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30 juillet 2015 4 30 /07 /juillet /2015 07:40
Top 100 des entreprises d'armements

 

28.07.2015 fr.sputniknews.com

 

Le magazine américain Defense News a publié le Top 100 des entreprises d'armements et de matériels de guerre.

 

Sans surprise, les Etats-Unis restent hégémoniques sur le marché des armes, avec sept entreprises américaines parmi les dix premières du classement annuel présenté par Defense News.

 

Le géant des groupes de défense Lockheed Martin reste le premier vendeur d'armes de la planète, avec 40,128 milliards de dollars de chiffre d'affaires (dans l'armement). Boeing (29 mds USD) est deuxième et le groupe britannique BAE Systems est troisième (25,5 mds USD).

 

Sept sociétés russes figurent parmi les meilleures entreprises d'armements et de matériels de guerre au monde, selon le magazine américain.

 

Le meilleur producteur d'armes russe est Almaz-Anteï qui monte du 12e au 11e rang dans la nouvelle version du classement. Il a réalisé, en 2014, un chiffre d'affaires (dans l'armement) de 9,209 milliards de dollars.

 

Le Consortium aéronautique unifié (OAK) entre dans le Top 100 à la 14e place avec 6,244 mds USD de ventes d'armes, et le groupe Hélicoptères de Russie se situe au 23e rang (3,960 mds USD).

 

Le Consortium unifié de construction de moteurs (ODK) qui produit des propulseurs et moteurs pour l'aviation militaire et civile ainsi que pour les vaisseaux spatiaux progresse de 8 places pour se retrouver au 26e rang avec un chiffre d'affaires (dans l'armement) de 3,324 mds USD.

 

Le consortium russe Missiles tactiques (KTRV), qui fait aussi ses débuts dans le classement de Defense News, est 31e (2,812 mds USD) et le groupe de recherche et de production Uralvagonzavod est 52e (1,545 mds USD).

 

Le consortium RTI Sistemy, qui était 78e en 2014, se hisse à la 69e place avec 947,2 millions de dollars de ventes d'armes.

 

La France est représentée par cinq sociétés dont Thales (12e, 8,472 mds USD), Safran (20e, 4,081 mds USD), DCNS (21e, 4,074 mds USD), Nexter (57e, 1,392 md USD) et Dassault Aviation (58e, 1,332 md USD). Thales, qui occupait la 9e place en 2014, quitte de nouveau le Top 10.

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30 juillet 2015 4 30 /07 /juillet /2015 07:25
Tech leaders warn over 'killer robots'

 

July 28, 2015 Spacewar.com (AFP)

 

Paris - A group of leading tech leaders, including British scientist Stephen Hawking and Apple co-founder Steve Wozniak, on Tuesday issued a stern warning against the development of so-called killer robots.

 

Autonomous weapons, which use artificial intelligence to select targets without human intervention, have been described as "the third revolution in warfare, after gunpowder and nuclear arms," wrote around 1,000 top technology chiefs in an open letter.

 

"The key question for humanity today is whether to start a global AI (artificial intelligence) arms race or to prevent it from starting," they wrote.

 

"If any major military power pushes ahead with AI weapon development, a global arms race is virtually inevitable," the letter continued.

 

The idea of an automated killing machine -- made famous by Arnold Schwarzenegger's "Terminator" -- is moving swiftly from science fiction to reality, according to the scientists.

 

"The deployment of such systems is -- practically if not legally -- feasible within years, not decades," the letter said.

 

The scientists painted the Doomsday scenario of autonomous weapons falling into the hands of terrorists, dictators or warlords hoping to carry out ethnic cleansing.

 

"There are many ways in which AI can make battlefields safer for humans, especially civilians, without creating new tools for killing people," the letter concluded.

 

The letter was presented at the opening of the 2015 International Joint Conference on Artificial Intelligence in Buenos Aires.

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 15:55
photo Nexter Sytems / KMW

photo Nexter Sytems / KMW

 

28 juillet 2015 Liberation.fr (AFP)

 

Un an après le début des négociations, le fabricant public français d’armements terrestres Nexter et son homologue privé allemand KMW vont entériner leur rapprochement mercredi, donnant naissance à un nouveau leader européen de l’industrie de défense.

 

«L’Airbus du char d’assaut» verra bien le jour. L’accord définitif de fusion entre Nexter et KMW sera signé mercredi à 17H00 à Paris au ministère de la Défense, en présence du ministre français Jean-Yves Le Drian et du secrétaire d’Etat allemand Markus Grübel.

 

Les deux groupes ont convenu d’apporter chacun la totalité de leur capital à une holding basée aux Pays-Bas, qui sera détenue à parité par Giat Industries (contrôlé par l’Etat français) et par la famille Bode-Wegmann, propriétaire de KMW, ont expliqué à l’AFP deux sources proches du dossier.

 

Plusieurs «verrous administratifs» devront cependant être levés avant que cette holding puisse être créée, à commencer par la publication de la loi Macron, qui autorise la privatisation de Nexter, et du décret correspondant. L’opération devra aussi obtenir le feu vert des autorités de la concurrence de plusieurs pays.

 

Ces «conditions suspensives indépendantes des entreprises» devraient être levées dans un délai de 4 à 6 mois, estime une source, tandis que l’autre juge «faisable» un démarrage des activités de la holding au 1er janvier 2016.

 

Cette future entité, dont le nom n’a pas encore été choisi, permettra aux deux constructeurs de «mutualiser leurs forces commerciales» et d'«avoir rapidement un catalogue commun», en attendant de développer ensemble de nouveaux armements d’ici quelques années.

 

- «Pas de conséquence sur l’emploi» -

 

Les règles nationales d’exportation des armements resteront en vigueur pour les produits actuels. «Le régime d’exportation ne bougera pas», a confirmé à l’AFP le ministère allemand de l’Economie, précisant que «tout ce qui est développé et fabriqué dans des usines allemandes avec de la technologie allemande devra être soumis à autorisation» de Berlin.

 

La question est particulièrement sensible en Allemagne, où le premier parti d’opposition Die Linke estime que «le danger est énorme que maintenant encore plus de chars allemands soient livrés n’importe où (...) en faisant le détour par Paris», a affirmé à l’AFP le député Jan van Aken, porte-parole du parti de gauche radicale.

 

Du côté des écologistes, Die Grünen exige que l’accord ne puisse «en aucun cas permettre qu’encore plus d’armes allemandes ne prennent le chemin de pays qui piétinent les droits de l’Homme», a déclaré la députée Agnieszka Brugger.

 

En France aussi, les communistes, le Front national et une partie de la droite ont dénoncé durant le débat parlementaire sur la loi Macron un abandon de souveraineté, doublé de risques de suppressions d’emplois, dont s’étaient également inquiétés les syndicats.

 

Au contraire, le rapprochement de Nexter et KMW n’aura «pas de conséquence sur l’emploi», assurent les deux sources proches du dossier. Les deux groupes emploient environ 6.000 salariés au total, dont quelque 3.300 pour Nexter.

 

L’alliance des constructeurs des chars Leclerc et Leopard donnera naissance à «un champion européen» de l’armement terrestre, capable de rivaliser avec l’américain General Dynamics et le britannique BAE Systems, qualifié de «très américain» par une de ces sources.

 

Elle permettra aussi de pérenniser l’activité de Nexter, principal fournisseur de l’armée française, dont la dépendance à la commande publique posait un problème de viabilité. «L’objectif est d’avoir une société de taille suffisante pour être compétitive à l’export et pérenne sur le marché national», résume l’autre source.

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 12:56
photo Dassault Aviation

photo Dassault Aviation

 

28/07/15 bourse.lesechos.fr (Reuters)

 

La France compte engranger deux autres contrats à l'export pour le Rafale d'ici le début de l'année prochaine, en plus de la commande en cours de négociation avec l'Inde, a-t-on appris mardi de source proche du dossier.

 

La commande annoncée début avril par l'Inde, qui porte sur 36 unités de l'avion de combat de Dassault Aviation, devrait être assortie d'une option, a-t-on également déclaré de même source.

 

"Il devrait y avoir deux autres contrats à l'export pour le Rafale d'ici le début de l'année prochaine, en plus de l'Inde", a dit cette source. "Les discussions les plus avancées sont avec la Malaisie et les Emirats arabes unis".

 

Dassault Aviation n'a pas souhaité faire de commentaire.

 

La France discute de la vente de 16 Rafale avec la Malaisie, qui s'intéresse aussi au F18 de Boeing, au Gripen du suédois Saab et à l'Eurofighter, produit en coentreprise entre Airbus, Finmeccanica et BAE Systems.

 

Les discussions se poursuivent avec les Emirats arabes unis pour une transaction qui pourrait concerner jusqu'à 60 avions pour remplacer autant de Mirage 2000 de l'avionneur français.

 

Dassault Aviation a signé deux premiers contrats de 24 Rafale chacun cette année, le premier avec l'Egypte en février et le second avec le Qatar en mai.

 

L'Inde a annoncé de son côté début avril son intention d'acquérir 36 Rafale, en lieu et place d'un précédent contrat de 126 avions, dont 108 construits en Inde, issu d'un appel d'offres remporté par Dassault en janvier 2012.

 

Le PDG de l'avionneur Eric Trappier a réaffirmé en juillet qu'il attendait dans les prochains mois la signature du contrat de 36 Rafale avec l'Inde, qu'il considère comme une "première" tranche.

 

Dassault Aviation, qui a livré le 20 juillet à l'Egypte ses trois premiers Rafale jamais exportés, a décidé d'augmenter sa cadence de production, qui pourrait tripler à partir de 2018, afin de faire face à de nouvelles commandes hors de France.

 

L'avionneur tricolore a présenté le Rafale à l'Indonésie, qui aurait aussi examiné l'Eurofighter et le Gripen, ainsi que le Sukhoi Su-35 russe et le F-16 de Lockheed Martin.

 

Le Rafale a également été présenté au Koweït, mais ce dernier devrait annoncer prochainement une commande de 28 F-18 à Boeing pour plus de trois milliards de dollars, avait déclaré en mai à Reuters une autre source. (Cyril Altmeyer, avec Tim Hepher, édité par Marc Joanny)

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 12:55
Portrait d'un tireur d'élite

 

29/07/2015 Armée de Terre

 

Le soldat de 1re classe Lenny nous livre ses impressions sur son travail de tireur d'élite.

 

Le binôme tireurs d'élite (TE) est composé d'un tireur d'élite et d'un spotter qui peuvent se voir attribuer diverses missions allant du renseignement à la destruction de cibles. Ils agissent fréquemment au-delà des lignes adverses, dans la profondeur, et de manière autonome. Le tireur agit sur commande et doit être capable d'éliminer une cible à longue distance, si possible en un tir. Si vous voulez en savoir plus, rendez-vous demain pour le portrait du spotter.

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 12:45
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

28/07/2015 Sources : État-major des armées

 

Jeudi 23 juillet 2015, les militaires de l’opération Sangaris ont reçu la visite du ministre de la Défense alors qu’ils sont depuis peu réarticulés en un dispositif de force de réaction rapide.

 

Après avoir reçu les honneurs militaires à Bangui, la capitale, Jean-Yves Le Drian s’est déplacé à Sibut, pour y rencontrer des éléments du groupement tactique interarmes (GTIA) Centurion engagé en appui de la MINUSCA dans cette région. Il s’est ensuite entretenu avec la chef d’État de transition (CET), Catherine Samba Panza, à la Présidence.

 

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 12:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

28/07/2015 Sources : État-major des armées

 

Au cours de ces dernières semaines, les différentes sections de combat du groupement tactique interarmes (GTIA) des Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) ont suivi des instructions opérationnelles au Détachement d’intervention lagunaire (DIL).

 

Ces instructions permettent aux soldats des forces françaises d’être en mesure de prendre en compte  l’ensemble des missions conduites par voie lagunaire. Elles s’inscrivent dans le cadre de la montée en puissance des FFCI commandées par le colonel Billard qui a succédé au colonel Pinon le 24 juin 2015.

Le DIL est implanté au bord de la lagune d’Abidjan, à 10 kilomètres du camp de Port-Bouët, l’emprise principale des FFCI. Ce détachement a trois missions principales : renseigner la force par des patrouilles quotidiennes, assurer le transport ou la mise en place d’unités amies par voie lagunaire, et le cas échéant, participer à l’évacuation et au recueil des ressortissants.

 

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photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 12:30
Incirlik US Air Force Base - Turkey photo USAF

Incirlik US Air Force Base - Turkey photo USAF


29.07.2015 45e Nord.ca (AFP)
 

Alors que le Parlement turc se réunit en session d’urgence dans un climat de guerre pour débattre de la « guerre contre le terrorisme »,lLes autorités turques ont donné aux Américains le feu vert effectif à l’utilisation de la base aérienne d’Incirlik (sud) afin de mener des frappes en Syrie contre les combattants du groupe Etat islamique, a-t-on appris mercredi de source officielle turque.

 

Le décret gouvernemental « a été signé » et les Américains peuvent désormais se servir « à tout moment » de la base d’Incirlik dans le cadre de la coalition internationale antijihadiste, a déclaré à l’AFP une source du ministère des Affaires étrangères, quelques jours après l’approbation de principe d’Ankara.

Cet accord, qui a fait l’objet de longues tractations préalables, était ardemment souhaité par Washington, la base d’Incirlik occupant une position clé pour rapprocher les F-16 américains de leurs cibles jihadistes. Les avions de l’US Air force doivent actuellement décoller de bases plus éloignées, par exemple en Jordanie ou au Koweit.

Membre de l’Otan, la Turquie avait jusqu’à récemment refusé de participer aux opérations de la coalition contre l’EI, de peur de favoriser l’action des Kurdes de Syrie combattant sur le terrain les jihadistes à proximité de sa frontière.

Mais l’attentat survenu le 20 juillet à Suruç (sud), qui a fait 32 morts et attribué à l’EI, a changé la donne et contraint Ankara à effectuer un tournant stratégique.

 

Session d’urgence du Parlement dans un climat de guerre exacerbé par le pouvoir

Par ailleurs, le Parlement turc se réunissait mercredi en urgence pour débattre de la « guerre contre le terrorisme » engagée par le gouvernement de façon simultanée contre le groupe Etat islamique (EI) et les rebelles kurdes, qui suscite la suspicion de l’opposition sur les visées du président Recep Tayyip Erdogan.

Le gouvernement islamo-conservateur se présente devant les 550 députés à Ankara fort du « ferme soutien » exprimé la veille par l’OTAN à la Turquie, même si ses alliés ont estimé que le processus de paix avec la rébellion kurde ne devait pas être sacrifié sur l’autel d’une lutte tous azimuts contre le terrorisme.

Pour le parti de la justice et du développement (AKP) au pouvoir, cette session parlementaire serait propice à la signature d’une déclaration commune en faveur de la lutte contre le terrorisme, gage d’une sorte d' »union nationale » autour de M. Erdogan.

Mais certains élus de l’opposition accusent le président turc de mener une « stratégie de la tension » en vue d’élections législatives anticipées qui lui permettraient d’effacer les résultats décevants du scrutin du 7 juin, où l’AKP avait perdu la majorité absolue pour la première fois depuis 2002.

« Il est hors de question de reculer » face à la menace terroriste, a assuré mardi M. Erdogan avant un voyage officiel en Chine, en jugeant en outre « impossible » de poursuivre le processus de paix avec la guérilla kurde.

Des F-16 turcs ont mené de nouveaux raids dans la nuit de mardi à mercredi contre une demi-douzaine d’objectifs kurdes dans le nord de l’Irak ainsi que dans le sud-est de la Turquie.

Le Parlement se retrouve alors que se multiplient les attaques isolées contre des militaires, attribuées au Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), et les raids aériens de l’armée contre des positions de la rébellion.

Des enlèvements de policiers, certains en compagnie de leur famille, et des heurts entre forces de l’ordre et manifestants ont encore été signalés dans les dernières 24 heures dans plusieurs localités du sud-est du pays à majorité kurde, a indiqué mercredi l’agence officielle Anatolie.

Les arrestations de militants kurdes, d’extrême-gauche ou de sympathisants présumés de l’Etat islamique, se poursuivent également par dizaines chaque jour, selon la presse.

 

Problème pour les Occidentaux

La donne a totalement changé depuis l’attentat du 20 juillet à Suruç, à proximité de la fontière syrienne, qui a fait 32 morts parmi de jeunes militants de la cause kurde.

L’attaque a été attribuée aux jihadistes de l’EI, mais elle a entraîné une réplique immédiate du PKK contre les autorités turques, accusées d’avoir longtemps fermé les yeux ou même encouragé les activités des jihadistes.

Cet attentat a conduit l’armée turque à bombarder pour la première fois des positions de l’EI en Syrie, un engagement vivement salué par les Etats-Unis qui mènent la coalition internationale antijihadiste.

Mais, en Turquie, ce tournant stratégique a été largement occulté par la reprise simultanée des raids contre les bases arrières du PKK en Irak. La Turquie a aussi bombardé des positions de milices kurdes en Syrie, ce qui pose un problème de fond aux Occidentaux puisque ces combattants sont leur principal allié sur le terrain face à l’EI.

Depuis vendredi, l’aviation turque a bombardé quotidiennement des cibles du PKK. Aucun raid turc contre l’EI n’a toutefois été signalé ces derniers jours.

Considéré comme un des grands vainqueurs des dernières élections, le parti turc prokurde HDP est désormais clairement sur la défensive, estimant être la cible prioritaire de M. Erdogan. Avec 13% des voix et 80 députés, il est largement à l’origine de l’échec relatif de l’AKP.

« L’un des principaux objectifs des opérations en cours dans les airs, sur terre et dans les médias est de faire mal au HDP dans la perspective d’élections anticipées », a affirmé le chef de file du parti Selahattin Demirtas, sommé en vain par le pouvoir de condamner les dernières actions du PKK.

Cette crise se déroule alors que l’AKP mène des discussions avec le Parti républicain du peuple (CHP, social-démocrate) pour tenter de former une coalition de gouvernement. Mais certains éditorialistes turcs parient d’ores et déjà sur un échec des négociations et sur des législatives anticipées en novembre.

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 12:30
Mi-8 helicopter  Photo Itar-Tass

Mi-8 helicopter Photo Itar-Tass

 

July 27, 2015: Strategy Page

 

Prisoner statements, aerial reconnaissance and electronic communications intercepts indicate that the Syrian Air Force has gotten the most out of its largely Russian built helicopter force, but has lost most of their several hundred choppers in the process. In late 2010, before the civil war began, the Syrian air force had 130 Mi-8/17 transport helicopters and 80 helicopter gunships (32 Mi-24 plus 30 SA-342 and 20 Mi-2a light attack models). Eventually the Syrian Navy had to send its twenty helicopters to support ground operations. Ten of these were Mi-14s, which are naval versions of the Mi-8.  The Mi-24 is also an Mi-8 variant. In all the Syrians had 230 military helicopters available. While Russia supplied a lot of spare parts and some technical personnel since then, Russia sent no additional helicopters. Thus by early 2015 about 80 percent of the 2010 helicopter force was out of actions because of combat damage or simply because they were worn out and could no longer fly, or fly safely.

 

Unlike the “fast movers” (jet bombers and fighters) that came in fast and usually got away before ground fire could hit them, the helicopters came in low and slow. Although the helicopters learned to stay above most small arms (assault rifle and machine-gun) range that was only about 1,600 meters/5,000 feet altitude. This was still close enough for larger caliber machine-guns and portable anti-aircraft missiles. About half the missions flow by these helicopters since 2011 have been for bombing, dropping “barrel bombs” on urban areas.

 

Most of the Syrian helicopters are Mi-8s or variations of the Mi-8. This is a 1960s era design that is often exported as Mi-17. This 12 ton helicopters is about twice the size and weight of the American UH-1, but only hauls about 50 percent more cargo. However, the Mi-8 has a larger interior, and can carry 24 troops, versus a dozen in the UH-1. The UH-1 was replaced by the UH-60 in the 1980s, while the Mi-8 just kept adding better engines and electronics to the basic Mi-8 airframe. The Mi-8 costs about half as much as a UH-60, and the larger interior is popular with many users. For that reason over 3,000 Mi-17s have been exported along with many more Mi-8s and Mi-14s. While the Russian aid for the Syrian helicopters was free, the Russians did take notes on the extensive combat experience of their Mi-8s since 2011. The Syrian use of Russian helicopters in combat was the most intense use of the Mi-8 since the 1980s (Afghanistan and Iraq). Thus the Russians got to see how all the Mi-8 upgrades since the 1980s have worked out.

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 12:30
Défense : 4 compagnies israéliennes dans le Top 100


28.07.2015 israpresse.net
 

Le dernier classement des 100 meilleures entreprises de défense du monde, publié mardi par le magazine américain Defense News comprend quatre compagnies israéliennes.

La société israélienne la mieux placée dans le prestigieux classement est Elbit Systems. L’entreprise a d’ailleurs progressé d’une place et arrive en 29e position, avec des recettes de 2,95 milliards de dollars en produits de défense sur l’année 2014.

Les Industries aérospatiales israéliennes (IAI), dirigées par Joseph Weiss, arrivent non loin derrière en 32e position (contre la 35e position en 2014), avec des recettes de 2,785 milliards de dollars.

Vient ensuite la compagnie Rafael Advanced Systems, dirigée par Yedidia Yaari, qui passe de la 48e à la 45e place, avec 1,965 milliard de recettes.

Enfin, les Industries militaires israéliennes (IMI), dirigées par Avi Felder, ont en revanche régressé de cinq places et arrivent en avant-dernière position du Top 100.

Les deux compagnies qui se trouvent en tête du classement sont les entreprises américaines Lockheed Martin (40,128 milliards de recettes dans le secteur de la défense) et Boeing (29 milliards, alors que les recettes de défense ne constituent que 32 % des revenus du fabricant).

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 12:20
F-35 Gen III Helmet Mounted Display System (HMDS) - Rockwell Collins

F-35 Gen III Helmet Mounted Display System (HMDS) - Rockwell Collins

 

29 juil 2015 par Morgan - ubergizmo.com

 

Quand on achète un casque de moto plusieurs centaines d'euros, on est en droit d'attendre une certaine qualité, et surtout un bon niveau de sécurité. Et quand on achète un casque à 400 000$ ? On pourrait s'attendre à pouvoir voir à travers les murs, non ? Précisément !

 

Ce casque à 400 000$ (360 000€) minimum, c’est le F-35 Gen III Helmet Mounted Display System (HMDS), conçu tout spécialement pour fonctionner avec l’avion de chasse F-35 Lightning II. C’est Rockwell Collins qui fut chargé de la conception de ce casque. Équipé, comme son nom l’indique, d’un système d’affichage tête haute permettant au pilote d’avoir des informations critiques – altitude, vitesse du vent, cible, avertissements divers, etc – toujours à portée de vue, il permet aussi de voir à l’extérieur comme s’il n’y avait pas la carlingue…

 

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 11:55
photo GIGN

photo GIGN

 

28.07.2015 Sources : GIGN

 

L'association Petits Princes réalise les rêves d’enfants et d'adolescents atteints de cancer, de leucémie ou encore de maladie génétique.

 

Le 30 juin dernier, l’unité a reçu des bénévoles et des familles membres de l’association Petits Princes. Loïc et Matthieu ont ainsi pu profiter d’une journée d’immersion au sein du GIGN.

 

Les deux adolescents ont pu suivre une journée d’entraînement avec une section de la Force Intervention de l'unité. La journée s'est terminée par une remise de cadeaux et une photo souvenir en compagnie du colonel Hubert Bonneau, commandant le GIGN.

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 11:45
Hommage au Transall C-160 de l’escadron de transport 50 « Réunion »

Hommage au Transall C-160 de l’escadron de transport 50 « Réunion »

 

29/07/2015 SLT Julie Beck – Armée de l’Air

 

Mardi 7 juillet 2015, à plus de 9 000 kilomètres de la métropole française, un vibrant hommage a été rendu au Transall C-160 de l’escadron de transport 50 « La Réunion », qui quittera définitivement l’océan Indien cet été.

 

Sur le tarmac du détachement air 181 « Lieutenant Roland Garros », le soleil plonge doucement dans l’océan Indien. L’instant est solennel. Sous la présidence du général Franck Reignier, commandant supérieur des forces armées dans la zone sud de l’océan Indien (FAZSOI), et en présence du général Hervé Bertrand, commandant la brigade aérienne d’appui et de projection (BAAP) du commandement des forces aériennes (CFA), les aviateurs, entourés des militaires du 2e régiment de parachutistes d’infanterie de marine (RPIMa), ont rendu un vibrant hommage au C-160 Transall. « C’est un gros pincement au cœur car cette avion est d’une fiabilité redoutable, confie le général Reignier. Il a toujours été au rendez-vous dans toutes ses missions à La Réunion. C’est également l’avion qui a accompagné une grande partie de ma carrière dans les parachutistes ».

 

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 10:55
Leclerc-VBCI (Nexter- photo G. Belan) - LEOPARD 2 A5 (KMW)

Leclerc-VBCI (Nexter- photo G. Belan) - LEOPARD 2 A5 (KMW)

 

28/07/15 bourse.lesechos.fr (Reuters)

 

Le groupe public d'armement français Nexter et le groupe privé allemand KMW scelleront leur rapprochement mercredi à Paris pour former "le leader européen de l'armement terrestre", a annoncé mardi le ministère français de la Défense.

 

Les négociations, qui avaient débuté en juillet 2014, s'étaient heurtées notamment à la volonté du ministre allemand de l'Economie Sigmar Gabriel de favoriser une fusion entre Krauss-Maffei Wegmann GmbH&Co KG et le conglomérat allemand Rheinmetall AG, spécialisé dans l'équipement automobile et l'armement.

 

L'adoption de la "loi Macron" a définitivement ouvert la voie à cette co-entreprise qui sera détenue à 50% par l'Etat français (via la holding de contrôle GIAT Industries) et à 50% par les actionnaires familiaux de KMW, le transfert de GIAT Industries et de Nexter Systems au secteur privé ayant été autorisé.

 

"Une action de Nexter Systems pourra être transformée en action spécifique détenue par l'Etat, qui permettra à l'Etat de protéger les actifs stratégiques détenus par Nexter Systems", précise le ministère français de l'Economie.

 

Nexter Systems, fabricant du char Leclerc, et KMW, fabricant du char Leopard, emploient chacun plus de 3.000 salariés dans le monde. Le groupe né de leur fusion, désormais numéro un européen des blindés et des munitions, sera basé aux Pays-Bas.

 

Le gouvernement français assure que le statut des personnels de Nexter, engagé dans le plan de modernisation "Scorpion" des armées, sera maintenu et garanti.

 

La signature de l'accord est prévue à 17h00 au ministère de la Défense en présence de Jean-Yves Le Drian et Markus Grübel, secrétaire d'Etat parlementaire auprès de la ministre allemande de la Défense. (Sophie Louet, édité par Yann Le Guernigou)

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 07:20
photo US DoD

photo US DoD

 

July 28, 2015: by Strategy Page

 

The U.S. Army ordered its last HMMWV (humvee or "hummer") vehicles in 2011. But foreign customers are still avid customers. In June 2014 Afghanistan, Iraq, Kenya, Lebanon, Ukraine and Tunisia together ordered over 2,000 HMMWVs. Many of these will be paid for by the United States as part of military aid. While the American military is looking beyond HMMWV many other countries see the HMMMWV as a battle-tested, mature and very useful vehicle that works just fine.

 

For the U.S. Army it's the ending of the HMMWV era. About half the annual sales of HMMWV vehicles have been to the U.S. Army, with the rest going to other branches of the American military, and foreign customers. Over 200,000 hummers have been produced so far, in dozens of variants and versions. The army will continue to use the hummer into the early 2020s, but the unique vehicle design is now fading away.

 

The next generation of U.S. battlefield truck will be the seven ton JLTV (Joint Light Tactical Vehicle), which replaces the 2.4 ton HMMWV. The hummer had itself replaced the 1.1 ton jeep and 3 ton M37 "3/4 ton" truck 25 years ago. The JLTV marks a notable design direction for tactical vehicles. The JLTV is designed to absorb combat damage, and be quickly equipped with two different armor kits. In effect, the World War II concept of the unarmored light vehicle for moving men and material around the battlefield has been radically changed.

 

This began in Iraq, where it was demonstrated that you can fight your way through a hostile population on a regular basis and defeat a guerilla force constantly attacking your tactical and logistical vehicles. This has never worked before, and worked this time, in part, because U.S. troops promptly armored their hummers and trucks, and quickly developed "road warrior" tactics that defeated roadside and suicide bombs. Even though these bombs created a lot of American casualties, the overall American casualty rate was a third of what it was in Vietnam and World War II. Mainly because of the armored hummers and trucks. Few people outside the military noted this event, a watershed moment in military history. But it was recognized within the military, and produced this sharp shift in design philosophy for tactical trucks, and the result is the JLTV.

 

The U.S. Army began replacing the World War II era vehicles with the HMMWV n 1985. This was the first new unarmored combat vehicle design since World War II (when the jeep and ¾ ton truck was introduced), and was expected to last for three decades or more. But that plan changed once Iraq was invaded. As expected, hummers wore out a lot more quickly (in five years) in combat, than during peacetime use (14 years). So the army and marines began developing, ahead of schedule, a new vehicle to supplement the hummer in combat zones. Three designs have been selected for development, and soon one of them will be chosen before the end of 2015 as the final design and put into production. The army will buy at least 38,000 of the JLTV (Joint Light Tactical Vehicle), while the marines will buy about 14,000.

 

In addition to being built to better survive mines and roadside bombs, the JLTV will be able to generate 30 KW of electricity (for operating all the new electronic gear, and recharging batteries), have an automatic fire extinguishing system and jam-resistant doors. Like the hummer, JLTV will be easy to reconfigure, for everything from a four seat, armed scout vehicle, to an ambulance, command vehicle or cargo or troop transport.

 

The hummer will continue to be used outside of the combat zone, where most troops spend most of their time. But the JLTV will be built to better handle the beating vehicles take in the combat zone, including a design that enables troops to quickly slide in armor and Kevlar panels to make the vehicles bullet and blast proof.

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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 16:55
Exposition sur l'ordre de la Libération dans la cour d'honneur des Invalides, à Paris

 

27/07/2015 Sources : SGA/DMPA

 

Cette exposition est proposée du 27 juillet au 4 octobre 2015 par le musée de l'Armée en partenariat avec le musée de l'ordre de la Libération et le ministère de la défense (SGA/DMPA).

 

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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 16:50
ORP SLAZAK - Gdynia Navy Shipyard photo Jan Szurgot

ORP SLAZAK - Gdynia Navy Shipyard photo Jan Szurgot

 

July 28, 2015: by Adam Szczepanik  - Strategy Page

 

Good news and bad news for the Polish Navy.  On July 2nd the first and most likely only ship of the Slazak class offshore patrol vessels (OPV) was launched at the Gdynia Navy Shipyard. The bad news is that this comes 14 years after construction began. The Slazak is the first locally built Polish Navy ship to be launched since 1994 and is scheduled to enter service in the second half of 2016

 

The Slazak is based on a licensed German MEKO A-100 corvette design. The original plan was for the Slazak to be first of seven Gawron class corvettes. But there were problems and in 2012 the Gawron project was cancelled due to a combination of cost overruns, shipyard mismanagement and budget and leadership problems in the Polish Navy. All this contributed to production slowdowns, while constant reductions in the number of ordered ships inflated the unit price.

 

However, once the decision to cancel the Gawron class was taken there was the problem of what to do with the nearly completed first ship of the class. Scrapping was considered but rejected because of the bad publicity. Instead it was decided that it would be better for the Navy to get something out of the unfortunate project. This resulted in the decision to finish the “corvette” as an offshore patrol vessel. Unlike navy warships, these coast guard vessels are cheaper because they have fewer weapons and are less lavishly equipped with electronics and other combat gear. Even with those adjustments turning the turning the unarmed and unequipped, but otherwise nearly finished corvette into the ORP Slazak was not cheap. Including the development costs and the re-design the final price for this ship will reach $330 million. Pretty expensive for a large OPV, about twice what a comparable OPV goes for in the West.

 

The Slazak is a 95 meter (308 feet) long, 1,800 ton warship with a crew of 97, capable of reaching speeds of up to 54 kilometers an hour and a cruising speed of 32 kilometers. It is armed with a 76mm gun, two 30mm remote weapon stations, four GROM short range surface-to-air missile launchers, and four 12.7mm machineguns.

 

The original, corvette design included anti-submarine warfare systems consisting of sonar equipment, and two triple anti submarine torpedo launchers plus one RIM-116 RAM (Rolling Airframe Missile) anti-missile\anti-aircraft missile launcher, and four or six RBS-15 anti-ship missile launchers. Some of the cancelled weapon systems could be installed in later upgrades of the Slazak.

 

The Slazak has an aft helicopter deck, with space for a single helicopter but no hangar. The ship is a stealthy design, so it is harder to pick up on radar. The electronics include a 360 degree radar and an integrated combat system optimized for the needs of coastal patrol and anti-smuggling and anti-pirate operations. This OPV can stay at sea for 30 days at a time. The ship also features bow azimuth thrusters, which improve maneuverability, and active stabilizers, which improve comfort for the crew.

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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 16:50
Photos : Ritchie Sedeyn – MIL.be

Photos : Ritchie Sedeyn – MIL.be

 

10/07/2015 Johan Lievens – MIL.be

 

Le 8 juillet, des canonniers du Bataillon d’Artillerie de Brasschaat ont effectué le saut de leur vie. Ils ont été parachutés d’un C-130 au-dessus du terrain d’Elsenborn avec deux mortiers de 120mm. Ils ont pu ouvrir le feu peu après. L’expérience est unique car ces pièces sont tractées normalement par un véhicule. 

 

Photos : Ritchie Sedeyn – MIL.bePhotos : Ritchie Sedeyn – MIL.bePhotos : Ritchie Sedeyn – MIL.be
Photos : Ritchie Sedeyn – MIL.bePhotos : Ritchie Sedeyn – MIL.be

Photos : Ritchie Sedeyn – MIL.be

Un ballon rouge prend de l’altitude. Pas dans le cadre d’une fête mais bien pour évaluer la dérive du vent. « Parachuter du matériel procure un avantage stratégique », explique Tom Hey, commandent de batterie du Bataillon d’Artillerie. « C’est surtout au début d’une opération que peu de pistes sont accessibles ou que les possibilités de se déployer via les routes sont limitées. Nous pouvons alors choisir d’emprunter les voies aériennes ». 

 

Vidéo : Erwin Ceuppens - MIL.be

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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 16:45
photo MIL.be

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20/07/2015 Sarah Delafortrie, Christophe Springael – MIL.be

 

Sur proposition du ministre de la Défense Steven Vandeput, le Conseil des ministres a marqué son accord sur le déploiement de trois instructeurs belges durant une période de trois mois à Kinshasa, dans le cadre de l'appui au redémarrage du Groupement des écoles supérieures militaires (GESM).

 

Dans ce cadre, et dans la continuité des efforts déjà fournis, de début août à fin octobre 2015, trois instructeurs belges seront à nouveau déployés à l'Ecole de Commandement et d'Etat-Major à Kinshasa. Leur mission évoluera progressivement d'une mission d'enseignement vers une mission de coaching, pour finir à terme par rendre le GESM autonome pour la dispense de la formation continuée des officiers supérieurs.

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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 16:30
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20/07/2015 Sarah Delafortrie, Christophe Springael - MIL.be

 

Sur proposition du ministre de la Défense Steven Vandeput, le Conseil des ministres a marqué son accord sur la prolongation de l'engagement du détachement d'entraînement de quelque trente militaires à Bagdad jusqu'à la fin 2015. Ceci, afin de participer à l'entraînement des forces de sécurité irakiennes à partir d'un endroit sécurisé.

 

Durant la période de mars à avril 2015 et en collaboration avec les partenaires de la coalition internationale contre DAESH en Irak, le détachement d'entraînement belge a aidé à sélectionner et à former 1500 militaires irakiens. Le détachement d'entraînement belge a fourni 22 des 75 instructeurs pour le cours médical, la formation sniper, la sélection et la formation de base commando. La mission du détachement d'entraînement belge de quelque trente militaires à Bagdad sera prolongée jusqu'au 31 décembre 2015.

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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 16:30
Photo MIL.be

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20/07/2015 Johan Lievens – MIL.be

 

Durant les neuf mois de l’opération Desert Falcon (ODF), les six F-16 belges ont effectué 163 attaques lors des 796 vols au-dessus de l’Irak. La contribution belge s’élevait à 5,5% de la coalition internationale contre DAESH. La mise en place des moyens aériens a empêché la chute de Bagdad et la transformation de l’Irak en un califat. Le détachement belge de Force Protection s’occupe, quant à lui, de la sécurité de nos collègues néerlandais jusqu’à la fin 2015.

 

Le 24 septembre 2014, ODF recevait l’aval du Conseil des ministres. Elle prenait fin le 2 juillet 2015. Les pilotes avaient trois types de missions. D’abord, ils étaient impliqués dans des actions Air Interdiction dont le but était de diminuer ou détruire le potentiel de l’organisation terroriste. Ensuite, les pilotes fournissaient du Close Air Support aux troupes irakiennes au sol ou Peshmergas kurdes. Enfin, ils ont effectué de nombreux vols de reconnaissance grâce auxquels ils ont recueilli des informations importantes.

 

Chaque attaque était soigneusement analysée. Toutes les missions étaient étudiées par un red card holder (RCH) belge au quartier général au Quatar. Ce dernier analysait tous les aspects légaux des missions. Lorsque tout cadrait avec la loi, le RCH donnait son feu vert. Pourtant, toutes les missions n’ont pas été effectuées. Via des images hautes résolutions, les pilotes apercevaient parfois des civils près de leur but. Ils ont donc stoppé leur engagement. « Ces interventions sont à apprécier à long terme » a déclaré le général-major aviateur Frederik Vansina, commandant de la Composante Air. IS a perdu 30% de son territoire.

 

La contribution belge au sein de la coalition internationale contre DAESH s’élevait à 5,5%. «  Cet effort a été fortement apprécié par les États-Unis et les autres partenaires de la coalition » assure le ministre de la Défense, Steven Vandeput. « Nos pilotes sont très bons et appartiennent au top », explique le général-major Vansina. Avec la participation à ODF, la Belgique se positionne à nouveau dans le top 10 des partenaires fiables de la coalition.

 

À l’été 2016, et sous condition d'un accord gouvernemental, la Belgique reprendra la tâche des Pays-Bas.

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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 16:20
Réunion à Québec des directeurs politiques de la coalition contre l’État islamique


28 juillet 2015 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca
 

Le ministre canadien des Affaires étrangères, Rob Nicholson, a annoncé aujourd’hui qu’il se rendra à Québec pour participer le 30 juillet 2015 à une réunion des directeurs politiques du groupe restreint de la coalition mondiale contre le groupe armé État islamique.

 

Le 30 juillet 2015, le Canada, les États-Unis et l’Irak coprésideront à Québec une réunion des directeurs politiques de la coalition contre l’EI qui permettra de faire le point sur les efforts déployés par la coalition jusqu’à maintenant.

Sera notamment présent à Québec pour cette réunion le général à la retraite John Allen, désigné en septembre 2014 par le président américain Barack Obama pour diriger la coalition.

Le sommet tenu à huis clos réunira les représentants des représentants de coalition formée en 2014 qui compte une vingtaine de pays membres. Outre le Canada et les États-Unis, la plupart des pays européens et plusieurs pays arabes en font également partie.

Ce sommet de Québec mettra l’accent tant sur les aspects politiques que militaires de la lutte contre l’EI.

Le 30 mars 2015, le Parlement du Canada a adopté une motion visant à prolonger de 12 mois la mission de lutte contre l’EI du Canada et à en élargir la portée pour inclure des frappes aériennes en Syrie.

Les membres de la coalition dirigée par les États-unis qui mènent des frappes aériennes contre l’EI en Irak sont aujourd’hui, outre le Canada et les États-Unis, l’Australie, le Danemark, la France, la Jordanie,les Pays-Bas et Royaume-Uni. En Syrie, outre les Canadiens et les Américains, les pays qui mènent des frappes aériennes sur les positions djihadistes sont le Bahreïn, la Jordanie, l’Arabie saoudite et Émirats arabes unis.

De plus, depuis la semaine dernière, la Turquie s’est elle aussi, après avoir longtemps hésité, engagée résolument aux côtés de la coalition et, outre mener elle même des frappes sur les positions djihadistes à sa frontière au nord de la Syrie, elle a dorénavant autorisé les avions de la coalition à utiliser plusieurs de ses bases, dont Incirlik.

Mais les frappes aériennes effectuées par les avions de la coalition en Irak et en Syrie ne suffisent pas à vaincre le groupe d’extrémistes et, plus tôt ce mois-ci, le général Allen a notamment souligné l’importance d’endiguer e flot de combattants étrangers qui parviennent à se joindre au combattants de l’EI.

«Le Canada», rappelle le communiqué du ministère canadien des Affaires étrangères sur cette réunion, «prend des mesures pour faire échec aux activités barbares et aux ambitions expansionnistes de l’EI en participant aux frappes aériennes de la coalition et en collaborant avec ses partenaires afin d’endiguer le flot de combattants étrangers, de couper les sources de financement de l’EI et de réfuter la propagande terroriste».

«L’EI représente toujours une grave menace pour la sécurité régionale et mondiale, et une menace directe pour les citoyens canadiens au Canada et à l’étranger. Il a commis des actes de violence abominables au nom d’une idéologie extrémiste qui préconise la conversion forcée, la réduction à l’esclavage ou l’élimination de tous les non-croyants. Les groupes minoritaires ainsi que les femmes et les filles ciblés par l’EI ne sont pas les victimes accessoires d’un régime de terreur, mais ils sont délibérément désignés par l’EI et servent même d’appâts pour recruter, encourager et récompenser ses combattants», déclare le chef de la diplomatie canadienne.

C’est pourquoi le Canada et ses partenaires n’entendent pas négliger l’aspect humanitaire de ce conflit.

 

L’aspect humanitaire

Le Canada appuie activement les initiatives de secours humanitaire visant à répondre aux besoins des civils touchés par le conflit et demeure fermement engagé à l’égard de ces initiatives internationales, souligne également Ottawa.

Le Canada a pris l’engagement de financer toute une gamme de programmes d’aide humanitaire, de développement, de stabilisation et de sécurité afin d’appuyer les pays dans la région. L’aide financière du Canada contribue à répondre aux besoins urgents en matière de protection, d’alimentation, d’abris, de santé et d’éducation de milliers de civils touchés.

Une des priorités du Canada dans ce conflit, souligne le ministère des Affaires étrangères canadien dans le communiqué sur la réunion de Québec, est d’appuyer les femmes et les filles victimes de violence sexuelle en fournissant une aide financière aux organisations non gouvernementales locales ainsi qu’aux organisations internationales.

Rob Nicholson aura d’ailleurs une rencontre bilatérale à ce sujet mercredi 29 juillet avec la représentante spéciale de l’ONU sur la violence sexuelle dans les conflits, Zainab Hawa Bangura.

Le Canada, souligne également Ottawa, appuie aussi la documentation des crimes internationaux commis dans les régions touchées par les conflits et les enquêtes menées à cet égard, ainsi que la poursuite en justice des auteurs de ces crimes afin de veiller à ce qu’ils en soient tenus responsables.

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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 11:55
Colloque " Soldat augmenté " - Juin 2015 (video)

 

source Centre de Recherche des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan

 

Le pôle Action globale et forces terrestres du Centre de Recherche des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan a organisé, le lundi 8 juin 2015 à l’École Militaire à Paris, un colloque introductif intitulé «  Le soldat augmenté. L’amélioration des capacités humaines, perspective de la recherche scientifique et technique. » dans le cadre d’un nouveau programme de recherche « Le soldat augmenté ».

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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 11:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre


26/07/2015 Armée de Terre

 

Le 19e régiment du génie ouvre ses archives avec son prochain livre «Entreprendre et réussir».  L’objectif ? Nous faire découvrir la richesse de son histoire, de 1876 à nos jours.

 

Après avoir participé à la conquête coloniale en Extrême-Orient et en Afrique, le régiment s’installe en 1899 à Hussein Dey, en Algérie, qu’il quittera en 1964 pour Besançon. Il s’illustre lors des deux guerres mondiales. Il combat également dans le Rif, en 1925, ainsi qu’en Indochine et en Algérie, avant de monter la garde face à l’Est durant la période de la Guerre froide. Les « sapeurs d’Afrique » sont de toutes les opérations extérieures de l’armée de Terre, de l’ex-Yougoslavie au Sahel, en passant par le Liban, la République de Côte d’Ivoire, la Jordanie ou encore l’Afghanistan. En 2015, le 19e RG devient le premier régiment divisionnaire du génie de l’armée de Terre, et fait face à de nouveaux défis. Illustré de nombreuses photos et de témoignages inédits, cet album retrace l’histoire d’un régiment engagé aux quatre coins du globe. À travers cette histoire, c’est aussi toute celle de l’arme du génie qui s’en trouve éclairée.
Sortie prévue en mai 2016. Commandez le livre dès aujourd’hui et bénéficiez d’un tarif préférentiel de 29,90 € au lieu de 35 €.

 

Bon de souscription

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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 11:50
Tecnam lève un coin du voile sur le P Jet

Avec le P Jet, Tecnam pourrait renforcer son positionner sur le marché militaire sur lequel il est déjà présent avec son bimoteur léger P2006T photo Tecnam

 

23 juillet 2015 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

Tecnam travaille depuis mai 2015 à l’étude de faisabilité d’un avion léger d’entrainement militaire. Le programme « P Jet » pourrait être lancé en 2016.

 

Tecnam a confirmé à Oshkosh que le projet d’avion d’entrainement militaire dont il a dévoilé une image un peu plus tôt dans le mois a été lancé en réponse à une demande de deux organismes militaires dont la nationalité n’a pas été révélée. Le concept de ce biplace est en fait à l’étude depuis mai 2015. A ce stade, le constructeur italien est arrivé à la conclusion que son avion devrait être un monoréacteur.

Le choix de positionner le réacteur de petite taille sur un pylône, à l’arrière de l’habitacle répond notamment à un souci de faciliter la maintenance et donc d’en limiter le coût. La puissance, le poids et la consommation sont en cours d’étude.

 

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