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29 septembre 2015 2 29 /09 /septembre /2015 15:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

24/09/2015 Sources : État-major des armées

 

Pendant 4 jours, du 13 au 16 septembre, 20 parachutistes des Forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) et 12 parachutistes américains du Force Recon Detachment B, appartenant au 15th Marine Expeditionary Unit basé au camp Lemonnier à Djibouti, ont participé à plusieurs séances de saut sur une zone de mise à terre semi-désertique proche de Djibouti-ville.

 

Les 32 parachutistes ont été largués depuis des moyens de transport français et américains selon les accords de coopération signés entre les deux nations : un Transall C160 et un Puma de l’escadron de transport 88, ainsi qu’un hélicoptère UH-1 de la force interarmées américaine dans la Corne de l’Afrique (CJTF-HoA).

 

Le programme prévoyait différents types de sauts: sauts à ouverture automatique, saut à ouverture commandée retardée et sauts en tandem. Ainsi, aux ordres du chef largueur du CJTF-HoA pour les sauts à partir de l’hélicoptère américain, et du chef largeur des FFDj pour les aéronefs français, les parachutistes ont sautés à 3 600 m à tour de rôle selon les procédures de leurs pays respectifs. L’escadron de protection de la Base aérienne 188, qui participait aux sauts, a également apporté son assistance en assurant durant deux jours le marquage de la zone.

 

Le bureau des instructeurs parachutistes des FFDj organise régulièrement des formations aux troupes aéroportées au profit des parachutistes français et alliés. La prochaine session sera consacrée aux élèves de l’Académie Militaire Interarmées de Djibouti.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. À ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. De plus, les forces françaises stationnées à Djibouti soutiennent l’armée Djiboutienne dans ses efforts pour  renforcer ces capacités militaires en général, dont en particulier la capacité à participer aux opérations de maintien de la paix. Plusieurs fois par an, les FFDj contribuent ainsi à la formation de militaires africains dont les pays ont des accords bilatéraux avec la France.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre

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28 septembre 2015 1 28 /09 /septembre /2015 17:55
Le CEAM présente l'ESTA (Escadron de Soutien Technique Aéronautique)


28 sept. 2015 par CEAM

 

Clip de présentation de l'Escadron de Soutien Technique Aéronautique de la base aérienne 118 de Mont de Marsan

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28 septembre 2015 1 28 /09 /septembre /2015 17:50
Décollage de la force européenne pour une mission de Personnel Recovery

Décollage de la force européenne pour une mission de Personnel Recovery

 

21/09/2015 Ltn C. Hingant - Armée de l'air

 

Les experts européens de la recherche et sauvetage au combat se retrouvent actuellement sur la base aérienne de Pápa, en Hongrie, à l’occasion de l’édition 2015 de CJPRSC (Combined Joint Personnel Recovery Standardization Course – stage interallié et interarmées de standardisation à la récupération de personnel). Cet exercice annuel vise à perfectionner les opérations de Personnel Recovery dans un environnement hostile et dans un contexte international.

 

Depuis le 9 septembre, près de 390 participants de treize pays différents s’entraînent à extraire des membres d’organisations non gouvernementales en difficulté, des pilotes éjectés ou des soldats isolés. Parmi eux, des équipages et mécaniciens de l’escadron d’hélicoptères 1/67 « Pyrénées » et un détachement du commando parachutiste de l’air (CPA) n°30, deux entités expertes de la CSAR (Combat Search and Rescue – recherche et sauvetage au combat) implantées respectivement sur les bases aériennes 120 de Cazaux et 106 de Bordeaux-Mérignac.

 

Rompus aux techniques de récupération de personnel, les aviateurs français évoluent à bord de deux Puma, aux côtés de leurs homologues espagnols, belges ou italiens ; ils entretiennent ainsi leurs qualifications de Rescue Mission Commander.

 

En salle de briefing comme dans les airs, après une semaine de formation commune, les équipages et commandos planchent sur des missions complexes, allant crescendo au fil du temps. Alors qu’un ou deux hélicoptères se posent et débarquent des commandos au sol pour récupérer le survivor, d’autres voilures tournantes armées surveillent les alentours à l’affût de la menace ennemie.

 

« En fonction du scénario, on peut également disposer d’avions de chasse qui assurent la protection air-sol ou air-air, explique le lieutenant-colonel Yves-Henri, officier projet de l’exercice. Sans oublier la présence d’un avion de type Awacs pour coordonner l’ensemble du dispositif aérien. Le tout en mixant les équipes commandos/équipages afin de permettre à chacun de travailler avec l’ensemble des moyens et militaires déployés. » Au cours de cette dernière semaine d’exercice, les participants seront confrontés à une difficulté supplémentaire : récupérer du personnel de nuit, en territoire permissif, et donc sous jumelles à vision nocturne.

 

Les experts européens de la recherche et sauvetage au combat rassemblés en Hongrie pour s'entraînerLes experts européens de la recherche et sauvetage au combat rassemblés en Hongrie pour s'entraînerLes experts européens de la recherche et sauvetage au combat rassemblés en Hongrie pour s'entraîner
Les experts européens de la recherche et sauvetage au combat rassemblés en Hongrie pour s'entraîner

CJPRSC 2015 entre les mains d’un nouveau commandement

 

Nouveauté cette année, l’exercice CJPRSC est organisé sous la direction de l’EPRC (European Personnel Recovery Centre), créé le 8 juillet 2015 sur la base aérienne de Poggio Renatico (Italie), conformément à la volonté du groupement aérien européen (GAE). Pôle d’excellence européen, ce centre vise à standardiser les procédures en matières de CSAR pour permettre aux différents participants de mener conjointement des missions de récupération de personnel.

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21 septembre 2015 1 21 /09 /septembre /2015 16:55
Moteurs militaires : un support de proximité

 

21.09.2015 par Snecma (Safran)

 

Fournisseur historique des moteurs des avions de combat de l’Armée de l’Air et de l'Aéronautique Navale françaises, Snecma (Safran) participe également à leur maintien en condition opérationnelle. L’ouverture au mois d’avril dernier d’un centre de support à Bordeaux, au plus près de ses partenaires étatiques en charge de la maintenance, va accroître la réactivité des équipes du motoriste.

 

Pour l'Armée de l'Air comme pour la Marine Nationale, disposer d'avions prêts à décoller à tout moment est un enjeu de sécurité nationale. Snecma, qui motorise tous les appareils de combat actuellement en service (M88 du Rafale, M53 du Mirage 2000, Atar du Super-Étendard), participe activement au maintien en condition opérationnelle (MCO) de ces aéronefs. Outre le centre de maintenance MRO1 de Châtellerault, le motoriste dispose de représentants techniques sur chacune des bases aériennes mettant en oeuvre des Rafale, ainsi que de bureaux d'études conséquents en région parisienne. « Début 2015, nous avons également créé un centre de support en service à Bordeaux, rappelle Pierre Anglès, directeur de ce centre et du support en service des moteurs militaires en France. Ce nouvel établissement est un élément essentiel dans notre dispositif de soutien aux forces armées car il nous permet de nous rapprocher des organismes étatiques chargés de la maintenance des avions et du pilotage des opérations (AIA, SIMMAD, CFA2), désormais installés autour de l'agglomération bordelaise. Notre objectif est de leur offrir une réactivité maximale en toutes circonstances et d'avoir une meilleure compréhension des événements rencontrés par nos moteurs. »

 

Efficacité et réactivité

La vingtaine de collaborateurs du centre sont répartis en quatre pôles. Les équipes du support technique, en relation directe avec l'AIA de Bordeaux, participent à l'analyse des problèmes survenus sur les moteurs et proposent des solutions de traitement en s'appuyant sur la documentation technique. Si le problème rencontré est plus complexe, ils élaborent un rapport précis destiné aux équipes franciliennes. « Nous avons cinq ingénieurs dans les locaux de l'AIA chargés de traiter et / ou de faire remonter l'information en temps réel, ajoute Pierre Anglès. Leurs retours nous permettent de faire constamment évoluer notre connaissance de l'usure des moteurs au cours de leur utilisation, et donc d'affiner les besoins en pièces de rechange. »

Le « pôle prévision-planification », en lien avec notre partenaire l'AIA, a pour mission d'avoir une vision complète de l'ensemble des opérations de maintenance, en cours et futures, sur les bases aériennes et dans les usines de Châtellerault et de l'AIA. « Ainsi, nous sommes certains de pouvoir répondre aux besoins de disponibilité des avions de notre client », précise Pierre Anglès. Le « pôle qualité » s'assure que les pièces de rechange livrées peuvent être utilisées en vol et « le pôle marché » pilote l'exécution des contrats. 

 

Contrat à l'heure de vol, formule gagnante

Depuis 2010, le contrat de maintenance du M88 du Rafale porte sur la fourniture de pièces de rechange à l'heure de vol. Le principe de ce contrat est le suivant : à partir du nombre d'heures de fonctionnement des moteurs estimé par l'armée, Snecma anticipe les besoins en pièces de rechange et met celles-ci à disposition des miliaires. L'État ne se préoccupe donc plus des commandes. « Notre objectif à terme est de progresser vers un contrat à l'heure de vol portant sur la disponibilité de moteurs complets, prêts à l'emploi sur tarmac, explique Pierre Anglès. L'armée pourrait alors se concentrer sur son coeur de métier et Snecma exercer pleinement son rôle de motoriste. »

D'ici là, Snecma, en partenariat avec l'AIA, proposera dès 2016 à la SIMMAD un contrat de maintenance à l'heure de vol portant sur la disponibilité des modules du M88 sur les bases aériennes. Une bonne pratique qui pourrait bien se répandre auprès des clients du Rafale à l'international.

 

1. MRO : Maintenance, Repair and Overhaul - Maintenance, réparation et révision

2. (AIA) L'Atelier industriel de l'aéronautique de Bordeaux, qui dépend du ministère de la Défense, prend charge la maintenance des moteurs militaires français.

(SIMMAD) La Structure intégrée de maintien en condition opérationnelle des matériels aéronautiques de la défense (est chargée de passer des appels d'offres pour la maintenance des aéronefs français, auprès d'acteurs publics ou privés. Elle est située sur la base aérienne 106 de Bordeaux-Mérignac.

(CFA) Le Commandement des forces aériennes prépare les forces aériennes à remplir leurs missions.

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 11:55
Exercice de sauvetage en mer avec le Super Puma - photo Armée de l'Air

Exercice de sauvetage en mer avec le Super Puma - photo Armée de l'Air

 

19/09/2015 Armée de l'air

 

Le 10 septembre 2015, l’escadron d’hélicoptères (EH) 1/44 «Solenzara» a soutenu le bataillon de marins-pompiers de Marseille lors d’un exercice.

 

En réponse à une demande de concours pour un soutien héliporté, un Super Puma de la base aérienne 126 de Ventiseri-Solenzara et son équipage ont héliporté un groupe d’intervention de douze pompiers en tenue de feu sur le bâtiment du centre d'entraînement aux techniques d'incendie et de survie (CETIS).

 

Le ministre de l’Intérieur ainsi que de hautes autorités locales ont pu assister à cette démonstration d’intervention sur un incendie de navire, illustrant parfaitement la complémentarité des moyens étatiques dans le cadre des missions de service public.

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19 septembre 2015 6 19 /09 /septembre /2015 11:55
Snecma installe un nouveau banc d’essais à Istres

 

18/09/2015 Armée de l'air  - Economie et technologie

 

Un nouveau banc d'essai a été installé sur la base aérienne 125 d'Istres pour assurer le développement des nouveaux moteurs de la société Snecma du groupe Safran.

Nouveau banc d'essais de Snecma

 

L’implantation historique, dès 1962, du centre d’essais en vol de Snecma sur la base aérienne d’Istres au sein de la direction générale de l’armement (DGA), a permis le développement des moteurs de tous les avions de combat de Dassault Aviation (Mirage F1, Alphajet, Mirage 2000, Rafale) et dernièrement et jusqu’en 2012, celui du TP400 de l’A400M d’Airbus.

 

Le premier banc d’essais déjà existant a également été adapté pour accueillir le Silvercrest, moteur du futur Falcon 5X de Dassault Aviation. « Avec l’aide du ministère du Logement, de l'Égalité des territoires et de la Ruralité, de la région, du département, de Ouest-Provence et du pôle Pégase, nous avons ainsi choisi d’implanter à Istres ce second banc à l’air libre », précise un porte-parole de Snecma.

 

Ce nouveau banc de plus de 100 tonnes s’articulera autour d’un pylône de 18 mètres de hauteur. Il disposera d’une structure inédite à deux têtes, qui permettra d’installer des moteurs d’architectures différentes et sera équipé d’un système d’acquisition de données de 1 200 lignes de mesure (à travers 9 200 mètres de fibre optique) : consommation de carburant, comportement dynamique et mécanique, acoustique, etc. Pour optimiser le recueil et l’analyse des données d’essais, un nouveau bâtiment de contrôle de 660 m2 sera implanté à proximité du banc.

 

Opérationnel pendant au moins 30 ans, ce nouveau banc intégrera des innovations inhérentes à la haute technicité des moteurs qui y seront testés (pièces composites, carter tournant, pales contrarotatives, réducteurs, mesures sans contact, télémesure…).

Lancement officiel des travaux du nouveau banc

Snecma installe un nouveau banc d’essais à Istres
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19 septembre 2015 6 19 /09 /septembre /2015 07:55
Retrouvez l’armée de l’air aux Journées européennes du patrimoine 2015



 18/09/2015 Armée de l'air

 

De nombreuses bases aériennes ouvrent les portes de leur patrimoine culturel à l’occasion des Journées européennes du patrimoine 2015, les 19 et 20 septembre prochains. Le thème retenu cette année est "Le patrimoine du XXIe siècle, une histoire d’avenir".

 

Pour cette 32e édition, la Défense, deuxième acteur culturel de l’État, invite le public à découvrir plus d’une centaine de sites et de hauts lieux du patrimoine militaire français qui proposent, pour l’occasion, de nombreuses visites, ateliers pédagogiques et expositions de matériel. En 2014, les édifices militaires ont accueilli plus de 200 000 visiteurs.

À cette occasion, des bases aériennes et des détachements air vous proposeront des visites historiques. 

Pour de plus amples informations sur les activités proposées consultez le site du ministère de la Culture et de la Communication.

Rendez-vous sur les bases aériennes !

Base aérienne 102 de Dijon

  19 et 20 septembre 2015
  Le samedi de 14h à18h et le dimanche 10h-12h et 14h-18h
  - Visite des 3 espaces du musée de la base avec son Mirage 2000 Cristal
  - Remise d'une plaquette souvenir sur l'histoire de la BA 102
  - Présentation du Mirage III des "Chevaliers du ciel"

Base aérienne 106 de Bordeaux-Mérignac

  19 et 20 septembre 2015
  - Visites guidées en bus de la base aérienne à travers ses monuments d’infrastructure
  - Visites guidées de l’espace "traditions"
  - Exposition statique d’une vingtaine d’avions mythiques de chasse et de transport pour faire revivre l’épopée industrielle et technologique qu’a connue la région Aquitaine de la période post-seconde guerre mondiale, soit 1945, aux années 90. Chacun des avions sera associé autant que possible à une automobile de la même époque de préférence de marque française.

Base aérienne 115 d'Orange

  Samedi et dimanche de 09h à 12h et de 13h30 à 17h
  Visite du musée de la base dénommé « Musée Caritat »
  Le musée se trouve sur la base, en zone vie tout près de l’entrée base et est donc facile d’accès au public.

Base aérienne 118 de Mont-de-Marsan

  - Exposition statique d’aéronefs
  - Visite de l’Espace Patrimonial Rozanoff (musée de la base aérienne et du centre d'expertise aérienne militaire)
  - Exposition dynamique par l’équipe cynophile

  Sur inscription uniquement au 05 58 46 78 53

Élément air rattaché 279 de Chateaudun

  19 et 20 septembre de 9h30 à 17h

  Baptêmes de l'air à l'Aéro-club Jean Fournier
  Entrée libre avec pièce dʼidentité

Base aérienne 702 d'Avord

  Musée de la base aérienne 702 d’Avord
  Route de Bourges - 18520 Avord
  Informations au : 02 48 68 41 65
  Courriel: lescopains.avord@orange.fr
  • Horaires des visites :
  Samedi : de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00
  Dimanche : de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00
  ● Durée de la visite : 1h30
  Point de départ de la visite : entrée principale de la base aérienne
  Visite gratuite, commentée par groupe composé de 28 personnes
  ● Public concerne : adultes et enfants
  Partiellement accessible aux personnes à mobilité réduite
  Pas d’inscription préalable

Base aérienne 709 de Cognac-Châteaubernard

  Le musée aéronautique de la BA 709 est ouvert au public les 19 et 20 septembre :
  - Horaires : 10h00 – 12h00 et 14h00 – 18h00
  - Description des animations des Journées européennes du patrimoine :
  1- Visite commentée du musée aéronautique : histoire de la base aérienne 709 depuis sa création en 1938 à nos jours.
  2- Expositions d’avions anciens et divers objets aéronautiques
  3- Exposition de véhicules et matériels de la seconde guerre mondiale.
  4- Exposition de tenues de pilotes
  5- Exposition de maquettes et peintures sur le thème de l’aéronautique
  Réservation préalable : 05. 45.32.73.56 (heures ouvrables)
  Pièce d’identité obligatoire

Base aérienne 722 de Saintes

  Afin de faire découvrir ses missions au public, l’école organise pendant ces 2 jours des visites à partir de 13h30 avec au programme :
  - Visite de la salle «traditions», véritable musée de notre école ;
  - Visite du Hangar aéronautique et de l’atelier des moteurs ;
  - Présentation de l’Armée de l’air et de l’historique des promotions des élèves techniciens.

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18 septembre 2015 5 18 /09 /septembre /2015 22:45
Barkhane : Exercice de ravitaillement en vol de deux "transall" de la base 105 d'Evreux.

 

19.09.2015 Ministère de la Défense

Barkhane - Découvrez la vidéo d'une patrouille d'avions de transport tactique (C160 Transall) effectuant une présentation au ravitaillement en vol au cours d'une mission de liaison logistique entre Niamey (Niger) et N'Djamena (Tchad).

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18 septembre 2015 5 18 /09 /septembre /2015 12:50
Super Puma de l’escadron d’hélicoptères (EH) 1/44 «Solenzara» - photo EH 1/44 Armée de l'Air

Super Puma de l’escadron d’hélicoptères (EH) 1/44 «Solenzara» - photo EH 1/44 Armée de l'Air

 

18/09/2015 Armée de l'air

 

Les 8 et 9 septembre 2015, un Super Puma de l’escadron d’hélicoptères (EH) 1/44 «Solenzara» a participé à «Squalo», un exercice international de recherche et sauvetage maritime (SAMAR), à Olbia en Sardaigne.

 

En posture d’alerte, l’équipage reçoit une demande pour une recherche. La mise en œuvre et le décollage de l’hélicoptère ont lieu immédiatement et permettent de couvrir rapidement et efficacement une large partie de la zone de recherche attribuée.

 

Une fois le naufragé repéré, l’équipage est sollicité pour réaliser sa récupération. Dans le cadre de l’exercice et pour plus de réalisme, une procédure civière est exécutée à proximité du naufragé et des débris simulant un crash avion. Le naufragé est ensuite hélitreuillé par brassière et ramené vers le port d’Olbia, conformément aux consignes transmises.

 

«Squalo» a permis à l’équipage du «Solenzara» de s’entraîner dans des conditions réalistes en multinational, d’appréhender les moyens et les méthodes de travail de différentes nations telles que l’Italie, l’Espagne, la Slovaquie, la Turquie, et de démontrer le savoir-faire SAMAR de l’escadron 1/44 de la base aérienne 126 de Ventiseri-Solenzara.

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18 septembre 2015 5 18 /09 /septembre /2015 07:55
photo J-L. Brunet - Armée de l’air

photo J-L. Brunet - Armée de l’air

 

17/09/2015 Cne Karim DJEMAI - Armée de l'air

 

Le Musée de l’air et de l'espace (MAE) du Bourget (93) a revêtu sa tenue d'apparat, mercredi 16 septembre 2016, pour célébrer un double événement : le vernissage du 9e salon des Peintres de l’air et de l’espace et l’inauguration du Hall de la Cocarde.

 

Lors de leurs discours d'ouverture, le général Denis Mercier, chef d'état-major de l'armée de l'air (CEMAA) et Mme Catherine Maunoury, directrice du MAE, ont tenu à saluer la qualité artistique des œuvres exposées. «Vous savez tous à quel point j’estime l’action des Peintres de l’air,a notamment déclaré Mme Maunoury. À mes yeux, leurs œuvres sont une source d’inspiration permanente». Le général Mercier a pour sa part témoigné toute son admiration, en déclarant: «les Peintres de l’air savent mieux que quiconque retranscrire ces instantanés qui marquent le quotidien des aviateurs en métropole ou en opérations extérieures. Plusieurs récompenses ont ensuite été attribuées par de nombreuses hautes autorités de l'aéronautique militaire et civile. Le prix du CEMAA a notamment été remis à Éric Bari pour son œuvre baptisée «As», tandis que Mme Catherine Roch a remporté le prix du ministère de la Défense pour son tableau «Capitaine Georges Madon, combats aériens, 1917».

 

 

Suite de l'article

 

 

 

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17 septembre 2015 4 17 /09 /septembre /2015 16:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

16/09/2015 Sources : Commandement des forces aériennes

 

Du 31 août au 18 septembre 2015, quinze Rafale de l’escadron de chasse 1/7 «Provence», du régiment de chasse 2/30 «Normandie-Niemen» et de l'escadron de chasse 1/91 «Gascogne» sont déployés sur la base aérienne 126 de Ventiseri-Solenzara pour une campagne de tir air-air. Objectif : qualifier ou maintenir les qualifications les forces aériennes au tir canon sur cible aérienne.

 

Au total, neuf Rafale monoplaces et six biplaces garnissent le parking avions de la base corse pour entraîner une soixantaine de pilotes et de navigateurs. À leurs côtés, plus d’une centaine de mécaniciens assurent la mise en œuvre des aéronefs. Durant trois semaines, les pilotes enchaînent les sorties au large des côtes pour s’exercer au tir canon air-air qui consiste à viser une cible aérienne tractée par les trois Alphajet de l’escadron d’entraînement 2/2 «Côte d’Or».

 

À une semaine de la fin de la campagne, les compteurs affichent douze qualifiés et autant de renouvellement de qualification.

 

Outre ces objectifs air-air, les chasseurs profitent également de cette campagne pour s’entraîner au tir de leurres IR (infrarouge) et, depuis mardi 15 septembre, au tir canon air-sol sur le champ de tir de Diane. Cela permet de requalifier et de qualifier en priorité les équipages amenés à être prochainement déployés en opérations extérieures.

 

photo Armée de l'Airphoto Armée de l'Air
photo Armée de l'Air

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16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 16:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

16/09/2015 Sources : Marine nationale

 

Mardi 15 septembre 2015, la base aéronautique navale de Landivisiau (BAN Landivisiau) a accueilli un 1er A400M pour la première fois. Il s’agit du 14ème et avant-dernier avion de ce type réceptionné par l’armée de l’Air.

 

La BAN Landivisiau a réalisé cet été des travaux d’adaptation de la piste pour pouvoir accueillir cet aéronef de grande taille. En provenance d’Orléans, il s’est posé à Landivisiau pour embarquer du personnel avant de décoller en direction de Keflavik en Islande. L’A400M est un nouvel avion capable d’assurer plusieurs missions telles que le ravitaillement, le transport de personnel ou de fret et bientôt le largage de matériel et de parachutistes. Il est deux fois plus rapide et couvre le double de distance d’un Transal.

 

Selon les missions, il peut transporter jusqu’à 37 tonnes de fret et 116 passagers. Désormais, il fera partie du paysage de Landivisiau au même titre que le Casa, le Transal ou le C130.

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16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 16:25
photo Marine Nationale

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16/09/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 1er septembre 2015, le groupe régional d’intervention de neutralisation, enlèvement et destruction d’explosif (NEDEX) des Antilles a réalisé un entraînement commun avec la Sécurité Civile de Martinique.

 

Les entraînements à l’hélitreuillage avec l’hélicoptère EC145 Dragon de la Sécurité Civile se déroulent deux fois par an. Ils permettent à ces deux unités, civile et militaire, de maintenir et de perfectionner leurs techniques dans le domaine partagé de l’intervention aéroportée pour le déminage. Les spécialistes NEDEX doivent être en mesure d’intervenir, en tout temps et tout lieu, sur des emprises militaires ou civiles, parfois difficiles d’accès. Ils sont aussi à même d’intervenir sur des navires en mer. Le groupe régional d’intervention NEDEX (GRIN) des Antilles est le seul service à détenir, en Martinique, des capacités de reconnaissance d'engins non identifiés et des capacités d'intervention sur des munitions et explosifs conventionnels ainsi que sur des engins explosifs improvisés.

 

Suite de l’article

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photo Marine Nationale

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16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 12:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

15/09/2015 par Bénédicte Chéron - Tribune FigaroVox

 

Bénédicte Chéron évoque ces opérations militaires aériennes rarement sur le devant de la scène en raison de l'absence de spectaculaire qui leur est attaché.

 

Alors que le débat sur une intervention au sol est ouvert, que savent les Français de l'opération Chammal engagée depuis le 19 septembre dernier par la France? Les armées sont en effet confrontées à la difficulté de raconter et faire comprendre une guerre par frappes aériennes. Les points de situation du Ministère de la Défense sur le sujet sont en eux-mêmes révélateurs. Celui du 20 mars 2015 racontait par exemple: «Cette semaine, la force Chammal a réalisé 117 sorties aériennes, dont dix ont abouti à des frappes au sol. Plusieurs véhicules armés et logistiques ont été détruits par les aéronefs français, ainsi qu'un véhicule suicide dans la région de Kirkouk. Les avions français ont également ciblé des combattants à plusieurs reprises, ainsi que du matériel d'artillerie».

 

Suite de l’article

 

* Bénédicte Chéron est chercheur partenaire à l'IRICE, spécialiste du traitement médiatique des conflits.

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16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 07:56
Relève des Puma de l'armée de l'air par ceux de l'armée de terre à Madama - photo Armée de l'Air

Relève des Puma de l'armée de l'air par ceux de l'armée de terre à Madama - photo Armée de l'Air

 

15/09/2015 Sources : Commandement des forces aériennes

 

Après 15 mois de présence sur le sol africain, les deux Puma de l’escadron d’hélicoptères (EH) 1/67 «Pyrénées»  sont rentrés en métropole lundi 14 septembre 2015. C’est la fin d’une épopée particulièrement intense pour les équipages Puma de la base aérienne de Cazaux.

 

Arrivés lundi à bord d’un Antonov 124 sur la base aérienne de Mont-de-Marsan, les deux hélicoptères Puma de l’EH «Pyrénées» engagés dans l’opération Barkhane rejoindront Cazaux après leur remise en condition opérationnelle. Le théâtre compte encore des hélicoptères Caracal et une vingtaine d’aviateurs du 1/67.

 

Précurseurs en autonome au nord Niger

Le 18 juin 2014, les deux machines et un détachement d’une vingtaine d’aviateurs de l’escadron (pilotes, mécaniciens navigants, mécaniciens) arrivent à N’Djamena au Tchad, avant d’être déployés quatre mois plus tard au nord Niger. Ils opèrent au sein de la force Barkhane pour lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne (BSS).

Placé sous le contrôle tactique du groupement tactique désert Est (GTD-Est), le détachement hélicoptères Air (DETHM Air) soutient d’abord la première phase de présence de la force au nord Niger en s’établissant en précurseur et de manière autonome sur l’aérodrome de Dirkou, seule piste d’atterrissage sur le plateau du Djado. Au fur et à mesure que les convois logistiques arrivent, les voilures tournantes œuvrent en appui des unités du génie notamment, qui, plus au nord, débutent quelques semaines plus tard les travaux pour réhabiliter une piste aéronautique. Les hommes du 25e régiment du génie de l’air (25e RGA) ont ainsi fait surgir du désert une base avancée temporaire au pied du fort de Madama, à une centaine de kilomètres au sud de la frontière libyenne (voir encadré). En attendant la construction d’infrastructures capables d’accueillir des avions de transport tactique, le Puma constitue alors l’unique moyen d’assurer les évacuations aéromédicalisées (AeroMedevac) des militaires. Il est également un outil indispensable pour répondre au défi logistique de l’isolement du site de Madama pour les forces armées.

 

Des opérations aéroterrestres d’envergure

Une fois la piste aéronautique mise en service à Madama début décembre 2014, le DETHM Air s’installe sur ce nouveau site pour appuyer les opérations militaires du GTD-Est. Il s’agit principalement de perturber les flux logistiques des groupes armés terroristes dans la zone. Missions logistiques de dépannage, appui-feu (le Puma est équipé d’un canon de 20 mm en sabord), interception de mobiles, AeroMedevac, reconnaissance, aérolargage... Le détachement de l’armée de l’air apporte un panel de capacités indispensables sur le théâtre et participe à des opérations aéroterrestres d’envergure. Par ailleurs, certaines d’entre elles ont nécessité le déploiement en totale autonomie du module héliporté en plein désert, au plus près des troupes au sol, dans des conditions particulièrement éprouvantes tant pour le personnel que pour le matériel.

 

Au bilan, l’action dans la durée

Au final, sept mandats se sont succédé pendant 15 mois dans la BSS, totalisant pas moins de 470 missions de guerre et plus de 800 heures de vol. Ces chiffres mettent en exergue la ténacité des hommes et des femmes du «Pyrénées», équipages et mécaniciens, qui ont œuvré dans un environnement particulièrement rustique. Malgré des conditions climatiques extrêmes (chaleur et tempêtes de sable) et l’absence de locaux adaptés pour la maintenance aéronautique durant les six premiers mois, la disponibilité des aéronefs au plus haut niveau souligne l’excellence du soutien technique et de la logistique des matériels techniques.

Le théâtre nigérien aura mis à rude épreuve aussi bien les machines que les hommes qui les servent. Mais ce bilan démontre surtout une capacité d’adaptation hors du commun des forces aériennes, capables d’accomplir leurs missions et de s’inscrire dans la durée, dans cette région isolée qui compte parmi les plus arides du monde.

 

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Le 25e RGA à la manœuvre

 

Dans le cadre du déploiement des Puma sur Madama, c’est le 25e régiment du génie de l’air (25e RGA) qui a eu pour mission de réaliser des aires de stationnement et des accès piste.

Ces travaux d’envergure, indispensables à la conduite des opérations militaires en BSS, consistaient à créer de toutes pièces une plateforme de 75 000 m² et deux surfaces béton de 800 m² afin d’accueillir des structures métallo-textiles pour la maintenance des aéronefs.

Fortement contraint par les conditions météorologiques éprouvantes, le groupe travaux du génie de l’air, grâce à ses moyens de terrassement et de production béton autonome, a travaillé durant six semaines, jour et nuit pour respecter les échéances.

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16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 07:30
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15.09.2015 Par Nathalie Guibert - Le Monde.fr

 

Le gouvernement soumet, mardi 15 septembre, au Parlement une déclaration suivie d’un débat sur l’engagement des forces aériennes françaises en Syrie. Ce qui ne devrait pas susciter de difficultés politiques majeures. Mais des interrogations demeurent sur la pertinence du changement de cap qui a conduit le président François Hollande, le 7 septembre, à étendre l’intervention militaire française contre l’Etat islamique (EI). Jusque-là, l’opération « Chammal » restait cantonnée à l’Irak : on pensait à Paris que frapper l’EI en Syrie conforterait de facto le président Bachar Al-Assad.

 « Nous ne pouvons plus nous permettre que la Syrie, principal repaire de Daech [acronyme arabe de l’Etat islamique], demeure un angle mort de notre action », a déclaré le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, lundi 14 septembre à Strasbourg, lors de l’université d’été de la défense.

Depuis une semaine, des missions de reconnaissance ont été confiées aux Rafale basés à Abou Dhabi. Elles pourront être prochainement suivies de frappes ciblées contre l’EI. Mais ces frappes ne changeront pas la donne sur le terrain syrien en proie au chaos, conviennent tous les experts. Car pour l’heure, le cadre fixé aux militaires est étroit : il s’agit d’être prêt à engager une riposte si, demain, un attentat visant le sol français est ordonné et préparé depuis les bastions de l’EI en Syrie. Les services de renseignement ont acquis la preuve que des jeunes y sont formés, lors de véritables stages, à la préparation d’actions terroristes contre la France.

 

Récolter du renseignement

Décidé après l’attaque ratée du Thalys en août, l’engagement français a un objectif politique national avant d’être militaire : démontrer aux Français que tout est fait dans la lutte contre la menace terroriste. Paris affirme que la résolution de la crise syrienne relève d’abord d’efforts politiques et diplomatiques.

Huit cents militaires et six avions de chasse, sans moyens nouveaux, sont mobilisés contre « l’armée terroriste », Daech, et « sa dynamique funeste », selon les mots de M. Le Drian. En Syrie, les Etats-Unis, le Royaume-Uni et le Canada étaient à ce jour les seuls pays occidentaux engagés dans des frappes contre l’Etat islamique. Les pays sunnites du Golfe et de la région, qui participaient aux opérations aériennes, ne bombardent plus depuis la mi-août ; ils ont déplacé tous leurs moyens au Yémen, assurent les sources militaires.

L’armée française va d’abord récolter du renseignement, dont elle ne dispose pas aujourd’hui sur l’Etat islamique en Syrie, et qu’elle pourra échanger avec son homologue américaine. Ensuite, les frappes viseront des camps de l’EI, sur la base de « dossiers d’objectifs » préparés, et non les mouvements du groupe armé au gré de ses offensives.

Donnée importante : il ne s’agit pas de frapper le Front Al-Nosra, lié à Al-Qaida. En outre, les experts assurent que les forces de Bachar Al-Assad ne sont pas une menace là où la France intervient. « Elles ne sont plus présentes à l’est, y compris à Rakka, et les avions de Bachar n’effectuent même plus de vols d’entraînement, résume une source informée. Nos Rafale n’ont trouvé aucune défense sol-air active.

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15 septembre 2015 2 15 /09 /septembre /2015 21:55
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15/09/2015 Sources : Centre d'expertise aériennre militaire

 

Le 15 septembre 2015, deux Rafale de Mont-de-Marsan ont décollé équipés de SATCOM.

 

Le monoplace et le biplace de l’escadron de chasse et d’expérimentations (ECE) 5/330 « Côte d’Argent », faisant partie de la patrouille, ont pu être suivis de bout en bout, ainsi que le C135 ravitailleur.

 

Le convoyage de 3h30 vers Lajes a pu être observé dans son intégralité au centre d’expertise aérienne militaire (CEAM) depuis la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. De nombreuses communications, tant opérationnelles qu’expérimentales, ont eu lieu par chat.

 

Cet événement est le fruit de plusieurs mois de travail intense entre le CEAM, le constructeur Dassault Aviation et les services de la direction générale de l’armement (DGA). Il ouvre des perspectives de connexion sans précédent au Rafale, qui est désormais présent sur tout le spectre des liaisons de données.

 

Le 1er septembre 2015, le CEAM est officiellement devenu le centre d’expertise aérienne militaire (anciennement appelé centre d’expériences aériennes militaires). Cette nouvelle appellation s’inscrit dans la volonté de l’armée de l’air de développer un centre de guerre aérienne (Air Warfare Center) et de concentrer ses experts autour des trois piliers constitutifs d’une capacité opérationnelle de première ligne : la doctrine, les équipements et l’expertise tactique du combattant.

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15 septembre 2015 2 15 /09 /septembre /2015 16:55
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14/09/2015 Armée de l'air

 

Les prises de commandement du centre de formation aéronautique initiale (CFAMI) 5/312 et de l’escadron d’instruction sol du personnel navigant (EISPN) se sont déroulées jeudi 10 septembre 2015 sur la base aérienne 701 de Salon-de-Provence.

 

Le CFAMI assure l’initiation au vol ainsi que la formation théorique et pratique des futurs pilotes et navigateurs de chasse, de transport et d’hélicoptère au sein de l’armée de l’air, de la marine nationale ainsi que de la direction générale de l’armement.

 

Pour mener à bien sa mission, la direction des études du CFAMI dispose de l’escadron d’initiation à l’aéronautique militaire (EIAM) pour l’initiation au vol à voile, de l’EISPN pour les cours théoriques, de la section simulateur, de deux escadrons d’instruction en vol (EIV) pour les pilotes, ainsi que de l’escadron de formation des navigateurs de combat (EFNC).

 

Cette cérémonie a marqué également la reprise des traditions des escadrons 3/5 «Comtat Venaissin», 2/93 «Cévennes» et 1/93 «Aunis» respectivement par le 2e EIV «Montmirail», le 3e EIV «Côte Bleue» et l’EFNC.

 

L’escadron de chasse 3/5 «Comtat Venaissin» fut formé à Orange le 1er janvier 1953, avec pour mission de transformer des stagiaires sur avions à réaction, puis dès 1954, d’assurer la défense aérienne du territoire. Dissous une première fois en 1957, il est recréé à Orange de juillet 1981 à mai 1997. Volant sur Vampire, Mistral, Mystère II C, Mirage F1 B/C puis Mirage 2000 C, il participa aux opérations Épervier (Tchad) et Daguet (Irak). Le «Comtat Venaissin» renaît aujourd’hui au sein du CFAMI, où il reprend l’activité du 2e EIV «Montmirail».

 

L’escadron de bombardement (GB) 2/93 «Cévennes», quant à lui, héritier des escadrilles V109 et V125, fut créé pendant la Grande Guerre. Il ne cessa de s’illustrer durant la Seconde Guerre mondiale, aussi bien au cours de la Bataille de France qu’en Afrique du nord. Dissous en 1946, il sera recréé de 1965 à 1983, et assurera la mission de dissuasion nucléaire. Il vola notamment sur Farman 50, Amiot 143, Potez 63, B26 Marauder et Mirage IV A. Le «Cévennes» est cité à l’ordre de l’Armée aérienne, et décoré de la Croix de guerre avec Palme et de la Médaille militaire. À l’instar du «Comtat Venaissin», il renaît aujourd’hui en reprenant l’activité et les traditions du 3e EIV «Côte Bleue».

 

Le groupe de bombardement 1/31 «Aunis», héritier des escadrilles SAL 10 et SAL 227 de la Grande Guerre, est créé en décembre 1944. Il participa sur JU-88 à la libération de Royan et de la pointe de Graves. Le GB 1/31 a été dissous en janvier 1946. De juillet 1965 à août 1996, équipés de C-135F, les escadrons de ravitaillement en vol (ERV) 4/93 puis 1/93 reprendront successivement les traditions du GB 1/31. L’«Aunis» fut cité à l’ordre de l’Armée aérienne et décoré de la Croix de guerre.

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15 septembre 2015 2 15 /09 /septembre /2015 12:56
Syrie : le soldat Hollande s'engage contre le groupe EI

Le président François Hollande a estimé lundi que la France devra mener des frappes aériennes contre le groupe État islamique (EI) en Syrie. - photo Armée de l'Air

 

15/09/2015 Le Point.fr (AFP)

 

"Nous avons annoncé des vols de reconnaissance permettant d'envisager des frappes si c'était nécessaire, et ce sera nécessaire en Syrie", a déclaré le président lors d'une conférence de presse commune avec son homologue du Nigeria Muhammadu Buhari, à Paris.

Il y a une semaine, le chef de l'État avait ordonné à l'armée française de mener des opérations aériennes de renseignement au-dessus de la Syrie comme elle le fait depuis un an en Irak. "Selon les informations que nous recueillerons (...), nous serons prêts à faire des frappes" contre l'EI, avait-il ajouté, tout en excluant une intervention au sol. De premiers vols de reconnaissance ont eu lieu mardi et mercredi derniers.

 

Débat au Parlement mardi

Jusqu'alors, la France s'était interdit d'intervenir militairement en Syrie au motif qu'elle craignait que cela ne serve les intérêts du président syrien Bachar el-Assad dont Paris réclame le départ, le jugeant principal responsable de la guerre en cours dans son pays.

Le Parlement français doit débattre mardi, sans vote, de cet engagement militaire en Syrie. Le président français a également comparé l'EI avec le groupe islamiste Boko Haram, actif dans le nord-est du Nigeria et les pays voisins.

 

 

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15 septembre 2015 2 15 /09 /septembre /2015 12:56
Syrie : le Parlement discute de possibles frappes françaises

Les députés et les sénateurs débattent ce mardi de l'engagement militaire français en Syrie et des frappes aériennes contre le groupe État islamique. - photo Armée de l'Air

 

15/09/2015 Le Point.fr (AFP)

 

Lundi, le président de la République a déclaré que les frappes aériennes contre le groupe État islamique étaient nécessaires en Syrie.

 

Députés et sénateurs débattent ce mardi, mais sans voter, de l'engagement militaire français en Syrie et des frappes aériennes contre le groupe État islamique que le président François Hollande a jugées nécessaires lundi. Organisé simultanément à l'Assemblée nationale et au Sénat, le débat doit durer environ deux heures avec une déclaration du Premier ministre Manuel Valls suivie d'une intervention de chaque groupe politique. Mais l'intitulé initial, qui portait sur "des vols de reconnaissance", est modifié après les déclarations du président de la République augurant de prochaines frappes. Il s'agit désormais de "l'engagement des forces aériennes au-dessus du territoire syrien". "Nous avons annoncé des vols de reconnaissance permettant d'envisager des frappes si c'était nécessaire, et ce sera nécessaire en Syrie", a prévenu le chef de l'État lundi soir à Paris, lors d'une conférence de presse commune avec son homologue du Nigeria Muhammadu Buhari.

Il y a une semaine, François Hollande avait ordonné à l'armée française de mener des opérations aériennes de renseignements au-dessus de la Syrie comme elle le fait depuis un an en Irak, avec à la clé de possibles frappes contre des centres de commandement ou d'entraînement de l'El. La France, avait-il argumenté, veut désormais connaître "ce qui se prépare contre elle et ce qui se fait contre la population syrienne", dans une allusion aux menaces d'attentats sur le territoire hexagonal. Cet "engagement supplémentaire" pour l'armée française est nécessaire car "la donne a changé et nous ne pouvons plus nous permettre de laisser la Syrie, principal repaire de Daesh, demeurer un angle mort de notre politique au Levant", a également dit lundi soir le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, pour justifier ce changement stratégique. Jusqu'alors, la France s'était interdit d'intervenir militairement en Syrie au motif qu'elle craignait que cela ne serve les intérêts du président syrien Bachar el-Assad dont Paris réclame le départ, le jugeant principal responsable de la guerre en cours dans son pays.

 

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15 septembre 2015 2 15 /09 /septembre /2015 12:55
photo Armée de l'Air

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14/09/2015 Armée de l'air Economie et technologie

 

La direction générale de l’aviation civile (DGAC) a délivré, mercredi 9 septembre 2015, la certification «level D» au Full Flight Simulator (FFS) de l'A400M.

 

Mis en œuvre par le centre d'instruction des équipages de transport (CIET), le FFS A400M devient ainsi le premier simulateur de vol des armées à obtenir le plus haut niveau de classification prévu par la réglementation civile.

 

Grâce au "Level D", le FFS rejoint ainsi le cercle fermé des simulateurs dits «Zero Flight Time Training Device».

 

Entré en service dans l’armée de l’air en novembre 2013, le FFS A400M a obtenu cette certification à l’issue d’une évaluation de trois jours menée sur la base aérienne 123 d'Orléans.

 

Placé sur vérins hydrauliques et relié à un serveur informatique, le FFS recrée à l'identique la cabine de pilotage de l'A400M. Cet outil de simulation ultra-performant permet aux équipages de créer des scénarios complexes, adaptés à leurs besoins d'entraînement.

 

Plus d'informations sur le CIET et le FFS A400M dans la vidéo ci-dessous:

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15 septembre 2015 2 15 /09 /septembre /2015 10:55
MOOC Compréhension de l'arme aérienne

 

15.09.2015 source Ecole de l'Air

 

Le MOOC compréhension de l'arme aérienne de l'École de l'Air est lancé !

Tenez-vous prêt, et retrouvez nous sur la plateforme de France Université Numérique dès maintenant.

Nous sommes ravis et impatients de vous accueillir pour ces 6 semaines de formation en ligne.

 

Voir le cours

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14 septembre 2015 1 14 /09 /septembre /2015 17:45
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

14/09/2015 Sources : État-major des armées

 

Le sergent Adrien, 26 ans, est chef de groupe de protection et d’intervention patrouille au sein du détachement de protection (DETPRO) de la base aérienne de Niamey au Niger. Il est l’un des 80 militaires chargé d’assurer la protection du site, de son personnel, de ses aéronefs et de ses installations.

 

Il fait partie de l’une des deux sections qui se relayent quotidiennement pour 24 heures de permanence : prises de garde, perceptions d’armements et relèves de postes sont le quotidien du sergent Adrien. Les missions de protection défense sont nombreuses et rythment les quatre mois de projection du DETPRO : patrouilles sur la base aérienne nigérienne, escortes de sécurisation sur l’aéroport international Diori Hamani, à l’ambassade ou au palais de justice de Niamey, convois à la prison de haute sécurité de Koutoukalé, etc. En France, il est fusilier parachutiste au sein du Commando parachutiste de l’air 30 (CPA30) de la base aérienne 106 de Bordeaux-Mérignac. Entré dans l’armée de l’Air en 2010, le sergent Adrien a déjà effectué quatre missions en opérations extérieures, en Afghanistan, au Tchad, au Mali et au Niger. Depuis le mois de mai 2015, il est ainsi projeté au Niger pour la seconde fois de sa jeune carrière.

 

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14 septembre 2015 1 14 /09 /septembre /2015 11:45
photo Armée de l'Air

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14/09/2015 Armée de l'air

 

Durant un mois, le C160 Transall de l’escadron de transport 50 « Réunion » a effectué neuf rotations sur l’île d’Europa, située à quatre heures de vol de l’île de La Réunion, pour y projeter des engins du 25ème régiment du génie de l’air.

 

L’arrivée du Casa 235 en juin 2015 au sein de l’escadron de transport (ET) 50 « Réunion » a nécessité la remise en état du terrain d’aviation d’Europa, une des cinq îles éparses composant le 5ème district des terres australes et antarctiques françaises. Pour ce faire, des engins, du matériel et du personnel spécialisés du 25ème régiment du génie de l’air (RGA) ont été projetés grâce au dernier Transall encore présent sur l’île de La Réunion. Neuf rotations ont été effectuées au-dessus de l’île d’Europa pour transporter ces matériels spécifiques encombrants. Pour obtenir une capacité de chargement optimale, il a fallu réaménager la soute : démontage des rails d’arrimage, chemins de roulement et dépose des sièges ont permis d’alléger l’appareil. Ainsi, le Transall a pu transporter en une fois jusqu’à neuf tonnes de matériel aussi varié que des bulldozer, des niveleuses, des tracteurs et autres servitudes nécessaires aux importants travaux qui attendent le détachement du 25ème RGA déjà présent sur place.

 

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photo Armée de l'Air

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14 septembre 2015 1 14 /09 /septembre /2015 10:45
photo EMA / Armée de l'Air

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11 septembre 2015 Par Pierre Boisselet - jeuneafrique.com

 

Paris, qui s’apprête à accueillir le président nigérian Muhammadu Buhari en visite officielle, du 14 au 16 septembre, coopère de plus en plus étroitement avec Abuja dans la lutte contre Boko Haram. Malgré les précédents démentis de l'armée française, ses chasseurs sont désormais bien autorisés à survoler le territoire du Nigeria.

 

Jusque-là, officiellement, les avions français s’arrêtaient aux frontières du Nigeria. À partir de leur base de N’Djamena, au Tchad, ils pouvaient certes apercevoir des combattants des islamistes de Boko Haram en survolant les pays frontaliers. Et lorsque, le 3 février, François Hollande avait déclaré que les avions français décollaient « pour surveiller le Sahel, la République centrafricaine ou le Nigeria […] en ce moment », des sources du ministère de la Défense avait démenti, affirmant que les chasseurs ne pénétraient pas dans l’espace aérien nigérian. En réalité, cela fait plusieurs semaines que cette version est dépassée. Des avions français de reconnaissance survolent bien le nord du pays, pour recueillir des informations sur les terroriste de Boko Haram, alias l’État islamique en Afrique de l’ouest. « Il arrive même que les Nigérians nous demandent de survoler certaines zones spécifiques pour obtenir des renseignement», explique un diplomate français haut placé. Les silences et les démentis servaient, sans doute, à éviter d’écorner l’image d’une armée alliée malmenée par ses défaites face à au groupe jihadiste.

 

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