes in Iraq include Australia, Belgium, Canada, Denmark, France, Jordan, Netherlands, United Kingdom, and the United States. Coalition nations which have conducted strikes in Syria include Australia, Bahrain, Canada, France, Jordan, Saudi Arabia, Turkey, United Arab Emirates, and the U.S.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 13:55
Thales wins French Navy simulator support contract

 

November 4, 2015 by Thales Group

 

Thales has been chosen by the French Navy to provide through-life support (TLS) for almost all of its simulators. The six-year contract with the Navy’s fleet support department (SSF) calls for the support of 41 simulators at six naval facilities in France.

 

These simulators cover a broad spectrum of operations and all deployment contexts, from shipboard system maintenance to surface vessel crew training as well as firing simulators for the Mistral missile, 12.7 mm and 20 mm guns and other weapons.

They are used to train the crews of all French Navy surface vessels, including its multimission frigates, air defence frigates and the Charles de Gaulle aircraft carrier. The new TLS contract covers simulators delivered from the 1990s to today, including systems currently on order.

This latest award strengthens Thales’s leadership in training and simulation for naval customers. 

Key points

  • Thales to provide TLS for almost all French Navy simulators.

  • Six-year contract for 41 simulators.

  • Simulation systems for all operational deployment contexts. 

 

Note to editors
Thales supports naval forces around the world with a wide range of training products, services and solutions, with a particular focus on mission planning and training efficiency.

- Surface crew training
For surface vessels, Thales provides highly integrated systems for the training of crews, command personnel and sensor and weapon operators.
- Training systems for submarines
Thales is present in the submarine segment, with pre- and in-service training systems deployed around the world. Solutions include submarine control simulators and combat system trainers.
- Maritime patrol aircraft and anti-submarine warfare
Thales delivers training solutions for a range of maritime patrol aircraft and helicopters, including highly realistic simulation of sensors (sonar, radar, EO/IR, etc.) and weapon systems, in an environment reproducing the most severe sea states. Advanced tactical environments can be tailored to the specific requirements of naval forces and their operational contexts.
- e-Learning and computer-based training
Thales has developed computer-based training (CBT) solutions for a number of vessel types around the world. These solutions are available on mobile platforms and are used for initial and operational training as well as for training in shipboard system maintenance.

About Thales
Thales is a global technology leader in the Aerospace, Transportation, Defence and Security markets. In 2014, the company generated revenues of €13 billion with 61,000 employees in 56 countries. With over 20,000 engineers and researchers, Thales has a unique capability to design and deploy equipment, systems and services to meet the most complex security requirements. Its unique international footprint allows it to work closely with its customers all over the world.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 12:56
[Diaporama] Terriens et aviateurs survivent au CESSAN

La cabine plonge à 3,5 mètres de profondeur dans un bassin de 1 500 m3 d’eau et d’une profondeur de 6 mètres. Les exercices sont réalisés en toute sécurité en présence des plongeurs instructeurs du CESSAN. - photo J.REDOUANE©ECPAD

 

 

30/10/2015 Cne F. Cantin  -  DICOD

 

Fin octobre, une vingtaine de terriens et aviateurs, tous personnels navigants, se sont retrouvés au Centre d’entraînement à la survie et au sauvetage de l’aéronautique navale (CESSAN), à Lanvéoc. Durant cinq jours, ils ont été évalués sur leur aptitude à la survie en mer avec hélitreuillage au large des côtes bretonnes, formés à l’évacuation de cabines immergées en bassin et à l’utilisation de l’élément de respiration subaquatique (ERSA) avant de s’entraîner à se dégager d’une voile de parachute dans l’eau. Le CESSAN a mis à profit ses nouveaux simulateurs arrivés à l’été pour un entraînement au plus proche de la réalité. Chaque année, le Centre accueille plus de 1 000 stagiaires des trois armées, de la gendarmerie, du service de santé des armées ou encore de personnels navigants d’armées étrangères pour apprendre à survivre en cas d’amerrissage forcé.

 

Terriens et aviateurs survivent au CESSAN - [Diaporama]

 

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 12:55
Stages armées-jeunesse

 

03/11/2015 CAJ

 

Plus de 500 stages et contrats armées-jeunesse pour 2016

 

Le but de ces stages est de concourir au renforcement du lien armées-nation, de mettre en contact des étudiants avec le milieu de la Défense par l'intermédiaire de l'industrie de l'armement, des états-majors, des unités militaires et des différents services des armées.

 

Il s'agit de deux types de stages :

• des stages sous convention*

D'une durée allant de 1 semaine à 6 mois maximum, ce sont des stages formalisés par une convention de stage entre l'étudiant, l'organisme d'emploi du ministère de la défense et l'établissement d'enseignement.

* Un stage sous convention d'une durée supérieure à 2 mois et 44 jours de présence effective sur la période de stage est obligatoirement gratifié.

• des stages rémunérés ou contrats "armées-jeunesse"

Ce sont des contrats de travail à durée déterminée, de 3 mois maximum. Ce contrat vise à offrir une première expérience à des étudiants en fin d'études ou jeunes diplômés. La rémunération de ces stages est équivalente au SMIC.

 

♦Deux outils pour trouver des stages :

- Pour les stages de niveau 3ème à bac + 7, une Banque des stages

- Un fichier pdf pour l'ensemble des stages de niveau Bac+ 3 à bac+ 7 pour l'année 2016

 

Pour postuler, complétez le formulaire de candidature 2016.

 

Le ministère propose également des stages à l'étranger.

 

(Mis à jour le 16 octobre 2015)

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 12:55
[Teaser] Simuler n’est pas jouer (JDef)


4 nov. 2015 source JDEF

 

Inspirée des jeux vidéo, la simulation est devenue un outil incontournable pour les armées. Partie intégrante de l’apprentissage et de la préparation opérationnelle, les technologies ultra élaborées du jeu sont aujourd’hui un véritable complément de l’entrainement réel.

Dans ce numéro, le Journal de la Défense (JDef) vous fait découvrir les nouveaux outils de formation et d’entrainement utilisés au sein des forces armées.

Grille de diffusions sur la chaîne LCP-An
-SAMEDI 7 NOVEMBRE A 19H15
-DIMANCHE 8 NOVEMBRE A 15H45
-MERCREDI 11 NOVEMBRE A 01H00
-JEUDI 12 NOVEMBRE A 10H00
-DIMANCHE 15 NOVEMBRE A 16H45
-DIMANCHE 22 NOVEMBRE A 23H15
-SAMEDI 28 NOVEMBRE A 19H15

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 12:55
photo 4e RE  - Légion Etrangère

photo 4e RE - Légion Etrangère

 

30-10-2015 par 4e RE Réf : 536 | 321

 

Le jeudi 29 octobre 2015, la compagnie de commandement et des services a organisé une séance de méthode naturelle dans le parc du château des Cheminières. Après un échauffement ludique dans la zone dédiée au paint ball, les cadres et légionnaires ont enchaînés plusieurs exercices sur le thème du combat au corps à corps. Commençant par un travail de frappe haute avec parades et esquives, tous se sont exercés ensuite aux mises au sol et aux immobilisations. A l’issue, les participants sont retournés à leurs missions de soutien au profit des compagnies d’instruction.

 

Reportage photos

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 12:55
photo EMA

photo EMA

 

03/11/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 30 octobre 2015, répondant à l’invitation du général d’armée Pierre de Villiers, les anciens chefs d’état-major des armées ont découvert les installations de Balard, lieu à partir duquel le « premier des militaires » exerce désormais ses responsabilités pour assurer la défense de la France et des Français.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 12:55
photo EMA

photo EMA

 

03/11/2015 Ministère de la Défense

 

Depuis le 2 novembre 2015, le général d’armée Pierre de Villiers porte  le « Bleuet de France», autorisant et encourageant les militaires à faire de même.

 

Jusqu’aux cérémonies du « 11 Novembre », le chef d’état-major des armées (CEMA) a ainsi choisi de rendre hommage aux anciens combattants, aux victimes de guerre, ainsi qu’à leurs familles. « Le bleuet est le symbole de l’hommage aux soldats qui ont payé dans leur chair le prix de leur engagement au service de la France. Il incarne les valeurs de courage, d’abnégation, d’engagement et de paix qui sont celles de l’ensemble de la communauté combattante. »

 

Repère

L’histoire du « Bleuet de France » débute au  lendemain de la Première Guerre Mondiale avec pour souci de soutenir ceux qui se sont sacrifiés pour la France. Aujourd’hui encore, cette œuvre se poursuit, les fonds récoltés permettant de contribuer au maintien à domicile des anciens combattants et des veuves de guerre, de participer au financement des études des Pupilles de la Nation, mais aussi de soutenir des militaires gravement blessés en opérations extérieures ou d’accompagner les familles endeuillées de nos soldats.

L’œuvre nationale du « Bleuet de France » (ONBF) participe également à la confection des colis destinés aux soldats engagés sur les théâtres d’opérations extérieures au moment de Noël.

Depuis 1991, l’office national des anciens combattants et victimes de guerre (ONACVG) est chargé de la gestion de l’ONBF, qui est reconnue d’utilité publique. Elle est donc habilitée à recevoir des dons de particuliers et d’entreprises, ouvrant droit à des déductions fiscales.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 12:50
photo UK MoD

photo UK MoD

 

03/11/2015 Tribune conjointe du Ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian et de son homologue britannique Michael Fallon

 

Il y a 5 ans, le 2 novembre 2010, nos deux pays ont signé deux traités à Lancaster House : un traité sur la défense et la sécurité et un autre sur la coopération nucléaire. Cela constituait un engagement historique visant à construire un partenariat de long terme dans le domaine de la défense et de la sécurité, reflétant notre histoire, nos intérêts, nos valeurs et responsabilités partagés, ainsi qu’une analyse convergente des menaces auxquelles nous sommes confrontés ; ils représentent un gage sans précédent de notre confiance mutuelle. Demain nous nous rencontrons de nouveau pour souligner cet engagement et continuer à faire face ensemble aux défis sécuritaires que nous partageons.

 

La coopération franco-britannique de défense n’est pas nouvelle. Depuis plus d’un siècle nos forces armées ont combattu côte à côte. En 2016, nous commémorerons le courage et le sacrifice de tous ceux qui, il y a un siècle, ont servi ensemble la défense de nos pays durant la Bataille de la Somme. Depuis 1945, nos deux pays ont consacré une part substantielle de leur richesse nationale à la défense, reflétant nos responsabilités en tant que membres permanents du conseil de sécurité des Nations unies, désireux et capables de déployer et maintenir des forces armées à travers le monde entier.

 

Depuis la Déclaration du Président Jacques Chirac et du Premier ministre John Major lors de leur rencontre à Chequers en octobre 1995, nous avons reconnu l’importante convergence de nos intérêts vitaux. La somme de nos deux budgets de défense représente près de la moitié des dépenses totales de tous les Etats membres de l’Union européenne en matière de défense et une part plus large encore en matière de recherche et développement de défense.

Nous avons atteint d’importants objectifs ces 5 dernières années. Nous avons démontré que la France et le Royaume-Uni ont les capacités militaires nécessaires et la volonté politique de les utiliser dans tout le spectre des missions de gestion de crise. Nos forces armées ont lutté ensemble contre les Talibans en Afghanistan et au large de la Corne de l’Afrique ; elles sont restées engagées côte à côte contre Daech, en Méditerranée et au sein de la mission de l’UE de formation et de conseil au Mali (EUTM Mali). Ensemble, nous sommes engagés dans des missions de police du ciel de l’OTAN. Le Royaume-Uni a fourni des moyens de transport aérien stratégique et de surveillance aux opérations françaises au Mali et en République centrafricaine. Réciproquement, la France a soutenu le détachement britannique d’avions Tornado déployé dans sa lutte contre Boko Haram. Dans un même esprit de coopération, la base de Lossiemouth de la Royal Air Force en Ecosse a accueilli des avions français de patrouille maritime Atlantique 2.

 

Depuis 2010, nous avons travaillé régulièrement à consolider notre capacité à nous déployer et à mener des opérations conjointement et sur très court préavis via la Force expéditionnaire commune interarmées (CJEF) jusqu’à 10.000 hommes. Cette Force doit obtenir sa certification finale le printemps prochain, comme prévu, lors de l’exercice GRIFFIN STRIKE. Par ailleurs, nous comptons désormais quelque 50 officiers insérés au sein de nos forces armées respectives. Les officiers français ont été déployés dans le cadre d’opérations britanniques et des officiers britanniques dans le cadre d’opérations françaises.

 

Notre coopération en matière industrielle et d’armement s’est développée sans interruption ces cinq dernières années. Elle s’est concentrée sur des domaines clés tels que la coopération de long terme sur les missiles de nouvelle génération, le projet de système de combat aérien du futur, lancé au Sommet de Brize Norton en janvier 2014, ou le projet de guerre de mines navales. Cela comprend un travail conjoint pour accroître notre efficience commune grâce à une plus grande interdépendance. Nous avons franchi une étape supplémentaire en ce sens en signant à Paris, en septembre dernier, un accord intergouvernemental qui permettra de créer au sein de MBDA plusieurs centres d’excellence en France et au Royaume-Uni consacrés aux systèmes communs missiliers.

 

Dans le secteur nucléaire qui, plus que tout autre domaine, reflète la profondeur de nos liens et de notre confiance mutuelle, nous avons développé des outils communs afin d’assurer la sûreté et la fiabilité des armes qui représentent l’ultima ratio pour protéger nos intérêts vitaux. Cela inclut la construction d’une installation conjointe radiographique et hydrodynamique à Valduc en Bourgogne où les équipements britanniques seront inaugurés en 2016.

 

Ces succès nous encouragent à approfondir, élargir et pérenniser notre coopération dans le cadre des accords de Lancaster House. Demain marquera notre neuvième rencontre de l’année, preuve de notre engagement sans précédent au niveau ministériel. Nos équipes travaillent désormais sur un très large spectre, allant de l’analyse stratégique à la sécurité du continent africain et la réforme de l’OTAN, en passant par la lutte contre la prolifération et la politique nucléaire. Il y a seulement quelques semaines, nous avons lancé ensemble la première conférence sur la cyber-défense à Paris. A la suite des attaques contre Charlie Hebdo, nous travaillons ensemble à la manière dont les armées peuvent contribuer à la sécurité intérieure. Nous sommes déterminés à entretenir cette dynamique positive en 2016 et au-delà.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 12:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

03/11/2015 Sources : État-major des armées

 

Depuis le mois de juin 2015 et pour sa 6e opération consécutive, le commandant Louis a été projeté à Niamey (Niger) comme chef du Centre de coordination interarmées des transports, transits et mouvements (CCITTM).

 

Entré en service comme sous-officier, le commandant Louis a réussi le concours de l’École militaire interarmes. Il a ensuite choisi l’arme du train pour se spécialiser dans le « mouvement ». Avant d’être projeté à Niamey, il commandait la section « voies ferrées et navigables » au sein du centre des transports et transits de surface de l’armée de Terre, à Montlhéry.

Niamey constitue le point central de toutes les entrées et sorties du fuseau Ouest de l’opération Barkhane. En charge de l’ensemble des transports pour ce fuseau, qu’il s’agisse du personnel ou du fret, en provenance de France ou intra-théâtre, le commandant Louis dirige une équipe de quatre personnes et dispose également de moyens aériens. « Pour schématiser, le détachement Air de Niamey est un peu le hall d’entrée du fuseau Ouest, le CCITTM en est la porte d’entrée et de sortie »  résume le commandant Louis.

En effet, le CCITTM reçoit et envoie le fret de France par A400M, C17 ou Antonov 124 principalement, et dispose d’avions Airbus pour le personnel. En outre, il transporte personnel et matériel sur le théâtre soit par voie aérienne, soit par voie routière (vecteurs de la force ou transporteurs locaux).

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 12:45
EFS- Formation de lutte contre les engins explosifs improvisés au profit des FAS

 

03/11/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 12 au 13 octobre 2015, le détachement d’appui opérationnel « Génie  » des Éléments français au Sénégal (EFS), composé des sapeurs de marine du 6e régiment du génie, s’est rendu à l’école d’application de l’infanterie de Thiès au Sénégal, pour conduire une mission d’appui militaire opérationnel au profit des Forces armées sénégalaises (FAS).

 

Son objectif était de former les futurs chefs de section des unités d’infanterie des FAS dans la lutte contre les Engins explosifs improvisés (IED). À cette occasion, le détachement était renforcé par une équipe opérationnelle de déminage du groupe régional d’intervention « Neutralisation, enlèvement, et destruction des explosifs » (NEDEX) des EFS.

L’instruction s’est déroulée en deux phases, une première consacrée à l’instruction théorique, la seconde réservée aux exercices pratiques sur le terrain. Les stagiaires ont ainsi effectué une manœuvre dynamique et rythmée tout en travaillant les procédures opérationnelles. L’instruction a été sanctionnée par un exercice de synthèse permettant aux stagiaires de restituer des savoir-faire acquis au cours de la formation.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 11:55
Journées C&ESAR 2015

Journées C&ESAR 2015

 

03/11/2015 DGA

 

DGA Maîtrise de l’information organise, avec le soutien de plusieurs organismes et partenaires, la 22e édition des journées C&ESAR qui abordera la résilience des systèmes numériques. Ces journées se dérouleront du 23 au 25 novembre 2015 à Rennes, salle du Triangle.

 

Cette année, C&ESAR a pour thématique la résilience des systèmes numériques qui peut être définie comme la capacité à fonctionner, éventuellement en mode dégradé, même en présence d’agressions. Dans le domaine militaire, la résilience a pour objectif de permettre au système de remplir sa mission opérationnelle.

 

Traditionnellement, la résilience des systèmes industriels était assurée par une combinaison de techniques issues du domaine de la sûreté de fonctionnement comme la redondance des équipements, la diversité des logiciels ou encore les analyses quantitatives d’indisponibilité d’un système.

 

Le développement des nouvelles formes de menaces et la généralisation des technologies de l’information à tous les types de systèmes conduisent à s’interroger sur le nouveau contexte d’application de la résilience.

 

La combinaison de techniques issues des domaines de la sûreté de fonctionnement et de la sécurité informatique devient alors nécessaire. La conférence fera le point sur la convergence de ces deux approches dans le contexte des nouvelles menaces pesant sur les systèmes numériques.

 

Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 10 novembre sur le site www.cesar-conference.fr où vous trouverez toutes les informations utiles.

 

La conférence C&ESAR 2015 est organisée par DGA Maîtrise de l’information avec le concours de la DGSIC, dans le cadre du pôle d’excellence cyber, et avec le soutien de Orange Cyberdéfense, Hewlett-Packard, Telecom Évolution, Airbus Défense & Space, DCNS, la chaire de cyberdéfense des systèmes navals, l’ANSSI, l’ARCSI, Centrale Supélec, EDF et Technicolor.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 11:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre


4 nov. 2015 par Armée de Terre

 

L'armée de Terre crée depuis quelques mois de nouvelles compagnies en vue de porter les effectifs de sa force opérationnelle à 77 000 hommes. Elles sont désormais une réalité opérationnelle permettant de faire face à l'accroissement de ses missions dans la durée.

Pour exemple, le 2e régiment étranger d'infanterie (2e REI) a accueilli avant l'été une 5e compagnie de combat. Quelques mois après sa mise en place, elle était déjà engagée à Paris dans le cadre de l'opération SENTINELLE. Une mission assurée par des légionnaires entraînés et motivés, fiers "d'être au contact de la population et de servir la France" .

Forte de ces nouveaux effectifs, l'armée de Terre réalise ainsi parfaitement sa mission opérationnelle, en opération extérieure comme sur le territoire national.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 11:55
photo R. PEllegrino - ECPAD

photo R. PEllegrino - ECPAD

 

04/11/2015 DICOD

 

Le colloque « Droit et opérations extérieures »  s’est tenu les 2 et 3 novembre 2015 à Balard (Paris 15e). Organisé par le secrétariat général pour l’administration (SGA) - direction des affaires juridiques -, cet événement avait pour objectif de faire le point sur les questions juridiques complexes que soulèvent les opérations extérieures d’aujourd’hui : le cadre juridique, l’usage de la force, l’articulation réponse militaire/réponse judiciaire, la conciliation entre le droit international humanitaire et les droits de l’homme, la qualification du terroriste.

 

Comment prendre en compte la dimension judiciaire dans la planification et la conduite des opérations ? L’ennemi d’aujourd’hui est-il un combattant à neutraliser ou un criminel à juger ? Dans l’accomplissement de sa mission, le militaire est-il un justiciable comme un autre ? Pour répondre à ces questions, la direction des affaires juridiques (SGA/DAJ) a réuni lundi 2 et mardi 3 novembre à Balard (Paris 15e), lors d’un colloque baptisé « Droit et opérations extérieures », de nombreux experts venus apporter leurs connaissances sur ces questions juridiques soulevées par les opérations extérieures.

 

Après l’ouverture du colloque par Jean-Paul Bodin, secrétaire général pour l’administration, le général d'armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, et le général de corps d’armée Didier Castres, sous-chef « opérations » à l’État-major des armées, le public a pu assister à des tables rondes et échanger avec des experts du monde du droit (juriste, avocat, magistrat…) mais également des militaires, un ambassadeur et des hauts responsables ministériels. Parmi eux : Frances Nash, directrice des affaires juridiques du ministère de la Défense britannique, Charles A. Allen, directeur adjoint des affaires juridiques du ministère de la Défense américain, Claire Landais, directrice des affaires juridiques du ministère de la Défense ou encore François Molins, procureur de la République près le tribunal de grande instance de Paris.

 

En clôture du colloque, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a déclaré être convaincu qu’au sein du ministère un « juste équilibre » avait été trouvé « entre les nécessités de la manifestation de la vérité, de la poursuite des infractions d’une part, et la protection du combattant agissant pour le succès de la mission militaire confiée aux armées d’autre part ». Soulignant les spécificités du militaire en opérations extérieures et le fait qu’il bénéficie à ce titre d’un régime de protection statutaire bien précis, il a néanmoins jugé « nécessaire » certaines améliorations notamment en ce qui concerne le processus d’indemnisation, la prise en compte du syndrome post-traumatique et le droit des pensions militaires d’invalidité.

 

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 11:55
photo A. Pecchi Dassault Aviation

photo A. Pecchi Dassault Aviation

 

03.11.2015 par Pascal Gateaud, Olivier James et Hassan Meddah -  L'Usine Nouvelle n° 3443

 

L’Usine Nouvelle a élu Dassault Aviation industriel de l’année 2015. L’avionneur a vendu le Rafale à l’étranger tout en renouvelant sa gamme d’avions d’affaires.

 

La scène se passe en février. De retour des studios radio et télé où il vient de commenter le contrat signé avec l’Égypte, la première vente du Rafale à une puissance étrangère, Éric Trappier a droit à une ­standing ovation. Dans le hall du siège de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), des centaines de salariés entourent le PDG de Dassault Aviation. Tous célèbrent cette victoire tant attendue. Le succès appelant le succès, l’avionneur a depuis décroché un deuxième contrat auprès du Qatar. Le groupe fêtera ses 100 ans l’an prochain. Sa longévité puise dans les valeurs et l’histoire du groupe lancé par Marcel Bloch, le futur Marcel Dassault, créateur de l’hélice Éclair qui équipera dès 1916 de nombreux avions de combat tricolores. Elle s’est bâtie sur une modernité jamais démentie. L’avionneur se prépare à entrer dans l’ère numérique après avoir dessiné son nouvel avion d’affaires, le Falcon 5X, avec les derniers outils informatiques. Éric Trappier, pour qui la dimension familiale du groupe est un atout, met un point d’honneur à visiter régulièrement chacune de ses usines.

La rédaction de " L’Usine Nouvelle" a élu Dassault Aviation industriel de l’année 2015. Son PDG répond à nos questions.

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