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7 février 2015 6 07 /02 /février /2015 08:55
Chaire Cyber Défense

 

source Ecole Navale

 

Le Livre Blanc sur la Défense et la Sécurité Nationale, approuvé par le Président de la République en avril 2013, élève la cyber défense au rang de priorité nationale.

La cyber sécurité, et plus particulièrement la cyber défense, a été identifiée comme un axe stratégique du Livre Blanc Défense et du Pacte d’Avenir Bretagne rendu public en décembre 2013.

Le Pôle d’excellence en cyber défense en Bretagne se structure autour de deux composantes indissociables :

- la première est consacrée à la formation initiale, la formation continue et l’enseignement supérieur,

- l’autre concerne la recherche, garante d’un enseignement supérieur de qualité, et le développement d’un tissu industriel.

Il doit également s’appuyer sur l’organisation technico-opérationnelle pour mettre en place les plates-formes nécessaires à la formation, l’entraînement à la gestion de cyberattaques et l’expérimentation de nouveaux produits de sécurité informatique.

La composante navale de la cyber défense constitue l’un des axes essentiels au développement de telles compétences. L’École navale, TELECOM Bretagne, DCNS etTHALES ont depuis une vingtaine d’années une tradition d’échanges scientifiques et de collaborations dans les domaines des systèmes navals, des systèmes d’informations et de télécommunications. Les quatre partenaires créent, à l’automne 2014, avec le soutien de la région Bretagne et sous le haut patronage de l’Officier Général Cyber, une chaire dans le domaine de la cyber défense des systèmes navals dont le titulaire est le Dr. Patrick Hébrard.

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Pour l’École navale, ce projet devrait permettre de développer une expertise au profit de la formation des élèves-officiers ingénieurs et des officiers SIC de la Marine nationale tout en renforçant les partenariats dans le domaine de la recherche avec les industriels du monde naval et le domaine du maritime civil.

Pour TELECOM Bretagne, ce projet d’inscrit dans une démarche de renforcement des activités dans le domaine de la cyber sécurité et son élargissement au domaine du naval (en savoir +).

Pour DCNS, il constitue un élément de concrétisation de sa politique de recherche et d’innovation en structurant des partenariats avec les acteurs académiques d’excellence dans ses domaines d’activités (en savoir +).

Pour THALES, il constitue un élément de concrétisation de sa politique de recherche et d’innovation en structurant des partenariats avec les acteurs académiques d’excellence dans ses domaines d’activités (en savoir +).

Cette chaire cyber défense constituera une plateforme de diffusion et de valorisation des résultats des recherches et des projets développés, tant sur le plan national qu’international, au profit des partenaires.

Les activités de la chaire prendront la forme de façon privilégiée de thèses de doctorat et de post-doctorat dont les modalités seront définies par le comité exécutif.

Le Programme Technique de la Chaire est organisé en un ensemble d’activités réparties entre l’École navale, TELECOM Bretagne, DCNS et THALES.

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6 février 2015 5 06 /02 /février /2015 17:50
Sortie d’arrêt technique pour l’aviso CDT Bouan

 

4 février 2015 par Aviso CDT Bouan

 

Le 30 octobre 2014, dans le cadre d’un arrêt technique de trois mois, l’aviso « Commandant Bouan » a été mis en cale sèche dans le grand bassin Vauban Nord-Est à Toulon. Sous la houlette du titulaire du contrat d’entretien des avisos, CNN/MCO, les marins du bâtiment assistés d’organismes extérieurs ont consacré cette période à la conduite de nombreux travaux d’entretien, de réparation et de modernisation parmi lesquels on peut mentionner la visite des lignes d’arbres propulsives, la mise à niveau des moyens de transmission (OMAR HF HD) et des réseaux IP (RIFAN II) et la visite totale de l’un des trois diesels alternateur.

 

Dans une livrée immaculée, le « Commandant Bouan » a repris la mer à la fin du mois de janvier afin de conduire de nombreux essais de bon fonctionnement. Selon le commandant, les marins attendaient avec impatience ces premiers jours de mer afin de se réapproprier leur bâtiment et mesurer l’ampleur et les bienfaits des travaux récemment accomplis.

 

Le « Commandant Bouan » est de nouveau apte à assumer l’ensemble de ses missions et partira très prochainement pour assurer la relève de l’aviso « Lieutenant de vaisseau Lavallée » dans le cadre de la mission « Corymbe »

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5 février 2015 4 05 /02 /février /2015 18:35
Airbus et Korea Aerospace Industries alliés pour le futur avion de chasse sud-coréen ?

Dans le passé, l'armée sud-coréenne a massivement choisi des fournisseurs américains pour s'équiper.

 

05/02/2015 latribune.fr (avec AFP)

 

Les deux entreprises pourraient s'allier sur un appel d'offres concernant la construction de 120 chasseurs destinés à remplacer à terme les F-4 et F-5 qui équipent actuellement l'armée de l'air sud-coréenne, d'après l'agence Yonhap.

 

Nom de code "KF-X". L'avionneur européen Airbus et la compagnie aérienne sud-coréenne Korean Air sont en passe de conclure un accord de partenariat pour faire une offre commune pour construire un avion de combat pour l'armée de l'air sud-coréenne, a rapporté jeudi 5 février l'agence Yonhap.

 

Un projet à 6,8 milliards d'euros

Le projet prévoit la construction de 120 chasseurs destinés à remplacer à terme les F-4 et F-5 qui équipent actuellement l'armée de l'air sud-coréenne, a indiqué l'agence Yonhap citant un responsable non identifié de Korean Air. Le projet est doté de plus de 8.500 milliards de wons (environ 6,8 milliards d'euros).

Alors que la DAPA, l'agence publique en charge du programme, doit clôturer son appel d'offres lundi 9 février, les deux entreprises "prévoient signer un protocole d'entente dès que possible", a déclaré le responsable cité par Yonhap .

 

Difficile concurrence américaine

La décision finale sera annoncée en juin ou juillet, mais dans le passé, l'armée sud-coréenne a massivement choisi des fournisseurs américains pour s'équiper.

Face à Airbus et Korean Air se dressent justement l'américain Lockheed Martin et Korean Aerospace Industries (KAI). Le constructeur aéronautique français pourrait toutefois tirer son épingle du jeu, ayant fait un certain nombre de soumissions pour des contrats militaires ces dernières années.

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5 février 2015 4 05 /02 /février /2015 17:40
L’AN-70 au salon du Bourget 2013 - photo RP Defense

L’AN-70 au salon du Bourget 2013 - photo RP Defense

 

4 février Aerobuzz.fr

 

L’avion cargo ukrainien Antonov 70 n’en finit pas de mourir et de ressusciter. L’An-70 a été lancé dans les années 90, il s’agit d’un appareil de transport militaire quadrimoteur de la classe de l’A400M. Selon Antonov, l’AN-70 présenté lors du dernier salon du Bourget est plus grand et capable de transporter plus de charge que son concurrent européen. Il est propulsé par des moteurs à hélices rapides contrarotatives D27 améliorés et doté d’une avionique occidentale.

 

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5 février 2015 4 05 /02 /février /2015 17:20
2014 F-35 Milestones - by Lockheed Martin


5 févr. 2015 Lockheed Martin

 

A video highlight of major 2014 milestones for the F-35 Lightning II program including 23,000 total flight hours, 106 aircraft in assembly, and 9 F-35 bases operating. Discover recent F-35 news: https://www.f35.com/news .

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4 février 2015 3 04 /02 /février /2015 18:20
Armement : la coopération franco-canadienne au point mort

DCNS espère toujours que le Canada choisisse sa frégate multi-missions Fremm dans le cadre d’une programme d’achat d’une quinzaine de navires de combats de surface. photo DCNS
 

04/02 Alain Ruello / Chef de service adjoint – LesEchos.fr

 

Paris et Ottawa ont signé ce mercredi un accord de coopération militaire bilatéral très large. Mais les espoirs des industriels français de l’armement de prendre pied au Canada sont minces.

 

« Il y a eu beaucoup de coopération en matière d’armement dans le passé et j’espère que cela va continuer ». S’exprimant ce mercredi en présence de Jean-Yves Le Drian à l’occasion de la signature d’un accord instituant un conseil franco-canadien de coopération militaire, Robert Douglas Nicholson, ministre de la Défense du Canada, a - comme il se doit - salué la qualité de la relation entre Paris et Ottawa. Sur le terrain, il est indéniable que les deux armées s’épaulent souvent, comme on l’a vu au Mali. En matière industrielle en revanche, c’est le calme absolu.

Les chiffres, tels qu’ils ressortent du dernier rapport au Parlement sur les exportations, parlent d’eux-mêmes. De 2009 à 2013, les prises de commandes de matériels français ont à peine atteint 45 millions d’euros. Sur la même période, les livraisons ressortent à 105 millions. Autrement dit, le marché canadien de l’armement est quasiment fermé aux industriels tricolores.

Nexter en sait quelque chose. Le champion de l’armement terrestre a dépensé plusieurs millions d’euros dans une campagne commerciale pour placer son blindé d’infanterie VBCI. En pure perte : bien que la rumeur le donnait gagnant à l’issue de l’appel d’offres, Ottawa a brutalement annulé la procédure , provoquant la colère de l’industriel français.

 

Renault Trucks dans l’attente

 

DCNS, de son côté, espère toujours rafler la mise avec ses frégates multi-missions Fremm. Et quelle mise ! Le Canada caresse le projet d’acheter une quinzaine de navires de combats de surface, même si l’histoire montre qu’entre les ambitions initiales et la réalité, il y a souvent un océan.

Ottawa vient de prendre une décision qui pourrait signifier la fin de la partie : de manière discrète, le chantier naval Irving de Halifax a été désigné comme maître d’oeuvre industriel pour l’ensemble de ce projet . A priori rien d’anormal, sauf qu’Irving cultive des liens très étroits avec Lockheed Martin... Chez DCNS, on continue d’y croire, mettant en avant le fait que la Fremm est un navire en cours de construction et qui correspond parfaitement aux besoins de la marine canadienne. Sous-entendu, Irving ne prendrait aucun risque à choisir la Fremm. On verra.

Chez Dassault en revanche on a sans doute abandonné tout espoir - si tant est qu’ils aient été très forts - de vendre le Rafale . Malgré le coût exorbitant de l’appareil, il est fort probable que le Canada en restera à son choix initial, à savoir le F-35 de Lockheed Martin.

Dans ce contexte de très forte dépendance du Canada vis-à-vis de l’Oncle Sam, tout n’est peut-être pas perdu puisque Renault Trucks Defense seraient bien placé sur un très gros appel d’offre portant sur 1.500 camions, selon nos informations.

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4 février 2015 3 04 /02 /février /2015 17:55
Conférence « Aquitaine, région de synergies et d’avenir entre la Défense et industriels ? »

 

source ANAJ-IHEDN

 

La Délégation régionale Aquitaine de l’ANAJ-IHEDN a le plaisir de vous inviter à sa prochaine conférence : L’Aquitaine, région de synergies et d’avenir entre la Défense et industriels ?

 

Général de corps aérien Jean-Marc LAURENT
Responsable exécutif de la chaire « Défense et Aérospatial » à l’IEP de Bordeaux
Ancien Officier Général en charge de la Zone de Défense et de Sécurité du Sud-ouest

 

Lundi 16 février 2015
19h30 à 21h00

Cercle Mess de Bordeaux (33)


____

Le secteur de la Défense en Aquitaine concentre des enjeux industriels de première importance : 16000 personnes y travaillent en effet, soit 11% des salariés de l’industrie de la Région. Cela fait de l’Aquitaine la 3e Région française d’implantation de l’industrie d’armement et la 5e région d’implantation de la Défense. Elle représente aussi la 2nde région d’implantation de la DGA (Direction Générale de l’Armement). Il est en ce sens impératif de rechercher les synergies entre les politiques publiques et les investissements privés : un éclairage sur le « pôle aéronautique de Défense d’Aquitaine » nous permettra d’aborder les environnements civils (industries, universités et centres de formation, R&D) ainsi que le secteur public (activités aériennes interarmées et DGA). La coopération public-privé est ainsi au cœur de cette stratégie : elle revêt un caractère fortement innovant en termes de management des compétences et des intelligences. Plus d’informations

Le Général de corps aérien Jean-Marc LAURENT nous propose un nouvel éclairage sur cet enjeu et de nous faire partager son expérience. En tant qu’ancien Officier Général en charge de la Zone de Défense et de Sécurité du Sud-ouest et actuellement Responsable exécutif de la Chaire Défense et Aérospatial de l’IEP de Bordeaux, son expertise sur ce sujet reste incontestable.

 

sinscrire

Nesheen SOLANKI
Délégué Régional Aquitaine de l’ANAJ-IHEDN
Session Grandes Ecoles – Paris 2012
aquitaine@anaj-ihedn.org
www.anaj-ihedn.org

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4 février 2015 3 04 /02 /février /2015 12:50
L'AW129 Mangusta sera modernisé sous peu. photo Agusta-Westland

L'AW129 Mangusta sera modernisé sous peu. photo Agusta-Westland

 

02/02/2015 par Antony Angrand – Air & Cosmos

 

L'AH-129D sera modernisé. L'hélicoptère d'attaque de l'armée italienne aura droit à une cure de jouvence qui devrait permettre à l'appareil d'entrer en service à l'horizon 2020. La modernisation  touchera vraisemblablement l'avionique générale, elle permettra d'avoir une meilleure endurance, une vitesse accrue, les capteurs de l'appareil et surtout une diminution de la charge de travail des navigants.

 

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4 février 2015 3 04 /02 /février /2015 12:30
Infantry: Israel Makes Life Hard For Snipers

 

January 23, 2015:  Strategy Page

 

During the 50 Day War with Hamas in July-August 2014 Israel tested some new infantry equipment. This consisted of a new bullet-proof protective vest that is 15 percent lighter than existing ones. Israeli infantry do not regularly wear this type of heavy vest, but a lighter one that protects from shell and grenade fragments as well as most pistol bullets and ricochets from rifle and machine-gun bullets. To provide protection from snipers and machine-gun bullets SAPI (Small Arms Protective Inserts) were developed. These ceramic or polycarbonate plates are inserted in the front and rear of the protective vest. The basic "Level 3" SAPI plates are 25.4x305cm (10x12 inches) and weigh 2.1 kg (4.6 pounds) each. The new Israeli plates are lighter and thus easier for soldiers to wear for long periods. It’s very hot in Israel most of the time so the weight soldiers have to carry is particularly important. The SAPI plates double the weight of a protective vest so most of the time Israeli troops go without it. The lighter weight SAPI plates were popular in Gaza, particularly since Hamas used a lot of snipers. Only 400 of the new SAPI vests were available for testing, but 20,000 more are being ordered so large numbers of troops can use them is needed.

 

Also tested were new goggles, both day and night versions. These use shatterproof material and proved popular. Also much appreciated were the new ear protection, which kept very loud noises out. Max peak noise reduction was 30 db. Normal conversation is 65 db, a loud motorcycle is 110 db, a nearby jet engine is 140 db, a nearby shotgun blast is 165 db and battlefield explosions are often 180 db. Thus a 30 db reduction makes a big difference because noises over 140 db can be painful and lead to temporary or permanent hearing loss. With the new ear plugs troops could adjust these ear plugs to different levels of sound suppression.

 

There is also a new helmet in development that is lighter and provides better protection from sniper bullets. Providing better protection from high-powered sniper rifle bullets is important as Hamas and Hezbollah have learned that this is a very effective way of killing Israeli soldiers. In general Israeli troops will quickly defeat Hamas or Hezbollah gunmen in a fire fight, but a few snipers not only increases Israeli fatalities but also forces the Israeli troops to operate more deliberately and slowly, allowing more Arab gunmen to get away from a battle they are losing.  Israel has also pioneered the development and manufacturing of sniper detection equipment. But this is only useful after a sniper has fired. For pretection before that you need SAPI.

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4 février 2015 3 04 /02 /février /2015 12:20
Air Weapons: The V-22 Gunship

 

January 17, 2015: Strategy Page

 

U.S. SOCOM (Special Operations Command) is arming its V-22 tilt-rotor transports with more weapons, all of them forward firing and, along with temporary armor panels, meant to temporarily turn a V-22 into a gunship as needed. Tests are being performed to see if the V-22 can carry and launch guided missiles. SOCOM has already obtained a GAU-2B machine-gun fitted to the bottom of a V-22 as part of the Universal Turret System (UTS) for Helicopters. Plans for arming the V-22 have always been an option and since 2007 the marines and SOCOM have been developing weapons for use on their V-22s. The main purpose for this is to give V-22s just enough firepower to clear the landing zone long enough to land, unload and get away.

 

The original proposal was for a UTS equipped with a 12.7mm machine-gun, which has a longer range (about 2,000 meters). However, the 7.62mm GAU-17 can lay down more bullets more quickly and usually does so at low speed (1,500 rounds a minute). Experience in Iraq and Afghanistan indicated this would be a more useful defensive measure. Like the similar turret the Marine Corps developed, the SOCOM one is mounted on CV-22s as needed. The armed SOCOM CV-22 provides an option that the other V-22 users can easily adopt. The machine-gun turret was mainly there for protection from local threats, not for turning the V-22 into an assault aircraft. That attitude has now changed.

 

All this began back in 2011 when the U.S. Marine Corps ordered a dozen DWS (Interim Defensive Weapons System) turret gun kits for its hundred MV-22 tilt-rotor transports. Each kit cost about a million dollars. MV-22 crews were trained to use these new weapons which are quickly installed underneath the V-22. The remote control turret used a three-barrel 7.62mm GAU-17 machine-gun. This system has a rate of fire of up to 1,500-3,000 rounds per minute (25-50 per second) and max range of 1,500 meters. The system weighs under 100 kg (220 pounds) and includes 4,000 rounds of ammo. A member of the crew uses a video game like interface to operate the gun. Before the DWS arrived there was some experimentation mounting a heavy machine-gun on the rear ramp. But this did not prove nearly as effective as the turret.

 

The DSW is only mounted on a V-22 if a mission might be in need of some firepower. The DWS can swivel completely (360 degrees) around (useful when mounted underneath). It was apparently this weapon that was carried by an MV-22 sent to pick up the pilot and weapons operator who had to bail out of a disabled F-15E in Libya in 2011. The DWS was tested in Afghanistan in 2010 and by 2012 production models were being delivered. All MV-22 squadrons were given the opportunity to mount a turret on some of their aircraft and try out the weapon using live ammo.

 

The V-22s often have to fly into hostile territory to land their cargo. The V-22 can carry 24 troops 700 kilometers (vertical take-off on a ship, level flight, landing, and return) at 400 kilometers an hour and sometimes has to land in areas where the locals are firing at them. The marine MV-22 is replacing the CH-46E helicopter, which can carry 12 troops 350 kilometers at a speed of 200 kilometers an hour. The MV-22 can carry a 10,000-pound external sling load 135 kilometers, while the CH-46E can carry 3,000 pounds only 90 kilometers.

 

The U.S. Air Force component of SOCOM uses the CV-22 to replace the current MH-53J special operations helicopters. Unlike the U.S. Marine Corps version, the SOCOM CV-22B has a lot more expensive electronics on board. This will help the CV-22 when traveling into hostile territory, especially at night or in bad weather. The CV-22 carries a terrain avoidance radar, an additional 3,600 liters (900 gallons) of fuel, and more gadgets in general. The 25 ton CV-22 is a major improvement on the MH-53J, with three times the range, and a higher cruising speed (at 410 kilometers an hour, twice that of the helicopter). The CV-22 can travel about a thousand kilometers, in any weather, and land or pick up 18 fully equipped commandoes. The SOCOM CV-22s have been in action since 2008 but SOCOM will never have more than fifty of them.

 

The V-22 is the first application of the tilt-rotor technology in active service. The air force is already working on improvements (to make the V-22 more reliable and easier to maintain). The MV-22 gives the marines and SOCOM a lot more capability but, as it often the case, this is a lot more expensive. The initial production models of the CV-22 cost over $60 million each. SOCOM insists on a high degree of reliability for its aircraft. Commando operations cannot tolerate too many mistakes without getting fatally derailed.

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4 février 2015 3 04 /02 /février /2015 08:50
K-9 Thunder self-propelled artillery of the ROK Armed Forces

K-9 Thunder self-propelled artillery of the ROK Armed Forces

 

January 16, 2015:  Strategy Page

 

South Korea recently sold 120 of its locally designed and made K9 155mm self-propelled howitzers to Poland. South Korea has already sold 350 to Turkey. While superficially similar to the American M-109 the K9 is a heaver (46 tons versus 28 for the M-109), carries more ammo and has twice the range (up to 56 kilometers in part because of a barrel that is a third longer). There is more automation on the K9, so it has a crew of five versus six on the M-109. South Korea thus joins Germany in their effort to build a suitable replacement for the elderly M-109 design.

 

The United States sought to build a replacement for the M-109 (the 56 ton Crusader) that was very similar to the K9 but was too complex and expensive and the heavier weight was seen as a disadvantage for a country that has to ship its armored vehicles overseas to use them. For South Korea, Turkey and Poland that is not a problem and more heft (and protection for the crew) is an advantage.

 

One American innovation K9 users will probably adopt is the GPS guided Excalibur shell. This smart shell entered service in 2008 and changed everything. Excalibur has worked very well in combat, and this is radically changing the way artillery operates. Excalibur means 80-90 percent less ammo has to be fired to destroy a target and this results in less wear and tear on SP artillery, less time needed for maintenance, and less time spent replenishing ammo supplies and more time being ready for action.

 

Because of Excalibur (and other precision munitions) since 2001 operations in Iraq and Afghanistan provided very little work for the M-109. The lighter, towed, M777 has proved more useful, especially when using the Excalibur shell. Currently, the army plans to keep newly upgraded versions of the M-109 around until 2050. The army plans to acquire at least 551 upgraded M-109s by 2027, reflecting the impact of the Excalibur shell, and the number of older M-109s that are still fit for service. The M-109 was a solid design, which is pretty clear from how difficult it's been to come up with a replacement. So, in the end, the army replaced the M-109 with another M-109 upgrade and is still seeking a replacement for that.

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4 février 2015 3 04 /02 /février /2015 08:40
Embarquement d'une bombe sous la voilure d'un Il-76. photo Ilyushin

Embarquement d'une bombe sous la voilure d'un Il-76. photo Ilyushin

 

02/02/2015 par Emmanuel Huberdeau – Air & Cosmos

 

La société russe Ilyushin a publié des photos d'un exercice réalisé avec l'armée russe comprenant l'embarquement de bombes sur un avion IL-76MD. Ces images rappellent que l'IL-76 dont la vocation première est le transport peut également être utilisé comme avion d'armes.

 

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4 février 2015 3 04 /02 /février /2015 08:20
Northrop Grumman to Deliver Additional Mission Packages for US Navy Littoral Combat Ship Program

 

Feb. 2, 2015 defense-aerospace.com

(Source: Northrop Grumman Corp.; issued Feb. 2, 2015)

 

BETHPAGE, N.Y. --- Northrop Grumman Corporation (NOC) has received a $21.6 million contract from the U.S. Navy for two additional Littoral Combat Ship (LCS) mission packages. As the mission package integrator, the company will deliver one mission package for surface warfare and one for mine countermeasures.

 

The capabilities contained in the various mission modules directly support the three LCS primary missions – surface warfare, mine countermeasures and antisubmarine warfare. Mission modules facilitate efficient modular mission package embarkation, mission package operations at-sea, and debarkation / logistics support.

 

"As the mission package integrator for LCS we are committed to meeting the demanding requirements of our warfighters, while providing supplier base stability and reducing cost to the Navy," said Doug Shaffer, director, electronic attack/maritime systems integration programs, Northrop Grumman Aerospace Systems. "As more Littoral Combat Ships enter service, the U.S. Navy/Northrop Grumman team has stepped up to make sure the mission modules are available when needed to achieve initial operational capability (IOC)."

 

Northrop Grumman has delivered three mine countermeasures and three surface warfare mission modules for LCS. A fourth mine countermeasures mission module is in production and scheduled for delivery in 2015. The fourth and fifth surface warfare mission modules are also in production and scheduled for delivery in early 2015. Northrop Grumman performs the final integration work and completes delivery at the Mission Package Support Facility located at Naval Base Ventura County, Port Hueneme, Calif.

 

 

Northrop Grumman is a leading global security company providing innovative systems, products and solutions in unmanned systems, cyber, C4ISR, and logistics and modernization to government and commercial customers worldwide.

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3 février 2015 2 03 /02 /février /2015 21:50
"Armer l'Ukraine pour qu'elle se défende, pourquoi pas?"

 

1 février 2015 Arnaud Danjean - Le Journal du Dimanche

 

OPINION - Arnaud Danjean est membre (Parti populaire européen) de la sous-commission Sécurité et Défense du Parlement européen. Il appelle à un rééquilibrage du rapport des forces entre l'Ukraine et la Russie.

 

Depuis qu'un avion de ligne commercial a été abattu dans l'Est ukrainien l'été dernier avec ses 298 passagers à bord, chaque mois qui passe nous confirme que l'intensité du conflit ukrainien s'aggrave au lieu de la fameuse "désescalade" espérée. À chaque nouvelle étape, on réalise que la détermination et l'implication militaire russes sont sous-estimées. Jusqu'à l'automne, on pensait que l'annexion de la Crimée constituerait une prise "suffisante" pour Moscou, et qu'ils continueraient de souffler le chaud et le froid ponctuellement dans l'Est de l'Ukraine comme gages de négociation avec le gouvernement de Kiev.

 

Ils ne se contentent pas de tenir leurs bastions, ils grignotent aussi du territoire, kilomètre par kilomètre, ville par ville, jusqu'à viser Marioupol sur la mer d'Azov, ce qui permettrait d'avoir une continuité géographique de la Crimée jusqu'à la Russie. Aujourd'hui, les séparatistes appuyés par des milliers d'hommes des forces russes disposent théoriquement de suffisamment de leviers pour négocier un compromis avec les autorités de Kiev. Mais comme l'armée ukrainienne n'est pas en mesure de résister à leurs attaques, ce déséquilibre dans le rapport de forces installe les prorusses dans une logique d'impunité jusqu'au-boutiste. Où s'arrêteront-ils? À Kiev?

 

Il faut rééquilibrer le rapport de forces

 

La question se pose donc pour les Européens et l'Otan de savoir s'il faut aider les Ukrainiens à rétablir un équilibre dans le rapport de forces. J'y étais opposé l'an dernier, je pensais que la logique diplomatique pouvait prévaloir et également que l'armée ukrainienne avait, techniquement, davantage besoin de réformer son organisation interne minée par la gabegie et les dysfonctionnements.

 

Dès lors qu'il ne peut y avoir d'issue militaire à ce conflit et qu'il doit être réglé politiquement, il faut rechercher un compromis. Or celui-ci est impossible tant que les Russes et leurs sbires ont une telle supériorité militaire. Il faut donc rééquilibrer le rapport de forces pour empêcher l'effondrement de l'armée ukrainienne et pour que Kiev puisse négocier sans être soumis au chantage permanent de la poussée militaire russe.

 

Je ne suis pas certain que la France, si elle veut conserver avec l'Allemagne une capacité de dialoguer avec les Russes, soit la mieux placée pour livrer des armes aux Ukrainiens. En revanche, la Pologne et d'autres pays d'Europe centrale le souhaitent. L'Otan, avec laquelle l'Ukraine entretient un modeste partenariat, pourrait même auditer l'état-major ukrainien.

 

Ne risque-t-on pas d'alimenter ainsi l'argumentaire de Poutine selon lequel l'Occident veut la perte de la Russie? Cette mythologie qu'il a créée existe déjà et l'aide que nous devons à l'Ukraine n'y changera pas grand-chose. Rappelons que la Russie, au titre des traités internationaux, dont le mémorandum de Budapest, était censée, au même titre que d'autres puissances occidentales, être la garante de la sécurité et de l'intégrité territoriale de l'Ukraine… La violation flagrante de cet engagement permet difficilement à Moscou de s'offusquer d'un éventuel soutien européen à Kiev.

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3 février 2015 2 03 /02 /février /2015 20:50
MBDA : une année commerciale record en 2014 sous le signe de l'Union Jack

Premier contrat export pour le missile air-air Meteor développé par le missilier MBDA en Arabie Saoudite en 2014 (photo MBDA)

 

03/02/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

MBDA va-t-il à nouveau battre son record de commandes en 2014 ? C'est possible car le missilier, tout comme en 2013, a réalisé 4 milliards d'euros de prises de commandes, dont une majeure en Arabie Saoudite (contrat Meteor).

 

Bis repetita pour MBDA au niveau commercial. Après avoir réussi une belle année en 2013 (4 milliards d'euros, dont 2,2 milliards à l'export), le missilier européen a réédité l'année dernière sa performance commerciale. Et ce en dépit de quelques déceptions de prises de commandes attendues en 2014. Selon plusieurs sources concordantes, MBDA a toutefois réussi à engranger environ 4 milliards d'euros de commandes, dont un peu plus de 2 milliards à l'export. Des commandes qui concernent essentiellement des missiles de fabrication britannique.

En tout cas, cette performance va à nouveau ravir le PDG de MBDA, Antoine Bouvier, qui avait fixé pour 2013 un objectif à ses troupes commerciales d'avoir un ratio chiffre d'affaires, prises de commandes (le fameux book to bill) supérieur à 1. Et bingo, le groupe y parvient deux années consécutives alors que le carnet de commandes déclinait inexorablement depuis 2009. Il était même passé en 2012 pour la première fois depuis la création de MBDA en 2001 sous la barre symbolique des 10 milliards d'euros (9,8 milliards). En 2009, le carnet s'élevait à 12 milliards, déjà en net retrait par rapport à 2003 (14,8 milliards).

Seule ombre au tableau, le chiffre d'affaires de MBDA devrait être à la baisse en raison des efforts consentis (réduction des livraisons négociée avec la direction générale de l'armement) par Antoine Bouvier en vue de préserver l'avenir avec le développement de nouveaux programmes : Missile terrestre de nouvelle génération (MMP), Anti Navire Léger (ANL), CAMM, un missile britannique qui répondra aux besoins futurs des marines, forces terrestres et forces aériennes en matière de défense anti-aérienne.

 

Arabie saoudite : un contrat Meteor qui fait du bien

Longtemps, les équipes du patron de l'export Jean-Luc Lamothe se sont rongées les ongles, attendant la mise en vigueur d'un contrat qui fait passer l'année du bon côté ou pas. Ce ne donc sera ni T-Loramids (Air Defence en Turquie), estimé à 3 à 4 milliards d'euros, ni le programme polonais Wisla (environ 4 milliards), ni un contrat export Rafale avec la panoplie de missiles MBDA, ni bien sûr SRSAM (Air Defence en Inde), un programme en perdition... Selon des sources concordantes, la bonne surprise est venue en fin d'année d'Arabie Saoudite, qui a équipé ses Eurofighter fournis par BAE Systems de missiles air-air Meteor, un contrat estimé à un plus de 1 milliard d'euros. C'est d'ailleurs le premier contrat export du Meteor.

Une nouvelle fois l'Arabie Saoudite est venue sauver l'année commerciale de MBDA. En 2013, le missilier y avait gagné cinq contrats, selon nos informations. Notamment BAE Systems avait choisi le missilier européen pour fournir à l'armée de l'air saoudienne le missile air-sol britannique le Dual-Mode Brimstone. En outre, il équipera l'armée de l'air saoudienne un lot supplémentaire de missiles de croisière Storm Shadow. Soit environ une commande évaluée pour MBDA à 500 millions d'euros.

 

Enfin un contrat en Inde

Outre l'Arabie saoudite, MBDA a enfin obtenu en Inde en début d'année un contrat attendu pendant très longtemps. New Delhi a mis en vigueur un contrat estimé à 428 millions de dollars en vue d'équiper les vieux Jaguar de l'armée de l'air indienne de missiles britanniques air-air de courte portée Asraam. Outre le SR-SAM (Short Range Surface to Air Missile), un missile sol-air de nouvelle génération co-développé et coproduit en Inde avec Bharat Dynamics Limited, le missilier a plus d'une trentaine de campagnes en cours actuellement en Inde dont celles concernant MMRCA (Scalp, Meteor...).

Enfin, MBDA a obtenu plusieurs autres contrats de taille plus modeste. Notamment deux  nouvelles commandes pour le missile britannique surface-air Sea Ceptor à la marine brésilienne et néo-zélandaise après la Grande-Bretagne. MBDA a également vendu ses installations de tir (50 millions d'euros environ) sur les quatre corvettes vendues par DCNS à l'Égypte. Enfin, le Chili et le Maroc ont passé des petites commandes en vue de compléter leurs armements.

 

Deux déceptions commerciales

Au rang des déceptions commerciales, il y a bien sûr le programme SR-SAM en Inde, qui semble en mauvaise posture pour MBDA alors que cela fait trois ans que les négociations sont pourtant terminées, depuis décembre 2011. Mais le nouveau gouvernement indien pourrait annuler le programme SRSAM (Short Range Surface to Air Missile) faute de trouver un financement. Ce missile sol-air de nouvelle génération devait être co-développé avec la DRDO (Defence Research and Development Organisation) et coproduit en Inde avec Bharat Dynamics Limited.

Par ailleurs, le missilier comptait beaucoup en France sur le programme AT4 CS, un programme de lance-roquette, destinés à la Marine et aux armées de Terre et de l'Air. Un matériel qui venait parfaitement compléter la trame missile-roquette de MBDA, selon la stratégie définie par Antoine Bouvier. Mais finalement, après avoir beaucoup pataugé, le missilier, associé à l'espagnol Instalaza a perdu face au suédois Saab, associé à Nexter. La première commande s'élève à 32 millions d'euros, mais le contrat, toutes options comprises jusqu'à 2024, pourrait monter jusqu'à 220 millions d'euros. En outre, Antoine Bouvier voulait avec ce contrat faire entrer l'Espagne dans la galaxie MBDA à travers Instalaza. Echec et mat...

 

Des commandes domestiques en demi-teinte

S'agissant des commandes nationales, MBDA a obtenu fin mars 2014 après quelques péripéties la signature de la phase de développement et de production du programme de missile FASGW(H)/ANL (Future Anti Surface Guided Weapon (Heavy)/Anti Navire Léger). Ce contrat d'un montant d'environ 600 millions d'euros est financé conjointement par la France et le Royaume-Uni. Cette nouvelle phase de travaux vient poursuivre les étapes de faisabilité et de conception financées conjointement par les deux nations depuis 2009.

En outre, le missilier a signé un contrat d'étude de près 50 millions d'euros (36 millions de livres) avec le ministère de la Défense britannique pour adapter le système CAMM à l'environnement terrestre. MBDA propose à l'armée de terre une variante, appelée Future Local Area Air Defence System (FLAADS Land). Enfin, le missilier a signé de très nombreux contrat de supports et de maintien en condition opérationnel avec les armées françaises, britanniques, italiennes et allemandes.

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3 février 2015 2 03 /02 /février /2015 18:55
photo Tronics Microsystems

photo Tronics Microsystems

 

02 février 2015 Par Ridha Loukil - Usine Digitale

 

A l’occasion de son entrée en bourse, le fabricant français de Mems professionnels Tronics Microsystems reçoit le soutien de l’un de ses grands clients : Thales. Pour l’accompagner dans son développement, l’équipementier d’électronique et de défense compte prendre 16,3% de son capital.

 

Dans son plan de croissance, Tronics Microsystems a le soutien d’un industriel, et pas des moindres : Thales. A l’occasion de son entrée en bourse sur le marché de l’Euronext de Paris, il devrait recevoir de l’équipementier d’électronique et de défense 6 millions d’euros des 9,1 à 12 millions qu’il espère lever lors de cette opération. De quoi assurer à Thales 16,3% du capital du petit fabricant français de Mems professionnels, sur la base basse de la fourchette.

Ce soutien conforte la stratégie de diversification de Tronics Microsystems. Créée en 1997, à Crolles, près de Grenoble, cette PME de 88 personnes réalise des Mems à la demande faisant office de capteurs (accéléromètre, gyromètre et magnétomètre) fabriqués en silicium comme des puces électroniques. Mais, contrairement à STMicroelectronics ou Bosch, focalisés, eux, sur le marché grand public, elle s’adresse aux applications professionnelles à hautes performances. "Nous sommes le seul acteur en Europe avec ce positionnement, revendique son CEO, Pascal Langlois. Dans le monde, nous affrontons des concurrents américains comme Honeywell ou Analog Devices."

 

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3 février 2015 2 03 /02 /février /2015 17:50
EDA discusses synergies at EU Space Policy Conference

 

Brussels - 30 January, 2015 European Defence Agency

 

EDA European Synergies & Innovation Director Denis Roger provided the audience of the 7th EU Space Policy Conference with an overview of the Agency’s work in the field of Governmental satellite communications. 

 

The 7th Annual Conference on European Union Space Policy took place 27-28 January in Brussels. For this year’s edition, this event of major importance for the space community focused on the rising demand for space services and applications in Europe and on ways to reinforce the EU’s position in that domain. It gathered high-level speakers from governments, industry and EU institutions.

 

Govsatcom

Speaking as part of the sixth session dedicated to the increasing civil and security & defence synergies of space services, EDA European Synergies & Innovation (ESI) Director Denis Roger put the focus on the Agency’s role in the cooperative Govsatcom (Governmental Satellite Communications) programme. “A common set of requirements has been approved by participating Member States in 2014”, he pointed out. “The European Defence Agency is now preparing the technical studies that will allow us to offer options to Member States by late 2016, early 2017”, he added.

From the outset, this future Govsatcom programme will need to benefit from a dual approach, taking into account military and civil needs. “Not taking advantage of such synergies will be a waste of efficiency and taxpayer’s money”, Denis Roger stressed. He also discussed the topic of remotely piloted aircraft systems (RPAS), another capability priority supported by the December 2013 European Council with an important space dimension:  “The DESIRE program, ran jointly by EDA and the European Space Agency, will investigate if satellite communications are compatible with safety and navigability requirements for the air traffic insertion of RPAS”.  

 

Dual-use approach

Denis Roger stressed again the benefits of a dual-use approach on these topics. He also mentioned cyber defence as a field where close coordination between civil and military users is needed and should be taken into account at the very beginning of any new programmatic initiative.

He concluded on the fact that the progress made to better exploit civil-military synergies did not diminish the need for specific defence research and had to be pursued through the full use of EU funding instruments to support them as well as other dual-use initiatives in the space domain.

 

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3 février 2015 2 03 /02 /février /2015 16:55
SOFINS - Du 14 au 16 avril 2015

 

source SOFINS
 

Imaginé par le Commandement des Opérations Spéciales et placé sous le haut patronage du ministre de la Défense, le Special Operations Forces Innovation Network Seminar (SOFINS) est un concept inédit visant à développer une synergie en matière d’équipements entre les forces spéciales françaises et le tissu national des industriels, des PME et du monde de la recherche.

 

Un événement unique en Europe qui combine une offre à plusieurs niveaux :

 

DU BUSINESS

Un espace d’exposition et des rendez-vous d’affaires pour présenter vos savoir-faire et produits

DU LIVE

Des tests de produits par les opérateurs des forces spéciales sur des zones adaptées

Des démonstrations live des forces spéciales

DE L’INFORMATION

Des présentations produits pour promouvoir votre activité

Des ateliers pour initier des programmes de R&D répondant aux besoins des FS

Les secteurs d'activité concernés

 

Aéronautique «voilure fixe» :

- Capacités C3ISTAR

- Infiltration et mobilité 3D

- Frappe de précision et appui-feu

- C4I

- Largage

- Livraison par air

- Réalité augmentée

 

Aéronautique « voilure tournante » :

- Simulation / entraînement

- Capteurs embarqués

- Avionique

- Équipement actif de défense

- Équipement de défense passive

- Mobilité et infiltration 3D

- Appui feu

 

Action à la mer :

- Systèmes submersibles

- Systèmes de surface

- C4I

- ISR

- Équipements individuels

 

Reconnaissance Spéciale, Surveillance et Exploitation :

- Observation

- Détection / Reconnaissance, Identification

- Prises de vues Jour / nuit

- Géolocalisation, marquage- Surveillance de zone

- Biométrie

- Transmissions sécurisées

- Systèmes d’exploitation

 

Command and Control, Communications, computers :

- Systèmes de transmissions

- Système de commandement et d’organisation des PC

- Guerre électronique

- Localisation

 

Environnement du combattant FS

- Mobilité terrestre

- Armement individuel / collectif - Vision nocturne

- Protection individuelle

- Médicalisation au combat

- Désignation de cible

- Démolition / bréchage

- Survie

- Équipements individuels

 

Plus d'informations : SOFINS 2015

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3 février 2015 2 03 /02 /février /2015 08:55
Salon du Bourget : Rencontrez tous les professionnels du secteur de l'Aéronautique et de l'Espace !


source SIAE


Pour sa 51ème édition, le Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace ouvrira ses portes du 15 au 21 juin 2015. Comme chaque édition, les 4 premiers jours seront réservés aux Visiteurs Professionnels puis le Salon accueillera le Grand Public du 19 au 21 juin 2015.
Le Salon est, par son ampleur, une occasion unique de faire du business, de rencontrer l’ensemble des acteurs de l’industrie aérospatiale et de découvrir les dernières nouveautés du secteur.

A 5 mois de l'ouverture du Salon, 95% des surfaces (halls et chalets) sont d'ores et déjà louées.
2200 exposants sont attendus (dont 50% venant de pays étrangers) avec tous les grands avionneurs et une forte présence des ETI / PME françaises.

De plus, dans le cadre de la Conférence Climat des Nations Unis qui se tiendra au Bourget en décembre, un événement "Climat" sera organisé en présence de personnalités politiques et scientifiques.

Enfin, l'Avion des Métiers sera reconduit cette année après son succès de 2013. Cet événement original permettra à des salariés de l'industrie aérospatiale de présenter aux visiteurs des métiers liés à la production.

Vous pouvez dès à présent commander en ligne votre badge d’accès au Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace 2015.

Ne ratez pas cet événement incontournable !

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3 février 2015 2 03 /02 /février /2015 08:55
Le site Elvia PCB de Coutances obtient le renouvellement de sa certification Nadcap dédiée à l'aéronautique

 

23 janvier 2015 par  Didier Girault - electroniques.biz

 

Le site Elvia PCB de Coutances a obtenu le renouvellement de sa certification Nadcap (National Aerospace and Defense Contractors Accreditation Program.

 

Le site Elvia PCB de Coutances annonce qu’il a obtenu, fin 2014, le renouvellement de sa certification Nadcap (National Aerospace and Defense Contractors Accreditation Program) destinée au marché de l’aéronautique.

S’appuyant sur 600 personnes réparties dans 8 sites - spécialisés par marchés –, le groupe Elvia PCB est présent en aérospatiale, militaire et ferroviaire, en automobile, en gestion d'énergie et de puissance, ainsi que dans les TIC (Technologies de l’information et des communications) et l’industriel.

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2 février 2015 1 02 /02 /février /2015 17:40
photo NCCP

photo NCCP

 

2/02/2015 Corinne Lassailly - ADIT : 77780

 

L'entreprise Novosibirsk Chemical Concentrates Plant (NCCP) [1], va développer la transformation de minerais de terres rares, notamment pour l'industrie nationale de défense et aérospatiale. Cette entreprise est un des leaders mondiaux de production de combustible pour les centrales nucléaires et pour les réacteurs de recherche en Russie et à l'étranger. Par ailleurs NCCP est l'unique producteur russe de lithium et de sels de lithium. A noter que l'entreprise dépend indirectement de Rosatom, corporation d'Etat dans le secteur de l'énergie atomique.

 

La demande interne en lanthane, scandium et néodyme est importante, précisément dans les filières aéronautique et spatiale, par exemple pour certains éléments clefs des moteurs ou des aimants. Selon Nikolai Pokhilenko, directeur de l'Institut Sobolev de géologie et de minéralogie [2], les gisements dans le nord-ouest de la Yakoutie, région d'Extrême-Orient russe, sont si importants qu'ils devraient assurer l'approvisionnement national. La région de Novossibirsk dispose des ressources nécessaires au développement d'une telle industrie de transformation, non seulement en matière de capital humain hautement qualifié, mais également en matière d'infrastructures et d'équipements.

 

Pour en savoir plus:

- [1] http://www.nccp.ru/en/

- [2] Institut qui dépendait de la branche sibérienne de l'Académie des sciences de Russie et aujourd'hui de l'Agence fédérale des organismes scientifiques http://www.igm.nsc.ru/ (uniquement en russe)

 

Sources : Site de la branche sibérienne de l'académie des sciences : http://redirectix.bulletins-electroniques.com/WEVoS

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2 février 2015 1 02 /02 /février /2015 17:35
Pakistan flight tests Air Launched Cruise Missile (ALCM) Ra’ad

 

February 2nd, 2015 defencetalk.com

 

Pakistan on Monday conducted a successful flight test of the indigenously developed Air Launched Cruise Missile (ALCM) “Ra’ad”, said an Inter Services Public Relations (ISPR) press release.

 

The Ra’ad missile, with a range of 350 km, enables Pakistan to achieve ‘strategic standoff capability’ on land and at sea.

 

“Cruise Technology” is extremely complex and has been developed by only a few countries in the world. The state of the art Ra’ad Cruise Missile with stealth capabilities is a low altitude, terrain hugging missile with high maneuverability; can deliver nuclear and conventional warheads with pin point accuracy.

 

Director General Strategic Plans Division, Lieutenant General Zubair Mahmood Hayat, while congratulating the scientists and engineers on achieving yet another milestone of historic significance, termed it a major step towards strengthening Pakistan’s full spectrum credible minimum deterrence capability. Pakistan’s strategic pursuits are aimed at achieving strategic stability in the region, he said.

 

He appreciated the technical prowess, dedication and commitment of scientists who contributed whole heartedly to make this launch a success.

 

He showed his full confidence over operational preparedness of strategic forces including employment and deployment concepts, refinement and training of all ranks in operational and technical domains.

 

The successful launch has been commended by President Mamnoon Hussain and Prime Minister Nawaz Sharif, who have congratulated the scientists and engineers on their outstanding achievement.

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2 février 2015 1 02 /02 /février /2015 13:50
Airbus reprend en main l’A400M

 

30 janvier 2015 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

Tom Enders, PDG d’Airbus Group, ne supporte plus les promesses non tenues du programme A400M. Il nomme Fernando Alonso à la tête de Military Aircraft (Airbus Defence and Space), avec pour mission d’accélérer l’intégration des capacités militaires et d’augmenter les cadences de production.

 

Airbus vient de siffler la fin de la récréation pour Military Aircraft. Tom Enders, le PDG d’Airbus Group a reconnu cette semaine que les retards s’accumulaient dans le programme A400M et que le constructeur n’était pas en mesure de tenir les engagements pris vis-à-vis des clients, il y a de nombreuses années maintenant. Bernhard Gerwert, le président exécutif d’Airbus Defense and Space (ADS) ne dit pas autre chose : « nous n’avons pas été à la hauteur des attentes en ce qui concerne l’intégration des capacités 
militaires et la montée en cadence industrielle. Ceci n’est pas acceptable et nous allons résoudre ce problème. Nous sommes parfaitement conscients que les nations clientes ont besoin de ce nouvel aéronef et nous prenons donc leurs craintes très au sérieux.  ».

 

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2 février 2015 1 02 /02 /février /2015 13:35
Chine: le secret du 2e porte-avions de nouveau éventé

 

Pékin, 2 fév 2015 Marine et Océans (AFP)

 

L'armée chinoise se garde absolument d'admettre qu'elle construit un second porte-avions, mais ce secret a été de nouveau brièvement éventé par l'annonce qu'une entreprise avait remporté un marché pour équiper le futur navire.

 

Le fabricant de câbles Jiangsu Shangshang a "remporté le contrat pour le deuxième porte-avions chinois", s'est félicité durant le week-end un journal de Changzhou, en reprenant une information également publiée sur le compte officiel de microblogs de cette ville de l'est.

 

Les deux communiqués ont été effacés, mais pas assez vite: la nouvelle a été relayée par les réseaux sociaux chinois, de nombreux internautes la considérant comme une première confirmation sérieuse du chantier entouré de rumeurs.

 

Le premier porte-avions chinois, le "Liaoning", admis au service actif en septembre 2012, est issu d'un bâtiment inachevé vendu en 1998 par l'Ukraine.

 

Pour son deuxième porte-avions, l'Armée populaire de libération (APL) veut relever le défi d'une construction 100% nationale. Un chantier emblématique qu'elle entoure de black-out, selon sa tradition d'opacité concernant ses programmes d'armement.

 

Mais le secret a déjà été entamé à plusieurs reprises, notamment par Wang Min, secrétaire du Parti communiste de la province du Liaoning, qui avait évoqué en janvier 2014 le chantier dans sa province. Ses propos, non destinés à être publiés, avaient été rapportés sur des sites d'information.

 

Des hauts responsables militaires chinois ont aussi fait part de l'intention de Pékin de se doter de plusieurs porte-avions, mais sans fournir de détails.

 

En s'équipant de porte-avions, outil de projection de puissance par excellence, la Chine selon les experts assume le risque d'écorner l'image qu'elle veut donner d'elle-même: celle d'un pays qui s'arme uniquement pour se défendre, sans prétendre à l'hégémonie.

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2 février 2015 1 02 /02 /février /2015 11:55
A400M (photo Arméez de l'Air) - FREMM (photo DCNS)

A400M (photo Arméez de l'Air) - FREMM (photo DCNS)

 

31/01/2015 Par Véronique Guillermard – LeFigaro.fr

 

Le dispositif de location d'armements présenté par Jean-Yves Le Drian (nos éditions du 22 janvier), ne fait pas l'unanimité au sein de l'Assemblée nationale. De nombreux députés, de droite comme de gauche, veulent des précisions sur les futures Sociétés de projet (SDP), capitalisées avec le produit de cession de titres détenus par l'État, avant de donner leur feu vert. Jean-François Lamour, membre de la commission de la défense, a pris une initiative en ce sens.

«J'ai déposé un sous-amendement à un amendement de la loi Macron qui ouvre la voie à la création des SDP, explique le député UMP qui demande un rapport détaillé sur ce dispositif. Le ministre de l'Économie devra s'expliquer. Nous manquons d'informations sur le cadre juridique, sur le coût à terme du dispositif, sur l'assurance des matériels et les équipements concernés au-delà des Airbus A 400M et des frégates.» Recourir à des SDP est la seule solution, selon le ministère de la Défense, pour boucler le budget des armées en 2015. Sur les 31,4 milliards d'euros prévus, il manque 2,6 milliards de recettes exceptionnelles, dont 2,2 milliards issus de la vente des fréquences (700 mégahertz) dont l'appel d'offres ne sera lancé que fin 2015, au mieux. Aux yeux de l'Hôtel de Brienne, l'État peut combler ce «trou» en achetant les équipements aux industriels, en les revendant immédiatement aux SDP qui les loueraient aussitôt aux armées.

 

Les armées très sollicitées

«L'amendement à la loi Macron n'est pas clair, développe François Cornut-Gentille (UMP), rapporteur des crédits de la défense de la commission des finances. Si ces SDP sont des dispositifs temporaires qui permettent de passer le cap de 2015 voire de 2016, nous n'y sommes pas hostiles par principe. Mais si elles s'installent dans la durée, avec l'entrée de capitaux privés, on met le doigt dans un engrenage. Ces SDP constituent une forme de partenariat public-privé qui sauve le budget à court terme mais qui coûte très cher à long terme.» Via ces externalisations, «on acte le passage du budget de la défense à 29 milliards», ajoute-t-il.

Gilles Carrez, le président de la commission des finances, fait étudier des solutions permettant de se passer des SDP, en réaffectant le produit de cession des titres détenus par l'État, directement dans le budget de la Défense. Celui-ci a besoin de moyens supplémentaires pour répondre aux enjeux, à l'heure où les armées sont très sollicitées tant sur le territoire national (10.500 hommes déployés) qu'en opérations extérieures (Opex) avec 9000 militaires engagés. Le budget militaire traîne déjà un report de charge (des impayés) de 3,5 milliards, hérité du passé. La décision de supprimer 7500 postes de moins que prévu dans les armées d'ici à 2018 coûtera au bas mot 1 milliard. Et la facture des Opex s'alourdit à plus de 1 milliard par an alors que le budget n'en prévoit que 450 millions. «Les SDP ne règlent pas tout. Nous avons un énorme problème d'ensemble», résume François Cornut-Gentille.

Pourquoi alors déconnecter les SDP de la refonte de la loi de programmation militaire 2014-2019? Une nouvelle mouture doit être présentée au Parlement d'ici à juin. Ce qui augure d'un nouveau bras de fer entre Bercy et la Défense. «La situation est assez exceptionnelle pour sortir du jeu classique entre Bercy et la Défense, ajoute François Cornut-Gentille. Nous devons à nos militaires de leur donner les moyens de remplir leur mission et de ne pas dépendre de crédits aléatoires.»

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