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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

21/07/2015 Armée de Terre

 

Depuis juillet 2015, la force SANGARIS intervient en appui de la MINUSCA* dans le cadre de l’intervention des nations unies en Centrafrique. Leur mission : stabiliser le pays.

 

Suite à cette réorganisation du dispositif, la force SANGARIS s’organise autour d’un groupe tactique interarmes (GTIA) unique, le GTIA Centurion. Au total, plus de 900 soldats français sont déployés dans ce nouveau dispositif tandis que 10 000  hommes composent la MINUSCA.  Ainsi, la force MINUSCA et SANGARIS travaillent en parfaite coopération pour le maintien de la paix en Centrafrique.

 

*MINUSCA : Mission multidimensionnelle intégrée de stabilisation des Nations unies en Centrafrique.

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 16:30
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

17/07/2015 Sources : État-major des armées

 

Ils sont peu nombreux, mais ils sont indispensables. Sans eux, sans elle, les avions ne voleraient pas, les bateaux resteraient à quai et les véhicules terrestres dans les box. Ce sont les techniciens du Service des essences des armées (SEA), au service des aviateurs, des marins et des terriens de l'opération Chammal.

 

Ils sont une dizaine pour s'occuper des Rafale, des Mirage 2000, de l'Atlantique 2, des navires qui arrivent à quai ou des engins spécialisés au sol qui nécessitent l'intervention d'un avitailleur spécialiste. Leur chef, l'ingénieur principal Cyrille, gère ainsi un théâtre qui a la particularité de devoir prendre en compte trois milieux. "A chaque opex ses spécificités, déclare-t-il, ici nous avitaillons le ciel, la terre et la mer".

 

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photo EMA / Armée de l'Air

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 16:25
photo EMA / Armée de Terre

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08/07/2015 Sources : État-major des armées

 

La semaine du 22 au 28 juin 2015 a été particulièrement chargée pour le groupe régional d’intervention NEDEX (neutralisation, enlèvement et destruction d’explosif et « destruction » par explosif) des forces armées aux Antilles (FAA).

 

Les 22 et 23 juin 2015 tout d’abord, une opération interarmées s’est déroulée sur le site de la direction interarmées des réseaux d’infrastructure et des systèmes d’information de la défense (DIRISI) de Rivière Salée. La mission : démonter une antenne devenue obsolète qui menaçait de s’effondrer. Les contraintes : l’antenne se trouve sur un site marécageux interdisant l’utilisation de véhicules. La solution : une intervention en deux phases avec la mise à terre et le découpage du pylône par le GRIN (groupe régional d’intervention de neutralisation), puis un transport des tronçons de l’antenne par élingue grâce au concours de l’hélicoptère Alouette III de l’escadrille 22S déployé au sein des FAA vers une zone accessible. Pour mener à bien cette opération peu commune, la DIRISI (direction interarmées des réseaux d'infrastructure et des systèmes d'informations) de Fort-de-France a supervisé l’intervention et assuré la coordination sur place des équipes composées de personnel de la DIRISI, mais également du GRIN, de la 22S, du 33erégiment d’infanterie de Marine, du groupement de soutien de la base de Défense des Antilles, du centre médical interarmées, du détachement des fusiliers-marins et de l’État-major interarmées.

 

 

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 16:25
FAG : Raid des 7 bornes, fin d’une expédition inédite

 

21/07/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 17 juillet 2015, le commandant supérieur des forces armées en Guyane (FAG), le général de division aérienne Adam, et le colonel Walter, chef de corps du 3e régiment étranger d’infanterie (3e REI), ont accueilli à la base aérienne 367 de Matoury-Cayenne les participants  au raid des 7 bornes, patrouille opérationnelle et scientifique sans précédent le long de la frontière franco-brésilienne.

 

C’est devant les partenaires de l’expédition, Arianespace, le Centre nationale des études spatiales (CNES), l’agence spatiale européenne (ESA), la société Cofely-Endel ou encore le Museum national d’Histoire naturelle que le détachement, composé de 16 légionnaires, de deux scientifiques et accompagné de deux journalistes, est arrivé avec 48 heures d’avance.

Durant 40 jours de marche aux confins de la forêt équatoriale guyanaise, le long de la frontière franco-brésilienne, le détachement a parcouru près de 400 kilomètres, dans des conditions très difficiles. Au cours de cette expédition qui avait démarré le 2 juin 2015, l’expertise des légionnaires du 3e REI a permis aux deux scientifiques présents, monsieur Le Tourneau, géographe, et un ethnobotaniste du centre national de la recherche scientifique (CNRS), de réaliser des prélèvements et de collecter des données cartographiques précieuses dans la poursuite de leurs travaux. En effet, cette mission répondait à trois objectifs : vérifier le tracé exact de la frontière, entretenir les bornes qui en symbolisent la délimitation, mais aussi contrôler et collecter du renseignement dans une zone particulièrement empruntée par les orpailleurs illégaux. En outre, la mission comportait également un objectif scientifique d’actualisation des connaissances sur cet espace isolé.

 

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 16:20
photo Armée de Terre

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20/07/2015 Armée de Terre

 

Le 10 juillet 2015, le général d’armée Jean-Pierre Bosser, chef d’état-major de l’armée de Terre (CEMAT), a reçu aux invalides son homologue américain de l’United States Army, le général d’armée Raymond T. Odierno.

 

Cette visite a permis de signer un protocole de « vision stratégique » ayant pour but de faciliter l’interopérabilité entre les deux armées de Terre. Cette étroite collaboration revêt une importance particulière, puisque les deux armées sont confrontées aux mêmes menaces dans différents endroits du monde. Explications en images.

 

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 15:55
Carte des opérations extérieures (màj 16 Juillet 2015)

16.07.2015 sources EMA

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 15:50
photo Armée de l'Air

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24/07/2015 Armée de l'air

 

Le meeting aérien du Royal International Air Tattoo s’est déroulé du 16 au 18 juillet 2015 sur la base aérienne britannique de Fairford. À cette occasion, le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA), a pu rencontrer entre autres ses homologues britannique et américain.

 

Ce meeting aérien international attire près de 150 000 visiteurs et rassemble une centaine d’appareils. Lors de sa visite, le CEMAA, qui occupera le poste de Supreme Allied Commander for Transformation (Commandant suprême allié transformation – SACT) à compter du 30 septembre prochain, a pu rencontrer de nombreux industriels mais aussi plusieurs de ses homologues.

Ainsi, les chefs d’état-major des armées de l’air française, américaine et britanique se sont réunis afin de signer une charte trilatérale, qui scelle leur vision stratégique commune.

 

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photo Armée de l'Air

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 15:45
Barkhane: L’A400M Atlas se pose à Niamey

 

24/07/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 21 juillet 2015, le Détachement Air (DETAIR) de Niamey a accueilli un A400M Atlas en provenance de la base aérienne 123 d’Orléans. À son bord, du fret et du matériel au profit de l’opération Barkhane, immédiatement déchargés par le personnel du détachement de transit interarmées aérien (DETIA).

Ayant pour mission le ravitaillement technique, l’A400M est le dernier né de l’aviation militaire française. Ce nouvel appareil a été engagé au service des opérations extérieures peu de temps après sa livraison à l’armée de l’Air.

 

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 12:55
Le Général Henri Gouraud inspecte ses troupes françaises à Maysaloun (1920)

Le Général Henri Gouraud inspecte ses troupes françaises à Maysaloun (1920)


24.07.2015 source SHD
 

24 juillet 1534 : Jacques Cartier prend possession du Canada au nom du roi de France (Gaspé – actuel Québec). Financé par François Ier, le voyage de Cartier dure 20 jours à l’aller (mai) et 21 jours au retour (septembre).

 

24 juillet 1920 : bataille de Khan Mayssaloun (actuelle Syrie). Le général Gouraud bat le général Al Azmeh qui par ses velléités d’indépendance et de panarabisme remet en cause l’accord passé entre Clemenceau et Faycal (6 janvier  1920) sur le mandat français au Liban et en Syrie.  A l’issue de la bataille, les troupes françaises entrent dans Damas.

 

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 12:45
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre


24 juil. 2015 par Armée de Terre

 

Au rythme de la montée en puissance de la MINUSCA*, la force SANGARIS continue son remaniement, notamment en resserrant son dispositif sur la capitale centrafricaine.
Le défi logistique représente une tâche conséquente : il faut réduire les effectifs tout en gardant une capacité de réaction rapide. Pour cause, la force française est passée de 1 700 à 900 soldats engagés sur le territoire centrafricain. Explications en images.

*MINUSCA : Mission multidimensionnelle intégrée de stabilisation des Nations unies en Centrafrique.

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 11:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

23/07/2015 Armée de l'air

 

Le 16 juillet 2015, 91 parachutistes se sont élancés depuis la tranche arrière de l’A400M Atlas : une grande première pour les forces armées.

 

Après plusieurs mois d’études menées par le centre d’expériences aériennes militaires (CEAM) et la section technique de l’armée de terre (STAT), la capacité tactique de l’Atlas se concrétise. Parachutistes d’essai, commandos parachutistes du CPA 10, personnels de la délégation générale de l’armement (DGA) ou de l’armée de terre, ont embarqué à bord du dernier A400M reçu par l’armée de l’air, le MSN 19, depuis la base aérienne 123 d’Orléans-Bricy.

 

Après des répétitions effectuées la veille, 91 parachutistes ont donc décollé pour le premier largage de personnel depuis la rampe du nouvel appareil, à 4 000 mètres d’altitude. Trois vols d’expérimentation ont été requis pour valider les procédures mises en place par Airbus et définir les adaptations nécessaires aux forces armées.

« Nous sommes satisfaits d’avoir pu évaluer et expérimenter l’Atlas dans ses premières capacités tactiques et militaires, confie le capitaine Guillaume, officier rapporteur de l’équipe de marque avions de transport tactique. Nous commençons à développer le largage de manière concrète sur cet aéronef qui révolutionne notre mode opératoire. Ses capacités techniques nous permettent en effet de mener des opérations d’aérolargage depuis la métropole sur des théâtres éloignés ».

 

Les prochains vols se poursuivront par des largages « portes latérales » afin de livrer aux forces une capacité complète de mise à terre de parachutistes, conformément aux objectifs fixés par l’état-major de l’armée de l’air.

photo Armée de l'Airphoto Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 10:51
Leclerc-VBCI (Nexter- photo G. Belan) - LEOPARD 2 A5 (KMW)

Leclerc-VBCI (Nexter- photo G. Belan) - LEOPARD 2 A5 (KMW)

 

24/07/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

La signature du rapprochement entre les deux entreprises d'armements terrestres Krauss-Maffei Wegmann et Nexter sera annoncée la semaine prochaine, vraisemblablement le 29 juillet.

 

La signature du rapprochement entre les deux entreprises d'armements terrestres Krauss-Maffei Wegmann et Nexter sera annoncée la semaine prochaine, vraisemblablement le 29 juillet, selon des sources concordantes. C'est la fin d'une très longue négociation entre les actionnaires des deux groupes. Il restera dans les prochaines semaines aux deux parties à organiser le closing (réalisation effective de la transaction), qui dépendra de la levée des clauses suspensives de cette opération, notamment de la publication de la loi Macron, du décret de privatisation de Nexter et de l'avis de la l'autorité de la concurrence allemande.

Attendue le 13 juillet, l'annonce de cette signature a légèrement dérivé en raison du travail de relecture par les actionnaires, les entreprises et leurs avocats des contrats traduits en français, en allemand et en néerlandais - la future société sera de droit néerlandais -, puis de trouver une date commune dans les agendas des responsables politiques conviés, les deux ministres de la Défense, Ursula Gertrud von der Leyen et Jean-Yves Le Drian, et peut-être des ministres de l'Economie, Sigmar Gabriel et Emmanuel Macron.

 

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 07:55
photo ECPAD

photo ECPAD

 

18/07/2015 Par Elise Lambert - francetvinfo.fr

 

Les attaques terroristes visant les militaires se sont multipliées. Lundi, un projet d'attentat contre le fort Béar a été déjoué.

 

"Tu tues mes frères, je te tue", avait lancé Mohamed Merah près du corps sans vie du soldat Imad Ibn Ziatem en 2012 avant de s'enfuir sur son scooter, caméra sanglée sur le thorax, l'arme encore chaude à la main. Quelques mois plus tard en octobre 2012, c'est un coup de filet au cœur de la cellule islamiste de Cannes-Torcy sur la Côte d'Azur qui permet d'éviter un attentat à la bombe chez des militaires. Début 2015, à Nice, Moussa Coulibaly attaque au couteau trois militaires en faction devant un centre communautaire juif.

Depuis quelques années, les actions islamistes visant les militaires se sont multipliées : à chaque fois, les auteurs de ces attaques revendiquent leur haine de l'armée et de la police. Le dernier événement en date étant l'attentat déjoué contre le fort Béar, lundi 13 juillet. Pourquoi les jihadistes s'en prennent-ils aux militaires ? Francetv info a posé la question à plusieurs spécialistes des questions de défense et de terrorisme. 

 

 

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 07:55
La Lettre de l'IRSEM


22/07/2015 IRSEM

 

La Lettre de l'IRSEM est une lettre d'information. Chaque mois, chercheurs résidents et invités y présentent un dossier stratégique, des chroniques et points d'actualité.
Vous trouverez dans cette rubrique les liens vers les numéros de chaque collection annuelle.

La Lettre de l'IRSEM n°4 - 2015

Dossier stratégique :
"La conflictualité et la stabilité internationale face aux facteurs économiques" par Océane ZUBELDIA

 

La lettre de l'IRSEM n°3 - 2015
Dossier stratégique : "La Russie et l’Ukraine, un an après l’annexion de la Crimée" dirigé par Céline MARANGÉ

La lettre de l'IRSEM n°2 - 2015
Dossier stratégique : "La diplomatie proactive des pays du Conseil de Coopéra-tion du Golfe au Moyen-Orient" sous la direction de Fatiha DAZI-HÉNI

La lettre de l'IRSEM n°1 - 2015
Dossier stratégique : "Risques et défis internationaux"

 

 

Afin de recevoir par mail notre newsletter mensuelle, la Lettre de l'IRSEM, merci de préciser vos noms, prénoms, grade, fonction, organisme, et adresse mail, à partir du lien ci-dessous :

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 07:45
Barkhane : 1 an d'opérations

 

10/07/2015 Sources : Etat-major des armées

 

L’opération Barkhane a été lancée le 1er août 2014. Elle répond à une triple logique :

- une logique de partenariat avec les pays du « G5 Sahel », cadre institutionnel qui regroupe depuis le mois de février 2014 la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, le Niger et le Tchad. Ces pays ont décidé d’apporter une réponse régionale et coordonnée aux défis sécuritaires, ainsi qu’aux menaces que font peser sur eux les groupes armés terroristes (GAT) ;

- une logique de soutien à la MINUSMA, encadrée par la résolution 21001 du Conseil de sécurité des Nations Unies qui « autorise l’armée française dans la limite de ses capacités et dans ses zones de déploiement, à user de tous moyens nécessaires, à partir du commencement des activités de la MINUSMA jusqu’à la fin du mandat autorisé par la présente résolution, d’intervenir en soutien d’éléments de la Mission en cas de danger grave et imminent à la demande du Secrétaire général (…) » ;

- une logique de réponse adaptée à une menace transfrontalière.

 

Dossier de presse Barkhane (format pdf, 2 MB).

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 07:30
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

21.07.2015 par Marine Nationale
 

Le 17 juillet 2015, les avions de l'opération Chammal ont franchi le cap des 1000 missions aériennes. Dix mois plus tôt, le 19 septembre 2014, une patrouille de Rafale, un C135 FR et un  Atlantique 2 réalisaient les premières missions aériennes ide l'opération Chammal, sur ordre du président de la République, marquant ainsi le lancement de l’opération.

Deux missions aériennes se sont succédé le 17 juillet 2015: une patrouille de Mirage 2000D, stationnée sur la Base aérienne projetée de Jordanie, et un avion de patrouille maritime Atlantique 2 (ATL2), au départ de son terrain de stationnement dans le golfe arabo-persique. Les appareils ont décollé respectivement à 19h et peu avant 22h, heure de Paris. La patrouille de M2000 a effectué une mission de reconnaissance armée au-dessus de la région de Mossoul pour une durée de 4h45, dont 3 heures sur zone.

L'Atlantique 2 a réalisé une mission ISR (intelligence, surveillance et reconnaissance) de renseignement dans la profondeur, au-dessus de la zone de l'Anbar, qui a duré 11h30, dont 6 heures sur zone. Il s’agissait de la 354e mission pour le Mirage 2000D et de la 87ème mission pour l'ATL2. C’est ainsi l'avion de patrouille maritime Atlantique 2 qui a effectué la 1000e mission aérienne d'un avion français dans le cadre de l'opération Chammal.

Le 19 septembre 2014, la France, avec l'opération Chammal, affirmait sa participation à l'opération Inherent Resolve, rejoignant une coalition qui à l'époque était constitué d'une petite vingtaine de pays. L’opération Chammal disposait de: trois puis six Rafale Air (A), un C135 FR et un Atlantique 2 de la Marine nationale, auxquels allaient s'ajouter en novembre 2014 un E3F i, trois puis six Mirage 2000D, projetés sur une base aérienne en Jordanie ii. Ce dispositif était renforcé par un groupe aéronaval composé de douze Rafale Marine (M), neuf  Super Étendard Modernisés (SEM) et un  E2C Hawkeye du 23 février au 18 avril 2015. Au plus fort de son engagement, la France comptait une quarantaine d'avions dans l’opération Chammal.

 

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23 juillet 2015 4 23 /07 /juillet /2015 22:30
Vue de la Fremm Tahya Misr  - photo DCNS

Vue de la Fremm Tahya Misr - photo DCNS


22.07.2015 par DCNS
 

DCNS salue le départ de France de la FREMM Tahya Misr de la Marine égyptienne pour son port base d’Alexandrie

 

Le 22 juillet 2015, la FREMM Tahya Misr de la Marine égyptienne a quitté la base navale de Brest pour son port base d’Alexandrie en Egypte. La  Marine égyptienne est ainsi la troisième marine à exploiter cet exceptionnel navire de combat de dernière génération. Avec la FREMM développée et réalisée par DCNS, la Marine égyptienne dispose du navire de premier rang le plus moderne du 21eme siècle.

 

Mercredi 22 juillet, la FREMM FFG-1001 Tahya Misr de la Marine égyptienne a quitté le port militaire de Brest pour rejoindre son port base à Alexandrie en Egypte, six mois après la signature du contrat entre DCNS et le Ministère de la défense de la République Arabe d'Egypte portant sur la fourniture d’une frégate multimissions FREMM.

 

DCNS a  engagé rapidement des travaux d’adaptation et d’aménagement nécessaires et la formation des marins à la prise en main du navire par la Marine égyptienne. Dès le mois de mars 2015, DCNS a ainsi formé les marins égyptiens composant l’équipage de cette frégate. Afin de conduire un navire aussi fortement automatisé en toute sécurité, DCNS et ses partenaires accompagnent l’équipage durant 15 mois. Le programme comporte plusieurs phases : des modules théoriques, de l’entraînement à terre sur des plateformes et des simulateurs, puis à bord que ce soit à quai ou en mer.

 

Le 23 juin dernier, la FREMM Tahya Misr a été transférée de DCNS vers la Marine égyptienne lors d’une cérémonie en présence des Ministres égyptien et français de la défense. Le 22 juillet, la FREMM égyptienne a appareillé de Brest, destination Alexandrie, son port base.

 

Le partenariat avec DCNS ne s’arrête pas pour autant avec le départ de France de la FREMM Tahya Misr : le contrat comprend également des prestations de soutien et le maintien en condition opérationnelle pendant les cinq prochaines années assurés en Egypte par DCNS.

 

Deuxième succès à l’international pour la FREMM

Navires les plus avancés technologiquement et les plus compétitifs du marché, les FREMM répondent aux besoins opérationnels de nombreuses marines grâce à leur polyvalence et à leur manœuvrabilité. Fort de la réussite inédite en Europe du tir de missile de croisière naval (MdCN) à bord de la FREMM Aquitaine le 19 mai 2015, DCNS propose à ses clients des navires de référence tant dans la conception, la construction que dans l’intégration de systèmes innovants.

 

De plus, l’actualisation de la Loi de Programmation Militaire va permettre à DCNS de continuer à développer sa gamme de navires et de services et accélérer son développement international. Avec le lancement du programme des frégates de taille intermédiaire (FTI), DCNS va proposer un produit qui répond au besoin de la Marine nationale et qui répondra à une demande internationale en croissance pour des frégates de premier rang et d'environ 4000 tonnes.

 

Actuellement, sur le marché des navires de surface, DCNS compte parmi ses clients la Marine royale du Maroc avec la livraison en janvier 2014 de la FREMM Mohammed VI et la Marine égyptienne avec la livraison de la FREMM Tahya Misr et de quatre corvettes Gowind. Par ailleurs, DCNS réalise six corvettes Gowind pour la Marine malaisienne. Ces contrats témoignent du succès remporté par les produits de DCNS à l’international.

 

Caractéristiques techniques des FREMM

Equipée de senseurs et d’armements de haute technologie intégrés au système de management de combat SETIS® développé par DCNS, la frégate peut faire face à tout type de menaces : aériennes, marines, sous-marines ou terrestres. Fortement armée, la FREMM met en œuvre les systèmes d’armes et équipements les plus performants, tels que le radar multifonction Herakles, les missiles Aster et Exocet MM 40 ou encore les torpilles MU 90. Innovantes, elles offrent une interopérabilité et un niveau de disponibilité inégalés.

•             Longueur hors tout : 142 mètres

•             Largeur : 20 mètres

•             Déplacement : 6 000 tonnes

•             Vitesse maximale : 27 nœuds

•             Mise en œuvre : 108 personnes (détachement hélicoptère inclus)

•             Capacité de logement : 145 hommes et femmes

•             Autonomie : 6 000 nautiques à 15 nœuds

 

A propos de DCNS

DCNS est un leader mondial du naval de défense et un innovateur dans l’énergie. Entreprise de haute technologie et d’envergure internationale, DCNS répond aux besoins de ses clients grâce à ses savoir-faire exceptionnels, ses moyens industriels uniques et sa capacité à monter des partenariats stratégiques innovants. Le Groupe conçoit, réalise et maintient en service des sous-marins et des navires de surface. Il fournit également des services pour les chantiers et bases navals. Enfin, le Groupe propose un large panel de solutions dans les énergies marines renouvelables. Attentif aux enjeux de responsabilité sociale d’entreprise, DCNS est adhérent au Pacte Mondial des Nations Unies. Le Groupe réalise un chiffre d’affaires de 3,1 milliards d’euros et compte 13130  collaborateurs (données 2014). www.dcnsgroup.com

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23 juillet 2015 4 23 /07 /juillet /2015 21:55
La loi renseignement jugée conforme à la Constitution


23.07.2015 LeFigaro.fr (avec Agences)

Le Conseil constitutionnel a rendu sa décision sur le projet de loi renseignement, un texte très critiqué par les défenseurs des libertés individuelles. Les Sages l'ont jugé conforme à la Constitution pour l'essentiel, a annoncé ce soir le Conseil constitutionnel qui avait été saisis par le président François Hollande en raison des nombreuses critiques et inquiétudes.

L’autorité a toutefois censuré deux articles et une disposition. Le premier article porte sur la procédure d'urgence opérationnelle qui "porte une atteinte manifestement disproportionnée au droit au respect de la vie privée et au secret des correspondances", estime le Conseil constitutionnel. Le second est un article du code de la sécurité intérieur relatif aux mesures de surveillance internationale au motif que "le législateur n'a pas déterminé les règles concernant les garanties fondamentales accordées au citoyen pour l'exercice des libertés publiques".

Les Sages ont cependant autorisé l’article très contesté qui autorise l’installation de boîtes noires sur Internet. 

Ce texte valide les pratiques des services de renseignement français, principalement dans la lutte contre le terrorisme. Préparé depuis plus d'un an, il avait été réactivée au lendemain des attentats de janvier en région parisienne.

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23 juillet 2015 4 23 /07 /juillet /2015 18:55
Tout savoir sur l’orientation de l’effort de recherche pour la défense

 

09/07/2015 DGA

 

La DGA vient de publier le premier document de présentation de l’orientation de la S&T, couvrant la période 2014-2019. Pour tout savoir en quelques pages sur cette démarche dont l’enjeu est de contribuer à ce que notre nation dispose, avec le niveau d’autonomie requis, des technologies nécessaires pour permettre à nos forces armées d’accomplir leurs missions.

 

Le document de présentation de l’orientation de la S&T pour la période 2014-2019 constitue une synthèse de la stratégie générale et des axes d’effort en matière de recherche technologique approuvés par le ministre de la défense. Sa vocation est d’informer, de nourrir le dialogue entre partenaires autour d’intérêts communs, de favoriser la coordination et de susciter les initiatives. Il est, dans ce cadre, principalement destiné aux acteurs publics et privés susceptibles de contribuer à la satisfaction des besoins français dans le domaine. Acteurs tels que les organismes de recherche, les sociétés, les pays partenaires, … Il sera actualisé en cas d’évolution substantielle de l’orientation et, dans tous les cas, au plus tard à chaque nouvelle loi de programmation.

 

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23 juillet 2015 4 23 /07 /juillet /2015 16:58
photo Dassault Aviation

photo Dassault Aviation

 

23.07.2015 par Michel Cabirol - LaTribune.fr
 

Le PDG de Dassault Aviation Eric Trappier estime que la préparation du futur est complètement délaissée, notamment par les armées. Il appelle à une mobilisation des industriels, des armées et de la DGA.

 

C'est un coup de gueule qui est passé inaperçu début juin. Un coup de gueule salutaire du président du comité défense du Conseil des industries de défense (CIDEF), Eric Trappier, également PDG de Dassault Aviation, qui juge que la préparation du futur dans la défense est actuellement complètement délaissée par le ministère de la Défense au profit du court terme, la loi de programmation militaire (LPM). Ce qui est, selon lui, "inquiétant" .

"Nos armées et l'ensemble de la profession de défense sont exclusivement mobilisés sur leurs tableurs Excel - c'est la LPM ! Je vois peu de penseurs préparer le futur, non que les militaires n'aient pas envie de s'y consacrer, mais leur préoccupation du jour est telle qu'elle en devient pour eux inhibante. C'est inquiétant", a-t-il expliqué début juin aux députés de la commission de la Défense.

Pour Eric Trappier, "un important travail de préparation reste à effectuer en même temps que les mentalités doivent changer, de façon à être capable de répondre à des questions comme celle de savoir, par exemple, si les avions de combat de demain devront aller dans l'espace". Pour lancer de nouveaux programmes, le PDG de Dassault Aviation préconise "de retrouver des méthodes de coopération pragmatique sur des besoins communs, qui permettraient, pourvu que les états-majors se soient consultés et aient élaboré des fiches-programmes ou des fiches de besoins opérationnels communs, de lancer des programmes européens".

 

Mobilisation des industriels, de la DGA et des états-majors

Pourquoi une telle inquiétude? Parce que pour Eric Trappier, il est important de préparer la guerre du futur à horizon 20 ans. "La DGA pense en termes de technologie mais quand on prépare l'avenir à vingt ans, on a besoin de confronter les savoir-faire technologiques, et il faudra bien discuter avec les états-majors pour savoir ce que sera la guerre de demain", estime-t-il. Il appelle donc à une "mobilisation des industriels, de la DGA et des états-majors". Notamment des armées. Elles doivent "s'intéresser au futur, quitte à détacher des personnels à cette fin. C'est fondamental si la France veut rester au bon niveau de développement des technologies et des produits".

Eric Trappier regrette par ailleurs que "la boucle entre état-major des armées, état-major de telle ou telle arme, DGA et industriels est un peu longue et la circulation lente, car on ne veut pas donner à ces derniers l'idée de lancer des programmes alors qu'il n'y a pas d'argent. Seulement, à suivre cette logique, on finit par ne plus rien lancer" au niveau national comme programme. Et ce en dépit du programme 144 du ministère de la Défense, "Environnement et prospective de la politique de défense", qui doit y contribuer.

 

Des retards dans les drones

Le PDG de Dassault Aviation rappelle que la France accuse "par exemple, du retard dans le domaine des drones dont la technologie a davantage été mise en valeur" par Israël et les États-Unis qui en ont très rapidement compris leur utilité. Pour Eric Trappier, "il faut donc rattraper notre retard en matière de drones de combat - c'est l'objet du démonstrateur Neuron mais il ne s'agit que d'un démonstrateur". Il constate une "première prise de conscience de ce que les technologies de demain peuvent apporter en matière de guerre aérienne".

C'est pour cela que Dassault Aviation et BAE Systems et d'autres industriels (Rolls Royce, Safran, Thales, Selex UK) sont en train de développer le programme franco-britannique FCAS-DP. Par ailleurs, la France, rappelle-t-il, se rapproche de l'Allemagne et de l'Italie pour ce qui est des drones de surveillance "afin de préparer, pour les années 2020, non pas un Reaper bis mais l'après-Reaper".

"Tâchons d'agir en ce sens au plan européen, à condition, de grâce ! Que cette Europe se montre pragmatique, contrairement à ce qu'elle fait aujourd'hui en annonçant des choses qu'elle ne fait pas - tout au moins en matière de défense. Que les États qui souhaitent coopérer élaborent une fiche programme commune, nous trouverons toujours les moyens, ensuite, nous industriels, de coopérer - même Dassault et Airbus le peuvent, c'est vous dire !

Dans le domaine de la patrouille militaire, le programme PATMAR 2030 "ne vise pas forcément à remplacer l'ATL2 mais à concevoir la patrouille maritime de demain". Et d'expliquer que la mission de surveillance peut "très certainement être accomplie par des drones qui tourneraient 24 heures sur 24" tandis que des avions d'armes interviendraient très rapidement pour traiter les menaces sous-marines ou de surface.

 

Pour un maintien de l'effort dans la R&T

Les industriels réaffirment "l'impérieuse nécessité du maintien de l'effort en matière de recherche et technologie (R&T), si l'on veut financer les programmes au-delà de 2019", souligne Eric Trappier. Et de rappeler que "la sanctuarisation du programme 144 (recherche amont, ndlr) est plus que jamais nécessaire".

"Les discussions en cours sur la création d'un éventuel dispositif de financement de la recherche de défense au niveau européen ne doivent pas faire oublier que nous sommes quasiment seuls en Europe à assumer un effort important en matière de défense. La remontée de l'effort budgétaire observée depuis 2014 chez certains de nos partenaires européens ne doit pas masquer le recul régulier des budgets d'investissement depuis près de dix ans. Il leur faudra des années avant de revenir à un niveau acceptable. Les sommes versées au fonds de la Commission européenne ne doivent pas être compensées par une baisse en France, sous peine d'avoir des soucis en matière de R&T".

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23 juillet 2015 4 23 /07 /juillet /2015 16:57
Crise de nerfs entre Thales et DCNS


22.07.2015 par Michel Cabirol - LaTribune.fr
 

Les relations actuelles sont tendues entre DCNS et Thales. Ils divergent sur la stratégie que doit suivre le groupe naval, dont le PDG Hervé Guillou va présenter jeudi matin sa vision de ce que sera DCNS dans quelques années.

 

Entre Thales et DCNS, ça chauffe, ça frotte mais la ligne rouge n'a pas été franchie. Le dernier comité stratégique du groupe naval qui s'est tenu il y a une dizaine de jours a étalé certaines divergences entre les deux groupes, notamment sur le développement de DCNS, et peut-être instauré un début de malaise entre les deux partenaires. Thales, qui détient 35% de DCNS, veut que le groupe naval redresse ses comptes à marche forcée.

Ce qui n'est pas tout à fait le cas pour la direction de DCNS, qui souhaite mixer mesures d'économies et de croissance. C'est le point dur entre les deux groupes même si Thales a in fine validé tous les axes de développement d'Hervé Guillou lors de ce comité stratégique. Le groupe naval doit présenter publiquement ce jeudi sa stratégie et son ambition.

 

Que veut faire Thales de DCNS?

Ce comité stratégique a laissé des traces en interne au sein du groupe naval. "Thales veut nous empêcher de nous développer", résume-t-on ainsi à La Tribune. Avec semble-t-il des arrière pensées chez les uns et chez les autres. Dans la tête d'Hervé Guillou, son groupe doit rester un systémier naval, c'est-à-dire garder le S de DCNS. "Nous continuerons à investir en toute bonne foi et en bonne intelligence avec Thales" dans ces domaines, avait d'ailleurs souligné le PDG de DCNS à La Tribune en juillet 2014. Pour lui, DCNS sera partenaire de Thales sur des sujets communs et concurrent sur d'autres dossiers.

Dans un interview accordée à La Tribune en juin, le PDG de Thales Patrice Caine a fixé les objectifs. "Nous essayons de poursuivre notre verticalisation industrielle avec DCNS pour avoir des produits plus compétitifs, dépenser moins en R&D, optimiser nos architectures réciproques entre un système de combat d'un côté et les autres sous-systèmes de l'autre, etc." Ce sera le cas sur le programme de frégates de taille intermédiaire (FTI). Thales veut "mettre en place une démarche d'ingénierie en plateau intégré, avoir des moyens d'ingénierie interopérables, voire intégrés", avait-il précisé.

 

L'Etat en arbitre

Lors de ce comité stratégique, l'État (62,48% du capital de DCNS) n'est pas intervenu dans la passe d'arme entre les deux groupes. Ce qui ne veut pas dire qu'il s'en lave les mains. S'il est bien conscient que DCNS doit redresser ses comptes, la manière dont s'y prend Thales, a toutefois surpris... voire même agacé. "Nous comprenons Thales mais il ne faut pas non plus qu'il exagère de trop avec DCNS", explique-t-on. Il est vrai aussi que DCNS a plombé les comptes de Thales en 2014.

Et le groupe électronique, qui poursuit son redressement sous la vigilance de son actionnaire Dassault Aviation, n'a pas vraiment apprécié... Vraiment pas. D'autant que selon nos informations, DCNS a terminé l'année dernière avec 1,2 milliard d'euros d'écart de coûts à terminaison sur les programmes. Soit au final 300 millions d'euros de pertes nettes. Chez Thales, on pointe du doigt la faillite du management précédent. "Il y a eu clairement un défaut de contrôle et de transparence dans la chaîne managériale par le passé", avait estimé Patrice Caine dans la Tribune.

 

Priorité de Thales : que DCNS redresse ses comptes

Pour Thales, avait rappelé Patrice Caine, "la priorité numéro une" de DCNS "c'est de rétablir la situation opérationnelle (...) .C'est d'abord et avant tout la responsabilité du management de DCNS". "Nous avons clairement réaffirmé cette volonté commune avec Hervé Guillou de continuer à améliorer la compétitivité de DCNS", avait-il expliqué. Et Thales est à bonne école avec Dassault Aviation. Interrogé lundi à Istres, le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier, encourage Thales à faire son travail d'actionnaire chez DCNS.

Selon Patrice Caine, "DCNS est en train de sortir de cette situation très périlleuse et nous savons où DCNS doit aller. La société devrait revenir à l'équilibre cette année. Les audits indépendants de l'année dernière ont montré que le groupe doit remettre certains fondamentaux en place, notamment dans le domaine de la gestion des programmes, dans la construction de devis réaliste, dans une exigence accrue de la tenue des coûts et des délais".

 

Apaiser les tensions entre Thales et DCNS

Pacifier les relations avec Thales, c'était l'un des défis d'Hervé Guillou. Il le sait et en connait le tarif. S'il est dans le fauteuil de Patrick Boissier, c'est parce que ce dernier a également mélangé les dossiers d'actionnariat et de coopération entre les deux groupes. Résultat, Patrick Boissier est aujourd'hui président du GICAN. "Hervé Guillou doit améliorer les relations entre les deux groupes", assurait-on déjà chez Thales en juillet 2014 à La Tribune. Du coup, les deux dossiers (actionnariat et coopérations) ont bel et bien été déconnectés dans l'esprit d'Hervé Guillou, qui croit beaucoup au dialogue avec Thales. Tout comme pour Patrice Caine. L'an dernier, il était lucide en disant que de temps en temps "cela n'empêchera pas d'avoir des problèmes". On y est aujourd'hui...

Dans cette interview accordée en juin à La Tribune, Patrice Caine avait estimé que "nos relations (avec DCNS, ndlr) se passent bien. Et nous avons retrouvé le chemin du dialogue". Bref que le passé était le passé. Alors simple montée d'adrénaline ou malaise persistant ? L'avenir le dira

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23 juillet 2015 4 23 /07 /juillet /2015 16:55
Parution de Trahison sanglante en Afghanistan d’Audrey Ferraro

 

18/07/2015 Armée de Terre

 

Pour son troisième ouvrage, la réserviste du CRR-Fr et ancienne d'active Audrey Ferraro a choisi de rendre hommage aux victimes du massacre des militaires français survenu le 20 janvier 2012 sur la base opérationnelle de Gwan en Kapisa, Afghanistan.

 

Le 20 janvier 2012, un déséquilibré enrôlé au sein de l'armée nationale afghane ouvre le feu sur des soldats français en plein entraînement sur la base opérationnelle de Gwan. Cinq d’entre eux trouveront la mort.

 

Audrey Ferraro a choisi de leur rendre hommage dans un essai mêlant témoignages et reconstitution historique. Riche d’une documentation variée, cet ouvrage s’impose comme un indispensable devoir de mémoire. Titulaire d’un master en histoire contemporaine, issue du quatrième bataillon de l'École Spéciale Militaire de Saint-Cyr Coëtquidan et plusieurs fois projetée en opérations extérieures (Kosovo à deux reprises, République de Côte d'Ivoire, Liban), Audrey Ferraro fait la lumière sur  un événement tragique que la loi de l’actualité a trop vite fait oublier.

 

Prix : 24,95€  /  452 pages / ISBN : 9782342038835  Les éditions Publibook

 

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23 juillet 2015 4 23 /07 /juillet /2015 16:55
 Retour sur la journée de l'aviateur 2015


10/07/2015 Marie Broyer - Armée de l'air

 

Mercredi 1er juillet s’est déroulée la 3édition de la journée de l’aviateur. Retour en images sur les activités organisées sur les bases aériennes en métropole. 

 

Depuis trois ans et à l’initiative du chef d’état-major de l’armée de l’air, le général Denis Mercier, les aviateurs célèbrent ensemble la naissance de l’armée de l’air. Une journée qui permet de renforcer les liens et l’identité des aviateurs.

Au programme : remise de poignards, exposition statique de matériels, parcours commando, démonstration dynamique (hélitreuillages, présentation en vol de Mirage 2000), mais aussi déjeuner champêtre et barbecue, ou encore activité aquatique, dont des baptêmes de plongée.

Dans le Sud Est, sur la base aérienne 126 de Solenzara, ce fut aussi l’occasion pour le personnel de participer au challenge « Coupe du Colonel », un triathlon remporté par l’escadron d’hélicoptères 1/44 « Solenzara ».

Retrouvez ici le diaporama de la journée de l’aviateur 2015 !

 

Initiative originale

La base aérienne 110 de Creil a proposé une idée pour le moins originale, intitulée «Vis ma spé !». Elle consistait, pour le personnel de la base, à intégrer une unité différente de la sienne l’espace d’une journée. Ces échanges ont permis de favoriser les relations entre les aviateurs d'unités différentes, et aussi de mieux appréhender les contraintes et les atouts des autres spécialités.

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23 juillet 2015 4 23 /07 /juillet /2015 16:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

23.07.2015 source SHD

 

23 juillet 1242 : bataille de Saintes (près d’Angoulême). Juste après la bataille de Taillebourg, le 21 juillet, le roi d’Angleterre Henri III se replie à Saintes. Victorieux à Taillebourg, Louis IX récidive à Saintes et oblige l’armée anglaise à fuir. En plus de démontrer le courage et les qualités guerrières du jeune Louis IX, les victoires de Taillebourg et Saintes annoncent la reprise en main des grands feudataires par le roi de France.

 

23 juillet 1952 : le colonel Nasser renverse Farouk 1er  (Egypte). A la tête du mouvement des « Officiers libres », Nasser renverse la monarchie égyptienne en profitant d’une période d’émeutes grandissantes sur fond de revendications populaires, religieuses et antibritanniques. Officier ayant bien combattu contre les Israéliens en 1948, il est un héros dans l’armée l’égyptienne et s’impose très vite comme seul dirigeant de l’Etat égyptien. Il s’éloigne progressivement de la tutelle britannique et finit par nationaliser la compagnie gérant le canal de Suez. Cela déclenche la crise internationale de Suez de 1956.

 

23 juillet 1970 : accord franco-allemand pour l’Alphajet. Les gouvernements français et allemand sélectionnent le projet des avionneurs Dassault-Breguet-Dornier. L’Alphajet équipe la patrouille de France et l’école de chasse (BA 705 – Tours) mais aussi plusieurs pays étrangers dans des versions combat.

 

23 juillet 1972 : début de la télédétection des ressources de la Terre (Etats-Unis). Le premier satellite voué à la télédétection des ressources terrestres est mis en orbite par la NASA. ERTS1 (rebaptisé plus tard Landsat1) est déjà équipé d’un scanner multi spectral. Il reste 5 ans en orbite. Depuis, 7 satellites ayant la même vocation ont été lancés par les Américains. La France dispose du programme SPOT (5 satellites depuis 1986).

 

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23 juillet 2015 4 23 /07 /juillet /2015 16:30
FREMM frigate Tahya Misr - photo DCNS.jpg

FREMM frigate Tahya Misr - photo DCNS.jpg

 

23 July 2015 by defenceWeb

 

The Egyptian Navy’s new FREMM frigate Tahya Misr has departed DCNS’ shipyard in Brest, France, for Alexandria in Egypt, where it will arrive on 2 August.

 

The vessel left France yesterday. It was originally handed over to the Egyptian Navy on 23 June and the following day sailed with Egyptian crew for training and sea trials. Training was carried out off the coast of Lorient, where the vessel was built, before sailing for Brest. A firing campaign using the ship’s 20 mm and 76 mm weapons was carried out off the coast of Brittany, reports Mer et Marine.

 

In addition to some hundred sailors on board, several dozen DCNS and Défense Conseil International (DCI) instructors are providing training at sea.

 

From March 2015, DCNS has been training the Egyptian crew. In order to operate such a highly-automated ship safely, DCNS and its partners accompany the crew for a period of 15 months, the company said. The programme is composed of several phases: theoretical modules, on-land training using platforms and simulators and then onboard training both at the quayside and at sea.

 

Tahya Misr will arrive in Egypt in time to mark the inauguration of the expansion of the Suez Canal on 6 August. The event will also see three Dassault Rafales fly over. These, the first of 24, arrived in Egypt in 21 July.

 

Tahya Misr was originally destined for the French Navy as the Normandie, but following Egypt’s urgent order for the vessel in February this year it was instead transferred to Egypt.

 

The multirole FREMM frigates have been designed for several roles, including anti-air, anti-ship and anti-submarine warfare. They feature Herakles multifunction radar, Aster surface-to-air missiles, MdCN cruise missiles, Exocet MM40 anti-ship missiles, MU90 torpedoes and an Otobreda 76 mm gun. Each vessel is 142 metres long, has a beam of 20 metres and displaces 6 000 tonnes.

 

Although there is accommodation for 145 personnel, the standard complement is 108 including the helicopter crew - the frigate has an aft helicopter hangar and deck able to accommodate medium helicopters. Egypt is believed to be seeking an NH90 maritime helicopter for the frigate.

 

The FREMM's hybrid CODLOG (COmbined Diesel eLectric Or Gas) power package combines electric motors for low-speed silent-mode propulsion and a gas turbine for high-speed mechanical propulsion, with a maximum speed in excess of 27 knots. This gives a range of 6 000 nm at 15 knots.

 

Egypt has also ordered four Gowind 2500 corvettes from DCNS, with metal being cut for the first vessel on 16 April with delivery scheduled for September 2017. The remaining three corvettes will be built from next year by Alexandria Shipyards in Egypt and will be delivered between September 2018 and July 2019, reports Security and Defence Arabia.

 

The publication notes that the four Gowinds will be armed with an Oto Melara 76/62 Super Rapid Multi Feeding gun; two Reutech 20 mm Super Rogue turrets; eight MBDA MM 40 Block 3 Exocet anti-ship missiles; 16 MBDA VL MICA missiles and four DCNS MU90 torpedoes.

 

Other upcoming additions to the Egyptian Navy fleet include six 35 metre Swiftship patrol boats, ordered in November 2014. The vessels have a range of 1 000 nautical miles, a normal speed of 30 knots and a complement of 12. They are powered by three engines rated at 2 450 hp. Armament options include a 30 mm MSI Defense Systems or Oto Melara gun, two .50 calibre machineguns and two 7.62 mm machineguns.

 

Swiftships plans to start the 35 m Patrol Boat construction programme late this year, according to Security and Defence Asia.

 

Between 2010 and 2014 Swiftships designed and built four 28 metre patrol craft for the Egyptian Navy, with two assembled in Egypt and the other two co-produced by Egypt and Swiftships. Egypt’s Coast Guard operates a smaller coastal patrol type, the 26 metre Swift Protector.

 

On 17 June the final two of four 63 metre Ambassador IV class vessels arrived in Egypt, with the first two being sent to Egypt in May 2014. Each of the craft carry an OTO Melara 76 mm super rapid gun, eight Harpoon block II missiles, Mk 49 Rolling Airframe Missiles, Block 1B Close-In Weapon Systems (CIWSs) and two M60 machineguns. Powered by three MTU diesels, they have a top speed of 41 knots and with a crew of 38 they can operate at sea for up to eight days.

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