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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 12:50
Paratroopers joining EATT 2015

 

10 February 2015 by Ltc Ballinger - EATC

 

Towards more interoperability and multinational cooperation for EATT 2015

 

Paratroopers are widely known by the public as soldiers with specific skills, jumping out of airplanes, fully equipped and ready to start their next mission. 

If one is interested in history, one might know more; especially that paratroopers played an important role during some of the most well-known battles of the last century, such as the battle of the Bulge, Dien Bien Phu or the battle for Kolwezi. The most popular paratrooper of the last century is most probably Private John Steele, who landed during D-Day on the roof of the church in Saint-Mère l’Eglise.

 

Nowadays military parajumping is undergoing major changes. Due to recent cuts in budgets and aging European Air Transport fleets, less aircraft are available for training. Moreover, today’s operations are multinational, which is a strong incentive for military paratroopers to consider the multinational dimension.

This year and for the first time in the history of the EATC a panel dedicated to cross parajumping has met in the framework of the EATT panel meetings.

The goal of the “Para Panel” is to prepare the paratroopers of the different nations for future common operations.

In June in BEJA, paratroopers coming from the EATT 2015 participating nations will use this opportunity to train on the aircraft of the different nations: for example, French paratroopers are going to certify that their French parachutes can be used on Belgian C-130 for static line jumps.

Once the various equipment of the different participating nations will be qualified on another nation’s aircraft, that aircraft will be used for common training and operations. In the future, this will allow the EATC to choose the best asset available within the EATC for airdrop mission in order to optimize effectiveness and efficiency of air transport operations.

 

Tomorrow the paratroopers will be joined by other specialists coming from the EATT 15 participating nations. They will all meet at the EATC in Eindhoven in order to prepare the last details for the most important European Air Transport Training of the year.

photo Ltc Ballinger (EATC) photo Ltc Ballinger (EATC)

photo Ltc Ballinger (EATC)

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 12:45
Armée Malienne - photo EUTM Mali

Armée Malienne - photo EUTM Mali

 

10 février 2015 maliactu.net

 

Cette rencontre s’est tenue dans la salle de conférence de l’école de maintien de la paix, le vendre 6 février dernier. Elle était présidée par le secrétaire général du ministère de la Défense, Mahamadou Lamine Ballo en présence du président de ladite commission Karim Keïta.

 

Le projet de la loi d’orientation et de la  programmation militaire (LOPM) lancé sur une période de 4 ans de  2015-2019 adopté lors du Conseil supérieur a été présenté  à la Commission défense de l’assemblée nationale dans le cadre du processus général de la reforme. Ce programme permettra aux forces armées d’acquérir des capacités leur permettant d’exécuter pleinement leurs missions sur toute l’étendue du territoire national, d’atteindre les objectifs du renforcement de perfectionnement des capacités opérationnelles des unités combattantes. Cela  par  le soutien logistique et l’appui  pour l’amélioration du cadre de vie et de travail du personnel et du commandement militaire malien. La réalisation de l’ensemble de ces objectifs nécessitera un effort de financement supplémentaire de cinq cent quatorze milliards six cent quatre-vingt-douze millions quarante-quatre mille huit cent cinquante (514. 692. 044. 850) Francs CFA sur les cinq prochaines années. Une session du Conseil Supérieur de la Défense Nationale sera annuellement tenue pour connaître les avancées dans la mise en œuvre de la réforme.

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 12:45
Séminaire sur la coopération transfrontalière au Sahel

 

11/02/2015 Ministère de la Défense

 

Le 13 février 2015 un séminaire consacré au lancement du projet ACTS, « Appui à la Coopération Transfrontalière au Sahel »,  se tiendra à Paris, dans les salons de l’Hôtel des Invalides. Objectif de cet événement : mettre en avant une stratégie globale de gestion des espaces frontaliers que partagent trois pays du Sahel : le Burkina Faso, le Mali et le Niger.

 

L’Hôtel des Invalides accueillera ce vendredi 13 février un séminaire consacré au lancement du projet ACTS, « Appui à la Coopération Transfrontalière au Sahel ». Initié par la Direction de la coopération de sécurité et de défense (DCSD) et la Direction générale de la Mondialisation (DGM), le projet ACTS a pour objectif de soutenir l'élaboration d’outils de sécurité légitimes et efficaces, et d’accompagner le développement des zones frontalières que partagent le Burkina Faso, le Mali et le Niger et ce, dans un souci d’approche globale.

 

Ce projet pilote de coopération sera engagé dans la région commune à ces trois pays, le Liptako-Gourma. A ce titre, 140 invités dont les ministres de la sécurité des trois pays africains concernés et de très hauts représentants des Nations Unies et de l’Union Européenne participeront à ce séminaire.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 12:45
Visit of the Swedish Chief of Joint Operations Lieutenant General Göran Martensson at EUTM Mali

 

10 February 2015 by EUTM Mali

 

The Swedish Chief of Joint Operations, Lieutenant General Göran Martensson, accompanied by: Lieutenant Colonel Anders HÖGRELL, Lieutenant Colonel Robert ALMSTRÖM and Major Pär ELOFSSON, arrived on Tuesday 10 February 2015 in Bamako, visiting the European Union Training Mission – Mali.

 

The distinguished visitor has been greeted by the Mission Commander of EUTM Mali, General Alfonso GARCIA-VAQUERO PRADAL and departed together for Koulikoro, where the TTF commander presented a brief regarding the training mission followed by a visit of the Training Camp. In the afternoon, at EUTM Mali Headquarters in Bamako, the Chief Of Staff, Colonel Klaus SHIRRA presented a complex brief about the mission and the Advisory Task Force Commander, Colonel Arnaud RICHE presented his team’s specific missions.

Visit of the Swedish Chief of Joint Operations Lieutenant General Göran Martensson at EUTM MaliVisit of the Swedish Chief of Joint Operations Lieutenant General Göran Martensson at EUTM MaliVisit of the Swedish Chief of Joint Operations Lieutenant General Göran Martensson at EUTM Mali
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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 12:35
PART 1: Big Surprises In LCA Navy NP1's Ski-Jump Fight

 

09.02.2015 by Livefist

 

When the first prototype of India's LCA Navy (NP1) roared off the ski-jump at the Shore-based Test Facility (SBTF) for the first time on December 20 last year, no one from the team observing the jet from the flightline and from telemetry stations knew that something unseen had happened. Something that would only become known later in the day when performance data was analysed. And it was good, solid news, much needed for a team that has seen little more than questions, derision and barely veiled bemusement. Importantly, it was the first time the team felt it had an answer to the 'what use is this platform, really?' question.

 

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PART 2: The Four 'Fixes' After LCA Navy's Ski-Jump Flight

 

PART 3: The Official LCA Navy Mk.2 Wishlist

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 12:35
Photo JC McIlwaine UNMISS

Photo JC McIlwaine UNMISS

 

2015-02-10 xinhua

 

Le gouvernement japonais a décidé mardi de prolonger de six mois la participation de ses forces d'auto-défense aux opérations de maintien de la paix de l'ONU au Soudan du Sud.

 

Cette courte prolongation a été approuvée par le cabinet du Premier ministre Shinzo Abe alors que la mission actuelle devait s'achever fin février.

 

Les Forces d'auto-défense terrestres ont contribué à développer les infrastructures, ont travaillé sur des projets de construction et ont apporté une aide médicale dans le cadre des opérations de maintien de la paix de l'ONU au Soudan du Sud, en particulier près de la capitale Djouba.

 

Les Forces japonaises d'auto-défense ont une base à Djibouti, où des troupes participent à des opérations de lutte contre la piraterie dans le golfe d'Aden.

 

La mission des Forces japonaises d'auto-défense a débuté en 2012 lorsque le Soudan du Sud a accédé à l'indépendance après plus de 20 années de guerre civile.

 

Le ministre de la Défense japonais Gen Nakatani a déclaré aux médias japonais que les efforts des Forces d'auto-défense avaient été bien accueillis au Soudan du Sud et que le Japon prévoyait de prolonger sa participation aux opérations de maintien de la paix de l'ONU dans le pays pour contribuer à maintenir la paix et la stabilité dans la région.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 12:30
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

10.02.2015 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord – Défense Globale
 

Déjà satisfait des 8,06 milliards d'exportation des industriels français de défense en 2014, Laurent Collet-Billon, le délégué général à l'armement, affichait lundi un grand optimisme pour l'année 2015. Surtout pour un futur contrat de 24 Rafale et de la frégate multimissions Normandie (photo DCNS) avec l'impatiente Egypte...

 

L'Egypte, depuis l'arrivée à la présidence d'Abdel Fattah Al-Sissi, tient à moderniser d'urgence ses équipements militaires très vieillissants. Après un premier contrat de quatre corvettes de patrouille Gowind de DCNS, signé durant l'été 2014, on évoque l'achat de 24 avions de chasse muti-rôles Rafale de Dassault et d'une frégate multi-missions (FREMM), toujours du fleuron industriel marin français, mais aussi de missiles de MBDA.

Les Egyptiens sont si pressés pour la FREMM (livraison été 2015 !) que la France évoque que la Normandie, prévue pour la Marine nationale, bifurque vers la Méditerranée orientale. Et que l'équipage prévu attende la sortie de la frégate suivante...

" Les négociations sont en cours mais on peut le faire sous certaines conditions, assure l'amiral Rogel, rencontré ce lundi. On peut prolonger d'un an une frégate en fin de vie (la Montcalm) et le constructeur (DCNS) nous garantit la livraison de quatre FREMM avant 2016 et six avant 2018. Dans ces conditions, la Normandie peut être cédée. "

Lundi à Paris, lors du bilan annuel de la Direction générale de l'armement, son Délégué général, Laurent Collet-Billon, n'a pas caché de grands espoirs. " Pour l'Egypte, on a franchement le sourire ", a-t-il dit en regardant ses proches collaborateurs l'œil gourmand. En principe, les premiers avions égyptiens seraient livrables en 2018.

Après les échecs aux Emirats arabes unis, en Corée du Sud, au Brésil, au Maroc, au Pays-Bas, à Singapour, en Suisse, 2015 sera-t-elle l'année de la délivrance à l'exportation pour le Rafale ? Après l'Egypte, le DGA observe que " les travaux sont en cours avec le Qatar " (36 appareils) , que " le processus est un peu compliqué " avec l'Inde (responsabilité industrielle au-delà des 18 construits en France) mais " qu'il est préférable de prendre en compte les cultures locales pour réussir " (126 avions).  Car au bout du compte, " nous avons toujours l'objectif d'alléger la Loi de programmation militaire d'une quarantaine d'avions ". Et ça, personne ne l'oublie.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 12:30
L'ambassade de France fermée au Yémen

 

11 février 2015 libération.fr (AFP)

 

Les Français sont invités à quitter la pays. Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont eux aussi fermé leurs ambassades.

 

La France a appelé mercredi sa centaine de ressortissants au Yémen à quitter le pays «dans les meilleurs délais» et a annoncé la fermeture «provisoire» de son ambassade à Sanaa à compter de vendredi, dans un message publié sur son site diplomatique.

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 11:55
Nouvelle déconvenue pour l'A400M, il ne ravitaillera pas en vol les hélicoptères

Pour le délégué général pour l'armement, Laurent Collet-Billon, il faut désormais oublier la mission de ravitaillement en vol des hélicoptères par l'A400M pourtant prévu dans les spécifications. Trop dangereux pour les hélicoptères. (Crédits : Airbus Defence & Space)

 

10/02/2015 Michel Cabirol – laTribune.fr

 

Décidément le programme A400M n'en finira jamais avec les déboires. Le patron de la DGA Laurent Collet-Billon estime qu'il est trop dangereux de ravitailler les hélicoptères en vol avec l'A400M


Chaque jour qui passe, on en apprend un peu plus sur les déboires de l'A400M, l'avion de transport militaire développé et fabriqué par Airbus Group. Pour le délégué général pour l'armement, Laurent Collet-Billon, il faut désormais oublier la mission de ravitaillement en vol des hélicoptères par l'A400M pourtant prévu dans les spécifications. Trop dangereux pour les hélicoptères, qui sont par définition des appareils instables a-t-il précisé, en raison des turbulences des hélices contracycliques de l'A400M, dont un exemplaire sera exposé la semaine prochaine au salon Aero India en Inde à Bangalore.

Encore une déconvenue pour cet appareil, qui est toutefois "bien né" et offre d'excellentes capacités de transport, a assuré lundi le patron de la direction générale de l'armement (DGA) lors la présentation du bilan 2014 de sa maison. Un atout qui reste donc précieux au vu du déploiement de troupes françaises en Afrique. Pour autant il a également évoqué une autre difficulté pour cet appareil : la mission de parachutage par les portes latérales n'est pas encore satisfaisante, a-t-il expliqué. D'après "Der Spiegel", l'armée allemande a décelé "875 manquements", dont des gaines isolantes manquantes sur certains câbles électriques. En fait, ce serait 1.300 manquements...

 

La France pas satisfaite du développement et de la production

Laurent Collet-Billon, qui doit rencontrer à Berlin la semaine prochaine le nouveau patron du programme A400M Fernando Alonso, a précisé que la France attendait "contractuellement" cette année la livraison de quatre avions de transport militaire d'Airbus Group, en plus des six qu'elle possède déjà. "Les armées les attendent. Notamment celles qui sont engagées en Afrique pour faire le job. Il nous faut ces avions", a-t-il expliqué, suggérant également que le besoin opérationnel des armées françaises devraient être prioritaire dans l'établissement du nouveau calendrier qui va être annoncé fin février par Airbus Group. "Nos armées sont engagées opérationnellement en Afrique, contrairement à d'autres", a-t-il martelé.

D'ailleurs, la DGA sera "extrêmement attentive" au nouveau calendrier de l'appareil, a bien souligné Laurent Collet-Billon. "Nous sommes extrêmement attentifs au bon respect du calendrier d'Airbus", a-t-il précisé. Et d'exprimer déjà un très sérieux reproche à Airbus Group "concernant la production et le développement, nous ne sommes pas satisfaits dans les deux cas". Laurent Collet-Billon attend également le calendrier du prochain standard de l'A400M, le standard 1.5, c'est-à-dire une première version militarisée de l'appareil attendue en octobre prochain..

"Nous écouterons ce qu'ils ont à nous dire en termes de capacité de livraison en 2015 de cet avion", a-t-il souligné. "Nous écouterons également ce qu'Airbus a à nous dire sur la fourniture du standard 1.5 qui devait être livré à la rentrée".

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 11:55
Teaser - Opération Sentinelle, les militaires sur le pied de guerre (JDef)

 

11 févr. 2015 Journal de la Défense (#JDef)

 

Suite aux attentats du 7 et 9 janvier 2015, le Premier ministre a décidé d’élever le dispositif Vigipirate au niveau « alerte attentat » en région Ile-de-France. Le ministère de la Défense mobilise alors un nombre record de soldats, en appui aux forces de police et de gendarmerie, pour protéger les « points » sensibles du territoire.
En quelques jours, les armées multiplient par dix l’effectif militaire déployé en France. Plus de 10 000 militaires sont mobilisés pour l’opération Sentinelle, dont plus de 6 000 en Ile-de-France et 4 000 en province.
Les équipes du Journal de la Défense (#JDef) ont pu suivre les différentes étapes de cette mobilisation sans précédent, au plus près du terrain.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 09:45
Lutte contre le terrorisme : sur les traces des soldats français au Mali

L’opération Barkhane mobilise 3 000 soldats français, déployés au Mali depuis six mois pour lutter contre le terrorisme. (photo EMA)

 

10/02/2015 francetvinfo.fr

 

Une équipe de France 3 a suivi des soldats français de l’opération Barkhane. Une opération militaire qui mobilise 3 000 soldats français depuis six mois au Mali.

"C’est dangereux parce qu’il faut toujours se rappeler à l’ordre et se dire qu’on évolue dans un climat hostile, que ça peut attaquer à n’importe quel moment. Le piège, c’est que face à un ennemi invisible, le danger est de subir la routine", explique un soldat, face à la caméra de France 3.

 

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:58
Renseignement : enfin, le premier débat public à l'Assemblée nationale !

 

10.02.2015 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord – Défense Globale
 

Oyez, oyez, pour la première fois de l'histoire de France, s'est déroulé ce mardi 10 février 2015, un événement considérable : un débat public à l'Assemblée nationale sur le rapport relatif à l'activité de la délégation parlementaire au renseignement pour l'année 2014. Dans l'hémicycle, s'il vous plaît. C'est vous dire si le contrôle et le développement d'une vraie culture du renseignement restent embryonnaires en France. Mais encourageons nos hommes politiques volontaires.

 

Comme le dit le député PRG de Béthune, Stéphane Saint-André, " le renseignement devient une politique publique ". C'est la promesse d'un cadre juridique pour les agents en service et d'un contrôle parlementaire qui seront définis dans une prochaine loi sur l'activité au printemps.  Mais qui sont attendus par les hommes de l'art depuis longtemps...

On assiste donc à une prise de conscience de nos élus. Tout est à discuter et les options politiques se voient clairement, de Jacques Myard qui dénonce sans nuances par exemple " les réticences criminelles du Parlement européen sur le PNR (Passenger Name Record) " jusqu'à l'écologiste François de Rugis plus enclin à " avoir recours au pouvoir judiciaire " pour tout ce qui peut concerner les données personnelles. Le communiste du Nord, Jean-Jacques Candelier, dénonce " un problème de représentation des groupes politiques au sein de la Délégation parlementaire au renseignement ". Voyez comme le sujet intéresse soudain...

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a salué " un débat utile et sans précédent ". De son côté, il a insisté sur " le renforcement de la partie cyber du renseignement qui sera amplifié après la révision de la Loi de programmation militaire qui sera présentée avant l'été ". Une constante comme une évidence : " La priorité est donnée au renseignement dans toutes les opérations. " Ajoutant, " l'enjeu cyber est devenu un enjeu de souveraineté ".

Depuis son arrivée au ministère en 2012, les attaques cybernétiques ont doublé chaque année. " Je veux une culture de la cybersécurité dans le ministère de la Défense. Il y a désormais une quatrième armée, terme symbolique, l'armée cyber ", insiste Le Drian.

Avec la future loi, une nouvelle autorité administrative indépendante de contrôle des services verra le jour (renforcée par des parlementaires), héritière de la CNCIS (Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité).

Au milieu de tout cela et du champ numérique, le ministre de l'Intérieur, Bernard cazeneuve, jongle délicatement avec la notion de " confiance ". Pour lui, " un espace de liberté comme Internet ne signifie pas un espace de non droit, pas régulé ".

 

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:57
Leclerc-VBCI (Nexter- photo G. Belan) - LEOPARD 2 A5 (KMW)

Leclerc-VBCI (Nexter- photo G. Belan) - LEOPARD 2 A5 (KMW)

 

10/02/2015 Boursorama (AFP)

 

La privatisation du constructeur de blindés français Nexter (Giat) a été votée lundi soir à l'Assemblée nationale. Elle devrait permettre de lancer la fusion avec l'allemand KMW pour créer le troisième groupe d'armement terreste mondial.

 

La fusion entre les constructeurs des chars Leclerc et Leopard, annoncée le 1er juillet, nécessitait une adaptation législative, dans la mesure où Nexter est aujourd'hui une entreprise publique et que son rapprochement avec KMW constitue une privatisation de fait.

 

L'État français, actuellement actionnaire à 100% de Nexter via Giat Industries, verra sa participation tomber à 50% dans la future entité fusionnée dénommée Kant. Il se retrouvera ainsi à parité au capital avec famille Bode-Wegman, propriétaire de KMW.

 

Avec 1,6 milliard d'euros de chiffre d'affaires et 6.000 salariés, le nouveau groupe sera le premier acteur d'armement terrestre européen et le troisième mondial. Les deux parties s'engageront par un pacte d'actionnaires à ne pas céder de parts pendant 5 ans minimum. La future société aura son siège aux Pays-Bas pour des raisons de "neutralité fiscale" selon le ministre de l'Économie, Emmanuel Macron.

 

"Ce désengagement brutal de l'Etat, doublé d'un rapprochement avec un groupe étranger, est une faute grave contre notre indépendance stratégique et militaire", a estimé le FN. Cette fusion risque aussi, selon les spécialistes, de se traduire par une casse industrielle et sociale importante accentuée par le positionnement similaire des deux entreprises".

 

"Les liquidateurs de notre outil de défense liquident maintenant ouvertement notre industrie militaire et notre indépendance nationale. Notre mission sera claire: remettre cette indépendance au coeur de nos choix stratégiques, militaires et économiques", a ajouté le parti.

 

"Ce rapprochement permet d'avancer vers l'Europe de la défense et l'Europe industrielle", a plaidé de son côté la présidente de la commission Défense de l'Assemblée, Patricia Adam (PS). "Nous avons besoin d'industriels de taille critique pour l'export et la recherche et développement", a renchéri l'ancien ministre de la Défense Hervé Morin (UDI).

 

Cette fusion est en revanche contestée par le Front de gauche André Chassaigne pour qui elle est "vouée à l'échec car il n'y a pas de marché européen de la défense". "Une industrie nationale d'armement ne peut plus tenir avec les seules commandes publiques, c'est une chimère", lui a répondu le socialiste Jean-Jacques Bridey.

 

Les députés UMP se sont divisés sur le sujet. Nicolas Dhuicq a accusé les socialistes de "forfaiture" en "vendant un bijou de la nation" alors que "l'Allemagne ne paye pas le prix du sang" sur les conflits...

 

Plus modérés, certains d'entre eux se sont interrogés sur la politique traditionnellement restrictive de l'Allemagne en matière de ventes d'armes. "Il y a une sensibilité qui existe, mais elle ne changera pas avec ce rapprochement. Les exportations de Nexter durant ces cinq premières années seront décidées par Nexter", a assuré Emmanuel Macron.

 

Alors que André Chassaigne a exprimé ses doutes sur la complémentarité des deux sociétés, Emmanuel Macron a assuré au contraire qu'il n'y avait "pas de risque de cannibalisation d'une société par rapport à l'autre".

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:56
La course URBAN MUD RACE 2015 - Fort de Vincennes (13-14 Juin)

 

source URBAN MUD RACE


QU'EST-CE L'URBAN MUD RACE

C’est une course de masse d’endurance avec obstacles en terrain boueux. Elle aura lieu les 13 et 14 juin.
Jusqu’à 16 000 concurrents sont attendus sur ces deux jours pour effectuer un parcours de 12 km comprenant une vingtaine d’obstacles, dans le Fort Neuf et dans le bois de Vincennes.

 

UN EVENEMENT INEDIT, AMBITIEUX ET SOLIDAIRE
- Ouvert dès 18 ans
- En vue de se dépasser pour une noble cause
- Aux Portes de Paris (accès métro/RER/BUS)
- Organisé par des militaires (armée de terre et BSPP)
- Sur un parcours avec des obstacles originaux
- Avec comme invités des personnalités sportives prestigieuses
- Une visibilité média puissante

 

NOTRE MOTIVATION
Cet évènement sportif a comme objectif de faire rayonner l’armée de Terre et la brigade de sapeurs-pompiers de Paris en Ile de France, pour renforcer le lien armée-nation, pour informer sur le recrutement et pour faire participer les concurrents et les partenaires à une action de solidarité au profit des blessés de l’armée de Terre.
 

Quelques données clés
- Plus de 9000 blessés en 20 ans ;
- Un suivi régulier d'environ 1000 blessés et un suivi de 150 à 200 blessés dont une part importante de syndromes post-traumatiques ;
- En plus des aides de l'Etat, les besoins pour les blessés et familles de disparus représentent environ 650 000 € par an ;
- Exemple de coût de prothèse : une "lame" de sport entre 5 et 10000 €. Prothèse bionique : 85 000 €


ZONE D'OPERATION

La course URBAN MUD RACE 2015 - Fort de Vincennes (13-14 Juin)

La course URBAN MUD RACE 2015 s’élancera à partir du Fort Neuf de Vincennes (94300).
Une fois inscrit, chaque concurrent sera convoqué à un horaire de départ fixé. Il est demandé de se présenter au moins 30 minutes avant le départ (délai minimum nécessaire pour les formalités d’entrée dans le fort, l’équipement et le briefing de course).

Le départ de la course sera donné par vagues successives de 200 coureurs environ, avec un départ toutes les 12 minutes entre 9h00 et 17h00 les samedi 13 juin et dimanche 14 juin 2015.

 

Plus d'informations sur URBAN MUD RACE

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:56
Visite au sein des forces à Saumur

 

10/02/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 5 février 2015, le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées (CEMA), s’est rendu au sein d’une des écoles de l’armée de terre à Saumur, ainsi que sur le camp de Fontevraud où est implanté le 2e régiment de dragons (2e RD).

 

Le CEMA est tout d’abord allé à la rencontre des capitaines de la spécialité « combat éclairage », actuellement en stage au sein du cours des futurs commandants d’unité (CFCU), puis auprès de leurs aînés (+3 années d’ancienneté) qui suivent la scolarité du diplôme d’état-major (DEM). Les premiers se verront confier prochainement le commandement des unités élémentaires qui, demain, seront engagées au combat. Les autres, cette première grande responsabilité révolue, sont formés à l’élaboration et à la conduite de la manœuvre interarmes en vue de leur future affectation en états-majors tactiques.

 

Profitant de ce contact avec les « jeunes chefs », le général de Villiers a rappelé qu’il comptait sur eux pour développer au sein de leurs unités, l’entraînement et l’instruction, gages « d’une armée qui gagne et qui protège ».

 

A Fontevraud, le général de Villiers a retrouvé les soldats en service au sein d’un des plus anciens régiments de France : le 2e RD. Si ce régiment tire ses traditions de la cavalerie, il est aujourd’hui spécialisé dans la défense nucléaire, biologique et chimique (NRBC). Le CEMA a souligné le professionnalisme et la maîtrise des savoir-faire de haute technicité  de ce régiment dont les capacités sont « enviées par nos Alliés ».

Visite au sein des forces à SaumurVisite au sein des forces à Saumur

REPERES

Visite au sein des forces à Saumur

 

Plus ancien régiment de la cavalerie française, le 2e Régiment de Dragons est devenu le régiment de défense NRBC (nucléaire radiologique biologique et chimique) de l’armée de Terre le 1erjuillet 2005.

C’est dans cette unité que sont concentrés aujourd’hui les moyens spécialisés de la défense NRBC.

Ce régiment compte 860 soldats. Certains d’entre eux ont récemment été déployés en Guinée-Conakry. Les spécialistes du 2e RD servent ainsi au sein du centre de traitement pour les soignants (CTS) dans le cadre de l’opération Tamarin de lutte contre le virus Ebola en Guinée Conakry.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:55
Interview du GCA Bernard de Courrèges d’Ustou, Directeur de l’IHEDN et de l’EMS

 

10/02/2015  par Alain Establier SECURITY DEFENSE Business Review

 

SDBR : Général, avez-vous fait l’IHEDN ?

GCA de Courrèges d’Ustou * : Non je n’ai pas suivi de session de l’IHEDN mais, comme la plupart des gens, je connaissais l’IHEDN par sa partie émergée, à savoir les deux sessions nationales: la session «Politique de défense» et la session «Armement et économie de défense». En fait, l’IHEDN ne se réduit pas à cela et il y a derrière beaucoup d’autres choses: une dimension régionale, une dimension internationale, des actions vers la jeunesse, des séminaires thématiques, etc. et un formidable réseau, avec des liens très forts entre anciens auditeurs ou participants de telle ou telle session ou séminaire.

 

« L’IHEDN sera le lieu de la formation et de la réflexion aux enjeux de défense, celui du renforcement du lien défense-nation, celui de l’élaboration d’une communauté de défense et de sécurité… », me déclarait le vice-amiral d’escadre Richard Laborde le 9 mars 2010. Est-ce que c’est la réalité de l’IHEDN de 2015?

Au-delà des grandes missions de formation et d’information de responsables et d’acteurs de la défense, l’IHEDN s’est en effet vue proposer, dans le Livre Blanc, la promotion de l’esprit de défense. Faire travailler ensemble des personnes qui s’intéressent déjà aux questions de défense et les faire progresser dans le domaine des relations internationales, des questions d’armement et d’économie de défense, et à toutes les questions connexes, est un des savoir-faire de l’IHEDN. En revanche, nous devons probablement progresser pour aller toucher ceux qui ne connaissent pas la Défense et ceux qui ne savent pas ce que sont les enjeux de défense. Donc nous faisons ce que déclarait l’amiral Laborde en 2010, mais la question est de savoir si nous le faisons bien ? L’IHEDN est aujourd’hui très ouvert sur l’international et nous avons des liens étroits avec un certain nombre de pays dans le monde. Concernant le renforcement du lien défense-nation et l’élaboration d’une communauté de défense et de sécurité, je considère que nous sommes à un palier et que nous devons encore progresser.

 

Quelles sont les pistes de progrès ?

Lorsque je suis arrivé, j’ai été très vite capable de décrire ce que faisait l’IHEDN. J’ai un peu plus de mal à définir ce que nous cherchons réellement à faire et vers quelle finalité nous cherchons à emmener nos auditeurs. Quel que soit le type de formation dispensée, nos auditeurs sont enthousiastes à son issue. Comment par contre matérialiser cet esprit de défense en France? Il n’y a pas de définition de l’esprit de défense mais nous allons, dans les prochains mois, donner des repères pour le caractériser au travers de deux ouvrages, l’un, « Esprits de défense » d’une centaine de pages avec textes de personnes d’horizons divers, tant militaires que civils, l’autre qui est une réédition de «Comprendre la défense» et qui donne la parole à 70 contributeurs. Nous avons besoin de points de repères, pour pouvoir ensuite discuter. Essayer de définir l’esprit de défense passe par un certain nombre de questions. Qu’avons-nous à défendre ? Une population de femmes et d’hommes (qui peuvent être menacés, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur du territoire on l’a vu), un territoire (avec la spécificité des départements d’outre-mer qui font de ce territoire l’ensemble du monde), un ensemble de valeurs, des intérêts (qui ne sont pas qu’européens et peuvent donc s’avérer spécifiques, comme le Pacifique et les Caraïbes). La question «qu’avons-nous à défendre» amène, vous le comprenez bien, des questions induites de cohésion nationale et de citoyenneté.

 

La question « Quoi défendre ?» ne pose t’elle pas la question de la Menace ?

Bien évidemment, nous devons nous interroger sur les menaces, sur les menaces extérieures et sur les menaces intérieures, sur les menaces physiques et sur les menaces numériques entre autres. La question suivante concerne les réponses à apporter à ces menaces. Il y a des acteurs ministériels qui travaillent sur ces questions (quoi ? qui ? comment ?), car tous les ministères sont concernés : Défense, Intérieur, Affaires Etrangères, Culture, Education, Enseignement supérieur et Recherche…). La question que nous devons nous poser est de savoir ce que l’IHEDN, institut de formation sous la tutelle du premier ministre, peut et doit apporter dans ce domaine ? Sa spécificité est justement d’être interdisciplinaire, intersectorielle et donc interministérielle. C’est pourquoi, en liaison avec les acteurs ministériels mais pas seulement, nous devons travailler sur ces différents champs. Pour ne pas nous disperser, sachant que nos moyens sont limités, nous devons nous donner des priorités. Nous avons, depuis 2006,  un séminaire «Cohésion  nationale et citoyenneté», mais nous ne pouvons pas informer  directement tous les citoyens du territoire national. Nous devons donc aussi définir quels sont les acteurs et les responsables que nous devons toucher, pour qu’ils soient eux-mêmes des relais dans cette mission d’information du plus grand nombre. Nous avons aujourd’hui à préciser ces relais et à définir notre mission à leur égard.

 

Vous avez parlé d’un séminaire « cohésion  nationale et citoyenneté ». Pouvez-vous nous en préciser le contenu ?

Nous faisons une ou deux sessions par an avec des responsables et des élus locaux, et je regrette que peu de responsables d’associations de terrain ne s’y soient pas intéressés jusqu’à maintenant. Participer à ce séminaire est louable, mais reste ensuite à définir jusqu’où l’IHEDN peut s’impliquer dans ce domaine, sachant que nous ne sommes pas les principaux acteurs en matière de cohésion nationale et de citoyenneté. Que ce soit sur ce sujet ou sur le thème des réponses aux menaces, il me semble que la communauté IHEDN, au centre de laquelle se trouve l’institut, prend tout son sens. En effet nous ne sommes pas seuls et il nous faut travailler de façon collective avec les responsables des ministères concernés et avec les élus. Nous touchons 10.000 personnes environ par an au travers des sessions et des diverses conférences, et en formation d’au moins une semaine nous touchons plus de mille personnes par an. A titre d’exemple,  nous organisons 4 sessions en région par an sur le territoire national, y compris l’outre-mer. Elles se déroulent sur 18 jours, selon le triptyque pédagogique propre à l’Institut qui est conférences/débats, travaux en comité et visites sur le terrain. Les auditeurs de ces sessions trouvent un prolongement à leur formation au sein des 32 associations régionales de l’Union-IHEDN. Les sessions en région ont commencé en 1954 et nous allons fêter la 200ème en mai à Bordeaux. Vous voyez, au travers de quelques exemples, qu’il y a beaucoup d’activités et de bonnes volontés au sein de la communauté IHEDN. Il nous reste à donner plus de cohérence, en fonction des buts à atteindre, à ce formidable bouillonnement de défense. Pour cela nous devons jouer collectif et faire circuler l’information, à l’intérieur et à l’extérieur de l’institut, pour pouvoir définir l’esprit de défense avant même de déterminer quel doit être le rôle de l’institut dans cet environnement.

 

Quels indicateurs avez-vous de la progression ou de la régression de l’esprit de défense dans la nation ?

Je n’ai pas d’indicateurs, mais j’ai des observations liées à mes postes précédents. Tout d’abord, j’ai des observations concernant les responsables politiques ou de la haute administration et les élus; ce ne sera pas une surprise si je vous dis que la plupart ne connaissent pas bien la Défense en général et les Armées en particulier. Pourquoi? Parce qu’on peut arriver à haut niveau sans rien connaitre à la Défense, ce qui est moins vrai pour l’Education, le Social ou l’Economie, et sans avoir jamais eu d’information particulière sur les sujets de défense. Ainsi, j’ai travaillé avec des hauts fonctionnaires en charge des budgets qui ne comprenaient pas que les dépenses de défense, plus que dans d’autres secteurs, s’inscrivaient dans le temps long! C’est vrai pour les équipements, mais c’est vrai aussi pour la formation capacitaire des personnels. Donc il me semble que l’information et la formation des responsables à ces sujets sont essentielles.

 

Vous me parlez des responsables et je vois bien le souci, mais je vous posais la question sur la Nation au sens large. Comment toucher le plus grand nombre? Par les écoles?

Je suis d’accord mais il faut déjà convaincre les responsables. Pour la suite, les partenariats régionaux avec des écoles permettent de toucher le plus grand nombre et d’essaimer les messages. Il y a des actions à envisager auprès du corps professoral des écoles après bac pour les sensibiliser aux sujets de défense. Sur ces sujets, nous devons être force de proposition face à nos autorités de tutelle.

 

* Le général de corps d’armée Bernard de Courrèges d’Ustou choisit l’arme blindée cavalerie à sa sortie de l’École spéciale militaire de Saint-Cyr en 1981. Affecté, en 1982, au 3e régiment de hussards à Pforzheim (RFA), il y sert successivement comme chef de peloton AMX10RC, comme chef de peloton Boeselager (Challenge interallié des unités de reconnaissance) et enfin, comme officier traitant au bureau opérations instruction. Affecté, en 1988, au 12e régiment de cuirassiers de Müllheim (RFA), il commande le 1er escadron de chars AMX30B2, pendant trois ans. Reçu, en 1993, au concours de l’Enseignement militaire supérieur scientifique et technique (EMSST), il suit une scolarité de deux ans à l’École nationale supérieure des techniques avancées (Ensta) et obtient le titre d’ingénieur en recherche opérationnelle. Promu colonel en 2001, il reçoit le commandement du 1er/11e régiment de cuirassiers à Carpiagne (13), régiment de 80 chars de la 3e brigade mécanisée. De septembre 2002 à janvier 2003, il exerce les fonctions de RepFrance Pamir, commandant les forces françaises en Afghanistan, comprenant, notamment, le bataillon français de la Force internationale d’assistance à la sécurité (Fias) à Kaboul et le détachement "Epidote" de formation de l’armée nationale afghane. En 2007, chargé de mission auprès du secrétaire général au Secrétariat général de la défense nationale (SGDN), il participe, notamment, aux travaux d’élaboration du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, puis aux travaux d’élaboration du projet de loi de programmation militaire pour les années 2009 à 2014. Le 11 mars 2010, il est nommé chef du cabinet militaire du Premier ministre. Il est nommé directeur de l’Institut des hautes études de défense nationale et de l’Enseignement militaire supérieur à compter du 14 août 2014.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:55
Le CNDH ouvre ses portes

 

10 févr. 2015 Armée de Terre

 

Le 5 février, le général de division Patrick Alabergère, commandant l’école du génie, a inauguré le nouveau centre national de déminage humanitaire (CNDH) situé au cœur de l’école du génie à Angers.

Le rôle de ce centre est de sensibiliser la population civile au danger des mines, apprendre à reconnaître les différentes mines, leurs compositions et leurs mécanismes… Tout le savoir-faire du génie est au service de la population civile afin de prévenir et d’alerter en cas de menaces.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

10 février 2015 Laure EQUY – Liberation.fr

 

Le ministre de l'Intérieur défend l'échange au niveau européen des données transmises aux compagnies aériennes. Un projet de fichier rejeté par le parlement européen en 2013.

 

Certainement pas une solution miracle, mais un élément indispensable de l’arsenal antiterroriste. C’est ainsi que Bernard Cazeneuve a défendu le «Passenger Name Record» (PNR) européen, ce mardi à l’Assemblée nationale, lors d’un débat sur le rapport de la délégation parlementaire au renseignement et sur le futur projet de loi renforçant le cadre d’action et les moyens des services de renseignement. «Ce n’est pas un outil qui règle tout, mais un outil qui nous manque dès lors que l’on veut être efficient dans la traçabilité du parcours» emprunté par les terroristes, a assuré le ministre de l’Intérieur.

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:55
Plutôt 3 000 par an, vers un étalement des suppressions de postes dans les armées

 

10.02.2015 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord – Défense Globale

 

La décision présidentielle et du Conseil de Défense du 21 janvier de réduire les déflations de 7 500 postes au sein du ministère de la Défense mène à une puissante bataille d'influence interne. Chaque DRH d'armées, de structures organiques, d'administration se promettant d'en bénéficier au maximum (au détriment du voisin, bien sûr)... Dans les armées, les premiers comptes aboutissent à la suppression d'environ 3 000 postes par an avec la nouvelle répartition des déflations sur toute la durée de la Loi de programmation militaire.

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:55
L’île de Beauté forme les futurs plongeurs

 

10/02/2015 Armée de l'air

 

L’armée de l’air forme chaque année de nouveaux plongeurs sauveteurs, appelés les « ploufs ». Du 13 janvier au 13 février 2015, une vingtaine de jeunes stagiaires ont alterné cours théoriques et cours pratiques sur la base aérienne 126 de Ventiseri-Solenzara.

 

Le cursus de formation des plongeurs sauveteurs se décline en plusieurs étapes qu’il faut impérativement réussir. La première, d’une durée de 5 semaines, est réalisée au sein de la marine nationale à Saint-Mandrier, où les apprentis plongeurs doivent acquérir les techniques de base de la plongée. Ensuite, si les stagiaires n’en sont pas déjà titulaires, ils doivent obtenir les qualifications spécifiques aux premiers secours en équipe premier et second degrés (PSE 1 et 2). Enfin, c’est sur la base aérienne 126 de Ventiseri-Solenzara, à l’escadrille d’instruction des sauveteurs plongeurs héliportés (EISPH) de l’escadron d’hélicoptères 1/44 «Solenzara» qu’ils vont s’imprégner des techniques du sauvetage héliporté, pendant 5 semaines.

 

Sous l’eau, en surface, dans les airs, en montagne… le programme est varié, intensif et progressif. Les instructeurs, des sauveteurs plongeurs aguerris, encadrent, dispensent les cours et évaluent bien sûr leurs élèves. Ils en profitent également pour leur transmettre de nombreuses astuces acquises au cours de leurs carrières.

 

Basée en Corse, l’EISPH bénéficie d’un environnement de travail idéal, avec à proximité la mer, mais aussi la montagne. A l’issue de cette phase de formation, les stagiaires de l’armée de l’air poursuivront leur apprentissage au sein de leur unité d’affectation : soit à Cazaux, soit à Ventiseri-Solenzara, sous la forme d’un parrainage.

 

L’île de Beauté forme les futurs plongeurs
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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:50
Futur proche ? Les Queen Elizabeth et Illustrious

Futur proche ? Les Queen Elizabeth et Illustrious

 

10 février 2015 Le Fauteuil de Colbert

 

La France décidait en 1986 puis 1994, 2007 et 2011 d'agir mieux que tout le monde en renouvelant à moitié sa composante aéronavale. Sorte de French touch dans l'art de la guerre aéronavale dans le monde, il ne sera pas nécessaire de revenir sur le pourquoi du comment le budget de l'Etat alimente autant un second porte-avions imaginaire sans cesse amélioré au fil des années.

 

Une fois que nous avons dit cela, c'est pour mieux saisir le contraste mondial qui dépasse l'hémispère occidental qui nous englobe. Le couant de pensée dominant nous entraînait lentement mais sûrement vers un reniement de la guerre navale au sens large : puisque la Méditerranée, l'Atlantique et l'océan Indien sont des lacs américano-otaniens, la mer est utilisable par nous pour supporter nos voies de communication et donc servir à déplacer porter le fer à terre.

 

Depuis la fin du conflit Est-Ouest (1991), rien n'est venu entravé cette vue stratégique à court terme. Les engagements des Etats-Unis d'Amérique, des alliés ou de la France en dehors de leur sol ne craignaient pas une menace navale critique ayant la capacité d'entraver une action aéronavale et aéroamphibie. La configuration stratégique est telle qu'il n'y a plus lieu de lutter pour acquérir la maîtrise temporaire et locale de la mer pour agir à terre. Configuration stratégique tellement favorable que les priorités sont à terre où il y a toujours à faire. Les Etats-Unis pouvaient même imaginer descendre leur nombre de navire porte-avions de 15 (tentative d'apogée sous l'ère Reagan) à 8, voire 6 (projets de l'administration Obama avec Robert Gates comme secrétaire d'Etat à la Défense).

 

Pourquoi pas : si la Défense est le premier devoir de l'Etat, alors il nous incombe de nous adapter ?

 

La fin de l'Histoire ne s'est jamais produite. Mieux encore, certains peuples, certaines nations croient toujours au sens de l'Histoire. Tout du moins, les ambitions ne sont pas une denrée rare parmi des puissances émergentes. En tous les cas, l'expansion de leur économie en dehors de leurs frontières nationales se combine avec un volet maritime et naval.

 

Pékin développe des porte-avions. Pour un pays qui tente de récupérer toutes les coques de ces navires qui sont à démolire de par le monde, ce n'est pas une surprise qu'il y ait une ambition autre que de devenir le champion mondial de la déconstruction de porte-avions. La refonte de l'ex-Varyag puis l'apparition sur la toile de clichés montrant de nombreuses infrastructures terrestres liées au fait aéronaval atteste d'une volonté chinoise de s'approprier cet outil. De là à s'étonner que depuis 2006, la Chine communique à chaque grande étape sur la construction de trois porte-avions en plus de son "navire-école", c'est plus un aboutissement de près d'une trentaine d'années d'efforts qu'une surprise.

 

L'Inde ne désarme pas encore le vieux Viraat (1953-?). L'ancien joyau de la couronne britannique acquiert lui aussi un ancien porte-aéronefs soviétique : l'amiral Gorshkov qui devient depuis 2013 le Vikramaditya. Le programme Air Defense Ship puis Indigenous Aicraft Carrier vise, ce jour, à livrer deux unités à la marine indienne. Elles seront de conception locale (avec le concours de l'ingéniérie italienne). La première unité, le Vikrant, est espérée pour 2018. La seconde pour le milieu de la décennie suivante. Reste à savoir comment vont évoluer les ambitions aéronavales indiennes au fur et à mesure des années. Par exemple, l'Inde ne s'oriente actuellement que sur dans la filire STOBAR et non pas CATOBAR. En attendant, New Delhi table sur trois porte-avions d'ici à 2025.

 

L'Angleterre revient elle aussi sur le devant de la scène. Le concept de Sea Control ship incarné par la classe Invincible réduite de 6 à 3 navires n'a pu convaincre lors de la guerre des Malouines. A leur décharge, une seule de ces unités était alors en service : le HMS Invincible. Il devait être vendu à l'Australie quand éclata la guerre... Les deux porte-aéronefs en cours de finition ou de construction, de 65 000 tonnes à pleine charge, illustrent un retour à des ambitions aéronavales plus importantes. Le choix confirmé de la formule STOBAR et les problèmes rencontrés dans la mise au point du F-35 retarderont la montée en puissance du nouvel outil aéronaval de la Royal Navy. Et le rendez-vous de la refonte CATOBAR est toujours une question pendante de l'autre côté de la Manche.

 

Citons, pour terminer ce tour d'horizon, que l'Australie réfléchi à voix haute sur une possible reconstruction de ses deux navires amphibies achetés à l'Espagne en porte-avions, que la Russie maintient ses ambitions de remplacer et compléter le Kuznetsov, tout comme le Brésil qui souhaite au moins remplacer le Foch avec l'intérêt de l'Argentine, que le Japon et la Corée du Sud construisent et mettent en service de lourds porte-aéronefs ou que la France devra se pencher sur le cas du second porte-avions assez rapidement...

 

Le basculement océanique mondial ainsi que le pivotage d'une partie des forces américaines de la façade Atlantique à l'Asie du Sud-Est invite à reconsidérer des espaces qui ne sont ni des lacs américains ni des lacs otaniens. Le porte-avions était contesté du fait de l'existence d'une stratégie d'interdiction, notamment et surtout portée par la Chine, qui devait le condamner. Stratégie d'interdiction qui ne fait qu'imiter ce que développait l'URSS face à l'US Navy dans les années 70 et 80 du XXe siècle, période où le porte-avions n'était pas non plus abandonné.

 

De plus, l'acquisition d'un outil aéronaval hauturier par des puissances navales émergentes déplaçe l'horizon des confrontations navales potentielles de demain. La menace d'une fleet in being, quelles que soit ses capacités, rendra impératif de considérer et la menace d'un groupe aéronaval en pleine croisière avant d'envisager une action à terre, tout du moins, sans consacrer les moyens nécessaires à une maîtrise locale et temporaire de la mer. C'était l'exemple britannique en 1982 où la Royal Navy ne trouvait pas le porte-avions argentin.

 

A partir de 2015 et la rencontre du porte-avions Charles de Gaulle avec un ou deux porte-avions Indien, voire une possible croisière lointaine du porte-aéronefs chinois, nous pourrions assister à une reconsidération de la nécessaire acquisition d'une maîtrise temporaire et locale de la mer afin de projeter une force aéroamphibie contre un littoral ou pour utiliser tout simplement les communications maritimes. Dans pareil cadre, le rôle du porte-avions pour acquérir ou défendre cette maîtrise risque fort d'être reconsidéré.

 

Faudra-t-il invoquer l'effet mimétique ou l'incapacité de trouver un autre outil que la projection de la puissance aérienne depuis la mer pour expliquer la reconsidération de ce navire ? En tous les cas, nous pourrions très bien voir surgir des débats aux Etats-Unis sur un nombre de porte-avions trop bas. Tout comme les croisières des unités indiennes, chinoises et anglaises stimuleront de nouvelles diplomaties navales qui changeront les regards portés sur la maîtrise des espaces maritimes. En 2022, nous serons dans une toute autre configuration stratégique...

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:50
EDA releases 2014 annual report

 

Brussels - 10 February, 2015 European Defence Agency

 

The European Defence Agency has just released its 2014 annual report. The document highlights the Agency’s achievements during the past year and showcases the progress made on key programmes and projects.

 

Working on the taskings set by the December 2013 European Council, where Heads of State and Government addressed defence issues, the European Defence Agency has made significant progress on the four key capability programmes identified by Member States. It also developed innovative proposals to incentivise and promote cooperation, while maintaining its efforts in multiple domains such as training and exercises, standardisation or research & technology.

 

Transparency

The Agency’s annual report aims to provide EDA’s stakeholders with a clear and transparent overview of its activities in the field of capability development, armament cooperation, research and technology, industry and market as well as coordination with other European institutions and partners. The document also includes updated facts and figures on the Agency’s activity in 2014.

 

The 2014 annual report is available for download HERE.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:45
Barkhane : relève de trois Mirage 2000D sur le DETAIR de Niamey

 

10/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 1er février 2015, 3 Mirage 2000D ont quitté la base aérienne 133 de Nancy pour rejoindre la plateforme aéronautique du Détachement ait (DETAIR) de Niamey.

 

Accompagnés par un avion ravitailleur C135 FR du groupe de ravitaillement en vol 02.091 « Bretagne » en provenance de la base aérienne 125 d’Istres, les 3 Mirage 2000D ont effectué un vol d’environ 6 heures pour se rendre à Dakar au Sénégal pour une escale d’une journée. Durant cette première phase de convoyage, les trois avions ont effectué trois ravitaillements chacun. Le lendemain, ils ont rejoint le Niger après deux heures de vol et un ravitaillement.

 

Ces trois avions de chasse appartiennent à la 3e escadre de la base aérienne 133 de Nancy et remplacent les trois précédents aéronefs arrivés sur le théâtre au mois de septembre dernier.

 

Dans quelques jours, après une très rapide mise en condition opérationnelle, ils participeront à la lutte contre le terrorisme dans l’opération Barkhane. Ils effectueront notamment des missions d’appui aérien au profit des troupes engagées sur le terrain et de bombardement d’objectifs préétablis ou d’opportunités.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

Barkhane : relève de trois Mirage 2000D sur le DETAIR de Niamey
Barkhane : relève de trois Mirage 2000D sur le DETAIR de Niamey
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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:45
Ebola : Washington retire ses soldats

U.S. soldiers prepare a crate as a CH-47 Chinook helicopter approaches as part of a slingload operation at Roberts International Airport in Monrovia, Liberia, Dec. 12, 2014. U.S. Army photo by Sgt. 1st Class Brien Vorhees

 

11.02.2015 par BBC Afrique

 

Les États-Unis ont commencé à retirer les troupes envoyées en Afrique occidentale pour aider à lutter contre Ebola, estimant que la maladie a été largement contenue.

 

Presque tous les soldats américains déployés sur place auront réintégré leurs bases d'ici le 30 avril, grâce au succès de la mission américaine lancée en septembre 2014, a indiqué mardi le porte-parole du Pentagone, le contre-amiral John Kirby dans un communiqué. Il a précisé que près de 1.500 soldats ont déjà quitté l'Afrique.

 

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:45
Visite du Lieutenant Général Göran Mårtensson, Chef des Operations Conjointes, au Mali.

 

10 février 2015 par EUTM Mali

 

Le Chef des Operations Conjointes de la Suède, Lieutenant Général Göran Mårtensson,  accompagné par le Lieutenant-Colonel Anders HÖGRELL, le Lieutenant-Colonel Robert ALMSTRÖM et le Commandant Pär ELOFSSON, est arrivé ce mardi 10 février 2015 à Bamako pour une visite à la Mission Européenne d’Entraînement au Mali. Ce visiteur distingué a été reçu par le Général de Brigade Alfonso GARCIA-VAQUERO PRADAL, commandant l’EUTM Mali, et ils sont partis ensemble pour le Camp d’entrainement de Koulikoro où le commandant du TTF a exposé une mémoire au sujet de la mission de formation.

 

Celle-ci à été suivie d’une visite du camp d’entraînement avant de se rendre au Quartier General de l’EUTM à Bamako. Le Chef d’Etat-Major de l’EUTM Mali, Colonel Klaus SHIRRA, a présenté les différents aspects de la mission alors que le chef de l’Équipe de Conseil, Colonel Arnaud RICHE, a exposé les missions spécifiques de son équipe auprès de l’État-Major malien.

Visite du Lieutenant Général Göran Mårtensson, Chef des Operations Conjointes, au Mali.Visite du Lieutenant Général Göran Mårtensson, Chef des Operations Conjointes, au Mali.
Visite du Lieutenant Général Göran Mårtensson, Chef des Operations Conjointes, au Mali.Visite du Lieutenant Général Göran Mårtensson, Chef des Operations Conjointes, au Mali.
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