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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 14:55
Démineurs de bombes artisanales

 

26 févr. 2015 Armée de Terre

 

Le laboratoire d’exploitation des engins explosifs improvisés regroupe des experts scientifiques militaires. Il a pour mission de détecter, analyser et désamorcer les bombes artisanales. Il pourra être projeté à l’étranger dès la fin de l’année 2015.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 13:35
Le missilier Rafael (Israël) va transférer ses technologies à Kalyani (Inde)

 

22.02.2015 Dan Rosh (Tel Aviv) – Israel Valley

 

Le géant israélien des missiles Rafael va transférer, au travers d’un accord de joint-venture, ses technologies en Inde. La firme partenaire des israéliens est Kalyani (12 000 employés). Rafael sera minoritaire dans la nouvelle société (49% des actions).

 

Rafael Advanced Defense Systems Ltd, connu sous le nom RAFAEL (acronyme hébraïque de «Autorité pour le développement de l’armement ») est l’autorité israélienne pour le développement d’armes et de technologie militaire. Rafael conçoit, développe, fabrique et distribue une large gamme de systèmes de défense de haute technologie pour les armées de l’Air, de Terre, la Marine ainsi que des applications spatiales. Plus de 9 % de son chiffre d’affaires est investi dans la Recherche et Développement. RAFAEL collabore avec différentes sociétés américaines (Lockheed Martin, Raytheon) et européennes (Thales, EADS, BAE) sur plusieurs projets de missiles, drones et systèmes d’armes.

 

Selon L’Express : “La société commune Rafael-Kalyani fabriquera (..) des systèmes d’armement et des solutions avancées de blindage pour les clients indiens et mondiaux de Rafael”, a dit B.N Kalyani, directeur opérationnel du groupe indien, à des journalistes.

 

L’Inde, premier importateur mondial d’équipement militaire, veut renouveler son matériel d’armement, dont une partie risque l’obsolescence. En ouverture de ce salon de la défense, M. Modi a assuré vouloir mettre fin à ce titre de premier acheteur mondial, voulant fabriquer 70% de son équipement sur son sol d’ici cinq ans.

 

Le ministre israélien de la Défense, Moshe Yaalon, qui a rencontré jeudi M. Modi, a dit vouloir travailler en coopération avec l’Inde dans la production et le développement de l’industrie militaire indienne. “Cette visite nous donne l’occasion d’améliorer et de renforcer notre relation”, a dit le ministre israélien lors d’une conférence.

 

“Nous coopérons de manière ouverte dans tous les domaines mais nous avons aussi trouvé le moyen de coopérer discrètement dans la sécurité”, a-t-il ajouté sans plus de précision. Le salon de Bangalore réunit des centaines de groupes de la défense et de l’aéronautique pendant cinq jours. Le premier contingent d’exposants est représenté par les Etats-Unis, avec 64 entreprises, suivi par la France, la Grande-Bretagne, la Russie et Israël".

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 13:30
Lockheed Martin : Aucune vente en vue pour le F-35 dans le Golfe, dit le Pentagone

 

22/02/2015 zonebourse.com (Reuters)

 

Les Etats-Unis ne prévoient à court terme aucune vente du chasseur F-35 à un pays du Golfe, les flottes en service permettant de faire face aux menaces auxquelles est confrontée la région, a déclaré dimanche le Pentagone.

 

"Je ne m'attends à aucune vente à court terme pour le F-35 dans la région", a dit Frank Kendall, secrétaire adjoint à la Défense américain en charge des acquisitions, de la technologie et de la logistique, à des journalistes à Abou Dhabi.

 

"Je crois qu'essayer de faire aboutir une vente serait un sujet très sensible, pour de nombreuses raisons", a-t-il ajouté.

 

Le F-35 Lightning II construit par le groupe Lockheed Martin , considéré comme un chasseur de "cinquième génération", est pratiquement invisible pour les radars ennemis.

 

Frank Kendall a estimé que les flottes actuelles du Golfe, comme les 80 F-16 "Block 60" des Emirats arabes unies, étaient en mesure de faire face aux menaces pesant sur la région.

 

Le français Dassault Aviation a conclu il y a quelques jours la vente de 24 chasseurs Rafale à l'Egypte, ce qui a conduit certaines sources du secteur à estimer que d'autres pays pourraient envisager de s'équiper du Rafale.

 

Une source proche du dossier a déclaré mardi à Reuters que les discussions sur la vente de 36 Rafale au Qatar étaient parvenues à un "stade final".

 

Les Emirats arabes unis, qui envisagent d'acheter 30 F-16 supplémentaires, étudient aussi l'Eurofighter Typhoon, construit par la Grande-Bretagne, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 12:55
Daher: un étranger à la famille investi de la mission de doubler le chiffre d'affaires

 

25 février 2015 dhnet.be (AFP)

 

Pour la première fois de son histoire vieille de 150 ans, le groupe aéronautique Daher sera dirigé d'ici deux ans par un cadre extérieur à la famille fondatrice, dont la mission sera de doubler le chiffre d'affaires de l'entreprise.

 

Société non cotée, Daher présente la particularité d'être à la fois un groupe industriel et un groupe de services (logistique). Le groupe estime que ce positionnement original explique une partie de ses succès récents.

 

"L'année 2014 a été une très bonne année", a déclaré mercredi son PDG Patrick Daher, dans un entretien à l'AFP. "Nous voulons devenir un des leaders" du secteur dans les années qui viennent en misant sur le rapprochement entre industrie et services, a-t-il ajouté.

 

"Aujourd'hui, nous réalisons un peu moins d'un milliard d'euros de chiffre d'affaires. Nous voulons au minimum doubler le chiffre d'affaires tout en devenant beaucoup plus international", avec des investissements à l'étranger, a poursuivi M. Daher sans donner d'échéance précise.

 

Le groupe mettra en oeuvre à partir de 2017 et jusqu'en 2022 son prochain plan stratégique.

 

Selon lui, Daher évolue dans un contexte où deux tendances de fond se dessinent: "la convergence industrie-services et l'avènement de l'usine du futur, intelligente et connectée". Or le groupe se juge très bien placé dans ces deux domaines.

 

Daher, qui réalise la majeure partie de son activité dans l'aéronautique, mais est également dans le secteur nucléaire et la logistique, a vu son chiffre d'affaires progresser de 9% en 2014 à 970 millions d'euros.

 

Il dispose d'un carnet de commandes de 3,3 milliards d'euros.

 

Le groupe est un important équipementier aéronautique, mais c'est aussi un constructeur d'avions à turbopropulseur, avec sa gamme TBM.

 

Son dernier né, le TBM 900 a vu ses ventes augmenter de 28% l'an dernier, année de son lancement, et vise une progression de 10% encore cette année. L'appareil détient une part de marché supérieure à 20%.

 

Pour servir ses ambitions, Daher va faire évoluer sa gouvernance.

 

Patrick Daher quittera ainsi ses fonctions de directeur général d'ici 2017 mais continuera à assurer celles de président. Il sera remplacé dans la gestion opérationnelle de l'entreprise par Didier Kayat, directeur général délégué depuis le 1er janvier.

 

Le groupe, vieux de 150 ans, a toujours été dirigé par un membre de la famille. Il est détenu à 80% par le concert familial et à 20% par la banque publique Bpifrance.

 

"Nous sommes convaincus que demain s'écrit aujourd'hui", a de son côté déclaré Didier Kayat.

 

Pour lui, "Daher a tous les atouts pour devenir un des grands équipementiers de l'aéronautique et des technologies avancées".

 

Le groupe veut en particulier renforcer sa présence aux Etats-Unis et en Amérique du Nord, ce qui passera par de la croissance organique mais aussi externe. A ce titre, il regarde les opportunités d'acquisition mais n'a "pas de cible identifiée", selon M. Kayat.

 

"Nous voulons devenir un acteur aussi visible aux Etats-Unis que l'on est en Europe", où Daher travaille pour des constructeurs aéronautiques comme Airbus ou Dassault Aviation, a-t-il indiqué.

 

Daher est actuellement en discussions avec Boeing et celles-ci "avancent pas mal". Il est déjà devenu partenaire de rang 1 de l'américain Gulfstream (General Dynamics) pour ses deux nouveaux jets d'affaires, les G500 et G600.

 

Pour accompagner ces évolutions, Daher a dévoilé une nouvelle identité de marque, une nouvelle signature ("Shaping Industrial Intelligence", qui peut se traduire par "Façonner l'intelligence industrielle") et un nouveau logo destinés à accompagner cette mutation.

 

Daher emploie environ 8.300 personnes, avec des implantation principalement en France. Il possède également des usines au Maroc et au Mexique.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 12:55
Thales poursuit (beaucoup trop ? ) lentement sa croissance

Première grande sortie médiatique de Patrice Caine lors de la présentation des résultats de 2014 (Crédits : Thales)

 

26/02/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Avec un chiffre d'affaires qui a progressé de 2% en 2014, Thales est encore loin des objectifs ambitieux de son ancien PDG Jean-Bernard Lévy. En outre, DCNS a plombé les résultats financiers du groupe d'électronique.

 

Pour le futur directeur général de Thales et futur ex-PDG, Patrice Caine, c'est le grand jour avec sa première grande sortie médiatique avec la présentation des résultats 2014 après le départ surprise cet automne de Jean-Bernard Lévy à la tête d'EDF. En même temps, en tant que numéro deux de Jean-Bernard Lévy, il a participé grandement à la réalisation de ces résultats qui sont plutôt corrects avec un chiffre d'affaires en légère hausse à 12,9 milliards d'euros (contre 12,698 milliards en 2013). Soit une progression de 2% (-1% à périmètre et change constants). Loin toutefois de la volonté affichée par son ancien PDG de trouver 10 milliards d'euros de chiffre d'affaires supplémentaires dans les dix prochaines années. Surtout au regard de la croissance de Safran. Sans une acquisition majeure, Thales ne devrait pas pouvoir remplir cet objectif.

"En 2014, Thales a réalisé une très bonne performance commerciale, avec des prises de commandes en progression sensible dans l'ensemble de nos secteurs d'activités. Hors impact de DCNS, la rentabilité du Groupe s'est de nouveau améliorée. Cette dynamique devrait se poursuivre en 2015, avec leretour à la croissance du chiffre d'affaires du Groupe et une hausse des résultats",  a expliqué Patrice Caine dans un  communiqué publié par le groupe.

Pour 2014, Thales affiche un EBIT (résultat opérationnel) de 985 millions d'euros, soit une marge de 7,6% du chiffre d'affaires contre 1,01 milliard un an plus tôt (8%). Cette baisse est intégralement imputable à la contribution fortement négative de DCNS (- 117 millions d'euros, contre une contribution positive de 40 millions en 2013) "en raison d'importants écarts négatifs sur plusieurs contrats, notamment dans le nucléaire civil ainsi que sur le programme de sous-marins Barracuda", a rappelé Thales dans un communiqué. Hors DCNS, l'EBIT atteint 1,1 milliard d'euros (8,5% du chiffre d'affaires), en progression de 13% par rapport à l'exercice précédent, "témoignant de la poursuite du déploiement des plans d'amélioration de la performance".

 

Des commandes en forte hausse

En revanche, la vraie bonne nouvelle vient des prises de commandes qui ont atteint en 2014 14,3 milliards d'euros, en progression de 11% par rapport à 2013 (+8% à périmètre et taux de change constants). Au 31 décembre 2014, le carnet de commandes consolidé se monte à 27,2 milliards d'euros (29,8 milliards d'euros fin 2013), soit plus de deux années de chiffre d'affaires. Le ratio des prises de commandes rapportées au chiffre d'affaires, le fameux "book-to-bill", s'est élevé à 1,11 à fin 2014.

Avec une croissance particulièrement marquée au Moyen-Orient, les prises de commandes dans les marchés émergents "continuent leur progression" (+7% par rapport à 2013), affirme Thales. Pourtant l'an dernier, elles ont atteint 4,2 milliards d'euros (contre 4,56 milliards en 2013), soit 30 % des prises de commandes totales. Depuis 2012, les prises de commandes dans les marchés émergents ont connu une croissance de plus de 40%.

Dix-neuf grandes commandes - celles qui sont surveillées comme le lait sur le feu - d'un montant unitaire supérieur à 100 millions ont été enregistrées sur l'année 2014, soit autant qu'en 2013. Notamment grâce à la filiale spatiale commune avec Finmeccanica (8 commandes supérieures à 100 millions). Enfin, les commandes de montant unitaire inférieur à 10 millions d'euros représentent un peu moins de la moitié des prises de commandes en valeur.

 

Des perspectives de croissance... modérée

En 2015, après une croissance de près de 20 % en deux ans, les prises de commandes devraient continuer de se maintenir à un niveau élevé, avec une nouvelle croissance attendue dans les marchés émergents. Notamment grâce à des contrats Rafale. La hausse continue des prises de commandes depuis deux ans devrait permettre au chiffre d'affaires de connaître une légère progression en 2015.

Cette évolution favorable, la poursuite des efforts d'amélioration de la compétitivité et le retour progressif à la profitabilité de DCNS devraient conduireThales à afficher un EBITen hausse d'environ 15% par rapport à 2014 (sur la base des taux de change actuels), pour atteindre 1,130 à 1,150 milliard d'euros.Sur le moyen terme, Thales confirme viser une croissance modérée de son chiffre d'affaires et une amélioration de son taux de marge d'EBIT,pour atteindre un taux de 9,5 à 10% à l'horizon 2017/2018.

Pour l'heure, le futur directeur général doit affronter une grogne sociale des salariés, qui demandent la levée de la "politique de modération salariale scandaleuse au regard de l'implication et des efforts plus que significatifs fournit par les salariés", estime la CGC Thales.

"Forte de ce constat, la CFE-CGC a demandé à rencontrer, le plus rapidement possible, M. Patrice Caine, le président du groupe, avec comme objectif de débloquer une situation qu'elle juge préjudiciable à tous, salariés et entreprise. A ce jour, les cinquante établissements du groupe Thales manifestent régulièrement leur mécontentement. La CFE-CGC ne comprendrait pas que la direction reste figée alors que la situation ne peut que se dégrader et s'ancrer durablement dans le conflit".

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 12:55
La priorité de la Marine nationale est de disposer de quatre frégates Fremm en 2016. (Photo : DCNS)

La priorité de la Marine nationale est de disposer de quatre frégates Fremm en 2016. (Photo : DCNS)

 

25/02/2015 LeMarin.fr

 

Alors qu'il doit prochainement recevoir une centaine de marins égyptiens afin d'assurer la prise en main de l'ex-Normandie dont la livraison à l'Égypte est espérée cet été, le site DCNS de Lorient s'attend à un pic de charge sur les parties coques dans les prochains mois.

 

En effet, le lancement de l'usinage courant avril de la corvette Gowind destinée à l'Égypte va de pair avec le recadencement du programme Fremm qui prévoit, d'ici la fin de l'année 2015, la livraison de la Provence à la Marine nationale, l'achèvement des essais en mer de la Languedoc et la mise à l'eau de l'Auvergne.

 

Piloté depuis décembre par Pierre Salmon, ancien directeur industriel de DCNS Indret, le site lorientais compte s'appuyer sur le renfort de salariés en provenance de Brest et de Cherbourg ainsi que de la sous-traitance par Piriou d'environ 20 % des éléments de coque de la corvette.

 

L'amiral Rogel, chef d'état-major de la Marine, a fait savoir que sa priorité était de disposer de quatre frégates Fremm en 2016 et de six en 2018.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 12:55
La FREMM Aquitaine (PHOTO DCNS)

La FREMM Aquitaine (PHOTO DCNS)

 

18 février 2015 Le Fauteuil de Colbert

 

L'entreprise DCNS aurait besoin d'ajouter une nouvelle corde à son arc car sa gamme ne serait pas complète sans une Frégate de Taille Intermédiaire (FTI) plus simple, notamment dans sa mise en oeuvre (sans les défis imposés par un équipage si réduit). Le besoin de l'entreprise prend le pas sur les besoins opérationnels de la Marine. La manoeuvre, maintes fois prêtées à Dassault Aviation, ne provoque aucune réaction épidermique. Le projet devrait, à bien des égards, être critiqué. Surtout, il ne semble pas judicieux de prendre sur le maigre budget équipements de la Royale à destination de la flotte de surface. En particulier s'il s'agit de lancer un navire "moins complexe" que la classe Aquitaine.

 

Suite de l’article

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 12:50
Startbahninstandsetzung durch Luftwaffenpioniere

 

26 févr. 2015 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 12/2014 14E32301

 

Der Instandhaltungstrupp der Luftwaffenpioniere repariert beschädigte Start- und Landebahnen - das Ganze auch in wenigen Stunden. Schlaglöcher oder große Krater - der Runway muss am Ende wieder funktionieren. Wir waren für euch bei einer Instandsetzungsübung dabei.

 

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 12:50
photo MIL.be

photo MIL.be

 

25 février 2015 lesoir.be

 

Le ministre de la Défense, Steven Vandeput, a exprimé mercredi le souhait que le budget de son département bénéficie à court terme d’une « stabilité » avant une hausse à terme vers la moyenne européenne, pour atteindre « vers 2030 », les 1,5 à 1,6 % du Produit intérieur brut (PIB).

 

Mais il a aussi exprimé « sa conviction » que la Belgique devrait rejoindre à terme la moyenne européenne en matière de dépenses militaires et tendre « vers 2030 » à dépenser de 1,5 à 1,6 % de son PIB vers 2030, l’échéance du « plan stratégique » qu’il prépare.

 

Steven Vandeput (N-VA) a aussi confirmé qu’il demanderait au gouvernement fédéral, lors du prochain contrôle budgétaire, à bénéficier d’« une partie » de la provision interdépartementale (une réserve de quelque 300 millions d’euros) pour « payer des investissements du passé » et obtenir des moyens pour entamer l’achat de nouvelles jeeps pour les unités para-commandos de la composante Terre et remplacer les antiques Iltis.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 12:45
photo Ambassade de France à Bangui

photo Ambassade de France à Bangui

 

26/02/2015 Sources : État-major des armées  

 

Lundi 23 février 2015, sur le camp de M’Poko, à Bangui en République centrafricaine, le général Bellot des Minières, commandant la force Sangaris, a inauguré le monument honorant la mémoire des militaires français morts dans ce pays.

 

En présence du représentant de l’ambassadeur de France M. Vuillaume, du général Hingray, chef d’état-major de la MINUSCA, du général Bacquet, commandant la mission EUFOR RCA et du colonel Jamin, attaché de Défense, la cérémonie rassemblait des troupes de chaque détachement français présent sur le théâtre afin de rendre hommage aux 15 militaires français morts en RCA depuis 1979.

 

Le commandant de Sangaris a souligné au cours de cette cérémonie « le dévouement, le courage et l’abnégation »dont ont fait preuve nos soldats morts au service de notre pays engagé au coté du peuple centrafricain depuis plus de trente ans. Ce 23 février marque également le premier anniversaire de la mort du caporal-chef Dolet, victime d’un accident dans la région de Bouar.

 

Le général Bellot des Minières a rappelé que le sacrifice des militaires français n’est pas vain, et que l’engagement de la France au côté des forces internationales et des forces centrafricaines permet un retour progressif de la Centrafrique vers la paix et l’aide à sortir peu à peu de la crise.

 

Engagée depuis 1979 en Centrafrique avec les opérations Barracuda, Almandin, Boali puis Sangaris, la France y a perdu 15 militaires. « C’est pour glorifier et perpétuer leur mémoire que ce monument a été érigé. Leurs noms passent à la postérité, soyons fiers de leur sacrifice ».

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

photos EMA / ECPADphotos EMA / ECPAD
photos EMA / ECPAD

photos EMA / ECPAD

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 12:45
Weaponised Seeker 400 at IDEX 2015 Picture Sam Basch - defenceWeb

Weaponised Seeker 400 at IDEX 2015 Picture Sam Basch - defenceWeb

 

24 February 2015 by defenceWeb

 

Denel Dynamics showed an armed version of its Seeker 400 Unmanned Aerial Vehicle (UAV) for the first time at the IDEX show currently underway in Abu Dhabi.

 

Sello Ntsihlele, UAV general manager of the company in the Denel Group specialising in UAVs and missiles, told the IDEX show daily that a final series of recent flight trials of the Seeker 400 system cleared it for production this year.

 

“The system is being offered in both a ‘clean’ ISR [Intelligence, Surveillance and Reconnaissance]-only and an armed reconnaissance version designated Snyper,” he said.

 

“The latest trials involved the full gamut of performance tests, including range and altitude, safety, endurance and functional payload. This brought us to the baseline as specified by the client, allowing us to head for production.”

 

The Seeker 400 is the latest and most advanced of Denel Dynamics’ UAV portfolio, with an operating altitude of 18 000ft, 16 hours endurance and a cruising speed of 150 km/h. With a payload capacity of 100 kg it can carry dual payloads comprising synthetic aperture radar, optronics turret and digital video system for different tactical missions.

 

The Seeker 400 builds on the heritage of the smaller Seeker 200, derived from the Seeker II, which had significant export success. Both versions are on display at IDEX.

 

“By aligning the design with international specifications for an armed surveillance UAV, we can offer Snyper with four Impi-S missiles. That still allows for a 40 kg payload, typically the Goshawk II HD from Airbus DS Optronics, although we are still optimising Snyper’s structure,” Ntsihlele told the IDEX daily publication.

 

The Impi-S is derived from the proven Denel Dynamics short-range (5 000 m) Ingwe and long-range (10 000 m) Mokopa anti-armour missiles.

 

According to Ntsihlele, potential international clients have indicated a preference for the existing Denel Dynamics forward tactical ground station, despite a smaller ground station being available for ease of transport. The tactical ground station typically more than doubles the line-of- sight range of the aircraft – up to 750 km in the case of Seeker 400.

 

The IDEX show daily, produced by IHS Jane’s, suggested that the South African Air Force has ordered the type. However, at the time of publication the SAAF had not responded to a request for comment on the possible UAV acquisition or whether 10 Squadron, which operated the Kentron Seeker RPV in the late 80s, will be re-activated.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 12:45
Technology boost essential for UN peacekeepers

 

24 February 2015 by defenceWeb/UN

 

Put high-tech to use for UN peacekeepingFrom the Democratic Republic of the Congo (DRC) to the Central African Republic (CAR), United Nations’ peacekeeping missions must make greater use of technological advances in order to better confront the dynamic challenges of the 21st century, according to a group of UN experts.

 

The findings of the five-member Expert Panel on Technology and Innovation, led by peace and security expert Jane Holl Lute and published in a report released earlier this month, include practical recommendations that call on the UN Departments of Peacekeeping Operations and Field Support to keep pace with innovation and take full advantage of readily available and existing technologies essential to success in the field.

 

“Every peacekeeping mission in the field ought to have at least the same level of technology Member State militaries and polices now consider operationally imperative – whether it’s command and control, communications, mobility, shelter, the provisioning of essential supplies,” Lute said.

 

“All of these things which are now standard in the operation of many organisations around the world need to be brought to peacekeeping.”

 

Scattered across vast countries and forbidding territories, UN peacekeeping missions frequently encounter challenges in executing their mandates. Over the past year, however, the UN has ramped up its use of technology in the field in order to assist its missions with monitoring efforts.

 

In the DRC, where unwieldy terrain, dense forests and vast distances can debilitate response time to an emergency, the introduction of unmanned aerial vehicles (UAVs) had an immediate impact. In one instance last year, a UAV detected a ferry accident in Lake Kivu, in the country’s east, instantly prompting the UN peacekeeping mission in the country to dispatch its speedboats and helicopters to the scene. The blue helmets quick response led to the rescue of 15 people.

 

UAVs are “a good example of one technology of which a lot of organisations around the world are making increasing use. We think this is a capability missions ought to be able to take greater advantage of.”

 

“The ability to visualise your operating area of responsibility from the air is an essential capability for every mission, really with only a few exceptions,” she added.

 

The panel’s findings were based on several field visits and interviews with Member States, partner organisations and partner organisations with similar field operations.

 

Along with the critical upgrade of field technology, UN blue helmets are also aiming to “go green” through the responsible use of limited resources, in a bid to leave mission areas in better shape than when they arrived. Among other steps, GIS data is being used to help find water sources for missions so as not to compete with the local water supply.

 

Missions are also including waste water treatment plants designed to drastically reduce the need for water and generation of disposable waste, as well as exploring alternative sources of energy such as solar panels.

 

Nonetheless, while technology moves quickly, the UN’s procurement systems may sometimes cause unexpected and unwanted delays for the introduction of critical technologies into the field.

 

“The UN needs to construct the kinds of support systems necessary to facilitate greater use of technology so we need procurement systems that can identify and acquire capabilities in not more than 18 months because longer than that technology has already changed and moved on,” Lute said.

 

In a separate note to UN correspondents the lead expert admitted that as UN peacekeeping missions continue to face down “rapidly evolving and complex environments,” the Organisation’s blue helmets would be increasingly pressured to transition to a culture that values innovation.

 

“UN peacekeeping must be ready to respond to a vast array of challenges. No advantage should be withheld from those working for peace,” she said.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 12:35
Stalled SR-SAM: Parrikar Briefed Twice In A Month

 

February 21, 2015 by Shiv Aroor - Livefist

 

European missile house MBDA is making a strong effort at the highest levels to give the comatose long-proposed joint Indo-French SR-SAM development programme new life. Top MBDA executives sought time with Defence Minister Manohar Parrikar, meeting him twice in the last one month, to brief him about the SR-SAM (proposed to be called 'Maitri'). Sources say Parrikar heard out the MBDA executives but made no commitment, only saying that the representation would be looked into.

 

 

To be sure, it's a tricky situation for MBDA. The SR-SAM programme was all but sunk last year when the Indian Air Force said the Indian Akash SAM it deployed was sufficient for the short range air defence role, and that it didn't feel the need for a separate SR-SAM. The Akash SAM being a DRDO success means the latter is now perceived to have little or no incentive to partner with MBDA on the SR-SAM, but simply to continue working on the Akash and extend its range and capabilities for an anticipated Mk.2 version that the IAF and Indian Army are reportedly keen on.

 

Anticipating that situation, MBDA opened discussions late last year with DRDO, offering that the proposed SR-SAM, could be, in effect the Akash Mk.2 in terms of capability. The Akash SAM in service sports a range of 25-km, while the proposed SR-SAM is intended to hit targets out to a maximum of 40-km. It isn't clear just yet what the DRDO will choose to do. At any rate, the success of the Akash programme, and a rare public show of satisfaction from the forces gives DRDO more options, though the time factor could be key in a decision going forward.

 

"The aim of this programme, one of several initiatives within the Indo-French strategic dialogue, was to contribute to the development of the Indian defence industry. This would enable India to set up automated production lines for seeker, sub-assembly and full missile production. Despite SR-SAM ticking all the boxes regarding ToT, timescale, capability and equally economics, a decision is still to be made," MBDA officials told me.

 

Other developments:

 

  • The Indian Army's $6 billion VSHORADS programme for 1,000 launchers and 6,000 missiles has just completed a final round of tests in Bengaluru and Dehradun for sighting systems and radar. MBDA's Mistral competes with the Saab RBS 70NG and KBM Igla-S. With field evaluations complete, the three companies have been notified of a meeting with the test team early next month at which point they will be informed about their performance.

 

photo Livefist

photo Livefist

  • MBDA has received an RfP from HAL to supply munitions for the Mistral ATAM system already integrated on the ALH Rudra helicopters being supplied to the Indian Army.
  • The company has also received an RfP on the integration of the Mistral ATAM system on the Light Combat Helicopter.
  • While there's been no word on the PARS 3 LR that's been field evaluated as an air-to-ground weapon for the Rudra against other systems, MBDA has opened preliminary discussions with the Army and DRDO on its new Missile de Moyenne Portée (or Medium Range Missile), successor to the Milan weapon system. The MMP was test-fired for the first time earlier this month.
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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 12:35
Vietnam-Malaisie : renforcement de la coopération dans la défense

Le ministre de la Défense Phung Quang Thang (D) et son homologue malaisien Dato’ Seri Hishammuddin Tun Husein (G). Photo VNA

 

25/02/2015 Vietnam+

 

Une haute délégation du ministère malaisien de la Défense, conduite par son ministre Dato’ Seri Hishammuddin Tun Husein, effectue à partir de ce mercredi 25 février une visite officielle de deux jours au Vietnam, sur invitation de son homologue vietnamien, le général Phung Quang Thanh.

 

Après la cérémonie d'accueil mercredi matin à Hanoi, le ministre vietnamien de la Défense Phung Quang Thanh a eu un entretien avec le ministre Dato’ Seri Hishammuddin Tun Husein.

 

Le premier a hautement apprécié la visite du second au Vietnam, contribuant à renforcer et consolider les relations d'amitié et la compréhension et la confiance mutuelle entre les deux peuples et les deux armées des deux pays.

 

Le ministre malaisien Dato’ Seri Hishammuddin Tun Husein a pour sa part affirmé que sa visite contribuerait à promouvoir davantage les relations d'amitié entre les deux parties.

 

Lors de l'entretien, les deux parties ont évalué les résultats de coopération bilatérale dans la défense ces derniers temps sur la base d'un mémorandum de coopération signé en 2008.

 

Les deux ministères continueront à dynamiser leurs relations de coopération dans tous les domaines, à commencer par l'échange de délégations, le sauvetage et le secours humanitaire, l'armée navale et la formation. -

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 12:30
Chinese S-300 (HongQi 9 [HQ-9]) launcher during China's 60th anniversary parade, 2009. photo Jian Kang

Chinese S-300 (HongQi 9 [HQ-9]) launcher during China's 60th anniversary parade, 2009. photo Jian Kang

 

25/02/2015 lorientlejour.com

 

"La Turquie s'efforce de conclure un meilleur accord, non seulement commercialement mais aussi politiquement".

 

La Turquie a relancé la controverse autour de l'appel d'offres lancé pour équiper son armée de missiles sol-air dernier-cri en agitant à nouveau la perspective d'une victoire de la Chine, à seule fin semble-t-il d'arracher des concessions des autres prétendants.

 

En 2013, le gouvernement islamo-conservateur turc a créé la surprise en annonçant avoir retenu pour ce contrat de 3 milliards d'euros la firme China Precision Machinery Export-Import Corporation (CPMIEC), de préférence à ses concurrents américains Raytheon et Lockheed Martin et le consortium franco-italien Eurosam.

 

Cette décision a provoqué la levée de boucliers des alliés de la Turquie au sein de l'Otan. Tous ont regretté l'absence de compatibilité du matériel chinois avec leurs propres systèmes et rappelé que CPMIEC faisait l'objet de sanctions de Washington pour avoir livré des armes à la Syrie et à l'Iran sous embargo. Sous pression, Ankara a donc été contraint de revoir sa position en repêchant les deux autres candidats, priés de reformuler leurs propositions. A en croire les confidences du président Recep Tayyip Erdogan, ce nouveau tour de piste semblait devoir bénéficier aux Européens. Mais une série de récentes déclarations et de confidences sont venues rebattre les cartes.

 

La semaine dernière, le ministre de la Défense Ismet Yilmaz a ainsi suggéré que les Chinois allaient l'emporter en indiquant, en réponse à la question d'un député, que le système retenu par les Turcs ne serait pas intégré au système de l'Alliance atlantique. Dans la foulée du ministre, les autorités turques ont insisté sur les mérites de l'offre chinoise, même si elles ont précisé qu'aucune décision n'avait encore été prise. "La Chine est un candidat sérieux et se trouve dans une position plus avantageuse que celle de ses concurrents", explique à l'AFP une source gouvernementale, "elle propose un prix inférieur de moitié et elle accepte de partager sa technologie".

 

"Dans la course"

 

Si certains ont rapidement conclu de ces sorties que les Turcs avaient fait leur choix, les analystes n'y ont vu qu'une péripétie des négociations en cours."Il est faux de présumer que la Turquie a choisi d'acheter ses missiles aux seuls Chinois. Les Américains et les Européens sont toujours dans la course", assure Sinan Ülgen, du Centre d'études économiques et de politique étrangère (Edam) d'Istanbul. "La Turquie s'efforce de conclure un meilleur accord, non seulement commercialement mais aussi politiquement", renchérit Nihat Ali Özcan, du centre d'études Tepav d'Ankara.

 

La presse proche du gouvernement a ainsi rapporté récemment que les autorités n'attribueraient pas le contrat avant le 24 avril, date de la commémoration du centième anniversaire du génocide arménien, afin de s'assurer des bonnes dispositions de Paris et Washington sur ce dossier sensible. "Un accord pourrait être signé avec la Chine si les gouvernements américain et français adoptent des positions pro-arméniennes", a écrit le quotidien Sabah.

 

Un projet de loi français, finalement annulé, pénalisant la négation du génocide arménien a suscité une sérieuse crise entre Paris et Ankara en 2012 et le président français François Hollande a déjà annoncé sa présence à Erevan le 24 avril. Les Turcs s'inquiètent également du dépôt au Congrès américain d'un texte reconnaissant le caractère de génocide aux massacres d'Arméniens par l'Empire ottoman pendant la Première guerre mondiale. Ankara réfute catégoriquement cette qualification.

 

L'Otan comme les pays en course se sont refusés à commenter l'état des discussions. "Chaque nation est libre de décider de l'origine de ses équipements militaires mais il est important que tous puissent fonctionner ensemble", a toutefois rappelé sous couvert de l'anonymat à l'AFP un responsable de l'Alliance atlantique.

 

Le porte-parole du président Erdogan, Ibrahim Kalin, semble avoir entendu ces inquiétudes et a affirmé lundi que son pays assurerait "l'intégration" de son futur système d'armes avec celui de l'Otan.

 

Même si la Turquie fait monter les enchères, donc, les experts restent persuadés qu'elle privilégiera au final les offres occidentales. "Comment pouvez-vous espérer que le système radar de l'Otan basé à Kurecik, dans l'est de la Turquie, puisse fonctionner à pleine capacité avec un système chinois ?", s'interroge Sinan Ülgen, "ce serait un paradoxe". "Européens et Américains font la course en tête, pas les Chinois", confirme M. Özcan.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 11:55
photo Ministère de la Défense

photo Ministère de la Défense

 

Le Monde

 

Jamais depuis la guerre d’Algérie, l’armée n’avait été aussi visible sur le territoire national. Dix mille militaires ont été déployés dans toute la France après les attaques terroristes du mois de janvier, soit autant que pour les opérations extérieures. Une situation qui risque de durer et qui pose la question d’un véritable engagement sur le sol français. Le Monde a accompagné le général Jean-Pierre Bosser, chef d’état-major de l’armée de terre, lors d’une série d’inspection de soldats déployés dans le cadre du plan Vigipirate.


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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 11:55
Le Foll sur les demandes de l’UE: économies partout, Défense sanctuarisée

 

26 février 2015 Liberation.fr (AFP)

 

Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement, a assuré jeudi que les économies supplémentaires réclamées à Paris par l’UE seraient faites «dans tous les secteurs», le budget de la Défense restant toutefois «sanctuarisé».

 

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 11:50
Londres va envoyer des soldats en Ukraine

 

24/02/2015 Par Le Figaro.fr (Reuters)

 

Londres va envoyer des soldats en Ukraine pour entraîner et conseiller l'armée ukrainienne, a annoncé le premier ministre britannique, David Cameron alors que le cessez-le-feu avec les séparatistes prorusses n'est toujours pas parfaitement respecté.

Interrogé par une commission parlementaire, le premier ministre britannique a ajouté que les pays occidentaux se doivent de tenir tête à Moscou en Ukraine sous peine de voir la Russie chercher par la suite à déstabiliser la Moldavie et les républiques baltes.

 

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 08:50
Armée suisse : là où le bas blesse

 

25.02.2015 par Sandro Arcioni - Gouvernance et Sécurité

 

«Nous ne savons pas ce que l’avenir nous réserve, personne ne sait ce qui se passera demain. Une chose est sûre toutefois: la tâche principale de notre armée de milice est de protéger le pays et sa population.»

Commandant de corps André Blattmann, chef de l’Armée

 

Quel visionnaire cet André Blattmann ! Franchement, personne n’aurait pu avoir une meilleure vision sur l’avenir…

Mais que peut-on faire alors d’André Blattmann à la tête de l’Armée suisse ?

DEVA, le « nouveau » plan de développement de l’Armée, est malheureusement une nouvelle catastrophe pour cette dernière, après la chute du Gripen et trop d’erreurs commises à ce jour ! DEVA, n’est pas un plan de développement pour notre Armée, mais un correctif, très en retard, de toutes les erreurs stratégiques et opérationnelles produites durant ces 20 dernières années.

Depuis la fin septembre, j’ai quitté la grande institution et donc, en ce début d’année, libéré de toute obligation et/ou réserve de parole. Je vais donc me permettre de revoir la copie de notre Armée. Fervent défenseur d’une défense nationale crédible, je vais en plusieurs étapes (diverses interventions sur mon blog durant ces prochaines semaines), porter une critique sévère sur l’institution, afin qu’elle puisse rapidement évoluer, changer et s’adapter aux nouvelles menaces sans pour autant toucher aux devoirs qui lui sont dévolus dans notre constitution.

 

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 08:50
All Change for the British Army Reserve

 

February 25, 2015 by Think Defence

 

The Chief of the General Staff, General Sir Nicholas Carter, recently gave a widely reported lecture at Chatham House. Many outlets concentrated on the 77th  Brigade aspects but I think one aspect that was under reported was his comments on the Army Reserve.

The full transcript and recording is here, but an extract on the Army Reserve, below;

I think the other thing we need to think hard about is reconstitution and regeneration. That seems to me entirely sensible, given the nature of the uncertain world in which we’re operating. I think it also plays to the importance of a word that I have not used for a long time: productivity. Given the nation’s circumstances, it’s important that we do deliver a productive outcome.

That’s why the Army Reserve is important to us.

We should be clear though about what it is there for. What we’ve done is to pair it with our regular force structure. We’ve done that because our regular force structure is slimmed down in certain parts of the Army and it will draw its resilience from the pairing relationship it has with the Army Reserve.

The point about the Army Reserve though is that the obligation if you join it is only for training, less some specialists. We are not going to use it regularly and routinely, as perhaps was suggested a couple of years ago. [emphasis added] Rather, it is there in the event of a national emergency. That means it’s much more straightforward, I think, for an individual to be a member of the Army Reserve. If you’re a reservist, what you have to do is to try and balance an equilateral triangle between the employer, your family and your own thoughts on life. If that becomes an isosceles, you won’t retain or recruit the reservist. So it’s important to keep that in balance, and that means that it is sensible to talk about the obligation being for training only, unless you can afford the time as an individual to deploy with your regular counterparts.

So it’s there for a national emergency.

The effect of us explaining it like that is beginning to have an impact out there in the countryside. The figures that were announced last week were positive in terms of the direction of travel.

But we do need to attend to the officer corps, and it is a fact that over the course of the last 15 years of campaigning, we’ve used the Army Reserve as a collection of individuals to back fill our regular gaps.

That has not been positive for the officer corps. A lot of work is going on at the moment to see how we can encourage reservist officers and how we can develop a career structure that is meaningful for them.

We have, importantly, reinvigorated the Army’s regular reserve. Many former soldiers in the audience will remember that they have a statutory liability when they leave regular service, for up to 10 years, to be available in the event of a national emergency. Of course again, coming back to the point about productivity, we put around 7,000 people back into society every year.

There’s a lot of skills in there which are important to keep a handle on.

I would encourage you to read the above again and then compare and contrast with the original Army 2020 publications, Future Reserves white paper from 2013 and SDSR 2010.

Despite General Carter saying as perhaps was suggested a couple of years ago, there was no ‘perhaps’ and it wasn’t a ‘suggestion’.

The Future Reserve paper was clear in where the reserves would sit;

The Reserves will complement the Regulars, working together within an integrated force, providing military capability in a different way from the past to deliver the range and scale of military forces and skills required. We need the Reserves’ contribution to national security to expand. By 2020 they will provide a greater proportion of the overall Defence effort relative to Regular Forces and we will use them differently.

We will use our Reserve Forces to provide military capability as a matter of routine, mobilising them when appropriate. The wide range of possible activities may include enduring campaigns (such as Afghanistan), resilience operations in the UK, contributions to capacity-building overseas and to support activity at home. In some cases a level of specialist capabilities will be held only in the Reserve Forces.

It is as different as Mr Chalk and Mr Cheese.

The challenge for regulars is to recognise and value the contribution of their reservist colleagues

Clearly a change of policy, heart and direction is being signposted here.

The Army Reserve is now (save for a few specialists) national emergencies only and the Regular Reserve seems to be back in fashion.

One cannot move for seeing an Army Reserve recruitment campaign, the Army is using pretty much every media channel to advertise the benefits of the Army Reserve to potential recruits but this About Turn seems to have slipped the attention of many.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 08:50
Photo Jorn Urbain - MIL.be

Photo Jorn Urbain - MIL.be

 

24/02/2015 Hubert Rubbens - MIL.be

 

 

Une équipe permanente belgo-néerlandaise s’est installée à Zeebruges pour gérer les entretiens des chasseurs de mines. Grâce à la mise en place de cette équipe, la qualité de l’entretien sera encore améliorée et la collaboration entre les deux marines en sera, dès lors, facilitée.

 

Depuis 1948, les marines belge et néerlandaise travaillent de concert, et de manière intensive, dans de nombreux domaines. Cette collaboration se concrétise, non seulement par l’entretien des navires des deux marines, des formations du personnel ou encore la construction de nouveaux navires, mais aussi par la planification et le suivi des exercices et opérations en mer du Nord et partout ailleurs dans le monde. Dans le cadre des entretiens de navires, il est vite apparu que les rotations fréquentes des équipes d’entretien et de support allaient à l’encontre de la qualité et de la continuité des travaux.  Il a donc été décidé de mettre une équipe d’entretien belgo-néerlandaise permanente  en place à Zeebruges afin de superviser l’entretien de tous les chasseurs de mines, tant belges que néerlandais.

 

L’équipe, qui sera composée de 11 Néerlandais et 7 Belges, se chargera  de la reprise du navire après sa période opérationnelle, du suivi de l’entretien, de l’état de préparation du matériel  et, in fine, de la remise du navire au nouvel équipage.

 

Composante Marine

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 08:40
Manœuvres militaires russes près des frontières avec l'Estonie et la Lettonie

 

25.02.2015 Le Monde.fr (AFP)

 

La Russie a lancé mercredi 25 février de vastes manœuvres militaires impliquant environ deux mille soldats dans la région de Pskov, frontalière de l'Estonie et de la Lettonie, pays membres de l'Union européenne.Les exercices, qui vont durer jusqu'à samedi, mettent en scène également cinq cents appareils militaires et prévoient le parachutage de mille cinq cents soldats faisant partie aux troupes aéroportées, a précisé Irina Krouglova, porte-parole du ministère russe de la défense. Les soldats auront notamment pour objectif d'envahir et de détruire l'aérodrome d'un ennemi imaginaire, selon la porte-parole.

 

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 08:30
Partnerships: IDEX 2015


25 févr. 2015 BAE Systems

 

BAE Systems distinguishes itself with its diversity of international partners. We can leverage our broad technological portfolio and wealth of experience to maximise customer benefits. Our heritage in the Middle East is particularly rich, and we look forward to honouring our history of collaboration in the region by providing local partners with cutting edge solutions well into the future.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 21:30
source War Is Boring

source War Is Boring

 

25.02.2015 by JASSEM AL SALAMI – War is Boring

 

Tehran plans to swarm U.S. ships with missiles and speedboats

 

Iran has carried out a massive attack on a mock version of an American Nimitz-class aircraft carrier. Tehran wanted everyone to know about it—state TV broadcasted the military exercise live. It’s a revealing look at Iranian naval assault tactics, involving several waves of ships backed by helicopters and shore-launched missiles. The timing isn’t a coincidence. The United States and Iran are deadlocked over a deal to curb Tehran’s nuclear program. The Iranians built the giant, 1:1-scale mock-up of the carrier on top of a barge almost one year ago. Photos released from Iranian news agencies on Feb. 25 now show it as a smoldering wreck. The missiles Iran fired at it are very real. But don’t panic. The exercise—known as Great Prophet 9—didn’t factor in American escort warships and warplanes responsible for defending real carriers. It was mostly just for show.

 

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 20:45
photo Nato

photo Nato


24 February 2015 By Neil Arun - BBC
 

Islamic State militants in Libya have vowed to attack Europe. Meanwhile, boatloads of migrants flee the collapsing state for European shores. Could the Mediterranean migration mask an influx of militants?

 

Italy and Egypt have warned that Islamic State (IS) militants could hide among thousands of migrants rescued by European patrols.

Both countries are troubled by the situation in Libya and have an interest in influencing it. However, neither has given any evidence to support its warnings.

The migrants are mostly from Syria and sub-Saharan Africa. The idea that they pose a threat evokes a vicious logic at odds with humanitarian imperatives: refugees bring conflict, as conflict breeds refugees.

What threat do the migrant boats pose? And what - if anything - can be done about it?

 

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